Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Bouctouche, N.B.,
2007-09-25 - Partie 2
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Quand nous nous accomplissons dans la Volonté de Dieu, il y a comme un souffle qui nous fait avancer; ce souffle, c'est la puissance du Saint-Esprit.
Ce souffle nous fait connaître que nous sommes capables d'avancer, que nous sommes capables de nous maintenir dans la foi.
Nous sommes enfants de Dieu et nous avançons; malgré toutes les difficultés, nous nous maintenons toujours debout.
C'est vrai que nous n'avons pas toujours été fidèles aux dix commandements de Dieu, c'est vrai qu'on n'a pas toujours été présents à l'Eucharistie comme on aurait dû être présents; on n'a pas toujours aimé nos frères et nos sœurs comme on aurait dû les aimer, mais il y avait quelque chose qui nous poussait de l'avant, il y avait quelque chose qui nous montrait qu'on était encore capables d'aimer sans condition, capables de regarder Jésus sur la croix sans avoir honte.
Ce souffle, c'est celui qui nous a appelés à être ensemble ici ce soir; ce souffle nous fait entrer en nous; il nous apprend à nous regarder, il nous apprend à nous reconnaître dans son mouvement d'amour pour nous.
Il n'est pas toujours facile de regarder notre vie en réalisant que nos pensées n'ont pas été les pensées de Dieu, que notre écoute n'a pas servi Dieu, mais servi notre orgueil, servi notre égoïsme; il n'est pas toujours facile de réaliser que nos actions nous ont amenés à idolâtrer un autre dieu que notre Dieu; tout cela, le Saint-Esprit nous le montre avec ses grâces.
C'est le temps de la purification, c'est le temps de regarder ce que nous sommes et le Saint-Esprit, lui, se charge de le faire avec son amour, avec sa toute-puissance; il a mis en nous des dons et ces dons le sont depuis notre naissance, et c'est avec ce que nous sommes que le Saint-Esprit veut que nous allions chercher nos frères et nos sœurs.
Le Saint-Esprit ne veut pas que nous renoncions à notre façon de nous comporter, c'est-à-dire que si une personne est portée à prendre le devant, à parler fort, à s'imposer, eh bien, le Saint-Esprit n'enlèvera pas ça, mais il va s'en servir, parce que ce qu'elle est, c'est grâce aux dons qu'elle a reçus dès sa venue en le sein de la maman et qui a été devant nous au baptême.
Le Saint-Esprit va se servir de nous comme nous sommes; ce qui nous a semblé être un défaut chez notre prochain deviendra pour nous un instrument d'une très grande valeur; cela nous aidera à comprendre ce que nous devons faire, c'est-à-dire que notre prochain deviendra pour nous une lumière : ça éclairera ce que nous ne voyons pas dans notre vie.
Nous avons reçu des dons et nous ne les utilisons pas parce que nous avons peur; nous avons été manipulés par ce monde et comme nous avons été manipulés par ce monde, nous avons enfoui à l'intérieur de nous les dons du Saint-Esprit, et ce qui s'est présenté à notre prochain s'est présenté comme quelque chose de tout croche comme si on était plein de défauts, alors que cela nous avait été donné pour l'utiliser, afin de démontrer à notre prochain que nous étions amour.
Tout ce que nous sommes, nous le sommes par Dieu.
Si quelqu'un utilise ses dons pour la construction, il l'utilise à travers ses muscles, à travers ses paroles, à travers son regard; il comprend qu'il faut qu'il utilise un tel marteau plutôt qu'un autre, parce que cela est en lui, cela fait partie de lui; il a le don de manipuler tel objet plus facilement qu'un autre; eh bien, ça, c'est voulu de Dieu, mais Dieu veut qu'il l'utilise pour le plus grand bien de son prochain, non pour lui-même, pour développer son orgueil, afin qu'il puisse faire de l'argent au détriment de son prochain.
Un don doit servir, il ne doit pas écraser, il ne doit pas voler, il ne doit pas être utilisé pour le mal.
Dieu nous a donné tout ce qu'il nous fallait pour faire des œuvres sur la terre afin de (les) lui présenter; ces œuvres doivent être faites par nous-mêmes avec les dons du Saint-Esprit.
Tout cela doit servir, ces dons ne doivent pas nous servir, mais doivent servir le prochain; si nous avons le don de cuisiner, alors nous devons le faire avec amour, nous devons utiliser les dons du Saint-Esprit.
Avant, nous devons comprendre que Dieu nous aime et que nous l'aimons, nous devons comprendre que les dons viennent de lui, alors tout ce qui est de lui doit retourner à lui.
"Merci pour ce don de cuisiner, car il est de toi; tout ce que je fais je le fais pour toi; tout ce que j'apprends à développer grâce à tes dons, je te le donne, prends tout cela, cela est à toi. Ô Dieu d'amour, je t'adore, je t'adore parce que tu m'apprends : tu m'apprends à me regarder comme étant voulu de toi, tu m'apprends à reconnaître que je suis, entre tes mains, un être d'amour, un être fait pour apprécier tes dons, un être fait pour comprendre que ce que je suis, c'est de l'amour. Je suis ton don d'amour, utilise-moi et apprends-moi; apprends à regarder ce que je fais à travers tes yeux, à travers ton écoute, tes paroles, tes mouvements; ce sentiment d'amour en moi-même est de toi, il est juste et bon d'être pour toi ce mouvement, je suis tout à toi. Tu m'apprends à être amour pour moi afin que je puisse donner de moi-même, car il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime."
Alors, lorsque je donne mes œuvres : que je cuisine pour mon prochain, je donne de l'amour qui est de moi, je donne de l'amour et je regarde, je regarde ce don à travers ses yeux, à travers ses paroles qui apprécient ce que je lui présente, à travers son écoute qui a besoin qu'on lui dise : "voilà, ce que j'ai fait c'est pour toi parce que je t'aime"; tout cela c'est de l'amour, c'est ce que Dieu attend de nous.
Nous sommes enfants d'amour et Dieu, tranquillement, va nous montrer, va nous montrer à nous donner gratuitement; ce que nous recevons aujourd'hui doit lui être redonné.
Dieu prend soin de nous, nous n'avons besoin d'argent que pour un temps: le temps de manger, de nous habiller, de nous loger, jusqu'au jour où nous recevrons gratuitement.
Nous apprendrons à donner et nous apprendrons à recevoir avec les dons du Saint-Esprit, avec les dons de l'amour; tout cela se fera avec la puissance du Saint-Esprit.
Aujourd'hui, nous apprenons tranquillement à nous reconnaître comme aimés de Dieu; nous apprenons tranquillement à aimer l'être que nous sommes; nous apprenons tranquillement à accueillir les grâces afin qu'on puisse se pardonner, afin qu'on laisse le Précieux Sang de Jésus couler en nous, faire de nous des êtres de lumière, des êtres d'abandon, des êtres qui s'offrent, des êtres qui veulent guider ceux qu'on aime, car nos frères et nos sœurs, c'est l'amour, c'est l'amour pour nous-mêmes : tout quitter pour eux, tout renoncer pour eux.
C'est aussi apprendre que Dieu prend soin de nous, c'est aussi apprendre que Dieu prend soin de nos enfants, de nos petits-enfants, de notre époux, de notre épouse; c'est apprendre que Dieu a le regard sur nous et qu'il sait nous habiller, qu'il sait nous nourrir, qu'il sait nous donner la demeure que nous avons besoin.
Ce que nous avons besoin, c'est tout ce que Dieu veut nous donner, et Dieu sait combien de mouvements nous avons besoin pour être heureux.
Si nous avons besoin d'un tout petit salaire à la fin de la semaine pour être heureux, alléluia! Si nous avons besoin d'un plus gros salaire afin de nous accomplir en tant qu'enfants de Dieu avec les dons que nous avons reçus, alléluia!
N'envions pas ceux qui ont plus que nous, car si nous envions ceux qui ont plus que nous, nous manquerons envers nous-mêmes, nous demeurerons aveugles sur tout ce que Dieu nous donne, nous demeurerons sourds à tout ce que Dieu nous montre, nous fait saisir.
La Parole de Dieu est amour, elle nous guide; nous avons besoin de la Parole pour nous faire avancer parmi les uns et les autres pour développer en nous les dons reçus.
Ce que nous sommes nous le sommes pour Dieu; nous ne le sommes pas pour ce monde extérieur, nous le sommes pour Dieu : Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, en reconnaissance envers la Mère de Dieu qui a donné son fiat.
Nous sommes tous enfants de Dieu et nous devons marcher humblement avec ce que nous sommes; que nous soyons riches ou que nous soyons pauvres, Dieu, lui, sait que cela nous suffit pour gagner notre Ciel.
Notre Ciel est en nous, là, au présent; nous avons en nous la Trinité, alors c'est au présent que nous méritons notre Ciel.
Dieu prendra soin de nous à chaque instant, car ce qu'il veut pour nous, Dieu, c'est la vie éternelle, c'est le bonheur, c'est la joie.
Regardons les pauvres, ceux qui n'ont rien à se mettre sur le dos, ceux qui n'ont rien mangé depuis plusieurs jours, ils ont le sourire, ils ont le bonheur; ils ne demandent pas plus que ce que Dieu leur donne; ils savent que Dieu les aime.
Nous qui avons tout, il a fallu que Dieu revienne nous parler dans notre cœur alors qu'il a toujours été là; il vient parler par la puissance du Saint-Esprit en notre cœur pour que nous puissions entendre avec nos oreilles qu'il nous aime et qu'il prend soin de nous.
Mais eux n'ont pas besoin de ça, ils le savent, ils savent que Dieu prend soin d'eux parce qu'aujourd'hui ils sont encore vivants sur la terre, "merci, mon Dieu!" Voilà ce qu'ils vivent : ils vivent le présent.
Lorsqu'un tout petit enfant meurt, ils regardent le Ciel et disent : "Merci, tu viens de le prendre, tu viens de l'amener dans ton Royaume pour la vie éternelle"; ils vivent leur présent; eux savent être dans les dons du Saint-Esprit.
Être dans les dons du Saint-Esprit, c'est vivre au présent avec ce que nous sommes à l'intérieur.
Les hommes ont voulu étouffer cela, les hommes qui ont le pouvoir, les hommes qui ont la domination; ils ont voulu enlever cette espérance, cette foi, cet amour en les enfants de Dieu, mais les enfants de Dieu se sont toujours maintenus dans l'amour de Dieu par des enfants d'amour, par des enfants qui ont foi que Dieu est présent.
Notre vie, c'est un élan d'amour vers le Ciel et le Ciel est en nous; continuellement le Saint-Esprit est là et c'est lui qui nous fait entrer dans l'éternité, car lorsque nous entrons en nous, nous entrons dans l'éternité, nous entrons là où Dieu est présent, là où Dieu nous nourrit.
Qu'avons-nous à craindre de demain si nous vivons notre présent? Qu'avons-nous à avoir peur de ce qui s'en vient, si nous vivons notre présent avec Dieu? Dieu pourvoit, Dieu sait ce qui est bon pour nous; ne nous inquiétons pas de ce que nous entendons.
Dieu sera tout le temps le Présent; il est l'Alpha et l'Oméga, il est l'Éternel, il est la Présence; il ne changera pas parce que nous avons peur, il ne changera pas parce nous savons qu'il y aura de très grandes tribulations et qu'il y a présentement de très grandes tribulations.
Jésus est toujours là, Jésus est le Présent, il met en nous ce qui nous est nécessaire pour vivre; allons en nous et vivons cela dans la paix.
Maman Marie nous rappelle toujours de vivre dans la paix, c'est là que nous vivons les grâces qui nous maintiennent en santé.
C'est l'inquiétude, c'est la peur, c'est le doute, c'est la haine, c'est la violence, c'est le pouvoir qui nous ont fait connaître la maladie : c'est le mal; là où il y le mal il y a la peur, là où il y a la peur il y a la tentation, là où il y a la tentation il y a la faiblesse, et là où il y a la faiblesse il y a la volonté humaine.
Donnons notre volonté humaine à tous les jours, donnons la volonté humaine de tous ceux que nous portons en nous à tous les jours et laissons-nous plonger dans la paix de Dieu.
Si une peur monte en nous, alors donnons-la; ne demeurons pas une minute dans cette peur, c'est trop long car, dans cette minute, des enfants avaient besoin de nous, des enfants de zéro à cent quelques années avaient besoin de notre soutien, avaient besoin des grâces du Ciel pour faire des choix devant la tentation qui est le mal.
Donnons à Dieu sans hésiter ce qui monte en nous et qui n'est pas de Dieu; le Saint-Esprit va souffler sur nous et va nous le faire comprendre.
Nous avons tous la même mission : c'est d'aller vers Dieu le Père ensemble, c'est de nous aider les uns et les autres avec ce que Dieu nous a donné pour aller vers Dieu le Père : c'est notre vie sur la terre. Rappelons-nous toujours que Dieu nous regarde et que Dieu sait ce que nous pensons; donnons-lui cela, car chaque pensée Jésus l'a vécue, chaque pensée Jésus l'a vécue et cela a marqué sa chair.
Dieu veut qu'on lui redonne ce qu'il a vécu, ce qu'il a apporté à la mort; Dieu veut qu'on vive dans la lumière pour nos frères et nos sœurs; nous sommes l'amour, nous devons vivre dans l'amour.
Alors, nous allons continuer en échangeant, en faisant des échanges; c'est comme si quelque chose montait à l'intérieur de vous et que vous vouliez éclaircir cela; vous voulez avoir une réponse, vous voulez en faire profiter à tous vos frères et vos sœurs du monde entier pour la plus grande gloire de Dieu.
On a souvent posé des questions sur notre comportement, sur ce qui s'en vient, et nous n'avons pas toujours écouté les réponses parce que le Dieu d'amour que nous avons répondait, mais aujourd'hui, il envoie son instrument parmi vous afin que vous puissiez comprendre ce que Dieu va vous dire, ce que Dieu vous a dit sur vos questions.
Prenez ce moment avec la toute-puissance du Saint-Esprit.
Q. Vous avez parlé du jugement, vous avez dit la réponse que si l'on entend quelqu'un juger, c'est de le donner à Jésus, mais lorsque c'est nous autres qui jugent, c'est quoi la réponse?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque tu t'aperçois que tu viens de juger ton frère ou ta sœur, que tu viens de juger un prêtre, que tu viens de juger ton époux, alors tu donnes cela à Dieu sans hésiter; tu donnes cela à Dieu parce que Dieu t'aime.
Si tu viens de t'apercevoir que tu viens de faire un jugement, crois-tu que cela vient de toi? Cela vient de la lumière de Dieu.
C'est le Saint-Esprit qui a soufflé sur toi et qui t'a fait comprendre que tu viens de faire un jugement, alors rends grâce à Dieu parce que Dieu veut te purifier; il veut arracher de toi le mal, il veut de son feu d'amour guérir des blessures, il veut prendre ta souffrance, il veut que tu sentes en toi la paix de Dieu.
Combien cela est grand lorsque tu donnes à Dieu tous ceux qui vivent en toi et qui ont fait ce même jugement.
Comprenez, mes enfants, que la première fois qu'il y eut un jugement, vous n'étiez pas sur la terre, et pourtant ce jugement est encore en vous; la chair a connu un jugement et la chair s'est multipliée parce qu'il y a eu naissances.
Parce qu'il y a eu naissances, parce qu'il y a eu naissances, et ce que la chair connaît, la chair se souvient; alors, la première fois qu'il y a eu un jugement, la chair a connu, et toute chair qui est venue après a été dans ce jugement.
La chair est si faible, elle est assujettie au péché à cause de cela, et Dieu, lui, veut arracher le mal qui a tenté l'enfant à porter un jugement sur son frère, sur sa sœur, et cela a amené des conséquences.
La maladie, la haine, la guerre, la pauvreté ont apporté le manque d'amour dans les cœurs, ont endurci l'homme et la femme jusqu'à se détruire, conséquences de tout ce qui est dans ce monde de souffrances.
Dieu est le seul qui puisse tout enlever.
Ce que vous allez vivre, mes enfants, et ce que vous vivez se termineront jusqu'au dernier qui portera en sa chair un seul jugement, et cela est aussi pour les autres péchés.
Q. S'il y a un prêtre qui dit quelque chose contraire à la foi, est-ce que nous autres on est responsables de ne pas le porter à l'attention à notre archevêque? …à la liturgie comme à la messe, à l'Église, est-ce que c'est notre devoir de le rapporter à l'évêque et si l'évêque ne fait rien, est-ce qu'on devrait le poursuivre plus loin ou…..?
R. Jésus : Ma douceur, la Mère de Dieu a regardé les enfants qui crucifiaient son Fils, la Mère de Dieu a prié pour eux afin qu'ils puissent se pardonner.
La Mère de Dieu a soutenu Judas, ma bien-aimée; elle a pleuré sur Judas, elle n'a pas condamné celui qui était pour trahir son Fils; elle l'a aimé, elle l'a aimé jusqu'au moment où lui a refusé la vie éternelle.
Et la Mère de Dieu n'a jamais connu la rancœur, n'a jamais connu la déception de la grâce de la miséricorde.
Tu vois, ma bien-aimée, ma Mère a prévenu l'Église qu'il y aurait des erreurs et que ses fils de prédilection tomberaient dans les pièges de Satan et la Mère de Dieu a demandé des prières afin que chaque enfant qui serait dans la lumière soit prière.
Enfants d'amour, croyez-vous que mon vicaire ne sache pas qu'il y a désobéissance en l'Église? Il le sait et il ne cesse d'avancer et de prier.
Mes enfants, avez-vous foi en vos prières? Avez-vous foi en Dieu? Avez-vous foi que Dieu écoute? Avez-vous foi qu'il agit? Puisque la Mère de Dieu est venue, vous demandant de prier, elle savait qu'il y aurait des enfants qui auraient besoin de prières, elle savait aussi qu'il y aurait des enfants qui se donneraient à la prière afin de contrecarrer les pièges de Satan.
Enfants d'amour, soyez humbles, allez, faites acte d'adoration! Je vous le demande, mes enfants, je suis la Toute-Puissance.
J'attends que des enfants viennent à moi humblement comme le publicain, me demandant de jeter un regard sur lui, alors qu'il baissait la tête et qu'il avait honte; il n'osait pas avancer, mais il savait que Dieu était là et qu'il le regardait, et que Dieu savait ce qu'il y avait dans son cœur; il savait qu'il était un pécheur et que Dieu était au-dessus de lui; il savait que Dieu était pour l'aimer malgré son état d'impureté, car il avait compris que Dieu était la Miséricorde, il avait compris que Dieu était le Pardon, il avait compris que Dieu était le Chemin, la Lumière et la Vie.
Enfants d'amour, gardez votre paix, Dieu a vaincu le mal et Dieu va vaincre le mal.
Allez vous réunir autour du prêtre qui garde la foi en tous les enseignements de Jésus.
Je vous fais avancer dans mon monde d'amour; je ne vous armerai pas de paroles de guerre, je ne vous armerai pas d'un ceinturon qui porte une épée tranchante, car une épée tranchante a deux côtés : elle peut trancher le bien comme elle peut trancher le mal.
Qui peut, avec sa volonté humaine, savoir ce qu'il doit trancher? Il n'y a que Dieu qui puisse le savoir, gardez-vous dans la foi, j'ai tout vaincu.
Priez la Mère de Dieu, priez-la avec votre cœur, rassemblez-vous ensemble, soutenez mon pape, soutenez-le dans la prière, soyez fidèles en tout, lisez votre Bible, apprenez-la mes enfants, afin que vous ne soyez pas trompés, suivez ce que mon pape vous demande; il y a des documents donnés par le Vatican pour vous instruire, rassemblez-vous et soyez fidèles à ce que mon pape vous demande, vous ne serez pas dans la désobéissance.
Vous êtes tous responsables de votre âme; votre âme vous a été donnée par Dieu et non pas par la volonté humaine.
Tout prêtre est moi; à moi de prendre soin de votre âme, mais sachez reconnaître que la volonté humaine en le prêtre ne peut prendre soin de votre âme, il n'y a que le prêtre qui est mort en le Christ, car c'est le Christ qui prend soin de votre âme.
Vous, mes petits enfants d'amour, vous êtes libres, vous avez le choix d'obéir à mon pape ou de désobéir à mon pape, mais celui qui parle contre un seul prêtre, contre un évêque, un archevêque, n'obéit pas au pape, car le pape, votre pape Benoît XVI, vous demande de suivre les dix commandements de Dieu.
Soyez obéissants et rassemblez-vous pour la prière, éloignez-vous de ce qui est contre mon pape, soyez toujours fidèles et le Ciel sera votre soutien.
Qui est comme Dieu? Personne, mes enfants, même pas les anges, et les anges vous sont supérieurs.
Le prêtre, en le Christ, pour le Christ, pour la plus grande gloire de Dieu, suit les dix commandements de Dieu et suit les enseignements de Jésus jusqu'au bout, jusqu'à déverser sa dernière goutte de sang.
Qui peut dire, aujourd'hui même, qu'il a le cœur d'un prêtre? Seulement ceux qui se laissent nourrir par la main du Christ, le Fils de Dieu, que le Fils de Dieu, et la Mère de Dieu est Celle qui vous conduit à la main du Christ.
Oh! hommes de peu de foi, ayez confiance en Dieu.
Oh! femmes, ayez confiance en la Mère de Dieu.
Tout vous a été démontré dans la sainte Bible, de la Genèse jusqu'à l'Apocalypse.
Amen, mes enfants.
Q. Je peux pas le dire en français 'The…… sur la confession, le sens de la confession, puis aussi est-ce que, et je sais que c'est mieux d'aller à la confesse à un prêtre individuellement, mais j'aimerais si c'est possible, que Jésus parlerais de la confession.
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Benoît XVI a parlé de la confession, allez vous renseigner : "Redemptionis Sacramentum", allez et vous aurez des réponses. Amen.
Alors, nous allons nous arrêter ici, et s'il y a un chant… Merci Seigneur.
Tous : ♪♪♪ Je voudrais qu'en vous voyant vivre
Étonnés les gens puissent dire,
Voyez comme ils s'aiment, voyez leur bonheur.
1. Qu'il y ait dans votre langage
Plein d'amour et de vérité
Qu'il soit clair, simple et sans ambages
Qu'il soit bon comme un soir d'été, comme un soir d'été.
2. Mais plus forts que bien des paroles
Vos regards toucheront les cœurs
La plus belle des paraboles
C'est le chant de votre bonheur, de votre bonheur.
3. Et devant tout ce que vous êtes
Ils pourront voir les traits de Dieu
En voyant tout ce que vous faites
Ils sauront qu'il est avec eux, qu'il est avec eux.
4. S'il est vrai qu'on reconnaît l'arbre
En voyant la beauté des fruits
Je voudrais quand il vous regarde
Qu'ils y voient les fruits de l'Esprit, les fruits de l'Esprit.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :
5. Tout ce que Dieu prononce est vrai
Croyez en la Bonne Nouvelle
Ce que Dieu a tout déposé
Il l'a déposé dans la Loi, regardez la Loi
6. Elle est là, elle vous fait vivre
Elle vous apprend à tout lui donner
Aimez-vous en frère et en sœur
Et vous serez les fruits, les fruits de l'Esprit.