Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu, Arquenay, France,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-06-17 – Questions et réponses avec l'Agir de Dieu

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Est-ce que vous êtes prêts pour la deuxième partie? La deuxième partie, c'est questions et réponses, des réponses qui nourrissent les enfants de Dieu. Les réponses personnelles nourrissent l'enfant que nous sommes, mais là, vous pouvez poser des questions pour nourrir chacun de nous. Alors, la première question…

Q. Qu'entendez par 'rentrer dans la grâce de la purification'?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Entrer dans la grâce de la purification, c'est prendre conscience que nous sommes en l'esprit de ce monde. Nous devons être en l'esprit de ce monde en faisant des efforts pour en sortir. Cela veut dire que: oui, je prends ma fin de semaine pour faire mon gazon, pour faire mes commissions, je prends ma fin de semaine pour organiser tout mon aménagement extérieur; là, je suis en l'esprit de ce monde. Je m'engage à être dans l'esprit de ce monde, je prends conscience de ça. Mais lorsque je veux profiter des grâces de la purification, c'est que j'accepte de comprendre que Jésus a purifié mes actes de vie. Ça, c'est quelque chose d'important.

Accepter. Oui, j'accepte que Jésus a déjà purifié mon acte de vie. Oui, je suis tenté à regarder mon ameublement, je suis tenté à faire les magasins, je suis tenté de faire des plans pour que ma demeure soit plus belle encore. Je prends conscience. 'Est-ce que cela est voulu par Dieu? Est-ce que j'en ai réellement besoin?' C'est là qu'on s'arrête de dire: 'Est-ce que je me nourris avec amour? Est-ce que je suis avec ce monde sans être dans l'Esprit de Dieu? Je ne me refuse pas d'aller changer ma chaise qui est brisée. C'est samedi, les magasins sont encore ouverts; ok, je vais prendre le temps d'aller m'en acheter une autre parce qu'elle est dangereuse pour ceux que j'aime.' Là, je le fais. Mais si je m'arrête en pensant: 'Oh! C'est dimanche! Je vais attendre lundi.' Voilà que je n'entre pas dans l'esprit de ce monde. Je suis avec l'esprit de ce monde, mais je ne pénètre pas l'esprit de ce monde.

J'accepte de faire la Volonté de Dieu et d'être heureux à faire la Volonté de Dieu. Pas dire: 'C'est la loi de Dieu, c'est le commandement, je vais commettre un péché, je vais aller à la confesse…', ça, tu ne profites pas des grâces de la purification. Nous ne profitons pas des grâces de la purification, nous nous morfondons devant une évidence. Où est l'amour? Où est la joie de vivre le commandement de Dieu? Où est cette paix de comprendre que je dois m'aimer en premier, pas la chaise, moi? Je dois m'aimer avant l'ameublement. Je dois être moi-même devant Dieu de l'amour pour que ce que je suis profite des grâces de la purification.

Combien de fois je n'ai pas profité de qui j'étais? Je me suis forcé à faire quelque chose qui ne devait pas être de l'amour: ' Bon, je place ma chaise, elle est là, elle est brisée, quand est-ce que je vais la réparer?' C'est accepter: toujours, toujours, se préoccuper, cela c'est entrer dans les grâces de la purification, c'est aussi accepter que j'ai déjà fait du ménage le dimanche. 'Ah! Jésus, t'as profité de mes moments d'amour! Parce que c'est aujourd'hui que je me pardonne. Toi, tu as écouté mon pardon, tu as pénétré mon amour, tu m'as accepté comme j'étais. Tu as tout purifié, tu as rendu beau ce qui était laid: je m'accepte.'

J'accepte de faire ce que j'ai à faire avec amour: me pardonner, me regarder. Et ce n'est pas se rendre coupable parce que j'ai travaillé le dimanche, ça, ce n'est pas de Dieu, ça, c'est Satan. "T'as pas honte? Regarde. Tu as travaillé le dimanche, il va falloir que t'ailles à la confesse! Va à la confesse!" Alors, on va à la confesse. Rendu à la confesse, là, on se confesse, mais on en ressort avec notre blessure encore, car on ne s'est pas pardonné. On a été à la confesse avec un manque d'amour, on a été à la confesse comme cela: je n'ai pas donné à Dieu mon fardeau.

Je prends mon fardeau et je vais à la confesse. Lorsque je ressors, lui, l'Autre, m'attend. Lui, Satan, m'attend. Il va encore se servir de mon manque de joie, de mon manque de paix, de mon manque d'amour envers moi pour me faire goûter à mon manque de confiance envers qui je suis: mon fantôme. Mes fantômes passés, présents: mon fantôme va nourrir mes fantômes toujours et toujours. Je dois trouver la vie belle, je dois trouver la vie enrichie des grâces de Dieu: je suis pardonné.

Je réalise: 'Oui, j'ai pris ma chaise; oui, c'est un dimanche. Je l'ai amenée au magasin pour l'échanger ou pour la réparer; oui, j'ai fait cela. Aujourd'hui: 'Merci, mon Dieu, mon acte est purifié. Je l'aime maintenant parce qu'il a la saveur de l'amour. Je le prends en ma vie et je l'accepte; je ne le rejette pas de ma vie, je l'accepte; je ne le cache pas cet acte, je l'accepte; je ne recule pas devant un fait accompli, Dieu l'a pris pour lui, alors je l'aime.' J'entre dans ce geste facilement, un geste d'amour envers moi.

C'est la même chose lorsqu'on pense à notre enfant qui s'est suicidé. Je pense au soir que j'ai manqué d'écoute envers mon enfant. Il est venu me voir alors que j'étais dans ma chambre: 'Maman?' 'Tu me diras ça demain, je n'ai pas le temps aujourd'hui, je suis fatiguée, j'ai fait ma journée, va te coucher.' Et là, toute notre vie, on va se rappeler de ça: 'Mon enfant s'est pendu. Si j'avais écouté mon enfant, il serait vivant encore.' Non, Seigneur, tu as purifié mon acte de vie. Mon acte de vie, tu l'as rendu beau. Mon acte de vie est celui que j'aime parce qu'il porte ton Sang. Tu m'as pardonné. Je me nourris avec mon amour parce que mon amour, c'est celui de Dieu. J'accepte maintenant de m'aimer. L'acte de mon enfant, je sais que tu en as pris soin parce que toi tu l'as écouté. Moi, je n'avais pas le temps de l'écouter, mais toi, tu t'es penché sur lui. J'ai prié pour mon enfant pour qu'il aille au Ciel et j'ai confiance en mes prières.

Oui, je donne toute ma confiance en Dieu. Toujours de l'amour pour soi, c'est entrer dans les grâces de la purification, c'est de ne plus vivre comme des fantômes, c'est vivre comme des êtres vivants qui profitent des grâces de la purification. Jésus m'a aimée, Jésus m'a soutenue lorsque je me suis accusée. Maintenant, je ne m'accuse plus, je sais que ce que j'ai fait, Dieu l'a pris en lui. Il était là avec Maman Marie qui me protégeait, et j'y crois. C'est l'Autre qui ne veut pas que j'entre dans les grâces de la purification.

C'est cela profiter des grâces de la purification. C'est dans notre vie, c'est dans notre quotidien, c'est accepter ce que Jésus a fait pour que moi je puisse me regarder avec amour, c'est être enfant aimé par Dieu. Voilà. C'est pour tous nos actes, tous nos actes de vie. Qu'ils soient aussi petits, aussi petits que de dire à son enfant: 'Lave tes mains. --- Non, maman, je ne veux pas laver mes mains! --- Lave tes mains!' Pow! Une claque. 'Va laver tes mains!' Oui, ça vient vite, hein? 'Seigneur, tu as pardonné, tu m'as purifiée, tu m'as aimée, maintenant je m'aime.' Cette petite claque, c'est maintenant de l'amour. Parce que cet acte m'a fait souffrir: 'Je m'en rappelle encore. Alors, aujourd'hui, si je me rappelle de ça, c'est pour m'aimer: 'je m'aime'. J'accepte que Jésus ait enveloppé mon acte avec son Sang d'amour. Voilà ce que Dieu veut qu'on apprenne tranquillement: d'avoir confiance, d'avoir confiance que Dieu prend soin de nous, qu'on n'est pas seul, qu'on avance dans la vie.

Oui, on nous jugera, oui, on nous calomniera, oui, on dira de nous toutes sortes de faussetés pour démontrer qu'on était et qu'on est dans l'erreur: 'Merci, Seigneur. Merci, Seigneur, parce que j'apprends à aimer ceux qui ne voient pas ce que moi je vois grâce à eux.' Combien de fois on a voulu se défendre contre des personnes qui nous calomniaient, et même tout petit, petit, petit? 'Aujourd'hui, Jésus, tu as purifié mon manque de confiance envers mes prières, mon manque de confiance envers ton soutien, mon manque de confiance envers Maman Marie. J'ai prié, mais j'ai ressenti ma douleur.' Nous avons ressenti une douleur parce qu'on sentait notre faiblesse devant ceux qui nous calomniaient. Même s'ils ne sont pas devant nous, nous sommes devant la calomnie.

Mais nous sommes forts maintenant. Ça me fait aimer encore plus mon Dieu d'Amour et ça me fait aimer encore plus qui je suis: un enfant qui apprend à se pardonner pour ne pas avoir fait confiance totalement en Dieu qui agissait en eux. Parce que j'ai prié pour eux, j'ai prié pour mes ennemis, je voulais faire la Volonté de Dieu, c'est écrit dans la Bible. Que de manques de confiance j'ai ressentis envers mon Dieu, car cela m'a atteint, et cela m'a atteint jusqu'à aujourd'hui que je ressens cette douleur lorsque la personne devant moi dit: 'On a dit ça de toi.' Je le réalise maintenant que je suis fort par la grâce de la purification. Tout est accompli: 'Merci, mon Dieu.

J'ai beaucoup à aimer. Je dois aimer mon Dieu avant tout, de toute mon âme, de tout mon esprit, de tout mon cœur, de toutes mes forces. Et avec quoi j'aime Dieu? Avec mon esprit. J'aime Dieu avec mes forces, j'aime Dieu avec mon cœur et j'aime Dieu de toute mon âme: de tout l'être que je suis. Aujourd'hui, je peux le dire. Hier, je ne pouvais le dire avec tout mon cœur, de toute mon âme, de toutes mes forces, de tout mon esprit. Je n'étais pas amour avec moi-même, donc je ne pouvais pas le dire. Aujourd'hui, je le vis et je le dis parce que j'y crois.

J'y crois parce que j'aime qui je suis et j'aime mon prochain tel qu'il est. 'Mais j'ai besoin de toi Maman Marie, pour continuer. On sait, il ne faut pas avoir peur. L'Autre va tout faire pour qu'on ne dise pas ces paroles. Ce n'est pas honteux de dire: 'Maman Marie, j'ai besoin de tes grâces d'amour pour que je puisse m'aimer.' Le bon larron n'a-t-il pas crié à Jésus? 'Souviens-toi de moi lorsque tu seras dans ton Paradis. Souviens-toi de moi!' Alors, nous, on a le droit de crier. Jésus a dit: «Aujourd'hui même, tu seras avec moi.» Alors, voyez-vous? On le droit d'aller voir Maman Marie: 'Maman Marie, j'ai besoin de toi', elle, elle nous amène à son Fils.

C'est que nous devons prendre conscience que ce sont des gestes simples qui nous font entrer dans les grâces de la purification, ce ne sont pas des gestes compliqués, car ce qui est compliqué vient de nous, mais ce qui est simple vient de Dieu: «Je suis doux et humble de cœur.» Soyons simples et vivons les grâces de la purification en entrant dans l'amour, dans l'amour pour Dieu, pour nous-mêmes et pour notre prochain.

Vous allez voir que le Ciel est avec nous et que le Ciel n'est pas contre nous. Ne vivons-nous pas un temps de grâces où les grâces surabondent? Il y a des messagers de partout, de partout, qui nous parlent de ce que nous sommes en train de vivre. Le Ciel vient lui-même nous expliquer ces messages. Laissons au Ciel ce qui est au Ciel, mais ouvrons nos oreilles, ouvrons nos yeux, ouvrons notre cœur, ouvrons notre bouche et nos gestes, afin de prendre tout cela et le faire entrer en nous. Là, une fois en nous, le Saint-Esprit nous guidera. Amen. Merci, Seigneur.

Est-ce qu'il y a une autre question? Nous sommes pas mal comblés! Merci, Seigneur. C'est quelque chose à digérer, mais on est plusieurs pour digérer. Merci, Seigneur. Alléluia!