Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Bois-des-Filion, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2007-03-03

 

La Fille du Oui à Jésus dans le Saint-Esprit : C’est le Saint-Esprit qui parle à travers moi; les mots que je vais répéter ne sont connus de personne en ce moment, ni de moi, ni de vous-mêmes, mais ces mots nous appartiennent, ils sortent directement de notre cœur.

C’est le Saint-Esprit qui veut que nous entendions et que nous comprenions ce que Dieu met en nous, et cela depuis notre naissance; ce n’est pas seulement qu’aujourd’hui, c’est depuis toujours, depuis que l’être humain a été créé par Dieu le Père.

Nous venons de Dieu le Père, nous devons aller vers Dieu le Père; alors, nous avons reçu tout ce qui nous était nécessaire pour aller vers lui, mais à cause du péché, nous n’avons plus entendu, nous n’avons plus compris ce qu’il attendait de nous, mais avec les grâces, avec les grâces quelquefois on a de la lumière : ce qui nous fait entendre et comprendre.

Mais ne nous étonnons pas d’entendre toujours des mots d’amour de Dieu : ce sont des mots qui guérissent, ce sont des mots qui nous rappellent que nous sommes aimés de Dieu, que nous sommes les choisis de Dieu.

Chaque mot qui nous parle d’amour, chaque mot qui nous rappelle que nous sommes aimés de Dieu le Père parce qu’il nous a envoyé son Fils, eh bien, ça libère, ça guérit : nous acceptons ce qui vient du Ciel, cela porte des fruits.

Ça ne doit pas tomber sur un chemin sec, à travers les roches, ça doit tomber à l’intérieur de nous, là où il y a notre âme, là où elle doit avoir les grâces de Dieu pour comprendre, pour nous faire entendre : c’est par l’âme que nous entendons, c’est par l’âme que nous comprenons.

L’âme est nourrie de Jésus, et par la puissance du Saint-Esprit, nous voyons et nous comprenons : cela n’est pas différent de ce qui s’est passé à la Pentecôte.

À la Pentecôte, les apôtres ont compris et ont entendu ce qui leur avait été dévoilé par Jésus pendant trois ans : trois ans à entendre, trois ans à essayer de comprendre, mais par la puissance du Saint-Esprit, en un instant, tout se fit parce que c’est l’âme qui a absorbé tout ce qui était du Fils, et par la puissance du Saint-Esprit tout est remonté à la surface, à l’esprit.

Nous avons un esprit; l’esprit est fait pour comprendre, l’esprit est fait pour entendre, mais bien souvent notre esprit a suivi un chemin : l’esprit du monde.

Et lorsque notre esprit suit l’esprit du monde, (il) est sourd, il est aveugle, il ne peut entendre et comprendre : il a fixé son regard, son écoute, ses paroles, ses actions, ses sentiments vers un monde extérieur qui nourrit ce que nous sommes.

Alors, ce que nous recevons, c’est une nourriture qui ne porte pas de grâces, donc notre âme ne reçoit pas les grâces qu’elle devrait recevoir pour laisser monter à nous-mêmes ce qui nous est nécessaire, alors nous nous sommes appauvris par ce monde et ce sont des choix que nous avons faits.

C’est nous-mêmes qui choisissons d’écouter ce monde, de regarder ce monde, de parler comme ce monde, d’agir comme ce monde, de ressentir ce que ce monde ressent, mais tout cela, nous avons le choix de l’interrompre maintenant que nous savons.

Dieu, en ce moment même, est en train de préparer les enfants de Dieu à regarder avec l’âme, à entendre avec l’âme, à parler le langage de l’amour qui est l’âme, à réagir : oui, faire des actions par l’Amour, pour l’Amour, avec l’Amour, afin de ressentir ce que notre âme ressent lorsqu’elle est en présence même de son Dieu.

Notre extérieur est en train de se préparer à vivre ce mouvement d’amour, car Dieu dit que notre extérieur va pénétrer à l’intérieur par la puissance du Saint-Esprit.

Comment se fait-il que nous qui sommes évolués, qui vivons dans un monde moderne où on nous apprend une technologie, où tout nous est permis, tout nous est ouvert : on pèse sur un bouton et on entend quelqu’un dans un autre pays, on pèse sur un autre bouton, on entend une personne qui n’est pas en notre présence, mais qu’on va entendre son message, on pèse sur un bouton, et tout nous apparaît en avant d’un écran, on est instruit par la technologie : elle pense pour nous, elle réagit pour nous, elle nous dit de pas nous inquiéter, elle nous fait avancer, elle nous donne tout ce qui nous est nécessaire pour pouvoir être des gens bien dans ce monde, eh bien, malgré toute cette évolution, si nous regardons ce que nous sommes, nous allons découvrir des gens qui se sont laissé prendre par un monde qui ne s’occupe pas de notre intérieur, mais que de notre extérieur.

Malgré tout cela, malgré tout ce que nous savons à cause de la technologie, eh bien, dites-vous que Dieu est plus puissant que ça; par sa toute-puissance, il va nous faire entrer à l’intérieur de nous, et cela se fera en un instant.

Lorsque les apôtres étaient réunis avec la Mère de Dieu au Cénacle, ils vivaient parmi un monde, un monde qui avait peur, parmi un monde dominateur où il y avait beaucoup de violence, où l’esclavage était de mode; alors, ne nous trompons pas, si eux avaient peur, nous avons peur, nous avons peur d’affirmer notre foi : "Qu’est-ce que les autres vont dire? Qu’est-ce qu’on va penser de nous-mêmes?"

Et en ce qui concerne l’esclavage, ce monde d’aujourd’hui nous a mis esclaves des besoins de ce monde : nous sommes esclaves des besoins de ce monde.

Si nous pensons à tout ce que nous voulons obtenir, n’est-ce pas parce qu'on nous a mis des besoins : des besoins d’avoir une maison, d’avoir une situation, d’avoir un bon compte en banque, d’espérer que nos enfants aient un avenir : bonnes études, un bon salaire, eux autres aussi avoir une maison? Eh bien, nous sommes esclaves de l’esprit de ce monde : il gère ce que nous sommes, même dans notre maison privée.

Nous n’avons plus de vie privée, car ce monde d’aujourd’hui a fait en sorte de connaître tout de nous-mêmes, absolument tout.

Il sait l’heure que nous sortons de notre maison et l’heure que nous rentrons à la maison; il sait ce qu’il y a dans notre coffre en banque ou en caisse; il sait si nous travaillons ou ne travaillons pas; il sait si nous sommes à la retraite ou ne le sommes pas; combien d’enfants nous avons; si nous sommes en santé ou non : voyez-vous, nous sommes esclaves, nous ne sommes pas libres, alors nous restons emprisonnés dans une vie.

Les apôtres se sont réunis afin d’attendre : ils attendaient, ils attendaient ce que Jésus, le Maître, leur avait dit, alors ils attendaient avec Maman Marie ce moment.

Ils ne savaient pas trop, trop, comment était pour arriver ce moment, où était pour arriver ce moment; tout ce qu’ils savaient, c'était à l’intérieur d’eux : ils avaient besoin de se réunir ensemble, ils avaient besoin de prier ensemble; ils attendaient avec foi ce qui devait venir parce que Jésus leur avait demandé.

Nous, nous savons qu’il va arriver quelque chose; nous voyons les événements à l’extérieur; nous avons eu des messages depuis plusieurs années nous prévenant de ce que nous vivons : regardons à l’extérieur, nous voyons très bien ce qui se passe, les signes sont là; les signes autour de nous parlent et nous les comprenons.

Maman Marie apparaît et nous savons qu’elle nous prépare; elle nous donne des grâces de force, des grâces de paix; elle nous donne des grâces de lumière, d’abandon entre les mains de son Fils pour aller à son Fils afin que nous puissions comprendre qu’il faut être prêts pour ce qui vient : il n’y a pas de différence.

Le moment est venu où nous nous réunissons tous par petits groupes pour entendre ce qu’il y a à l’intérieur de nous : toutes paroles en ce moment même, c’est un souffle, un souffle d’espérance.

Nous avons besoin de ce souffle qui nous rappelle que nous sommes vivants, que nous sommes appelés à vivre un événement unique sur la terre, unique : il n’y en aura pas un deuxième comme il se prépar(e).

Les apôtres, qui étaient réunis avec la Mère de Dieu, nous ont préparés à vivre ce que nous allons vivre; ils nous ont parlé de la Parole de Jésus, ils nous ont décrit la Vie de Jésus afin que nous puissions avancer dans la foi en tant qu’enfants de Dieu.

Les enseignements de Jésus, ce sont des enseignements d’amour, des enseignements de foi, d’espérance : nous devons nous conduire comme Jésus nous l’a demandé devant son Père, nous devons nous conduire comme Jésus nous a demandé devant nos frères et nos sœurs : en êtres d’amour.

Lorsque nous nous conduisons en êtres d’amour, nous nous conduisons bien envers nous-mêmes : nous ne pouvons nous conduire bien envers nos frères et nos sœurs que si nous nous conduisons bien envers nous-mêmes.

Comprenons qu’il est important de nous conduire comme Jésus veut que nous nous conduisions pour être prêts pour ce qui vient : ce qui vient est important pour nous.

Il est vrai que nous allons rentrer à l’intérieur de nous-mêmes, nous allons voir notre vie : toutes nos pensées, nos regards, notre écoute, nos actions, tout ce que nous avons consenti à ressentir; mais si nous nous préparons à tout cela avec amour, avec sincérité envers nous-mêmes, nous ne souffrirons pas, nous allons être amour pour nous-mêmes.

 

Jésus : Êtes-vous prêts à être amour pour vous-mêmes?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Êtes-vous prêts à vous regarder tels que vous êtes?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Alors, je vais vous poser une question : «Si vous regardez votre voisin au côté, et que vous voyez au bout de son nez un bouton, êtes-vous prêts à lui dire qu’il a un beau nez ou qu’elle a un beau nez? Est-ce que vous êtes prêts à regarder votre voisin comme un être d’amour, alors qu’il vient de vous dire que vous le dérangez? Êtes-vous prêts à regarder l’Église, votre prêtre, qui vient de dire que l’enfer n’existe pas, alors que vous savez que l’enfer existe? Êtes-vous prêts à l’aimer sans condition, à ne pas parler de ce qu’il vient de dire aux autres, mais de prier, de le donner à Jésus, de l’envelopper du manteau de Marie? Êtes-vous prêts le soir de vous regarder devant votre miroir et dire : "Je suis enfant de Dieu et je n’ai rien à me reprocher, absolument rien à me reprocher?"»

Voyez-vous, nous ne sommes pas prêts encore, mais nous avançons, nous avançons tranquillement avec ce que nous sommes.

Jésus ne vient pas parler dans nos cœurs pour nous dire que nous sommes parfaits, Jésus ne vient pas parler dans nos cœurs pour nous dire que nous avons fini notre purification, Jésus ne vient pas parler dans nos cœurs pour nous dire que nous sommes enfants fidèles à l’Église en tout; Jésus vient dire : «Aime-toi, aime-toi comme je t’aime, prends patience.»

Regardons les apôtres : les apôtres pendant trois ans ont suivi Jésus, pas à pas, jour et nuit, et pourtant, au moment où Jésus a été pris pour être jugé, ils ont fui, ils ont délaissé Jésus, même Pierre a renié Jésus.

Serions-nous plus parfaits que les apôtres? Non, nous ne sommes pas plus parfaits que les apôtres.

Eux nous ont aidés à être ce que nous sommes, eux nous ont aidés à comprendre que nous devons avancer malgré nos défauts, nos refus, parce que lorsque le Saint-Esprit leur a fait comprendre, leur a fait voir : ils ont sorti tout ce qu’il y avait à l’intérieur d’eux pour nous.

Alors, c’est ce que Dieu attend de nous-mêmes : Dieu est en train de nous montrer ce que nous allons dire, ce que nous allons faire pour les autres.

Des tous petits groupes se réunissent pour entendre parler l’amour de Dieu, pour entendre parler la Volonté de Dieu pour les autres, pour nous-mêmes, mais (aussi) pour les autres : nous sommes tous appelés à donner de nous-mêmes.

Lorsque le moment sera venu, nous sortirons et nous parlerons; lorsque le moment sera venu, beaucoup voudront entendre parce qu’ils auront été devant le signe de l’Amour.

Un grand signe va se laisser voir par les enfants de Dieu, tous verront ce signe, plusieurs se demanderont : "Qu’est-ce que ce signe signifie? Pourquoi ce signe nous apparaît?"

Ils voudront avoir des réponses à ces questions, alors nous serons préparés; nous serons préparés à répondre par la puissance du Saint-Esprit à leurs questions : tout se fera comme Dieu le veut.

Mais pour parler, il faut que nous-mêmes nous soyons prêts, il faut que nous-mêmes nous entendions et comprenions la lumière de Dieu : pour entendre et comprendre la lumière de Dieu, il faut être soi-même lumière.

Nous ne pouvons parler de la lumière que si nous connaissons la lumière; on ne parle pas de ce que nous ne connaissons pas, car nos paroles seront des paroles de la volonté humaine et la volonté humaine ne peut atteindre l’intérieur, elle reste à l’extérieur, et lorsque ça rentre à l’intérieur par la volonté humaine, ça frappe toujours un mur, l’autre volonté humaine : il n’y a rien de bon qui se laisse prévoir.

Voilà pourquoi nous devons nous laisser envelopper de la puissance du Saint-Esprit, afin que nous puissions être des êtres de lumière.

Les moments où nous nous réunissons sont importants, très importants : nous nous laissons guérir, nous nous laissons libérer, mais de quoi? De tout ce que nous avons laissé pénétrer en nous : en nous, il y a eu des mouvements, en nous il y a des mouvements et en nous il y aura des mouvements.

Dieu nous parle de la Grande Purification : la Grande Purification est mouvement d’amour, est mouvement de révélation.

La Grande Purification est un mouvement où tous seront un seul membre : un membre d’amour, un membre de lumière; la Grande Purification est pour chacun de nous : individuellement.

Comprenons : la purification en ce moment se fait par nous-mêmes, par la puissance du Saint-Esprit tout remonte de l’intérieur à nous-mêmes; lorsque, à l’intérieur de nous, il y a des mouvements que nous avons laissé pénétrer, soit par nos yeux, notre écoute, nos paroles, nos gestes, nos émotions qui sont en nous, mais qui étaient de l’extérieur et que nous avons laissé pénétrer à l’intérieur de nous, lorsque tout cela remonte à la surface, par la puissance de Dieu : nous donnons.

Donnons un exemple.

 

Jésus : "Un jour, un être se penche et il regarde, il regarde par terre : il y voit une roche; alors, il se penche et prend la roche dans ses mains.

La roche semblait légère, alors il la garde : il la garde dans sa main; au bout de quelque temps, il semblait que la roche prenait de la pesanteur, mais il décide de la garder encore dans sa main.

Et le temps avance, le temps avance et la roche devient de plus en plus lourde, et il décide encore de laisser la roche dans sa main et là, la main devient très lourde.

Il sent une lourdeur dans sa main, mais il décide toujours de garder la roche dans sa main, et cette lourdeur dans sa main monte jusqu’au coude.

Après avoir décidé de garder la roche dans sa main, la douleur monte; oui, il y a maintenant douleur jusqu’à l’épaule; il continue, il ne veut pas lâcher la roche."

Eh bien, c’est ainsi, petits enfants d’amour, lorsque vous avez devant vous quelque chose qui semble être dur, dur pour vous-mêmes, quelque chose qui enlève votre paix, quelque chose qui vous inquiète et que vous décidez de le garder pour vous, alors que sachant que ce quelque chose est dur, inquiétant, et que vous prenez le choix de le garder malgré ce que vous venez de ressentir : cela pénètre en vous.

Si vous continuez encore durant la journée à penser à ce qui vous inquiète, vous sentez en vous une lourdeur, une inquiétude qui vous envahit, alors vous pénétrez cela encore plus profondément en vous jusqu’au moment où vous oubliez que cela est en vous; mais vous continuez, vous continuez, et cela vous accable au point que vous en tombez malades : c’est que vous avez, vous-mêmes, causé la cause de votre maladie.

Vous aviez devant vous quelque chose qui vous semblait ne pas être bon pour vous; vous saviez que ce qui était devant vous était inquiétant, qui était lourd dans votre vie et pourtant vous l’avez accepté : c’est vos choix.

Vous avez choisi vous-mêmes de vivre ce qui était lourd, dur pour vous, et vous avez continué dans votre vie ainsi, et cela s’est répété, s’est répété, s’est répété, parce qu’à l’intérieur de vous, cela était entré, et vous avez vécu les conséquences de ce que vous aviez accepté.

Voyez-vous, votre vie est ainsi, mes enfants : vous avez vécu les conséquences du péché.

Tout péché, mes enfants, est contre Dieu; tout péché, mes enfants, est contre votre amour; tout péché, mes enfants, est contre l’amour du prochain; tout ce qui vous enlève la paix n’est pas bon pour vous, tout ce qui vous inquiète, vous fait peur, n’est pas bon pour vous.

D’où cela vient la peur, d’où vient l’inquiétude si ce n’est que du péché? Vous vivez les conséquences et ces conséquences vous amènent à vivre dans la lourdeur de votre vie.

Petits enfants d’amour, vous sentez-vous lourds?

 

Tous : Oui.

 

Jésus : Alors, Dieu est tout amour, il va vous donner un moment de repos.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.

 

Jésus : Petits enfants d’amour, il y a en vous tant de mouvements qui se sont logés, et cela depuis si longtemps.

Si je vous disais, mes enfants, que le premier mouvement qui s’est logé en vous est celui d’Adam et Ève, et que d’autres se sont rajoutés : tout cela, mes enfants, est vivant.

Voyez-vous, tout mouvement qui vous apporte à réfléchir, tout mouvement qui vous apporte à regarder, à écouter, à agir, à ressentir, est vivant : cela peut vous apporter le bien ou cela peut vous apporter le mal.

À cause de votre volonté humaine, vous avez vécu à l’intérieur de tout ça; vous ne pouvez calculer ce qui est en vous, moi, je le puis; je peux faire de vous des enfants renouvelés, mes enfants, par mes grâces.

Mes grâces libèrent, mes grâces guérissent; ne me dites pas : "Seigneur, je t’ai donné ma colère, comment se fait-il que je réagis encore lorsqu’on me fait du mal? Je me mets encore en colère."

Moi, je vous dirais : «Peux-tu compter toutes les fois que mes enfants se sont mis en colère? Peux-tu compter toutes les fois qu’ils ont réagi devant une contrariété? Peux-tu compter toutes les fois que des paroles se sont dites et qui ont fait battre ton cœur, alors que ton cœur s’affolait parce qu’il était contrarié?»

À chaque fois, mes enfants, que vous me donnez votre colère, moi, j’arrache le mal qui a pénétré à l’intérieur de vous, je purifie les mouvements qui ont été contre Dieu, contre vous-mêmes, contre votre prochain, et je guéris : je guéris votre chair.

Voyez-vous, mes enfants, tant qu’il restera en votre intérieur des mouvements contre Dieu, contre vous-mêmes, contre l’amour, je vous apprendrai; je vous apprendrai à me donner ce qui a été contre Dieu, contre vous-mêmes et contre le prochain.

Ne vous limitez pas, je ne me suis pas limité : j’ai porté tout péché, j’ai porté vos choix devant le péché, j’ai ressenti les conséquences de tout ce que vous avez consenti devant le péché.

J’ai été jusqu’au bout, mes enfants, et je vous apprends à aller jusqu’au bout.

Êtes-vous prêts, mes amours, à faire ce que j’ai fait avec mes grâces, soutenus par mes grâces pour votre gloire?

Je vous demande, mes enfants, de vivre ces mouvements d’amour pour vous-mêmes; vous allez découvrir ce qu’est se donner pour les autres.

Je vous demande, mes enfants, d’être des tout petits enfants : l’enfant ne cesse de répéter ce qu’il a besoin, alors ne cessez pas de répéter ce qui vous est nécessaire pour votre âme, pour vous-mêmes.

Donnez-vous, donnez-vous pour le plus petit d’entre vous, donnez-vous pour le plus grand d’entre vous, ne calculez pas si cela est bon pour un tel ou pour un autre, mais donnez.

Voyez-vous, mes enfants, lorsque vous me donnez un blasphème, que vous me donnez cause, choix, conséquence, donnez-moi ce mouvement pour tous ceux qui ont prononcé un blasphème.

Si je mets en vous le besoin de vous donner pour vos enfants, c’est pour que vous puissiez me donner tous les enfants du monde; si je vous donne ce besoin de vous donner pour votre époux, c’est pour tous les époux du monde, pour toutes les épouses du monde, pour tous les enfants du monde : voyez-vous, votre âme, c’est l’épouse de Jésus.

Si je vous donne le besoin, mes enfants, de vous donner pour ceux que vous aimez, alors donnez-vous sans condition, car je vous ai dit : «Aimez, aimez votre prochain comme je vous aime.» Je n’ai pas regardé si un tel était mon préféré, j’ai aimé tous les enfants de mon Père.

Soyez vrais envers vous-mêmes, soyez amour; celui qui se dit vrai envers lui-même est amour envers lui-même, celui qui se dit amour envers lui-même est vrai avec lui-même, il ne cherche pas à se tromper, à se cacher : s’il a une douleur à l’intérieur de lui, il doit la donner tant qu’elle le fait souffrir.

Tout enfant qui ressent une douleur lorsqu’il entend parler de mouvements qu’il a connus, qu’il connaît, doit donner : causes, choix et conséquences.

Qui vous dit que vous n’êtes pas les choisis pour que d’autres viennent à leur tour donner ce mouvement? Voyez-vous, mes enfants, il y a des enfants qui n’ont plus à donner ce mouvement parce qu’il est purifié.

Mais si cela était, cela viendrait à dire qu’ils ne se préoccupent pas de ce que les autres ont vécu et qui est la même chose que : eux-mêmes, vous êtes tous les choisis de Dieu.

Ce que vous avez vécu et qu’un autre a vécu, cela est la conséquence.

Laissez-moi vous expliquer : la première fois, mes enfants, qu’un enfant a commis un vol, l’enfant a été devant ce péché, il avait le choix de dire oui ou de dire non, mais il a choisi de voler; alors, il a été dans la souffrance dans sa vie à cause de son choix face au péché; il a dû vivre les conséquences, et cela a été dans sa vie.

Et lorsqu’un autre est venu au monde, il est entré dans la vie et toute vie sur la terre a été dans sa vie, donc à l’intérieur de ce nouvel enfant, il portait la conséquence de l’enfant qui avait choisi de voler, ce qui faisait de lui un enfant faible devant le vol, et ainsi de suite pour tous ceux qui devaient venir au monde, car la chair connaissait : la chair connaissait maintenant ce qu’était de vivre dans les conséquences dues au vol.

Voyez-vous, mes enfants, vous devez porter même si vous me donnez les mouvements qui montent à l’intérieur de vous de l’extérieur, vous devez me les donner, vous devez me donner cause, choix et conséquence, et vous devez encore me donner cause, choix et conséquence, car votre chair connaît, et votre chair connaîtra jusqu’au moment où il n’y aura plus de vols, où il n’y aura plus de mauvais choix, où il n’y aura plus de conséquences à cause de tout cela.

Je vous parle de la purification, mes enfants, je vous parle de mon monde nouveau, je vous parle d’une chair qui va vivre immortellement, car elle ne connaîtra plus la mort.

Tout est commencé et tout doit continuer.

Ce mouvement, mes enfants, est un mouvement de lumière, est un mouvement qui vous amène à la perfection, parfaits comme mon Père veut que vous soyez : parfaits.

Il faut sans cesse, sans cesse et sans cesse me donner, parce qu’il y a eu des péchés qui se sont faits par répétition, sans cesse, sans cesse et sans cesse.

Je pourrais en un instant, mes enfants, enlever le vol; en un instant, mes enfants, je pourrais enlever vos choix face au vol,: il n’y aurait plus la conséquence : est-ce que je pourrais encore vous appeler enfants libres, est-ce que je pourrais encore vous appeler enfants qui avez choisi? Non, mes enfants, il faut que cela vienne de vous-mêmes.

Puisqu’au tout début, le premier qui a choisi était libre de faire le bien ou le mal, il a choisi de faire le mal : vous devez le vivre jusqu('à) ce que vous soyez vous-mêmes devant tous les non à Dieu, pour que vous ressentiez en votre intérieur la joie de la libération, de la guérison.

C’est comme un tout petit enfant qui regarde le soleil et qui sait que le soleil est bon, mais si on lui enlève le sentiment du bien-être en lui, il aura beau regarder le soleil, cela ne lui dira rien, il ne ressentira rien à l’intérieur de lui, car on lui aura enlevé le choix de ressentir le bien-être.

Je veux que vous ressentiez à l’intérieur de vous toutes les joies de tous ceux qui donneront cause, choix et conséquence devant le vol ou pour tout autre péché.

Il y aura une joie éternelle en vous, il y aura à l’intérieur de vous le bonheur, le bonheur de vivre en êtres reconnaissants devant tous vos frères et vos sœurs, et cela du premier jusqu’au dernier; tous vous vous regarderez et vous apprendrez à vous aimer.

Petits enfants d’amour, ne vous ai-je pas dit que vous serez en rivalité d’amour? Vous serez tout amour pour vous-mêmes, donc tout amour pour vos frères et vos sœurs (votre prochain), car vous saurez qu’il a contribué à votre bonheur et vous saurez que vous avez contribué à son bonheur.

Tout ne sera que mouvement d’amour pour Dieu, en Dieu, avec Dieu, car vous ne serez plus des enfants dans une volonté humaine, mais des enfants dans la Divine Volonté : tout pour Dieu, rien que pour Dieu, avec Dieu, en Dieu.

Oh! amours, amours, je viens vous apporter une recette d’amour, à vous de la mettre dans votre vie à chaque fraction de seconde, et cela se fait par mes grâces.

Voyez-vous, mes enfants, combien il est important d’écouter les paroles de votre cœur? Tout ce que vous entendez, c’est votre Dieu qui le dit en vous, et cela vient se faire entendre à l’extérieur par la puissance du Saint-Esprit : rien n’est inutile.

Dieu vous invite à l’écoute de votre intérieur, de votre cœur, afin que vous sachiez que je suis Dieu, le seul Dieu, mes enfants : Celui qui s’est donné, Celui qui a offert, Celui qui répand son amour sur vous afin de vous attirer à lui.

Vous êtes les élus, je ne cesse de vous répéter cela.

Je vous demande, mes enfants, de garder votre paix; demandez-moi des grâces de paix, demandez-moi des grâces de lumière; soyez attentifs à votre intérieur, il n’appartient qu’à vous de dire oui à tout ce qui est bon pour vous.

Je viens guérir les cœurs, je viens changer la face du monde; ne vous inquiétez pas pour ce qui se passe autour de vous.

Je sais, mes enfants, que vous entendez parler de ce qui s’en vient, et qui vous fait frémir quelquefois; gardez votre paix, car j’ai tout préparé.

Les moments où vous devez entendre de vous préparer pour tel ou tel événement est voulu du Ciel; le Ciel sait le temps où vous devez être prêts pour un tel ou tel événement : faites confiance en Dieu.

Petits enfants d’amour, il y a beaucoup de souffrances autour de vous, et plus cela avance et plus les souffrances sont grandes; mais regardez-vous : vous devenez des êtres de paix, vous devenez des êtres de lumière malgré cette souffrance, malgré que ce monde s’inquiète de la planète.

Ayez la foi, c’est moi le Créateur, c’est moi qui ai tout pouvoir; je viens vous rappeler que je suis votre Dieu, alors, mes enfants, soyez bons envers vous-mêmes.

C’est contre vous-mêmes que vous travaillez lorsque vous vous inquiétez; c’est contre votre prochain, ceux que vous aimez que vous travaillez lorsque vous vous inquiétez.

Croyez-vous que Satan ne travaille pas contre vous? Croyez-vous que Satan ne fait pas tout pour vous inquiéter? C’est lui l’auteur de l’inquiétude, pas Dieu, c’est lui l’auteur de la peur, pas Dieu.

Alors, lorsque vous vous inquiétez, vous vous laissez prendre dans ses pièges, et il y en a beaucoup, vous savez.

Soyez bons, rejetez tout de suite ce qui vous inquiète, l’Amour est avec vous : plus vous allez connaître la paix et plus l’amour va vous apparaître.

L’amour, c’est vous-mêmes; lorsque vous vous découvrez être aimés de vous-mêmes, les autres apprennent à vous aimer; vous apprenez à ne pas vous inquiéter pour vous-mêmes, vous apprenez à ne pas vous inquiéter de ce que les autres pensent de vous-mêmes, vous n’avez que le regard fixé vers Dieu et Dieu vous comble d’amour.

Ne vous jugez pas sur votre passé; donnez-moi votre passé, donnez-moi cause, choix et conséquence.

Oh! amours, amours, si vous saviez les grâces de la prière, si vous saviez les grâces des sacrements, si vous saviez les grâces des commandements de mon Père, vous ne pourriez vous en passer.

Allez-y tranquillement pour ceux qui ne se sont pas familiarisés avec tout cela; je vais vous aider tout comme j’ai aidé mes apôtres, tout comme j’ai aidé mes disciples, tout comme j’ai aidé les enfants avant vous; c’est moi, Celui qui est, qui (vais) vous aider.

Vous reconnaissez l’arbre à ses fruits, mes enfants, alors regardez-vous; regardez votre paix, regardez votre espoir, regardez combien, en ce moment même, vous avez le regard fixé à l’intérieur de vous; vous êtes les fruits de l’Amour, vous êtes les fruits de l’Église, je suis l’Église.

Je vous aime, vous êtes à moi par mon Père.

Tout se fait simplement : je parle en vous, et vous entendez ce que je vous dis, par la puissance du Saint-Esprit, avec simplicité; je ne viens pas compliquer votre vie, je viens vous la montrer pour que vous puissiez entendre et comprendre ce qui est de votre vie; c’est de votre vie qu’il est question en ce moment même.

Vous êtes appelés à être éternels, alors cessez de vous faire souffrir.

Je vous aime, mes tendres amours; maintenant, elle va ouvrir les yeux.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, le Seigneur nous a nourris de ses grâces, mais il reste toujours des petits moments où on aime bien poser des questions, et le Seigneur veut que nous vivions ces moments d’amour.

Alors, nous allons prendre ce petit instant pour poser des questions, et c’est par la puissance de Dieu que nous recevrons les réponses.

 

Q. Est-ce que nos enfants vont être sauvés même s’ils ne sont pas complètement dans un esprit de Dieu? Faut-il continuer à prier?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout enfant de Dieu est appelé à aller vers Dieu.

Combien de parents ont négligé de prier pour leurs enfants, alors Dieu s’est servi des enfants pour sauver les parents.

Alors, ayons confiance en la Volonté de Dieu, soyons tout amour pour ceux que nous aimons, Dieu a envoyé son Fils bien-aimé pour sauver les enfants de ce monde.

Oui, nos enfants qui ont quitté la foi, mais qui ont le regard de l’amour : c’est-à-dire qu’il rend service, qui (est) prêt à aider son prochain qui est malade, qui est prêt à s’attendrir sur son prochain, a en lui de l’amour, et l’amour n’est que de Dieu, et Dieu lui montrera, Dieu lui montrera combien il a pris soin de lui, alors notre enfant aura à prendre sa propre décision devant l’Amour.

Mais quelqu’un qui connaît l’Amour veut l’Amour, alors gardons notre paix.

Nous aurons beau prier, si nous nous inquiétons, eh bien, Jésus nous a dit qu’il nous donnerait des grâces pour que nous puissions retrouver notre paix, mais pendant ce temps-là, nos enfants, eux, ont besoin de nous.

Alors, ils sont comme sans les grâces de la prière, même si c’est tout petit!

Si, admettons, je prends une heure pour prier, c’est pas mal, hein, Esprit Saint! Si je prends une heure à prier, et pendant 50 minutes je prie dans l’inquiétude, houp, au bout de 50 minutes, j’ai la paix : eh bien, il y a 10 minutes qui s’en vont à mes enfants; le 50 minutes a été pour moi pour que je trouve la paix, puis il y a 10 minutes que le Seigneur a pris, pour prendre de ma prière changée en grâces, pour l’envoyer pour mes enfants; voyez-vous comment c’est important?

Et dans la purification, le Seigneur nous a dit : «Pas seulement pour tes enfants, mais pour tous les enfants du monde»; alors, c’est ça qui est important : lorsque nous prions pour nos enfants, nous prions pour tous les enfants du monde.

Parce que ce que nos enfants reçoivent en grâces : eh bien, s’il reçoit en grâces, que pour notre enfant, bon, il reçoit les grâces (que) pour lui, mais si nous prions pour tous les enfants du monde : un vient d’en recevoir, un vient d’en recevoir, un million, un milliard, six milliards, c’est six milliards de grâces que notre propre enfant vient de recevoir.

Parce qu’il n'est pas tout seul en lui, alors il reçoit non seulement les grâces que nous, nous avons obtenues par Jésus, mais il reçoit les grâces de tous les autres que nous avons, nous, obtenues par notre prière.

Voyez-vous la puissance? Alors, ne nous inquiétons pas, continuons à prier pour nos enfants.

 

Témoignage. Tu viens de répondre à une de mes questions. Je me demandais, chaque jour je communie pour mon mari qui est mort depuis avril et je dis au Seigneur : "Je peux-tu communier pour d'autres?" Tu viens de me donner la réponse. Merci, Seigneur.

 

Q. Par rapport au grand signe, c’es-tu un signe qui arrivera avant l’événement lorsqu’on va entrer en notre intérieur? C’es-tu un signe précurseur de ça? C’est comme la croix dans le Ciel!

 

R.  Jésus : Lorsque vous entendez parler de signes, mes enfants, vous reconnaissez ce qui a été écrit dans l’Évangile : il y a aura des guerres, des tremblements de terre, il y aura des épidémies; tout cela, il faut que cela arrive, ne vous inquiétez pas.

Lorsque vous entendez parler du signe, d’un grand signe, vous entendez parler d’un signe qui apparaîtra à l’extérieur de vos cœurs : tous vous verrez.

En un seul instant, tous les enfants de Dieu verront ce signe et ce signe illuminera les cieux, il sera plus brillant que le soleil, il émanera de ce signe d’amour des rayons, et ces rayons seront des grâces : ils guériront.

Oh! enfants d’amour, priez, mes enfants, la Croix : vous avez compris, mes enfants.

Le signe, mes enfants, sera pour vous une joie, une joie si grande que plusieurs d’entre vous ne pourront pas rester assis.

 

Tous : Merci, Seigneur.

 

Q. Je ne sais pas comment la formuler. Une épreuve : si j’ai un accident de machine, je sais qu’il est arrivé un accident de machine, mais une épreuve, je la comprends pas, c’est quoi?

 

R.  Jésus : Alors, mon fils d’amour, lorsque tu es venu au monde, tu es venu au monde pour aller vers mon Père, tu es venu au monde pour faire de bonnes actions afin que tu puisses présenter tes œuvres à mon Père, mais à cause du péché, Satan a semé en toi de l’ivraie qui t’empêche de présenter continuellement tes œuvres à mon Père parce que tu doutes, mon fils, de la beauté de ton intérieur, de la splendeur de ta vie devant mon Père.

Tu es le promis de mon Père; tu es enfant de mon Père, mais à cause de tout ce qui est entré à l’intérieur de toi, il y a eu des ombres et tu n’as plus été capable de comprendre, tu n’as plus été capable de voir, mais par les grâces du Fils, par les grâces du Rédempteur, tu as commencé à voir et à entendre, car la Parole s’est écrite, la Parole s’est fait voir, mais la chair a continué à souffrir, la chair a commencé à vouloir se laisser purifier.

Si aujourd’hui, tu dis comprendre les épreuves, c’est parce qu’il y a de la lumière en toi; si, demain, il y a des épreuves que tu ne comprendras pas, alors tu devras donner cause, choix et conséquence, car Satan ne cessera pas de mettre les épreuves devant les enfants de Dieu pour qu’ils n’avancent pas.

Mon Père, mes enfants, pourrait, de sa toute-puissance, empêcher les manœuvres de Satan afin que vous ne subissiez plus ses machinations.

Lorsque tu appelles, mon fils d’amour, épreuve : un accident d’auto, cela est l’œuvre de Satan.

Satan met en le cœur des hommes, par le mal en eux, l’impatience, la distraction, la peur, l’inquiétude, les soucis, les maladies, et cela cause beaucoup d’accidents : beaucoup de maladies.

Les maladies, mes enfants, sont venues en ce monde par le péché.

Toute épreuve, l’être humain doit donner cela à Dieu afin de garder sa paix, afin de passer à travers des obstacles.

Il faut être ensemble, mes enfants, pour passer à travers les épreuves.

La prière est un moyen d’avancer; les sacrements, mes enfants, vous obtiennent des grâces; les sacramentaux, mes enfants, vous donnent des forces, de la protection.

Soyez des tout petits enfants.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il y a des épreuves dans notre vie, et quelquefois nous les comprenons, c’est lorsque nous sommes dans la paix.

Mais s’il y a des épreuves dans notre vie que nous ne comprenons pas, c’est qu’à l’intérieur de nous il y a des inquiétudes, à l’intérieur de nous, il y a quelque chose qui nous empêche de voir et de comprendre, alors c’est le Saint-Esprit qui nous démontre que ce n’est pas le moment; alors, nous devons donner cause, choix et conséquence, et garder notre paix.

Cela ne nous aidera pas plus de comprendre avec notre volonté humaine, alors soyons des tout petits enfants. Jésus a dit que le Royaume des cieux est aux petits : nous devons être ainsi continuellement.

C’est lorsqu’on se prend pour des grands qu’on veut comprendre, lorsqu’on est tout petit, on ne veut pas comprendre, on comprend; c’est tout.

 

Q. Pour la famille, …il faut pas s’inquiéter… mais quand on voit …  est-ce que … à chacun… les offrir au Seigneur … de quelle façon doit-on prier pour eux?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu’on était tout petit et qu’on voyait papa et maman malades, on les regardait et on comprenait pas ce qui se passait, mais on savait, on savait qu’ils vivaient quelque chose de difficile; on était là le soir, puis on priait; on faisait une prière très courte parce qu’on n'en connaissait pas des grandes.

Alors, Dieu veut qu’on soit ainsi, il veut qu’on soit des enfants; soyons simples dans nos prières, mais n’oublions pas comme c’est bon de prier le chapelet devant Marie.

Plus nous allons faire ce qu’il nous demande et plus nous allons garder notre paix; plus nous allons écouter la Volonté de Dieu et plus nous allons avoir notre paix, et ne plus s’inquiéter.

Oui, nos enfants auront à vivre leur purification; oui, nos enfants auront à vivre les conséquences de leurs propres choix, mais avec les grâces.

Nous avons, nous-mêmes, fait des choix dans notre vie devant le péché et nous en vivons les conséquences; si nos enfants souffrent autant, c’est parce qu’il y a eu des moments où nous n'avons pas prié, et les moments sont nombreux.

Nous leur avons montré des modèles : lorsque nous avons laissé entrer la télévision chez nous, eh bien, ils ont regardé ce qu’on leur a permis qu’ils écoutent; lorsqu’ils sont sortis à l’extérieur pour aller à l’école, on dira : "Ah! mais oui, mais ils ont appris à l’école." Est-ce qu’ils nous ont vus, en rentrant, prier? Est-ce qu’ils nous ont vus, en rentrant, garder notre sourire, notre paix, notre amour pour eux? Lorsqu’ils nous ont vu partir pour aller travailler, est-ce qu’ils ont vu des gens qui devenaient consommateurs? Oui, c’est ce que nous leur avons montré, alors nous vivons les conséquences de nos propres choix.

Nous avons choisi de vivre comme ce monde, alors nous en portons les conséquences, mais donnons tout cela à Dieu.

Dieu nous a dit tantôt qu’il ne vient pas nous blâmer : il vient nous aider, il vient nous libérer, il vient nous guérir, alors nous devons tout donner à Dieu.

Il nous a dit à Chertsey : «Pensez à une pendule : cause, choix, conséquence, cause, choix, conséquence»; alors, donnons.

Aussitôt qu’on s’inquiète : "Je te donne cause, choix et conséquence de mon inquiétude, pas seulement pour mon enfant, mais pour les autres".

Cessons pas, et vous allez avoir la paix; oui vous allez avoir la paix parce que là, vous allez vous dire : "Ouais, si j’ai pas ma paix, eh bien, mon enfant ne connaîtra pas la paix, alors je dois avoir la paix parce que moi avec ma volonté humaine, mon inquiétude, j'suis loin de l’aider, je l’accable encore.

C’est comme la roche qui est dans la main, je la tiens dans la main et ça fait des années que je la tiens dans ma main, puis elle est lourde ma main, j’en ai mal au bras, et je suis malade de voir mes enfants s’inquiéter."

Alors, il faut la donner à Dieu, cette roche : cause, choix et conséquence, et plus nous allons donner cause, choix et conséquence, plus la paix va venir.

Nous ne sentirons plus cette lourdeur dans notre bras : lentement, Jésus va nous guérir, et nos enfants vont en ressentir les effets.

Puisqu’ils l’ont ressenti lorsqu’on s’est mal conduit, alors ils vont le ressentir si on se conduit bien.

Alors, il faut le faire, il faut continuer, ah! pas seulement qu’une fois, dix fois, mille fois, un milliard, ah! plus que ça : tout le temps.

 

Q.  … parfois, je me lève le matin, je suis très bien. .. et puis tout à coup… Je veux me lever, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai une très grande tristesse en moi. Pourquoi cette grande tristesse? Je l'offre, Seigneur, avec les causes et les conséquences, pas sûre que je donne les causes et les conséquences, mais en tout cas, cette tristesse-là reste là. Ou bien dans la journée, il faut bien travailler, il monte dans mon cœur une très grande angoisse…; alors, je l’offre au Seigneur avec les causes et conséquences, mais je suis seule.… Je n’ai pas de raison, mais je crois que ça vient …

 

R. Jésus : Alors, répète ma fille, répète et ne cesse pas.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Trois mouvements, trois : cause, péché, qu’est-ce que j’ai fait devant le péché? Il y a eu des choix que j’ai faits.

Le péché existe, c’est le mal; le mal, c’est de Satan; alors, c’est la cause de nos chutes, mais nous sommes libres de choisir : choix.

Est-ce que je choisis de dire oui au péché ou je choisis de dire non au péché? S'il y a oui au mal, j'ai choisi de dire oui au péché, alors je vais vivre les conséquences; et si je choisis de dire oui, de dire oui au bien, non au mal, je vais vivre les conséquences.

Alors, si on se lève le matin avec une inquiétude, l’inquiétude vient pas de Dieu, donc, nous vivons quelque chose qui est à l’intérieur de nous qui monte, alors nous devons donner : cause, choix et conséquence jusqu’à nous en manquer de salive, s’il le faut.

Vous savez, il y a des personnes qui, dans le monde, ont besoin, ils ont besoin de soutien; si Dieu se sert de nous pour les aider, ne cessons pas.

Vous savez, il a dit tantôt : il se peut que nous soyons dans la purification et notre chair ait été purifiée de certains mouvements contre Dieu, contre nous-mêmes, contre notre prochain, mais il reste qu’à l’intérieur de nous il y a nos frères et nos sœurs qui, eux, n’ont même pas commencé leur purification.

Ils ont un oui à l’Amour, mais ils ne l’ont pas prononcé; ils ont un oui à l’Amour, ils l’ont prononcé, mais ils veulent pas le vivre; ils ont un oui à l’Amour, et ils ont prononcé leur oui à l’Amour, ils ont commencé à le vivre, mais de temps en temps ils reculent, ils ont peur : voyez-vous, on sait pas ce que Dieu veut nous faire vivre, mais nous devons le vivre; si durant la journée ça revient, on le redonne pour nous-mêmes.

Vous, voyez-vous, Dieu, dans sa délicatesse, ne dira pas : «Toi, t’es meilleur qu’un autre», il fera pas ça; il ne calculera pas la grosseur du péché : «Toi, tu as un petit péché, toi, tu as un gros péché.»

La valeur du péché pour Dieu a été qu’il a donné sa Vie; il a versé son Sang sur le plus petit des péchés comme il a versé son Sang sur le plus grand des péchés, alors nous devons regarder cela comme étant un acte parfait.

Alors, comme nous, on n'est pas parfaits, il verse son Sang sur nous comme il verse son Sang sur les autres, alors on doit tous être ensemble pour notre purification jusqu’à la dernière goutte du Sang du Christ qui est notre sang.

Ça, vous pourrez le comprendre dans Chertsey, 2007-01-20

Merci, Seigneur.

 

Eh bien, je crois que nous allons nous préparer; ah! la messe est à quatre heures, je crois, hein?

 

Q. Alors, je me disais : on court un peu partout, on n'a pas de confession avant, on n'a pas d’homélie, on n’a pas de prêtres pour donner la communion, bon…. Est-ce qu’on pourrait faire des messes chez soi?

 

R.  Jésus : Ma douceur, je vais te demander une question : «Crois-tu que le prêtre, par son sacerdoce, son ministère, est le Christ-Prêtre?»

 

R. Oui.

 

Jésus : À l’instant où le prêtre consacre le pain pour qu’il soit mon Corps, le vin pour qu’il soit mon Sang, à cet instant, JE SUIS.

S’il y a des paroles, s’il y a des gestes qui ne sont pas conformes à ce que mon Pape demande, il faut donner cause, choix et conséquence, et garder la paix.

Une âme qui garde sa paix est une âme qui reçoit des grâces, est une âme qui s’élève jusqu’à son Dieu pour l’adorer, pour le remercier; une âme qui sait reconnaître la présence même de son Dieu est une âme bénie.

Oh! enfants d’amour, vous avez été prévenus qu’il y aurait, dans mes églises, des mouvements qui ne seraient pas conformes à ce que le Pape demande, je vous demande, mes enfants, de garder votre paix, de soutenir vos frères et vos sœurs qui, eux, assistent à la messe.

Il y a messe lorsqu’il y a prêtre; il y a messe lorsqu’il y a Saint Sacrifice; il y a messe lorsqu’il y a la Présence même du Christ; il y a messe lorsqu’il y a la Sainte Eucharistie; voyez-vous, mes enfants, là où le prêtre consacre le pain et le vin pour qu’ils soient mon Corps et mon Sang, là, JE SUIS : il y a la messe.

 

Tous : Merci Seigneur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ne parlons pas des souffrances du prêtre; vous savez, beaucoup de prêtres vivent dans leur volonté humaine.

 

Jésus : Le prêtre, mes amours, est un être qui s’est donné, renonçant à sa vie de célibat avec (ses) frères et (ses) sœurs comme étant membres : il se donne au Christ pour être membre actif.

Être membre actif, c’est être au service de ses frères et de ses sœurs par le Christ, en le Christ, avec le Christ, renonçant à sa volonté humaine : là c’est être le Christ, là est la présence même du prêtre.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, prions.

 

Q. Quand on meurt, notre corps reste endormi, moi j'y crois pas. … Quand on fait chanter une messe pour les âmes du purgatoire ………une messe …ce que nous pouvons… des messes….

 

R.  Jésus : L’âme vient de Dieu, tout comme le corps vient de Dieu, l'âme est la promise du Christ, l’âme est la vie, est la vie spirituelle : on n’éteint pas la vie spirituelle, la vie spirituelle ne peut s’endormir.

La vie, c’est un mouvement qui vient de la Vie et c'est éternel; si l'âme dit oui à Dieu, elle est : vie éternelle; si elle dit non à Dieu, elle est : mort éternelle.

Seul le corps tombe en repos, mais pas l'âme; alors, donnons à Dieu tous ceux qui ne comprennent pas et n'entendent pas, nous les portons : cause, choix et conséquences.

Merci, Seigneur.  Amen.