Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Bourg d’Iré, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2008-03-02 – P.M.  Partie 2

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous avons reçu, c’est une nourriture. Ce que nous avons reçu est de la Volonté de Dieu. Regardons-nous et regardons le patron qui nous a été accordé. Oui, saint Joseph est le patron de ceux qui ont toujours été en exil, celui qui a toujours voulu être pour nous un père. Ce que nous vivons, nous le vivons dans la Volonté de Dieu, nous ne le vivons pas dans notre volonté.

Qui n’est pas plus humble que saint Joseph, qui ne demande qu’à être là à servir, à ne pas se montrer en avant de Dieu, à ne pas être à la place de la Mère de Dieu, à ne pas être au-devant de Celui qui est envoyé par Dieu le Père? Saint Joseph nous a toujours montré le modèle à suivre et il nous dit : "Écoutez". Alors, écoutons la voix du Seigneur qui parle à l’intérieur de nous. Si Dieu parle à chacun de nous par amour, il a parlé aussi à saint Joseph en lui disant : «Ce que je te confie, c’est mon bien le plus précieux.» Alors, il nous a tous confiés à saint Joseph, mais saint Joseph a toujours pris sa place. Il se tait, il se tait et il nous demande à être comme lui. Voilà le patron que nous avons reçu.

Nous avons appris à être pacifiques que par la grâce. Si nous entendons parler l’Esprit de Dieu parler de nous-mêmes, (c'est) parce que nous avons à apprendre qui nous sommes devant les grâces de Dieu. Ce n’est pas à nous de dire qui est saint Joseph. Il nous sera révélé au moment où Dieu le voudra, car nous portons dans notre cœur nos propres souffrances, nous portons dans notre cœur ce que Dieu veut nous montrer, afin qu’on puisse se laisser purifier.

Un temps nous est accordé, un temps de purification comme Joseph a eu. Lorsqu’il a été auprès d’une jeune fille pure et qu’il s’est aperçu que cette jeune fille pure portait un enfant, Joseph n’a pas dit un mot : il a supplié son Dieu de lui ouvrir l’esprit. Mais il a quand même voulu s’enfuir laissant tout à Dieu!

 

Dieu, par là, nous montre que nous devons quitter notre volonté humaine et demeurer à notre place. Nous devons être à la place que Dieu veut qu’on soit, afin d’être toujours prêt à écouter la Parole de Dieu, pas notre parole. Écouter l’Esprit de Dieu, pas l’esprit de ce monde. Ne pas écouter notre cœur qui a peur, notre cœur qui doute, notre cœur qui s’inquiète. Si nous écoutons notre cœur qui s’affole, nous crierons, nous crierons encore une fois vers notre propre volonté humaine, car notre propre volonté humaine nous fait douter, nous emmène à vivre dans notre peur, dans notre inquiétude : ce n’est pas de Dieu.

C’est ce que nous avons toujours fait. Nous avons toujours suivi notre volonté humaine, nous avons toujours été là à se demander : "Est-ce que ce qui est devant moi est vraiment devant Dieu? Est-ce que ce qui se passe en moi est vraiment voulu par Dieu?" Dieu, lui seul, peut nous nourrir, lui seul peut nous donner les réponses, mais pas avec notre volonté humaine, mais avec la Divine Volonté : l’Amour qui nourrit, l’Amour qui donne à manger, l'Amour qui abreuve ceux qui ont soif de vérité.

Cela n’est pas de nous. Aucun être humain ne peut nous apporter des guérisons, des libérations : aucun. Alors, il faut être ce que nous sommes : des tout petits devant ce temps de lumière, car nous avons pénétré un temps où nous voyons ce que nous avons accepté : de mettre notre volonté en avant de nous pour nous montrer que nous ne nous sommes pas trompés. Oui, nous nous sommes trompés. Oui, nous sommes des pécheurs. Oui, nous avons été à la confesse. Oui, nous avons reçu Jésus. Oui, nous avons adoré. Oui, j’ai jugé mon prochain. Oui, j’ai douté de lui. Oui, j’ai émis mon opinion. Oui, j’ai manqué envers ma mère, manqué envers mon père. Oui, je n’ai pas suivi toujours mes parents. Oui, j’ai souvent poussé mon frère et ma sœur. Oui, j’ai menti, j’ai violé. Oui, j’ai été vers la sexualité impure, excessive. Mais tout ça, est-ce que c’est venu de l’enfant de Dieu qui était en moi ou de la volonté humaine qui a manipulé l’enfant de Dieu et qui l’a trompé jusqu’à ne plus refuser le péché?

Il faut pénétrer dans ce mouvement de lumière pour comprendre qui nous sommes. Il n’y a pas un seul mouvement que Dieu ne permet pas sans nous montrer une lumière. S’il veut se servir d'une souffrance d’un de nos frères pour nous mettre devant ce que nous sommes, alléluia! C’est ce que nous, nous ne devons pas éviter. Quand la grâce passe, plongeons dans la grâce et remercions le Ciel de ce que nous entendons. Que ça vienne de un ou (que) cela vienne de l’autre, si Dieu le permet, alléluia! Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, vous posez des questions, pas personnelles : "Est-ce que je vais rencontrer mon mari, un fiancé, changer d’emploi?" Pas de questions personnelles. Nous avons besoin de nous nourrir les uns et les autres. Alors, si vous voulez, on peut commencer tout de suite, parce que nous avons encore une rencontre ce soir voulue par Dieu. OK? Alors, si vous voulez commencer.

Q. Que penser des gens qui ont mal à se nourrir de l’amour de Dieu, de la Nourriture?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu a mis en chacun de nous des mouvements d’amour. Ces mouvements d’amour, nous les avons depuis notre création. Si nous avons négligé de nourrir nos mouvements d’amour par l’Amour lui-même, en cherchant un amour physique, en cherchant un amour qui n’était autre que Dieu, c’est parce que nous avons fermé nos yeux à tout ce qui était la beauté de Dieu.

Aujourd’hui, on regarde des enfants qui sont couchés sur le trottoir parce qu’ils n’ont pas d’endroits pour dormir, eh bien, c’est parce qu'avant nous il y eut des personnes qui ont dit : "Non, je me regarde, je me donne du plaisir, je me trouve un emploi, je m’instruis, je me rends maître de ma vie." Si aujourd’hui nous voyons partout dans le monde des nations qui meurent de faim, des femmes qui mettent au monde des enfants et qui les donnent parce qu’elles ne peuvent même pas les nourrir, eh bien, c’est parce que nous vivons la conséquence de nos choix devant le péché, devant ce qui nous fait mourir.

Le péché nous tue, le péché enlève notre nourriture essentielle à notre âme, ce qui fait que nous manquons de nourriture pour notre chair. Si nous manquons de nourriture pour notre chair, nous avons peur : nous avons peur de manquer de nourriture, nous avons peur de ne pas avoir une demeure, nous avons peur de ne pas pouvoir dormir à la chaleur, nous avons peur de ne pas être capables de nous maintenir devant notre avenir, nous avons peur de demain. Parce que nous avons peur de demain, nous laissons mourir ceux qui sont comme nous.

Mais eux parfois, ne vous trompez pas, ils sont plus forts que nous; eux, parfois, nous regardent et ils nous disent : "Tu es prisonnier avec ta maison. Tu as beau avoir une bonne auto, tu es obligé de faire tes soixante heures par semaine pour la payer. Tu ne t’es pas aperçu que tu es esclave de tes propres choix. Si c’est ça que tu as à me donner avec ta petite monnaie là, eh bien, je vais prier pour toi, je vais te recommander à Celui qui me tient vivant sur le trottoir; je vais te bercer parce que tu ne sais plus bercer tes enfants; je vais te consoler parce que tu ne sais pas que tu souffres et que tu as faim : tu as faim de ta liberté. Tu te crois libre avec ton bien matériel, ton compte en banque; tu penses être libre de t’offrir ce que tu veux, alors que tu es esclave : tu es esclave de toi-même, tu t’es bâti ta propre prison. Moi aujourd’hui je dors ici; demain, je vais peut-être dormir sous un pont, ou demain je vais peut-être être dans ma boîte de carton. Je voyagerai; si quelqu’un ne me veut pas là : j’irai ailleurs." Voyez-vous, qui manque le plus de nourriture?

Dieu a dit au tout début : «Les enfants du tiers-monde meurent de faim, mais mes enfants du monde se meurent parce qu’ils n’ont pas de nourriture : ma Nourriture. Eux, lorsqu’ils vont se voir, risquent de connaître la mort éternelle. Va les nourrir; par ton abandon, je parlerai. Tu n’auras rien à leur donner, mais tu serviras. Tu ne leur apporteras pas la nourriture qu’ils ont été habitués, ce que je leur donnerai viendra de Celui qui est le Pain de vie et le Vin de vie.»

Alors, il faut se pencher sur celui qui nous aide. Oui, ces personnes qui sont là dans les rues ou dans des taudis là, eh bien, nous, nous avons besoin d’eux. Allons leur montrer que nous avons besoin d’eux. Ne levons pas le nez parce qu’ils ont des odeurs nauséabondes. Prenons-les et disons : "Aide-moi parce que toi tu me montres que je dois être, comme toi, dépouillé de tout, car lorsque Dieu me montrera ce que je suis, je devrai renoncer à mon surplus. Je partagerai avec toi, mais je n'ai pas cette force encore. Toi, tu as fait un pas que moi je n’ai pas fait : tu as choisi de vivre dans la pauvreté. Oh! tu as choisi à cause des événements : ton père est parti, ta mère se faisait battre; tu as vu que ton frère s’est suicidé; on t’a violé étant jeune; on t’a mise à la porte parce que le chum de ta mère ne voulait pas de toi. Tu as connu une maladie dont tes pensées sont manipulées par une voix qui te fait peur. C’est vrai que tu connais tout cela, mais toi, tu dois m’aider à comprendre ta souffrance parce que ce que tu vois de moi, je ne l’ai pas vu encore. Oui, il faut que je sache qu’à l’intérieur de moi il y a le viol, l’inceste, l’homosexualité, la tromperie, le mensonge, le vol, l’indifférence, le Nouvel Âge. Toi, tu regardes ça et puis tu te dis : 'Ils s’en sortiront pas'."

Nous avons besoin d’eux comme eux ont besoin de nous. Penchons-nous sur les pauvres de ce monde : ils ont à nous donner. Un jour que j’étais à Sandy Bay – c’est une réserve indienne dans le nord du Manitoba; ils rient parce que, quelquefois, ils disent qu’ils sont obligés d’aller laver leur linge à la rivière encore – ils ont dit : "Elle vient nous brasser un peu." Le Seigneur leur a dit : «Qu’eux vont moins souffrir que les blancs dans leur grosse maison. Ils ont des châteaux alors que vous, vous partagez ensemble.» On leur a enlevé la dignité. Des blancs ont enlevé leur dignité. Lorsqu’on enlève la dignité à un être humain, il se dit être incapable de s’en sortir.

Alors, ils sont dans la drogue. La mafia est autour d’eux. Ils sont dans des grandes souffrances : les hommes qui abusent des femmes, les femmes qui sont abusées continuellement, qui voient leurs enfants se suicider. Une maman qui dit : "Prie, parce que cinq de mes enfants se sont suicidés." Nous vivons ça à cause de nos choix. On abuse toujours du pouvoir. Le seul pouvoir que nous devons avoir, c’est : "Oui Dieu". C’est le seul que nous avons : "Oui, Dieu, tout pour toi, montre-moi". Et ne pas refuser parce qu’à l’instant où nous disons : "Non", nous n’avons plus aucun pouvoir; Satan, lui, prend qui nous sommes et c’est Satan qui nous manipule.

Alors, voyez-vous, cela, c’est une petite leçon d’amour. Merci, merci Seigneur.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce qu’il y a une autre question?

Q. Oui. Francine, d’après ce que vous dites, on va connaître tous, en Occident, une grande pauvreté, d’après ce que vous nous dites. Puisqu’il y a déjà des gens qui la vivent au Québec, il y en a aussi qui la vivent en France. Parce qu’en France, il y a trente millions de gens qui vivent dans la précarité, c'est-à-dire, près d’un français sur deux. Est-ce que vous avez quelque chose à nous dire à ce sujet?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque la voix de Dieu est en votre cœur, lorsque la voix de Dieu fait palpiter votre cœur d’espérance, croyez-vous que Dieu va faire que les enfants ne seront pas comblés d’amour, comblés de foi, comblés d’allégeance? Oui, vous avez fait promesse, enfants d’amour, d’être fidèles aux dix commandements de Dieu, vous avez fait promesse d’être, pour vos frères et vos sœurs, des témoins de l’Évangile. Là où vous serez, vous saurez que Dieu vous comble de grâces et la faim, elle ne vous atteindra pas, ni le froid, car la peur va disparaître.

Lorsqu’il n’y a plus de peur, on n’a pas à s’inquiéter pour demain. Laissez à Dieu ce qui est à Dieu. Il faut que cela soit, afin que l’homme puisse prendre en main ce qu’il a laissé entre les mains de Satan.

Q. Merci. Il y a une parole d'espérance, une page de l’Écriture qui dit : «Pour qui donne au pauvre, point de disette.»

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que demain nous est réservé,  nous n’avons seulement qu’à l’accepter. Une chose acceptée est quelque chose promis. Dieu nous promet que nous allons vivre sa Gloire. Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, mon frère.

Q. Je voudrais le dire avant de se séparer : qu'on prie la prière de Notre-Dame de la Délivrance, la prière de guérison intérieure, parce qu’il y en a qui sont enchaînés. Tout une contrainte! Avant de terminer, vous me donnerez le feu vert.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, mon frère.

Q. Vous avez parlé d’un grand mouvement qui commençait... et je voulais savoir en quoi espérer dans ce qu'on vit.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On a à espérer tout de Dieu. Le mouvement qui est commencé, c’est le rappel de son peuple. Nous sommes du peuple de Dieu.

Dieu vient rassembler les cœurs de pierre pour les changer en cœurs de chair, et cela ne peut se faire que par la purification de la chair. Si l’on veut que notre cœur, qui s’est laissé durcir par le péché à cause de nos choix, soit changé en cœur de chair, alors il faut tout donner ce que la chair a accepté : pensées, regards, écoutes, paroles, mouvements, et sentiments. Il faut tout donner à Dieu, absolument tout, et cela se fait au rythme de l’amour. C’est le Saint-Esprit qui va faire rejaillir de nous nos souffrances afin que nous puissions les donner à Jésus. Mais Jésus, il aime beaucoup qu’on passe par le Cœur de Marie pour aller pénétrer le Cœur de Jésus.

Lorsque nous acceptons de ne plus avoir un cœur pour nous, nous acceptons de prendre le Cœur même de Jésus et de vivre dans ce Cœur : ne plus être, mais être; ne plus être de ce monde, mais être à Jésus. C’est ce que nous sommes en train d’apprendre. Le temps appartient à Dieu, il ne nous appartient pas. Nos enfants ne nous appartiennent pas, ils appartiennent à Dieu. Ils ont été créés avant qu’ils soient en nous, qu’on les nourrisse de notre chair qui est la Chair de Dieu. Nous avons tout reçu de Dieu, alors Dieu va leur donner ce qu’il nous donne : des grâces.

Si nous sommes rassemblés aujourd’hui, ce petit groupe, eh bien, dites-vous que tous les enfants de la terre ont reçu des grâces. À l’instant où nous acceptons les grâces de Dieu sans la peur, il y a quelque chose qui coule : un torrent de grâces, et ça s’en va d’un cœur à un autre, d’un cœur à un autre, d’un cœur à un autre. Tout va se faire par l’intérieur. La purification de la chair ne se fera pas par l’extérieur. Aucune volonté humaine n’aura à faire un seul geste. Tout viendra de Dieu, absolument de Dieu. Ce que nous ne voyons pas, c’est vivant. N’oublions pas qu’au tout début nous avons parlé de l’invisible et après, le visible : c’est l’invisible.

Q. Est-ce que les anges vont nous aider dans ce grand travail spirituel?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah! Si vous voyiez tous les anges qu’il y a ici présentement, vous seriez surpris. Les saints du Ciel sont sur la terre avec nous. Les âmes du purgatoire ne cessent de prier pour nous.

Essayez d’imaginer que lorsque nous, nous nous laissons purifier en notre chair, la chair qui est en repos en profite. Au moment de la résurrection de la chair, dans un mouvement d’amour, tout sera. Ça ne sera que des louanges à Dieu, des louanges à Dieu d’aller vers leur chair. Imaginez-vous : l’âme qui va retrouver sa chair, et dans ce mouvement d’amour, ce oui jaillira en louanges et en grâces à Dieu. Alors, ils sont avec nous. Alléluia, Seigneur.

Q. Je suis enseignante et je suis chargée de pastorale et nous avons suivi donc, hein, une sorte de conférence sur le fait religieux dans les établissements catholiques. On a mentionné le fait que l’on n’enseigne plus la religion catholique dans les écoles catholiques, et j’ai été étonné de voir que le conférencier disait qu’il fallait déconstruire la Bible pour la reconstruire et qu'Adam et Ève ……..à Malakoff, parce que c’est là-bas que je travaille, et je fulminais. Je ne savais pas pourquoi et je voulais vous poser la question.

Moi, la Bible, je ne la connais pas bien. Je me suis habituée, vraiment, à la Bible de ma jeunesse. Bon, j’ai redécouvert … et j’ai appris à l’apprivoiser et je voudrais savoir comment je pourrais répondre à l’adversaire. J’ai trouvé ça tellement effrayant … auprès de nos enfants … Alors, comment peut-on répondre à l’adversaire? C’est comme la culture d’Halloween, comment me taire, même à la maternelle, et moi, j’en ai les cheveux qui me dressaient sur la tête et j’ai dû aller contre la maîtresse, pour lui expliquer que ce n'était pas possible.

Alors, comment répondre à l’adversaire s'il est plus fort. Et moi, j’ai fait ma petite histoire,… enfin elle est comme petite, je n’ai pas les mots. Moi, j’avais envie de me lever, partir … voilà, mais veux-tu répondre? Moi, ça me choque.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons tant reçu. Nous avons tant aimé, avec nos blessures. Nos blessures ont fait en sorte de mettre dans la pensée des dirigeants de nous prendre en main. Lorsqu’ils nous prennent en main, ils se servent de leur volonté humaine et la volonté humaine est contre nous. Nous avons si froid, si froid, à cause de nos cœurs durcis. Laissons à la Mère de Dieu prendre le cœur de ses enfants. Il n’y a que le chapelet : l’arme que nous avons. Est-ce que vous avez confiance aux grâces du Ciel?

Tous : Oui.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Plus qu’au gouvernement, aux dirigeants?

Tous : Oui.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Avons-nous confiance que Dieu a vaincu le mal? Avez-vous confiance que Satan va un jour s’incliner, devant tous les anges, et adorer Celui qui a été, pour lui, sa perte?

Tous : Oui.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ayons confiance que Dieu a vaincu le mal. Croyez-vous qu’ils vont vaincre sur le cœur de nos enfants? Montrez-leur de l’amour à vos enfants : et ils tombent à terre ces dirigeants. Montrez-leur de la patience : ils tombent à terre. Montrez-leur que vous avez en vous cette foi envers Celui qui sauve : et ils sont dans la défaite.

On ne peut arracher ce qui est en nous: l’amour. Nous sommes l’amour, mais ils peuvent, par contre, atteindre nos pensées, en acceptant leurs pensées pour en faire nos pensées, en acceptant leurs paroles qui font naître la peur, en acceptant leurs décisions qui les font bouger pour nous maintenir paralysés. Ayons la foi. Si nous acceptons tout cela et nous ne le donnons pas immédiatement à Jésus, il va y avoir des coureurs qui vont passer.

À l’instant où nous entendons ce qui est contre Dieu : donnons à Dieu ce qui est à Dieu : "C’est contre toi Dieu, alors, prends ce qui est contre toi, toi tu l’as vaincu, moi, je ne peux rien." Ne nous mettons pas volonté contre volonté : deux volontés qui se rencontrent, les deux tombent à terre et Satan est victorieux. Satan se sert des enfants de Dieu contre nous.

Q. Mais oui, Francine, ce que vous dit cette dame-là, c'est ce que tous les chrétiens qui sont ici constatent. Depuis trois générations, la foi n’est plus transmise en France : nos églises sont vides, il n’y a plus d’enfants, donc, d’où vient la responsabilité?

Les conseils de cette dame qui décrit l’apostolat des laïques qui répond à votre question. …… Les chrétiens doivent rechercher des occasions d’annoncer la Parole de Dieu. Bon, pour annoncer la Parole de Dieu, il faut la lire et l’appétit vient en mangeant. Lisez la Bible et vous aurez faim de la Parole de Dieu.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Aimez vos enfants. Marchons ensemble. Soyons la Croix. Gardons notre foi par la grâce de Dieu.

Q. Dans une école catholique, il y a une petite fille qui me dit : "Vas-tu à la messe? Il n’est pas là ton petit frère?" Et elle me dit : "Il est trop petit?"

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu l’avais en toi ton petit frère, ou son petit frère tu le portais en toi. Nous portons tous nos enfants.

J’ai été à un collège privé de Jean Bosco, dans la Provence. Quatre classes : des groupes de vingt, vingt-cinq. Des enfants de souffrance. Parmi eux, il y avait des enfants qui croient en Dieu. Parmi eux, il y avait des enfants qui ne croient pas en Dieu parce qu’on ne leur a pas montré. Tous, tous ont écouté et tous ont reçu. Des tout petits enfants ont reçu des consolations, des tout petits enfants ont entendu Dieu leur dire : «Pardonnez-vous entre vous. Ne vous poussez plus entre vous. Ne prenez pas la place du plus faible. Aimez-vous, pardonnez à papa lorsqu’il ne vient pas la fin de semaine. Aime maman, même si elle est incapable de te dire un je t’aime».

Cela a été des heures. Quatre heures, comme cela, à parler à des groupes et ce que nous avons entendu : "Cela a réchauffé mon cœur. Cela a fait du bien." Ils avaient des sourires. C’est ça qu’ils ont entendu. Oui, Dieu a parlé de Quelqu’un qui était au-dessus d’eux. Oui, Dieu a dit : «Je suis Dieu». Mais entre eux et Dieu, il y avait amour, pardon : aime, partage, sois bon.

Est-ce qu’on va enlever ça aux enfants? Non, parce qu’un enfant qui vient au monde cherche l’amour. Il est plus près de Dieu, lui, que nous. Lui, il connaît ce langage. Lui, il sait ce que c’est être amour. On aura beau lui dire : 'Ah! Adam et Ève, ce n’est pas vrai! ' Allez lui dire par contre : 'Bah, n'aime plus ta mère.'  Oups! "Qu’est-ce que tu dis là? J’ai besoin de maman. Je pleure le soir quand je me couche, parce que maman a oublié de venir m’embrasser." On ne peut pas enlever ça à nos enfants.

Mais Satan va se servir de la peur pour nous empêcher que les grâces coulent à eux. Ça, c’est le maître de la manipulation. Ne nous laissons pas prendre au piège de Satan. Il a toujours agi avec la peur, toujours, toujours. Croyez-vous qu’il va changer ses tactiques? Non, il va semer la peur toujours et toujours. Aimons ceux qui disent qu'Adam et Ève, c’est un mythe. Aimons-les, parce que s’ils sont en train de régresser, alors allons les chercher par la prière. Ne nous disons pas être au-dessus d’eux parce que nous prions : surtout pas, parce que Satan va se servir de ça pour leur dire : "Regarde les priants, regarde-les, ils se prennent pour d’autres. Ils vont nous montrer comment éduquer les enfants, ils vont nous dire comment faire un monde, un monde qui prend soin de ceux qui sont malades, des vieillards, ils vont nous montrer comment être évolué avec cette technologie-là?" Voyez-vous, il va se servir de ces enfants-là contre nous, nous contre eux. Ça, c’est l’œuvre de Satan.

Maman Marie nous dit : «Aimez-vous les uns et les autres. Priez pour mes enfants. Suivez les dix commandements de Dieu. Allez vers les sacrements. Portez des sacramentaux. Dites le chapelet à tous les jours. Vivez l’Évangile. Soyez ce que mon Fils veut que vous soyez : une parole de vie, un vin de vie et un pain de vie.» Soyons une nourriture!

Alléluia! Merci Seigneur.

Q. Si l’on prend pour refus l’amour, est-ce que nous avons pu hériter des refus d’amour de nos ancêtres?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On ne serait pas ici, sans eux, et autant qu’ils ont eu de mauvaises pensées, autant qu’ils ont eu de mauvais mouvements : ils ont voulu l’amour, ils ont toujours cherché l’amour. Ils ont été esclaves de leurs souffrances, mais jamais Dieu n’a détourné son regard des enfants de Dieu. Il y a toujours eu de l’amour en eux. Souvenons-nous de ceux qui ont été avant Caïn: ils étaient amour, ils suivaient Dieu, ils louaient Dieu, mais lorsque Caïn a touché son frère, lorsque le sang de l’enfant de Dieu a touché la terre, là, vint un mouvement : la chair était atteinte, l’âme avait été atteinte par la désobéissance.

Maintenant, la chair se laissait atteindre et tout ça les a emmenés vers le péché, car là où ils ont été, Caïn et sa descendance, ils ont rencontré Satan et les démons en les animaux : les animaux ont été possédés par les démons. Les animaux ont été dans une mutation. Les démons qui possédaient les animaux les transformaient, car ils les faisaient accoupler, et cela a pris des centaines d’années, des centaines d’années, jusqu’à atteindre un semblant de forme humaine dans le but d’aller vers les femmes. Ces animaux ne se sont pas approchés tout de suite, je pourrais dire les animaux possédés.

Alors, ils ont appris. Les démons se servaient d’eux et ils apprenaient comment ils louaient leurs dieux, comment ils mangeaient, comment ils se comportaient entre eux. Ils ont appris tout cela et lorsqu’ils ont été prêts, là, ils ont approché les femmes et les femmes se sont laissé séduire par cette forme qui semblait être plus puissante que l’homme. Alors, là, elles se sont laissé instruire par ces êtres. Ces êtres leur apprenaient : leur apprenaient comment maquiller leurs yeux, comment coiffer leurs cheveux, comment se servir de pierres pour pouvoir se rendre séduisantes; ils leur ont appris comment danser, comment chanter; ils leur ont appris comment se comporter pour séduire; ils leur ont appris à réveiller les sens parce que ces femmes ont folâtré avec les animaux. Là, sous leur pouvoir, les femmes allaient vers les hommes pour emmener les hommes à ces animaux.

Et là, il y eut encore des mouvements de domination. Ils leur ont appris le pouvoir sur la femme. L’homme a aussi été dans la séduction des sens, jusqu’à eux autres aussi à folâtrer avec les animaux. Ces êtres sont devenus plus bas que l’animal, parce que l’animal, lorsqu’il fut possédé et qu’il avait des mouvements contre nature, il l’a fait, mais il était inférieur à l’homme. Mais l’homme avait tout reçu de Dieu. Il ne devait pas à faire ces gestes, mais il les a faits.

Alors, ils sont devenus plus bas que l’animal, ils sont devenus les enfants du mal. Ils sont partis et ils ont été vers les enfants d’Adam et Ève. Et là le mal s’est répandu partout sur la terre, partout, partout. Les animaux étaient impurs. Et Dieu dit : «Il pleuvra quarante jours et quarante nuits.» Il n’y avait que Noé et sa famille qui demeuraient. Mais Dieu, lui, regardait ses enfants et ils les aimaient. Alors, ils sont partis et ils ont construit l’arche de Noé. Les autres qui les regardaient se moquaient d’eux. On le sait parce que nous avons été instruits de cela, nous avons été dans ce mouvement.

Croyez-vous que la chair ne (se) reconnaît pas être séduite par les sens? Lorsqu’on devient esclave des sens, ce sont les sens qui nous manipulent. Malgré tout cela, il y avait l’amour, toujours l’amour.

Aujourd’hui, malgré que notre chair se souvienne, nous voulons prier; malgré tout cela, nous avons la foi en Dieu, le même qui a aimé ses enfants, mais Dieu ne veut pas ses enfants prisonniers de son amour. C’est eux-mêmes qui ont choisi cela, mais Dieu a toujours mis de l’amour. Puisque Noé a refusé, ses dépendants ont refusé. C’est que cet amour est en nous, cet amour est encore en nous. C’est le même amour.

Oui, ils nous ont donné des souffrances, mais nous avons reçu l’amour et aujourd’hui nous ne voulons vivre que d’amour, nous avons soif de ça. Mais il fallait qu’on vive ce que nous vivons : la souffrance pour comprendre que la volonté humaine a toujours été contre nous. Nous avons goûté le fond du baril. Maintenant, le Seigneur nous remonte, nous dit : «Ma Divine Volonté est pour toi, elle a toujours été pour toi. La volonté humaine ne t’a pas apporté ce que moi je t’ai toujours accordé.» Amen. Merci, Seigneur.

Q. Je vais vous poser une question, Francine. On nous parle souvent des jours des ténèbres qui vont arriver. Qu'est-ce que vous pouvez nous dire à ce sujet?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Francine n'a rien à dire là-dessus. Ce que nous allons vivre, nous allons le vivre ensemble. Oui, Dieu me parle de ténèbres : triple cadence, trois jours de noirceur qui seront à la surface de la terre. Rien ne bougera : vent du nord, vent du sud, vent de l’est et de l’ouest seront obéissants à Dieu. Créatures qui volent seront obéissantes à Dieu. Toute eau demeurera dans le silence. Tout ce qui est en les eaux sera là dans ce mouvement de repos inerte. Rien ne bougera. La lumière ne sera plus, car le soleil devra être obéissant à Dieu, telle la lune et les étoiles. Tout ce qui est extérieur de nous sera dans l’obéissance totale au Créateur. Et ce que nous, nous serons : nous serons dans le mouvement de Dieu à l’intérieur de nous. Souvenons-nous, tantôt, que nous avons entendu que tout se passera à l’intérieur de nous, et tout se passera à l’intérieur de nous. Nous ne serons pas dans notre volonté humaine, nous serons enveloppés de la justice d’amour de Dieu.

Lorsque cela débutera, nous serons tous dans ce mouvement, du premier qui sera sur la terre jusqu’au dernier qui sera sur la terre. Personne n’échappera à ce mouvement, et là nous serons devant tout ce que nous avons accepté. Oh, il y aura du bon et il y aura du mauvais. Toutes nos pensées qui ont été connues de nous, et toutes les pensées que nous avons acceptées des autres et qui ont fait de nous que nous avons pensé, seront devant nous. Ainsi pour les paroles, le regard, pour l’écoute, pour les mouvements, les sentiments : tout sera devant nous.

D’ailleurs, le quatrième volume explique très bien ce mouvement. Tout est expliqué là. La purification est commencée. Ceux qui ont commencé leur purification et ceux qui poursuivent leur purification sont dans ce mouvement. Il y en a – on ne sait pas le nombre, ce n’est pas à nous de le savoir, d’ailleurs, ça ne sera pas révélé – il y en a qui auront terminé leur purification de la chair. Ils vivront cela dans une joie si grande que, avec notre volonté humaine on la ressentirait, on serait déjà devant Dieu le Père, car on ne pourrait supporter, avec notre volonté humaine, une telle joie.

D’autres vont avoir débuté leur purification de la chair; là où ils seront dans leur mouvement de purification, ils le continueront. D’autres commenceront, dès ce mouvement qui commencera, et cela se fera jusqu’au moment où cela se terminera. Il y en aura qui choisiront en disant oui à la Divine Volonté ou non à la Divine Volonté. Ceux qui diront oui sortiront de ce mouvement d’amour en enfants de la Divine Volonté. Il n’y aura pas de volonté humaine qui se fera connaître à l’enfant de la Divine Volonté. Tout ne sera que paix et joie : qu’il y ait un froid, Dieu y pourvoira; qu’il y ait la disette, Dieu y pourvoira. Tout ne sera que paix.

Ceux qui auront dit non, mais un non là – lorsqu’on dit non, c’est un non connu et vraiment prononcé, c’est un non catégorique – eux sortiront de ce mouvement sans une parcelle d’amour, car ils auront refusé l’Amour. Ils seront des êtres froids, ils seront des êtres de colère. La peur les dominera. Ils seront continuellement dans l’inquiétude, ils seront incapables de partager, ils se verront comme un être, tels qu’ils sont : un être égoïste, un être menteur, car Satan et les démons les détruiront.

Il est dit, dans le quatrième livre, que Satan les vomira et dansera dans son vomi. Telle est la haine de Satan pour les créatures de Dieu. Nous venons de Dieu, lui, il a refusé Dieu. Mais nous, nous avons eu Jésus sur la Croix qui nous a sauvés et nous avons à dire oui, sinon Satan nous dira : "Tu es moins que rien. Tu n’as pas su reconnaître que tu étais sauvé."

Sa haine est au-delà de tout ce que nous pouvons penser. Il n’y a pas de mots pour dire cela, tant il nous hait, car nous sommes de la chair de la Chair, celle qui est l’Amour. Il n’a pas voulu adorer la Chair Éternelle, Dieu fait Homme, Dieu Homme. Voyez-vous sa haine pour nous? Il nous voit. Nous sommes quoi? La ressemblance de Dieu.

Q. Trois jours de ténèbres : rien ne vivra, mais l’enfer vivra puisqu’ils auront la possibilité de nous attaquer….Ils seront devenus apparents par… Ceux qui voudront ouvrir la porte, en croyant entendre des voix d'amis, de leur famille ou n’importe, ils ouvriront….

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ils n’ouvriront pas. Je vais vous raconter.

Il y a, ça va faire deux ans, j’étais chez moi et j’avais ma sœur à côté : nous étions en prière. Et là, nous avons entendu un chant à l’Esprit Saint et en un instant, et demandez-moi pas comment ça s’est fait, je me suis retrouvée à l’intérieur de moi. J’étais à l’intérieur de moi sans ma volonté humaine qui régente. Tout est devenu, pour moi, inerte. J’étais à l’intérieur de moi et c’était comme si j’étais…, j’étais dans une maison. Mon intérieur me retenait à l’intérieur de moi. Je ne pouvais pas sortir. Aucun mouvement de moi, extérieur, ne bougeait, aucun, aucun. Mes yeux ont été ouverts puisque ma sœur a témoigné de ça. Moi, je pouvais la voir. Elle, elle ne savait pas quoi faire, elle a même dit après : "Je me suis dit, bien voyons, va-t-elle être comme ça jusqu’à demain matin?" Ah, elle a dit : "Je vais aller me coucher." Ah, elle a dit : "Ah non, tout à coup qu’elle est encore comme ça demain matin. Ah, je vais rester là." Elle ne savait pas quoi faire.

C’est une personne qui est de nature nerveuse – parce qu’elle était au début de toute cette connaissance – et elle était dans une paix et ce n’était pas le tempérament de ma sœur, là, dans ses souffrances, et elle ressentait une paix, elle ne bougeait pas. Elle essayait de voir si je parlais : rien ne bougeait, mais absolument rien. Tout était en moi, je ne pouvais rien faire.

Comment le temps a passé? Pour moi, c’était une fraction de seconde. C’était court, mais pas pour elle. Elle, elle a vécu ça en plusieurs minutes, minutes, minutes. Oh, elle pense que c’est entre quinze à vingt minutes à peu près, mais pas pour moi. Je ne pouvais pas bouger, je ne pouvais pas me lever, je ne pouvais même pas lever le doigt. Quand fut le temps, là elle a entendu, sans que je bouge les lèvres, elle a entendu : 'chapelet'. Et là, elle s’est levée et elle a mis un chapelet dans mes mains; c’est là que mes mains ont commencé à bouger et cela a pris plusieurs minutes avant que tout mon corps reprenne son mouvement : revenir dans ma volonté humaine.

Lorsque cela sera, vous ne bougerez pas. Croyez-moi que vous ne bougerez pas! Vous aurez beau demander. Mais il ne m’a pas fait vivre la purification là : il m’a montré la puissance du Saint-Esprit. En un instant, on se retrouve sans notre volonté humaine, sans notre volonté humaine! Mais il est vrai que la souffrance fera qu’il y en aura qui voudront mourir, tant que cela sera souffrant.

Mais voilà pourquoi il nous réunit. Il veut que nous puissions aider nos frères et nos sœurs. Les grâces que présentement nous obtenons en écoutant la Volonté de Dieu –  pas Francine dans sa volonté humaine, elle ne connaît pas les réponses, elle ne connaît pas ces choses, mais l’Esprit de Dieu – le Saint-Esprit fait ce mouvement pour qu’on puisse entendre sa Volonté. Tout cela est voulu de Dieu, alors les grâces coulent pour eux, les grâces coulent pour tous ceux qui, en ce moment même, portent leur oui et qui sont prêts à le dire.

Au moment où Jean-Paul II est décédé – il est décédé le samedi – le dimanche j’étais à la messe et là, à un moment donné, j’ai vu Jean-Paul II, et là, nous avons reçu une bénédiction : Jésus s’est montré. Et là, il s’est montré, il a fait ce mouvement, comme en rond, et tout, ici, là, il y avait tellement d’enfants, mais tellement d’enfants! Il disait que le nombre était complet : tous ceux qui devaient dire oui, il n’en manquait aucun.

Mais comme un bon Papa d’amour, notre Dieu, il veut que ses enfants vivent cela dans les grâces, afin qu’ils ne soient pas dans la très grande souffrance. Voilà pourquoi nous vivons un temps de grâces. La Mère de Dieu nous dit : «Il est pressant. Avancez. Faites ce que le Ciel vous demande.»

Alors, nous devons poursuivre ce que nous faisons. Oui, les cierges, nous devons les avoir, là : nous devons prier devant des cierges bénits. Oui, nous devons avoir de l’eau bénite. Nous devons porter les sacramentaux. Nous devons aussi avoir le Cœur de Marie et le Sacré-Cœur de Jésus au-dessus de nos portes : de l’intérieur, celles qui sortent à l’extérieur. Ça veut dire comme celle-ci : c’est une porte; elle, c’est une porte, ils sont sortis par là, eux, tantôt. Maman Marie nous a dit : «Mettez mon Cœur et mettez le Cœur de mon Fils,» à chaque porte qui nous fait sortir à l’extérieur de notre maison.

La médaille miraculeuse aux quatre coins de la maison, pas aux quatre coins de cette pièce, quatre coins : l’est, ouest, le nord et le sud. Qu’importe si votre maison est au centre : les quatre coins de votre maison. Si vous voulez en faire de même pour votre terrain. Il est dit aussi de prier le chapelet pour les autres, et beaucoup nous est donné pour ces temps.

Un messager nous dit quelque chose : prions. Un autre messager nous dit autre chose : prions. Ce sont des envoyés de Dieu. Nous devons être à l’écoute, mais on ne peut pas tous être : "Bon, il faut que je fasse ceci, il faut que je fasse ça. Je commence à une heure : midi, je n'ai pas terminé. Il est six heures : avec tout ça, mon souper n’est pas prêt. Je n'ai même pas encore terminé tout ce que le Seigneur me demande." "Hey! Où est-ce que je m’en vais avec tout ça?" Écoutons notre cœur! C’est le Saint-Esprit qui nous nourrit, pas notre volonté humaine. Tout va monter à l’intérieur de nous par la puissance du Saint-Esprit. C’est le Saint-Esprit qui nous dit : «Voilà! C’est bon pour une telle chose, c’est bon pour une autre».

Ce que nous ne pouvons pas faire, nos anges gardiens s’en chargeront. Ils sont là pour nous. Ne manquons aucune grâce. Il y eut un ami à moi, le père Galbert, qui a dit une fois : " Vous mettez vos anges gardiens au chômage, servez-vous-en." Alors, servons-nous de nos anges gardiens, ils sont là pour nous servir.

Q. Nos saints patrons, aussi?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah, tous les saints, tous les saints : oui, nous avons nos saints patrons. Cela est très important. Nous avons la Sainte Famille. Nous faisons partie de qui? De la Sainte Famille : Jésus, Marie, Joseph. Alors, nous sommes les enfants de la Sainte Famille!

N’ayons pas peur. Soyons unis. Il est bon, Maman Marie qui a dit de nous réunir, pour ceux qui le peuvent, pour prier ensemble. Il y a tellement d'attaques.  La purification se fait entre nous. Elle a dit : «Ne regarde pas un tel, la personne est là a faire sa purification. Regarde-toi.» Mais aidons-nous les uns et les autres. Si un tel dit : "Ah, moi, j'ai fait ci cette semaine, j'ai fait ça cette semaine, mais j'ai donné ça au Seigneur", bien, cela va nous dire comme ça : "Ah, c’est vrai, il m’est arrivé quelque chose. Je l’ai pas fait." Instantanément : "Je te donne ça, Seigneur : cause, choix, conséquence."

Je vis cette conséquence, parce que si cela a monté en moi, cela m’a fait souffrir. C’est ma conséquence devant mes propres choix, c’est moi qui ai choisi de vivre dans ce mouvement. Si cela vient de ma mère, de mon père, de mon ancêtre, alors : "Je te donne ça, parce que ma chair le sait, ce sont des choix qui ont été faits. La cause, je ne la connais pas Seigneur, mais toi, tu la connais. Cela vient de Satan qui a provoqué des événements qui ont fait que j’ai été tenté. Ça, c’est à toi. Je te le donne." Trois mouvements : cause, choix, conséquence. Nous devons être tout à Dieu comme des tout petits enfants.

Alors, le Seigneur vient de dire : «Cela est terminé.» Alors nous allons, pour une dernière fois…, mais c’est terminé. Alors, nous allons, pour une dernière fois, prier Maman Marie, s’il vous plaît.

Q. Est-ce que je récite la prière de Notre-Dame de la Délivrance?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, mon petit frère.

Une personne de la salle : Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen. "Seigneur Jésus, que l’amour de ton Cœur m’envahisse. Apprends-moi à me souvenir que si je suis venu à l’existence, c’est parce que j’étais désiré par toi et que je suis aimé de toi. Remonte à ma vie depuis le commencement où je fus conçu, jusqu’à ce jour. Guéris-moi de toute blessure qui atteint mon cœur, ma sensibilité, ma mémoire, mon imagination, mon intelligence, ma volonté. Libère mon être de tout lien, de toute chaîne qui me rend esclave. Par ton Esprit Saint, je veux vivre libre et joyeux à ton service et au service de mes frères. Jésus, pour la Gloire du Père et par les mains de Marie et de Joseph, je me donne tout entier à toi, corps, âme et esprit. Merci de m’avoir créé. Amen."

Tous: Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur notre Dieu a fait couler sa toute-puissance. Souvenons-nous des paroles : «Celui qui ne crie pas Hosanna, celui qui se tait, les pierres crieront.» Alors des pierres ont crié. Ces pierres sont à l’image de la Vierge Marie, ces pierres sont à l’image de tout ce qui est sacré, de tout ce qui vient du Ciel, et ces pierres nous montrent la puissance voulue de Dieu pour nous. Nous recevons présentement des larmes, des larmes qui coulent du Cœur de Jésus et du Cœur de Marie. Ces larmes vont purifier et guérir, elles vont alimenter chacun de nous qui avons soif de vérité, d’amour.

Nous ne voulons plus notre volonté humaine qui nous a maintenus dans l’ignorance, nous voulons vivre dans la Volonté de Dieu : la Divine Volonté. Lorsque nous serons dans ce mouvement de la Divine Volonté, nous remercierons le Ciel de nous avoir oints par le signe de la croix sur le front, nous reconnaissant être enfants de Dieu, demandant à notre chair d’être obéissante à Dieu et de renoncer à la volonté humaine. Amen.

Merci, Seigneur.