Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chicoutimi, Québec,

par son instrument la Fille du Oui à Jésus

 

2003-05-15

 

Présentation : Bonsoir à tous et à toutes. Nous sommes réunis ici ce soir dans l'amour de la Trinité qui veut nous parler par la fille de son choix, la Fille du Oui à Jésus. Colette m'a demandé de parler un petit peu, de moi, de ce que j'ai vécu, – je ne suis pas habituée avec cela – en lisant les deux livres.

Je suis rendue au deuxième, et le premier que j'ai lu m'a renversée.

J'ai été toute retournée d'abord parce que, moi qui cherchais l'amour, j'ai connu comment Jésus m'aimait vraiment.

Il me l'explique tellement bien que des fois je me disais : "C'est quasiment incroyable!" Puis des fois je me disais : "Ce n'est pas possible, il m'aime!"

Mais moi, je vis entourée de conflits, puis tout cela fait que je suis une femme qui est… Il y en a qui disent souvent que j'ai l'air douce, mais intérieurement je ne le suis pas; puis, je me disais, est-ce possible qu'il m'aime de même et qu'il m'accueille et qu'il veuille me donner des cadeaux? Mais, dans le deuxième livre, il m'a dit un peu plus : comment, moi, je pouvais lui rendre cet amour-là malgré ce que je suis, malgré qu'il me laisse certains états encore.

Je lui fais tellement confiance maintenant que ça change quasiment les gens autour de moi.

Je n'attends plus après l'amour de mon mari, je n'attends plus : j'ai Jésus en moi.

Puis, il y a quelque chose qui se transforme, je ne sais pas quoi mais, tranquillement, je ne suis plus la même.

Même s'il y a des choses qu'il me laisse, je lui fais totalement confiance.

Puis, quand ça va être le temps, il va faire qu'à son contact, je deviendrai l'amour de plus en plus.

Je ne suis plus capable d'être la même, et comme je le disais tantôt, entendre blasphémer autour de moi, je ne suis plus capable, je suis devenue retirée à l'intérieur de moi.

Et il y a une transformation qui se fait et même mon mari des fois se questionne; iIl est jaloux un peu, il ne me le dit pas, mais il voit que ça m'amène à les aimer encore plus; puis, il y a quelque chose qui se fait.

C'est sûr ça change. En tout cas, je vais arrêter là parce que je n'ai pas la facilité de m'exprimer. On va revenir à notre personne que vous attendez, que vous avez hâte d'entendre un instrument du Seigneur.

Puis, je pense qu'on pourrait ouvrir nos cœurs à l'Amour, à l'Amour qui veut se révéler

à ses enfants d'amour, comme il nous dit dans les livres : à ses enfants de lumière,

à ses enfants de la Divine Volonté, c'est nous autres ça !

par son instrument qui est son porte-voix.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est avec nous, il demande à chacun de nous : est-ce que vous m'aimez?

 

Jésus : Dites-le-moi, je suis en chacun de vous.

Tous:  Oui.

Ce mot est venu de votre intérieur; il a pris un sens, parce que c'est moi, votre Dieu, qui vous l'ai demandé.

L'Amour est en vous, il vous fait réaliser que vous pouvez aimer avec votre intérieur.

Il veut vous démontrer qu'en vous : il y a la puissance d'aimer.

Les enfants de ce monde, mes enfants, ont besoin de leçons d'amour.

Vous avez appris à dire le mot "aimer"  avec ce que vous êtes, avec ce qu'on vous a appris.

Moi, Dieu amour, je veux vous montrer à aimer avec moi, en moi, par moi, avec mes grâces d'amour, avec mes élans d'amour.

Il n'y a pas de plus grand amour que le mien!

J'ai démontré à chacun de vous que Dieu a aimé jusqu'à donner sa Vie.

Ils sont rares les enfants qui n'ont pas vu un corps attaché à une croix, mais certains d'entre eux ne comprennent pas ce geste d'amour : ils en ont peur.

Ils ne comprennent pas pourquoi un Fils, le Fils même de Dieu est attaché à ce bois.

Ils le croient faible, ils se disent que s'il est si puissant, pourquoi a-t-il accepté de se laisser crucifier?

Nous qui sommes des enfants du vingtième siècle, nous ne voulons pas nous impressionner

par ce geste, cela est pour ceux qui ne sont pas évolués.

Oh! mes enfants d'amour, ce sont vos frères, ce sont vos sœurs qui parlent ainsi.

Ils ne comprennent pas ce geste d'amour, car en eux l'amour est absent, car en eux ils ont étouffé ce qu'il y a de plus important : l'amour de Dieu pour eux.

Ils refusent mes grâces. Ils n'acceptent pas la Croix.

La Croix est un signe d'amour.

Par ma crucifixion, j'ai fait de la Croix un signe, un signe d'amour.

Je vous aime, mes enfants; je veux vous démontrer que l'amour est de donner, est d'offrir sa vie pour que l'être aimé soit consentant à accepter que vous vous donniez.

Par le crucifiement, j'ai donné ma Vie pour que vous soyez sauvés de la mort éternelle.

Il faut comprendre ce geste d'amour pour accepter mon amour : il a tout pris, il a tout accepté;

c'est un geste résigné, c'est un geste qui démontre qu'il est prêt à tout pour vous avoir.

J'aurais pu, mes enfants, prononcer un oui sans mourir sur la Croix, sans souffrir à l'agonie, mais, mes enfants, j'ai voulu vous démontrer que le Fils de Dieu a pris tous vos gestes, a pris tous vos mouvements qui vous ont fait souffrir; tout ce que vous subissez dans votre vie, moi, je l'ai vécu, je l'ai connu avant vous; toute souffrance morale, je l'ai connue; tous vos cœurs blessés sont en moi.

Combien d'enfants souffrent! Leur peine est si immense qu'ils ne peuvent plus supporter cette douleur; ils ne pensent plus à vivre, ils veulent enlever ce qui est en eux pour ne plus souffrir : ils n'ont pu trouver l'amour en eux, ils ont cherché.

Certains se sont tournés vers la boisson pour oublier qu'ils étaient dans la souffrance; certains se sont tournés vers les jeux pour trouver du divertissement afin de trouver une raison de se lever, car la vie leur apparaissait terne; certains se sont tournés vers la drogue parce qu'ils voulaient se prouver à eux-mêmes qu'ils étaient quelqu'un, ils se sont laissés entraîner parce que d'autres aussi ont voulu se démontrer qu'ils étaient capables de prouver aux autres qu'ils étaient égaux; certains se sont tournés vers le matériel, accumulant des moyens pour pouvoir s'offrir tout ce qu'ils voulaient.

Ces enfants cherchaient à remplir leur vie d'amour car, à l'intérieur d'eux, ils n'avaient pas trouvé l'amour, ils ne savaient pas comment!

J'ai porté ces enfants, ils étaient en moi; tous leurs gestes ont été en moi.

Ces êtres d'amour, ne pouvant supporter la douleur, se sont enlevés la vie : renonçant à eux-mêmes.

Mes amours, je porte les douleurs, vos douleurs.

Combien d'entre vous ont perdu un ami, un enfant, un frère, une sœur? Vous portez en vous encore cette douleur.

Il faut la donner à Jésus; donnez-la-moi, elle fait partie de ma Croix.

Oh! amours de ma Vie, je vous aime, je veux vous faire découvrir l'amour qui vous habite; je ne vous parle pas de condamnation, je ne vous parle pas de délaissement, je ne viens pas vous demander de subir le martyre, je viens vous dire : «Donnez-moi vos souffrances, donnez-moi ceux que vous portez en vous.»

Je suis l'Amour, je suis Jésus crucifié.

Mon mouvement d'amour est présent : je suis Dieu omniprésent.

Vous, mes enfants, vous êtes trop petits, trop faibles à cause de votre volonté humaine.

Dieu est la Puissance, Dieu est la Miséricorde. :

il faut mourir en moi pour vous délivrer des chaînes que, vous, vous avez consenti à porter.

Lorsqu'à chaque jour, mes enfants, vous partez travailler avec cette douleur en vous, vous ne pouvez pas connaître la paix; vos journées sont lourdes et votre caractère, mes enfants, en subit les effets : vous avez de la difficulté à sourire; votre patience a des mesures : elle n'a pas la longueur de votre douleur, car quand quelqu'un s'approche de vous et que cela ne fait pas votre affaire : vous le repoussez parce qu'en vous vous avez mal; vous ne pouvez supporter cette douleur, alors vous portez en avant votre douleur et vous repoussez votre prochain.

Cela se fait sans que vous en soyez conscients, mais vous le vivez,

vous ne le comprenez pas.

Durant votre journée, vous avez de la difficulté aussi à accepter ce qu'on vous demande.

Combien d'entre vous, vous êtes irritables lorsqu'on répète deux fois la même chose? Vous dites : «J'ai compris!»

Mes enfants, lorsqu'on se répète, c'est parce qu'on tient à ce que vous ne faisiez pas d'erreurs.

Le ressentiment est en vous, il n'est pas en celui qui le dit deux fois.

Mes amours, lorsque vous êtes au volant de votre auto, vous n'êtes plus capables de conduire en demeurant calmes.

Vous regardez autour de vous et s'il y a un mouvement qui n'est pas droit : vous gesticulez, vous portez un jugement, vous vous mettez en colère et vous croyez que c'est vous qui avez raison, ou si vous sentez que c'est vous qui avez tort, votre cœur se met à battre, vous avez peur que l'autre vous regarde; c'est parce qu'en vous, mes amours, il y a le petit enfant qui n'aime pas être dans l'erreur ou parce qu'il a peur de se faire punir.

Oh! il y a l'adolescent qui n'aime pas que l'autre vienne jouer sur son terrain! Depuis son enfance :

il croit que les autres dirigent sa vie : il ne veut pas l'accepter.

Mes enfants d'amour, votre monde est plein d'enfants souffrants.

Il n'y a pratiquement pas d'enfant qui a en lui la paix, il est à la recherche de l'amour.

Comment ne pas s'étonner, lorsque vous lisez dans les journaux qu'un tel a tué un autre, qu'un tel a agressé ses propres enfants.

Je crie vers vous pour vous demander de lever les yeux vers la Croix afin de vous regarder.

Lorsque vous regardez Jésus attaché à la Croix, vous regardez vos plaies.

Je porte vos douleurs, elles sont en moi; je les ai acceptées.

Je me suis donné par amour pour amener à la mort tous vos péchés.

Lorsque, mes enfants, vous vous refusez de l'amour, vous refusez de l'amour à votre prochain, vous refusez de l'amour à Dieu : vous êtes en manquement envers l'Amour.

Moi, l'Amour, j'ai pris tous vos péchés et j'ai laissé couler mon Précieux Sang sur chacun de vous pour vous purifier afin que vous soyez dans le bonheur.

Ce geste est un geste d'amour. Il est tellement grand ! Il est tellement puissant!

Je suis amoureux de vous.

Il faut que vous me donniez votre oui, il faut que vous m'abandonniez vos souffrances.

Donnez-moi votre vie, donnez-moi la vie de vos enfants, donnez-moi la vie de vos parents, donnez-moi la vie de vos frères et de vos sœurs.

Par votre oui, je prends tout en moi et je déverse en vous des grâces de paix, là, seulement, vous commencez à voir la lumière en vous.

Il n'y a que Dieu qui peut vous transformer.

Et lorsqu'on est en paix avec soi-même, on peut aider ceux qu'on aime.

Voyez-vous, je suis l'Amour, je me suis donné : vous, donnez-vous, offrez-vous.

Apprenez à accepter l'amour de Dieu : soyez tout-petits, arrêtez de vous juger comme n'étant pas capables, laissez à Dieu ce mouvement : c'est moi qui vais vous couvrir de mon amour, c'est moi le Tout-Puissant.

Je suis la Vie, vous avez en vous la Vie parce que la Vie vous a donné sa Vie.

Soyez  des tout petits enfants, soyez doux, soyez simples et soyez humbles.

Lorsqu'on est doux, cela veut dire que vous vous acceptez, vous ne vous prenez pas pour quelqu'un d'autre : vous acceptez l'amour de Dieu comme vous êtes.

Lorsque vous vous acceptez tels comme vous êtes, vous ne vous prenez pas pour quelqu'un d'autre : vous développez en vous de l'humilité.

L'humilité, c'est découvrir la petitesse que vous êtes : vous acceptez que Dieu le Père vous prenne par la main.

Vous acceptez  que mon Père fasse sa Volonté en vous

parce que vous lui avez donné votre volonté.

Lorsqu'on donne la main à quelqu'un, on fait confiance : on s'abandonne.

C'est ce que mon Père attend de vous, il veut que vous soyez tout abandonnés à son Fils.

Je suis le Verbe du Père, je veux vous envelopper de mon agir, je veux faire de vous des enfants obéissants à la Volonté de mon Père : en prenant soin de ce que vous êtes, en prenant soin de ne pas vous brusquer.

Vous êtes si fragiles à cause de vos manquements, de vos blessures, de vos douleurs!

Mes amours, Dieu parle à l'intérieur de votre être.

Dieu vous dit qu'il vous aime.

Je suis l'Amour, je n'ai que des mots d'amour à vous donner.

Si je vous dis que votre action : celle de vous enlever la vie est péché, c'est pour vous faire réaliser que vous avez offensé l'Amour, l'Amour qui est mon Père.

Il vous a donné la vie et, vous, vous la rejetez.

Alors moi, votre Jésus d'amour, doucement je veux vous montrer ce qu'est l'amour, ce qu'est l'amour de mon Père, parce que vous n'avez pas compris.

Lorsque j'ai enseigné à mes apôtres que l'amour de mon Père est immense, que l'amour de mon Père est immuable, que l'amour de mon Père est miséricorde, vous avez fui mes prêtres parce que vous ne vouliez pas être jugés.

Ce n'est pas mes prêtres qui vous ont jugés, c'est vous-mêmes : c'est vous-mêmes qui vous vous êtes jugés avec votre volonté humaine.

Elle est sous l'influence du mal ! C'est le mal qui ne veut pas que vous vous reconnaissiez comme un tout petit enfant qui a fait des gestes contre mon Père.

Ce n'est pas mon Père qui vous a punis, c'est vous-mêmes.

Mes enfants d'amour, je vous demande de réaliser que vous êtes des enfants de Dieu,

que vous êtes des enfants de mon Père.

Par mon sacrifice, je faisais de vous des enfants de mon Père.

Oh! mes amours, ce geste est un geste d'amour! Il faut le comprendre, il faut le vivre!

Il faut vous abandonner en donnant votre oui à l'Amour, dans la simplicité, dans l'humilité, en vous reconnaissant tout petit, un tout petit enfant.

Souvenez-vous, mes apôtres m'ont demandé qui était pour aller au Ciel, comment faire? J'ai dit qu'il faut que vous soyez tout petits.

J'ai mis au milieu d'eux un enfant, leur démontrant qu'ils étaient eux aussi des petits enfants.

Il faut entrer en vous, là vous allez vous reconnaître tout petits.

Je vous porte comme je vous ai portés sur la Croix.

Venez en vous, parlez-moi, dites-moi avec des mots simples : «Jésus, je t'aime, je suis tout petit, prends-moi.»

Mes enfants, ce n'est pas avec des phrases apprises par cœur dans des livres,

je veux que cela sorte de votre cœur, votre cœur d'enfant, avec simplicité.

Vous verrez que votre vie va changer : vous allez trouver moins difficile de vous lever le matin, car j'aurai déversé en vous des grâces d'amour, et lorsque vous allez vous retrouver avec votre prochain, ces grâces que j'aurai déposées en vous, vont vous nourrir : vous allez apprendre à devenir plus patients; vous allez apprendre à regarder avec les yeux de l'Amour; vous allez apprendre à me donner votre journée; vous allez aussi me donner les personnes qui vous irritent, et votre vie sera plus légère, et à chaque jour, quelque chose de merveilleux va se développer : l'amour en vous; et cela se fera à votre propre rythme, et c'est moi qui vais déverser en vous des grâces d'amour, et votre besoin de sentir l'amour va venir en vous, vous allez retourner avec mes prêtres, vous allez aimer recevoir mes sacrements :

l'Amour va vous transformer.

Mes enfants d'amour, vous êtes tous appelés à aider vos frères et vos sœurs que vous portez en vous.

Je sais, mes enfants, que tous ceux qui sont ici, pour la plupart, vous avez commencé votre transformation d'amour.

Je ne parle pas seulement en vous, pour vous, je parle pour ceux que vous portez en vous.

Ces paroles sont vivantes, ces paroles sont agissantes.

C'est Dieu qui parle, ce n'est pas cet instrument, ce n'est pas cette enfant; elle a accepté de mourir en moi en renonçant à sa volonté humaine.

Je me sers de cette enfant pour que vous puissiez m'entendre. Elle n'est qu'un micro, c'est tout, mes enfants!

Ne suis-je pas la Puissance? J'ai parlé par mes prophètes, je parle par des enfants choisis des derniers temps.

Je ne vous apporte pas de la nouveauté, je vous rappelle mon amour pour vous,

c'est moi qui me suis laissé crucifier pour vous.

Il y a plus de 2000 ans, mes enfants, que je me suis donné et, aujourd'hui, je vous parle de mon don d'amour, il est toujours en mouvement.

Je suis la Divine Volonté, je porte en moi tous les enfants du monde.

Depuis Adam et Ève jusqu'au dernier qui sera créé, je les porte en moi, je suis l'Agir de Dieu le Père.

Mon Père m'a donné toutes ses complaisances, j'ai tout en moi.

Mes enfants d'amour, je me meurs d'amour, je vous aime.

Aimez Jésus, aimez qui vous êtes, aimez vos frères et vos sœurs, acceptez mon don d'amour, et donnez-vous comme moi je me suis donné, et apprenez aussi à recevoir, de vos frères et de vos sœurs, l'amour : ils veulent vous aimer.

Un monde nouveau est commencé, un monde d'amour.

La haine, mes enfants, va disparaître de la surface de la terre.

Lorsque je me présenterai en vous, en tous les enfants de mon Père en ce monde, je vous demanderai si vous voulez de l'Amour : et tous ceux qui diront oui ne seront qu'amour et ceux qui diront non se refuseront de l'amour, et l'Amour se retirera de ces enfants, et les enfants qui seront amour ne seront qu'en Jésus.

Mes enfants, je n'ai pas de mal en moi, il n'y a pas de violence en moi,

il n'y a pas de haine en moi : vous n'allez être qu'amour.

Je vous annonce que vous, mes enfants, vous êtes en votre transformation d'amour.

Acceptez votre purification avec mes grâces.

Lorsque vous acceptez de vous laisser purifier avec les grâces de Dieu, vous connaissez la joie, la joie de porter votre croix, celle qui est en ma Croix.

Je vous aime, mes amours, laissez Dieu faire de vous des fils du oui à Jésus, des filles du oui à Jésus.

Vous êtes à moi, mon Père vous a donnés à moi. Je veux tous vous amener à mon Père.

Voyez-vous, mes enfants, Dieu parle parce qu'il connaît votre oui, il dépose en vous de la lumière.

Ses paroles sont vivantes, ses paroles sont pour vous, elles ne sont qu'amour, elles ne peuvent vous tromper.

Celui qui garde en lui ma Parole est dans la lumière, il n'y a que l'humble qui accepte que Dieu le transforme.

Reconnaissez-vous comme enfants de Dieu.

Ce n'est pas cette enfant qui parle qui peut faire quelque chose pour vous aider, ce n'est que Dieu.

Il y a ici un prêtre, il est le représentant de Jésus : le Christ-Prêtre, il a le pouvoir de changer le pain et le vin en mon Corps et mon Sang pour vous nourrir.

C'est moi qui vous nourris, c'est moi qui vous change en enfant de Dieu, je suis la Présence.

Il y a tant d'amour, en vous, inconnu de vous-mêmes!

Et Dieu a pitié de vous; il prend des enfants petits qui acceptent de se laisser transformer; ces enfants acceptent aussi de porter la croix, ils acceptent de souffrir par amour.

Souvenez-vous de mes paroles : «Celui qui veut me suivre, qu’il porte sa croix.»

C'est avec mes grâces que ces enfants peuvent supporter les douleurs que, moi, je consens à leur dévoiler; Dieu le Père connaît la mesure de chacun de mes instruments.

Il prépare ses enfants et eux sont dans la joie.

Ils se reconnaissent si petits, si indignes que lorsque Dieu leur dévoile

qu'ils sont associés aux douleurs de Dieu : ils se donnent avec humilité,

avec petitesse, se sentant indignes de ce mouvement d'amour.

Mes amours, lorsque vous me dites : "Jésus je t'aime, Jésus j'accepte ma douleur à la tête, Jésus j'accepte parce que, aujourd'hui, je viens de savoir que j'ai le cancer, Jésus j'accepte parce que mon enfant est malade, on vient de me dire qu'il va bientôt mourir, Jésus j'accepte de tout te remettre," ces enfants donnent leur oui, ils acceptent avec moi de porter mes souffrances et ils gagnent des âmes; par leurs souffrances, Dieu libère des âmes du purgatoire parce que ces enfants, je les connais, ils ont été avec moi au moment de ma Passion.

Vous, mes enfants de ma lumière, je connais vos dons d'amour.

Certains d'entre vous souffrent avec joie.

Ils acceptent leurs souffrances parce qu'ils savent que des âmes sont libérées.

Ils savent qu'ils sauvent des enfants qui, sans leurs souffrances, auraient dit non à l'Amour.

Mes enfants d'amour, mon don, mon sacrifice sur la Croix, sera pour vous un don d'amour, vous verrez Jésus en vous, glorifié :

je vous associerai à ma Gloire. Amours, amours, Dieu est tout-puissant.

Je vous aime, gardez en vous l'amour qui s'est dévoilé.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est si amour qu'il ne cesse de combler ses enfants, et c'est par les mains consacrées de son prêtre, qu'il nous accorde des grâces d'amour.

 

Bénédiction du prêtre : Que la bénédiction du Père et du Fils qui est amour descende sur chacun d'entre vous, sur la Fille du Oui, sur ceux et celles qui sont étroitement associés à sa mission de répandre l'amour, qu'elle descende et s'installe en permanence en chacun d'entre vous et en tous ceux que vous aimez, en tous ceux dont vous souhaiteriez qu'ils vivent dans la paix, dans l'amour, dans la Volonté Divine.

Que Dieu, Père, Fils et Esprit Saint, par l'intercession de la très Sainte Vierge, Notre-Dame de l'amour, descendent sur vous et vous gardent dans la paix, dans la confiance, dans l'amour : Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

 

Tous : Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce soir, Dieu veut que je sois plus 'légerte' : "Seigneur, je ne sais pas comment."

Il vient de dire cela à l'intérieur de moi. Il veut que nous soyons tous unis dans son Cœur, il veut que nous flottions, parce qu'il dit : «Je vous porte sur mes ailes et je veux vous amener à mon Père.» "Oui, Jésus." Il fait savoir par là que chacun d'entre nous, on reçoit des paroles qui sont dans notre cœur; il me les dévoilera. J'ai écrit pour vous, mais j'ai aussi des écrits pour moi, j'en aurais, peut-être, assez pour écrire un livre.

Jésus ne cesse pas de nous dire comment il nous aime.

Quand il n'a rien à me faire dicter, c'est toujours : «Je t'aime, ma fille, dis-moi que tu m'aimes, dis-le-moi; il y en a tant qui me le disent pas, je me meurs d'amour!»

Quand il veut me faire travailler, là il dit : «Va t'installer pour écrire», et croyez-moi, je m'installe souvent! Je me lève tôt le matin, il me fait dormir à peu près, quoi, cinq heures! Et durant ces cinq heures, eh bien, il me fait voir des choses, il m'apprend des choses, et quand il me réveille, il m'explique ce qu'il en est.

Vois telle ou telle chose, ce sont mes enfants souffrants; vois telle ou telle chose, c'est l'amour.

Comme ce matin, il m'a dit : «Je suis l'Église. L'Église, c'est mes enfants. Vous êtes l'Église…», alors il a continué; assez que Colette a dit : "Ah! tu as dormi au moins jusqu'à huit heures moins quart!" c'était depuis cinq heures qu'il me parlait.

Je vis dans la Divine Volonté.

Au commencement, ça a été mon ange. Ah! il dit : «C'est faux, ma fille.» Ça a été lui.

Il dit : «Souviens-toi : 'Je crie au-dessus des toits, mais personne ne l'entend tant ma souffrance est immense.' Oui, il dit : «Voilà!» 

Alors Jésus m'a parlé le premier, c'est vrai parce que j'ai réalisé quelque chose l'autre jour; c'est que lorsque j'étais devant le tabernacle, j'entendais tout le temps : «Je t'aime, je t'aime, ah! je t'aime», alors là, je disais : "Ah! Seigneur, je ne suis pas capable de m'arrêter de penser. Je m'excuse, Jésus." Puis, là, je disais : "Seigneur, pardon, je ne suis pas capable de m'arrêter de le dire, d'y penser : "je t'aime, je t'aime".

Ah! c'était vraiment dérangeant parce que je voulais rester silencieuse !

Il disait : «Restez silencieux devant le tabernacle»; alors, moi, je voulais rester silencieuse devant le tabernacle, puis faire le vide; il disait : «Faites le vide en vous»; je voulais faire le vide, mais j'entendais tout le temps des «je t'aime.»

Ah! je disais : "Je ne suis pas capable de faire ça!"

Bien, j'ai réalisé, que c'était lui, c'était Jésus qui disait «je t'aime», mais je n'étais pas capable… "Oui"

Il dit : «Tu étais trop petite pour comprendre que cela venait de moi.»

C'est ce qu'il vient de me dire.

Alors, j'ai entendu aussi mon ange, mon ange gardien; avant, j'ai entendu Maman Marie.

Après cela, j'ai eu des onctions, c'est dans une vision, j'ai eu une bénédiction, par le Fils, le Saint-Esprit et Dieu le Père, et quand ça a été fini, ça a comme explosé, et j'ai eu tellement mal : tellement mal que cette douleur s'est arrêtée dans l'après-midi quand j'ai reçu la communion.

Là, ça s'est arrêté et après, j'ai commencé à entendre, j'entendais mon mari. La première fois que j'ai entendu mon mari, c'est à l'hôpital.

Pour moi, aujourd'hui je peux le dire : une journée d'amour, d'amour du Père, parce que la veille, j'avais été en pèlerinage à Marmora et, à l'oratoire (Saint-Joseph), devant le tabernacle, Jésus m'a dit : «Je veux que tu t'abandonnes, abandonne-toi.» J’ai dit : "Oui."

«Je veux que tu t'abandonnes totalement.» Alors, je disais "Oui."

«Je veux que tu t'abandonnes», ah! c'était là et c'était tout le temps : «Je veux que tu t'abandonnes.»

Tout le long du voyage dans l'autobus c'était : «Je veux que tu t'abandonnes»; alors, je disais : "Oui, Seigneur", mais en même temps j'avais peur, parce que ça n'a pas arrêté.

Arrivée à Marmora, il a fait lui-même le Chemin de la Croix et c'était continuellement : «Abandonne-toi»; C'était tout le temps ça qui revenait, et il faisait la méditation, et c'était de l'abandon, puis de l'abandon total.

Quand la journée a fini, je ne sais pas comment je me suis rendue à la maison.

Mais il s'était passé quelque chose de beau à la croix de Dozulé : j'avais vu la Sainte Vierge, mais à l'intérieur; c'était la deuxième fois que je la voyais tout entière, habillée en blanc, tout blanche, et elle était comme suspendue dans les airs; puis elle m'a regardée, puis elle m'a souri et je l'ai sentie; c'était une grande joie, et elle m'a dit : «Va, maintenant», mais je n'étais plus capable de revenir à moi.

Elle a dit : «Obéis.» Là, en larmes, avec un grand effort, il a fallu que je revienne, parce qu'elle respecte notre volonté; alors, cela a été avec des pleurs.

Mais, j'avoue, des grands pleurs parce que quand on ressent cela, puis on sort de cet état, il se passe quelque chose en nous, mais on ne peut pas l'expliquer, c'est tellement beau et tellement souffrant en même temps! C'est tout mélangé, on ne peut vraiment pas le dire.

Alors, quand je suis arrivée à la maison et que j'ai dit : "Ça va !" Hé! ce n'est pas moi, hein ! parce que mon mari, lui il voulait bien que j'aille à Marmora, mais pas que j'en parle : ‘Tes affaires, c'est tes affaires, puis, moi, c'est mes affaires’, alors que cette journée-là, imaginez-vous qu'il m'a demandé comment ça avait été à Marmora; hé! c'était la première fois qu'il me le demandait, alors qu'avant, j'aurais déballé ça, j'aurais rien oublié.

Pourtant,  j'ai dit : "Ça va bien, j'ai passé une bonne journée." Et là, il m'a demandé : "Ça s'est bien passé?" Alors là, j'ai dit : "J'ai vu la Sainte Vierge en moi." Il a remis ses écouteurs (il regardait la télévision). Quelques secondes après, il les a enlevés, il m'a regardée, puis il m'a dit : "Est-ce que tu me dis la vérité?" Alors, j'ai dit : "Oui." Il a remis ses appareils, puis il a fait un signe, et il a souri; là je savais qu'il m'avait crue.

Vous savez, quand ça fait trente-deux ans qu'on vit ensemble, on se connaît; alors, on a été se coucher. Le lendemain matin, il m'annonce que toute la famille allait à la messe.

Ah! le beau cadeau! Alors, on arrive à la messe; la plupart ont été à la confesse. Mon mari a été à la confesse et il a été communier.

Alors, au moment de la communion, – vous savez, je vois des choses à l'intérieur, – je me suis vue à genoux et j'ai vu Jésus, mais que de profil – pas comme, vous savez, on voudrait le voir, on voudrait le savourer; ce n'est pas assez visible, c'est comme si Dieu mettait comme un voile et on n'est pas capable de le voir, il nous laisse sur notre faim – alors, il m'a dit : «Veux-tu être mon épouse?» "Bien, non, Seigneur, je suis mariée!"

Alors, il m'a dit : «Veux-tu être mon épouse mystique?» Je ne savais pas trop ce que c'était "mystique" mais j'ai dit : "Oui."

Alors, il a dit comme ça : «Ton mari est témoin.» Je n'ai pas vu mon mari, mais j'ai vu un cœur; quand il a dit cela, un cœur est apparu, un cœur de chair : il était rouge, puis il battait, il était dans les airs.

Alors Jésus, il m'a dit combien il m'aimait, et cela a disparu.

Après la messe, toute la famille a été, comme des bons Québécois, dîner au restaurant, et après on est arrivé à la maison, tout seuls; nos enfants ont pris chacun leur bord et on en a profité pour se reposer.

Peu de temps après, il s'est installé dans le fauteuil et il a dit : "Je pense que le Père veut venir me chercher."

Peu de temps après qu'on soit arrivé à l'hôpital, mon mari a fait une crise de cœur; une garde-malade a dit à mon garçon et moi : "Il vient de faire une crise de cœur, ne vous inquiétez pas, il est entre bonnes mains, on va prendre soin de vous."

Alors, on nous a amenés dans une place où je crois qu'il y avait des ordinateurs; après un appel à mes deux filles, elles sont arrivées avec mes gendres et même l'amie de mon garçon était là. La garde-malade nous a dit que le médecin était pour venir nous voir.

Mais, durant ce temps, ma fille avait sorti son chapelet, Nathalie, et on priait; mes enfants disaient : "On va pas perdre papa?" J'ai dit : "Mais non, ne vous inquiétez pas." Alors, on priait.

La garde-malade est venue avec le médecin, – c'est à peu près vingt minutes après ou quinze minutes, le temps pour moi, ça m'a semblé très long en tout cas – et quand le médecin est arrivé, il a dit : "Nous allons lui injecter un produit qui va faire accélérer son pouls, là, puis son cœur va repartir à la normale."

Alors, il est reparti et nous, on a continué à prier, toujours en gardant notre paix; on ne pleurait pas, on gardait notre paix.

Vous savez, en tant que maman, les enfants me regardaient et je gardais ma paix. Et là, quelque temps après, le médecin est venu nous dire : "Le médicament n'a pas fait son effet."

Alors, je lui ai dit : "Est-ce que vous êtes en train de me dire que mon mari va mourir?" Il a dit : "Oui." Alors, j'ai dit doucement : "Je veux voir mon mari."

Il a fait un sursaut et j'ai dit : "Mes enfants veulent voir leur père."

Et je crois qu'il a dit : "Mais il est bleu, il n'est pas présentable." J'ai dit : "Je veux voir mon mari et mes enfants aussi." Alors, il a dit : "C'est bien", il est parti.

Alors la garde-malade est partie et elle est revenue nous dire : "Vous savez, il y a un aumônier. Est-ce que vous voulez qu'il reçoive le dernier sacrement?" (elle avait vu qu'on priait) J'ai dit : "Oui".

À l'intérieur de moi, j'ai dit : "Ah! merci, mon Dieu!" Je venais de recevoir mon premier cadeau.

Et après, lorsqu'on s'est retrouvé seuls, ma plus jeune a dit : "Maman, tu sais, papa …" J'ai dit : "Oui, ma fille." Elle a dit : "Je le donne à Jésus." J'ai dit : "C'est bien."

Mon autre fille a dit : "Maman, je connais papa aussi, je le donne à Jésus."

Mon garçon a dit : "Je le donne à Jésus."

Alors, on a donné notre oui, et la garde-malade est venue nous chercher; nous sommes entrés avec le prêtre et on s'est mis tout autour de lui, il a fait le dernier sacrement et après, il a dit : "Mettez votre main sur lui et on a dit le "Notre Père" et quand on a dit "Amen", son cœur s'est arrêté, parce que ma fille, qui était près du médecin, l'a entendu, au moment du "amen", dire : "Il vient de mourir." Alors, on a beaucoup pleuré, mais la garde-malade nous a dit : "Vous ne pouvez pas rester ici, c'est l'urgence."

Elle me dit : "Vous pouvez demeurer avec lui autant que vous le voulez, je vais vous emmener dans un endroit où vous serez ensemble."

Je venais de recevoir mon deuxième cadeau : demeurer avec mon mari.

Nous avons resté avec lui et, vers dix heures, j'ai entendu : «Je veux que tu restes seule avec ton mari.»

Alors, j'ai dit aux enfants : "Voulez-vous me laisser seule avec papa, je vais lui dire bonsoir."

Alors, j'entends le Seigneur, il a dit : «Ma fille, fais le signe de la croix sur son front.» J'ai fait le signe de la croix avec la main droite, mais il a dit : «La main du cœur»; alors, c'est avec la main gauche que j'ai fait le signe de la croix.

Et il a dit : «Mets ta main sur son cœur.» J'ai mis ma main, mais il a dit : «Non, ma fille, la main du cœur.»

J'ai retiré ma main et j'ai mis ma main du cœur; alors, j'ai entendu Jésus d'amour, il a dit : «Ton mari est avec moi. Il est en ma présence avec ma Mère.» Ah! il venait de me dire que mon mari était avec Jésus et Marie!

Alors, il a dit : «J'ai tout pouvoir sur la vie et sur la mort. Tu as un choix à faire, ma fille. Si tu choisis de garder ta main sur son cœur, ton mari retournera avec toi, et si tu choisis de retirer ta main, ton mari restera avec moi.»

Dans un état que je ne peux vous expliquer, j'ai retiré ma main, parce qu'un an avant, j'ai été voir Maman Marie à l'église, parce que mon mari, ça faisait un an qu'il ne venait plus à la messe, ni mon garçon, et j'ai dit à Marie : "Marie, je te donne ma vie pour que mon mari aille au Ciel et mon garçon."

Et là, il venait de me dire qu'il était au Ciel, comment pouvez-vous ne pas la retirer?

C'est venu dans ma tête si vite tout cela, j'ai enlevé ma main.

Alors, la voix de Jésus me dit : «Mets ta main sur son front.»

Là, j'ai mis ma main du coeur sur son front, et j'ai entendu la voix de mon mari; il m'a dit : "C'est moi, Maurice, ton mari. Dieu le Père permet que tu entendes ma voix, lui seul jugera le moment où cela s'arrêtera. Je t'aime, mon épouse, je vais t'aimer toute l'éternité. Je vais te protéger, je vais être toujours avec toi."

Et il m'a dit : "On va essayer de te faire du mal, j'ai mission de te protéger. Beaucoup ne croiront pas, mais après un certain temps le nombre de ceux qui croiront sera de beaucoup plus grand que ceux qui ne croiront pas."

Et, depuis ce temps, j'entends la voix de mon mari; et dans les moments difficiles, mon mari me dit : "Obéis à Jésus, sois obéissante. Tu lui appartiens comme je lui appartiens. Je vis en Jésus, tu vis en Jésus."

Vous savez, sa mort et les quatre jours qu'il a été exposé, c'est lui-même qui a choisi ces journées, il a lui-même choisi sa tombe, il a lui-même choisi les fleurs, les couleurs, tout ce qui était écrit sur les cartes, c'était de mon mari.

Et lorsqu'il y a eu la lettre après la cérémonie – j'avais reçu un message de mon mari et de Jésus – là, j'ai dit ça au prêtre, parce qu'il faut qu'il accepte ce qui va se dire dans son église, c'est très important.

Et je ne sais pas comment ça se fait, il a dit oui, mais moi, je ne le savais pas qu'il pouvait refuser ça, c'est seulement qu'après que j'ai su pourquoi il fallait que je la présente.

On m'avait dit : "Il faut que tu présentes ça au prêtre."  Je l'ai présenté!

Et le message a été dit à l'église, et l'église était pleine, et c'est une grande église, et Dieu a parlé dans les cœurs cette journée-là.

Et les gens de ma paroisse ont mis ça sur mes émotions; c'est très dur, vous savez, pour eux de comprendre mon état.

J'ai lu, en avant, avec une paix, le message; ils étaient tellement émus qu'on m'a dit que plusieurs ont pleuré, mais au bout d'une semaine, quinze jours, là ils ont pu digérer un tout petit peu, on a dit que c'était dû à mon état.

Mais Dieu n'a pas arrêté sa Divine Volonté; en ce qui me concerne, j'entends la voix à l'intérieur de moi et de d'autres personnes. Quand on vit dans la Divine Volonté, on porte tous nos frères et nos sœurs du monde entier et Dieu, lui, il permet qu'on les entende.

Lorsque je dédicace votre livre, ce n'est pas moi qui dédicace, c'est Jésus; cela se fait, parce que j'entends ce qu'il vous dit à l'intérieur de vous; vous donnez votre consentement, parce que je ne le pourrais pas, Dieu ne le permettrait pas; alors Dieu, comme vous donnez votre oui, Dieu me fait entendre ce qu'il vous dit à l'intérieur de vous, alors je peux l'écrire; c'est tout simplement comme s'il mettait mes oreilles en vous, puis j'écris.

Et c'est comme ça avec des âmes quelquefois; ce sont des âmes vivantes qui donnent leur oui à Jésus dans la Divine Volonté, et Dieu permet que je les entende.

C'est pour ça que dans le livre deux, il y a une âme qui parle dans la Divine Volonté; c'est parce que cette âme, je l'ai entendue et j'ai pu écrire ce qu'elle vivait.

Mais Dieu est tellement amour qu'il m'avertit à l'avance parce qu'il respecte qui je suis, et là je peux écrire; et dans le troisième, vous allez voir qu'il y en a beaucoup.

Dieu, lorsqu'il donne de l'amour, il ne calcule pas, il ne mesure pas, il veut qu'on soit comme lui.

Il veut qu'on se donne, qu'on ne calcule pas et qu'on ne mesure pas, et c'est seulement que par ses grâces que cela se fait.

Dieu demande à chacun de nous de se donner, mais il nous donne tant!

Regardez, il m'a demandé de l'abandon, j'ai donné mon oui, je ne savais pas ce qui était pour m'arriver: mon mari est mort et je l'entends, il m'a donné des grâces de paix, des grâces d'amour.

Lorsque Dieu donne, il ne mesure pas.

Nous, avec notre volonté humaine, on ne serait pas capable, mais en donnant notre oui, en s'abandonnant dans la Divine Volonté, Dieu nous rend capables, ça ne vient pas de nous.

Ce que je fais en ce moment, ça ne vient pas de moi, ça vient de sa Divine Volonté en moi.

À la communion, tantôt, j'ai vu en moi Dieu le Père qui m'a fait disparaître encore; dans sa main, il m'a mise et il a déposé son autre main sur moi; il a dit : «Tu n'es plus. Je prends ta volonté. Tu vas te présenter et ta volonté humaine ne sera que la mesure de ce que moi je veux.»

Juste assez pour me tenir à ma place, juste assez pour avoir un sentiment de présence : c'est comme ça qu'il fait.

Alors, voyez-vous, quand Dieu veut qu'on donne, c'est lui, c'est sa Divine Volonté.

Il me dit que d'autres vivent la Divine Volonté, comme Julia : Solitude; d'autres aussi vivent dans la Divine Volonté, comme Vassula; parce qu'il veut qu'on soit tous comme ça; il veut qu'on renonce à notre volonté humaine pour vivre dans la Divine Volonté.

Il veut nous transformer parce que tous les enfants qui vont dire oui à l'Amour vont dire aussi non à la volonté humaine :

alors, on va devenir des enfants de la Divine Volonté.

Si en respectant mon oui, qui n'est pas encore à la hauteur de ce qu'il veut, il me donne beaucoup, comment ça va être tantôt? Il va tellement donner, Jésus!

Si vous saviez ce qu'il dit de la Terre Nouvelle, ce qu'il dit de ce qu'on va être, c'est magnifique, c'est merveilleux!

Si je disais ça à des personnes qui n'ont pas donné leur oui, parce que vous, vous avez donné votre oui, mais eux, eh bien, ils diraient : "Sors de ton univers, puis reviens sur la terre."

C'est seulement quand on donne notre oui et qu'on commence à se laisser transformer que l'on accepte ce que Dieu nous dit.

Dieu nous transforme, on voit son agir.

Imaginez-vous, on est rendu à sentir des odeurs de roses qui viennent du Ciel et, pourtant, on ne s'en étonne même plus! Pourquoi? Soit qu'on l'ait sentie soi-même, soit qu'on a connu un tel qui l'a sentie, un autre aussi, et c'est des centaines! 'Coudons', c'est correct : "Merci, Seigneur!"

Et maintenant, on entend parler que Maman Marie apparaît à des centaines de places; on accueille ça avec amour : "Merci, Seigneur!"

C'est rendu qu'on peut avoir des messages venant du Ciel; certains nous disent qu'on a…comment on dit ça, la berlue? Et nous, les enfants du oui, on trouve ça normal!

"Merci, mon Dieu, tu nous nourris, tu nous gâtes, on est pourri! Ah! Seigneur, tu es merveilleux!"

Mais n'oubliez pas que ça se paye; on n'est pas encore rendu à la Nouvelle Terre, le chemin est très étroit.

Il a dit que le chemin qui mène au Ciel, est petit, petit, et est étroit.

Un jour, j'ai eu une vision et je l'ai racontée cette vision : "Je suis à la maison, je sors et je vais sur la route et d'autres enfants me rejoignent parce que je vois des maisons dont la fumée sort de ces maisons, une fumée noire.

On est tous dehors puis on marche, et on a la paix : on est une grande famille, – je ne vous connaissais même pas, maintenant je sais, je vous connais – on est sur la route et je sens qu'on est une seule famille, puis on avance tranquillement.

Le groupe grossit, le groupe grossit, et on voit des maisons, puis on avance, on va tout droit, on arrête, on entend un enfant pleurer, on va le chercher, on l'amène dans notre groupe, on repart en paix, sans se parler, et on avance.

Sur notre chemin, on rencontre des gens qui veulent nous arrêter; alors eux, ils ont de la colère, ils sont en furie, ils nous insultent, ils montent dans des autos luxueuses, puis là, ils partent. Mais une personne d'entre nous est sortie de notre groupe pour aller les rejoindre, on l'a pas retenue parce que c'était son choix, on les a regardés passer; on sent à l'intérieur de nous la paix, c'est comme si notre cœur était tout uni, puis on sait qu'il y a quelque chose qui va leur arriver : on en ressent une peine, mais on continue et la paix est toujours en nous.

Là, on arrive, il y a un bois : il faut passer ce bois, il faut arriver à l'eau et c'est loin : deux obstacles encore; arrivés à l'eau, trois enfants partent à courir, pleins de joie, ils traversent l'eau.

Un monsieur essaie de les retenir, puis on s'aperçoit que c'est bien correct, et, nous, on trouve des chaloupes, des pneus gonflables, n'importe quoi : la simplicité.

Rendus de l'autre côté, il y a un terrain aride comme un désert : il n'y a rien qui pousse, et pourtant ça ne nous arrête pas : on avance, on est dans la paix, et on se laisse guider par l'intérieur, et on sait qu'il y a une crevasse qu'il faut qu'on passe, mais il n'y a qu'un sentier, un tout petit, pas un sentier, un passage tellement étroit!

On ne s'inquiète pas parce qu'on sait qu'il est là, et que ce qu'on ressent à l'intérieur de nous, ça nous fait avancer et on passe le sentier."

Ça, c'est nous, c'est nous; on avance parce qu'on a accepté de renoncer à tous nos attachements inutiles : télévision, radio.

Maman Marie m'a dit, une fois, qu'elle va nous tenir la main lors des renoncements. On va en avoir de besoin, car il faut renoncer à notre garde-robe, à nos autos, à toutes ces choses, nos superflus, et il commence à tempérer nos vies de toutes les inutilités autour de nous.

Ça commence, car quand une jeune fille dit qu'elle n'est plus capable d'aller passer des soirées à jaser devant une bière avec des amis, et qu'elle renonce à cela par amour parce qu'elle le ressent ce quelque chose : ça, c'est un renoncement.

Mais c'est ça, nos oui! On va renoncer tranquillement! C'est ça, notre fumée; tout ce matériel qui passe, c'est de la fumée; là, on va avancer avec la paix, ce sont les grâces : Dieu va nous donner des grâces d'amour, de paix.

Imaginez-vous que nous écoutons la Volonté de Dieu lorsqu'on est dans ces rencontres et lorsqu'on est dans la prière ensemble : on est en train de former une grande famille.

Tantôt, elle a dit dans sa présentation : elle a été au Nouveau-Brunswick; mais, le Seigneur, il m'envoie là et il m'envoie dans l'Ouest parce qu'on est tous unis, on est tous des fils et des filles du oui à Jésus, des enfants de la Lumière.

On est toute une grande, grande famille : l'Église de Jésus.

Puis, il nous amène dans la Terre Nouvelle dans la paix, mais on rencontre des obstacles, des gens qui veulent essayer de nous faire virer de bord; ça peut être nos frères, ça peut être nos sœurs, des amis.

Vous savez, il y a peut-être des gens avec nous qui vont peut-être perdre la foi, encore, en cours de route. Mais lorsque Jésus nous fait entendre un enfant crier et que quelqu'un sort et va chercher cet enfant, c'est qu'il nous demande de prier : «Allez chercher mes enfants, amenez-les avec vous; soyez donation, ouvrez vos bras, accueillez mes enfants.»

C'est ça qu'il veut : il veut qu'on lui amène ses enfants, et c'est avec ses grâces d'amour, ses grâces de paix, ses grâces d'abandon qu'on avance.

Oh! on va encore avoir de la purification à faire; cette purification-là, il va falloir la traverser, on a des obstacles à traverser, on ne sait pas où on va aller.

Les arbres, ce sont des obstacles qu'on va rencontrer; par moment, on va croire qu'on est capable par nous-mêmes de s'en sortir, parce qu'en nous il va y avoir encore de la volonté humaine; il va nous montrer qu'il faut qu'on regarde en soi parce que si on regarde en avant de nous avec notre volonté humaine : on va encore s'écarter, on va entrer dans des endroits inconnus encore une fois : ce sont les arbres.

Il va falloir qu'on passe encore par des étapes et c'est seulement qu'en entrant à l'intérieur de nous qu'on va voir la lumière, parce que lorsqu'on entre dans une forêt, n'oubliez pas que la lumière pénètre, mais pas au complet, il n'y a seulement que des rayons.

Alors, il va falloir tout le temps dire des oui à Jésus, tout le temps aller vers les prêtres, recevoir les sacrements; il va falloir aller à la messe, dire nos prières, lire les bonnes choses, boucher nos oreilles de ces sons sans amour comme : la télévision, la radio.

Ça, il va falloir qu'on passe par là; et après qu'on va avoir passé cela, c'est le grand moment où Dieu nous montrera son amour : une mer d'amour, des grâces d'amour; il va nous faire plonger dans son amour.

Et où il est cet amour? À l'intérieur de nous : on va voir en nous tout ce qu'il nous a donné et on va voir aussi tous les gestes que nous, nous avons faits pour lui et tous les gestes que nous n'avons pas faits pour lui; mais il va nous plonger dans son amour, il va nous couvrir de son amour et tous ceux qui passeront ça, en acceptant son amour : vont arriver de l'autre côté.

Vous savez, les pneus gonflables, les chaloupes : ce sont les grâces des enfants de la Lumière; on va aider nos frères et nos sœurs à passer la Grande Purification.

C'est ça, notre devoir à nous, c'est de vivre dans la Divine Volonté, parce que ces grâces-là vont être en eux et c'est avec ça qu'ils vont avoir la force de traverser de l'autre côté.

 

Les trois enfants : c'est nous qui partons en courant, c'est nous qui allons courir. "Ah! Seigneur d'amour!" Trois, la perfection : la tendresse du Père, le don d'amour du Fils crucifié, la lumière du Saint-Esprit.

Voyez-vous, ils nous soutiennent ! On va passer ça dans la joie! Je l'ai entendu : ça riait, c'était merveilleux!

Savez-vous, ceux qui étaient là, ils les regardaient, ils étaient contents : alors, ça veut dire que nos frères et nos sœurs dans la Lumière vont être contents.

De l'autre côté, il va y avoir un autre petit bout de chemin à faire parce que les cœurs qui vont avoir dit non : vont être secs; aucune grâce d'amour ne va être en eux : il n'y aura plus d'amour en eux; mais ce qu'il y a de merveilleux, c'est que nous, on va passer de cette terre aride vers la Terre Nouvelle : dans l'amour, dans la paix, dans la lumière, parce que tout va être à l'intérieur de nous; on n'aura plus besoin de regarder l'extérieur, on va avoir renoncé à notre volonté humaine.

C'est l'amour, c'est la Divine Volonté qui nous fait avancer vers la Nouvelle Terre.

Ah! Guy, es-tu là? On est ici, au Lac Saint-Jean, c'est merveilleux, ce soir! Voilà un autre cadeau qu'il vient de me donner.

Vous savez, le Seigneur m'a dit : «Tu auras un cadeau.» J'en ai eu un premier, c'est le témoignage à Alma, tu te souviens, lundi? Mais là, il m'explique ma vision, mon cadeau s’est enrobé d'un beau ruban.

Parce que lorsque j'ai raconté ça ce matin à Colette, je ne savais pas du tout ce qu'il en était, parce que Colette, elle essayait de savoir ce que c'était, et je ne savais pas, et je viens de le découvrir avec vous.

Ça, c'est du Seigneur !

Voyez-vous l'importance d'être ensemble, une grande famille? Je n'avais pas à le savoir ce matin, il voulait nous le dire à nous, car on n'est pas plus important les uns que les autres :

on est tous pareils !

Savez-vous où est-ce qu'il m'a placée dans le groupe? Pas en premier, et je n'ai pas fermé la file, oh! non! Parmi les autres, c'est tout!

Ça, c'est du Seigneur.

Ah! c'est avec beaucoup d'amour que je veux chanter dans le Seigneur.

Et voilà le plus gros "je t'aime" pour tous les enfants de la Lumière, en Jésus, dans la Divine Volonté. Pour vous, mes enfants de la Lumière.

 

Jésus : À moi seul de vous déclarer mon amour. C'est par obéissance qu'elle a dit ce que l'Esprit de Dieu voulait que mes enfants entendent lors de cette rencontre, et c'est aussi par obéissance que je lui dis ce qui doit être lu par vous, mes enfants : c'est ma Volonté.