Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu, Paris, France,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-06-25 –  N'acceptez plus votre ignorance, ce qui est entré en vous est contre vous

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Encore, ce soir, nous allons accueillir les grâces du Seigneur; encore, ce soir, le Seigneur nous apportera des réponses. Nous avons besoin de nous reconnaître toujours et toujours. Bien que le Seigneur nous parle depuis qu'il est venu sur la terre, nous devons écouter et vivre ce qu'il nous dit. Nous entendons, nous regardons, mais on ne comprend pas. On n'est pas capables de comprendre ce qui se passe à l'intérieur de nous. Car tout se passe à l'intérieur de nous, tout doit être pour nous des moments d'amour.

Nous sommes enfants de Dieu, nous sommes la création de Dieu. Enfants, oui, nous le sommes, nous sommes enfants de Dieu. Nous avons nos pensées, nous avons nos regards, nous avons nos écoutes et, oui, nous avons notre parole. Tout ça, c'est pour mieux comprendre, mieux voir, mieux entendre et mieux s'exprimer. Toujours (oui), toujours, nous devons apprendre à apprécier qui nous sommes:'J'aime bien apprendre aussi à reconnaître que je suis aimé de moi-même, je m'aime comme je suis.' Pas toujours facile! On a l'impression de ne pas être capable d'agir convenablement, alors on a tendance à recourir à ce qui est extérieur, alors je cours.

Je cours: je veux m'accomplir. Avec quoi je veux m'accomplir? Je veux m'accomplir avec ce qui est en moi: l'amour. Je veux aimer, je veux aimer pour être aimé. Mais je vais toujours à l'extérieur chercher ce que j'ai besoin pour le faire entrer à l'intérieur de moi. Oui, je veux entrer à l'intérieur de moi, ce qui va faire en sorte de me montrer que je suis aimé. Nous ne sommes pas des anges, nous sommes des enfants créés à l'image de Dieu. Nous avons une chair, cette chair m'apprend à me reconnaître. Nous l'avons appris, nous l'avons compris, nous avons fait notre possible depuis plusieurs années, mais ce que nous ne comprenons pas, c'est ce qui s'est installé en nous depuis tant et tant d'années.

Ce qui s'est installé en nous n'est pas toujours l'amour. Lorsqu'Adam et Ève se sont unis par amour, il y avait 'une' chair: Adam et Ève. Ce qu'ils ont accepté, c'est de s'aimer; ils ont accepté de s'aimer devant Dieu. Bien qu'ils ont choisi leur amour plutôt que l'amour de Dieu, ils ont quand même voulu s'aimer avec ce qu'ils sont: avec l'amour. Alors la chair a appris à accepter ce que la chair voulait lui donner. Adam donnait de l'amour à Ève et Ève donnait de l'amour à Adam. Ils se connaissaient. Ils apprenaient toujours à faire des actes d'amour. Avec quoi? Avec la connaissance du bien et avec la connaissance du mal: ils avaient cela en eux. Tous les deux avaient cela en eux: tous les deux.

Mais bien que la connaissance du mal soit entrée en la chair, elle ne se manifestait pas. Il fallait que la chair soit devant ou près d'une tentation et qu'elle consente, et qu'elle goûte. Mais Adam et Ève n'avaient pas goûté à la connaissance du mal, ils l'avaient laissé pénétrer en eux. Ils ont désobéi à Dieu, ils ne se sont pas tournés vers Dieu, ils se sont tournés vers eux-mêmes: ils se sont aimés. Mais leur amour est devenu un amour conditionnel, alors que Dieu voulait pour eux un amour inconditionnel. Je te donne de l'amour, 'tu' me donnes de l'amour, mon amour est gratuit pour toi et 'ton' amour est gratuit pour moi: aucun effort à faire pour aimer, aucun obstacle (ne doit être) devant l'amour pour Adam et pour Ève.

L'amour inconditionnel ne force pas, l'amour inconditionnel est libre, l'amour inconditionnel se donne gratuitement, l'amour inconditionnel se reçoit sans attendre de l'autre qu'il lui fasse goûter l'amour inconditionnel. Tout était gratuit, mais Adam et Ève ont choisi autre chose. Ils ont choisi un amour qui les a séparés: ma connaissance du bien et du mal et ta connaissance du bien et du mal. Alors que tous les deux avaient eu la même pensée en l'Esprit de Dieu, maintenant, ils avaient l'Esprit de Dieu, mais pour un et pour l'autre. Alors, ils ont cheminé sur la terre en acceptant ce qu'ils étaient devenus.

Parce que Dieu leur donnait de l'amour. Dieu n'était pas contre eux, il leur donnait de l'amour pour qu'ils soient en harmonie. Bien qu'il ne connaissait plus les pensées d'Ève et bien qu'elle ne connaissait plus les pensées d'Adam, ils vivaient avec l'Esprit de Dieu, car Adam parlait à Ève de ce qu'il se souvenait et Ève faisait de même. Il y avait des échanges et l'amour se maintenait, et Dieu maintenait l'amour en eux afin qu'ils n'oublient pas qu'ils venaient de Dieu. Il y avait conversation entre eux: ils parlaient de la bonté de Dieu. Et Dieu, à l'intérieur, son Esprit instruisait toujours Adam, instruisait toujours Ève. Lorsqu'ils ont eu des enfants, lorsqu'ils ont eu des enfants, lorsqu'ils ont eu des enfants, là, toujours, toujours et toujours, ils parlaient de Dieu, de leur Créateur. Ils s'instruisaient, et la parole s'est propagée de chair à chair, de chair à chair. Ils donnaient l'amour de Dieu, ils recevaient l'amour de Dieu, et continuellement l'amour de Dieu se manifestait dans leur vie.

Voilà pourquoi Abel offrait à Dieu tout ce qu'il apprenait de Dieu. C'est de Dieu qu'Abel apprenait pour se donner de l'amour et pour donner de l'amour à ceux qui étaient avec lui: la connaissance du bien les nourrissait. Ils ne connaissaient pas la connaissance du mal. Bien qu'ils l'avaient en eux, ils n'avaient pas encore goûté à cette connaissance. La connaissance du mal était en eux stagnante: elle ne bougeait pas. Elle ne pouvait pas parce qu'elle n'avait pas de pouvoir sur la vie. Elle n'avait aucun pouvoir sur la vie, elle était là parce qu'eux avaient choisi l'amour conditionnel.

Mais Adam et Ève, Abel, Caïn, les enfants, tous les enfants qui étaient nés de la rencontre d'Adam et Ève, d'Abel avec une autre enfant, pouvaient entre frère et sœur, car leur sang était pur, ils n'avaient pas connu le mal, se multiplier. Caïn aussi avait sa famille, Abel avait sa famille, et il y avait encore d'autres familles, car Adam et Ève n'ont pas eu seulement deux enfants, quatre enfants, ils en ont eu d'autres, et cela s'est multiplié.

Lorsque le temps où Satan alla tenter Caïn, lorsque Caïn offrait ses offrandes de sa récolte, là, il y eut une tentation qui venait de l'extérieur: "Regarde autour de toi, jette un regard autour de toi: regarde tout ce que tu produis comme c'est beau. C'est toi qui le produis: tu récoltes ce que tu as semé." Alors Caïn tourna son esprit à l'extérieur de lui alors qu'il n'avait pas appris cela. Il avait appris à tourner son esprit en lui: il allait puiser sa force en lui, il allait puiser cette connaissance en lui, il allait puiser sa pureté en lui, mais le Tentateur!

Lui, il était près de lui, il n'était pas en lui. Il ne pouvait pas atteindre la connaissance du mal, car il y avait quelque chose qui l'en empêchait: l'amour. Il ne pouvait pas obliger Caïn d'aller goûter à la connaissance du mal parce que Caïn se nourrissait de la Parole qui, entre les enfants d'Adam et Ève, se faisait connaître. Cette nourriture sortait gratuitement d'eux et ils se nourrissaient. L'amour se nourrissait: le regard, l'écoute, la pensée, la parole, les actions et les sentiments se nourrissaient de la connaissance du bien. Ils connaissaient pour avoir goûté à ce qui était bien; ils n'avaient pas goûté à ce qui était mal. Donc, lorsqu'Adam et Ève parlaient, lorsque leurs descendants parlaient, c'était avec l'amour, alors ils recevaient de l'amour et ils se donnaient de l'amour. Les enfants de Dieu, bien qu'ils connaissaient un amour conditionnel, un amour conditionnel qui avait sa mesure pleine, ils faisaient le bien toujours ensemble, ils ne se séparaient pas. Ils formaient un peuple, ils formaient le peuple de Dieu, l'amour de Dieu. Alors, partout où ils jetaient leur regard, la connaissance du bien les nourrissait.

Lorsque Caïn alla à l'extérieur (et) jeta son regard à l'extérieur plutôt qu'en lui, lorsque ses pensées ont commencé à se troubler à cause que son regard voyait quelque chose qui avait le goût de l'inconnu, lorsque son écoute s'ouvrait à l'extérieur de lui, là, il entendait quelque chose qui n'était pas de lui: il entendait des paroles à l'intérieur qui commençaient à faire bouger en lui quelque chose qu'il n'avait pas goûté: ses paroles commençaient à avoir une nourriture. Mais il ne savait pas quelle nourriture voulait se faire connaître: cette nourriture-là, il n'y avait pas goûté, pas encore. C'était étrange, il écoutait. Sa pensée était troublée, ses regards toujours à l'extérieur, son écoute captivée, alors tout était extérieur. Ce qui était extérieur le troublait: "D'où vient ce qui n'est pas en moi?" Alors, il sentait en lui quelque chose: il sentait en lui un trouble et son amour semblait être troublé.

Lorsqu'il a senti en lui quelque chose qu'il ne pouvait plus contrôler, 'il ne pouvait plus contrôler', il souffrait. Il voulait arrêter cette souffrance; alors il écouta, il pensa, il regarda, il prononça et tout ce qui était extérieur affecta ses actions: il leva la main sur son frère Abel. Là, à ce moment-là seulement, la connaissance du mal se faisait goûter. C'est la connaissance du mal qui s'est fait goûter. Lui n'a pas été vers la connaissance du mal pour y goûter, c'est la connaissance du mal qui s'est fait goûter par l'intérieur. La connaissance du mal a saisi son amour: il a ressenti une douleur. Cette douleur se tournait contre lui et, depuis, la chair ne devait dorénavant ne jamais oublier ce qu'elle avait goûté: sa chair avait goûté à la connaissance du mal, sa chair avait goûté à la souffrance, sa chair avait goûté à la séparation, à la division, sa chair avait goûté à ce qu'il était devenu: un enfant faible devant la connaissance du mal.

Adam et Ève, et leurs descendants, avaient la tache originelle, mais ils n'étaient pas esclaves de la connaissance du mal; maintenant, la chair connaissait. Est-ce que la chair d'Adam et Ève, celle de la famille d'Abel et des autres familles étaient affectées? Elle n'était pas affectée. Elle ne pouvait pas être affectée parce qu'ils étaient dans l'Esprit de Dieu. La Parole nourrissait et ils faisaient des actes de vie d'amour. Ils étaient dans l'Esprit de Dieu. Dieu les protégeait. Il fallait que la connaissance du mal vienne les tenter de l'extérieur.

Tous ceux qui ont été avec Caïn, eux ont goûté parce que Caïn avait perdu l'Esprit de Dieu. Il instruisait sa famille avec un esprit, 'un esprit du monde', qu'il bâtissait: l'esprit du mal, car il avait goûté au mal. Il devait, dorénavant, faire des efforts pour faire taire le mal: "Tais-toi. Tu appartiens à Dieu." Il fallait qu'il se le dise, il fallait qu'il dise qu'il appartenait à Dieu et pas à lui-même. Mais Caïn s'est éloigné, parce que Dieu a fait éloigner Caïn de sa famille originale, alors il s'est retiré au loin avec sa famille.

Et, au loin, est-ce qu'il y avait des êtres vivants? Il y avait des êtres vivants. Ces êtres vivants, nous pouvons le constater dans la Bible: «On lèvera la main sur moi.» Puisqu'Adam et Ève avec toute leur famille n'avaient pas goûté à la connaissance du mal, il y avait donc des êtres sur la terre qui avaient goûté à la connaissance du mal. D'où venaient ces êtres puisqu'Adam et Ève, leurs premiers, créés avec la connaissance de Dieu, étaient les seuls? Donc, il y avait des êtres qui n'avaient pas la connaissance de Dieu.

Il y avait donc des êtres vivants qui pouvaient lever la main sur Caïn. Dieu a dit: «Si on lève la main sur toi, je punirai.» Est-ce que nous avons un Dieu punisseur? Dieu ne punit pas. Dieu le Père a envoyé son Fils pour nous sauver de la mort. Il a envoyé son Fils pour qu'on puisse se rappeler que nous appartenons à Dieu. Donc, ces êtres qui étaient sur la terre n'avaient pas la connaissance de Dieu en eux, la connaissance du bien n'était pas en eux. Ces êtres venaient de la tromperie, ces êtres venaient du mal. Et qui est le mal? Satan. Comment a-t-il fait, Satan, pour créer des êtres qui n'avaient pas la connaissance de Dieu? Il a triché. Il ne peut pas créer, Satan, il est le néant et il ne peut pas créer, il n'a pas de vie: les êtres qui étaient sur la terre avaient de la vie. Puisqu'ils pouvaient lever la main sur Caïn, donc ces êtres avaient la vie, mais ils n'avaient pas la connaissance de Dieu.

Au tout début de la création de la terre, nous étions créés en Jésus. Dieu fit la création pour nous, pour nous les créés, par amour pour nous; donc, la création, Dieu la maintenait dans sa Volonté. Lorsque Satan planait et ses acolytes, les esprits impurs, planaient, est-ce que la terre était habitée par le mal? Non, la terre n'était pas habitée par le mal, c'est seulement lorsque l'esprit du mal vint s'installer sur la terre. Comment pouvait-il s'installer sur la terre? Il fallait qu'il trouble ce qui était déjà créé. Qu'est-ce qui était déjà créé? Tout ce qui vole, tout ce qui est sur la terre et dans les eaux avait la vie.

Alors, il troubla. En premier, il troubla les plus petits, il troubla les petits animaux pour les empêcher de se nourrir à la maman, à la femelle. Lorsqu'ils n'allaient pas vers leur besoin, leur instinct commença à se troubler: tout animal vient sur la terre avec un instinct de procréer, se multiplier, se nourrir et se défendre afin de toujours continuer. Se défendre, ils ne connaissaient pas. Mais là, il y avait quelque chose qui commençait à les troubler; alors, ils ont reculé devant leur besoin de se donner de l'amour par la nourriture: les petits qui se retenaient. Les mères, elles, trouvèrent étrange que ses petits ne venaient pas vers elles, ces femelles. Alors elles ne pouvaient pas les nourrir; là, (leur instinct) l'amour était troublé et les esprits impurs ont pénétré en elles.

Ce sont les esprits impurs qui ont possédé les animaux. Pourquoi? Ils n'ont pas d'âme, ils n'ont pas la connaissance de Dieu. Ils ont un instinct d'amour tel Dieu les voulut, mais ils n'ont pas la connaissance Dieu, ils n'ont pas d'âme; alors, les esprits impurs ont possédé les animaux. Est-ce qu'un cochon va voir une truie? Mais oui, ensemble! Est-ce qu'un porc va aller voir un loup? Non. Pour se reproduire, ils ne le font pas. Mais lorsque les animaux furent possédés, là, Satan les fit accoupler avec souffrance. Il les fit accoupler: il y eut de la mutation. Encore, des animaux qui étaient mutés se sont encore rencontrés et il y eut encore de la mutation, et encore et encore et encore. Tel était le plan de Satan afin d'approcher qui? L'homme.

Il y eut des animaux qui avaient la forme de l'être humain, tout cela dans le but d'attirer à eux les humains, et c'est Satan qui faisait cela. Parce que ces êtres se reproduisaient encore entre eux, ils étaient possédés: il y avait des êtres possédés. Les esprits sortaient d'eux. Ils en prenaient pour tromper l'homme. Avec les années, nous pouvons voir des êtres sur la terre qui ont eu une forme qui s'est développée, une forme qui a changé: une forme qui a pris une forme différente, et tout cela avec de la mutation: ce sont les géants. Les géants ont pris la forme que Satan voulait, pourquoi? Pour nous tromper. C'est ce qui s'est passé des millions d'années avant nous, des milliers d'années avant nous.

Lorsque nous, nous fûmes sur la terre, voulus par Dieu, nous avions la connaissance de Dieu, pas eux. Eux étaient en tribus, pourquoi? Parce que les animaux aiment-ils se retrouver selon la même espèce? Mais oui. Cela Dieu leur avait donné ce besoin, mais ceux qui étaient possédés, c'est Satan qui mettait en eux ce qui était contre nature. Alors, lorsqu'ils se sont approchés, tranquillement, des humains, ils ont attendu, ils ont regardé, ils ont surveillé: 'comment se comportent-ils entre eux? Comment peuvent-ils être lorsqu'ils sont ensemble?'

C'est Satan qui manipulait ces êtres à la ressemblance de l'homme pour tromper les enfants de Dieu, et cela s'est fait. Et lorsque le temps fut venu, ces êtres attirèrent. Est-ce qu'ils attirèrent les hommes et les femmes? Ils attirèrent la femme. Ils attirèrent en premier la femme, et la femme commença à s'approcher. Ils étaient différents des hommes qu'elles connaissaient. Ils étaient plus grands, plus forts, ils faisaient des gestes qu'eux autres ne connaissaient pas; alors cela les attira vers ces êtres, si bien que ces êtres, doucement, leur ont appris quelque chose: à se maquiller, à montrer comment mettre leur regard en évidence, comment pouvoir être comme Satan les voulait: séductrices.

Elles bougeaient avec ce qu'elles avaient découvert à cause de Satan: des clochettes. Ils avaient cette habileté-là de prendre des ossements, de les mettre ensemble, de les frapper ensemble, de mettre ça autour d'eux (les êtres), et cela plaisait aux femmes: les sons. Ils ont commencé à captiver leur regard, ils ont commencé à séduire leur écoute, elles les ont regardés, et des sons sortaient de leur bouche, des cris. Elles ont appris à crier, alors qu'au tout début elles ne savaient pas ça. Elles parlaient entre elles, elles émettaient des paroles, mais là, ces sons étaient étranges, séduisants. Elles pouvaient apprendre à marcher et elles ont appris à se déhancher, elles ont appris à développer leurs sens, développer ce qui était leur amour. Elles ont entré dans ce qu'elles ne connaissaient pas.
Est-ce qu'Ève était venue au monde en sachant comment se maquiller? Non. Mais est-ce que Dieu lui a donné son Esprit pour qu'elle apprenne à se maquiller? Est-ce que c'est Dieu qui a donné à la femme ce besoin d'être séductrice par des petites choses qui brillent, qui font du bruit et qui séduisent les êtres qui sont autour? Ce sont les esprits impurs. Car tout enfant de Dieu est amour: la femme était amour parce qu'elle prenait sa richesse à l'intérieur. Mais les esprits impurs leur montraient à aller chercher à l'extérieur des besoins afin qu'elles soient attirées vers ce qui est extérieur. Tout ce qui était extérieur devait être pour elles quelque chose qui nourrissait leurs sens, et tout cela dans le but d'attirer les hommes.
Alors ceux qui étaient possédés allaient vers les femmes, et les femmes, elles, ont connu ces êtres: elles ont eu des relations avec ces êtres. Elles se sont aperçues que ce qu'ils représentaient, ce qu'ils étaient, était différent des hommes, mais elles ont aimé cela. Ce qu'ils leur faisaient goûter les mettait dans des émois qu'elles n'avaient jamais ressentis et cela les troublait et, en même temps, elles étaient attirées. Une fois que le mal était en elles, goûté par elles, saisi par elles, voulu par elles, tout ce qu'elles étaient prenait une allure de ce qui était défendu par Dieu.
Alors que la femme et l'homme étaient beaux ensemble, alors que la femme et l'homme avaient des rencontres de pureté, lorsque les femmes allèrent vers les hommes, elles leur apprirent ce qu'elles connaissaient. Les hommes étaient troublés par cela, pourquoi? Eux aussi ont été attirés. Lorsqu'ils ont été amenés vers ces êtres, ces êtres leur ont montré la domination, ces êtres leur ont montré qu'ils pouvaient se servir de leur force pour dominer la femme: avec leur force, mais pas avec leur amour.

Bien qu'Adam et Ève se rencontraient, l'homme avait la force, la femme connaissait l'homme, et lorsqu'elle mettait au monde, elle mettait au monde des enfants, elle sentait sa chair qui s'ouvrait pour offrir à l'être qu'elle aimait son fruit d'amour que, lui, lui avait aussi donné. La force en l'homme était une force qui respectait la femme et la femme donnait à l'homme sa tendresse, son amour. Elle allait tout le temps vers l'homme parce qu'elle l'aimait. Mais lorsque ces femmes ont été vers ces êtres, lorsque ces hommes ont été vers ces êtres femelles, il y eut relations infectées par le mal. Les hommes ont connu des sens impropres à eux-mêmes tout comme la femme: la femme séduite, la femme qui veut contrôler, l'homme qui domine et l'homme qui contrôle. Tout n'était maintenant qu'extérieur.

La chair, aujourd'hui, connaît cela. Pourquoi la chair, aujourd'hui, connaît cela? Parce que le but de Satan était d'amener la chair impure vers la chair pure afin qu'il puisse y avoir un mélange. Parce que les enfants d'Adam et Ève ont regardé: "Ce sont mes frères, ce sont mes sœurs." Ils avaient l'Esprit de Dieu, mais ils avaient un amour conditionnel. Leur amour conditionnel devait les amener toujours vers eux-mêmes, en eux, mais ils écoutaient: "C'est quoi ces sons?" Ils regardaient: "C'est quoi toutes ces petites breloques qu'il y a autour?" Alors, ils se sont laissé approcher et ils ont appris. Si bien que la terre est devenue une terre qui était habitée par des enfants extérieurs à eux-mêmes. Un esprit du mal s'était fait connaître à eux et, aujourd'hui, cet esprit du mal est encore en notre chair. Nous laissons entre les griffes de Satan ce qui est à nous.  

Dieu le Fils est venu sur la terre nous parler d'amour. Dieu le Fils est venu sur la terre pour nous dire que nous étions habités de l'amour. Dieu le Fils est venu sur la terre pour nous parler des Lois d'amour de son Père. Il a dit que tout cela était en nous, pas à l'extérieur. Car lorsque Moïse reçut les dix commandements, lorsqu'il y a eu ces Lois, en ces Lois tout était écrit. La Parole était écrite sur les tables, la Parole était écrite sur des rouleaux, alors ces Lois étaient extérieures, et lorsqu'ils avançaient sur cette terre, il fallait qu'ils respectent les Lois telles qu'il les avait écrites, et cela venait de l'extérieur.

Il y eut beaucoup de souffrances en l'être humain, car les sens contrôlaient leurs besoins. Il y avait en eux la guerre: la connaissance du bien, la connaissance du mal. La connaissance du bien est écrite, elle est devant vous. La connaissance du mal avait pris tellement de place en eux qu'ils ne pouvaient plus aller à l'intérieur d'eux, car elle avait trop pris de place. Les sens étaient contrôlés. Ce qu'ils goûtaient toujours et toujours les amenait à se séparer d'eux-mêmes. Dieu eut pitié d'eux, alors il a donné ses Lois. Elles se sont écrites, elles étaient extérieures. C'est lorsque Jésus est venu sur la terre qu'il a parlé avec amour, qu'il a démontré sa toute-puissance. L'Esprit de Dieu est plus fort que l'esprit du mal, que l'esprit de ce monde.

L'Esprit de Dieu est en tous les enfants de Dieu, car ils ont la connaissance de Dieu en eux. Jésus, il a mis les Lois de son Père en nous, et pour mettre les Lois de son Père en nous, il fallait qu'il meure sur la Croix, il fallait qu'il déverse son Précieux Sang sur tous nos actes de vie impurs pour qu'on goûte à qui nous étions: nous étions à Dieu. Il fallait qu'on goûte la présence de Dieu en nous. Alors Jésus a déversé son Précieux Sang sur nous et nous y goûtons. Lorsque Jésus a dit: «Prenez et mangez, prenez et buvez», il dit: «Entrez en vous, venez puiser votre nourriture. Je mets en vous mon amour.» Il nous a donné sa Vie et sa Vie s'est imprégnée en nous. Nous avons cette force qui est en nous, nous avons la puissance de Dieu qui nous rappelle sans cesse que nous sommes créés avec la connaissance de Dieu.

Nous sommes tout amour, nous sommes la vérité, parce que Dieu Amour a mis la vérité en nous. C'est Dieu qui est l'Amour, il est le Fils de Dieu. Toute loi est ce que Dieu est lorsqu'elle est amour et elle ne peut être extérieure, elle est en nous. Satan fait tout pour qu'on n'aille pas en nous, Satan fait tout pour qu'on n'écoute pas la Loi d'amour: «Je te donne, tu reçois et tu donnes. Je te donne, tu reçois et tu donnes.» Toujours ce mouvement qui nous pénètre: c'est la vie. Nous sommes en le mouvement de la vie, nous sommes vivants. Tout ce qui est en nous est vivant, tout bouge en nous. Nous sommes en le mouvement de la vie avec nos parents, nos premiers parents.

Nous ne pouvons pas nous séparer de l'amour, nous sommes l'amour. Il faut le comprendre. Nos sens nous doivent obéissance. Nous ne devons pas croire que nos sens sont prisonniers, il faut qu'ils obéissent à la Loi d'amour. Cette Loi est en nous, elle est en notre vie, elle appartient à Celui qui nous a donné la connaissance du bien. Nous avons tout en nous pour faire taire la connaissance du mal. Nous avons tout en nous pour démontrer à celui qui a voulu nous faire ignorer de nous-mêmes que nous sommes l'amour. Satan n'a pas ce pouvoir, il l'a parce que nous sommes ignorants, il l'a parce que nous ne nous maintenons pas dans la Loi d'amour.

Jésus se donne continuellement sur tous les autels du monde. Continuellement, il y a des enfants qui prennent la Chair de Jésus, qui boivent le Sang de Jésus. La chair est continuellement nourrie, la chair est continuellement dans l'amour, dans l'amour de Jésus. Nous avons fait souffrir notre Dieu, nous offensons la Loi d'amour. Nous offensons Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit lorsque nous ne faisons pas ce qu'il nous demande depuis qu'il est mort sur la Croix.

Tout est accompli. Nous devons pénétrer l'amour de notre Dieu, cet amour inconditionnel nourrit notre amour blessé, notre amour faible, car chaque fois que nos sens prennent le dessus, nous puisons nos réserves d'amour. Nos réserves d'amour diminuent, diminuent, diminuent jusqu'à ne plus se faire sentir: nous avons de l'amour, mais nous l'étouffons. Nous l'étouffons à cause de tout ce qui est extérieur. Ce qui est extérieur, nous le faisons entrer en nous. Et qu'est-ce qui est extérieur et que nous faisons entrer en nous? Ce que nous sommes devenus. Je regarde ma sœur, je regarde mon frère, je juge ma sœur, et pourtant j'aime mon frère: un combat toujours et toujours. Le bien et le mal se font toujours la guerre et c'est en nous. Nous nous attaquons, nous nous servons de la chair qui est devant 'moi' pour attaquer la chair qui est 'ma' chair: votre chair, ma chair, ma chair, votre chair ne cessent de s'attaquer à cause de ce que la chair a connu.

Lorsque Caïn, oui, il leva la main sur Abel, il attaqua son amour. C'est son amour qu'il attaqua, c'est lui-même qui s'attaqua. Satan voulait que l'amour soit faible, il voulait que l'amour perde sa force. Lorsque nous, ensemble, nous étions dans notre mesure conditionnelle pleine, on était ensemble, on se soutenait ensemble; on avait la connaissance du mal, c'est vrai, mais on résistait à tout cela parce qu'on parlait de Dieu, on aimait parler de Dieu, on partageait ce qui était bon entre nous. Il n'y avait personne de plus grand que l'autre, on respectait la parole, on respectait ce qu'on voyait, car ce qu'on voyait, c'était ce qui était avec nous. On écoutait, on pensait, on pensait et on aimait que les autres aussi pensent. On ne connaissait pas la pensée de l'autre, car on l'avait perdue, mais la pensée de l'autre enrichissait notre pensée. On se nourrissait avec de l'amour. C'était bon d'être une famille.

Mais lorsque Caïn jeta à l'extérieur pensées, regards, écoutes, paroles, actions et sentiments, là, il avait frappé l'amour, son amour, lui-même. Il n'avait pas frappé l'amour d'Abel, il n'avait pas frappé (l'amour) des autres, il n'avait pas encore frappé l'amour de ceux qui étaient avec lui, mais il avait frappé son propre amour. Comme il avait frappé son propre amour, il avait moins de force. Nous qui avions un amour conditionnel, nous qui connaissions notre mesure pleine, voilà, à cause de Caïn, la mesure commença à connaître un manque de puissance sur la terre. La puissance de l'amour commença à diminuer. On avait besoin de cela, on a encore besoin de cela. Nous nous maintenons dans un amour blessé à cause de nos sens, tout comme ceux qui connaissaient la connaissance du bien et du mal en eux, mais n'y avaient pas goûté; eh bien, eux aussi voulaient toujours entrer dans cet amour plein, voulaient être amour. Il n'y avait rien contre eux, c'est lorsque Caïn se fit la guerre: il se fit la guerre. Là, notre force commença à diminuer, elle a commencé à diminuer.

Lorsqu'il y eut ces êtres qui ont attiré, alors que la parole de Caïn était faible, il aurait pu dire: "Non! Ce n'est pas bien!" Mais sa parole était faible à cause de son amour qui n'avait plus sa pleine mesure. Alors, les femmes, lorsqu'elles ont été vers ces êtres, leur amour envers elles-mêmes diminuait, cette puissance d'amour diminuait. La chair est devenue si faible. C'est notre chair! Elle est devenue faible à cause de ce qui prenait de la place en nous: la connaissance du mal diminuait la connaissance du bien. Et lorsque les hommes ont été vers ces êtres, ils ont goûté à cela. Leurs sens sont devenus impurs. La connaissance de l'amour fit place à une connaissance du pouvoir sur l'un et sur l'autre, l'amour personnel: vouloir l'amour par l'extérieur, obliger l'amour par l'extérieur, dominer l'amour par l'extérieur. C'est ce qu'ils et elles ont connu et ils l'ont alimenté, car ils savaient, ils savaient, ces femmes et ces hommes, au tout début, que cela était mal aux yeux de Dieu. Car ils avaient en eux la connaissance du bien, ils avaient été instruits par l'Esprit de Dieu, ils y ont été pareil. Ils ont aimé ce qu'ils ont goûté, ils ont voulu continuer.

Encore, aujourd'hui, regardons la femme. Eh bien, on aime bien être séductrice, n'est-ce pas? Avec les années, on a appris à être de plus en plus séductrice, toujours et toujours. Nous n'avons qu'à lire (sur) Sodome et Gomorrhe. Sodome et Gomorrhe ont disparu parce que c'était le mal qui dominait les enfants de Dieu. Il n'y avait plus de bien en eux, c'était la noirceur. Dieu n'a pas détruit ses enfants, ils se sont détruits eux-mêmes, ils se sont laissé détruire par leur propre connaissance. Car Dieu, lorsqu'il envoya son Esprit dans les villes de Sodome et Gomorrhe, qui en profita? Personne ne voulait en profiter. Il n'y eut que la famille de Lot et Lot lui-même qui en profitèrent, mais pas les autres alors que Dieu leur avait envoyé son Esprit. Il ne les a pas condamnés. Combien de jours se sont-ils promenés dans les villes de Sodome et Gomorrhe? Combien de jours? Trois jours. Ils se sont promenés.

Et qui a suivi la Loi d'amour qui était pour eux? Car Dieu avait déposé en chacun l'amour, mais ils n'écoutaient pas leur intérieur, tout n'était qu'extérieur. Ils se comportaient plus bas que les animaux. Car les animaux se respectent entre eux, mais ceux qui sont possédés par Satan ne se respectent pas. Alors, ces êtres étaient-ils habités par Satan? Ils étaient habités par Satan. Ils s'étaient tous donnés à Satan, ils ne voulaient pas de l'Esprit de Dieu. Ils avaient goûté à leurs sens et ce n'était que leurs sens qu'ils voulaient: ils voulaient goûter. Alors Dieu retira son Esprit, il les a laissés avec ce qu'ils avaient choisi: l'esprit du mal, et il y eut destruction. Est-ce que c'est Dieu qui les a punis? Ils se sont eux-mêmes détruits. Dieu est amour et Dieu ne fait pas le mal. Eux étaient des enfants de Dieu, mais n'ont pas voulu de Dieu. Ils se sont laissé prendre au piège de Satan.

Encore aujourd'hui, Jésus, le Fils de Dieu, est venu sur la terre, il nous a parlé de son Père. L'Esprit de Dieu était sur tous les enfants qui écoutaient la Parole du Fils de Dieu parce qu'ils disaient: "On n'a jamais entendu quelqu'un nous parler ainsi." C'était l'Esprit de Dieu. L'Esprit de Dieu leur parlait et ils ont reconnu, par leur intérieur, l'amour qui les habitait, car Jésus ne leur parlait que de l'amour. Ses paroles étaient des paroles de vie, ses paroles étaient des paroles de liberté, non de domination.

Les paroles de Jésus ne faisaient pas peur. Il n'était pas sur la terre pour faire la guerre, il n'était pas sur la terre pour juger puisque Jésus avait l'Esprit de son Père. Il était en son Père. Est-ce qu'il a jugé Judas, bien qu'il connaissait que Judas était pour le trahir? Il ne l'a pas jugé. Il a prié pour lui. Notre Maman d'amour a prié pour Judas, elle a pleuré sur Judas. Est-ce que Jésus a jugé Pierre? (R: Non.) Il a dit à Pierre, qui était dans la tentation: «Éloigne-toi de moi.» Pas Pierre, «Éloigne-toi de moi, Satan.» Il n'a pas prononcé le nom de Pierre. Il a refusé la tentation et la tentation s'est éloignée. Et Jésus, qu'est-ce qu'il a fait? Il s'est donné, il s'est donné à son Père. Tout ce qu'il était était pour son Père: il a passé sa nuit à prier. Il a donné la souffrance: tout ce qui avait fait souffrir les enfants de son Père qui avaient la connaissance de Dieu, il l'a donné à son Père: «Je te donne cette souffrance, je te donne tout ce qui a pénétré en eux. Je te les donne, Père. Ne les regarde pas, regarde-moi, regarde ton Amour et penche-toi sur ton Amour.»

Il continua à prier: «Leurs choix sans amour, je les prends pour moi. Je vis leurs choix, je prends ce qu'ils sont. Leurs sens: je goûte à leurs sens, leur faiblesse qui les amène dans leurs conséquences. Oui, ces conséquences, je te les présente, Père, car je veux être pour eux une conséquence d'amour. Je dois, Père, accepter d'aller là où toi tu veux que j'aille. Je ne m'éloignerai pas de ta Volonté, car j'ai confiance en ton amour. Je m'offre à toi, Père. Ils me prendront, ils me jugeront, mais ne les regarde pas, Père, avec ce qu'ils sont, mais avec ce que je suis pour eux. J'aime tes enfants, Père. Ton amour a été jusqu'à me donner à eux. Je suis l'Amour qui se donne, je suis la Vie Éternelle. Tu m'as donné tes enfants. J'arrache d'eux le mal et j'envoie à la mort le mal. J'ai ce pouvoir, Père, car ce pouvoir est ton Pouvoir. Je rends à la vie ce qui vient de la Vie. J'apporte avec moi ce souffle qui leur montrera qu'ils sont sauvés. Ils sauront que leurs sens ont été trompés et ils entreront dans mon amour, dans ton amour, par la puissance du Saint-Esprit, car ils comprendront, ils verront ce que nous, nous vivons. Nous le vivons avec la Loi d'amour.»

Nous sommes ensemble et c'est ensemble que nous avançons. Oui, il y a beaucoup de souffrance en nous. Comment faire pour que nos sens redeviennent obéissants à l'amour que nous sommes? Eh bien, il va falloir faire ce que Jésus nous demande avec ses grâces. Il a purifié nos actes impurs et c'est avec son Précieux Sang que nous aurons cette force de dire 'non' aux tentateurs. Oui, il faut dire 'non' au mal. Il faut dire 'non', car ces tentateurs, nous les avons introduits dans le mouvement de la vie. Nous les avons introduits, c'est nous-mêmes qui avons introduit ce qui est mal aux yeux de Dieu.

Jésus nous montre que nous avons la puissance d'utiliser nos droits d'enfants de Dieu. Nous devons nous reconnaître être enfants ayant la connaissance de Dieu. Nous savons que nous sommes enfants de Dieu, mais nous n'utilisons pas nos droits. Nos droits d'enfants de Dieu sont en nous, nos droits d'enfants de Dieu nous ont été donnés par l'Esprit de Dieu. Lorsque Jésus est mort sur la Croix, il nous a donné ce pouvoir, ce pouvoir sur le mal. Le mal ne peut rien contre nous, car il est envoyé à la mort.

Mais les tentateurs nous rappellent toujours nos actes de vie qui ont fait souffrir notre Jésus: "Tu es indigne de ton Dieu. Tu ne mérites pas l'Acte de Vie de ton Dieu. Tu te maintiens dans tes sens, tu te maintiens dans l'ombre de tes péchés que je te fais ressentir avec tes propres sens. Tu n'es pas capable de te retirer de ce que je t'ai fait connaître, car tu es accro, tu es prisonnier de tes sens, et je vais te maintenir accro." Cela est faux, cela est faux, nous avons reçu, par Dieu lui-même, la force, la puissance de dire 'non' aux tentateurs.

Nous avons reçu par Jésus lui-même l'amour, un amour inconditionnel qui nous habite et qui donne une force à notre amour conditionnel qui ne connaît pas sa mesure d'amour. En disant ses propres paroles 'je te donne', lorsque nous disons cela à Jésus, à qui nous nous adressons? À son Père, par Jésus.

'Je te donne 'cause'. Depuis tant et tant d'années, j'ai ignoré que ma souffrance me séduisait, que mes sens me dominaient, que ce que je suis devenu me rendait faible, mais je ne suis plus faible. Je peux, ô mon Dieu, te donner cause, car cette cause, maintenant, je rentre à l'intérieur et je commence à la comprendre, je commence à avoir un esprit d'amour pour moi, je commence à me regarder, je commence à m'écouter, je commence à prononcer des paroles d'amour envers moi-même, je commence à agir comme un enfant de Dieu qui est sauvé, parce que mon amour commence à goûter à qui je suis avec les autres ensemble.' Voilà que nous devons le vivre.

Nous devons vivre nos 'choix', nos choix d'amour, pas nos choix qui nous ont fait goûter à l'esclavage de nos sens. Ces choix doivent être donnés à Jésus. Il les a purifiés, mais nous les gardons encore en nous à cause de la peur. Nous en avons entendu et nous en entendrons encore parler de cette peur qui se colle à nous et qui nous rappelle toujours: "Tu n'es pas capable de te souvenir que tu es sauvé, car ta faiblesse je la maintiens dans ce que tu es. Tu es un être qui a peur de se regarder, a peur de s'entendre parler, a peur de s'écouter, a peur de penser avec un esprit d'amour, a peur de ses propres actions, a peur de ses propres sentiments, car moi, la peur, je te maintiens et je ne veux pas que tu t'éloignes de ce que tu es."

Mais non, Dieu est amour. Dieu a donné. Dieu a fait en sorte de nous faire entrer dans son amour inconditionnel. Il est l'Offrande, il est l'Amour. Nous sommes faits pour être ensemble, nous sommes faits pour nous aimer, nous sommes faits pour vivre avec nos bonnes conséquences. Oui, nous vivrons les grâces de la purification et nous goûterons à nos bonnes conséquences, nous goûterons à nos fruits d'amour. Nous serons des enfants vrais. Nous donnerons nos mauvaises conséquences que Satan et ses acolytes ne veulent pas qu'on s'éloigne. Ils nous maintiennent toujours hypocritement dans leurs pièges en se servant de nos sens, ils ne veulent pas qu'on avance dans la purification de la chair. Mais nous sommes sauvés, nous sommes ensemble, nous comprenons. Nous comprenons que nous sommes vivants.

La peur ne nous dominera plus, car nous utiliserons nos droits d'enfants de Dieu, et plus nous ferons cela, plus nous dirons merci à Jésus: 'Merci, tu envoies les esprits impurs au pied de la Croix.' Ceux que Satan a réussi à faire sortir de l'enfer pour nous attaquer, eh bien, nous les enfants de Dieu, nous dirons avec nos droits: 'Merci, Jésus, de les envoyer au pied de la Croix.' Nous démontrerons à Jésus que nous voulons faire sa Volonté, la Volonté du Père, la Volonté de l'Amour. Nous nous exécuterons avec beaucoup d'humilité, car lorsqu'il y aura un esprit impur au pied de la Croix parce que nous aurons prononcé ces paroles, nous aurons utilisé notre droit d'enfant de Dieu. Oui, il nous faudra de l'humilité parce qu'un au pied, cent vont venir nous attaquer. Eh bien, oui, qu'ils viennent, parce que nous utiliserons notre force ensemble. Ensemble, nous serons pour la plus grande Gloire de Dieu (R: Amen.), et ensemble nous utiliserons ce que Jésus nous a gagné: il nous a gagné notre droit d'utiliser nos droits d'enfants de Dieu.

Notre Loi est en nous: la Loi de l'amour, c'est la Loi des enfants de Dieu qui sont plus puissants que les esprits impurs. Nous avons, en nous, reçu de Dieu une connaissance, une connaissance qui vient directement du Ciel: la connaissance du bien. Eh bien, nous l'utiliserons. Les esprits impurs se retrouveront au pied de la Croix. Certains d'entre nous utilisent ce droit et Jésus a dit: «Ma fille, regarde.» Et j'avais les yeux fermés au moment de la Communion. J'ai vu des êtres. Ce ne sont même pas des êtres comme les êtres sur la terre, c'était la laideur qui bougeait, la laideur qui avait des griffes, la laideur qui avait des formes gigantesques, la laideur qui avait comme des crocs et ils se déchiraient entre eux, ils se déchiraient. Jésus a dit: «Ils sont là et ils y resteront jusqu'au moment où moi je le voudrai.» J'ai compris qu'il fallait qu'ils se retrouvent tous au pied de la Croix. Et savez-vous comment on va réussir? Maman Marie.

Parce que nos sens sont faibles, très faibles, nous ressentons la séduction des esprits impurs qui viennent nous rappeler leur pouvoir sur les sens, autant sur les femmes, autant sur les hommes, et cela se passe dans la noirceur. Ils attendent que nous soyons dans un état statique, c'est-à-dire un état où nous sommes comme endormis, pas dans un sommeil profond, juste à la surface de ce qui nous rend réalistes devant ce que nous sommes intérieurement. Ils viennent pour tenter nos sens. Et lorsqu'il y a des enfants à l'extérieur qui font le mal avec leurs sens, cela vient nous nourrir; alors nous ressentons ce qui est mal à partir de nos sens et nous ne le voulons pas.

Lorsque nous profitons des grâces de la purification, lorsque nous utilisons nos droits d'enfants de Dieu, lorsque, par amour, nous ne nous servons pas de nos pensées qui attaquent nos frères et nos sœurs, de nos regards qui jugent, de notre écoute qui s'ouvre au mal, de nos paroles qui frappent notre prochain, de nos actions qui font ce qui est défendu, de nos sentiments qui sont contre l'amour, eh bien, ils ne peuvent rien contre nous, car nous ne nous servons pas de notre vie pour leur donner du pouvoir. Alors peuvent-ils faire quelque chose contre nous? Ils ne peuvent rien. Ils ne peuvent pas nous attaquer même si nous sommes dans un sommeil, ils ne peuvent pas.

Mais si nous avons la peur, que fait la peur? Elle nous rappelle que nous sommes faibles, elle nous rappelle que nous avons fait ce qui est mal aux yeux de Dieu; alors elle nourrit, elle nourrit nos sens en se servant des enfants de Dieu qui se laissent prendre au piège: la chair nourrit la chair avec le mal. Alors, nous avons Maman Marie, nous allons utiliser nos droits d'enfants de Dieu. Lorsqu'on va au repos et que durant la journée nous avons utilisé nos droits d'enfants de Dieu, eh bien, nous avons un ange gardien, lui, il va utiliser nos droits d'enfants de Dieu, et cela va s'accomplir. Et nous, ensemble, nous allons aimer, nous allons nous soutenir et nous allons aider notre chair: la chair, une seule chair.

Cela va se produire. Il y aura une puissance de vie dans le mouvement de la vie. Les enfants vont s'aimer avec leur amour conditionnel. Maman Marie, qui est tout amour, va lier ensemble nos actes de vie d'amour qui sont dans le mouvement de la vie. Ils ne sont pas dans un trou noir, ils sont dans la lumière, dans le mouvement de la vie. Et comme Maman Marie a l'amour inconditionnel, l'Immaculée Conception, elle va envelopper nos actes de vie d'amour pour les lier ensemble: une puissance de vie, et elle va les amener à son Fils. Et son Fils, lui, son amour qui guérit, son amour qui libère, va envelopper - ce n'est pas Marie qui guérit, ce n'est pas Marie qui libère, c'est Dieu; donc, Maman Marie nous amène à son Fils - et de par le monde il va y avoir, il y a et il y aura guérisons et libérations.

Voilà (le mal) que nous, nous avons fait: nous ferons marche arrière pour nous rendre là: nous redeviendrons comme nos premiers parents. Alléluia! Amen. Merci, Seigneur.