Rencontre d'amour avec l’Agir de Dieu, Plantagenet, Ontario,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-06-06 pm Questions et réponses avec l'Agir de Dieu

♪♪      Viens, Esprit-Saint

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: La source d'Eau vive coule en nous. Nous la ressentons, n'est-ce pas? Merci, Seigneur, de faire de nous des enfants d'amour. Nous avons à nous laisser instruire encore et encore et encore. Tant que nous n'aurons pas appris à nous aimer, à nous regarder, et à aimer ce que nous voyons, Dieu va continuer encore et encore à nous parler en notre cœur. Maintenant, il dit: «C'est le temps des questions.»

Q. Quelque chose me dérange depuis quelque temps. Au moment de la consécration, pendant la messe, le prêtre récite des paroles spéciales. Si le prêtre ne récite pas les mots exacts de la consécration, qu'il change les mots ou qu'il en ajoute, il y a quelqu'un qui m'a déjà dit: 'Si ses mots sont changés ou ajoutés, il n'y a pas de consécration. Pas de consécration, pas de messe. Si tu te rends compte que ça arrive, la prochaine fois, si tu vas à cette messe-là et qu'il n'y a pas la consécration, tu n'as pas de messe, tu dois aller ailleurs.' Moi, j'ai besoin de la miséricorde de Dieu pour qu'il me fasse comprendre. Je sais que le prêtre peut avoir un oubli, c'est un humain, mais si ça arrive à plusieurs messes, en tant qu'enfant de Dieu, je ne le condamne pas, mais qu'est-ce que je fais? Merci, Seigneur.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Nous avons en chacun de nous des lois d'amour. Il n'y a qu'une loi que nous ne pouvons contourner: tu aimeras ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de tout ton cœur. Cette loi, Dieu l'a mise en nous et, avant même que Jésus vienne sur la terre, cette loi nous a été donnée par Dieu lui-même. Et lorsque Jésus est venu, qu'a-t-il répondu, lui, à la personne qui disait que la loi était d'aimer Dieu de toute son âme, de toutes ses forces, de tout son esprit, de tout son cœur? Il a dit: «Il y en a une autre qui lui est semblable: tu aimeras ton prochain comme toi-même.»

Jésus lui-même est venu nous dire combien il était important d'aimer, d'aimer et d'aimer. On ne peut pas aimer notre Dieu si on ne s'aime pas et si on n'aime pas notre prochain comme nous-mêmes. Cela est mentir, cela est contourner la loi de Dieu. Car Jésus, il a dit: «Tout ce que vous ferez au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous le ferez.» Voilà une loi d'amour dans laquelle Dieu lui-même nous a fait pénétrer.

L'Église, elle a ses lois. L'Église, elle nous a fait connaître, par ses lois d'amour, ce que tout chrétien doit vivre, et cela est de l'Église. Il est vrai que lors de la consécration, l'Église elle-même a prononcé sa loi en prenant les paroles mêmes de Dieu, celles qui nous ont été données par la toute-puissance de Jésus sur la terre, et le Saint-Esprit nous a fait connaître toute vérité qui venait de Jésus. Au moment de la consécration, des paroles doivent être dites et ces paroles viennent d'une loi qui est amour. C'est Jésus qui se présente devant son Père, c'est Jésus qui s'adresse à son Père, c'est Jésus qui nous fait comprendre que son Corps et son Sang s'offrent à Dieu le Père en acte de réparation.

En mourant sur la Croix, Jésus est devenu l'Offrande: une offrande vivante, une offrande puissante, une offrande réparatrice. Il était l'Agneau Éternel, il était l'Agneau Béni, il était l'Agneau de Dieu, il était Celui qui se donnait par amour pour tous les enfants de Dieu. L'autel, c'est la pierre sur laquelle l'Agneau est déposé. Ce n'est pas un couteau qui ouvre la Chair de l'Agneau, c'est l'amour de Dieu le Père qui ouvre son Fils lui-même, c'est le Père qui donne son Fils, c'est le Père lui-même qui donne son Enfant, son unique Enfant d'amour. Il nous le donne à manger. Le Père vient nous nourrir, le Père vient nous donner à boire, et c'est notre Père d'Amour. Et nous, que regardons-nous? Avons-nous compris cette offrande d'amour qui vient du Père? Qui aime comme Dieu le Père? Nous qui regardons cette offrande d'amour, cet acte d'amour, nous regardons l'Hostie consacrée, nous l'adorons, car nous croyons en ce que Dieu a dit.

Qui nous a instruits sur cet acte d'amour? C'est le Saint-Esprit. Il est venu instruire les apôtres. Dans les premiers temps, les apôtres faisaient cet acte d'amour avec ce qu'ils étaient. Ils comprenaient l'importance de la mort de notre Dieu, et l'Église a pénétré dans cela. D'année en année, l'Église pénétrait dans cet acte d'amour. L'Église, c'est nous, l'Église, ce sont les enfants de Dieu. Les apôtres sont les enfants de Dieu, ce sont les piliers de l'Église. Pierre est celui qui répondait pour les apôtres. Il s'est mis responsable des apôtres, c'est un geste d'amour. Il était le père, il était le père pour les apôtres, il représentait Dieu le Père.

Le Pape représente Dieu le Père qui aime son Fils, qui donne tout pouvoir à son Fils. Le Pape est nommé par Dieu par la puissance du Saint-Esprit. Il est le père de l'Église, il est le père de tous les prêtres, car il est prêtre lui-même. Cela ne vient pas de lui, cela vient de Dieu. Ce que nous sommes, nous le sommes par Dieu. Nous sommes membres de l'Église et l'Église est universelle. Tous les membres sont les enfants de Dieu: catholiques, non catholiques, protestants, musulmans, tous les enfants créés sont membres de l'Église, et notre Pape François se rend responsable devant Dieu de tous les enfants de Dieu. Le Pape s'offre tous les jours comme étant une victime d'amour, car il accepte de mourir en le Christ, il accepte les pensées de Dieu, il accepte les paroles de Dieu, il renonce à qui il est.

Tout prêtre est pour nous un exemple d'amour, tout consacré. Le diacre est en les prêtres; il devient un membre actif par amour, par amour pour tous les enfants de Dieu. Il veut faire la Volonté de Dieu comme les prêtres veulent faire la Volonté de Dieu et comme le Pape veut que ses consacrés fassent la Volonté de Dieu. Il veut que les membres actifs fassent la Volonté de Dieu, pourquoi? Par amour, par amour pour Dieu le Père, Dieu le Père qui nous donne son Fils au moment de la consécration. C'est le prêtre qui prononce ces mots. Il présente le Corps de Jésus, Jésus qui doit mourir, Jésus qui doit laisser couler son Sang sur nous pour nous sauver. C'est un renouvellement sans cesse et sans cesse de ce Sacrifice d'amour que nous vivons. C'est un moment d'amour: Dieu le Père pour ses enfants, Dieu le Fils par amour pour Dieu le Père, afin de nous présenter à Dieu le Père comme des offrandes d'amour.

Nous, les membres, devons-nous être des offrandes d'amour? Devons-nous offrir notre vie? Et notre vie, ce sont tous nos actes de vie. Oui, puisqu'ils ont été purifiés; oui, parce que Dieu nous a envoyé son Fils; oui, parce que le Fils a tout accompli; oui, parce que le Saint-Esprit nous démontre que nous sommes enfants de Dieu par le sacrifice ultime du Fils de Dieu. Nous sommes nous aussi des hosties et nous sommes aussi un breuvage d'amour pour nos frères et nos sœurs du monde entier. Lorsque nous aurons compris ce que nous sommes devant Dieu, la Trinité, nous aurons une réponse. Et la seule sera d'aimer, de ne pas juger, d'être présents, de nous offrir, parce que lorsqu'il y a une messe, il y en a une seule. Il n'y en a pas une, deux, trois, mille, un million, une seule messe, un seul sacrifice: Dieu le Père qui nous donne le Fils, Dieu le Fils qui se donne à son Père et le Saint-Esprit qui nous fait participer à cette messe ultime.

Qui nous fait arrêter sur ces paroles que nous entendons et que nous trouvons que cela n'est pas comme l'Église le dit? Le Diviseur. Il veut nous faire accroire qu'il y a plusieurs messes, que celle-ci est bonne et que celle-là n'est pas bonne. Ne nous laissons pas tromper, soyons prière, soyons offrande, soyons une offrande d'amour. Cessons de juger. Laissons au Pape ce qui est au Pape, c'est lui le père de l'Église, il a été mandaté pour cela, et les prêtres sont là pour nous aider à demeurer à notre place. Si un prêtre nous dit: "Ne va pas à cette messe", obéissons, et prions, prions, prions pour redevenir amour afin qu'on puisse comprendre que Jésus a tout accompli. Il n'y a eu qu'un seul Acte de Vie et il n'y en aura pas deux: c'est l'amour. L'Amour est venu, l'Amour s'est donné, l'Amour s'est présenté, l'Amour s'est offert, l'Amour s'est donné par amour, pour l'amour, avec l'amour. Ce sont ses paroles que nous entendons.

Oui, Jésus a donné son Corps, Jésus a laissé couler son Sang par amour. Et que notre mémoire se souvienne que nous sommes au présent et que lorsqu'il y a consécration, c'est le présent qui se vit. Lorsqu'il a dit: «Faites ceci en mémoire de moi», c'est pour nous rappeler nous-mêmes ce qu'il a fait pour nous. La messe est un acte d'amour divin qui vient du Ciel, c'est un miracle qui se fait devant nous. Rappelons-nous de cela!

Alors, il vient de dire: «Amen, mes enfants, je vous aime.» Merci, Seigneur. Merci, Seigneur.

Q. En France, il y a un problème. C'est vrai qu'il manque de prêtres, mais quand on meurt, ce sont les laïcs qui décident, qui gèrent l'Église. On nous interdit d'amener nos prêtres, et ce sont eux qui font les sépultures. Ce n’est pas valable.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Tu peux expliquer un peu ce qui se passe?

(R. ...) Pour la sépulture de ma belle-sœur, on a eu une réunion avec des laïcs pour préparer la sépulture. J'avais un prêtre. Je l'ai proposé, on me l'a refusé. On m'a dit: 'Non, il y en aura un juste pour bénir et le reste ce sont des évangiles, mais tout fait par des laïcs.' Donc, moi, j'ai dit: "Écoutez, j'accepte, mais je ne suis pas d'accord avec vous, vous en répondrez devant Dieu. Dans la mesure où j'avais un prêtre, je ne vois pas pourquoi vous ne voulez pas qu'il célèbre." Et on m'a dit: 'Non, parce que si on dit oui à vous, il faudra dire oui aux autres.' Donc, ce que j'ai fait, j'ai fait dire une messe ailleurs et puis ma belle-sœur a été 'sépulturée' simplement avec des laïcs.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Le Seigneur, il dit: «Je veux que tu te lèves.» (Pour aller au tableau). Nous avons tous vu ce matin ce que le Seigneur a fait au tout début: le cercle. Dieu est la Toute-Puissance. Tout ce que nous voyons ici, c'est la puissance de Dieu. Son rayonnement est sans limites, donc sa puissance est sans limites. Personne n'a le pouvoir de Dieu. Aucun enfant créé n'a le pouvoir de Dieu. Dieu a donné à chacun des enfants créés un pouvoir: celui qui est de Dieu.

Dieu est infiniment parfait, infiniment bon, infiniment aimable. Rien ne sépare Dieu de ce qu'il est, Dieu est un Tout: Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. La Trinité est Dieu. Le pouvoir de Dieu, il l'a mis en nous parce que c'est Dieu qui l'a voulu. Nous avons en chacun de nous le pouvoir de Dieu qui est l'amour. Tout découle de l'amour. Dieu nous a tous créés en un instant pour aimer, pour aimer Dieu, pour s'aimer et pour aimer notre prochain.

Nous avons entendu tantôt une loi d'amour, et nous avons entendu qu'il y a une autre loi d'amour qui lui est semblable, et nous avons entendu aussi dire que si nous ne respectons pas la deuxième loi d'amour, nous ne sommes pas fidèles à la première loi d'amour. Nous ne pouvons donc nous séparer de ce que nous sommes: des enfants créés pour Dieu et pour l'amour de notre prochain. Nous sommes ici sur la terre pour une mission. Nous l'avons entendu ce matin: aimer, aimer, aimer. Ce pouvoir d'amour, il est en nous: l'amour donne, l'amour reçoit, l'amour donne, l'amour reçoit, l'amour donne, l'amour reçoit, donne, reçoit, donne, reçoit. C'est une loi d'amour; donc, nous sommes créés pour aimer. Dieu nous a donné cette loi pour qu'on l'aime. S'il a voulu créer tous les enfants qu'il aime en un instant, c'est pour nous montrer: «Aimez-vous. Je vous ai créés. L'amour vient de moi, il entre directement en l'enfant créé afin que l'enfant créé aime tous les créés.»

Cet amour est toujours en mouvement, il l'a dit ce matin. Sur la terre, entre nous, il y a un mouvement de vie qui est en la Vie. Nous nous donnons constamment de l'amour, celui qui vient de Dieu, c'est une nourriture essentielle. Cela, nous devons le vivre, car c'est avec cela que nous allons aller vers Dieu. Ce que nous sommes, nous le sommes par amour, nous sommes l'amour. Nous sommes créés par amour pour donner à Dieu ce qu'il nous a donné. L'amour va nous suivre lorsque nous serons devant notre vie et que nous regarderons nos actes de vie. C'est avec l'amour que nous répondrons à notre vie: tout ce que j'aurai fait, je le recevrai; tout ce que j'aurai reçu, je me le donnerai afin de reconnaître que j'ai été créé par amour; je regarderai mes actes de vie par amour pour Dieu, ces actes qui auront été une  nourriture pour tous ceux que j'aime.

Nous avons tous été créés en un instant; donc, nos actes de vie doivent être de l'amour pour tous nos frères et nos sœurs du monde entier, pas seulement pour notre temps, depuis le premier créé jusqu'au dernier qui sera créé. N'oublions pas ce que nous avons entendu ce matin: notre vie éternelle est pour l'éternité; donc, mes paroles ont nourri les premiers, tout comme elles nourriront les derniers. Dieu veut qu'on aime nos frères et nos sœurs afin que nous puissions être continuellement une nourriture dans le mouvement de la vie.

Si je me restreins à n'aimer que ce qui me plaît, que ceux qui sont comme moi, je me donne de l'amour; cet amour stérile ne nourrit que ce qui me plaît. Je reçois quoi? Je ne reçois que de l'amour qui plaît à certains. Cet amour est boiteux, aveugle, sourd, muet; cet amour est stérile, il ne nourrit pas les enfants de Dieu. Je ne suis donc pas une offrande d'amour qui se présente sur tous les autels du monde pour assister à une messe, l'unique messe, celle de notre Jésus d'Amour. Je ne deviens pas une nourriture d'amour, je suis une nourriture stérile qui nourrit mes frères et mes sœurs qui, eux-mêmes, sont stériles. Mon égoïsme me revient, car je ne suis pas une offrande d'amour.

Notre Jésus d'amour, pour qui il s'est donné? Dieu le Père nous a donné son Enfant par amour, Dieu le Fils s'est donné à son Père par amour pour qu'on puisse aimer, le Saint-Esprit nous a été donné par amour pour qu'on puisse comprendre qu'il faut aimer. Comme qui? Comme Jésus. Il n'y a qu'une messe, il n'y a qu'un Acte de Vie. La messe ne serait pas une messe sans l'Acte de Vie, nous ne serions pas membres d'amour avec les membres actifs sans l'Acte d'amour de Jésus. Nous sommes en Jésus, nous assistons en Jésus, nous nous nourrissons de l'amour de Jésus pour être ce qu'il est. Nous sommes des petits 'christs' en le Christ, nous sommes des petites offrandes en l'Offrande. Combien d'entre nous avons entendu que les anges approchent avec notre vie pour l'offrir au pied de l'autel? Nous sommes une offrande, donc nous entrons en Jésus et Jésus nous prend tels que nous sommes. Il a pris tous les enfants de Dieu et il a laissé couler son Précieux Sang, sa Chair était clouée à ce bois par amour.

Voyez-vous ce que Dieu nous demande? D'être ce qu'il est, de nous donner pour tous les enfants de Dieu. Oui, on regarde ceux qui font leur volonté, mais nous devons regarder à travers les yeux de Dieu. Qu'est-ce que Dieu en pense? Qu'est-ce que Dieu dit de ses enfants, lui qui est le Christ, lui qui est le prêtre Melchisédech, lui qui accueille les enfants de Dieu tels qu'ils sont? Lorsqu'ils se présentent, est-ce qu'ils se présentent avec ce qu'ils sont? Mais oui! Mais Dieu, lui, comment il les regarde? Avec son amour ou avec ce que nous sommes? Avec son amour. Lui, il nous a déjà pardonné. Lui, il est là, il nous nourrit de son amour. «Rappelle-toi, je t'aime, je suis mort sur la Croix pour toi.»

Ne laissons pas Satan nous diviser. Prions pour nos frères et nos sœurs, aimons-les, aimons-les, nous allons vaincre. Nous sommes les vainqueurs! C'est Jésus qui est mort sur la Croix et c'est Jésus qui a vaincu la mort. Ne soyons pas comme des morts, arrêtons de vivre comme des moribonds, nous ne sommes pas des fantômes. Les fantômes, ça n'existe pas, c'est bon pour ceux qui y croient, ça, c'est des histoires de sorcières. Nous sommes vivants, nous sommes vrais, alors nous devons nous comporter comme des gagnants. Ayons la foi en nos prières.

Oui, on veut déplacer l'Église, oui, on veut mettre de côté nos prêtres, eh bien, lorsqu'on met de côté nos prêtres, c'est nous qu'on met de côté. Mais n'oublions pas qu'il ne faut pas mettre de côté nos frères et nos sœurs. Qu'allons-nous dire à Jésus lorsqu'il nous dira: «Tout ce que tu as fait au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que tu l'as fait.» Nous sommes tous pareils, nous avons tous besoin des uns et des autres. Un de nos frères, une de nos sœurs qui quitte la terre pour se présenter devant son jugement a besoin, a besoin d'être béni par Dieu, a besoin d'une messe, a besoin de reconnaître que nous l'aimons, que nous voulons prendre soin de la chair qui est au repos. Sa chair au repos est notre chair; c'est notre chair, une partie, une partie de notre chair, qui va au repos jusqu'à la fin du monde. Mais cette chair a besoin de bénédictions afin qu'elle soit respectée, et le plus grand des respects, c'est Dieu qui le met en nous ce respect pour la chair.

Sommes-nous donc des chairs? Nous sommes une chair, une seule chair. Nous avons besoin de comprendre l'amour de notre Maman d'amour. Elle, elle prend soin de chacun de nous; elle, elle va attendrir les cœurs; elle, elle va nous présenter à Dieu tels que nous sommes. Oui, nous avons peur, peur de déplaire à Dieu. Nous ne devons pas avoir peur, nous devons craindre de déplaire à Dieu, et craindre de déplaire à Dieu c'est manquer d'amour. Nous voyons que cela est injuste, n'est-ce pas? Nous voulons que cette personne reçoive toutes les bénédictions que Dieu veut donner pour sa sépulture, mais Dieu l'a déjà accomplie sa sépulture.

Lorsqu'on a fait descendre notre Jésus de la Croix, qui l'a reçu dans ses bras en premier? Croyez-vous que la chair qui était dans son repos n'a pas été reçue par les bras de Maman Marie? C'est une grande bénédiction! Maman Marie ne regarde pas, elle: «Oh! Cette chair va dire non à mon Fils! Oh oui! Cette chair va dire oui à mon Fils!» Maman Marie est là et elle reçoit la chair, elle reçoit cette chair maintenant au repos, croyez en cela. Toute personne qui quitte la terre, l'âme se présente, et la chair, la chair va à son repos. Maman Marie, elle est là, elle reçoit la chair. Pouvons-nous être en dehors de son Fils? Pouvons-nous ne pas recevoir ce que son Fils a reçu? La chair de son Fils, elle l'a accueillie dans ses bras et elle a regardé cette chair et elle a regardé notre chair. Lorsqu'elle a reçu la chair de Jésus, elle regardait les plaies, n'est-ce pas? Le corps de son Fils était ensanglanté, tout ouvert; alors la chair qu'elle voyait, c'était laquelle des chairs qu'elle voyait? La nôtre!

Tout ce que nous avons fait à notre chair était devant Maman Marie, car Jésus, il a porté toute chair, il a connu tout ce que notre chair était pour connaître. Croyez-vous que Jésus n'a pas connu notre mort de la terre, cette séparation, l'âme qui se sépare de la chair? Maman Marie l'a tenu dans ses bras, elle l'a regardé et elle a prié, elle a aimé. Ses larmes ont coulé sur cette Chair. Maman Marie, ses larmes coulent sur notre Chair. Pourquoi? Parce qu'elle a été créée comme nous, Maman Marie, et elle pleure sur sa chair.

Maman Marie, elle a la même chair que nous. Elle, elle a un amour inconditionnel, mais nous, nous avons un amour conditionnel, mais c'est la même chair. Elle pleure sur sa chair, elle reçoit sa chair, Maman Marie. Alors, croyez-vous que notre chair n'est pas dans un endroit d'amour? C'est Maman Marie qui reçoit notre chair. Elle, elle y goûte avant la terre. Le feu qui va incinérer la chair, c'est Maman Marie qui reçoit la chair en premier, si ce n'est seulement qu'après que son Fils ait été déposé dans un linceul, seulement qu'après; et ce n'est seulement qu'après, dans le linceul, qu'il a été déposé sur la pierre, sur l'autel.

Oui, nous, nous avons à reconnaître que nous sommes déposés sur l'autel et ce n'est pas quelques jours après, c'est dès l'instant où nous mourons. Maman Marie reçoit notre chair et Maman Marie pleure sur sa chair, et là, elle dépose elle-même notre chair avec tous les anges, particulièrement l'ange de la personne. C'est un moment d'amour, n'est-ce pas? Ne sommes-nous donc pas dans un mouvement d'amour? Le mouvement d'amour, c'est pour nous, ce n'est pas pour un autre temps, c'est pour nous, c'est constamment que cela se produit. Cela semble non réaliste, n'est-ce pas, pour nous qui sommes matérialisés? Nous nous occupons tellement de notre matériel que nous oublions notre vie spirituelle. Notre vie spirituelle est avant notre vie corporelle.

Tout est vrai, tout est présent, Jésus l'a vécu, et nous le vivons. Dieu a dit: «Je vous envoie le Sauveur du monde, le Royaume est près.» C'est Jésus, toujours Jésus. Nous sommes vivants et nous sommes vrais. Réjouissons-nous de ce que notre Dieu a accompli. Réjouissons-nous d'avoir Maman Marie pour notre maman. Elle n'oublie personne. Elle est divinisée par la grâce. À chaque instant qu'un enfant créé meurt, elle reçoit sa chair. N'y a-t-il pas des messes qui se disent constamment, constamment et constamment? Alors, nous sommes offrande, nous sommes une offrande d'amour. Il faut croire en ce que nous vivons, il faut croire en ce que nous sommes. L'Église est vivante. Oui, nous voulons que l'Église soit parfaite, mais elle a à souffrir l'Église. Jésus lui-même l'a dit et nous l'avons entendu par la puissance du Saint-Esprit.

Combien de fois les prêtres, à l'église, nous ont dit que l'Église doit vivre son accouchement? Jésus lui-même a dit qu'il y aurait beaucoup de souffrances contre elle, mais elle sera toujours victorieuse sur la souffrance, car le mal ne peut rien contre l'Église. Alors, nous devons faire taire la souffrance. La souffrance doit obéir à Jésus, alors la souffrance doit être obéissante à nous-mêmes. Nous devons, par la foi, vivre notre vie d'enfants de Dieu, notre état de pureté, car nous avons un esprit en Dieu, nous sommes morts en Dieu. Nous ne devons pas vivre dans l'esprit de ce monde, c'est l'esprit de ce monde qui nous fait juger. Laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Croyez-vous que la puissance de Dieu est faible devant ce que nous entendons, voyons? C'est Dieu qui est la toute-puissance.

Si on rejette les prêtres, eh bien, prions, aimons, offrons, acceptons, abandonnons-nous, faisons la Volonté de Dieu qui est: «N'ayez pas peur. Qu'avez-vous à craindre, je suis avec vous.» On n'a pas à avoir peur. Oui, il y a de la souffrance et nous en verrons. Voilà pourquoi le Seigneur prend chacun de nous. Il nous appelle les choisis bénis pour qu'on puisse vivre l'amour, afin qu'on puisse atteindre notre vie éternelle avec la connaissance de Dieu. Nous devons avoir la foi en ce que Dieu a mis en nous; nous devons vivre tous ensemble en ayant un cœur d'amour; nous devons aimer notre prochain tel qu'il est. Il est dans la souffrance, nous sommes dans la souffrance, nous allons nous tenir ensemble. Nous aurons à patienter. Il y aura de la souffrance parce qu'on ne veut pas entendre, mais nous nous unirons. Nous ferons des actes d'amour et Maman Marie nous liera ensemble. Nous nous reconnaîtrons être dans la force de Dieu, dans la puissance de Dieu.

Nous sommes des vainqueurs! Nous vivons dans le mouvement de la vie en le Mouvement de la Vie. Ce que nous acceptons dans notre vie sera des grâces pour nous, sera de la nourriture pour nos frères et nos sœurs, ceux qui sont loin de Dieu. Ceux qui se disent être près de Dieu et qui n'aiment pas inconditionnellement notre Dieu de toute son âme, de toutes ses forces, de tout son esprit, de tout son cœur, ceux-là ont besoin de nous, car nous aussi nous manquons envers notre devoir d'amour. Il n'y a pas deux lois, il n'y a qu'une loi, c'est celle de l'amour. Nous sommes un tout, alors conduisons-nous comme un tout. Cessons de nous faire la guerre, car lorsque nous disons un tel fait ceci, un tel fait cela, nous ne sommes pas en accord: nous sommes en guerre contre nous. Cessons d'être des instruments entre les griffes du pouvoir du mal. Nous n'appartenons qu'à Dieu, notre vie est à Dieu, nous sommes un mouvement d'amour.

N'arrêtons pas de nous regarder, car nous avons besoin de comprendre. Comment pouvons-nous comprendre si nous nous isolons? 'Ah! Je voudrais m'en aller sur une île déserte, ah, comme je serais bien, hein: les beaux palmiers, les bananes, les mangues, les kiwis! C'est sûr, il faut une île chaude!' Et là, on s'imagine: 'Oh, la belle chute! On va aller boire de l'eau bien pure, non polluée, et là, je ferai ma croix. Jésus sera avec moi tous les jours, je vais vivre en enfant de Dieu, là, je suis sûr d'aller au Ciel.' Eh bien, vous allez être bien mal pris, parce que votre chair s'est collée à toutes les autres chairs. 'Je me demande ce que les Chinois font, ah non, je ne penserai pas à ça aujourd'hui. Hey, ils ont mis dans le ciel des satellites nouveaux, il me semble que je ne le connais pas celui-là, je ne l'ai pas vu hier. Oh! Les vents se lèvent! Oh! Il y a beaucoup d'orages! Il y en a de la pollution dans le monde, hein? Je me demande si mon île va être frappée par la pollution, par tous ces vents, ces tornades. Il y a des courants froids ce soir, ça me rejoint jusqu'ici ça. Qu'est-ce qui tombe, c'est de la neige?' Et voilà! Nous sommes une chair et cette chair fait partie de tous les enfants de Dieu.

Il faut s'aimer. Mieux vaut être ensemble, c'est plus chaud, c'est beaucoup plus rassurant. 'Mon voisin va venir m'aider si mon toit part. Hey, lui a une chaloupe, moi, je n'en ai pas!' Voyez-vous, on a besoin des uns et des autres. Ce que nous sommes, nous le sommes pour Dieu. Alors, s'il n'y a pas un prêtre pour la sépulture, nous sommes comblés par l'Église: il y aura toujours une personne qui aura une sépulture bénie par le prêtre. Croyons en cela et bénissons le Ciel de nous calmer. Alléluia! Amen, Seigneur.

♪♪         Il tient le monde dans ses mains

La Fille du Oui à Jésus: Avez-vous une autre question à poser?

Q. J'étais dans le mouvement du Nouvel Âge. J'ai fait du yoga, j'ai fait du reiki et on parlait de chakra. J'ai entendu dire que les chakras n'existent pas. Veux-tu m'expliquer, s'il te plaît?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Ce que le Seigneur nous fait vivre, c'est l'amour. Où est l'amour? L'amour vient de Dieu. Il y a du pouvoir en l'amour et ce pouvoir, il est où? Il est partout autour de nous. Pourquoi il est partout autour de nous? Parce qu'on nous a appris lorsque nous étions jeunes que Dieu est amour. Nous venons de qui? (R: Dieu.) Et nous sommes sur la terre pour qui? (R: Dieu.) Nous venons de Dieu, nous sommes avec Dieu et nous devons retourner à Dieu par amour. Est-ce que notre chair est créée à la ressemblance de la Matière Parfaite, Jésus? Jésus est la Matière Parfaite. Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit ne font qu'un. La matière de Dieu est ce que Dieu est. Et nous, nous sommes faits à l'image de Dieu. Lorsque nous prenons conscience que nous sommes créés à l'image de Dieu, Dieu se sépare-t-il de ce qu'il est? Est-ce que Dieu est un tout? Est-ce que Dieu est une lumière? Dieu n'est pas une lumière, Dieu est la Lumière, il est la Vérité, il est la Vie, il est un Tout, c'est Dieu, le Créateur. Dieu est la Vie Éternelle. Rien, rien n'est en dehors de Dieu.

En Dieu il y a tout, absolument tout ce qui est de Dieu. Les anges et nous les humains: l'invisible et le visible. Dieu a créé les anges à son Image et il nous a créés à son Image. Est-ce que les anges peuvent se séparer de nous? Ils ne peuvent pas se séparer de nous parce que les anges sont en Dieu, et nous, nous sommes en Dieu. Ce que nous sommes est connu des anges et ce que les anges sont doit être connu de nous. Mais nous n'avons pas accompli ce que nous devons accomplir: pourquoi nous sommes ici sur la terre. Le pourquoi nous sommes ici sur la terre, c'est que nous devons démontrer à Dieu qu'il est notre Dieu, que nous devons l'aimer de toute notre âme, de toutes nos forces, de tout notre cœur et de tout notre esprit. Il n'y a qu'un Esprit en Dieu. Notre esprit doit être en Dieu. Nous avons la lumière de Dieu. Le Saint-Esprit nous fait connaître ce qui est en nous. La lumière de Dieu est pour nous.

Dieu est tout amour. Il y a en nous de l'amour et Dieu ne se sépare pas de ce qu'il est. Dieu est Esprit et Dieu est Matière. Il ne se sépare pas de ses anges, il ne sépare pas de ses enfants créés. L'éternité est en les anges par Dieu, l'éternité est en les humains par Dieu. Nous sommes donc éternels. Tout ce que nous sommes, nous le sommes par Dieu; alors, tout est en nous, tout est pour nous, afin de redonner à Dieu ce qui est de lui. Dieu est la Puissance. Lorsque nous croyons que nous avons une forme: esprit, lorsque nous croyons que nous avons une lumière: lumière à tel endroit, nous nous séparons de nous-mêmes. 

Nous avons l'Esprit de Dieu, nous avons un esprit et il est en Dieu. Nous avons la lumière et la lumière est en Dieu. Nous n'avons pas une partie à un tel endroit, une autre partie à un tel endroit et une partie à un tel endroit qui, ensemble, se forment pour créer ce qui doit être une force. Ce que nous sommes, nous le sommes à l'image de Dieu. (Tableau) Cela n'est pas à l'image de Dieu, cela nous sépare des anges, cela nous sépare de nous-mêmes, cela nous rend individualistes et nous devenons ce que nous ne sommes pas. Nous ne sommes pas le rien, nous sommes créés à l'image de Dieu.

Tout ce qui vient d'une lumière, tout ce qui vient d'une force, tout ce qui vient de nous-mêmes, cela est faux, cela n'existe même pas. Oui, les chakras n'existent pas, c'est ce que dans notre faiblesse nous avons cru. Nous avons cru à un mensonge. Le maître du mensonge, c'est Satan. Lui, il veut que nous soyons à sa ressemblance: l'orgueil, la vanité, le mensonge, la noirceur, le rien, le néant. Lorsque nous nous laissons pénétrer par ces faussetés, nous entrons dans ce qui est faux. Il est faux que nous pouvons demeurer dans ce qui est faux. Nous sommes créés pour l'amour et notre force est en Jésus.

Ne craignons pas le Nouvel Âge. N'ayons pas peur de ce mot chakra, il n'existe même pas, c'est ce qu'on a voulu qu'on croie. Cela vient de l'esprit de ce monde. Nous sommes créés à l'image de Dieu, nous recevons de l'amour, nous donnons de l'amour, nous recevons de l'amour, nous donnons de l'amour, sans cesse nous sommes une nourriture d'amour. Réjouissons-nous d'être vrais! Il ne faut pas que la peur se colle à nous, alors laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Profitons des grâces de la purification.

Oui, il est bon de croire que Dieu nous regarde, il est bon de croire que Dieu sait tout. Alors, lorsque nous croyons en cela, nous croyons qu'avant même que nous soyons créés, Dieu connaissait tout. Il savait ce que ses anges invisibles étaient pour faire, et il savait ce que ses enfants créés étaient pour faire. Rien n'était inconnu de Dieu, rien. Alors pourquoi il a mis ses anges à l'épreuve? Mais quand l'on dit 'épreuve', c'est: «Je vous aime, je vous veux encore et encore plus parfaits. Voilà ce que je vous montre, c'est quelque chose qui vous fait avancer.» Une épreuve, c'est un acte d'amour, c'est un acte dans lequel Dieu nous fait pénétrer pour nous donner. Il voulait donner encore et encore et encore plus d'amour à ses anges, leur montrer ce qu'il avait en lui: la matière visible.

Lorsque les anges ont dit oui, ils sont devenus encore et encore plus puissants, car Dieu leur donna sa puissance: «Allez, mes anges, vous allez prendre soin, protéger mes créés, vous allez louer avec mes créés, vous allez adorer avec mes créés votre Créateur.» Voilà ce que Dieu voulait pour ses anges. Allait-il priver ses anges de cette puissance d'amour pour eux alors que Dieu savait ce qui était pour arriver à Lucifer, Lucibel: entraîner avec lui une milliarde d'anges. Dieu est amour, il ne pouvait priver ses anges de son amour, alors il a laissé son mouvement d'amour se pénétrer. Toujours et toujours Dieu se pénétrait et il faisait pénétrer ses anges dans son mouvement d'amour.

Voilà ce que Dieu a aussi voulu pour nous. Oui, il a créé tout ce qu'il y a autour de nous et dans ce tout, il a créé la terre. Pour qui? Pour nous. Nous avons été créés avant la création parce qu'il l'a créée pour nous. Tout est amour en Dieu. Dieu nous a créés à sa ressemblance, la matière en la Matière, afin que les matières reconnaissent qu'elles sont créées et que Dieu les aime, lui qui est la Matière Parfaite Immaculée, Éternelle. Dieu nous aime. Il nous regarde tous petits, petits, petits, et il voulait nous donner le pouvoir de participer à sa création. Alors, il fit de nous des petits créateurs en faisant avec nos actes de vie des actes d'amour pour qu'on puisse lui présenter nos fruits d'amour. Et là, nous pouvions et nous pouvons vivre dans le Royaume de Dieu éternellement dans nos récompenses. Quel pouvoir d'amour que Dieu nous donne! Alors Dieu ne nous prive pas, n'est-ce pas? Il a le pouvoir, Dieu, sur la vie éternelle. Et vous avez tous entendu qu'il n'a pas échoué.

Vous avez lu, pour la plupart, le Volume 5, n'est-ce pas? Alors, notre Dieu d'Amour a-t-il le pouvoir en enfer? (R: Oui.) Notre Dieu d'Amour a-t-il de l'amour pour les âmes en enfer? (R: Oui.) Notre Dieu d'Amour a-t-il le pouvoir de récompenser les bons actes de vie des âmes en enfer? (R: Oui.) Notre Dieu d'Amour a-t-il le pouvoir de se faire connaître à l'amour? (R: Oui.) Est-ce que notre Dieu d'Amour est un violeur de liberté? (R: Non.) Notre Dieu d'Amour peut-il obliger les âmes en enfer de s'incliner devant lui alors qu'elles ne veulent pas? Dieu ne se donne pas ce pouvoir, il respecte ses enfants, il respecte la liberté des âmes en enfer. Notre Dieu d'Amour peut-il se servir de leurs bonnes conséquences demeurées sur la terre qui sont une nourriture continuelle pour les enfants de Dieu sur la terre? (R: Oui.) Notre Dieu d'Amour peut-il faire profiter aux âmes dans son Royaume des bonnes conséquences des âmes en enfer éternellement? Oui. Savez-vous pourquoi? Parce que les bonnes conséquences sur la terre ont fait en sorte de nourrir les bonnes conséquences de ceux qui sont dans le Royaume de Dieu: une seule chair, un seul amour. Et Dieu dit: «JE SUIS.»

Alors, croyons en ce que Dieu fait. Lorsqu'il dit que lorsque nous profitons, nous, sur la terre, des bons actes de vie des âmes en enfer, cela les fait entrer dans quoi? Dans un répit. Cela veut dire que Jésus est victorieux de la mort éternelle. Si les âmes en enfer connaissaient une souffrance éternelle à cause de la mort éternelle, est-ce que Jésus pourrait proclamer qu'il est victorieux sur la mort éternelle? Non, car la mort éternelle ferait souffrir les âmes en enfer éternellement. Est-ce que l'on pourrait dire que notre Jésus d'Amour est victorieux de la mort éternelle, alors qu'en enfer les âmes sont torturées éternellement par la mort éternelle? La mort éternelle, savez-vous quel est son pouvoir sur les âmes en enfer? Les âmes en enfer veulent connaître leur fin, mais la mort éternelle les maintient dans son pouvoir: elle leur fait goûter à ce qu'elle est; alors, l'âme, elle goûte continuellement à son anéantissement, continuellement. Elle, l'âme, veut connaître sa fin, mais elle ne la connaîtra jamais parce que la mort éternelle est victorieuse sur l'âme. Mais cela est faux, la mort éternelle n'est pas victorieuse, c'est notre Jésus d'Amour, notre Dieu qui est victorieux.

Lorsque Jésus est venu sur la terre, c'était pour prendre tous nos actes de vie comme si c'était ses propres actes de vie et les purifier, afin qu'on puisse connaître son amour, sa miséricorde, sa puissance éternelle. L'âme en enfer, qui refuse la purification de ses actes de vie impurs et qui va en enfer, ne peut dire à Dieu: 'je ne veux pas que ton amour agisse sur mes bons actes de vie.' Elle ne peut faire cela, car les bons actes de vie ont été faits avec quoi? Avec l'amour de Dieu. Dieu les aime et, malgré elles, Dieu les aime et les aimera toujours, toujours, toujours. La miséricorde de Dieu est éternelle.

Lorsque nous serons tous purifiés, lorsque nous serons dans le Royaume de Dieu, toutes les âmes en enfer seront dans un repos éternel. Elles ne connaîtront plus cette souffrance que la mort éternelle veut leur faire ressentir: leur anéantissement total. L'âme voulait disparaître, n'est-ce pas? Elle ne disparaîtra pas puisqu'elle est éternelle, mais elle connaîtra un repos éternel. Telle est la puissance de notre Dieu!

Et tout est dans l'Évangile. Merci Esprit Saint de nous révéler ce que nous devions connaître, et cela ne vient pas de nous, cela vient de Dieu, un seul Dieu. Alors, soyons un seul peuple: le peuple de Dieu. Voilà la puissance que Dieu fait en nous. «Aimez-vous, aimez votre prochain comme vous-mêmes.» Il dit: «Amen, mes enfants.»

Q. J'aurais une question concernant nos droits d'enfants de Dieu. Dans une retraite spirituelle, il y a plusieurs années, j'ai appris que résister à la tentation, c'était laver son linge sale et comme tout le monde à la retraite, j'ai demandé de faire mon purgatoire sur la terre. J'ai attendu d'être frappé et il ne s'est rien passé pendant des années et je suis venu ici et j'ai découvert nos droits d'enfants de Dieu. Alors j'ai dit: Seigneur, merci! Mais depuis de ce temps-là, j'ai l'impression qu'à l'intérieur, il y a quelqu'un qui a installé une buanderie et des brassées de linge sale n'attendent pas des brassées de linge sale, et à force de laver le linge et d'invoquer la prière qui est longue, j'en ai fait une courte qui dit: "SOS, Seigneur, je refuse."

Ce qui arrive, Seigneur, c'est que je suis un peu confus parce que ce matin, ou durant la retraite, tu as mentionné que la souffrance qui appartient au refus, parce que c'est difficile de combattre, et c'est une souffrance, et cette souffrance-là durera jusqu'à ce que tous les enfants disent leur oui; alors j'ai l’impression que la buanderie va être ouverte longtemps. J'ai aussi l'impression que je vais laver le linge des autres. Pourtant, Seigneur, lorsque je me rappelle ce qui a été dit ici, c'est qu'on porte tous des marques de nos péchés et que lorsqu'on dit non à la tentation les marques s'en vont. Mais là, d'après ce que j'ai appris ce matin, c'est que le savon ne fonctionne pas très bien. Peux-tu nous éclairer?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Ce que le Seigneur nous a fait comprendre il y a quelques années est toujours présent aujourd'hui, plus que jamais. «Tu aimeras ton Dieu et tu refuseras de déplaire à ton Dieu. Tu aimeras ton prochain. Tu présenteras ta joue. Tu donneras ton manteau. Tu useras tes genoux. Tu enlèveras tes souliers et là où tu marcheras, tu ne regarderas pas où tu marches, car le chemin sur lequel tu marcheras sera fait de ce que tu as fait. Mais je saurai te donner des 'plasters' afin que tu puisses continuer, et lorsque tu auras bien compris, je te les enlèverai.» Ce que le Seigneur nous demande, c'est être obéissant à ses grâces d'amour.

Le Seigneur dit: «Fais un bonhomme.» Il faut qu'il se tienne debout. Le Seigneur nous a demandé de nous regarder. Au tout début, le Seigneur nous a dit que nous étions l'amour. Souvenez-vous, dans le Livre 1, n'a-t-il pas parlé d'amour? C'était pour nous donner de la force, mais nous, on a trouvé ça ennuyant de toujours entendre parler d'amour. C'était redondant. Dieu disait: «Vous êtes l'amour, je suis l'Amour. Vous devez faire des actes d'amour pour vous nourrir d'amour, afin d'aimer les actes d'amour que vous allez faire. La Trinité est l'Amour. Il faut que vous pénétriez dans ce que vous êtes.

Dans le deuxième volume, il nous a parlé de nous. Il nous a fait comprendre que nous devions aimer notre prochain tel qu'il est, et il nous a fait découvrir que nos frères et nos sœurs, c'est l'Église. Il nous a fait découvrir que nous sommes tous ensemble faits pour l'Église. Il nous a appris, dans le deuxième, à reconnaître qui nous étions, nous, personnellement nous-mêmes.

Dans le troisième, c'était notre prochain. «Ne jugez pas votre prochain, aimez votre prochain.» Il nous a amenés à découvrir comment nous étions faits les uns pour les autres.

Dans le quatrième, c'était la purification de la chair. Il viendrait un temps où nous serons présents devant ce que nous sommes, il viendrait un temps où nous allons regarder nos oui et nos non. Il nous a dit que tous nos frères et nos sœurs devront passer par là. Cela était un repas d'amour.

Et lorsque ces volumes, 'le' volume s'est présenté, il y eut de la digestion. Nous avons eu des rencontres d'amour et nous avons entendu: «Donne, donne, donne.» Plusieurs ont commencé à donner. Je donne quoi? Est-ce que je donne mes péchés? Est-ce que je donne mes maladies? Est-ce que je donne mes souffrances? Le Seigneur disait: «Donne, donne, donne.» On donnait tellement qu'on donnait tout, puis on ne suivait plus les conversations. On ne savait pas quoi donner, alors on te donne tout, Seigneur. Ce qui nous a amenés à faire confiance en Dieu.

Après, nous avons appris les refus. Je refuse. La cause? La cause, c'est ce que nous avons accepté: les tentations. Les tentations, c'est la cause de notre souffrance. Cela a fait pénétrer quoi en nous? Du venin. Pourquoi? Parce que nous avons fait un choix. C'est nous, avec notre vie, qui avons laissé le tentateur pénétrer en nous son venin et nous avons vécu des conséquences. Ces conséquences, nous les vivons aujourd'hui. Nous avons de la difficulté à vivre ce que le Seigneur a fait dans notre vie: purifier tous nos actes de vie. Il nous dit de vivre la grâce de la Purification, mais nous sommes incapables de vivre les grâces de la purification, pourquoi? Cause, choix, conséquences nous ont amenés à avoir des marques en nous. Ce venin, il a pénétré en nous hypocritement. Il a fallu qu'il y ait un tentateur, il a fallu que nous fassions un choix, il a fallu que ce choix soit fait avec notre vie, ce qui nous a amené conséquence sur conséquence, conséquence sur conséquence.

Depuis Caïn, nous vivons dans une très grande conséquence: la chair a connu tout ce qui est cause, choix et conséquences. Caïn a été contre lui, il ne s'est pas aimé. Dieu a dit que Satan s'est attaqué à l'amour qu'il avait envers lui. En s'attaquant à l'amour que Caïn avait envers lui-même, il a affaibli l'amour de Caïn; donc, il n'a pu aimer son Dieu de toute son âme, de toutes ses forces, de tout son esprit, de tout son cœur. La jalousie, l'envie, la colère n'étaient pas connues en Caïn. C'est après qu'il ait fait un choix devant un tentateur qui a fait qu'il a connu la jalousie, l'envie, la colère, la haine. Ces souffrances, il voulait s'en débarrasser, il ne voulait pas de ces souffrances dans sa vie, et plus il voulait faire disparaître cette souffrance, plus ses marques grossissaient. Sa jalousie, son envie, sa colère, sa haine ont pris beaucoup de place dans sa vie.

Ce qu'il a eu, c'est du venin, et cela est encore dans notre vie. La chair a été attaquée et la chair est encore attaquée. Ces marques, nous les avons en nous, elles se sont multipliées et cela est profondément, en nous, douloureux. C'est douloureux toutes ces marques parce que nous ne sommes pas créés pour ces marques, c'est lourd. Et Jésus, il l'a dit lui-même: «Donnez-moi votre joug, le mien est léger.» Tout ce que nous avons en notre chair Dieu le veut: «Donne-moi cause, choix et conséquences. Moi, je te donnerai joie, paix, amour. Et plus tu me donneras cause, choix et conséquences, plus je mettrai en toi des grâces de joie, de paix et d'amour. J'ai gagné ta place en le mouvement de la vie. Tu as ta place, tu dois le reconnaître. Ta place est où? Ta place est dans le mouvement de la vie. Lorsque tu es en le mouvement de la vie, tu reprends ta force. Là, tu sens ta vie, tu sens que tu es dans le mouvement de la vie en le Mouvement de la Vie.»

'Oui, je me sens en colère: je refuse cause, choix et conséquences. Je te donne, Seigneur. Merci d'envoyer les esprits impurs au pied de ta Croix. "Oh! Ce venin! Ce venin commence à ne plus avoir de pouvoir sur la colère, oh! Ça diminue!" Et encore une fois, mon voisin arrive et il vient pour me parler qu'il a pris possession du terrain, alors que moi j'avais une partie sur le terrain. Il vient m'attaquer. 'Mais non, il ne vient pas t'attaquer, tu t'attaques, tu acceptes ses paroles. Oui, ses paroles, je les refuse: cause, choix et conséquences, mais son acte est toujours là. On prend une partie de ce qui est à moi et il m'empêche de m'en servir. Cela est réel, qu'est-ce que je fais avec cela?' «Calme-toi. Ma paix, ma joie et mon amour, tu dois les ressentir. Le venin va diminuer. N'as-tu pas fait de même avec ton prochain? Tu as pris possession sur sa vie. N'as-tu pas été en colère dans ta vie? Tu as pris ce qui était à lui et tu t'en es servi. Mais qu'est-ce qui était à lui? Sa chair. Tu t'es servi de sa chair qui est ta chair. Tu n'as pas respecté la chair, et ce que tu as laissé s'introduire en toi l'a affecté. Alors regarde ce que tu es aujourd'hui, cela t'aidera.»

Le venin va diminuer et mon prochain va recevoir de la nourriture. 'C'est difficile, c'est long, je ne vois pas les résultats.' N'est-ce pas ce que Dieu nous a dit maintes et maintes fois: «Ayez la foi. Oui, vous me donnez cause, choix et conséquences. Moi, j'agis et j'accomplis la Volonté, la Volonté de l'Amour. Je n'irai pas piocher sur votre prochain, je ne ferai pas en sorte d'emprisonner le violeur, je n'enverrai pas à la mort ton voisin, je suis l'Amour. C'est par le cœur que tout se transformera. Tout ce qui était froid va devenir chaud. As-tu la patience?» Voilà ce que Dieu nous dit.

Nous devons avoir de la patience. Nous avons nourri notre prochain, notre prochain nous a nourris, nous avons encore nourri notre prochain et notre prochain nous a nourris. Ce que j'étais, je l'ai donné et cela m'est revenu. Cette nourriture venait de qui, de moi? J'acceptais de ne pas faire des actes d'amour. C'était mon choix. Cela a été fait avec ma vie et lorsque j'ai fait un mauvais choix, j'ai laissé aux tentateurs mon pouvoir de vie, car la vie a un pouvoir, elle l'a de Dieu, de nourrir. Nous avons le pouvoir de nourrir nos frères et nos sœurs.

Lorsque je fais un acte sans amour, je nourris mon prochain; lorsque je fais un acte encore sans amour, je nourris mon prochain. À cause de cette nourriture-là, mon prochain a lui aussi nourri le prochain; encore, cette mauvaise nourriture a nourri mon prochain; encore, il l'a nourri, ce qui a transformé sa vie. Ses marques sont devenues profondes. Plus ses marques sont devenues profondes, plus sa nourriture est devenue malsaine; plus sa nourriture est devenue malsaine, plus la souffrance dans le monde s'est multipliée; plus la nourriture s'est multipliée, plus nous avons reçu une mauvaise nourriture. Est-ce que je vais accuser mon prochain? Je ne peux pas accuser mon prochain, tout comme mon prochain ne peut pas m'accuser. Nous sommes tous responsables de nos actes de vie. Cette nourriture mauvaise a empoisonné la vie de mes frères et de mes sœurs. Pourquoi? Parce que je n'ai pas profité des grâces de la purification.

L'amour, je devais être l'amour, je devais profiter des grâces de la purification. Lorsque je profite des grâces de la purification, eh bien, je m'aime, et plus je m'aime, plus je veux faire des actes d'amour. Oui, je veux être une nourriture maintenant, une nourriture d'amour. Je veux que mes marques commencent à diminuer. Je n'irai pas me sauver sur une île. Je ne veux pas m'aveugler: 'Oh! Il fait beau, il fait soleil, la plage, la belle chute, les belles bananes.' Quel aveuglement! Je me promène sur l'île avec toutes mes marques. Je n'y pense plus. Les autres y pensent, qu'ils pensent pour moi! Moi, je fais mes affaires. Pendant ce temps, mes marques grossissent puis je rapetisse. Je deviens si petit que je ne veux pas me voir. J'oublie, j'oublie qu'on a besoin de moi, j'oublie que j'ai besoin de mon prochain.

C'est notre prochain qui va nous aider à regarder ce qu'il y a en nous. 'Oh! Lui, il vient de tricher, là. Il a fait mal ses impôts! Ouais, ça me chicote ça, moi! J'ai peut-être fait quelque chose qui me dérange puisqu'il me dérange.' Si mon prochain éveille en moi quelque chose qui me dérange, aussi petit soit-il, c'est que j'ai en moi une marque. J'ai deux choses à faire: j'écoute mon cœur ou j'écoute ma tête. Ma tête? 'Jésus, je te donne cause, choix et conséquences. Merci d'envoyer l'esprit impur au pied de la Croix.' Là, j'ai conscience, je prends conscience que le venin qui est en moi doit diminuer. C'est ça faire en sorte que nos marques commencent à disparaître. Les marques, c'est le venin qui nous fait souffrir et ça nous dérange. Et c'est notre prochain qui va nous aider à faire en sorte de réveiller en nous nos mauvais choix.

Conséquences: 'Je ne veux plus tricher le gouvernement, lui, il me triche.' Ah! Je viens encore de répondre comme ça à qui? À une tentation, à un démon. 'Mais non, c'est l'esprit du  monde, j'ai le droit.' Encore quelque chose qui vient d'entrer en moi! Alors, il faut se réveiller. Qu'est-ce qui fait que je me déculpabilise toujours et toujours? Le venin qu'ils ont réussi à rentrer qui a fait ces marques. Savez-vous pourquoi ça va si vite que ça? Tu marches de travers? 'Hey, est-elle tannante, je ne suis pas capable de faire ce que je veux; celle-là, je ne suis plus capable de l'endurer, non, pas elle, je ne suis pas capable de l'endurer!' Pourquoi ça va si vite dans notre vie? Je te donne cause, choix et con… oups, c'est trop tard, il y en a déjà une qui vient de rentrer. Le pourquoi: ma marque nourrit ma marque, ma marque nourrit ma marque, ma marque nourrit ma marque. Le venin se nourrit de lui-même: le venin du mensonge, le venin de l'envie.

Vous allez le lire, dans le Volume 5, comment un péché capital peut être une avalanche de péchés? Mais cela a été purifié. Qu'est-ce que cela fait dans ma vie? On n'a pas profité des grâces de la purification. On vit dans l'ombre du péché et la peur se colle aux tentateurs. Elle, la peur, elle suit le tentateur partout; là où il y a un tentateur, elle, elle se colle comme une mouche à une bouse de vache. Elle, elle attend… pas longtemps, le temps qu'on choisisse, et lorsqu'on choisit d'entrer dans la tentation, oh! elle, elle se colle à nous. Elle a le dos collé, là, puis elle ne nous lâche pas. On n'est pas capable de la défaire de nous, c'est comme si elle faisait partie de nous. C'est dans le but qu'on n'oublie pas ce que nous avons en nous. Tu es menteur? La peur va toujours nous faire penser à ce que nous avons accepté: le mensonge. La peur va toujours nous rappeler que nous avons en nous l'envie. Alors, la peur nous rend faibles dans le but qu'on ne fasse pas nos droits d'enfants de Dieu.

La peur, elle a une amie: la paresse. Nous avons accepté souvent la paresse; alors, elle, elle s'en sert. Elle nous rend paresseux. Faire des efforts, ça ne me tente pas; faire des efforts, c'est toujours à recommencer; faire des efforts nous semble inutile; faire des efforts nous rend superwoman, superman. Cela veut dire qu'on est capables sans la prière du refus: nos droits d'enfants de Dieu. Pourquoi? Parce que nos marques nous nourrissent, les marques nous emprisonnent, les marques nous rendent incapables de vivre ce que nous avons à vivre. Nous devons faire des efforts pour que nos actes de vie soient dans le mouvement de la vie en le Mouvement de la Vie pour que Maman Marie lie ensemble nos actes de vie et les amène à son Fils. Et là, il y a guérison, là, il y a libération.

Là, plus nous ressentons l'amour envers nous-mêmes, plus on est fiers de nous-mêmes devant Dieu. On commence à profiter des grâces de la purification. Plus les grâces de la purification se font ressentir en nous, plus les marques commencent à disparaître. Mais ce qui demeure en nous, c'est un rappel. Nous sommes tous créés ensemble, nous sommes un tout, nous sommes la force en la force de Dieu. Notre liberté, elle devient grande, elle fait disparaître en nous les fantômes. L'angoisse commence à sortir de notre vie, les inquiétudes commencent à prendre moins de place dans notre vie, l'anxiété commence à être freinée par nous, le stress commence à être rejeté par nous, nous sentons notre liberté d'enfants de Dieu. 'Je suis fatigué parce que j'ai passé deux, trois heures à faire mes droits d'enfants de Dieu. Mes anges ne  sont pas là pour les faire à ma place. Je fais confiance, je sais que Dieu a tout accompli. Mais je ne ferai pas la paresse, je vais jouer au soccer. Oui, je vais être sur le terrain; oui, je vais faire de belles passes; oui, je vais courir si on ne me renvoie pas ma passe. Moi, j'ai la liberté pour que je puisse aider mon prochain, car la terre doit être pure de tout ce venin.'

Sur la terre, il y a nos frères et nos sœurs, ils ont besoin de nous. L'île ne doit pas être un refuge. Notre refuge est dans le Cœur de Marie, et Marie, elle est avec tous les enfants créés. Oui, nous avons reçu ce droit d'enfants de Dieu par la puissance de Dieu. Dans notre liberté, il y a quelque chose de merveilleux qui se passe. C'est que notre esprit en Dieu est tellement vite que cela se fait en un clin d'œil. Il faut avoir confiance. Plus vous allez trouver ça lourd vos droits d'enfants de Dieu, plus vous allez vivre cela; mais plus cela sera léger, plein d'amour, plein de force, plein de puissance, plus cela sera accompli dans un clin d'œil venant de Dieu.

'Tu as eu le cancer?' Combien d'entre nous connaissons ce qu'est le cancer? Cela galope, galope, galope, n'est-ce pas? Mais c'est lent en comparaison à nos droits d'enfants de Dieu lorsque cela est compris et aimé. Lorsque nous chantons nos droits d'enfants de Dieu, ça multiplie nos droits d'enfants de Dieu. Il faut croire en ça. C'est la même chose lorsque nous faisons nos droits d'enfants de Dieu, mais comme une louange à Dieu. Cela devient une joie, on sent notre liberté, cela ne nous accable plus, et notre mémoire, elle, se souvient et cela se fait avec beaucoup, beaucoup d'amour pour notre prochain. Nous nous aimons tellement que nous passons notre prochain avant nous tant que c'est de l'amour. Nous voulons recevoir. Alors ce que nous donnons par amour, eux le reçoivent, eux le reçoivent, eux le reçoivent. Cette nourriture-là se multiplie, et qui reçoit? C'est nous, c'est l'amour.

La purification, c'est pour nous. Les grâces de la purification, c'est pour nous. Nous vivons quelque chose de merveilleux, nous vivons notre libération, nous sommes dans une Église et notre Église est libre. Dieu n'oblige aucun enfant de Dieu à faire ce que Dieu veut qu'il fasse. Dieu n'est pas un Dieu sévère, Dieu est un Dieu d'amour, Dieu est un Dieu de patience. Il n'est pas un Dieu qui a de la rancœur, Dieu ne punit pas, Dieu a sauvé et ce qu'il a sauvé est devant lui. Lui, il a foi en ce qu'il a accompli. Alors nous devons être en le mouvement de la vie. Nos actes de vie appartiennent à qui? À celui qui les accomplit. C'est une richesse! Et c'est ce que nous allons présenter à notre Divin Maître. Nos actes de vie seront présentés à Dieu et il y aura des conséquences qui porteront de bons fruits. Est-ce que vous voulez que cela soit un raisin ou une grappe de raisins? Alors, pour un acte de vie accepté, aimé, un acte de vie qui soutient, un acte de vie qui ne lâche pas son prochain, tous les autres actes de vie s'accrocheront à cet acte de vie.

Voilà ce que Dieu nous a dit que nous n'avons pas compris. C'est l'éternité! Nous avons la vie éternelle. Sans fin, sans fin, sans fin, nous goûterons. Le Royaume de Dieu, il est où? En nous, avec nous, pour nous. Jésus lui-même l'a dit. Nous croyons en ce qu'il a dit, n'est-ce pas? Alors, nous allons faire ce qu'il nous a dit. Les droits d'enfants de Dieu, c'est une puissance de vie: 'Ô Divine Volonté, que toutes les puissances se réunissent pour contrecarrer les puissances de l'enfer': passé, présent, futur. Voyez-vous, nous sommes une nourriture? Tout entre à sa place. Oui, on ne savait pas trop, trop où était notre place, hein? 'Qu'est-ce qu'il dit? On ne comprend rien en avant. C'est long, je m'endors.' Eh bien, parce que nos actes de vie ne goûtaient pas aux grâces de la purification. Mais plus nous avançons, plus nos actes de vie y goûtent. Là, nous sentons notre liberté, là, nous aimons.

On me traite de prophète qui fait du plagiat: merci, Seigneur. C'est vrai, je le porte en moi, ça me dérange. Je donne, je donne, et cela ne m'atteint plus, parce que j'ai appris à me coucher, à me coucher sur l'autel et à accepter d'être là où Dieu le voulait, et à ne pas désirer une autre place que la place que Dieu a choisie pour moi. Oui, il y a beaucoup à apprendre. Merci, Seigneur, de me maintenir dans mon ignorance, car je profite de ta Connaissance.

Il n'y a rien, rien, rien qui n'est pas bon pour nous. Tout n'est que merveilles. Nous marchons sur la même terre que Noé, qu'Abraham, qu'Isaac, que Jacob. Nous marchons en la famille de Dieu: les douze tribus d'Israël. Les douze tribus d'Israël sont à la surface de la terre. Nous allons voir cela, là où nous serons, car que ce soit sur la terre, au purgatoire, que ce soit au Ciel, nous allons nous accomplir parce que Dieu nous veut là. Merci, Seigneur.

Q. Alors que la buanderie était tranquille, j'ai essayé de profiter, parce que je dormais mal, des grâces de la purification. Je méditais et je contemplais le jardin de Néron que le Seigneur a mentionné hier, et je voyais les premiers martyrs qui ont été calomniés, crucifiés. J'ai lu qu'il y en avait 300 dans l'histoire de l'Église qui avaient été couverts de résine puis Néron les avait fait torcher vifs. Le spectacle était affreux, et Néron, qui se promenait avec sa cithare, était tout surpris de voir qu'ils chantaient. Moi qui voyais ça dans mon imagination, j'ai dit: "Seigneur, si tu pouvais nous donner cette puissance d'amour, on serait à la hauteur des premiers chrétiens." Il me semble qu'on y a droit parce qu'on est dans un chaos possédé par Satan et il faut des armes adéquates.

Alors, Seigneur, pourquoi tu ne nous remplis pas de ton Esprit Saint comme la première Pentecôte et, avec l'aide de la Sainte Vierge, on y va? Là, un gars dans la buanderie, une voix dans la buanderie me dit: "Qu'est-ce que c'est ces histoires-là? Demander la grâce du martyr? Mais tu n'as rien compris mon vieux! Le Seigneur a dit hier qu'il avait tout purifié, tu perds ton temps, tu vas gaspiller ta vie!" Là, j'étais comme dans un demi-sommeil, j'ai dit: 'Qu'est-ce que je réponds à ça, Seigneur?' J'ai donc essayé de rassembler mes bribes de connaissances que j'avais apprises lors d'un pèlerinage et le Ciel avait dit: «Vos souffrances, c'est votre purification, le salut de votre famille, et la conversion des pauvres pécheurs.» Finalement, j'ai refusé de discuter avec Satan, le gars d'en bas, et j'ai dit: 'Seigneur, je pose la question aujourd'hui, et je te laisse y répondre. Merci, Seigneur.'

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Un jour, il y eut des enfants qui voulaient connaître la vérité; alors ils se sont rassemblés pour entendre Celui qui parlait. Ses paroles étaient des paroles d'amour, ses paroles étaient des paroles d'espérance, ses paroles étaient des paroles de foi, ses paroles étaient de lui, car il était la Vérité. Il se donnait par amour à ceux qui voulaient l'entendre.

La foi, mes enfants, a fait de vous qui vous êtes. Vous avez accepté de vous présenter à ces endroits. Qui a été vous chercher là où vous étiez hier? C'est ma Mère, mes enfants. Combien d'entre vous ont été attaqués par Satan? Combien ont ressenti de la souffrance? Les tentateurs avaient eu ordre de vous attaquer, afin que vous puissiez ressentir votre souffrance et reculer devant les grâces.

Je me sers de vous, mes enfants, afin que vous puissiez aider vos frères et vos sœurs. Vous êtes ceux que le Ciel a choisis avant même que vous veniez sur la terre. Votre oui a une mesure, et cette mesure, mes enfants, est amour. Il y a en vous cette mesure d'amour. Plus vous avez accepté de venir là où la Vierge Marie vous invitait, plus vous avez accepté les grâces qui ont nourri votre mesure d'amour. Vous avez tous grandi ensemble et c'est ensemble que vous avez tous ressenti la présence de votre amour.

C'est votre amour, mes enfants, qui vous a fait naître dans un esprit d'amour. Votre amour est mon Amour. Il n'y a pas deux amours, il n'y a qu'un seul amour et c'est celui de Dieu. Je vous ai nourris, je vous ai parlé, vous êtes devenus une nourriture pour vous-mêmes et vous avez nourri vos frères et vos sœurs. De par le monde, il y a eu des enfants qui ont voulu entendre; de par le monde, il y a eu des enfants qui ont voulu lire ce qu'il y avait en votre cœur.

Tout a été dans l'ordre de Dieu. L'ordre divin de Dieu est à Dieu, pas aux humains. Ce que vous êtes, vous l'êtes pour Dieu; ce que vous êtes, vous l'êtes pour vous-mêmes et pour votre prochain. Tout ce qui a pénétré en vous et qui était impur, je l'ai arraché et vos actes de vie purifiés sont en vous. Lorsque vous acceptez, lorsqu'avec votre liberté, vous vivez ce que le Ciel veut que vous viviez, les grâces d'amour surabondent. Vous êtes plus que ce que vous croyez. Vous avez en vous le pouvoir de Dieu, vous avez en vous le pouvoir de chasser ce qui est mal. Ce qui vous triche, mes enfants, vous ne devez pas y croire. Ne vous ai-je pas dit de lire la Bible, mes enfants? Ne vous ai-je pas demandé, mes enfants, de l'ouvrir même si c'est un tout petit instant durant votre journée?

Combien d'entre vous pouvez maintenant lire et comprendre? C'est l'amour, c'est l'amour qui vous a fait ce que vous êtes. Votre amour vous a transformés, car votre amour connaît une mesure. Votre mesure est belle, mes enfants. Ayez confiance en ce que vous devez être. Ce qui fait de vous des êtres souffrants doit être pour vous une joie. Cette souffrance, c'est vous qui la dominez maintenant, ce n'est pas la souffrance qui vous domine, c'est vous-mêmes, vous, les enfants de Dieu créés avec un amour qui est le mien. Je vous aime, mes enfants. Réjouissez-vous, n'ayez aucune crainte de déplaire à ce monde. Soyez toujours fidèles à votre amour. Vous avez en vous tout ce qu'il vous faut pour avancer.

Lorsque vous vous apercevez qu'il y a quelque chose qui est mal en vous, cela est une offense, cela est une offense que vous avez faite à mon Père: vous avez offensé son amour. Lorsque vous allez vers le prêtre et que vous vous repentez, quelle joie vous ressentez, quelle force vous avez! Cela est bon pour vous. Les grâces de la purification, mes enfants, vous y pénétrez plus facilement. Un bon mal de dents, mes enfants, vous montre que vous avez besoin d'un dentiste, mais si vous continuez à prendre du sucre qui est mauvais pour votre dentition, que va-t-il arriver à votre émail? Il sera percé. Voyez-vous? Il faut éviter ce qui peut vous faire souffrir.

Éviter le mal ne veut pas dire éviter ce qui réveille votre mal. Cela, c'est deux choses différentes. Éviter le mal, mes enfants, c'est éviter de faire des actes sans amour. Et remerciez Dieu de mettre devant vous ce qui vous a si souvent manqué: savoir que vous n'avez pas profité des grâces de la purification. Ceci répond à ta question, mon fils. Mes enfants, aimez-vous, aimez savoir que vous avez un lavage à faire. Amen.

Q. Nicole: Si on commence: cause, choix et conséquences, je refuse; il y en a un autre. Un n'a pas fini de dire les trois, quatre, cinq, six dernières étapes qu'il faut recommencer, recommencer et recommencer. Est-ce qu'on peut demander à nos anges de finir ou, tout à coup, on prend ça comme un gros bouquet et on fait les dernières trois ou quatre choses. Est-ce que ça inclut tout ce qu'on peut avoir vécu depuis quinze minutes, par exemple?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Il faut avoir la foi en ce que nous accomplissons. Lorsque nous faisons nos droits d'enfants de Dieu, bien, on les fait avec amour! Lorsqu'on commence: je te donne cause, choix et conséquences, et qu'il y a quelque chose qui vient vous attaquer, on garde la paix; alors, tout s'accomplit, notre droit d'enfant de Dieu se fait dans la paix, dans la joie et dans l'amour. Pas d'énervement! Qui vient vous attaquer dans ces moments-là? Les tentateurs. Ils ne veulent pas que vous disiez ces mots, alors ils attaquent, ils attaquent, ils attaquent jusqu'à ce que vous vous découragiez. Alors, lorsque vous commencez: "Je te donne cause, choix et conséquences. Merci, Jésus d'envoyer le tentateur au pied de la Croix." Faites-le calmement et là, ils commencent à s'apercevoir: "Hé! Elle est calme, elle!" Qui s'énerve, là? Ce sont eux. Alors, faisons ce que nous avons à faire. Dieu sait ce qu'il y a dans notre cœur. Nous le faisons avec notre cœur et pas avec notre tête. Merci, Seigneur.  

Diacre Michel: Prière de l'Angélus et bénédiction du repas.