Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Berlin, New Hampshire,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2006-06-14 – P.M.   Partie 2

 

Jésus : Enfants de ma Volonté, chacun de vous, vous devez répondre à Dieu : «M’aimez-vous, mes enfants?» Je n’ai rien entendu, mes enfants.

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Ce que vous êtes prêts à donner, êtes-vous prêts à le donner pour ceux que vous portez en vous?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Êtes-vous prêts à être l’Église?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Sans condition, êtes-vous prêts à porter les souffrances?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Êtes-vous prêts à suivre les pas du Christ?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Enfants d’amour, j’ai porté vos croix, j’ai porté les croix de vos parents; je vais vous apprendre à porter les croix de vos enfants, sans un mot, sans un regard vers eux qui pourraient leur faire voir que vous êtes en souffrance.

Lorsque je parle, mes enfants, de vos enfants, je parle aussi de tous les enfants du monde; regarder vos enfants, c’est regarder mes enfants; je ne fais pas de distinction entre vous, entre vos enfants et entre eux : vous êtes à moi.

Je vous ai donné ma Vie, je veux que vous donniez votre vie pour tous les enfants du monde.

Soyez des êtres d’amour sincères avec vous-mêmes : vous deviendrez des êtres aimants.

Lorsque vous reconnaissez vos souffrances face à vos enfants, vous reconnaissez que vous êtes faibles devant ce qu’ils vous présentent.

Lorsqu’ils viennent à vous en vous disant qu’ils ont perdu un emploi; lorsqu’ils viennent à vous, vous disant qu’ils ont quitté leur épouse ou leur époux; lorsqu’ils viennent à vous et qu’ils vous disent : "je n’ai pas été fidèle à Dieu", "je viens de commettre un vol"; lorsque vous regardez vos enfants qui viennent à vous, vous dire : "je ne veux plus vivre, je n’ai plus confiance en la vie, je ne veux plus croire, tout ce que tu as dit, je n’en veux plus" : êtes-vous prêts à aimer ce qu’ils sont dans leurs souffrances, en gardant votre paix, en donnant à Dieu ce que vous venez de voir et d’entendre, en donnant à Dieu ce que vous venez de ressentir?

C’est cela aimer sans condition; c’est avoir confiance en Dieu le Père, c’est avoir confiance que Dieu le Père nourrit quotidiennement ses enfants, c’est aimer sans un seul reproche, c’est aimer sans couvrir votre enfant de votre surprotection, c’est aimer sans contrôler, c’est découvrir qu’il est enfant de Dieu, qu’il vous a été confié par Dieu et que Dieu a regard sur lui.

Voyez-vous, mes enfants d’amour, c’est ce que moi je suis pour vous, c’est ce que je veux que vous soyez pour vos enfants : un amour qui n’exige pas, un amour qui ne contrôle pas, un amour qui fait confiance en Dieu, pas un amour qui fait confiance en la volonté humaine, mais un amour qui fait confiance en Dieu, seulement en Dieu, en la Volonté de Dieu.

Apprendre à aimer ainsi, c’est découvrir la paix, la joie, c’est montrer un visage de confiance, c’est montrer un visage de Dieu.

C’est ce que vous devez être, mes enfants, et c’est ce que je veux vous faire découvrir en vous.

Tout enfant est venu par mon Père et non par vous; vous avez donné votre oui pour le mouvement de l’amour et Dieu a accompli; rien n’est venu de vous, mais que votre oui.

Tout se fait par l’amour de Dieu; voilà pourquoi je veux que vous aimiez vos enfants comme moi je les aime et comme je vous aime.

Vous allez porter la croix de vos enfants en me la donnant, en me donnant toutes les causes de leurs souffrances et les conséquences que cela a dans leur vie; vous allez en ressentir les bienfaits, vous allez être dans mon mouvement de vie pour eux; ils ont besoin de vous, ils ont besoin de croire en Dieu, ils ont besoin de voir Dieu sur votre visage.

Vos paroles, mes enfants, ne peuvent porter parce qu’elles ont porté votre volonté humaine; tout ce qu’elles ont amené à vos enfants, ce sont des interrogations, ce sont des éloignements.

Vos paroles mes enfants, ont fait en sorte que vos enfants s’interrogent sur ce que vous disiez; vous parliez d’amour, vous parliez de confiance et vous n’étiez pas amour, vous n’étiez pas dans la confiance.

Alors, ils se sont posé ces questions : "Pourquoi, pourquoi ne sont-ils pas ce qu’ils disent?" et cela les a éloignés parce que ce qu’ils avaient comme réponse n’était pas ce qu’ils voulaient entendre; ils voulaient entendre l’amour, ils voulaient entendre la confiance : "Prouve-moi que ce que tu dis est vrai".

Voyez-vous, vous n’avez pu démontrer à vos enfants que vous étiez l’amour de Dieu, que vous aviez confiance en ce que Dieu avait déposé en vous; cela a fait de vous des êtres de souffrances face à eux.

Alors, ils ont reconnu la souffrance : cette souffrance était ce qu’ils étaient; ils ont reçu la souffrance et ils vous ont donné la souffrance, car ce que vous donniez, vous le receviez.

Maintenant, mes amours, je veux vous montrer l’amour en vous, la confiance en vous, afin qu'eux reçoivent; eux vont recevoir l’amour de Dieu et ils vont avoir confiance en l’amour de Dieu; tout cela se fera par moi et non pas par vous.

Laissez-vous guérir, mes enfants, par ces paroles : en ce moment même je prends votre manque de confiance en Dieu.

Dites-moi oui; donnez-moi la cause de votre manque de confiance à l’instant même; donnez-moi les conséquences que cela a eues dans votre vie; donnez-moi les conséquences que cela a eues en l’Église : toute l’Église va ressentir un mouvement de confiance, et cela sera fait par moi.

Je vais changer la face de la terre par des mouvements d’amour; cela se fera par vous, mes enfants, vous qui entendez, vous qui acceptez, vous qui ne cherchez pas à comprendre avec votre volonté humaine, mais à vous donner.

Voyez-vous, vous n’êtes plus, vous êtes moi, vous acceptez de mourir en moi; je prends tout de vous, tout ce que vous venez de consentir à me donner : la conséquence de votre manque de foi et les conséquences que cela a eues.

Je suis, moi, le Fils de Dieu, et je parle en vous, j’agis en vous; je guéris présentement des blessures, mes enfants, qui ont blessé votre chair.

C’est cela, mes enfants, qui a fait que vous avez manqué de confiance en Dieu, et c’est cela, mes enfants, qui a fait que votre âme a souffert, c’est cela qui vous a fait tomber si souvent dans le péché : je veux guérir ce qui est en vous et qui est inconnu de vous-mêmes.

Il y a tant de blessures, mes enfants, causées par vos choix; le péché vous a fait faire des mauvais choix : à moi de tout prendre.

Vous n’avez pas à savoir ce que l’Église a souffert, car vous ne connaissez pas toutes les souffrances de l’Église; cela a débuté, mes enfants, depuis la désobéissance de vos premiers parents, et cela s’est multiplié jusqu’à aujourd’hui.

Moi, je suis Dieu, je suis l’Église, je suis la Tête de l’Église; moi j’ai tout vu, moi j’ai tout entendu, j’ai tout pris, j’ai tout offert, afin que l’Église soit dans le mouvement éternel.

Aucun enfant n’a vécu ce que j’ai vécu, il n’y a que le Fils de Dieu qui ait connu tout mouvement; la Mère de Dieu a participé à ce que le Fils a accepté.

Ma Mère est la Mère de l’Église; elle a ouvert une porte en vous, vous montrant que vous deviez avancer pour découvrir votre présence en l’Église éternelle.

Je vous ai pris en moi, je vous ai amenés là où vous êtes maintenant : vous vivez le présent dans le Mouvement éternel.

En ce moment, mes enfants, vous acceptez des guérisons; en ce moment, l’Église ressent ce mouvement de guérisons.

D’autres mouvements de guérisons devront être connus en l’Église, et cela va continuer, mes enfants, jusqu’au moment où mon Père, dans un mouvement d’amour, par la puissance du Saint-Esprit, vous fera entrer en vous.

Tout ce que vous êtes, mes enfants, tout ce que vous acceptez d’être présentement en moi vous ser(ont) montrés; il faut continuer ce qui est déjà commencé; ce mouvement est un mouvement en mon Église.

Je suis la Parole, je suis la Vie, et ma Parole est éternelle, ma Parole est 'guérissante', elle vous emmène à vous reconnaître aimés de mon Père.

Recevez ces grâces, mes enfants, pour vous; recevez ces grâces, mes enfants, pour l’Église entière, tout est pour vous : vrai.

Celui qui croit verra sa gloire, celui qui prononce son oui comme un enfant verra sa gloire, vivra sa gloire : telle est la Volonté de Dieu.

Dieu appelle tous les enfants à vivre leur gloire; voilà pourquoi je vous demande, mes enfants, d’avancer avec la croix : cela ne se fera pas sans connaître les souffrances de la croix.

Moi, mes enfants d’amour, j’ai pris toutes vos souffrances afin que vous puissiez avancer; je vous couvre de mes grâces d’amour, de force, de foi, de mes grâces de persévérance, de mes grâces d’abandon.

Là est le chemin que vous devez suivre, et vos souffrances, mes enfants, seront des joies pour vous, car vous avez le regard de Dieu; vous avez la foi en Dieu, parce que c’est Dieu qui vit en vous et vous en moi.

Tout cela est un rappel de ce que vous savez, vous qui avez voulu donner votre oui à l’Amour.

Priez ma Mère, mes enfants, ne cessez pas de dire votre chapelet; méditez les mystères de la Vie éternelle, cela vous rappelle que vous êtes dans la Vie éternelle comme des tout petits enfants.

Mes enfants, aimez-vous que je vous parle par histoire? En voulez-vous une histoire, mes enfants?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : «Un jour, un tout petit enfant a regardé le ciel; il le trouvait très grand le ciel, il leva le bras pour calculer la distance; il se dit : "Combien de bras me faudra-t-il pour atteindre le ciel?" Mais il s’arrêta bien vite; alors, il se dit : "C'est impossible".

Mais il prit un papier, il dessina le ciel, il dessina un enfant au bas de la page, le bras levé vers le ciel; il y dessina une main, une main ouverte qui était juste sous le ciel; la main était grande, la main était ouverte, car il avait imaginé la main de Dieu le Père.

Il était très content de son dessin, car il disait : "Si, moi, je ne connais pas le nombre de bras qu’il me faut pour atteindre le ciel, Dieu le Père, lui, le sait; alors, je vais toujours me rappeler de sa main sur moi, afin que je puisse ne jamais oublier qu’il est là pour moi."

Alors, il partit et il suivit son chemin, et tout le long de son chemin il disait une prière : "Je suis petit, je suis petit, je suis petit; j’aime, j’aime, j’aime; Dieu, Dieu, Dieu; moi, moi, moi; dans ta main, dans ta main, dans ta main; par amour, par amour, par amour".

Alors, il arrêta de dire cette prière; il s’était aperçu qu’il avait répété trois fois chaque mot; il s’étonna qu’il (eût) dit trois fois chaque mot : "Pourquoi cela est monté en moi, qu’est-ce qu’il a fait que j’ai dit trois fois chaque mot et que cela venait de moi?"

Il ne s’était pas aperçu que ce n’était pas lui qui avait prié, mais c’était une voix en lui : la voix de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit; Dieu prenait tout ce qu’il était et il vivait la vie du petit enfant.

Tout cela, il ne pouvait pas le comprendre, mais il était heureux, heureux de sa prière; il ne cherchait pas à savoir pourquoi cet écho en lui parce qu’il se souvenait de la main; le petit enfant était entre les mains de Dieu pour aller au Ciel : ainsi était sa vie.

Un jour, il rencontra un vieillard et le vieillard se pencha sur l’enfant, et dit : "Où tu vas?" L’enfant lui dit : "Mais je vais au Ciel!"

Le vieillard lui dit : "Comment sais-tu que tu vas aller au Ciel?" "C’est parce que Dieu le Père le veut". Alors, le vieillard lui dit : "Comment sais-tu que Dieu le Père veut cela?"

"Mais, c’est parce qu'il a fait un Ciel". Le vieillard regarda le ciel et ne comprenait pas ce que l’enfant voulait dire : "Mais voyons, le Ciel, c’est au-dessus de ta tête". 

Alors, le petit garçon dit : "Je le sais, mais qui a fait ce chapeau au-dessus de ma tête?" Alors, le vieillard lui dit : "Mais, c’est le ciel, ce n’est pas un chapeau"; le petit garçon lui dit : "Qui te dit que c’est le ciel et que ce n’est pas un chapeau?"

Le vieillard lui dit : "Ah ben, je le sais"; le petit garçon lui dit : "Alors, pourquoi ne crois-tu pas à ce que tu sais? Tu viens de dire que le Ciel est le Ciel et tu ne crois pas au Ciel."

Le petit avait reconnu que le vieillard avait perdu son cœur d’enfant; alors, il sortit un papier de sa poche et le lui montra; le vieillard prit le papier, il l’ouvrit et il vit un dessin : il vit un enfant le bras levé vers le ciel, il vit le Ciel et il vit la main.

Alors, le vieillard regarda l’enfant et lui dit : "Je veux avoir un cœur comme toi"; et l’enfant lui dit : "Il est en toi ce cœur"; il lui prit la main et lui dit : "Avançons ensemble et marchons vers le Ciel."

Et le vieillard marcha avec l’enfant, ils se souriaient et ils étaient heureux; il avait reçu le cœur de l’enfant et le vieillard avait donné son cœur à l’enfant, car ce qu’il avait vu dans les yeux de l’enfant c’était les yeux de Dieu, la confiance de Dieu : toute sa vie venait de renaître.»

Voyez-vous, mes enfants d’amour, ce que vous êtes, c’est cet enfant dans un corps qui a vieilli, qui a porté les conséquences du péché.

Dieu, mon Père, m’a envoyé vers vous afin que croyiez, afin que vous ayez confiance en lui.

Ayez confiance en mon Père, il va vous accueillir à la Maison, vous êtes ses enfants : une vie d’amour est devant vous.

Marchez comme un enfant, dans la main, avec tous les enfants du monde; faites confiance à mon Père, il sait ce qu’il fait pour vous.

Vous êtes la vie, et je suis la Vie; vous êtes à moi, et je me donne à vous; je suis le Chemin, et je vous conduis à la Maison du Père.

Tout est pour vous, mes enfants; soyez amour pour vous.

Je vous aime.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus d’amour nous accorde beaucoup de grâces en ces temps-ci; il nous amène là où, nous, on n'était pas capable d’aller : au plus profond de nous-mêmes.

Ce n’est seulement qu’en étant un enfant que nous entrons en nous, et lorsqu’on laisse toute la place à l’enfant que nous sommes, là nous avançons : nous avançons vers la Terre Promise.

Tout est pour nous mouvement d’amour en Jésus, en l’Église.

Lorsque nous souffrons à l’extérieur de nous, alors nous avons à l’intérieur de nous ce qui nous a été donné pour qu’on reprenne courage, pour qu’on puisse avancer.

C’est vrai que nous voyons beaucoup de maladies; on voit des personnes mourir autour de nous, mais lorsqu'on a le cœur d’un enfant, on sait qu’il s’en va à la Maison, que la personne qui est malade est en train de recevoir des grâces de Dieu le Père pour avancer; alors, nous devons avancer avec.

Si on regarde un enfant qui est malade, qu’on regarde une personne âgée qui est malade, et que nous manquons de foi en les grâces de notre Père du Ciel qui prend soin d’eux, bien, nous nous conduisons comme un être qui manque de foi en Dieu le Père.

Ne croyez pas que Dieu le Père ne connaît pas la conséquence de cette maladie pour nous; ne croyez pas que Dieu le Père ne connaît pas la cause de cette maladie : il sait tout ça, il nous laisse vivre dans nos choix.

Ce sont nos choix qui ont rendu malades les êtres que nous aimons, ce sont leurs choix qui les ont rendus malades, devons-nous nous séparer de ce qu’ils ont choisi? Devons-nous tourner notre regard de nos propres choix? Nous devons continuer, nous devons faire confiance en Dieu.

Il nous a donné son Fils et son Fils a pris tout en lui : cause et conséquences; alors, nous devons poursuivre notre chemin en sachant que Dieu le Père a connu tout ce que nous étions pour connaître; nous devons toujours savoir que Dieu le Père a donné les grâces nécessaires pour avancer.

Pas un seul instant Dieu le Père n’a pas regardé ses enfants; mais nous, à cause de la souffrance de notre chair, notre regard est porté vers nous-mêmes, notre regard est porté vers les êtres qui souffrent, alors qu’ils devraient être portés vers Dieu.

Lorsque nous nous regardons, lorsque nous regardons les autres, nous voyons les conséquences de nos choix, et nous regardons les conséquences des choix des autres : c’est la souffrance.

Alors, nous avons de la difficulté à accepter tout cela; nous voulons que ça arrête, nous ne pensons pas à ce que Dieu a déposé en chacun de nous pour eux, et nous ne pensons pas à toutes les grâces qu’ils ont reçues pour nous : Dieu ne néglige aucun mouvement.

La force est en nous, la foi est en nous; nous devons avoir confiance en Dieu le Père, c’est le Dieu tout-puissant, c’est le même qui a mis le feu aux offrandes d’Élie; il n’a pas changé, cette puissance n’est pas diminuée.

Croyez-vous que les personnes qui croyaient en Baal plutôt qu’en Dieu le tout-puissant n’étaient pas dans la souffrance? Ils (les êtres) voulaient connaître ce qui arrêterait leurs souffrances, qui les dirigeraient à travers leurs souffrances, et ils étaient prêts à croire à la volonté humaine qui souffrait.

Et Dieu les a regardés, il leur a envoyé Élie, mais par amour.

Ils acceptaient, ces personnes, de voir ce que Dieu était pour faire; il y avait à l’intérieur d’eux un mouvement de foi.

Lorsqu’ils se sont arrêtés devant leur échec, ils étaient déçus que leur Dieu ne leur donne pas ce qu’ils attendaient, mais ils ont quand même tourné leur regard vers l’offrande donnée à Dieu sans savoir le résultat : ils voulaient voir.

C’est parce qu'à l’intérieur d’eux il y avait une étincelle d’amour de Dieu pour eux, ils voulaient voir ce que Dieu était pour faire; ils n’ont pas été indifférents, car lorsqu'ils ont vu ce que Dieu (avait) fait, ils ont été dans la joie.

Il fallait qu’il y ait une flamme avant qu’ils connaissent la joie, il fallait qu’il y ait un mouvement pour qu’ils ressentent cette flamme en eux; cela est venu de l’extérieur d’eux pour les faire avancer là où Dieu voulait qu’ils avancent.

Eh bien, ce sont des enfants créés par Dieu; Dieu leur a montré ce qu’il était capable de faire; nous, nous ne voyons pas ce qui se passe à l’intérieur de nous; il y a une flamme à l’intérieur de nous, elle est nourrie de Dieu; c’est celle qui était en eux, allumée par Dieu, pour nous emmener là où nous sommes : croire à un Dieu qu’on ne voit pas, mais qui est là.

Voyez-vous, chaque mouvement nous a amenés à croire en Dieu; nous vivons le présent tout comme eux ont vécu le présent; nous sommes présents pour Dieu le Père tout comme eux étaient présents pour Dieu le Père.

Chaque mouvement nous apprend que nous sommes ici pour Dieu le Père; alors, nous devons vivre notre présent dans le mouvement de la purification qui est en nous; tout sera en nous jusqu’à son plein accomplissement et lorsque tout sera accompli, nous regarderons ce que Dieu a fait de nous : des êtres parfaits.

En attendant, portons la croix.

Merci.