Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Combermere, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-04 – Soir  Partie 2 

 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors là, ce qu'on va faire, c'est qu'on va faire des échanges, hein? Vous posez des questions pour l'Église, sur ce qui a été dit, et qui va répondre? C'est toujours en Dieu les réponses. On commence.

Q. Quand quelqu'un souffre, qu'est-ce qu'il devrait faire? Est-ce qu'il dit : "Seigneur, je t'offre cette souffrance, je te donne cette souffrance, je la mets au pied de ta Croix? Qu'est-ce qu'on devrait faire avec ça?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Les enfants de Dieu sont souffrance. Un enfant qui souffre, ce sont tous les enfants qui souffrent. Le Fils a pris les souffrances du monde et il les a apportées, les ressentant en lui, car c'était maintenant sa souffrance. Il se donnait par amour à son Père et son Père regardait son Fils. Il acceptait sa souffrance et il disait : «Père, ta Volonté, pas ma volonté».

Chaque enfant qui connaît une souffrance en sa chair porte des conséquences. Cela peut venir de ses propres choix ou cela peut venir des choix de ses frères et de ses sœurs. Lorsque l'enfant qui fait des mauvais choix vit ses conséquences, il souffre en sa chair. Cela peut être ressenti dans ses pensées, dans son regard, ses écoutes, ses paroles et ses actions et il devient un être taciturne. Parce qu'il continue à faire des mauvais choix, ses souffrances augmentent. Parce que ses souffrances augmentent, il a tendance à accuser son prochain; alors, lorsqu'il accuse son prochain, il ne donne rien à Dieu, il n'offre rien à Dieu. L'enfant, qui se sait être en souffrance à cause de ses choix, donne à Dieu causes, choix et conséquences, il est prêt à offrir sa vie pour faire de lui un acte de réparation; alors, il va vers le sacrement de la Confession.

Aujourd'hui, les enfants veulent vivre la purification de la chair. Ils apprennent à donner, à donner causes qui est le péché, choix qui est fait dans la liberté de choisir entre le bien et le mal, conséquences qui est sa souffrance et qui cause des souffrances à tous les enfants du monde. Il devient un don pour Dieu, car Dieu prend tout ce qu'il est. Il prend le mal qu'il a déjà envoyé au pied de la Croix, il prend ses mauvais choix et il donne des lumières, afin qu'il donne les choix de ses frères et de ses sœurs. Il prend les conséquences et il ouvre des portes, afin qu'il puisse comprendre que ce qu'il vit vient de ce qu'il a choisi. Il lui apprend à accepter ses grâces, afin qu'il puisse regarder sa vie et Dieu le transforme. Donner tout à Dieu, c'est recevoir. Jésus a offert sa vie à Dieu, son Père, c'est l'offrande sacrée, c'est la seule que son Père a acceptée.

Lorsque nous, on a offert nos souffrances, cela consolait l'être que nous étions, cela consolait nos frères et nos sœurs. Dieu nous a amenés à aller plus loin. En donnant notre vie, on acceptait de ne plus être, mais être ce que Dieu voulait que nous soyons : la croix, la croix qui se donne, la croix qui s'offre, la croix qui s'ouvre, la croix qui accueille, la croix qui nous apprend à mourir en nos pensées, notre regard, notre écoute, nos paroles, nos actions et nos sentiments. Nous consentons à disparaître et Dieu se sert de nous. Alors, à nous de choisir. On offre, mais combien c'est grand de donner sa vie. On offre ce qui est à nous, mais lorsqu'on donne, on n'a plus rien à nous : on disparaît dans le Sang du Christ et on entend le battement du Cœur de Celui qui nous maintient. Merci Seigneur.

Q. Quand on est face à quelqu'un et que c'est évident que cette personne vit les conséquences de ses mauvais choix, on est comme déchiré entre juste rester là et prier, être témoin de ce qu'il vit ou essayer pour une nième fois d'aider d'une façon active. On est déchiré entre ces deux options.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La montagne ne peut venir à Dieu, mais Dieu va à la montagne, parce que la montagne n'a pas compris ce que Dieu attendait d'elle. Alors Dieu va à la montagne et il va réchauffer, il va consoler. Lorsqu'elle est consolée, lorsqu'elle se sait aimée, la montagne s'attendrit, elle devient plus maniable entre les mains de Dieu, elle ne résiste plus à Dieu. Lorsque Dieu lui dit : «Sois une plaine, elle s'incline.»

Si Dieu est capable de faire cela avec une montagne, combien plus il est capable de faire cela avec les enfants récalcitrants. C'est que nous, nous n'y croyons pas. On prie, mais il reste quelque chose en notre cœur : la crainte pour la personne pour qui l'on prie n'écoute pas, la crainte qu'elle n'accepte pas les grâces. Alors, on augmente les prières. On parle à Dieu et là, on y met un peu de nous-mêmes : notre crainte. "Dieu d'amour, je te prie, écoute ma prière. La personne pour qui je prie, je voudrais tant l'aider. C'est pour elle que je prie, aide-la". Dieu écoute cette prière et Dieu sait que ce petit cœur qui prie n'écoute pas le son de Dieu. Le son de Dieu n'est que douceur, que tendresse, que d'amour. Dans l'amour, il y a la force; dans la tendresse,  il y a la puissance. Il n'y a rien qui manque en Dieu. Il n'a pas peur, Dieu, de se tromper. Il connaît la Volonté de son Père. Son Père connaît toutes conséquences et le Fils écoute son Père.

Lorsque Dieu le Père guérit un enfant, lorsque Dieu le Père accorde ses grâces et qu'il est totalement guéri, c'est parce que Dieu le Père a touché à toutes les conséquences qui ont amené la souffrance en cet enfant. On ne porte pas une conséquence que pour soi, on porte les conséquences de tous nos frères et de nos sœurs. Voilà pourquoi Dieu, lui, connaît la première qui a amené une deuxième, une troisième, une millième, une dix millième. Nous, on ne pourrait pas faire ce que Dieu fait. Lorsqu'un enfant qui était dans la drogue guérit, savez-vous ce que Dieu a fait? Il a été toucher à tout ce qui l'a rendu malade. Nous, ça nous prendrait des milliers d'années avant d'arriver à cela et on s'impatiente.

Ayons confiance en nos prières. Oui, il faut prier. La prière est beaucoup plus puissante que les gestes qu'on peut poser, mais Dieu va mettre dans notre cœur le besoin de sourire, il va mettre dans notre cœur le besoin d'écouter, de faire sortir de nous-mêmes la joie, la paix, l'amour afin que l'espoir se fasse voir. Voilà ce que Sœur Theresa faisait. Elle savait qu'elle ne pouvait rien par elle-même, mais tout par Dieu. Elle était la prière. Ce n'est pas ses gestes qui ont guéri, réconforté, c'est la prière, parce qu'elle était ce que Dieu voulait qu'elle soit.

C'est ce que Dieu veut qu'on soit pour nos enfants, nos petits-enfants, nos frères, nos sœurs. Il veut qu'on soit prière. Avoir confiance en Dieu envers et contre tout, lui donner tout. Aussitôt qu'il y a une pensée qui vient en nous, qui cherche à nous faire de la peine, une crainte à cause que notre enfant est malade, il faut la refuser. S'il faut refuser à la fraction de seconde, bien, faisons-le, parce que Satan passe par notre crainte, notre peur, pour encore atteindre notre enfant. Il sait très bien comment maintenir notre enfant dans la drogue, dans l'alcoolisme, dans le découragement. En mettant un esprit de doute, de découragement près de nous, il veut que nous soyons dans le découragement, dans la crainte. Comme ça, il va rejoindre des enfants, leur démontrant que la prière n'a aucun effet, que les parents sont là pour contrôler, qu'ils prient, mais qu'ils ne croient pas à leurs prières. Tout cela est dans notre présent. Alors, refusons les esprits impurs. Jésus va les envoyer au pied de la Croix, il va guérir des mouvements de vie malades; alors, ceux pour qui on prie, ils vont recevoir. La Mère de Dieu ne cessera jamais d'être auprès de nous et la Mère de Dieu, par la grâce, elle est divine, alors elle est auprès de nos enfants et des personnes pour qui l'on prie. Alors, soyons prière. Amen.

Q. Comment peut-on comprendre la différence entre l'amour de soi et l'égoïsme?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L'amour de soi, c'est s'aimer devant Dieu, parce que tout est de Dieu. Nous sommes faits à sa ressemblance. Nous nous aimons parce que Dieu nous aime. Nous nous trouvons beaux parce que Dieu est beau. Nous nous trouvons intelligents parce que l'intelligence est de Dieu. Alors, cela nourrit notre intérieur, mais lorsque cela nourrit notre intérieur, ça nourrit tous les enfants de Dieu. Quand on sait qu'on s'aime, on déborde d'amour pour les enfants de Dieu.

L'égoïsme ne fait pas ça. Lorsqu'on se dit : 'Je suis belle', mensonge, là tu es loin d'être belle, parce que ta beauté est stérile. Et lorsqu'on regarde une personne qui ne donne pas, on ne lui trouve pas de la beauté, elle est obligée de se masquer, parce que vite, on s'aperçoit qu'elle manque d'amour envers elle-même. Lorsque l'amour est pour nous, devant Dieu, avec nos frères et nos sœurs, on n'a pas à avoir peur, car on s'attribue rien, tout est à Dieu. Amen.

Silence…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Que ce silence est grand! Alors que Dieu ne cesse de dire : «Mes enfants, mes enfants, produisez. Alors, que cela soit». 

Nous avons reçu beaucoup pour ce soir et nous recevrons encore. Nous sommes tous ici pour entendre parler de la purification de la chair. Lorsqu'on laisse Dieu purifier notre chair, il fait de notre chair un refuge. Là, on sait que Dieu prend tout ce qu'il y a en nous. Il prend notre volonté humaine et il nous donne sa Vie.

Nous avons péché à cause de la volonté humaine parce qu'elle a écouté Satan, et Satan se sert encore de la volonté humaine. Mais Dieu vient parler dans notre cœur et il veut nous démontrer que ce qu'il a à nous donner, c'est son amour. Lorsque les Hébreux étaient prisonniers à cause du Pharaon, ils voulaient être libres d'adorer leur Dieu. Ils ont crié vers Dieu et Dieu leur a envoyé Moïse, et Moïse a parlé au nom de Dieu et Moïse a été voir le Pharaon. Il a demandé à plusieurs reprises au Pharaon : «Laisse sortir mon peuple». Mais le Pharaon, à cause de sa volonté humaine qu'il chérissait, n'a point voulu. Il y eut, à cause de cela, des tribulations.

Nous, Dieu nous demande de donner notre volonté humaine et il veut marquer notre chair d'un signe qui fera que notre chair saura qu'elle appartient à Dieu et non pas à la volonté humaine. Les Hébreux ont accepté de faire la Volonté de Dieu. Lorsqu'ils ont pris l'agneau, tué l'agneau, et, avec le sang, ils ont marqué le tour de leur porte, alors ils ont fait ce que Dieu leur demandait. Ils ont laissé marquer leur vie du signe de l'amour. Ce Sang, nous le savons tous, représente l'Agneau béni. Jésus, qui laissa couler son Sang sur nous, Jésus qui est mort sur la Croix pour amour pour nous, sauva le monde. Aujourd'hui, le Seigneur veut marquer du signe de l'amour, la croix, notre front. À notre baptême, nous avons été marqués. Notre âme, notre âme a reçu ce que Dieu voulait lui donner : la liberté. La tache originelle a été effacée par le sacrement du Baptême. Aujourd'hui, notre chair, notre chair doit reconnaître qu'elle appartient à Dieu et non pas à la volonté humaine.

Depuis le lancement du livre 4, le Seigneur a demandé à des prêtres s'ils voulaient marquer sur le front les enfants de Dieu. Cela ne serait pas une onction, mais une bénédiction. Alors, il m'a envoyé chez une personne dont plusieurs de ses statues suintent de l'huile. Sans que le Seigneur m'instruise sur ce qu'il attendait de moi et de Maureen, j'ai fait ce que le Seigneur m'a demandé : j'ai été voir Maureen. Chez elle, il y a beaucoup de statues et l'huile coule sur les statues, pas sur, mais des statues, si bien qu'on fait une cueillette de cette huile et lorsqu'on prie, ça coule plus. À un moment donné, alors que nous étions en prière, Jésus, Dieu, m'a dit : «Va te mettre à genoux devant la tapisserie.» Tu veux expliquer la tapisserie, Nicole? (explication en anglais par Nicole)

Alors, à un moment donné, que je priais à genoux, je regardais l'image de Jésus sur la tapisserie. On voit le visage, les cheveux de Jésus, on voit une main qui est sur son cœur, mais là, tout disparut. Ce que j'ai vu, c'est le visage de Dieu le Père, mais je ne l'ai pas vu en trois dimensions là, comme je vous vois, j'ai vu l'image de Dieu le Père qui venait de remplacer l'image de son Fils. Les cheveux étaient aussi longs, mais différents. Son visage était différent de son Fils. Je n'ai pas vu la main ni le cœur. La voix, la voix du Père n'est pas la voix du Fils. Alors, ce qu'il a dit, je ne me rappelle pas de tous les mots qu'il a dits, mais je me rappelle : «Du Cœur de mon Fils et du Cœur de ma Fille Marie coulent des larmes qui guériront et purifieront.»

Alors, une fois le message terminé, je suis retournée chez moi et c'est une semaine plus tard que le Seigneur m'a demandé d'écrire un message pour les prêtres, et je savais qu'au lancement du livre 4, je devais apporter, nous devions apporter des p'tites bouteilles d'huile qui viennent de ces statues. Au moment où l'enseignement a été donné, Jésus a parlé de ce qui était pour arriver. Il a dit que beaucoup, que ses anges, lorsqu'ils viendront ne frapperont pas les enfants qui seront marqués du signe d'enfant de Dieu sur le front. Alors, nous avons apporté le message au Père Diaz. Vous l'aviez reçu, Père Diaz, pas aujourd'hui, mais vous l'avez reçu?  Alors, comme nous avons un prêtre avec nous et qu'il a consenti à être le Christ, parce que ce n'est seulement que le Christ qui peut marquer, sur le front, le signe d'enfant de Dieu.

C'est Adam qui nous a sortis de la Divine Volonté, qui nous a fait connaître la volonté humaine, mais c'est Jésus qui va nous faire entrer et nous faire connaître à nouveau la Divine Volonté. Il viendra un temps où les anges feront ce que Jésus leur demandera. Nous n'avons pas à nous inquiéter pour ce qui vient. Ce que Dieu nous demande, nous sommes libres de l'accepter. Nous pouvons recevoir la marque qu'une seule fois, mais nous pouvons aller voir le prêtre pour recevoir encore à nouveau ce signe, cette bénédiction, ce qui apporte des grâces pour tous ceux qui vont accepter. Alors, nous allons laisser la place au prêtre. Merci.

 

Père Diaz : Explication donnée pour préparer les personnes à recevoir cette onction.