Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Detroit, Michigan,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-11 – Soir  Partie 1

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, ce soir, nous allons être des instruments d'amour pour notre Seigneur. Nous allons ouvrir notre cœur et nous allons fermer nos pensées. Notre volonté humaine n'obtiendra rien ce soir, si ce n'est que nous allons apprendre qu'elle n'a plus sa place en notre chair.

Comment comprendre que nous, qui vivons avec notre volonté humaine depuis Adam, ce soir, le Seigneur nous dit qu'elle n'a plus sa place? Le Seigneur m'a enseigné. Au tout début 2001, il ne me parlait pas tellement qu'il fallait que je renonce à ma volonté humaine, c'est lentement qu'il l'a fait. Lorsque le Seigneur parlait à l'intérieur et qu'il disait tous les mots que je devais écrire en ses livres, c'est là que j'apprenais à découvrir que la volonté humaine avait été contre nous. Maman Marie m'apprenait à donner ma volonté humaine entre ses mains pour qu'elle puisse la mettre au pied du trône de Dieu, afin que je ne me serve plus de ma volonté humaine. Ce n'est pas facile de ne plus se servir de sa volonté humaine, elle est attachée à nous. Elle s'est faite maîtresse de notre vie, repoussant notre vie spirituelle.

La volonté humaine a fait en sorte de nous rendre si amoureux de la terre qu'on ne veut plus quitter la terre. Vous souvenez-vous de la chanson de Petula Clark lorsqu'elle chantait – pour ceux qui ont un certain âge – 'Tout le monde veut aller au Ciel, mais personne ne veut mourir? Eh bien, elle exprimait dans ce chant ce que nous, on était devenus : des êtres ne voulant pas aller au Ciel. Lorsqu'on choisit la terre, bien, c'est qu'on choisit la terre : on ne choisit pas le Ciel, on choisit de rester ici. Ne soyons pas des hypocrites. Ce n'est pas en mettant notre visage entre deux murs et avancer que nous allons comprendre ce que le Seigneur veut de nous. Tout ce que nous allons réussir à faire, c'est suivre ce qui est déjà devant nous. Et qui a bâti ces deux murs dans lesquels on cherche à avancer? La volonté humaine, pas Dieu.

Dieu nous a donné une liberté et Dieu n'a pas mis de murs à côté de nous. Il nous veut en enfants libres de vivre en amour pour Dieu. Lorsqu'on arrive à aimer vivre sur la terre, mais en désirant aller vers Dieu, là, on peut dire : oui, j'aime, j'aime ma vie éternelle, j'aime ce pourquoi je suis ici : pour aller vers Dieu. Voilà que ma vie, à cet instant, prend une tournure différente. Là, je commence à goûter à ma liberté. Je commence à respecter qui je suis, à aimer mes pensées qui ne sont que pour Dieu. Je ne suis plus prisonnière de ce que la volonté a fait de moi-même. Je sais que, lorsque le moment sera venu, je quitterai ceux que j'aime pour aller vers Celui que j'aime et je saurai que ceux que j'aime sont protégés par Celui que j'aime. Je ne me quitterai pas. Ma vie ne sera faite que de paix, de joie et d'amour.

Alors, comment se fait-il que nous, nous ne vivions pas dans la paix, dans la joie, dans l'amour? Parce que nous vivons que de l'extérieur et non pas de notre intérieur. Nous avons laissé notre vie temporelle être maîtresse de notre vie spirituelle, et nous avons négligé toutes les grâces que le Seigneur nous accorde à chaque fraction de seconde, parce que la vie temporelle ne peut être que si nous avons la vie spirituelle. C'est notre âme qui reçoit les grâces et qui distribue les grâces pour nous sur la terre. Oubliez votre vie spirituelle : vous oubliez de vivre dans les grâces du Seigneur, alors nous ne voyons pas ce que Dieu veut qu'on voie : notre visage. On ne voit pas la beauté de Dieu qui se reflète sur notre visage. On est là à dire : 'Ah! Je suis-tu belle? Ah! J'vais me mettre un peu de maquillage! Ah! J'ai besoin de me raser ce matin!' On craint la première ride parce qu'on n'a jamais vu notre visage.

Nous sommes faits à l'image de Dieu et nous n'avons jamais vu notre image qui ressemble à l'image de Dieu. Nous ne nous disons pas : 'Je suis beau, je suis belle en Dieu', cela m'accorderait de l'orgueil. Hypocrites que nous sommes! Nous voulons nous trouver beaux, nous voulons nous trouver belles, mais nous sommes incapables de nous dire beaux et belles en Dieu parce qu'on n'y croit pas! Satan et les esprits impurs ont tout fait pour nous empêcher de regarder qui nous sommes. Oui, nous sommes beaux en Dieu, oui, nous sommes belles en Dieu, parce que nous sommes créés à l'image de Dieu, et cela, il faut y croire. Si on n'arrive pas à se trouver beaux, nous n'arriverons pas à trouver belle notre vie sur la terre; alors, nous nous attacherons à tout ce qui est extérieur. J'ai besoin de l'extérieur pour me trouver acceptable. À force de chercher qu'est-ce qu'il y a l'extérieur pour se trouver un tant soit beau, j'oublie de vivre ma vie, j'ignore qui je suis, je suis incapable d'être vrai envers moi-même, et cela, dès l'avant-début de l'adolescence.

Retournons lorsque nous avions douze ans, lorsque nous avions onze ans : on se préparait à regarder ce que nous étions pour devenir. Lorsqu'on était enfant, on ne se préoccupait pas de ce qu'on était pour devenir : on apprenait à aimer, à aimer qui on était devant papa et maman. Mais vient un temps où notre regard se jette vers l'extérieur. Alors, je me regarde dans le miroir et là, je découvre, je découvre que je ne me connais pas. Toutes ces années à rechercher qui nous sommes, incapables de trouver notre amour! Bien, savez-vous que tout notre système est en choc? Lorsqu'on commence à grandir, nous avons besoin d'aller chercher un tout petit plus d'alimentation. Mais plus je me regarde et plus je découvre que je ne m'aime pas.

Voilà que l'extérieur va me satisfaire. Là, je vais aller prendre tout ce qu'il y a à l'extérieur : bon, pas bon, ça doit me combler. Mais plus je prends ce qui est de l'extérieur, plus je m'alimente, et plus je découvre que cela ne me satisfait pas. Alors, mes yeux commencent à regarder ce que je pourrais faire avec moi-même : j'ai besoin de me maquiller, j'ai besoin de prendre une forme différente avec certaines coiffures. Tout ce qui est extérieur doit me donner ce que je cherche. Mais comme cela ne me satisfait pas encore, je continue : je cherche avec mes oreilles ce qui me plairait d'entendre; voilà que ce qui est des sons extérieurs prend de l'importance dans la vie. Tout ce qui peut m'apporter des sensations, je le veux pour combler ce que je ne connais pas encore. Tout mon être devient étranger à moi-même.

Tout ce qui est extérieur, cela a entré en nous. Voilà que ça forme une personnalité : voilà que ma personnalité m'apparaît comme quelque chose de satisfaisant. Maintenant, je peux fonctionner avec quelqu'un qui est étranger à moi-même, mais qui fait partie de moi. Qu'est-ce qui a fait qu'en vieillissant nous sommes devenus des adultes ayant un caractère qui a de la difficulté à endurer son prochain? 'Je voudrais aimer mon prochain, mais j'm'en sens pas capable. Je voudrais aimer mon prochain, mais… il semble être contre moi'. On ne peut pas connaître son prochain puisqu'on ne se connaît pas. On vit comme des étrangers, et cela, depuis que nous connaissons nos volontés humaines. La volonté humaine, depuis Adam, dirige qui nous sommes.

D'année en année, de siècle en siècle, de siècle en siècle, nous sommes des étrangers. Allez voir les premiers prophètes. Lorsqu'ils entendaient Dieu parler à leur vie spirituelle, ils se sauvaient : "Hé! Seigneur, ne me parle pas, je ne suis pas digne! Seigneur, ce que tu me dis, je ne suis pas prêt, moi, à le vivre! Seigneur, arrête, car ce que tu me demandes, c'est trop pour moi". Tranquillement, le Seigneur donnait des guérisons; tranquillement, le Seigneur transformait l'être; tranquillement, il apprenait à aimer son Dieu avec ce qu'il était jusqu'à ne plus vouloir vivre en sa vie, mais en la Vie de Dieu. Eh bien, Dieu vient parler en notre cœur. Dieu, en ce moment même, prend tous nos cœurs et il parle en notre cœur. Il veut qu'on apprenne à se connaître, à s'aimer, à se regarder, afin d'aimer notre prochain sans condition.

Des temps difficiles arrivent. Vous voyez, partout il y a de la confusion. On reçoit des messages un peu partout de par le monde. Avec notre volonté humaine, on essaie de décortiquer les messages, mais tout ce qu'on arrive à faire, bien souvent, c'est d'augmenter notre crainte pour demain. Là, je cours à gauche! Non, c'est à droite! Non, c'est en avant! Non, c'est en arrière! Où je m'en vais, Seigneur? Le Seigneur vient parler dans les cœurs et c'est lui qui nous dirige, et lorsqu'il nous dirige, le Seigneur, il donne toujours des grâces avant : «Reconnais qui te parle. Reconnais ton Dieu afin que tu puisses connaître que demain ne sera que de la paix. Je suis Dieu. Je viens parler en ton cœur parce que c'est moi qui te connais. Je te fais renaître à ta vie. Je t'apporte ce que tu as besoin afin de te regarder. Je t'ouvre des portes afin que tu puisses regarder ce qu'il y avait de l'autre côté.

Oui, tu comprends que ta volonté humaine ne peut changer ce monde. Oui, tu commences à comprendre que ce que ce monde est en train de faire, est en train de détruire tout ce qu'il y a de beau, mais as-tu compris que c'est toi qui es beau? L'esprit de ce monde avait une avance sur toi : il voulait détruire qui tu es en toi. En détruisant ce qui est en toi, il te maintenait; il te faisait comprendre que ce qui est en toi te fait mal. Ce qui a été détruit il y a quelques années et qui a fait tomber les tours, c'est l'esprit de la peur et il te montrait ce qu'il était pour faire avec toi : te faire tomber là où Dieu t'avait élevé, car Dieu t'a élevé jusqu'à lui. Tu es créé à sa ressemblance et tu as sa vie en lui.»

Satan sait cela, mais il ne veut pas que nous, nous puissions vivre en sachant ce qui est en nous et qui a besoin d'être guéri. La peur est en nous et nous le savons tous, mais à Dieu de nous la faire découvrir, à Dieu de nous démontrer que la peur est entrée par nous par les mauvais choix, et que la peur est venue en nous depuis Caïn qui leva la main sur son frère. Tant que notre chair ne connaîtra pas les mauvais choix qu'elle a pris, la peur sera toujours logée quelque part en nous. La peur est entrée par des portes : la porte de l'égoïsme, de la gourmandise, de l'envie, la colère. Si nous allons de l'envie à la colère, il y eut beaucoup de mouvements : ça me tente pas, c'est peut-être pas vrai, j'commence à être tanné… La peur a fait des marques en nous très profondes. Ça fait partie de notre vie à cause de nos mauvais choix devant le péché qui est la tentation; et, par cela, nous avons tous des marques en nous.

La première marque qui s'est faite en nous avec la peur, c'est lorsque Caïn avait tellement peur de ne pas être à la hauteur qu'il voulut se débarrasser de son frère. Cette tentation, voulue par Satan, acceptée par Adam, a frappé la chair. À l'intérieur de nous, nous avons cette marque, nous l'avons tous; d'autres se sont rajoutées d'année en année, de siècle en siècle. Dieu parle en nous et lorsqu'il parle en nous et qu'il nous dévoile ce qui se passe en nous, il nous donne des grâces de guérison. Comment se fait-il que nous sommes prêts, en ces temps, à accepter de nous laisser dire que nous sommes menteurs, hypocrites, et que nous voulons continuer d'entendre? Parce que c'est le temps, c'est le temps de se laisser guérir et libérer par Dieu. Il veut nous préparer à la Grande Purification.

Il nous amène là où, nous, nous n'avons jamais été capables d'aller : au plus profond de nous-mêmes. Il nous dévoile ce que les esprits impurs ont fait avec nous, comment ils ont réussi à nous voler des mouvements de vie et s'en servir contre nous. Tranquillement, le Seigneur nous donne des grâces afin qu'on puisse comprendre. N'a-t-il pas dit, le Seigneur : «Je viens instruire les petits, mais je laisse les grands entre eux»? Voilà pourquoi ils vont demeurer, pour un temps, aveugles et sourds. Parce que ce ne sont seulement que les petits qui sont consentants à donner leur volonté humaine, pas ceux qui croient tout connaître, pas ceux qui croient comprendre sa Parole. Il n'y a que Dieu qui soit la Parole, il n'y a que Dieu qui puisse nous expliquer sa Parole. Le Saint-Esprit est la puissance, ce n'est pas nous la puissance.

Nous allons vivre des moments de lumière. Il nous faut de la lumière pour nous préparer à ce qui s'en vient. Pourquoi le Seigneur a-t-il attendu ce temps pour nous parler de la Grande Purification où la chair mortelle deviendra immortelle? Dieu sait que nous, nous avons besoin de ce qui est extérieur pour comprendre afin de satisfaire notre chair. Une fois que nous comprenons que Dieu vient nous parler pour protéger notre chair, là, nous ouvrons notre intérieur. Voilà pourquoi il a parlé tant et tant de refuges, voilà pourquoi il nous a dit comment nous comporter devant une telle catastrophe, pourquoi il nous prévient encore de ce qui va arriver.

On acceptait ce qui venait du Ciel pour nous qui avions besoin d'être protégés. Étant donné qu'on acceptait ce qui était pour être pour nous l'arche de Noé, là, on était prêts à tout : "Oui, Seigneur, je rentre ma nourriture. Oui, Seigneur, tu veux tant d'eau pour moi? Je vais en prendre et pour mon prochain. Oui, Seigneur, tu veux prendre soin de mes nuits? Je vais me couvrir avec des couvertures en pensant que d'autres aussi vont en avoir besoin. Oui, Seigneur, tu me dis qu'il y aura illumination des consciences? Seigneur, voilà que je vais me préparer; en me tenant dans mes connaissances, je vais être prêt". Il fallait que cela soit parce que nous sommes attachés à la terre, si bien, que nous ne voulons pas mourir. Pourtant, nous aimons notre Dieu, peut-être pas assez pour dire : "Oui, Seigneur, je laisse à mon voisin tout mon refuge bien, bien, bien, bien comblé, puis moi, j'm'en vais vers toi. Bien, Seigneur, la Terre Nouvelle, ce sera pour d'autres où il n'y aura que le bonheur sur la terre, où il n'y aura que de la joie, des rires, Seigneur!" On n'est pas tout à fait prêts, hein, à tout quitter ça? On veut contrôler un peu le temps, les événements, et ce qui est précieux : ma vie.

Dieu vient nous dire que nous avions besoin de vivre ce qu'il nous a montré, pas pour nous dire : «Vous vous êtes fait prendre, hein?» Oh! Il sait que nous sommes des poissons, mais des poissons prêts à devenir de la nourriture pour ceux qui auront faim et soif de Dieu. Lorsque nous avons tout préparé d'après les messages du Seigneur afin que nous ayons un refuge, cela faisait tomber notre volonté; cela nous faisait voir que nous avions besoin de Dieu; cela nous faisait comprendre que, sans Dieu, nous ne pouvons rien; cela nous faisait entrer là où Dieu voulait qu'on entre : dans notre vie spirituelle, nous faire comprendre notre éternité; que cela est important pour nous d'être prêts pour ce qui s'en vient. Notre cœur, il fallait qu'il se dilate, car le cœur des hommes était devenu si dur.

Nous avons tous bifurqué à un moment donné. Nous avons tous une télévision, nous avons tous la radio, les journaux, le téléphone, l'internet. Tout ça, nous l'avons; si ce n'est pas l'internet, eh bien, c'est autre chose. Mais Dieu savait tout cela. Il savait que l'esprit de ce monde avait durci notre cœur, il savait que l'esprit de ce monde était pour contrôler ce qu'il avait projeté : nous maintenir dans la peur. Maintenant que nous avons un refuge et qu'à l'intérieur de ce refuge, nous ayons moins peur, il restera toujours qu'il y aura de la peur dans notre chair, et que là où nous serons, Satan sera, car c'est à partir de lui que nous sommes marqués. C'est lui qui a tenté nos premiers parents et c'est encore lui qui a tenté Caïn, et cela, dans le but de nous détruire.

Alors Dieu, lui, il a vaincu le mal. Il vient préparer le refuge intérieur. Maintenant que le refuge extérieur est prêt, il est temps d'entrer où nous ne vivrons que dans la paix, dans la joie et dans l'amour, et c'est à l'intérieur de nous. Il arrachera de nous le mal et il purifiera de son feu d'amour tout ce qui est contre nous : nos pensées, notre regard, notre écoute, nos paroles, nos actions, nos sentiments, qui sont esclaves de ces marques. Il nous montre comment refuser les tentations qui ont réussi, elles, depuis si longtemps, à nous manipuler. Il a fait en sorte de réunir des enfants comme vous depuis plus de sept ans maintenant – on entame notre huitième année. Il a dit : «Les sept premières années sont accomplies, voici qu'un glas sonne». Un autre temps est commencé. Et ce temps, c'est celui de dire : 'Je refuse, je refuse la tentation. J'accepte de dire merci à Jésus d'envoyer les esprits impurs au pied de la Croix afin qu'ils y soient enchaînés'. Une fois enchaînés, ces esprits impurs ne seront plus autour de nous pour nous tenter. Alors, il y aura des mouvements d'amour qui vont guérir. Nous allons le ressentir.

Maman Marie est avec nous, elle nous comble de grâces. Jésus a vaincu sur le mal, eh bien, c'est notre tour. À nous de suivre les pas du Christ. Et lorsque le dernier esprit impur sera au pied de sa Croix : il aura vaincu la mort. Nous serons dans une chair immortelle. Nous vivrons en peuple d'amour sur la terre. Il n'y aura plus d'esprits impurs qui nous tenteront, car ils seront enchaînés pour un temps, le temps voulu par Dieu le Père. Là, lorsque Dieu le Père, lui qui sait le temps, dira à Satan de sortir avec ses démons, ils reviendront pour tenter les élus de Dieu, et là, Jésus, de son souffle, l'anéantira.

Nous sommes, en ce moment même, en train de renaître à la vie. Nous sommes, en ce moment même, en train de vouloir vivre la purification de la chair afin d'aller chercher les autres. Il y aura l'illumination des consciences. Lorsque cela sera accompli, ceux qui voudront connaître Dieu, à qui iront-ils? Ils viendront à nous et nous les amèneront vers Dieu. Cela ne viendra pas de nous, cela viendra de la puissance du Saint-Esprit. Aucune parole de nous ne sortira avec notre volonté humaine. Nous serons enfants de la Divine Volonté, mais pas dans son plein accomplissement, pas encore, car on devra vivre la Grande Purification où les enfants du non et les enfants du oui seront obligés de faire ce que la Divine Volonté veut. Maintenant, Dieu dit : «C'est assez».

Alors, il est huit heures et demie. Nous allons prendre un temps de repos et, si vous voulez bien, nous aurons un temps de questions et de réponses sur ce que nous venons d'entendre. Merci.