Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Banneux, Belgique,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-12 – P.M.  Partie 2    (suite de la partie 1)

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C'est les grâces de Marie. C'est d'avoir donné, donné et donné causes choix et conséquences, c'est d'avoir refusé. Oh! Que c'est difficile refuser pour lui. Il en a des attaques! Il en a des attaques! Mais il refuse. Mais ce n'est pas toujours facile, mais il va continuer qu'il a dit. C'est toujours un combat pour lui, mais il a accepté.

Tout ce qui entre en nous, soit par les yeux, soit par les oreilles, hein, les sons, par notre imagination, même notre imagination, ça entre en nous; par les paroles que nous prononçons, ça entre en nous et ça se loge, ça prend de la place. Une fois que ça prend de la place, hein, ça tasse, ça tasse l'être que nous sommes et ça fait un être que nous devenons; alors nous vivons comme des étrangers.

Avant la télévision, Satan s'attaquait aux enfants de Dieu. Il y avait famines, guerres, impureté, magie, les vaudous, la superstition; il y avait les jeux; il y avait les plantes qui donnent des hallucinations; il y avait les astres, les étoiles. Tout ça était dans leur vie : guerres, c'a apportées; famines, c'a apportées; épidémies; les avortements, croyez-vous que c'est de notre siècle? Cela a débuté dans le temps de Caïn. Tout a débuté dans le temps de Caïn, et aujourd'hui on vit ça. Et aujourd'hui, nous les avons devant nous et nous les regardons. Nous consentons à regarder ce que Satan a appris aux enfants de Dieu par les enfants des hommes. Et on dit : 'Je m'ennuie lorsque je ne regarde pas la télévision, je m'ennuie de ne pas voir ces images, je suis tout seul.' On comble notre vie avec des mensonges.

La télévision, c'est comme – on ne parle pas des programmes, parce que Dieu a dit à un moment donné : «Je me servirai de vos appareils» – comme Mother Nadine, Mother Angelica. Vous avez sûrement des émissions propres ici, mais la majorité, hein, la grande majorité ne va pas dans ces postes-là, ça les ennuie, ils ne vont pas vers ces émissions. Alors, le Seigneur, il dit : «Votre vie est comme un fromage», le fromage qui a des trous. Ce que produit la télévision lorsqu'on la regarde, lorsque nous consentons à ce que nos sens s'abandonnent à ce qui se présente, ce qui se présente capte tout ce qu'on donne : on donne notre regard, notre pensée, notre écoute, on donne même le temps de notre parole, on donne le temps de notre agir, on donne nos sentiments, nos cœurs, notre intérieur, tout ce qui fait partie de ce qui nous nourrit en tant qu'enfants de Dieu.

Alors, ça, c'est mis au service d'une boîte noire, et cette boîte noire, croyez-vous qu'elle est là inactive? 'Bon bien, c'est seulement qu'une boîte noire, c'est une vitre dans quelque chose de rectangle, plastique, hein, maintenant c'est moderne, c'est en plastique. Alors, en arrière de ça, ce n'est plus des lampes là, maintenant c'est des puces, hein? Alors, c'est tout plein de petits trous ces affaires-là qui font l'image et qui produisent des couleurs; une fois que ces couleurs sont toutes en activité, ces couleurs, ça forme une image, ça nous donne une belle femme, ça nous donne un beau monsieur ou un vieillard qui parle : ça bouge, ça émet des sons et les sons viennent encore par captage de sons, ces sons-là se rassemblent et forment la parole. Ce n'est pas ce que nous entendons lorsque nous ouvrons notre appareil là, ça capte; une fois que ça capte, ça vient frapper tous des genres de petits points et ça transmet la parole, le son.

Ce n’est pas notre parole qui est entendue en Amérique du Nord ou du Sud, c'est que ça capte le son, ça le frappe et ça le transmet. Alors, ce que nous regardons, c'est tout des petits points devant nous : 'Bon, c'est inactif ça.' Je ne suis pas sûre moi que ce soit inactif, ça vient capter ce qui est en nous. Une fois que ça capte ce qui est en nous, là, ça pénètre, ça pénètre en nous, ça se loge en nous. Alors, comme nous nous sommes créés pour servir, comme nous nous avons donné notre présence, hein, tout ce que nous sommes, alors ce qui entre en nous : ces sons, ces images, ces gestes que nous acceptons, les sentiments que nous acceptons, viennent en nous, pénètrent en nous, se font connaître à nous-mêmes et une fois que cela est bien en nous, là, ils prennent la place de l'enfant de Dieu. Nous devenons comme des automates, nous sommes prisonniers de ce qui s'est présenté à nous, que nous avons consenti, et une fois que cela nous a rendus prisonniers, là, nous sommes incapables de nous en passer : ils nous nourrissent, ils nous donnent ce qu'eux veulent et nous, nous le voulons.

Pourquoi nous le voulons? Une fois que cela est entré en nous, ça vole nos sentiments, (nos) mouvements de vie, ça vole ce que nous sommes; donc, les sentiments qui sont à nous sont comme prisonniers de ce qui a entré en nous. Ils utilisent nos propres sentiments, ils utilisent notre propre vouloir, ils utilisent ce qui est en nous : on se souvient; ils utilisent ce que nous connaissons : je connais mon mari, je connais mes enfants; ils utilisent tout ce que nous nous sommes, parce que ce qui a été voulu ne vient pas de Dieu, mais vient de Satan. Pour que cela se fasse, il a dû pénétrer son venin à l'intérieur d'un enfant qui, lui, a été faible devant le tentateur. Une fois que le tentateur a reçu une acceptation, c'est-à-dire la personne a dit oui, là, il a pénétré son venin, il a utilisé sa vie; une fois qu'il utilise sa vie, là, il fait ce qu'il veut.

Combien d'enfants ont été manipulés en donnant leur âme à Satan? Et vous en connaissez pour en avoir entendu. Quant au non qu'ils portent, nous les donnons à Dieu, mais nous savons qu'il y a des enfants qui se sont donnés à Satan, et Satan s'est servi d'eux pour atteindre non seulement eux, il les a déjà, pour nous atteindre. Et c'est ce qui a fait qu'au vingtième siècle, la télévision a été dans notre vie. Tout ce qui est venu atteindre notre vie intérieure, notre vie, nos sentiments, a été le plus atteint au vingtième siècle, et nous avons tous été avertis de cela par Marie. Lorsque Marie est venue, elle nous a avertis.

Le plus grand des messages qui a été donné par Marie pour notre temps, quand l'avons-nous reçu? À la Salette. Nous n'avons pas pris soin de prier comme elle nous l'avait demandé. On dit 'nous', oui, c'est vrai, on n'était pas au monde encore au moment de ce message. Pouvons-nous nous séparer? Nous avons dit La Salette, donc nous avons pris connaissance de ce message, et qui a prié? Il en a fallu des grâces pour nous amener là où nous sommes aujourd'hui, il en a fallu des messages du Ciel pour écouter. Encore aujourd'hui, il en a fallu, hein, Martine, des grâces pour que tu fermes ta télévision? Hé, oui, bien que tu savais que la Sainte Vierge avait donné ce message sur la télévision. Mais pour la télévision, la Sainte Vierge nous a demandé de faire attention à cette boîte noire, mais lorsqu'on ne veut pas entendre, ça, on ne veut pas comprendre.

Q. Mon ami démasqué, tu ne laisseras pas vivre la sorcière...

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais la sorcière était bien avant. Oui.

Q. Une chose est de vouloir et une autre est de pouvoir. Les cahiers guérissent. Jésus nous donne la guérison.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons besoin des messages du Ciel. Par nous-mêmes, nous ne le pouvons pas parce que, pouvez-vous compter combien d'images ont pénétré en nous? Nous ne pouvons le compter.

Q. Vous avez des dvd aussi. Quand on est petit. D’une manière, ça rend la grâce plus facile.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. Le Ciel nous a donné des saints et nous avons pu lire la vie des saints, et Maman Marie nous les recommande ces livres. Maman Marie, elle a dit, une fois : «Mes enfants, achetez des petits films de saint François d'Assise et écoutez-les, écoutez-les, écoutez-les. Quand vous serez tannés, bien, vous fermerez la télévision.»

Le Seigneur sait que nous avons eu un lavage de cerveau. Nous avons besoin de lui, nous avons besoin des enseignements de Jésus, nous avons besoin d'écouter notre intérieur. Eh bien, moi, lorsque j'ai besoin de regarder, bien je regarde la Fille du Oui à Jésus. Alors là, des fois, Seigneur… Vous savez, j'ai besoin comme vous de regarder ou d'écouter; de lire, ça, je n'ai pas le temps, mais dans l'auto, je peux écouter, ou en faisant ma vaisselle, parce qu'il faut que je fasse ma vaisselle, hein, il faut que je mange. Là, je peux regarder un tout petit peu un enseignement parce que c'est beau répéter, mais je ne sais pas plus que vous l'ensemble, alors il faut que j'écoute moi aussi.

Savez-vous que je n'ai jamais relu les livres? Je n'ai pas le temps, mais la joie que j'ai, par contre, d'écouter lorsque je conduis mon auto, de chez moi à aller à mon chalet, j'ai quoi, une heure et quart, oh là, j'en profite!

Q. Par exemple, que faire avec nos jeunes qui ont tous ces jeux vidéo et qui parfois sont violents et même sataniques?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Donne causes, choix, conséquences. Le Ciel nous donne des moyens pour agir.

Q. Lesquels?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Prononcer.

R : Prononcer!

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : "Je te donne causes, choix et conséquences." Vous savez, Dieu nous donne tellement de quoi de simple qu'on dit : "Bien, voyons donc, donne causes, choix et conséquences!" Est-ce que toi, tu l'as fait Martine?

Martine : Bien sûr!

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que tu as vu?

Martine : Oui, absolument, et maintenant, j'ai la paix. Parce qu'en le disant ça donne une paix et c'est magnifique. On ne s'occupe plus de rien et c'est simple. Et on sait qu'on guérit, non seulement qu'il nous protège, mais tous ceux qu'on porte en soi, ça, c'est extraordinaire, ça donne des ailes.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, alors… Quelle heure est-il? Il est cinq heures, hein. Si on se levait et si on allait manger.