Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Alma, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2003-05-12

 

Présentatrice : Je suis heureuse de vous présenter cet instrument choisi par Jésus.

J’ai connu la Fille du Oui à Jésus par le livre "Amour pour tous les miens" écrit par elle, mais dont Jésus lui-même est l’auteur.

J’ai vécu une expérience assez particulière avec la Fille du Oui à Jésus, en septembre dernier, lorsqu’elle est venue au Lac Saint-Jean.

Je voulais aller la voir, mais ma fille de six ans a dû être hospitalisée et je n’ai pas pu y aller.

J’ai donc téléphoné à l’organisatrice Colette Bédard pour qu’elle lui donne mon nom, au cas où Jésus aurait un petit message personnel à me donner : je n’en espérais pas autant! J’ai reçu une cassette dont Jésus me parle de ma famille, de mon mari, de mes enfants, de mon cheminement, de mon passé et de mes secrets les plus intimes avec lui.

D’après le contenu, j’ai vite réalisé que c’était vraiment Jésus qui me parlait, parce que la petite Fille du Oui ne me connaissait absolument pas : c’était impossible que ça soit d’autre chose, ça été un cadeau extraordinaire. J’ai beaucoup pleuré.

Qui est la Fille du Oui à Jésus? Tout d’abord, c’est une femme, une mère de trois enfants; elle est veuve et grand-mère, coiffeuse de formation. C’est une petite femme toute simple et qui a toujours aimé le Seigneur; elle donne sa vie entière pour Jésus.

La Fille du Oui à Jésus a commencé à entendre la voix de Jésus le 13 septembre 1985.

Jésus lui a dit : «Je crie ma douleur au-dessus des toits, mais personne ne la comprend tant elle est immense.»

Il dit encore : «Je suis en toi, ma bien-aimée; ce cri que tu as entendu était de moi, ton amoureux Jésus; j’ai crié en toi ma détresse si fort; ces mots ont été gravés dans ton cœur, ma bien-aimée.»

Un peu plus tard, la Fille du Oui à Jésus criait de tous ses poumons : "Père, je t’en prie, envoie ton Fils, notre Jésus sur la terre; nous voulons sa venue tout de suite, nous avons trop mal; nous n’en pouvons plus que ça se passe comme ça; je t’aime Papa, entends ta petite fille qui crie vers toi."

Et voici qu’elle entendit : «Nous, la Trinité, nous avons exulté de joie à ce cri prononcé avec tellement d’abandon.» Mes enfants, moi, Jésus, je n’ai pu résister à ce cri déchirant de détresse. Ma Fille du Oui vous portait tous en elle car, ce cri, elle l’a fait dans la Divine Volonté et ainsi au nom de tous. Et moi, Jésus, j’ai crié à mon Père : «Père, regarde tes enfants, ils me supplient d’aller vers eux.»  Et je suis venu vers vous à travers ces messages, ces révélations, ces mots que je dicte à ma Fille du Oui, pour vous. C’est dans sa petitesse et l’obéissance qu’elle accomplit tout. C’est moi, l’auteur de ces volumes, non, elle. Chaque mot est une grâce d’amour pour tous mes enfants de la terre.

Et Jésus lui demanda d’écrire; elle ne savait pas où cela l’amènerait. Elle a obéi et son obéissance l’a conduite ici, ce soir.

Aujourd’hui, Jésus, ou Dieu le Père, ou peut-être Marie, nous parlera à travers son instrument d’amour. Ouvrons grand notre cœur et écoutons la voix du Seigneur. Je vous présente la Fille du Oui à Jésus.

 

Jésus : Je suis pour vous, en cette enfant du oui; elle a prononcé un oui d’amour et je suis venu vous parler par elle.

La Divine Volonté l’a choisie afin que, chacun de vous, vous sachiez que je suis en vous, que je vis en vous.

La présence de Dieu est amour, la voix qui vous parle est dans la Divine Volonté.

Tout amour (enfant) qui s’abandonne, au moment de ma Présence Eucharistique, est en lui : cela se fait parce que nous, la Sainte Trinité, le voulons.

Chacun de vous est en présence de la Sainte Trinité au moment où vous recevez Jésus Hostie.

Vous êtes en présence de l’Amour, il vous parle en chacun de vous : il est la Présence.

Je suis Jésus, je me suis donné par amour pour chacun de vous.

Au moment où je m’offre à mon Père, je prends en moi chacun de vous;

je prends tout de vous et je m’offre à mon Père

et, par mon sacrifice de la croix, je renouvelle ce mouvement d’amour.

Moi qui suis la Présence, je suis en présence même de mon Père et vous, mes enfants, vous êtes aussi présents par moi.

Nous, la Sainte Trinité, sommes la Puissance, vous êtes en notre Présence.

Amours de ma Vie, je vous ai pris en moi afin que vous sachiez l’importance : l’importance de votre présence en la Vie.

La Vie est moi, vous êtes en vie par moi.

Si, moi, je me donne sur tous les autels du monde à chaque fraction de seconde : voyez-vous l’importance de votre présence? Vous devez réaliser, mes enfants d’amour, que votre vie a une valeur, elle est pour moi de l’amour, et si votre vie est amour : c’est parce que moi, Jésus crucifié, j’ai laissé couler mon Précieux Sang sur chacun de vous.

Prenez conscience de votre vie au présent, là, en ce moment même.

Chacun de vous avez votre importance, vous êtes unique.

Chaque mouvement que vous faites doit être pour vous une action digne de votre vie.

Mes enfants, lorsque vous faites une action, dites-vous que cela fait partie de votre vie qui sera éternelle.

Comme elle est importante votre vie, comme ce que vous faites est important, comme ce que vous dites est important, comme ce que vous entendez est important, car tout cela fait partie de votre vie, de votre vie quotidienne!

Une vie de chaque jour est une vie en Dieu.

Vous accumulez à chaque jour des actions qui vous seront présentées : ces actions vous apporteront des grâces.

Oui, mes amours, si vos actions sont bonnes : il y a en vous des grâces qui vous montrent que vous êtes amour.

Si, mes enfants, vous faites des actions qui ne sont pas de bonnes actions : moi, l’Amour, je vous donne, par mes enfants de la Lumière, des grâces, afin que vous réalisiez que vos actions sont contre votre vie, contre l’Amour; vous devez apprendre à reconnaître vos actions : si elles sont bonnes, cela est grâce; si elles ne sont pas bonnes, cela demande un renoncement de vous.

Ce que je veux vous apprendre, c’est que vous devez vous reconnaître tels que vous êtes.

Je vous aime, moi, tels que vous êtes, mais je ne puis vous reconnaître que comme mon Père le veut.

Lorsque vous faites des actions contre vous, je déverse en vous des grâces de lumière : des grâces qui vous feront réaliser que vos actions ne vous apporteront pas le bonheur.

Une action est un mouvement : il est une partie de vous-mêmes;

il est dans votre vie et votre vie est en présence de Dieu.

Si votre action n’est pas une bonne action, moi qui suis en votre présence, je me sens rejeté de vous, car lorsque vous faites une mauvaise action, c’est que vous n’acceptez pas de vous reconnaître amoureux de moi.

Être amoureux de moi : c’est savoir que vous voulez vous conduire en enfants dignes de ce que moi, j’attends de vous.

J’ai versé mon Sang sur chacun de vous : il a purifié toutes vos mauvaises actions; il a fait de vous des enfants qui doivent se reconnaître enfants de Dieu.

Mais lorsque vous faites une mauvaise action : mon agir en vous attend que vous vous repreniez, que vous vous reconnaissiez en faute.

Mes amours, je suis le seul qui peut vous parler ainsi.

Je suis le seul qui peut vous dire : «Mais que fais-tu de ta vie?» Lorsque tu te conduis mal, tu fais de la peine à mon Père! Il m’a donné à toi pour que, toi, tu puisses être auprès de lui pour l’éternité, ne sais-tu pas qu’il t’aime? Ne sais-tu pas que tu vaux plus que ce que tu veux faire, ce que tu veux avoir? Tes actions, qui ne sont pas bonnes, ne peuvent t’apporter de la joie! Lorsque tu te mets en colère, ta colère est contre toi, est contre ceux que tu aimes.

Lorsque tu voles ton prochain, tu te voles : tu voles en toi des grâces qui te sont nécessaires pour vivre ta vie.

Lorsque tu parles contre ton prochain : tu parles contre toi, tu parles contre l’amour de Dieu.

Dieu t’a donné de l’amour pour que, toi, tu te reconnaisses amour.

Parler contre l’amour : c’est parler contre ce que Dieu t’a donné. Et lorsque tu fais du mal à ton prochain :

tu te causes un malheur et ce malheur est en toi, il fait partie de ta vie.

Moi, je suis trop amour pour te laisser dans l’ignorance de tes actions.

Il faut que tu saches, mon amour, que tu es à moi : je t’ai gagné la vie.

C’est moi qui ai pris en moi ta vie : je l’ai purifiée par mon Sang Précieux.

N’ai-je donc pas le droit de te parler ainsi? Je te veux en moi.

Je connais tout ce que tu as fait, je connais tout ce que tu fais, et je connais tout ce que tu feras : et c’est par amour que je te parle en toi.

Nous sommes seuls, toi et moi car, en ce moment même, c’est en toi que je parle, en ton être.

Je passe par les enfants de la Lumière qui acceptent d’écouter la voix, qui acceptent de s’abandonner, pour te prendre.

Toi qui es seul avec toi-même, moi, je suis là et tu veux m’ignorer! Tu ne veux pas te reconnaître avec moi en toi, mais vois-tu, je t’aime tellement que je suscite des situations pour te donner de l’amour! Je fais des rencontres avec des enfants de la Lumière pour te parler, pour dire à mes enfants de la Lumière que je t’aime :

eux sont témoins de mon amour pour toi.

Ils témoigneront de toi auprès de mon Père car, lorsque ces enfants seront seuls ce soir avec moi, ils se souviendront de toi et ils diront : "Jésus, tu es venu nous parler de nos frères et de nos sœurs qui n’acceptent pas ta Présence : Jésus d’amour, je te donne mon oui.

Je ne comprends pas toujours tes agirs, ils sont trop grands, ils sont trop amour et, moi, je suis un enfant trop petit. Je veux m’abandonner dans la Divine Volonté. Je veux que tu prennes tout de moi parce que, toi, tu sais mieux que moi mon besoin d’amour."

Enfants de ma Présence, vous êtes avec moi, je vous parle d’amour.

Ce temps est un temps de grâces pour tous ceux que vous portez en vous; c’est un temps d’amour pour vous qui écoutez ma voix.

Je suis en vous, je parle en vous.

Ce n’est pas parce que vous entendez cette enfant qui parle en moi, – elle ne parle pas en elle, mais elle parle en moi, – que moi, Jésus, je prends seulement ce temps pour vous parler : je parle toujours en vous.

À chaque instant de votre vie, je suis présent : je suis la Présence.

Réalisez tous les bienfaits qui se passent en vous : votre transformation est commencée, elle ne cessera qu’au moment où vous me verrez en vous.

Vous êtes des enfants de l’Amour. Vous êtes en présence même de Dieu.

Le monde extérieur est un monde qui doit se reconnaître tel qu’il est afin qu’il sache que Dieu l'aime.

Je ne viens pas en chaque enfant me présenter pour le condamner, je viens témoigner de mon amour.

Et lorsque je vais témoigner de mon amour en eux, vous, les enfants de la Lumière, vous serez témoins : que Jésus a parlé, que Jésus a annoncé qu’il est présent, qu’il est agissant.

J’envoie, parmi le monde, des enfants abandonnés dans la Divine Volonté

afin que les enfants de la Lumière soient des témoins de l’agir de Dieu.

Vous n’êtes pas seulement des spectateurs, des écouteurs, non, mes amours, vous êtes en la présence même de l’agir de Dieu, et lorsque Jésus amour fait voir sa Présence, c’est pour ceux qui n’acceptent pas la présence de Dieu.

Croyez-vous, mes enfants, que j’aurais besoin de me présenter aux enfants qui prient, qui assistent à la messe régulièrement, qui ont la foi sans voir? Oh! mes enfants, c’est pour ceux qui ne prient pas, pour ceux qui ne vont pas à la messe, pour ceux qui ont perdu la foi.

Vous êtes mes enfants de la Lumière, vous êtes les enfants choisis de Dieu.

Vous allez donner à mes enfants ce que je vais vous donner; vous ne pourrez donner ce qui va sortir de votre volonté humaine car, moi, Jésus amour, je suis en votre présence pour vous transformer en enfants de la Divine Volonté.

Vous allez être dans ma Volonté, non dans votre volonté, car un enfant qui parle dans sa volonté ne peut aider son frère, sa sœur, car ce qu’il a en lui n’est que de lui, alors qu’un enfant dans la Divine Volonté sort de lui ce que la Divine Volonté dépose en lui.

C’est la Divine Volonté qui dicte les paroles, c’est la Divine Volonté

qui lui fait faire des mouvements en Jésus.

Je n’ai pas à dire à mes prêtres qui sont en moi, qui écoutent leur intérieur, les paroles, car ils sont moi.

Par leur sacerdoce, mes prêtres parlent en Jésus, par Jésus, avec Jésus : ils sont couverts par la puissance du Saint-Esprit, ils sont dans le mouvement de l’Amour : chacun d’eux est moi, Jésus, le Christ Prêtre divin.

Par leur sacerdoce, ils vous parlent d’amour; ils vous parlent des enseignements que j’ai déposés en mes apôtres : ils ont en eux les paroles de l’Amour; ils sont agissants en moi, le Christ.

Et par mes prêtres, mes enfants d’amour, vous recevez des grâces qui purifient vos actions qui ne sont pas bonnes : mes prêtres ont ce pouvoir.

Enfants de la Lumière, ce sont mes grâces qui vont vous transformer, qui vous transforment.

Lorsque vous allez à mes prêtres, je vous donne, par leurs mains consacrées : ma Présence.

Je suis la Vie, je suis Nourriture de votre vie.

Sans moi votre vie, mes enfants, ne pourrait être mouvement d’amour.

Soyez présents en moi, en Jésus.

Allez, avec votre petitesse, avec humilité, vers mes prêtres recevoir mes sacrements.

Tout enfant, qui se reconnaît tout petit, est apte à tout recevoir.

Il faut que vous appreniez à tout me donner, à vous oublier, à accepter que Jésus vous transforme : je suis la Douceur, je suis la Tendresse; je ne veux pas tout prendre de vous et vous rendre esclaves : je vous veux libres dans votre vie, en ma Vie.

Tout ce que mon Père m’a donné, je veux vous le donner parce que je suis amour.

Lorsque, vous, vous mettez au monde un enfant, vous le regardez, vos yeux voient une partie de vous: vous tombez amoureux de cet enfant; c’est la grâce en vous qui fait que vous tombiez amoureux de cet enfant : je vous ai donné ma Vie.

Et, vous, lorsque vous mettez au monde un enfant, vous acceptez de donner votre vie pour cet enfant : toutes ces heures à le nourrir, toutes ces heures à prendre soin de lui, à l’éduquer, à lui montrer ses bonnes actions et les mauvaises à éviter : mes enfants, c’est un don d’amour et ce don d’amour ne peut venir de vous, mais de moi qui me suis donné.

Tout vient de moi, tout doit passer par moi.

Vous devez apprendre que le don de vie vient de moi : je me suis donné par amour pour vous.

Ce mouvement a été fait par le Fils de Dieu : aucun être humain n’aurait pu se donner, si le Fils de Dieu ne se serait pas donné.

Par moi, vous pouvez donner : il n’y a que le Fils de Dieu qui a mis en vous ce mouvement.

Ce mouvement est amour et toute action faite en moi, Jésus, cela vous démontre mon don d’amour.

Et lorsque vous faites une mauvaise action, vous devez vous reconnaître dans cette action; elle est faite par votre volonté humaine, elle est produite par le mal qui habite les enfants.

À cause de vos premiers parents, le mal habite en vous; le mal est venu de la désobéissance à Dieu, mon Père; et le Fils de Dieu est venu racheter toutes vos mauvaises actions en les prenant en lui et en les amenant à la mort.

Oh! amours, j’ai tout pris en moi pour vous, par amour.

Lorsque vous vous reconnaissez impurs, par mon prêtre, je vous donne des grâces qui vont vous purifier.

Vous devez aller vers mon prêtre vous confesser.

Moi, Jésus amour, je donne des grâces pour que vous vous reconnaissiez tout petits, pour vous reconnaître enfant qui veut donner ce qui n’est pas bon en lui afin que, moi, Jésus, je puisse prendre votre mauvaise action.

Ne savez-vous pas que j’ai fait ce mouvement? Vos mauvaises actions, mes enfants, je les ai apportées à la mort.

Combien d’entre vous ont honte, ont peur, hésitent ou ne voient pas l’importance d’aller se confesser?

Si vous connaissiez le désir de votre âme!

Elle veut recevoir des grâces sanctifiantes, elle veut être belle pour son Amoureux.

Oh! mes amours, je parle pour vous, je parle pour ceux que vous portez: vos frères et vos sœurs.

Je ne cesse de vous dire que je vous veux en moi avec ce que vous êtes parce que je vous aime.

À moi seul de vous aider : à moi seul de faire de vous des enfants d’amour, les enfants de la Divine Volonté.

Je suis la Puissance; accordez-moi tout de vous.

Que Dieu soit tout pour chacun de vous; que Dieu soit l’air que vous respirez.

Mes amours, un Vent d’amour va souffler; il vous fera entrer en vous et vous verrez toutes vos actions, et moi, Jésus amour, je vous déclarerai mon amour.

Vous serez en présence de vue de votre Jésus.

Amours, amours, je vous aime, portez cela en vous et donnez à votre intérieur un mouvement d’amour en disant :

"Oui, je suis à toi, qu’à toi, Jésus; fais ce que tu veux de moi."

 Par la présence de mon fils consacré, recevez des grâces d’amour. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il me fait savoir qu’il est en moi et qu’il parle parce qu’il nous aime.

Lorsque je me présente, je ne sais jamais de quoi il va parler : cela dépend de votre présence.

C’est comme une communication entre Jésus et toute l’assistance : c’est comme si on battrait dans le Cœur même de Jésus.

Jésus nous connaît  tous : il veut laisser parler l’amour, l’amour qu’il a pour chacun de nous.

Il me fait connaître ces mots en ce moment même, par le Saint-Esprit.

Moi aussi, vous savez, je ne sais jamais ce que je dois dire; mais, ce soir, avant qu’on me présente, j’ai ressenti une grande, une grande joie.

Tu sais, toi, (la personne qui l'a présentée) quand tu m’as présentée, Jésus, il m’a dit quelque chose, il a dit : «Voilà la surprise que je te préparais»; parce que, vous savez, la semaine passée, Jésus, il m’a dit : «Va et tu vas avoir une surprise.» Et je l’ai eue!

Vous savez, j’ai même découvert quelque chose; quand elle a dit: "en 1985 : elle entendait", je ne l’ai pas réalisé sur le coup que c’était vrai que la voix que j’avais entendue en moi c’était la voix de Jésus; c’est vrai que je l’ai entendue mais, en 1985! Pour moi, ça été une surprise ce soir parce que je pensais que c’était seulement en 2001.

Mais là, c’est vrai : c’était oups! On dirait qu’il ne veut pas que je pense à des choses comme ça.

Il me les fait révéler : il me les révèle, mais quand il veut, là, au moment qu’il veut.

Il aurait bien pu me le démontrer autrement.

Et c’est comme ça! C’est comme si je n’y avais pas pensé avant! Et pourtant, c’est vrai! Merci beaucoup! Merci Jésus.

C’est avec tellement d’amour qu’il nous montre son amour.

Il le fait à chaque jour, il le fait pour chacun de nous.

Voyez-vous, je ne l’avais même pas réalisé, moi, en 1985, ce mouvement d’amour-là : je l’avais écrit; pas moi, c’était tellement beau que j’avais demandé à ma fille; c’est ma fille Caroline, elle avait 14 ans, elle l’a écrit.

Puis elle a dit : "Maman, c’est tellement beau!" Alors je l’ai mis dans ma Bible, et je n’aurais pas pensé qu’un jour, c’était pour me servir ce mot-là avec les écrits! Alors quand il me l'a fait écrire, – c’est toujours en rapport avec les

écrits – j’ai été voir, je l’avais dans ma Bible.                                                              

Mais, même là, je n’avais même pas pensé (réalisé) que Jésus me parlait! Alors, pouvez-vous penser combien de fois dans notre vie, Dieu s’est manifesté, puis on ne le sait pas? Un jour, on va le savoir : quand on va être en face de lui, on va savoir nos actions à nous, mais on va savoir aussi ses actions.

Quelle joie ça va être pour nous de voir l’agir de Jésus! Ça ne sera pas seulement de cette façon; ça va être avec les personnes qu’il nous a données parce que dans notre vie on rencontre des gens, des gens formidables qui nous donnent des mots.

Sans s’en rendre compte, ils nous disent des mots qui nous font plaisir : on est surpris! Combien de fois on entend des personnes dire: "Ah! tu as fait ma journée!"

Eh bien, c’est Jésus qui nous l’envoie cette personne-là : ce sont les mouvements de Dieu; puis, c’est présent autour de nous.

On a perdu la foi!

À la télévision, on nous montre des images qui nous ont fait oublier que Dieu est agissant.

Quand on passe des heures devant la télévision, on n’arrive pas à analyser notre vie.

Je ne crois pas qu’on aurait pu dire : "Ah! ça fait ma journée."

Non, c’est quand une personne qu’on rencontre qu’elle nous dit quelque chose qu’on veut entendre.

Ce n'est pas à la télévision qu’on peut entendre ces choses-là.

Ah! ils nous instruisent! C’est ça qu’ils nous disent! Par des documentaires : c’est vrai qu’il y a des bonnes choses qu’ils nous montrent.

Eh bien! si j’aurais à choisir entre ça et une personne que je rencontre et qu’elle me dise ce que j’aimerais entendre pour que j’aie une belle journée : bien je vais choisir la personne, pas le documentaire; ça, ça va instruire mon orgueil, je vais avoir de quoi à dire parce que j’aurai appris quelque chose.

À quoi ça sert de donner quelque chose qui nourrit que l’orgueil?

Il faut apprendre à se donner avec le cœur.

Ça fait trop d’années, je pense, qu’on parle avec notre tête.

Quand on rencontre des personnes, on se demande : "Bon, qu’est-ce que je vais lui dire? Comment je vais meubler le silence?" Eh bien, si ça ne vous est pas arrivé, moi, ça m’a arrivé souvent! J’avais de la visite à la maison, ma belle-sœur : eh bien, s’il y avait un silence, je me sentais mal : "Ah! mon Dieu, elle va trouver que je suis plate."

Puis, comment remplir ce silence-là! Eh bien! c’était avec ma tête que je pensais, ce n’était pas avec mon cœur.

Aujourd’hui, la même belle-sœur vient à la maison, puis, elle a dit l’autre fois: "Ah! il n'y a pas de bruit chez toi, hein?" J’ai dit : "Non, je n’écoute pas la télévision, je n’écoute pas la radio." Mais, savez-vous, je n’ai pas peur de lui dire : "Je t’aime."

Je ne le faisais pas avant; puis je l’embrasse aujourd’hui.

Je n’aurais pas pu faire ça, il y a quelques années : ça ne fait pas longtemps, en l’an 2000, je ne l’aurais pas fait.

Aujourd’hui, je lui dis que je l’aime : imaginez-vous, je dis ça à ma belle-sœur : "je t’aime" et, puis, je l’embrasse avant de partir.

Je remercie le bon Dieu pour ce qu’il m’apprend.

Ah! ce sont des gestes bien simples, mais ça remplit ma vie! Puis, aujourd’hui, le Seigneur, il veut que vous l’entendiez.

Ces mots que je suis en train de vous dire, ce sont des mots qui montent tout seul en moi : ça vient de lui, c’est le Saint-Esprit.

Alors, il veut qu’on témoigne de sa Présence en nous.

Il me transforme beaucoup, Jésus d’amour, à chaque jour.

Voyez-vous, je suis venue, hein? en septembre passé, ça ne fait pas un an : je n’aurais pas parlé comme j'ai parlé;

c’était lui, que lui et, aujourd’hui, c’est encore lui, que lui.

Mais c’est différent, je lui ai donné toute la place, je n’ai plus à m’inquiéter, je n’ai plus de peur en moi, j’ai la paix.

Je laisse couler ce qu'il veut que je vous dise, c’est tout! C’est lui le mouvement de ma vie : je n’ai pas à rien retenir en moi, et si je vous dis "je vous aime",  je le dis avec tout mon cœur, avec ce qu’il a mis en moi, parce que je sais, aujourd’hui, que partout où il m’envoie : eh bien! c’est là qu'il veut que je sois, avec vous autres, avec un partage d’amour.

Ce que je vous dis, vous le recevez et ce que vous faites lorsque vous me regardez, bien, moi, je le reçois.

Ça c’est un mouvement d’amour! On va apprendre à s’aimer!

Il y a eu la guerre; il m’a parlé d’amour dans ces jours-là, il m’a parlé de paix et j’ai gardé ma paix.

Je n’ai pas cherché à écouter la radio, ni la télévision; j’ai resté avec lui, puis il me parlait de ses enfants.

Ah! il m’a parlé de sa souffrance; il m’a parlé de la souffrance de ses enfants.

Même, il me disait qu’il y en a qui étaient torturés; il me disait qu’il y avait des enfants qui se mouraient, même au moment qu'il me parlait, puis, il me disait : «Reste avec moi, garde ta paix. Lorsque tu te donnes comme ça, moi, je te déverse des grâces pour eux : ils reçoivent des grâces de force.»

Nous étions aussi en prière; on disait le rosaire avec des amis et, au moment de la méditation du rosaire, – vous savez les petites méditations – il donnait des petits enseignements d’amour; puis il disait ce qui se passait; puis notre abandon aidait nos frères et nos sœurs dans ces moments-là.

Voyez-vous, Jésus attend beaucoup de nous : il attend qu’on lui dise oui, qu’on s’abandonne en lui; il veut qu’on s’aide les uns les autres, il veut qu’on se donne parce que lorsqu’on se donne : les autres reçoivent.

C’est un grand mouvement d’amour, Jésus, et c’est lui seul qui peut faire ça.

Il nous prend tous : on est la grande famille de Jésus qui est la famille de l’Église : l’Église qu’il a fondée.

J’ai un merci à dire pour son prêtre: "Merci beaucoup de votre présence."

Vous savez, j’écris en Jésus, mais quand je fais ça à la maison, toute seule, c’est comme un mouvement que je fais pour Jésus : comme une prière; comme on fait chacun de nous : on prie à la maison, mais c’est ce que je fais, moi aussi, quand j’écoute Jésus : je prie; parce que je le laisse me parler, je fais ce que lui me dit : alors c’est prière.

Mais lorsqu’un prêtre se déplace parce qu’il croit que Jésus agit en moi : cela me montre l’agir de Dieu.

Moi-même et vous autres aussi, on ne pourrait pas faire ça : on ne pourrait pas faire un mouvement comme ça, c’est impossible!

Il y a seulement Jésus qui peut faire ça : eh bien! ça augmente notre foi à nous aussi,

on voit l’agir de Jésus autour de nous!

"Merci, Jésus d’amour, je te donne toute la place.

Amour, Amour, merci, tu as mis en moi tes paroles et je prends ces paroles et je te les offre.

Je suis en présence de l’Amour et l’Amour témoigne que je vis en lui.

Jésus Amour, prends ma voix et fais de moi ce que toi, tu veux; mais, Jésus d’amour, prends la voix de tous mes frères et sœurs du monde entier et fais-la tienne; ainsi lorsque je parlerai, je parlerai avec tous mes frères et mes sœurs dans la Divine Volonté. Oui ".

Dieu dit : «Donne, ma fille, donne.»

Guy d’amour, tu travailles en Jésus dans la Divine Volonté, tu fais présence parce que Dieu t’a choisi, ainsi que toi, Colette, ainsi que toi, Marlène, ainsi que chacun de vous.

Comme mon fils l’a dit, si je donnais tous les noms qui sont en moi, vous y passeriez la semaine et plus encore.

Je vous aime. Amen.