Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Enfield, Angleterre,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-02-22 - P.M.   

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous sommes, c’est une petite éponge. Nous voulons absorber les grâces du Ciel et nous ne pourrons pas le faire avec notre volonté humaine; alors, laissons la place à Dieu. Dieu, dans sa toute-puissance, sait nous prendre entre ses mains afin de nous faire avaler ce qu’il attend de nous-mêmes. Dieu veut qu’on apprenne à reconnaître qui nous sommes. Alors, le seul moyen, c’est de nous manger et cesser de manger notre prochain.

Apprenons à être sages devant Dieu en nous reconnaissant imparfaits, en reconnaissant que nous ne cessons de nous raconter des mensonges. Oui, nous sommes capables d’aimer inconditionnellement. Oui, nous sommes capables d’aimer ceux qui nous font souffrir, que nous appelons nos ennemis. Oui, nous sommes capables de reconnaître l’ennemi. Oui, nous sommes des enfants vivants. Oui, nous habitons une terre d’amour. Oui, nous sommes vrais devant les dix commandements de Dieu. Oui, nous sommes capables de vivre l’Évangile. Tout cela est en nous, pour nous.

Dieu nous a donné, depuis le tout commencement, tout ce qu'il nous fallait pour vivre ainsi. Si, après plus de 2 000 ans après Jésus, nous sommes encore chancelants devant ces vérités, c’est que nous avons besoin d’aide, nous avons besoin d’un médecin et le seul médecin qu’il nous faut ce n’est pas 'des' mais un : c’est Jésus. Lui, il s’est reconnu être le seul Médecin pour nous. Alors, allons vers lui, faisons-lui confiance.

Nous devons regarder qui nous sommes avec ce que nous avons accepté dans notre vie. Nous avons toujours fait des choix, ce qui nous a amenés aujourd’hui là où nous sommes. Ces choix que nous avons pris et qui nous ont fait souffrir sont venus dans notre vie à cause des esprits impurs : les anges qui ont refusé d’adorer notre Dieu adorable. Ce sont les seuls coupables de tous nos mensonges. Ils ont tout fait pour que nous ne croyions pas en ce que nous sommes : enfants de Dieu faits à l’image de Dieu.

Lorsque nous savons que nous sommes parfaits, mais qu'au-dessus de cette perfection il y a eu des erreurs, là nous consentons à aller plus loin dans notre vie : "Montre-moi, Dieu, ma perfection." Jésus lui-même a dit : «Soyez parfaits comme mon Père est parfait.» Jésus, en disant cela, il nous disait que nous étions parfaits. Alors, il faut découvrir réellement l’être que nous sommes. Nous sommes aimés de Dieu le Père, nous sommes enveloppés de la miséricorde de notre Rédempteur et nous sommes la lumière qui est envahie de la Lumière. Si la lumière de Dieu enveloppe l’être que nous sommes, cela est impossible que nous ne soyons pas lumière.

Comprenons que les anges sont devant la Lumière. Ils reçoivent leur beauté par la lumière de Dieu. Tout se reflète sur eux. Ils sont constamment en contemplation. Cette contemplation fait des mouvements : l’Esprit Parfait qui nourrit les esprits parfaits. C’est Dieu qui créa les anges, et les anges sont à la lumière de Dieu. Alors nous, nous sommes créés par Dieu, nous venons de Dieu. Dieu est la Lumière, alors nous sommes lumière. Comment voulez-vous être autrement? Vous êtes de la Lumière, nous sommes de Dieu. C’est à cause de tous nos mauvais choix que nous ne nous voyons pas tels que nous sommes. Nous sommes de la race de Dieu et Dieu est parfait et nous sommes parfaits, mais il va falloir se débarrasser de tout ce qui a sali notre être.

Notre caractère qui, sous sa perfection, est impatient, coléreux, il veut tout avoir; mais notre caractère, il est paisible, il est nourri de l’intelligence de Dieu. Nous avons tout reçu de Dieu pour pouvoir nous nourrir entre nous. Dieu m’a donné un caractère pour vous, et chacun de vous avez un caractère pour moi, pour Nicole, pour chacun d’entre vous.

Comprenons que Dieu, c’est l’amour. L’amour est un mouvement qui ne cesse de se donner : Dieu le Père, Dieu le Fils, l’amour qui se donne, l’amour qui reçoit, l’amour qui ne cesse de se donner. Ce mouvement est tellement puissant qu’il fait la troisième Personne de la Trinité. L’Amour ne va pas chercher ailleurs ce qu’il est, il se complait en lui-même. Dieu est l’Amour, il se complait en lui-même. Lorsque Dieu le Père regarde ce qu’il est, il regarde son Fils, car son Fils n’a pas été créé, il est de Dieu. Dieu a mis devant lui l’amour qu’il est : le Fils qui regarde son Père et qui ne cesse de donner et de donner ce qu’il est.

Le Père est et le Fils est. Le Père et le Fils sont un mouvement d’amour, une unité d’amour, un esprit d’amour; donc, il n’y a pas de temps qui a séparé le Père et le Fils. Le Père est tout-puissant et le Fils est tout-puissant, car ils ne font qu’un. Cette puissance est tellement amour que cela forme l’Esprit de l’Amour. Comme l’Esprit de l’Amour est le Père et le Fils : l’Amour, il n’y a donc pas de temps pour le Saint-Esprit, il est comme le Père et le Fils : une unité.

Lorsque le Père regarde son Fils, lorsque le Fils regarde son Père, cet amour est si puissant, cet amour est dans son mouvement de puissance : l’amour s’amalgame, l’amour se présente, l’amour se nourrit, l’amour est la Puissance : l’Esprit de l’amour. L’Esprit Saint n’a pas de temps : il EST. Puisqu’il EST, le Père, le Fils, l’Amour, il est UN : un seul Dieu. Cette unité, nous l’avons appelée Dieu.

Rien ne peut percer Dieu, car on ne peut pas découvrir Dieu, il se laisse découvrir en reflétant ce qu’il est sur nous. Cet amour nous donne vie, cet amour nous donne présence, cet amour nourrit le petit être d’amour devant son Dieu. Dieu nous nourrit de son amour. Alors, nous recevons, et constamment nous redonnons à Dieu ce qui vient de Dieu.

Comprenez que lorsque vous jetez un regard autour de vous, vous prenez ce qui est à Dieu et vous regardez ce qu’il a donné pour vous-mêmes; alors, votre regard est dans une action, un mouvement : le regard reçoit de la puissance de Dieu tout ce qu’il lui faut en tant qu’amour pour fonctionner. Alors, nous sommes dans le mouvement de l’amour : Dieu/l’enfant. Dieu qui donne son amour, l’enfant qui reçoit l’amour pour son regard et qui redonne à Dieu ce qu’il vient de recevoir. Constamment cet amour est entre le Créateur et la créature : Dieu et l’enfant de Dieu. Dieu nous maintient dans ce mouvement.

Continuellement, Dieu nous maintient dans son amour. Lorsque nous sommes avec Dieu, toujours avec notre Dieu, là nous prenons conscience que tout est de Dieu. Notre regard semble être dans la joie, nous découvrons qu’autour de nous il y a de l’amour. Eh bien, notre regard nous nourrit, tout comme notre regard nourrit les autres. Dieu a donné l’amour pour le regard et le regard est tellement rempli d’amour qu’il est dans son fonctionnement : je donne. Nous sommes faits pour donner. Parce que Dieu donne constamment, nous qui sommes de Dieu, nous sommes faits pour donner.

Mais ceux qui veulent mettre des lunettes noires se coupent eux-mêmes des grâces de Dieu : je choisis de regarder ce qui me plaît, même si cela nuit à mon âme. Si ce que je regarde m’irrite, cela c’est mon affaire; si ceux qui me regardent me dérangent, je leur ferme la porte. Tout cela fait que nous avons nous-mêmes choisi de couper les grâces de Dieu. Mais Dieu nous aime. Lui, il continue à donner de l’amour, il connaît notre cœur affolé; alors, il va susciter quelqu’un parmi nous pour nourrir cet enfant. Alors, il y aura quelqu’un dans notre vie qui nous fera penser à Dieu : il nous fera penser à l’amour, il nous offrira un bon repas, et là, nous, on enlèvera nos lunettes; là, on dira merci. Et voilà le mouvement qui repart.

Dieu prend soin de tous ses enfants. Voilà pourquoi il vient parler dans nos cœurs pour réveiller le petit enfant parfait qui habite chacun de nous.

Nous allons entrer dans un monde d’amour, nous allons connaître tous nos mauvais choix devant le péché, parce que Dieu nous appelle à marcher sur son chemin comme un seul peuple : son peuple. Nous sommes tous des enfants de Dieu. Regardons autour de nous, nous y verrons tous des regards : que nous soyons catholiques, orthodoxes, anglicans, nous avons tous des yeux; que nous soyons même bouddhistes, nous avons tous les mêmes oreilles; que nous soyons luthériens, nous avons tous des mains; que nous soyons athées, nous avons tous un cœur.

Dieu regarde ses enfants. Il les voudrait tous parfaits puisqu’il les a créés parfaits. Mais Dieu respecte chacun de nous. Il a mis en nous son souffle de vie, il a mis en chacun de nous l’amour : l’amour qui est gratuit, l’amour qui est libre, l’amour qui ne force pas, qui ne viole pas. Et c’est avec cet amour qu’il veut que chacun de nous on se découvre.

Satan a tout fait pour nous maintenir dans notre volonté humaine. Dans la Genèse, il est dit : Dieu dit : «Ne va pas vers l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car un grand malheur va t’arriver. Ne va pas vers ta volonté humaine qui doit choisir entre le bien et le mal, car tu seras toujours dans la tentation, car le mal que tu connaîtras te fera souffrir. Il t’amènera là où toi tu ne veux pas aller; il décidera pour toi; il te fera faire des mouvements que toi tu n’accepteras pas, parce qu’il aura pris soin de t’empoisonner; une fois qu’il t’aura empoisonné, il te tiendra et tu pourrais en mourir.» Dieu avait averti son enfant. Adam portait la vie, il avait reçu la vie. Comprenons qu’Adam fut le premier créé. La terre matière était en Jésus.

Arrêtons-nous, là, et entrons en chacun de nous.

 

Jésus : Un jour, Dieu regarda sa création et il dit à sa création : «Il faut que tu sois là où moi je le veux : dans le temps de l’Amour. L’Éternité t’accueille comme un fruit qu’elle veut accueillir». Et la terre fut. Et tout ce qui était sur la terre, dans les airs et dans l’intérieur de sa création, tout fut. Tout ce qui devait être était devant le Créateur. Dieu dit : «Moi, Être Parfait, Chair Éternelle, Dieu fait Homme, je contiens la matière, JE SUIS. Parce que JE SUIS, je donne tout mouvement. Moi, fait Homme, j’accomplis la Volonté de mon Père. Je présente à mon Père tout ce qui est. La matière est de moi, car je suis la Matière Parfaite, je suis Matière Éternelle. Tout ce qui est de visible est en moi, toute créature est de moi.

Alors, Dieu dit : «Qu’Adam soit premier homme sur la terre». Et Dieu accomplit sa Volonté. De la terre, il forma l’homme. Parce que l’homme était au-dessus de la terre, la terre devait s’incliner devant l’homme, car l’homme était, avant la terre, en Celui qui EST. Lorsque l’homme fut, Dieu prit de l’homme ce qui devait être pour la femme : la vie. La première vie fut en celle que Dieu avait choisie pour lui : la première chair se multiplia, elle était devant lui. De ces deux êtres parfaits vinrent d’autres créatures, car la chair se multipliait. La première chair savait multiplier, ainsi devaient faire les autres chairs.

Une seule chair devait marcher sur la terre. Elle devait toujours se reconnaître être de Dieu, être de la Perfection; elle était la beauté de Dieu. La splendeur de Dieu devait s’incliner devant la Lumière. Elle recevait tout de Dieu, rien ne lui manquait. Mais vint l’Esprit impur qui voulait mettre à l’épreuve la Chair Parfaite. Dieu vit en cet Esprit impur sa malice et Dieu dit : «Que cela soit. Tente ma perfection». La perfection fut tentée et ce qui arriva vint faire connaître à la chair parfaite sa faiblesse : elle n’était pas Dieu, elle venait de Dieu.

Dieu regarda cette chair et lui dit : «Tu vivras les conséquences de ce que tu as choisi, jusqu’au jour où la Chair Parfaite viendra à toi pour prendre tout ce que tu auras accepté, et arracher de toi le mal qui a pénétré. Parce que tu as reçu mon souffle de vie, tu te maintiendras vivant jusqu’au moment où tu auras à choisir : la vie éternelle ou la mort éternelle». Dieu prenait soin de ses enfants, car il les voulait à lui, puisqu’il avait mis en chaque chair sa puissance : la liberté de dire non aux Tentateurs.

Enfants de ma Volonté, vous avez en vous cette liberté. Avec cette liberté, mes enfants, vous allez combattre votre propre faiblesse. Je me suis donné sur la Croix pour vous, j’ai laissé couler mon Précieux Sang sur vous, afin que vous puissiez être devant ce que vous avez accepté d’être : des petits dieux. Bien que cela vienne du choix de vos premiers parents, vous vivez la conséquence de cela. Vous êtes portés à discuter de la Volonté de Dieu. Avec votre volonté humaine, vous vous maintenez dans votre raisonnement. Votre raisonnement a la valeur de votre volonté humaine. Vous choisissez l’endroit où vous, vous voulez être en comparaison à ce que vous ne voulez plus être et, pour cela, vous faites des jugements sur ce que vous voyez, entendez.

Petits enfants d’amour, vous marchez comme des aveugles sur la terre à cause de votre volonté humaine. Vous n’êtes plus capables d’entendre votre vie à l’intérieur de vous, car votre volonté humaine a étouffé ce son d’amour. Qui d’entre vous sait ce qui est bon pour lui-même? Qui d’entre vous connaît pourquoi votre souffrance vous amène à juger vos choix? Vous dites : 'moi j’aime mieux ceci; je ne veux plus vivre comme cela'. Tout cela est une parole contre vous-même : 'je ne veux plus'. Ce vouloir, mes enfants, ne vient pas de l’enfant de Dieu, vient de celui qui n’a pas voulu adorer Dieu. Alors, petits enfants, lorsque vous discutez ainsi, vous discutez mes lois d’amour.

Dieu connaît votre vie mieux que vous vous la connaissez. La volonté humaine a écouté le Mal et elle vous amène toujours à faire des choix devant ce qui se présente. Un enfant qui n’est pas dans la paix, dans la joie et dans l’amour ne voit rien et n’entend rien; il avance selon ce qu’on a mis devant lui : l’esprit de ce monde. Vous vivez dans un monde égoïste, un monde qui n’a plus d’amour.

Ceux qui portent en leur cœur de l’amour, cet amour a été bâti selon ce que vous avez entendu et compris. L’amour, ça nourrit, mes enfants. L’amour porte toujours à donner, à partager, à passer son amour avant toutes choses : l’amour de Dieu, l’amour pour soi-même et l’amour pour le prochain. L’amour ne choisit pas les sens, les sens qui ont été développés irraisonnablement par les esprits impurs. Les sens sont avec vous pour donner de l’amour.

Vos sens à vous, mes enfants, sont devenus égoïstes, ils veulent se satisfaire sur tous les points de vue : sur les points de vue religion, social, culturel, familial, et tout ce qui concerne le plaisir. Cela a fait de vous des esclaves. Qui affecte que vos sens se soient développés pour le mal? Ce sont les esprits impurs. Ils veulent avoir votre mouvement de vie : l’amour.  Lorsque vous êtes incapables de contrôler votre regard, ce sont Satan et les esprits impurs qui sont près de vous et qui vous tentent : 'Regarde, regarde ce qu’il fait, regarde ce qu’il donne; toi, tu pourrais faire mieux, tu pourrais avoir plus'. Et cela, lorsque c'est nourri en nous, accepté en nous, Satan et les esprits impurs volent le mouvement du regard. Tout cela, chacun d’entre vous, vous avez accepté de laisser votre regard entre les mains des esprits impurs. Ils n’ont pas demandé votre permission, ils vous ont tentés et parce que vous avez répondu, involontairement à leurs tentations, ils ont su développer en vous des besoins excessifs.

Aujourd’hui, vous êtes incapables de regarder votre prochain sans juger : 'Regarde, il mange bien trop vite!' 'Ah! je vais regarder une émission de télévision : as-tu vu ça? C’est pas possible, ils ne sont pas capables de bien vivre dans la paix'. 'Regarde nos enfants, et qu’ils sont tannants!' Voyez-vous, petits enfants, ils prennent vos mouvements de vie et ils les contrôlent pour vous faire souffrir. Ils vous maintiennent dans la déception, dans le découragement, dans l’obsession. Vous ne pouvez plus vous passer de la télévision.

Vous êtes perdus sans Dieu, mes enfants. Vous avez besoin de l’amour de Dieu pour comprendre que votre regard vous appartient. Vous avez en vous la liberté d’enfants de Dieu. À vous de prendre entre vos mains ce que je vous ai donné : votre regard. Je vais vous apprendre, enfants d’amour, à refuser les Tentateurs. Je vais vous apprendre à me donner tous les esprits impurs afin qu’ils aillent au pied de ma Croix. Je vais vous apprendre à me demander de vous guérir et à rendre grâce à Celle qui écrase la tête de Satan. Vous êtes enfants de Dieu. Vous devez vivre en êtres parfaits avec mes grâces.

C’est le temps, mes enfants, de la Grande Purification de la chair où les corps corruptibles deviendront incorruptibles. Vous ne vous souviendrez plus du mal, car votre chair ne sera qu’avec le bien. Vous vivrez enfants de la Divine Volonté, car vous aurez donné à votre Dieu le mal en renonçant à votre volonté humaine. Vous vivrez comme des enfants à mon image. Les ennemis de Dieu ne vous tenteront plus jusqu’au jour où ils reviendront pour tenter les élus de Dieu. Et là, mes enfants, de mon souffle je l’anéantirai. Mais avant, vous serez témoins de la victoire sur le Mal, car il devra adorer son Dieu, le Fils de Dieu fait Homme. Tout cela, enfants d’amour, vous en serez témoins.

Je prépare votre cœur afin qu’il soit un cœur de chair. Je viens vous instruire, mes enfants, et par vous je vais atteindre le cœur des plus endurcis qui ne veut pas prononcer son oui. La purification de la chair se fait par l’intérieur. J’ai tout accompli. À vous maintenant, à vous de faire ce bout de chemin avec moi. Je parle en votre intérieur, car je suis la Présence, je suis la Vie, je suis la Lumière. Ce que vous êtes, enfants d’amour, est par moi. Ce monde a à apprendre qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Satan sait qu’il est dans ses dernières ruses. Il joue ses dernières cartes, il sait qu’il a été vaincu, mais il fait tout pour vous faire souffrir.

Chacun de vous, vous savez que ma Mère apparaît belle comme une lumière, douze étoiles qui ornent sa tête, et sous ses pieds, mes enfants, la lune. Elle vous porte, elle porte l’Amour, elle porte l’Enfant qui va venir au monde. Elle m’a porté. Enfants d’amour, elle vous a portés. Vous avez été en le sein de ma Mère par moi, l’Amour.

Maintenant, mes enfants, montrez-vous. Satan ne peut plus rien contre vous. Lui qui, de sa queue, a voulu vous atteindre, lui qui a voulu détruire votre vie, vous allez faire tout, mes enfants, ce que mon Père veut pour vous afin qu’il se retrouve au pied de ma Croix avec tous ceux qui l’ont suivi. Vous avez en vous la liberté que j’ai toujours voulue pour vous : une puissance telle qu’il doit s’incliner devant. Un enfant de Dieu qui se garde en le Fils et qui dit : 'Je refuse la tentation', la tentation ne peut rien, elle doit obéir, car elle obéit à la liberté de Dieu.

Mes enfants vous êtes, vous êtes de mon Père. Je vous ai portés, je vous ai donné tout ce qu’il y a en vous : l’amour, l’amour de mon Père. Lorsque je vous ai tous purifiés, je vous ai présentés à mon Père. Vous étiez tous en ma Chair, purifiés, et mon Père vous a regardés et il a donné ce qu’il y avait de plus beau pour vous : la lumière parfaite venant du Fils, Celui qui avait tout accompli : la gloire du Père.

Enfants d’amour vivez cela, car vous êtes dans la gloire, la gloire du Fils pour le Père. N’ayez pas peur pour ce que vous allez vivre, car tout est accompli. Marchez, marchez ensemble, car les jours que vous allez vivre seront des jours de joie. La souffrance de ce monde ne pourra plus vous atteindre, car vous saurez que cela n’est plus pour vous, que cela doit aller à la mort.

Le Royaume de mon Père est pour vous. Je suis venu sur la terre pour vous dire : «Je vous annonce le Royaume de mon Père». Je vous le redis, mes enfants : «Là où il y aura des enfants de la Divine Volonté, là sera le Royaume de mon Père». Vous êtes tous appelés enfants de la Divine Volonté. Voici ce temps, ce temps tant attendu. Tout est commencé. Je vous aime, mes enfants.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons en chacun de nous cette puissance : celle de refuser les Tentateurs.

Depuis sept ans que le Seigneur me parle d’amour à l’intérieur de moi, depuis sept ans que j’apprends à m’aimer, depuis sept ans que j’apprends à aimer la pécheresse que je suis et à aimer mon prochain. Lorsqu’on se découvre pécheresse, mais aimé de Dieu, on voudrait prendre les péchés de nos frères et de nos sœurs, afin que cela ne les fasse plus souffrir. Et là, on va, on va les mettre au pied de la Croix pour obtenir des grâces. On doit apprendre à s’entraider, à se donner. Si, aujourd’hui, nous entendons des paroles qui viennent directement de notre cœur, c’est pour qu’on puisse se laisser instruire par l’Amour.

Nous allons vivre la Grande Évangélisation, mais cela ne se fera pas avec la volonté humaine, cela se fera avec la Divine Volonté, la Divine Volonté pleine de Miséricorde. La Divine Volonté, c’est le passé, le présent et le futur, là devant nous, et on ne se pose pas de questions : on la vit, et à l’instant où on la vit, on ne cesse de présenter ça à la Divine Volonté. Et Dieu, Dieu, lui, ne cesse de nourrir : il nourrit, il nourrit notre pensée, notre regard, notre écoute, paroles, actions et sentiments. C’est ce que Dieu attend de nous. Il veut qu’on se laisse nourrir par lui, mais pas avec notre volonté humaine. Ne faisons pas d’efforts.

Je n’ai pas demandé à être enfant entre les mains de Dieu pour qu’il puisse se servir de moi, j’ai tout simplement dit : "Je veux mourir, je veux que ce soit toi qui fasses la vaisselle". Je voulais qu’il prenne mes mains et que mes mains ne servent que ses mains. Je voulais faire tout ce qu’il y avait autour de moi, mais en lui; alors, je prononçais : "oui, oui je t’aime". Mais je ne savais pas que j’étais pour faire ce que je fais.

La Divine Volonté, c’est elle qui transforme. On ne peut pas être enfant de la Divine Volonté avec un livre! Oui, on peut savoir ce qu’est la Divine Volonté avec notre volonté humaine. Seule la Divine Volonté pénètre notre intérieur, seule la Divine Volonté nous transforme, car lorsque nous prononçons notre oui, la Divine Volonté fait en sorte d’enlever les obstacles.

Le seul obstacle que, nous, nous pouvons mettre entre la Divine Volonté et nous-mêmes, c’est notre manque d’amour. Plus nous voulons aimer Dieu avec ce que nous sommes, plus nous voulons nous aimer. Mais l’amour qu’on découvre pour nous-mêmes, c’est toujours un amour vers Dieu. Cet amour apprend à ne plus demander à nos frères et à nos sœurs, cet amour apprend à ne plus attendre de la volonté humaine : elle ne veut que Dieu, la vie ne veut que Dieu. L'être que nous sommes ne veut que de l’amour de Dieu, alors ça nous nourrit, ça nous nourrit. Là, on apprend à n’être plus exigeant de notre mari, de notre épouse ni de nos enfants, ni de ceux qui sont autour de nous; on apprend à accueillir l’amour de Dieu pour nous-mêmes, et ça sort tout seul.

Plus on se met entre les mains de Dieu - entre les mains de Dieu - plus on fait ce qu’il y a à l’intérieur de nous et qui monte, et plus la Divine Volonté fait de nous des enfants d’amour : on nous calomnie et on continue à aimer parce qu’on a appris que l’enfant de Dieu est aimé de Dieu et que c’est l’ennemi de nos âmes qui fait souffrir. On apprend à aimer inconditionnellement, on n'exige plus rien de personne, même de nous-mêmes on n’exige plus, car Dieu apprend, apprend à l’enfant. 'Tu es fatigué : je sens ma fatigue. Va te coucher : je vais me coucher'. La Divine Volonté nous fait découvrir nos besoins qui sont nécessaires pour nous aimer et aimer notre prochain. Ça, c’est très important.

Vivre dans la Divine Volonté, nous allons le faire qu’en étant amour inconditionnellement. Eh bien, comment faire cela? 'Montre-moi, Seigneur, comment faire'. Lorsque, nous, on vient de s’apercevoir que nous venons de parler trop sur ce qui s’est passé, il y a quelque chose qui nous chicote à l’intérieur; là, il faut prendre conscience qu’il faut écouter notre intérieur. Là, on laisse tout à Dieu : 'Dieu, tu sais que je suis toute petite, tu as déjà tout pris ce qui me faisait souffrir, je te donne ça'. À cet instant-là, il y a de l’amour qui se fait ressurgir, qui ressurgit en nous. Nous avons tellement compliqué notre vie!

Tout le long de sa vie, Jésus, sur la terre, il nous a dit à maintes fois : «Conduisez-vous en enfants de Dieu, comme des tout petits enfants». Et c’est ainsi qu’il faut le faire. Oui, on tombe. 'Oui, je viens encore de juger, Seigneur, mais tu vois, ta petite fille, elle a besoin de toi'. C’est ainsi qu’on doit faire. Arrêtons de dire : 'Bon, ça y est, j’ai encore parlé de trop; je me sens donc...; mon doux que je suis fatigante, j’suis pas capable de me taire'. On se couche le soir et... les remords! 'Il est rendu onze heures du matin, j’ose même pas me lever pour me présenter dans la cuisine, parce que je me souviens d’avoir insulté mon mari.'

On ne cesse de se juger. Savez-vous comment? À l’intérieur de nous, il y a de la souffrance. La première personne qui a insulté son mari, elle a laissé des traces en nous. On ne sait pas laquelle, on ne sait pas dans quelle année, mais elle a laissé quelque chose à l’intérieur de nous : une marque dans notre chair. Lorsqu’elle a dit : 'Non, tu viens pas m’achaler', à son mari, c’est parce qu’il y avait un esprit impur qui s’était approché d’elle et a dit : 'Tu vas-tu te laisser parler comme ça par lui'? Elle a écouté cela, elle n’a pas dit non au Tentateur. Alors, à cet instant, le Tentateur a pris quelque chose qui était vivant en elle. Il l’a pris et il s’en est servi puisqu’elle avait consenti à écouter le Tentateur.

Dieu, le Créateur, qui nourrissait toujours cet enfant, venait d’avoir un non. Dieu voulait qu’elle continue à aimer son mari, mais elle, elle a dit au Tentateur : 'Aye, yé-tu fatiguant! T’as raison, hein'? Parce que dans sa volonté humaine elle se donnait raison, parce qu’elle venait de découvrir sa faiblesse. Maintenant que les Tentateurs avaient un mouvement de vie, un mouvement qui appartenait à Dieu, ils venaient de prendre ce mouvement qui avait de la puissance.

N’oubliez pas que les esprits impurs ont dit non à l’Amour, ont dit non à la Vie, alors ils ne peuvent pas utiliser la lumière, faire ce qu’ils veulent, ils ne font que rôder dans la noirceur. Ils se nourrissent de leurs propres ténèbres. Alors, leur but à eux c’est de voler de la vie pour pouvoir manipuler la vie contre les enfants de Dieu. Une fois qu’ils ont un mouvement de vie, là ils l’utilisent contre la personne elle-même. Voilà pourquoi, au soir, elle a dit comme ça : 'Ah! j’suis pas bien, j’aurais pas dû juger, mon doux j’suis donc impatiente', ce sont les esprits impurs qui disaient : 'T’as-tu vu qu’est-ce que tu as fait'? Leur poison se répandait. Plus qu’elle répondait à la tentation : "C’est vrai, j’ai pas été correct', voilà qu’ils prenaient un autre mouvement de vie.

C’est ce qu’ils ont fait dans notre vie. Ils se sont toujours arrangés pour nous approcher, nous faire tomber dans la tentation, et là ils utilisaient ce que nous sommes contre nous-mêmes. Avec la souffrance que nous on se nourrissait, parce qu’on se nourrissait de cette souffrance, nos mouvements de vie étaient malades; alors, on est venu à ne plus voir qu’on était amour pour nous-mêmes, alors on a été sujets à toujours pécher. Notre chair est assujettie au péché, parce que le péché a fait de nous des esclaves de la souffrance.

Dieu vient nous parler d’amour. Il est temps de renoncer à notre volonté humaine pour découvrir l’amour que nous sommes; ainsi, nous cesserons de nous diviser, nous cesserons de nous faire souffrir, de faire souffrir nos enfants. Croyez-vous que cela est impossible qu’on dise : non, je ne veux pas voler? Il est vrai, sans les grâces de Dieu, cela est impossible, mais avec les grâces de Dieu, oui nous le faisons. Alors, faisons ce que Dieu va nous montrer. Il veut que nous puissions vivre comme des enfants et nous allons réussir avec ce qu’il met en notre cœur. Ne nous inquiétons pas comment va se poursuivre la purification de la chair, ça, c’est l’affaire de Dieu, mais accepter de suivre les pas du Christ. S’il vient nous parler en notre cœur, ce n’est pas pour nos beaux yeux. Nous avons mis des lunettes noires devant, on ne les voit plus. Il vient nous parler pour la vie éternelle, pour notre bonheur sur la terre.

Savez-vous combien d’enfants crient qu’ils en ont assez de ce monde? Les jeunes commencent à s’apercevoir qu’il y a un non-retour. Les jeunes se suicident parce qu’ils ne veulent plus continuer à vivre sur cette terre de souffrance. Des mères de famille crient vers Dieu : "Quand est-ce que tu t’en viens"? Ça, c’est l’affaire de Dieu. Mais il dit : «Préparez-vous». N’est-ce pas ce que vous dites toujours : "Préparez-vous, préparez votre vie spirituelle, car vous ne savez pas lorsqu’il va venir."

La Grande Purification, nous en sommes avertis. Il vient lui-même nous parler en les cœurs pour nous dire : «Commencez, car bientôt les trois jours de noirceur seront sur vous». Eh bien, si Dieu vient nous avertir cela, ce n’est pas la première fois. Il a envoyé Jonas à Ninive disant : «Si vous ne vous repentez pas, la ville va disparaître». Il vient nous dire lui-même, lui-même, que voici des jours où nous devrons nous regarder. Vous vivrez votre premier jugement en votre chair. Alors, faisons ce qu’il nous dit. Le temps est à Dieu. Si nous sommes là pour la Grande Purification de trois jours, eh bien, alléluia! Mais si demain je traverse la rue et je me fais frapper, je me présenterai devant Dieu, alléluia; eh bien, je lui présenterai ce que moi j’ai fait depuis qu’il m’a parlé de la Grande Purification. C’est ce qu’il va tous nous demander. Il se sert de nous pour bâtir un monde d’amour : la Nouvelle Jérusalem.

Il m’a montré, en décembre, une bâtisse qui tombait en ruine : c’était une église. Les pierres se défaisaient parce que le ciment s’égrenait. Je voyais même une machine qui, avec une grosse boule de métal, poussait les pierres. Mais j’ai vu autre chose. J’ai vu à la droite une église qui se bâtissait. Elle était pratiquement toute bâtie. Les pierres étaient tellement lisses, tellement bien en harmonie qu’on voyait à peine si on voyait qu’il y avait du ciment, tant qu’elles étaient unies. Et j’ai entendu, j’ai entendu une voix, lorsque j’ai vu : «Les saints sont dans la nouvelle église».

Alors, si vous ne vous considérez pas comme des saints, vous ne vous considérerez pas comme des enfants parfaits. Nous sommes saints dans la pureté, car le Saint-Esprit nous nourrit. Non seulement nous sommes à l’image du Fils de l’Homme, mais nous sommes à l’image de Dieu : saint en notre esprit, en notre regard, notre écoute, nos paroles, nos actions et nos sentiments.

Le temps où tout sera accompli pour nous, Dieu le connaît. N’ayons pas peur pour nos enfants. Continuons à préparer leur cheminement, car plusieurs vont prononcer leur oui à l’Amour. Ils seront heureux d’avoir eu des parents, des amis qui ont pensé à eux; ça, ils le verront, ils verront tout ce que nous avons fait pour eux. Mais nous aurons besoin de l’Église. Vous ne passerez pas et je ne passerai pas ce temps sans les grâces que Dieu a mises entre les mains de ses membres actifs. Nous aurons besoin d’eux et nous avancerons dans la paix. Ce ne sera pas facile.

Refusez les Tentateurs, d’autres reviennent. Vous savez, il dit : «Lorsqu’un démon ne peut pas tenter, il s’en va en chercher sept autres; lorsque les sept ne peuvent pas tenter, ils vont aller chercher une légion». À l’instant où nous refusons un Tentateur nous disons : "Merci Jésus", il l’envoie au pied de la Croix. Le mouvement qu’il voulait attaquer, Jésus le guérit. Ce mouvement guéri donne de la puissance, alors nous serons encore plus puissants pour rejeter les sept autres. Les sept au pied de la Croix vont y demeurer. Nous recevrons des guérisons, nous serons de plus en plus dans la paix; là, nous serons d’attaque pour la légion. Dieu y pourvoit. Nous aurons tellement de grâces d’humilité. Ils ne pourront pas attaquer l’orgueil. Qui n’a pu être attaqué? Marie.

Jésus d’amour nous maintient dans sa puissance. N’ayons peur de ce que nous allons vivre. Nous serons des témoins vivants de la Parole de Dieu devant nos enfants. Vous ne chercherez plus à les convaincre, vous allez laisser de la place à Dieu et vous serez vous-mêmes la Parole de Dieu pour eux. C’est l’amour qui a vaincu. Alors, vous serez l’amour pour vos enfants et, tel un ruisseau, l’eau coulera et ira irriguer toute chair.

Alors, Dieu vient de dire maintenant : du repos. Amen.