Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chertsey, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2003-05-03

 

Jésus : Amours, vous êtes en moi, je suis en votre présence : tout est dans la Volonté de Dieu.

L’Amour s’est donné à vous, il habite votre intérieur : il se fait agissant pour vous et pour ceux que vous portez en vous.

Par la puissance de l’Amour, Dieu vous fait savoir que vous êtes des enfants de Dieu.

Dieu veut se donner, il veut se faire connaître parce que les enfants de ce monde sont ignorants de ma Présence en eux.

Ils se croient maîtres de leur vie, ils se laissent prendre par le mouvement d’un monde sans foi.

Ils ont laissé de côté l’amour de Dieu, car lorsqu’on ne suit pas les commandements : on ne peut percevoir l’amour qui est en chacun des enfants de ce monde.

Ils auront beau s’acheminer dans leur vie extérieure : ils n’y trouveront que vide, car tout est en eux.

Tout est vie en eux, je suis là, moi : je suis la Vie, c’est moi qui les tiens en vie.

Je suis l’Amour même de l’Amour : je me suis donné à eux afin qu’eux soient vivants.

J’ai porté en moi tout ce qui n’était pas amour et je l’ai amené à la mort : j’ai donné ma Vie par amour.

Il faut que ces enfants se reconnaissent en moi.

C’est pourquoi, mes enfants, je vous demande, à vous, de vous donner, de faire de vous des instruments d’amour en ne cherchant pas à faire de vous des enfants qui veulent faire connaître votre volonté auprès d’eux.

Mes enfants, combien d’enfants qui prient veulent convertir leurs frères et leurs sœurs avec leur volonté humaine?

Cela ne peut se faire car, voyez-vous, ces enfants vous regardent : ils voient en vous des êtres comme eux avec les mêmes défauts; ils ne peuvent voir en vous votre donation en Dieu, car tout est en vous.

Lorsqu’ils vous regardent, ils perçoivent des gestes comme eux, des paroles comme eux disent; ils ne sont pas prêts à écouter vos recommandations.

Mes enfants d’amour, moi, Dieu, je dépose en vous des grâces d’amour, des grâces d’abandon afin que vous vous donniez à moi, Dieu, et moi, mes amours, je vous prends, je me sers de vous pour aller à mes enfants qui ont oublié que je vis en eux, que je suis vivant en eux.

Par moi, vous êtes vivants et, par moi, je veux leur montrer qu’ils sont eux aussi vivants.

Vous, vous avez fait votre cheminement en découvrant que vous êtes des choisis.

Vous avez dans votre passé commis des impuretés.

J’ai été en vous; j’ai attendu que vous acceptiez mes grâces d’amour; j’ai usé de patience parce que je vous connaissais; je connaissais vos faiblesses et je connaissais votre amour pour moi; je connais aussi en ces enfants l’amour caché en eux : c’est parce que je suis en eux, parce que je vis en eux, tout comme je suis en vous et que je suis vivant en vous.

Je vous ai nourris de ma Vie, tout comme je les tiens en vie, par ma Vie.

Mes enfants, ce temps que vous vivez est un temps de lumière pour vous qui avez accepté la Lumière.

J’ai fait aussi ce même mouvement en eux, mais eux ont entré profondément dans leurs habitudes de tout faire pour eux, de tout accomplir par eux-mêmes : alors, ils ne voient plus maintenant que leurs gestes.

Ils ont beau voir que vous, vous priez, cela ne fait que les déranger : ils ne peuvent plus comprendre vos moments d’amour avec votre Dieu; ils ne peuvent plus saisir pourquoi tant de prières, car, pour eux, c’est un temps de perte : ils ont autre chose à faire que de prier, car tout autour d’eux montre un monde de plaisirs extérieurs : ils se préparent à des festivités, ils commencent à mettre de côté leurs habits d’hiver, ils regardent leurs vêtements plus légers qu’ils se préparent à mettre pour s’amuser à l’extérieur de leur maison.

Oh! mes enfants d’amour, moi, je vous demande, à vous, mes enfants de lumière,

de ne pas vous dévêtir de ma Présence.

Je vous couvre de mon amour, je vous réchauffe de ma tendresse, car je vous prépare à entrer dans ma Nouvelle Terre : là où tout ne sera que beauté, où tout resplendira d’amour.

Eux, mes enfants, sont encore dans la noirceur : ils ne vivent que de leur extérieur, ils n’ont pas vu en eux la lumière; ils ne peuvent se réchauffer de ma Présence puisqu’ils ne sont qu’extérieurs d’eux-mêmes; ils ont si peur de s’ennuyer : ils ne peuvent pas concevoir une vie en présence de Dieu.

Et vous, mes enfants de la Lumière, qu’importe l’hiver, qu’importe la chaleur de l’été :

tout ce qui compte pour vous, c’est la présence de Dieu.

Vous voulez vivre en Dieu, car vous savez que chaque saison vous rapproche de l’événement auquel je vous prépare.

Voilà la raison pour laquelle vous aimez que le temps avance.

Vous avez en vous ce désir, ce besoin de vous donner à Dieu.

Il est là le temps de l’amour pour vous, car lorsque l'on découvre que donner à Dieu sa vie est une joie, est une

paix :

tout de vous devient amour.

Vous portez en vous les enfants qui n’ont pas en eux la lumière, car ils la refusent; ils se croient remplis que d’eux-mêmes, sans moi.

Vous, vous savez que je vous habite, vous êtes conscients de ma Présence : portez-les, aimez-les, donnez-vous à eux, ces enfants, en passant par moi, que par moi; vous ne pouvez plus les atteindre, car ils ont fermé la porte à votre présence qui leur rappelle que vous, vous êtes en présence de Dieu.

Ils se donnent eux-mêmes leurs propres souffrances, car lorsqu’on refuse la compagnie d’enfants qui sont joie,

paix : c’est eux qui en souffrent.

Vous, vous savez que vous les portez; vous savez que vous êtes des enfants de Dieu, qu’en vous il y a l’Amour et que la paix est en vous.

Eux cherchent à l’extérieur ce que vous, vous avez trouvé en vous.

Mes doux amours, je vous parle ainsi pour vous faire comprendre que vous vous laissez transformer par ma Présence en vous, que je vous prends, que je vous fais enfants d’amour.

Voyez, combien d’entre vous ressentent ma Présence? Combien d’entre vous perçoivent Dieu Amour? Je me laisse prendre par vos désirs : oui, mes enfants, vous voulez de moi, vous avez ce besoin de vous sentir en ma Présence; vous êtes des enfants qui découvrent que Dieu est présent, que Dieu agit en ce moment d’amour, car vous avancez vers ma Nouvelle Terre :

je vous rassemble dans mon Cœur et vous ne faites qu’un.

Bien que j’utilise cette enfant pour vous parler, vous, mes doux amours, je suis en vous comme je suis en elle.

Je suis agissant en vous comme je suis en cet instrument qui vous parle; je n’ai pas de distinction entre mes enfants de la Lumière :

vous êtes tous égaux.

Ce temps est un temps d’amour, un temps de grâces : ma Mère vous a préparés.

Depuis plusieurs années, elle vous demande des prières; elle demande aussi des sacrifices, des jeûnes; elle vous demande d’assister à la messe, de pratiquer les sacrements, de porter sur vous des objets bénis.

Et combien d’entre vous l’ont fait?

Malgré votre difficulté à prier avec le cœur, elle vous tient dans son Cœur.

Je vous prends en moi, vous êtes mes enfants : je vous prends avec vos défauts, vos difficultés, parce que je vous aime tels que vous êtes.

Regardez-vous, vous avancez vers ma Nouvelle Terre à votre rythme, car je respecte votre liberté;

je vous prends tels que vous êtes et, lentement, je vous transforme en enfants de la Lumière.

Mes amours, dans votre acheminement vers moi : vous prenez en vous les enfants incrédules; vous prenez en vous les enfants ignorants de mon amour; vous prenez en vous les récalcitrants; vous prenez en vous ceux qui se refusent, car lorsqu’on refuse Dieu : on se refuse à l’Amour;

et parce que vous les avez en vous, eux aussi avancent vers ma Nouvelle Terre.

Combien d’entre vous en ce moment même souffrez? Parce que vous portez vos frères et vos sœurs, parce que vous les aimez, et cela ne peut venir de vous, que de moi, de la Présence, je déverse en vous des grâces : des grâces de lumière, des grâces d’amour, des grâces d’abandon en ma Divine Volonté; vous n’êtes pratiquement plus dans votre volonté humaine, mais dans ma Volonté, malgré que je per(çoive) encore en vous des jugements envers mes enfants choisis, malgré que je per(çoive) encore en vous des doutes sur votre mission.

Mes amours, je connais chacun de vous, je ne puis arrêter mes grâces,

même si certains de mes enfants choisis sont des calculateurs.

Vous savez, vous avez vécu avec votre volonté humaine depuis votre naissance et vous avez en vous vos parents, vos arrière-grands-parents; vous portez en vous vos frères et vos sœurs qui eux aussi portent leurs parents, leurs grands-parents : c’est la volonté humaine qui est en eux.

Si vous, mes enfants de la Lumière, vous portez encore des défauts : c’est que vous traînez ce poids qui est la volonté humaine.

Je vous en supplie, ne vous jugez pas entre vous.

Si vous percevez un défaut chez votre frère ou chez votre sœur : donnez-le-moi, je l’ai porté ce défaut.

Aimez-vous : moi, je vous aime, je connais ce défaut puisque je l’ai porté, puisque j’ai souffert, puisque je l’ai purifié de mon Précieux Sang; si vous avez de la difficulté à pardonner ou à oublier, ou de la difficulté à me le donner : n’oubliez pas que je suis en cet enfant; n’oubliez pas que je vous soutiens dans votre faiblesse et je le soutiens dans sa faiblesse; je suis le seul qui ait porté tous les péchés : je suis le Fils bien-aimé du Père, en moi, il a mis toutes ses complaisances.

Aucun de vous n’aurait pu donner à mon Père ces enfants;

seul le Fils le pouvait, car il a porté tous les péchés.

Voyez-vous pourquoi il faut tout me donner? Lorsque vous me donnez tout, vous gardez votre paix.

Vous savez qu’un jour vous allez vous juger, et lorsque vous avez en vous votre paix : vous savez aussi que votre jugement sera comparable à l’amour que vous avez gardé en vous.

Mes doux amours, aimez-vous les uns les autres comme je vous aime.

Ne jugez pas mes enfants, car ce que vous percevez n’est qu’extérieur.

Lorsque vous avez ce doute : donnez-le-moi et allez à la confesse : allez puiser des grâces de force.

Mes prêtres, mes choisis, sont en moi : ils ne sont plus eux, ils sont moi par le sacerdoce.

Ils vous préviennent du danger et, aussi, ils vous donnent la lumière afin que vous, vous vous reconnaissiez petits devant la miséricorde de Dieu.

Seuls mes prêtres peuvent vous demander de vous abandonner en Dieu lorsqu’ils perçoivent qu’il y a en votre prochain des défauts; parce qu’ils sont en moi, ils peuvent vous demander l’obéissance pour ne pas voir en cet enfant l’absence à l’obéissance à Dieu; ce que j’essaie de dire, mes enfants, il y a autour de vous des enfants qui se font du mal à cause de leur volonté humaine et si un prêtre vous dit de faire attention : vous devez obéir au prêtre en Dieu, vous devez reconnaître en lui la lumière.

Demeurez en paix et priez comme lui prie pour cet enfant envers qui il vous a demandé d’être prudent.

L’Église, mes enfants, est à mon écoute : elle est pour vous un moyen de vous découvrir enfants de Dieu.

Lorsque vous savez qu’un prêtre vous recommande la prudence : obéissez à ce prêtre, priez pour que vous soyez dans l’obéissance et priez aussi pour que ce prêtre soit toujours dans la Lumière.

Mes enfants d’amour, en ce moment même, on veut faire du tort à mon Église.

Satan veut vous tromper et cela est vérité : il se sert de mes enfants choisis, de mes bien-aimés, pour vous troubler.

Souvenez-vous de Pierre : Pierre, mon choisi, a été dans sa faiblesse humaine, Satan l’a tenté : mon fils bien-aimé a pleuré sa faute.

Croyez-vous que vous, mes enfants d’amour, êtes à l’abri de Satan? Vous, mes enfants de la Lumière, vous n’êtes pas supérieurs à mon choisi : Pierre, mon premier Vicaire; soyez vigilants, soyez dans la prière.

Je vous demande et je vous supplie : ne vous jugez pas les uns les autres, car il (Satan) connaît votre faiblesse.

L’orgueil humain a pris une ampleur en votre monde : ce monde est rempli d’enfants qui s’écoutent, qui sont remplis de leur moi; cela s’est répandu sur toute la surface de la terre, mes enfants, et Satan en est l’auteur : il a empoisonné vos cœurs.

Cette maladie est si grave!

Aujourd’hui, on dit de faire attention; on a peur d’un virus : on sème en vous la peur et le seul auteur est Satan.

Il prend tous les moyens pour vous faire trébucher, car lorsqu’on est dans la surveillance à cause de votre prochain qui pourrait vous nuire : cela met en vous un doute envers l’amour du prochain.

Vous ne faites plus confiance en l’un ou en l’autre, car vous avez peur d’attraper son virus : on vous met en garde par les médias.

Voyez-vous ce qui se passe à l’extérieur de vous? Cela est son œuvre.

Moi, je vous dis que le danger le plus grand est en vous : celui de juger son prochain.

À quoi sert de sauver une vie extérieure alors que la vraie vie en vous est en danger? Gardez-vous prudents, gardez-vous dans l’amour, soyez humbles, allez puiser dans mes sacrements des grâces :

ils vous donneront des forces : vous verrez la lumière, vous la nourrirez.

Oh! mes enfants d’amour, ce n’est pas seulement à l’occasion qu’il faut vous reconnaître fragiles, c’est à chaque instant; à ce moment même vous entendez ma voix, mais c’est lorsque vous êtes avec vous-mêmes que vous devez faire attention : je vous couvre de ma Présence, vous savez que je vous parle; lorsque vous êtes seuls avec vous-mêmes, sachez que je suis en vous, que je vous parle, que je ne vous laisse pas un seul instant : comme je n’ai pas laissé un seul instant Pierre; je ne l’ai pas quitté, j’ai porté sa faiblesse en moi :

tout comme je porte en ce moment même vos faiblesses.

Mes amours, je vous donne mes grâces d’amour pour vos frères et vos sœurs : aimez-les, aimez ceux qui sont dans la prière car, vous savez, on est porté à juger ceux qui sont semblables à soi.

Voyez-vous, lorsque deux politiciens sont côte à côte pour avancer vers le succès : ils ne cessent de se piquer, ils veulent avoir la place; et lorsque des groupes de prière prient : ils veulent avoir pour eux une place choisie et, souvent, ils regardent au côté et jugent qu’un tel fait telle chose, qu’un autre oublie de faire une autre chose.

Oui, mes enfants, mes enfants de la Lumière se font du mal! Parce qu’ils m’aiment : ils veulent tellement être à la hauteur, que lorsqu’ils perçoivent un enfant qui n’est pas comme eux : ils le jugent parce que cet enfant n’a pas le droit de tomber, étant donné qu’il est dans la lumière, étant donné qu’il est priant, étant donné que Dieu l’a comblé.

Voyez-vous combien ils peuvent se juger entre eux!

Quelquefois, lorsqu’on aime trop avec sa volonté humaine : on fait du mal

à soi-même et à ceux qui sont autour de soi.

Mes amours, mes apôtres ont aussi connu cette faiblesse.

Lorsque je m’éloignais pour prier mon Père, ils étaient laissés à eux-mêmes; alors, quelquefois, ils se jugeaient sévèrement vous savez, en disant : Pourquoi n’as-tu pas pu faire cela? Pourquoi, toi, as-tu dit ça? Pourquoi l’autre s’est-il comporté comme ça devant notre Maître? Voyez-vous, ce n’était pas parce qu’ils ne m’aimaient pas, c’est parce qu’ils m’aimaient : ils voulaient que chacun soit parfait comme eux étaient parfaits : c’est ce qu’ils croyaient!

Moi qui connaissais chacun d’eux, je les aimais tel comme ils étaient.

J’ai connu la faiblesse de chacun, je connais aussi votre faiblesse.

Je les ai amenés avec moi afin qu’ils soient modèles d’amour, et vous, mes enfants de la Lumière, je fais la même chose avec vous : je vous guide, je vous amène avec moi afin que vous soyez modèles pour les enfants qui ne sont pas encore dans la lumière :

eux vous regardent, ils vous entendent parler, ils sont témoins de ce que vous dites.

Je vous aime, mes tendres amours; soyez abandon, ce n’est pas vous qui pouvez vous transformer, c’est moi.

J’ai besoin de votre oui : un oui d’abandon, un oui d’amour.

Je suis le Fils de Dieu, le Bien-aimé du Père : à moi seul de faire de vous les élus de mon Père dans l’amour, avec l’Amour, pour la gloire de mon Père.

Dieu fait descendre des grâces d’amour :

recevez ces grâces par celui qui s’est donné totalement en renonçant à sa vie d’homme,

en faisant de lui un fils consacré dans mon Église.

Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque fois que je fais un témoignage lorsqu'il me le demande, je ne sais jamais comment commencer.

Je  ne sais pas ce que je vais dire parce que le Seigneur, quand il parle, c’est spécial, et comment, moi, je peux arriver à parler après lui? "Oui, Seigneur." Il dit : «C’est parce que c’est moi qui suis encore là.»

Oui, Dieu est toujours en notre présence.

Il nous fait savoir qu’il est présent, qu’il nous prépare pour quelque chose de très important.

On est plusieurs et, aujourd’hui, il a dit qu'on est tous des enfants qui vont avoir à aider les autres.

On a une mission : celle de se donner.

On ne peut rien faire d’autre que ça : ce n’est pas à nous à savoir ce qu’on va faire, ce qu’on va dire, quand cela se fera aussi : c’est à lui.

On doit se donner totalement sans rien analyser, parce que lorsqu’on donne tout à Dieu, c’est là qu’il en fait le plus.

Dieu est tellement parfait, comment, nous, on peut savoir quoi faire?

C’est sa mission à lui, ce n’est pas la nôtre.

Nous, on est venu au monde parce qu’il l’a voulu : alors, c’est comme si on faisait tous partie de sa mission.

Quelquefois, je me sens indigne de dire une mission.

Ah! mon doux, la seule mission, c’est celle de Dieu; c’est la sienne, ce n’est pas la nôtre! Qui on est, nous, pour dire que nous avons une mission?

On doit tout simplement s'abandonner dans le Seigneur, faire ce qu’il nous dit de faire.

Depuis plusieurs années, on a vécu avec notre volonté humaine : il nous apprend à renoncer à notre volonté humaine.

C’est sûr, qu’en premier, ça fait peur quand on entend une autre personne dire : "Renonce à ta volonté humaine", mais c’est parce qu’on pense avec sa volonté humaine! Quand on entend ça, on la saisit avec sa volonté humaine; si on prend ça, puis on le garde pour soi, on ne pourra jamais s’abandonner, mais si on prend ce mouvement qu’on entend : "Bon, bien Seigneur, je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je te le donne" :

là, Dieu commence à agir.

C’est lui qui commence à faire le mouvement de tout ça, seulement Dieu : nous, on n’y peut rien! "Oui". Dieu me dit de continuer à vous parler.

Dieu a tellement à nous dire, mais nous, quelquefois on se demande : "Qu’est-ce qu’on peut faire avec ce qu’on entend"? C’est beau venir ici entendre, mais quand on s’en retourne à la maison, il faut savoir quand même quoi faire avec tout ce qu’on a entendu.

Comment le mettre en pratique? Eh bien, je vous dis : "Faites comme moi : faites rien!"  C’est ce qu’il m’a montré : je ne fais rien, je suis avec le Seigneur, ça, c’est ce que je fais, je suis avec lui, c’est tout ce qu’il me demande

toujours : «Donne-toi, garde ta paix».

Mais je ne sais pas comment avoir la paix moi, c’est lui qui la donne!

Alors, quelquefois, quand je suis à la maison et je trouve ça un petit peu compliqué, même beaucoup, des fois, tout ce qu’il me fait faire, alors je lui redonne.

"Tu le sais, Seigneur, que je ne peux rien faire, tu le sais que je ne suis pas capable de le faire : bien je te donne tout"; c’est tout! Mais c’est là qu’il me fait faire des choses de plus.

Si j’avais pensé à tout ce que je vous dis présentement il y a trois ans, quatre ans, ça n'aurait eu aucun sens pour moi, parce que je ne le vivais pas; c’est vraiment vivre : c’est vraiment le vivre! Si on dit : "Abandonne-toi", ce n’est que des paroles, mais il faut le faire, et encore là, c’est difficile, il faut le demander à Dieu : "Aide-moi, dis-moi comment m’abandonner, comment rien faire", et là, savez-vous ce qu’il va faire? Il va vous envoyer vers un père spirituel (confesseur).

Vous savez, je crois que si on veut s’acheminer dans l’abandon en Dieu, il faut avoir un prêtre avec nous; on ne peut pas le faire tout seul, il faut aller vers un prêtre : c’est lui qui nous donne des conseils, et si on vient à comme bifurquer, il sait, lui, nous remettre à notre place parce qu’il l’a fait depuis des années.

Quarante-quatre ans bientôt, il s’est donné! Quand on se donne comme ça, il y a de l’expérience; mais cette expérience-là ne vient pas de lui, elle vient de Dieu : c’est son sacerdoce, mais c’est ça qu’il faut aller puiser : 

il faut aller vers un prêtre.

Dieu a (bien) fait les choses! C’est merveilleux quand on analyse tout ce qu’il a fait! La première chose qu’il a faite, c’était de former son Église avec des apôtres : ses apôtres.

Alors comment, nous, on peut se laisser former sans aller vers ses ministres? C’est impossible parce qu’on est l’Église : on est membre de l’Église! Mais si on veut être membre de l’Église, il faut aller vers les principaux

membres : ce sont les prêtres, c’est eux qui nourrissent les membres.

C’est ce que Jésus me dit.

Il n’y a pas d’autres moyens. Dieu nous demande de nous abandonner.

Vous savez, quand on s’achemine en Dieu, si on ne va pas vers un prêtre, il va y avoir de l’orgueil : on risque de prendre les décisions par soi-même, puis quand on prend trop de décisions par soi-même, qu’on ne va pas piger dans les grâces du sacrement : eh bien, là, on risque de devenir orgueilleux par nous-mêmes.

Il faut aller vers les sacrements pour s’humilier : là, c’est l'accepter, mais c’est une bonne humiliation; ce n’est pas comme quand on se fait humilier, par exemple, je ne sais pas moi : par notre famille, par un groupe, par des amis; vous savez, des fois, ils disent : "Tu joues mal au bowling, tu tapes du 200 d’habitude puis, là, tu es rendu dans le 100."

C’est humiliant vous savez de se faire humilier devant tout le monde, mais ce n’est pas la même chose quand c’est en Dieu; c’est une bonne humiliation.

Maman Marie est le modèle de l’humilité et, aujourd’hui :

Maman Marie, c’est la Reine du Ciel, la Reine de la terre.

Alors, voyez-vous que l’humilité fait grandir? C’est ce qu’on doit apprendre, mais il ne faut pas oublier que nous avons avec nous : nos frères et nos sœurs.

Jésus nous apprend à nous aimer les uns les autres, il nous apprend à nous abandonner.

Vous savez, quand on est dans la prière, eh bien, qui vous pensez qu’on fréquente le plus? Des gens de prière, c’est rendu que ce sont mes amis.

Ma famille, je la fréquente quasiment plus, non; ils ont un petit peu peur de moi! Alors, je fréquente des personnes de prière et quand on fréquente des personnes de prière : on entend parler de un, on entend parler d’un autre, je les connais même pas, là : c’est un groupe d’une telle ville, c’est un groupe de l’autre, je les ai jamais vus! Eh bien, on ne se connaît même pas et, pourtant, on entend parler contre un et parler contre un autre : comment peut-on se permettre ça? Alors Jésus, lui, il dit : «Tu m’as, moi, alors garde-toi en moi et donne-les-moi» parce que, vous savez, Satan veut nous diviser.

On forme une même famille, une famille de prière : il va tout faire pour arrêter notre amour entre nous.

Maman Marie m’a donné un message et elle m’a dit qu’il était en train de faire un plan pour nous diviser, pour arrêter les écrits.

Mais Jésus a mis dans nos cœurs de l’amour et comme il nous a donné sa Mère, pourquoi on s’inquiéterait? il nous a tout donné, il nous a donné sa Vie; alors on n’a qu’à nous donner, à donner notre vie à Jésus d’amour et lui va tout faire, il va nous protéger contre ce qui s’en vient.

Et à chaque fois que j’ai des messages comme ça, – ça, ce sont des messages à moi, hein! Là, il permet que je vous le dise parce que c’est dans le Saint-Esprit – ça se produit toujours autour de moi.

Et Jésus nous dit que les journées qui ont précédé aujourd’hui, il y en a beaucoup qui ont subi des attaques, et ce n’est pas seulement moi, c’est dans les groupes de prière.

Dieu respecte notre liberté et c’est à nous de dire non à ce qui monte en nous quand ce n’est pas amour : c’est ça qu’il faut faire.

Il faut prier les uns les autres; il ne faut pas avoir peur parce que Jésus nous dit : «On n’a pas à s’inquiéter quand on est dans la vérité», parce que Dieu est là, parce que Dieu est présent, parce que Dieu nous nourrit : alors de quoi on a à se défendre? On n’a pas à se défendre, lui nous défend.

On n'a qu’à se laisser aller, mais, en tant que priante, je dois prendre en moi ceux qui parlent contre l’amour parce qu’on est tout amour, et les donner à Dieu : et c’est là que Dieu agit le plus et c’est là qu’il écrase Satan.

Souvent, on se demande comment ça se fait que Dieu peut permettre

qu’on ait des attaques : on est en Dieu!

Comment ça se fait-il qu’il nous vient des idées dans notre tête : "Ah! on est comme ci", ou bien "un tel est comme ça"; et "est-ce que ça entre en nous, ça? Comment Dieu peut-il laisser faire ça? Le mal, comment ça se fait-il qu'il soit en nous"? Mais Dieu dit qu'on vit avec le bien puis on vit avec le mal : ça ne veut pas dire que Satan nous habite, il faut vraiment se donner à Satan; mais comme, à cause du péché d’Adam et Ève, on vit avec le bien et avec le mal : le mal est en nous, alors, des fois, il resurgit.

Mais Satan, lui, suscite des événements : Oh! quelqu’un a dit quelque chose : oups! ça vient dans notre tête tout ça, là; mais ça, c’est suscité par Satan et ça vit en nous : ça peut être tout simplement une émission qu’on a vue à la télévision,  puis, sans s’en rendre compte, il y a une parole qui a entré en nous : oups! ça nous rappelle qu’il y a quelqu’un qui a parlé contre quelqu'un.

Mais c’est le mal qui vit en nous, là, il vient de se réveiller : par ce qu’on a vu, par ce qu’on a entendu, par des objets, des choses; alors là, c'est entré en nous, mais c’est là qu’il faut dire non et quand on dit non : Jésus, lui, dit : «Quand on dit non : on refuse le mal.»

Mais si on dit à Jésus : "Jésus, je te donne ce mal, mais je te donne aussi ceux qui pensent comme moi, ceux qui sont, à cause de Satan, tentés" : eh bien, Jésus se sert des enfants de la Lumière pour écraser Satan! Alors ça veut dire qu’on vient de recevoir des belles grâces, mais on n'est pas tout seul à en recevoir : ceux qui pensent au mal viennent d’avoir des grâces de force au-dedans d’eux parce que Dieu le permet : ça, c’est le talon de Marie!     

Voyez-vous, il se sert des enfants de la Lumière parce que Dieu connaît notre force.

Il sait que nous pouvons aider nos frères et nos sœurs parce qu’on s’est donné à Dieu.

Ne croyez pas, parce qu’on est en Jésus, qu’on n’a pas des attaques, hein? Des fois, quand on prie, ça ne vous arrive pas, vous autres, d’avoir des choses dans votre tête puis des choses vraiment graves, là? Mais Dieu, il pourrait bien, lui, empêcher ça! Dieu n’empêche pas :

Dieu connaît, Dieu renforcit.

Il nous a envoyé à confesse : on a eu des grâces de force; il nous a envoyé communier : on a reçu des belles grâces :

il nous nourrit.

Mais on doit aussi s’en servir pour nos frères et nos sœurs : on ne peut pas garder cela pour soi; garder ça pour soi tout seul, c’est de l’égoïsme.

Quand on sait tout cela : on ne peut pas ne pas entrer nos frères et nos sœurs en dedans de nous, parce que plus Dieu nous donne et plus qu’il en veut, et il nous le fait savoir : ça vient tout le temps dans notre tête, et c’est très court.

Quand je suis à l’offertoire et qu’il me demande : «Donne-moi ta vie, donne-moi la vie de mes enfants», et quand il me donne la communion, il dit : «Je te prends», instantanément : "Mes frères et mes sœurs!" ca vient en moi, ça vient comme l’air qui veut entrer en moi, aussi fort! Alors, Dieu dit : «Merci.»

Ah! c’est sa nourriture!

Ça, ce n’est pas moi qui ai pu faire ce mouvement de penser, c’est de Dieu, par les grâces des sacrements, c’est tellement fort en nous que ça vient tout seul; on ne peut plus se retenir; on est comme un mouvement dans le mouvement de Dieu et ça se fait tout seul et on vit ça.

Voyez-vous comment Dieu nous transforme? Ça, c’est Dieu.

On est vivant et ça ne s’arrêtera pas là.

Vous savez, il m’a dit : «Beaucoup d'enfants vont entendre, beaucoup d’enfants vont voir en eux, à l’extérieur d’eux; et ça, ce n’est qu’un commencement, ma fille. Je vous amène vers ma Terre Promise.»

Dieu l'a dit à l’Évangile; vous vous souvenez, il a parlé à ses apôtres comme si c’était présent; c’est ce que mon père Clément m’a dit.

C’était dès le commencement qu’il a parlé du Royaume de son Père et, ça, c’était une présence, tout de suite.

Il (le père Clément) a dit comme ça : "Quand un enfant meurt, eh bien, pour lui, c’est commencé le Royaume de son Père : c’est ça qu’il vit." Mais  Dieu, il m’a dit aussi : «Quand il y a un commencement, il y a une fin : vous êtes dans la fin.»

Nous vivons la fin de ce qu’il nous a annoncé.

Quand il y a une fin, ça veut dire que ça arrive.

Quand? Ce n’est pas à nous à savoir : ça me soulage! Parce que quand j’ai commencé en (l'année) quatre-vingt-dix-neuf à aller à Marmora, ils ont commencé à parler : "Eh! le retour du Seigneur!" Et là, moi, j’étais tout excitée : Ah! mon Dieu! là, je voyais des choses! J'avais des odeurs (de roses) de Maman Marie, je voyais le soleil qui avait comme une hostie en avant, c'était comme gris argenté : puis ça commence : "Ah! mon Dieu, mais le Seigneur s’en vient!" et puis, là, je mettais une date : "Ah! bien là, ça va être pour les Fêtes sûrement de l’an 2000, et je te le dis"; le rosaire! on avait dit de réciter un chapelet à Marmora, j’en ai dit trois : alors vraiment, c’était le temps! puis, oups! il n’est pas arrivé! : "Ca va être à Pâques!" on se donnait des dates! puis là, je me voyais avec mon mari : "Ah! mon Dieu, ça s’en vient!" Eh bien! maintenant, je ne me pose plus de questions : "Seigneur, je te donne tout; tu m’apprends tellement à m’abandonner : là, que je ne mets plus de date, plus de temps, ça n'a pas d’importance!"

 Ce qui est important, c’est tout de suite, là : ce qu’on fait

à l’intérieur de nous pour nos frères et nos sœurs.

Mais je remercie le Bon Dieu de ne pas être venu avant, savez-vous pourquoi? Parce que je connais des personnes autour de moi qui n'auraient pas été prêtes, et, aujourd’hui, il a mis dans mon cœur des personnes que je ne connais pas, dans les autres pays, dans les autres provinces, qui ne sont pas prêtes; alors, imaginez-vous, si c'était arrivé, comment ils auraient souffert! Il y en a qui auraient pu dire non! Parce qu’il a dit, une fois : – ça, c’est dans le troisième livre, c’est à propos des homosexuels; vous savez, il les veut à lui, hein? – il a dit : «Certains vont tellement souffrir qu’ils vont cracher sur moi parce qu’ils vont trop souffrir : leur souffrance va être tellement grande! Ils vont ressentir l’amour de Dieu et ils vont se juger d’après l’amour qu’ils ressentent : là, ils vont tellement être en présence de l’amour que la souffrance va être si grande qu’ils ne pourront pas la supporter; parce que ça va être trop fort, trop douloureux : ils vont vouloir que ça s’efface d’eux».

C’est pour ça qu’il faut prier pour qu’ils aient cette force-là...  sans les grâces, sans nos oui, oh, là!... Dieu, lui, ce qu’il fait : il nous donne des grâces en nous; comme on porte tous nos frères et nos sœurs du monde entier en nous, eux autres aussi en reçoivent des grâces; alors, au moment où ils vont voir l’Amour devant eux, ils vont se juger, mais avec les grâces.

Tout ça va être ainsi emmagasiné en eux : ces grâces de force; ils vont se reconnaître dans la souffrance, mais quand on se reconnaît dans la souffrance avec des grâces, ça fait moins mal! C’est ce qu’il m’a dit : alors, c’est pour ça qu’il faut qu’il nous prépare, nous.

En ce moment, il prépare tous les groupes de prière un peu partout.

Ce n’est pas seulement moi, là, il envoie beaucoup de personnes et vous autres, vous faites la même chose : quand vous parlez avec vos enfants à la maison, tout bonnement là, eh bien, vous sortez la lumière en vous pour leur donner de la lumière; puis eux autres aussi vont tous devenir des enfants de la Lumière.

Comment il fait? Quand il va le faire? Ce n’est pas à nous de savoir.

Ce que l'on fait, c’est tout simplement s’accomplir, s’abandonner.

Lui, il sait! Ce n’est pas à nous d’analyser.

C’est pour ça que c’est important! Le temps : lui, il le connaît, alors on n’a pas à chercher à savoir.

Il fait tellement bien les choses, Dieu, qu’on ne peut pas analyser son mouvement :

c’est trop parfait, il est trop intelligent!

Un jour, je ne sais pas si on va être capable de tout comprendre : seulement au Ciel, je crois, on va tout comprendre ça, mais de là à comprendre son intelligence, on ne pourra pas! Savez-vous, c’est qu’on va être en mouvement.

Il dit qu’on va se perfectionner avec son amour, on va être parfait, mais ça ne s’arrêtera pas là; la perfection, l’amour de Dieu : c’est un mouvement; alors Dieu est amour et plus que le mouvement se fait, et plus que le mouvement est en action : on ne peut pas arrêter quelque chose; alors Dieu est si parfait que sa perfection est Lui-même; nous, on va être dans son mouvement à lui, étant donné qu’on va être dans le mouvement du Seigneur : on va bouger en lui.

Comment voulez-vous atteindre un mouvement quand il tourne tout le temps? On ne peut pas, c’est la vie, c’est la vie éternelle.

Alors Dieu est si amour qu’il va nous nourrir de l’amour; voyez-vous pourquoi on va être éternel? C’est l’amour de l’Amour.

C’est tout ce que je comprends de tout ça et c’est suffisant, parce que ce qu’il me fait apprendre : c’est ce que je dois apprendre.

Merci beaucoup d’être avec moi et merci beaucoup parce que vous êtes en moi aussi et je suis avec vous.

Dieu ne fait pas ces rencontres pour rien, il ne fait pas écrire pour rien, même s’il y en a beaucoup : c’est comme le mouvement de tantôt que je vous parlais : il est toujours en train de bouger.

Eh bien, c’est ce qu’il fait! Il fait la même chose entre vous et moi, entre certains écrits avec d’autres écrits : c’est son œuvre et ce n'est pas la nôtre et on fait partie de son œuvre.

Alors, c’est pour ça que lorsque vous avez entre les mains un écrit d’un tel ou un écrit d’un autre : aimez-le parce que ça vient de lui et demandez au Saint-Esprit de vous faire goûter à ça : ça vient du Ciel! 

Vous savez, moi, je le sais, je l’entends, et je vous souhaite aussi d’être aussi en confiance en Dieu, parce que quand on entend parler de l’amour, quand on lit l’amour : eh bien, dites-vous bien que ça ne peut pas venir des humains parce que l’amour vient de Dieu.

Si un seul enfant qui se dit entendre et ce n’est pas vrai et qu’(il) écrit de l’amour,  eh bien, dites : "Merci, Jésus",

dites-lui merci : ça, c’est comme votre récompense d’avoir lu l’amour.

En ce qui concerne la personne qui a écrit, elle-même se présentera devant Dieu.

C’est ça qu’il faut comprendre, c’est ça l’amour.

Parce que quand on lit l’amour et si on ferme ça : "Je ne suis pas sûr d'elle", eh bien, il y a quelque chose qu’on n'a pas compris : l’amour! Parce que l’amour ça ne juge pas; l’amour ça se donne; ça s’offre : il faut tout donner à Dieu et aller vers votre prêtre : parlez-lui-en, lui saura vous conseiller.

Je vous remercie.

 

Marie : Et avec tendresse, avec amour, avec le Cœur de Marie, je voudrais vous dire : «Amours, vous êtes en ma fille; cette enfant s’est donnée à mon Fils parce qu’elle a vu la Présence même de l’Amour.

Nul enfant ne pourrait comprendre l’amour que si Dieu le Père le dépose.

Soyez unis dans l’Amour; moi, la Mère de l’Amour, je dépose en vous un baiser d’amour.

Il m’a été donné de vivre dans l’Amour même en mon sein afin de vous porter tous, mes enfants.

Soyez amour pour vos frères et vos sœurs, reconnaissez-vous tout petits enfants, je suis votre Maman.

Le Cœur de l’Amour bat en vous : unissez-vous à ses battements de Cœur et sachez, mes enfants, qu’en vous bat le Cœur de mon Fils.

Je vous aime, mes enfants d’amour.

Soyez tous unis les uns aux autres pour ne faire qu’un, en mon Fils.»

 

 La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci.