Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu, Plantagenet, Ontario,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-02-28 – A.M.  

♪♪   Viens, ô viens en nous, Esprit-Saint

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que le Seigneur veut nous accorder, nous l'avons tous dans notre cœur. Le Seigneur nous aime. Il veut qu'on apprenne à s'aimer, avoir confiance en ce que nous sommes: nous sommes les enfants de Dieu, nous sommes les aimés de Dieu. Ne nous laissons pas prendre aux pièges de celui qui ne veut pas qu'on se reconnaisse. Nous devons nous regarder comme étant aimés de nous-mêmes. Nous ne sommes pas des orgueilleux, nous sommes des mendiants d'amour comme notre Jésus.

Jésus est un mendiant d'amour. Il nous demande d'aimer qui il est; alors, nous, nous devons être comme notre Jésus. Demandons-nous de l'amour. N'ayons pas peur. La peur, c'est quelque chose qui n'existe pas. C'est le mal qui nous a introduits dans la peur. Dans les enfants de Dieu, il n'y a pas de peur; dans les enfants de Dieu, il y a la présence. En la présence, il y a tout ce dont nous avons besoin, et ce besoin, Dieu seul nous le donne et c'est pour l'éternité.

Nous avons entendu notre Dieu hier, hier au soir? Non, nous l'avons entendu dès le matin; dès notre réveil, notre âme a entendu. Notre chair, elle était dans l'ignorance. Il faut que cela cesse, et c'est à nous de faire les efforts pour qu'on puisse vivre notre présence. Nous sommes des enfants qui errent sur la terre. Il faut prendre notre place et la vivre. Cessons d'être comme ce qui se passe à l'extérieur de nous et qui ne vient pas de Dieu. Tout ce qui est mort ne vient pas de Dieu. Nous ne sommes pas des moribonds, nous sommes des enfants de Dieu. Nous avons la puissance en nous. Cette puissance, elle nous vient de Dieu et ce n'est seulement qu'en étant ensemble que nous allons goûter à cette puissance de vie.

Dès le début, Satan a divisé. En séparant l'esprit de l'esprit, il a divisé. Lorsqu'il a parlé à Ève, c'était dans le but de diviser: 'Tu auras ton esprit et tu converseras, devant l'Esprit de Dieu, à Dieu.' Il y eut division, car elle crut en ce qu'il disait. Et Adam, Adam n'a pas fait mieux : il a choisi, il a choisi! Lui qui ne devait pas choisir a choisi, lui qui connaissait tout par Dieu, le comblé, a choisi. Il devait donner à Dieu ce qui n'était pas à lui, mais il a pris ce qui était à l'extérieur pour le faire pénétrer en lui. Et nous, que faisons-nous depuis ce temps? Donnons-nous à Dieu tout ce qui est extérieur de la vie? Nous avons gardé ce qui ne nous appartenait pas.

Est-ce que Dieu est maître de tout? Dieu a tout pouvoir et il peut prendre ce qui est extérieur de nous, ce qui n'a pas de vie, et l'envoyer là où il n'y a pas de vie. Notre Jésus d'amour a pris tout ce qui n'avait pas de vie et l'a envoyé là où la vie n'existe pas. Il a tout envoyé à la mort ce qui venait de la mort. Avons-nous à l'intérieur de nous ce qui n'a pas de vie? Pouvez-vous répondre? Avez-vous ce qu'il y a qui n'a pas de vie en vous? (R: ...) Alors, je vais vous poser d'autres questions. Avez-vous ce qui vous fait pleurer? (R: Oui.) Avez-vous ce qui vous inquiète, ce qui vous fait connaître l'angoisse, qui vous amène à connaître la peur? (R: Oui.) Avez-vous déjà jugé votre moi, votre petit moi, là, le petit, petit, là? (R: Oui.)  Avez-vous déjà jugé le gros moi? (R: Oui.)  Avez-vous déjà été en contradiction avec les paroles de Dieu, vous demandant si cela venait vraiment de Dieu? (R: Oui.) Avez-vous peur de ne pas aller au Ciel? (R: ...) Avez-vous peur de la souffrance, une souffrance qui vous fait oublier qui vous êtes? (R: ...)  Avez-vous peur de tomber dans les pièges de Satan? (R: Oui.) Est-ce que vous êtes ignorants de la puissance de Satan? (R: Non.) Il ne faut pas l'ignorer.

Oui, nous savons que nous avons à l'intérieur de nous ce qui est étranger à nous. Oui, nous avons la mort, cette source qui se fait connaître à nous; oui, nous avons en nous des corps étrangers, mais nous savons que Satan n'a pas de pouvoir sur nous si nous ne lui donnons pas notre âme. Nous le savons, car un enfant qui donne son âme à Satan sait que Satan veut son âme. Mais si nous ne donnons pas notre âme à Satan, c'est qu'il y a quelque chose en nous qui est puissant. La vie m'appartient, je ne la donnerai pas à quelque chose qui va me nuire. Puisque nous ne voulons pas pleurer, puisque nous ne voulons pas être angoissés, puisque nous ne voulons pas juger notre petit moi et le grand moi, puisque nous cherchons le bonheur, puisque nous cherchons à aimer et à être aimés, c'est que nous sommes en connaissance : nous voulons connaître ce qui nous appartient. Nous refusons donc à la mort ce qui est à nous.

À qui appartiennent des jugements? Qui a jugé, le voisin ou moi? Avec quoi j'ai jugé? Avec mes actes de vie. Lorsque je pense du mal de mon prochain, mon oreille ne l'ignore pas, mes yeux ne l'ignorent pas, mes paroles ne l'ignorent pas, mes actions ne l'ignorent pas et ni mes sentiments : je suis donc en connaissance. Mes actes de vie m'appartiennent parce que Dieu m'aime et il m'a donné de l'amour. Cet amour, je dois m'en servir pour m'aimer. Je dois aimer mes actes de vie. Je dois donc m'en servir pour l'amour, pas pour me juger, pas pour juger mon prochain, car lorsque je juge mon prochain, je me juge. Je ne peux pas juger mon prochain avant de me juger. C'est moi que je regarde, c'est moi que j'entends, c'est moi qui parle, c'est moi qui agis, c'est moi qui ressens. Ce qui sort, sort de moi; alors, je me suis attaquée avant d'attaquer mon prochain. C'est moi que je juge en premier, et cela pour tout acte de vie.

Lorsque je crois qu'il n'y a pas de Ciel : 'Est-ce qu'il y a vraiment un Ciel?' Lorsque je me pose cette question, je la pose avec quoi? Mes actes de vie. Alors, toute ma chair est dans le doute parce que c'est moi qui la mets dans le doute. Où était le doute? Au tout début, le doute était à l'extérieur, il n'était pas en moi. Il a fallu qu'il soit à l'extérieur avant d'être en moi. À un moment, dans ma vie, il y eut un instant où je fus tenté (toi, enfant de Dieu) par un esprit de doute. Un esprit de doute s'est présenté, il s'est servi du doute de mon prochain. Ce qu'il avait réussi à faire pénétrer en mon prochain, il s'en est servi. Il n'aurait pu s'en servir s'il n'avait pas été en mon prochain. Vous savez pourquoi il n'aurait pu se servir du doute, lui, l'esprit de doute? Parce que Jésus, la Vie Éternelle, a envoyé le doute, où? À la mort. Ce qui n'avait pas de vie est retourné là où il n'y avait pas de vie. Alors, dans ma vie, il y eut un esprit de doute qui s'est servi de ce qui était en mon prochain pour venir me tenter; alors, lorsqu'il s'est présenté, ma vie s'est présentée.

J'ai l'amour en ma vie; alors, la vie, pleine d'amour pour moi, a fait présence. Cela veut dire que lorsqu'il y eut un esprit de doute près de moi, l'amour en ma vie a présenté cette tentation et, dans ma liberté, j'ai été devant cette tentation. Elle n'était pas encore en moi cette tentation de doute, mais il y eut un instant où je devais prendre une décision : l'amour présenta à ma vie ce doute, cette tentation. Je devais prendre, moi, tout entière, en mon esprit, en mon âme, en ma chair, une décision. C'était à moi de dire non au doute, c'était à moi de donner à Dieu ce qu'il avait amené à la mort. Ce qu'il avait amené à la mort ne devait pas pénétrer en ma vie. J'ai délibérément choisi d'entendre, puisque le doute je le connais. Ma vie a donc choisi le doute.

Puisque le doute est à la mort - parce que notre Dieu, notre Sauveur, au moment de sa mort, il a envoyé à la mort tout ce qui était mort - alors qu'est-ce qui a entré en moi? L'ombre, l'ombre du péché. Cela a pénétré en moi et c'est avec cela que, maintenant, je vis. C'est pourquoi dans des moments difficiles: 'Est-ce que le Ciel existe vraiment?' Je le dis bien innocemment, mais cela est contre ma vie. Cela pénètre au plus profond de moi, et cela fait du grabuge parce que ce doute amène d'autres doutes. Le doute se nourrit de doutes. C'est comme une cellule. Une cellule qui a goûté à quelque chose d'étranger, elle est attaquée. Et comme ma cellule a une faiblesse, elle se laisse nourrir par ce qui est extérieur, et plus l'extérieur prend de l'expansion, plus la cellule devient malade, et comme la cellule devient malade, elle se multiplie. Elle se multiplie, pourquoi? Parce que la cellule, elle est créée pour être avec toutes les cellules.

Dans une chair, nous avons des cellules, des milliards de cellules, des millions de cellules; cela forme notre matière. Mais lorsqu'une cellule est atteinte par l'extérieur, cette mauvaise nourriture prend de la place : elle rend notre cellule malade, et les cellules à côté deviennent malades. Plus les cellules sont malades, plus d'autres cellules deviennent malades; cela devient une puissance, une puissance de mal en nous et elles se tiennent ensemble. Cela devient tellement puissant que le corps, qui a la puissance de l'amour, veut pénétrer, mais il n'y arrive pas. Vous savez pourquoi? Parce que d'autres cellules ont connu ce qui est le mal. Il y a le mensonge, il y a l'avarice, il y a la jalousie, l'envie, il y a la paresse spirituelle, il y a les sept péchés capitaux qui nourrissent les cellules. Parce que notre amour est conditionnel, nos cellules sont affaiblies; plus nos cellules sont affaiblies, plus elles ont moins de force. Où est cet amour dont nos cellules ont tant besoin? Il est oublié ou il est transformé par le grand moi. Il est maintenant l'amour personnel et notre vrai amour est mis de côté. Nous sommes faits pour le vrai amour, pas pour l'amour personnel.

Nous devons donner à Dieu ce qui a pénétré en nous. Tout ce qui est mort n'a pas sa place en nous. L'ombre du péché ne vient pas du Ciel, l'ombre du péché vient de la mort. Est-ce que nous croyons que notre Dieu est mort sur la Croix pour nous sauver? (R: Oui.) Est-ce que nous croyons que nous sommes sauvés? (R: Oui.) Alors, vivons notre purification. Cessons de dire : 'Seigneur, sauve-moi!' Le Seigneur dit : «Je t'ai sauvé. Reconnais ce que j'ai fait pour toi. Vis, vis ta purification. Apprends à aimer qui tu es, apprends à reconnaître le trésor de la vie qui est en toi. Tu es fait d'amour, tu es fait de la puissance de Dieu, tout en toi est parfait. Ne te laisse plus prendre à ta vie, car ta vie te triche. Celle qui t'est présentée à tous les jours et qui est nourrie de l'esprit de ce monde n'est pas celle que je t'ai donnée.

«Tu as en toi la vie éternelle. Vis ton éternité. Ne vis pas une vie temporelle, cette vie temporelle va demeurer sur la terre. Tu es vie éternelle et ta vie éternelle, elle est à toi pour l'éternité dans le Royaume de mon Père. Crois en cela. Si tu continues à vivre la vie que tu connais et qu'on t'a fait aimer avec ce qui est mort, que feras-tu le jour où tu regarderas ta vie éternelle? Tu ne la reconnaîtras pas. Tu chercheras tes plaisirs à travers ce que tu as connu; tu chercheras encore à te combler avec ce qu'on t'a fait connaître; tu te sentiras seul, car la vie sur la terre ne sera plus avec toi. C'est la vie éternelle qui sera avec toi, celle que tu n'as pas nourrie, celle qu'on t'a fait oublier. Regarde-toi, tu ne veux pas quitter la terre. Oui, je t'ai voulu sur la terre pour que tu vives l'amour de mon Père, pas pour que tu t'éloignes de la vie éternelle. Tu l'as remplacée parce qu'en toi il y a la mort, cette ombre que l'esprit de ce monde t'a fait connaître.

«L'Esprit de mon Père est amour, l'Esprit de mon Père est parfait, l'Esprit de mon Père, c'est l'amour inconditionnel, l'Esprit de mon Père t'aime tel que tu es, car tu es créé à l'image de mon Père. Regarde ta chair. Cette chair, tu la vois vieillir. Tu sors du sein de ta maman sur la terre et déjà ta chair apprend à vieillir, parce que ton choix a fait que tu connais maintenant la mort sur la terre. Je t'ai créé avec ma Chair éternelle. Je suis la Chair Éternelle. Tout en moi est parfait. C'est ce que je t'ai donné, c'est ce que j'ai voulu que tu aies en toi, et qu'à l'extérieur tu regardes pour faire tes actes de vie : aimer, aimer mon Père, aimer qui je suis, aimer le Saint-Esprit, aimer Dieu. Tu es créé pour Dieu, ton âme est créée pour Dieu, ta chair est créée pour Dieu, tu as l'Esprit de Dieu, car tout de toi, Dieu l'a voulu. Mais, aujourd'hui, tu vieillis; à chaque instant, ta chair apprend, apprend à vivre avec ce qui est étranger à elle.

«Depuis tes premiers parents, tu apprends, car il n'y a qu'une seule chair créée : c'est celle que j'ai voulue pour toi. Adam a été choisi le premier, non que je l'aie préféré à toi. Il  y a un ordre d'amour et dans l'ordre l'amour Adam était le premier. Et toi, et toi qui viens après Adam, il t'a donné ce qu'il avait en lui et tu l'as nourri de ton amour. Où étais-tu avant qu'Adam soit sur la terre? En Dieu. Tu étais vivant, créé parfait. Lorsqu'Adam et Ève ont choisi, ont choisi l'amour conditionnel, cet amour qui devait leur apporter la mort sur la terre, tu les aimais. Tous, vous étiez en moi. Tu n'étais pas seul et tu aimais, tu aimais tous les enfants de Dieu. Tu as donc nourri, tu as nourri la chair de tes parents. La chair ne se sépare pas de sa chair. Alors, là où tu étais : en moi, en ton Dieu, tu nourrissais la chair qui prenait naissance sur la terre, car tu étais tout amour, tu n'avais pas encore connu ce qui était étranger.  

«Rappelle-toi au plus profond de ton âme, en la vie éternelle, tu as regardé tes parents sur la terre. Ces deux enfants créés se sont rencontrés, se sont aimés, se sont unis, afin qu'il y ait d'autres vies sur la terre, d'autres avant toi jusqu'à toi, là où tu étais, là où ils étaient avant de venir sur la terre. Par Adam et Ève, tu avais choisi l'amour conditionnel, mais tu n'avais pas connu ce qui était de la mort, cela n'avait pas pénétré en toi; c'est seulement lorsque tu es venu sur la terre que cela commença à se faire connaître à ta chair. Ceux qui étaient en Dieu t'ont nourri d'amour. Tu n'es pas seul, tu es avec tous les enfants de Dieu. Du premier créé jusqu'au dernier créé, vous ne formez qu'un parce que Dieu est un.

«Vous êtes la perfection de mon Père. Je vais vous apprendre à faire sortir de vous ce qui n'est pas à vous : les ombres, les fantômes, tout ce qui m'appartient, car c'est moi qui suis mort sur la Croix par amour. Vous ne pouviez pas mourir sur la croix en prenant tous vos frères et vos sœurs, vous n'aviez pas cette force, toute votre chair était faible, votre âme était agonisante; elle savait que la mort éternelle la voulait. Je vous ai aimés, je vous aime et je vous aimerai toujours. Apprenez à vous aimer, à aimer qui vous étiez, qui vous êtes et qui vous serez. Vous étiez, vous êtes et vous serez. Dieu vous a rendus parfaits.» Merci, Seigneur.

Il y a en nous la foi, il y a en nous l'espérance, il y a en nous l'amour, et c'est cet amour qui nous maintient dans notre vie, et notre vie est éternelle, elle n'est pas une vie temporelle. Comment se fait-il que nous ayons cette vie temporelle sur la terre et que nous soyons si attachés à elle? Elle s'est fait connaître à nous par tout ce qui n'est pas à nous. Réveillons nos cellules d'amour, aimons-les, n'acceptons plus ce qui est extérieur et veut les nourrir. C'est notre choix que Dieu présente à chaque instant devant nous. Tout est écrit dans la Bible, tout. De l'Ancien Testament au Nouveau Testament, tout est là : c'est notre vie. Notre vie est éternelle.

Depuis le début, depuis la création, nous avons été présents. Avant même qu'il y ait l'univers, nous avons été présents. Pour qu'il y ait l'univers, il a fallu qu'il y ait la vie. La Vie Éternelle a créé la vie éternelle, car nous sommes la vie en la Vie. La vie en nous s'est fait connaître au moment de notre création, voilà pourquoi l'on dit 'la vie éternelle créée', mais elle était là avant. Lorsque notre Dieu d'amour a créé qui nous sommes, la vie éternelle s'est fait connaître à la chair créée : elle s'est fait présence.  Notre Dieu Éternel a voulu de nous avant l'univers. Il nous a tant aimés qu'il nous a donné ce qu'il a créé. Est-ce qu'il nous a donné cela après notre création ou avant notre création? Avant. Parce qu'il nous aime, parce qu'il est éternel, il nous a voulus éternels; alors, il savait qu'on n'était pas pour être jaloux. On n'est pas jaloux de nous-mêmes. La jalousie n'existe pas. Cela vient de l'esprit qui n'a pas voulu adorer Jésus : il a jalousé ce qu'il a vu.

Satan n'avait pas la matière, il était Lucibel, un ange de beauté. Il avait l'intelligence de Dieu, il avait le pouvoir de Dieu. Tout ce qui était à Dieu, Dieu lui donnait. Il recevait tout de Dieu et il donnait tout à Dieu. Lorsqu'il a vu la Matière, il n'avait pas la matière, il ne pouvait donc donner à Dieu la matière qu'il n'avait pas, alors il se posa une question : 'Pourquoi n'ai-je pas ce que je vois?' Jalousie. À cet instant même, il venait de refuser ce que Dieu voulait lui donner. Dieu voulait lui donner sa création créée pour qu'il aime son Dieu, pour qu'il goûte lui aussi à sa Gloire, car les esprits sont créés pour goûter à ce que Dieu aime. Cette épreuve, Dieu la voulait par amour pour eux. Il voulait leur donner encore plus et plus. Dieu n'arrête pas son amour.

Mais Lucibel n'a pas passé cette épreuve d'amour : se savoir créé. Il n'était pas Dieu, il n'est pas Dieu et il ne le sera jamais. Il devait le vivre, pas seulement que le savoir : il devait le vivre. Et il en est de même pour nous : nous devons le vivre. Nous sommes créés, nous avons la vie éternelle sur la terre pour vivre, vivre l'amour que nous devons avoir pour Dieu : l'aimer, l'aimer et l'aimer, se servir de ce que Dieu nous a donné pour lui donner. Nous sommes créés pour aimer et Dieu veut qu'on s'aime comme il voulait que Lucibel aime qui il était. Nous devons nous regarder et nous aimer. Apprenons à nous aimer comme nous sommes avec nos faiblesses, nos faiblesses qui, dans la Divine Volonté, sont guéries.

Tout est parfait en nous parce que notre Jésus nous a rendus parfaits. Nous devons le vivre, nous devons faire des efforts pour nous accomplir. Nous avons le devoir de nous servir de nos droits d'enfants de Dieu. Nos droits d'enfants de Dieu nous ont été donnés par la vie éternelle, non par la vie sur la terre; alors, nous allons amener avec nous ce que nous allons accomplir avec la vie éternelle.

Lorsque nous nous servons de nos droits d'enfants de Dieu, eh bien, c'est pour l'éternité. Il y en a qui se fatiguent de toujours recommencer : 'Je te donne, Seigneur, pour la millième fois aujourd'hui, cause, choix et conséquences. Merci, Jésus, d'envoyer à la mort ce qui est à la mort.' 'Quand ça va finir, Jésus? Y en reste-t-il encore beaucoup? Tu as dit toi-même qu'il y en avait beaucoup au pied de la croix. Lesquels je peux compter? Ceux qui sont au pied de la croix ou ceux qui restent?' Voyez-vous? Eh bien, maintenant, disons-nous qu'à chaque fois que nous allons dire : 'Je te donne, Seigneur…', pendant l'éternité, nous allons connaître la joie de notre vie éternelle en notre âme, pendant l'éternité! Cela sera une joie. Il y aura tellement d'amour en nous que cela changera notre état d'amour. À chaque fois que nous allons, et que nous dirons, et que nous avons dit 'je t'aime', cela est éternel.

Alors, il va y en avoir des transformations, des scintillements d'amour, des lumières qui vont se faire connaître à nous! Nous allons pénétrer la lumière de Dieu. Lorsque nous allons être devant Dieu, allons-nous voir Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit? (R: Oui.) Ce que nous avons donné, ce que nous donnons et ce que nous donnerons, en ce moment même, est-ce que nous pouvons voir ce qui se passe dans notre vie, notre vie éternelle? Non, n'est-ce pas? Maintenant, au Ciel, allons-nous voir? (R: Oui.)  Ce qui va être dans notre vie, nous allons le voir.

Donner, c'est si important! Savez-vous que si Ève avait donné ce qu'elle avait entendu, elle n'aurait pas succombé. Si Adam avait donné, il n'aurait pas succombé. Nous sommes créés amour, nous sommes créés parfaits. Ce qui est à l'extérieur n'a pas à entrer en nous. Si Dieu a permis à Satan de tenter Ève, c'était pour que Ève donne à Dieu, pour qu'elle démontre à Dieu son amour, sa foi, sa fidélité : 'Je suis ton enfant, Père. Je t'aime, Père. Je sais que tu prends soin de moi. Je ne crains personne, je ne veux pas te faire de peine, je veux te faire plaisir, je ne veux que te plaire.' Ève était créée pour cela, Adam était créé pour cela, et depuis que nous avons choisi, nous sommes créés pour donner. Nous devons donner ce qui n'est pas de Dieu parce que Dieu nous aime. Faisons ce qu'il nous demande et nous serons récompensés. Cela en vaut la chandelle, hein? (R: Oui.) Oui, donner, donner jusqu'à s'essouffler, oui, Seigneur, puisque de l'autre côté, mon souffle sera le tien, car il ne vient pas de moi, il vient de toi. 

Voilà ce que nous devons vivre. Il faut faire ce que nous avons à faire : cause, choix et conséquences. Pourquoi Dieu nous a instruits? Pour aider notre prochain, pour que notre prochain nous aide. Nous devons être une nourriture et eux doivent être une nourriture. Cause : tout ce qui est extérieur de nous et qui ne nous appartient pas est la cause de notre souffrance, est la cause de notre mort éternelle qui a été vaincue par Dieu. Choix : nous sommes les seuls qui choisissent devant une tentation. Ma vie choisit ce que l'amour me présente et cela entre en moi. Lorsque cela entre en moi, cela me cause beaucoup de souffrances : je vis mes conséquences. Je ne vis pas les conséquences des autres, mais, Seigneur, parce que je suis avec les autres, les conséquences des autres ont de l'influence sur mes conséquences. Mes conséquences ont pénétré en moi, ont fait l'être que je suis, elles ont nourri ma vie et ma vie connaît la souffrance. Lorsque je regarde mon prochain qui vit ses conséquences, ses conséquences influencent mes conséquences.

Je te remercie, Dieu, de m'avoir appris à te donner cela : cause, choix et conséquences. Quelle délivrance, Seigneur! Est-ce que je serai dans cette paix pour l'éternité? Oui, je vivrai pour l'éternité dans cette paix d'amour. Je serai toujours dans cette délivrance que mon âme connaît, que ma chair connaît, car à l'instant où Jésus est mort sur la Croix, ma chair a connu la grâce de la purification que mon âme connaissait dès cet instant! Et cela, je vais le vivre pour l'éternité. Te louer, te rendre grâce, chanter, danser pour toi, Seigneur, je le ferai comme David a dansé, car son âme était en Dieu, son esprit était en Dieu. Je serai donc dans la joie, une joie qui me donnera sans cesse et sans cesse une beauté. Je serai ta beauté, Seigneur, car ta beauté, Seigneur, est inégalable. Alors je te suivrai, Seigneur, là où tu veux que je sois, près de toi.

♪♪
Tout près de toi, mon Dieu, tout près de toi
Dans tous les désarrois, tu garderas ma joie
Tout près de toi, mon Dieu, tout près de toi

Réalisons un instant ce que notre chair et notre âme vont ressentir lorsqu'elles chanteront 'tout près de toi, mon Dieu’ : elles verront leur Dieu. Il n'y aura plus de souffrances, il n'y aura plus d'anomalies. Nous serons tous ensemble, car nous saurons que nous ne formons qu'un pour Dieu.

Voyez-vous? C'est là que nous allons connaître nos actes de vie purifiés. Lorsque nous donnons : 'Je te donne, Seigneur', lorsque nous disons : 'Cause, choix et conséquences, Seigneur, merci d'envoyer tout au pied de ta Croix', qu'arrive-t-il à notre acte de vie? Il reprend sa place, il reprend sa force, il est avec tous les autres actes de vie de nos frères et de nos sœurs du monde entier. Là, il goûte, il goûte à la puissance, à cette puissance de vie : notre acte de vie goûte à la vie éternelle. Notre acte de vie est uni à tous les autres actes de vie par l'amour, par l'amour inconditionnel qui a consenti à dire oui à Dieu, et c'est Maman Marie.

La Vierge Marie est le oui, est le oui parfait créé, et nos actes de vie, ils viennent de nous, de notre oui. Nous consentons à cet instant à dire oui à Dieu. Même si nous connaissons l'amour conditionnel, Maman Marie, elle, l'amour, qui connaît l'amour inconditionnel, lie ensemble tous nos actes de vie. C'est à cet instant que notre acte de vie goûte à ce que Dieu a fait pour nous. Et qu'est-ce que notre Dieu a fait pour nous? Il a purifié, il a purifié les actes de vie. Et là, Maman Marie, elle amène les actes de vie purifiés qui consentent à vivre  dans le oui à l'Amour et le Oui Incréé, le Oui parfait du Fils de Dieu, enveloppe tous nos actes de vie. Là, il présente à son Père qui nous sommes : «Regarde, Père, la beauté de leurs actes, ils ont ma beauté. Ce que j'ai fait pour toi, aujourd'hui ils le font pour toi, cela fait partie de leur mission. Ils ont été créés par amour et tu as voulu qu'ils aillent sur la terre pour te montrer combien ils t'aiment. Voici des actes de vie pour toi, Père.» C'est ce qui se passe. Il y a guérison, car Dieu le Père veut tous ses enfants.

Il y a de la force sur la terre autour des enfants de Dieu et en les enfants de Dieu, car il y a l'amour, l'amour qui prend sa force. Voyez-vous nos droits d'enfants de Dieu? Nous sommes purifiés. Nous devons nous accomplir. On va en faire des efforts, n'est-ce pas? (R : Oui.)  De belles récompenses nous attendent. Est-ce que ceux qui ont été avant nous et qui sont au purgatoire, au Ciel, profitent de ces instants? (R : Oui.)  Oui, vous avez raison, ils profitent de ces instants. Nous sommes faits pour l'amour, n'est-ce pas? Alors, ils nous donnent de l'amour et nous leur donnons de l'amour. Nos actes de vie s'unissent à leurs actes de vie, car les bons actes de vie purifiés sont éternels, car leurs conséquences sont demeurées sur la terre, et nous en profitons. Nous profitons de tout ce qu'ils ont fait et qui a été purifié par notre Dieu d'amour.

Alors, maintenant, nous allons prendre ces instants d'amour, et nous allons laisser notre âme chanter. Merci, Seigneur.

♪♪
Je te chante, Maranatha
Maranatha, mon Seigneur
Je te chante, Maranatha
Maranatha, mon Sauveur
   Encore un autre…
♪♪
Debout, resplendis, car voici ta lumière
Et sur toi la gloire du Seigneur
Debout, resplendis, car voici ta lumière
Et sur toi la gloire du Seigneur


La Fille
du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous allons prendre les petits instants qu'il nous reste. Il est 11 h 25 et nous allons à table à midi, hein?

Alors, le Seigneur a écrit, a fait écrire son instrument. Toujours le même volume, le même livre "Amour pour tous les miens, Jésus", cinquième volume. Pourquoi ne l'a-t-il pas fait dès le début, après le quatrième? Parce qu'il voulait nous combler de ce que nous sommes.

Depuis plusieurs années, nous avons appris à aimer, à aimer le oui à l'Amour. Au tout début, nous n'avons pas compris le oui à l'Amour. Quand le Seigneur a parlé d'amour dans le volume 1, cela tapait sur les nerfs des gens qui lisaient : l'amour est au présent et il se donne par l'amour, et tous ceux qui connaissent l'amour pénètrent ce qu'ils sont : l'amour inconnu. Et cet amour inconnu a fait que l'Amour est venu leur parler dans leur cœur pour qu'ils se voient tels qu'ils sont : amour.

Alors, le Seigneur savait que nous avions besoin de comprendre que nous n'étions pas à la hauteur de l'amour, mais que nous nous aimions. À travers moi, il a parlé de la purification de la chair. À travers l'instrument que je suis, il s'est servi de chacun de vous. Comme il s'est servi de vous, il s'est servi de moi pour venir nous parler d'amour. Nous n'avions pas compris que la purification de la chair était en nous, qu'elle était accomplie à travers nos souffrances, à travers tout ce qui faisait de nous des enfants loin de Dieu, ignorants de la puissance de la Bible. C'est si puissant la Bible! Toutes ces paroles qui sont inscrites par la puissance du Saint-Esprit, nous ne les comprenions pas. Aujourd'hui, on commence à les comprendre.

Les prêtres sont en Dieu. Ils ont ce pouvoir de nous expliquer; alors, Dieu s'est servi d'eux pour nous expliquer ces paroles. Ils nous disaient ce qui était bon qu'on comprenne. Et qu'est-ce que l'on comprenait? Pas grand-chose encore, pourquoi? Parce qu'on écoutait avec une chair qui vivait dans ses ombres. Lorsqu'on entendait les paroles du prêtre au moment de l'homélie, ceux qui s'abandonnaient, ceux qui avaient soif de Jésus, ceux qui voulaient aimer, aimer et aimer, tranquillement, ils ont commencé à laisser la Mère de Dieu ressurgir d'eux-mêmes leur oui à l'Amour.

Les prêtres sont enveloppés de la puissance du Saint-Esprit. C'est sous l'onction du Saint-Esprit qu'ils sont prêtres, en le Prêtre, en le Christ. Ils nous nourrissent, ils nous donnent ce que notre âme veut; cela passe par notre chair pour atteindre notre âme. Mais quand ça arrive à notre âme, est-ce que ça arrive comme c'est venu de l'extérieur? Non, parce qu'il faut que ça passe à travers toutes nos anomalies. Est-ce que cela est aussi pour l'homme en le prêtre? Mais oui, il a une chair comme nous. Il a été un bébé, un petit garçon, un adolescent, oh, un adolescent à 100%! Il a été un homme. Mais lorsqu'il est prêtre, quelle saveur il reçoit! Il nous fait pénétrer dans son Sacerdoce. C'est la puissance du Saint-Esprit. C'est d'une telle puissance!

Cela nous amène à vivre la purification. Mais notre chair a de la difficulté à suivre, voilà pourquoi Dieu attendait que nous soyons prêts. Dieu a son plan d'amour pour nous. Il n'y a pas de hasard en Dieu. Tout est accompli. Alors cette force, nous l'avons, nous l'avons au moment de la messe. C'est si important la messe : c'est l'union de toutes les chairs. Lorsqu'il y a la messe, toutes les chairs créées ne font qu'une chair. C'est Jésus qui porte en sa chair toutes les chairs créées et, par le prêtre, nous pénétrons. Nous avons besoin de la puissance du Sacerdoce, de son ministère, pour pénétrer en nous. Lorsque nous pénétrons en nous, c'est comme si on quittait, on quittait, durant le moment de la messe, l'individualisme pour pénétrer l'union, l'unité : ne faire qu'un en Dieu.

Voilà pourquoi le Seigneur a réuni beaucoup de personnes afin de leur parler en leur cœur. Nous ne sommes pas à la messe à cet instant, mais c'est la messe qui nous amène vers elle. Là où il y a une messe sur la terre, nous sommes présents et nous recevons des grâces : des grâces d'abandon.

Vous savez ce qu'il nous dit dès le début? «Abandonnez-vous. Je parle pour tous mes enfants.» Alors, ce sacrement de l'Eucharistie, qui se célèbre au moment de la messe, nous apporte la nourriture dont nous avons besoin : l'abandon. La chair créée a besoin de la chair créée pour s'accomplir. Alors, si nous, nous nous abandonnons, c'est parce que d'autres aussi s'abandonnent au moment de la messe. Lorsqu'ils s'abandonnent au moment de la messe, ce n'est pas seulement ceux qui sont présents, il y a tous les enfants de Dieu : les enfants de la rue, les enfants séquestrés, les enfants qui sont expulsés de leur pays, les enfants martyrisés, les enfants en prison, les enfants violés, les enfants qui n'aiment pas leur prochain. Dieu n'oublie personne. Il a tout purifié. Il a purifié tous leurs actes de vie, alors ils sont présents. Alors, ils nous donnent de l'amour et nous leur donnons de l'amour, et c'est de l'abandon en Dieu. Nous ne formons qu'une famille sur la terre.

Lorsque nous allons à la messe, c'est l'Esprit de Dieu qui nous attire : nous quittons l'esprit de ce monde pour pénétrer l'Esprit de Dieu. Voilà pourquoi nous sommes capables de nous abandonner, de nous donner pour ceux qu'on aime. Voilà pourquoi nous avons tous été dans l'abandon et Dieu a fait écrire qui nous sommes. Oui, l'instrument a écrit, mais c'est si peu, ce n'est même pas un grain d'ombre dans tout l'univers. Ce sont tous les enfants de Dieu qui ont été les instruments afin que ce volume en deux parties soit. Ce sont les paroles de notre Dieu. Il n'y a pas, dans ce volume, la Fille du Oui à Jésus; donc, nous ne sommes pas là, bien, pas là pour écrire, je veux dire. Ce n'est pas nous qui avons participé en tant qu'éditeur, qu'auteur de ce livre, c'est Dieu.

Mais Dieu a écrit pour nous. Il nous connaît, alors il nous décrit. Il nous parle de nos forces, il nous parle de nos faiblesses, il parle de notre passé, de notre présent et de notre futur. Oui, il parle des trois jours, mais c'est une journée en triple cadence. Qu'est-ce que cela veut dire 'une journée en triple cadence'? Que faisons-nous depuis quelques années? Nous battons d'amour pour notre Dieu. Notre cœur bat au rythme de l'amour afin de préparer ce qui vient.

Il a dit : «Vous avez pratiquement terminé votre purification.» Pratiquement terminé notre purification! Hé! On se pétait les bretelles, hein? Hé! C'est facile, on n'a seulement qu'à venir s'asseoir puis à écouter. Il y en a même qui tombaient dans le repos de l'Esprit. Après une heure, ils se réveillaient : 'Hé, c'est ça la purification? On a hâte! Quand s'en vient-elle?' On suit un messager, on suit un autre messager, encore un autre nouveau. Ah, lui, lui aussi il est nouveau, on va aller voir! On passe vite, vite, vite les messages : 'Je t'aime, je t'aime… oui, oui, je sais! Quand la date? Quand la puce? Quand on rentre dans notre refuge? Quand on quitte tout? On a peur, mais Dieu est là, il va tout bâtir. Il va bâtir des refuges, des refuges, il va multiplier la nourriture, il va multiplier le bois…' : il parlait de nous. Oui, il y a une date et cette date, elle est en nous. Il y a mis une clé et cette clé-là est profondément en nous. Il faut aller la chercher pour ouvrir notre vie. Là, la date est là et ce n'est pas avant. Oui, il y a la puce, la marque.

Qui consomme au-delà de ses besoins? Voulez-vous lever la main, s'il vous plaît? Qui a deux paires de souliers d'hiver? Qui a un manteau pour le dimanche et un manteau pour la semaine, un manteau pour le ski do, un manteau pour les promenades, un manteau pour être dans l'auto? Et maintenant, qui a un téléphone sans fil, un téléphone au mur, un téléphone portable, un iPod, qui a cela? Qui a du beurre, qui a de la margarine? Alors, voyez-vous, l'esprit de ce monde nous a fait consommer.  Et avec quoi on a payé tout ça? Avec quoi on a payé tout cela? Avec quoi? L'argent? Votre vie, notre vie, c'est notre vie qui est la monnaie. Savez-vous pourquoi c'est notre vie qui est la monnaie? Parce que nous suivons l'esprit de ce monde qui nous a marqués. Nous avons peur de la puce? Elle est entrée en nous. Oh oui, la puce, hein, au bras, au front.

Essayons, maintenant, d'imaginer qu'est-ce que je vais faire? Je suis, moi, dans le désert : j'avance, j'ai faim, j'ai soif, je commence à avoir froid le soir, et à quoi je pense? À un bon steak. Je pense à un bon verre d'eau, eau dans laquelle je mettrai de l'orange, un peu de citron. Hum..., je pense à mes grosses couvertures et à ma crème solaire pour le jour. Maintenant, pouvons-nous dire que nous n'avons pas l'esprit de ce monde? Satan s'est arrangé, n'est-ce pas, d'utiliser notre vie et il a marqué notre chair avec quoi? Avec quoi sommes-nous marqués? Tout ce qui est en nous. Oui, nos marques sont en nous.

Alors, Dieu ne nous dit pas cela pour nous faire peur, oh non!  Il veut qu'on se regarde et qu'on réalise ce que nous avons laissé entre les griffes de Satan. Notre vie, elle est à nous, alors reprenons-la, et ce volume nous en donne les moyens, et c'est gratuit. Il nous l'a donné gratuitement : des heures et des heures, des années. Ah! Il n'est pas avare de son temps notre Seigneur! Il est patient, il nous donne son amour. Alors, rendons à Dieu ce qui est à Dieu : son amour, et faisons-lui confiance.

Oh, vous direz : 'Oui, mais on paie dix dollars le volume, là, c'est pas si gratuit que ça!' Eh bien, cela, nous le payons de notre vie. Qui a nourri les personnes qui travaillent à l'imprimerie? Qui a nourri les personnes qui sont propriétaires de l'imprimerie? Nous. Avec quoi? Avec ce que nous avons laissé entre les mains de Satan. C'est ce que nous avons fait. Alors, soyons amour envers tous les enfants de Dieu. Merci, Seigneur, pour ce que tu nous donnes. Amen.

Oh! Nous avons le temps de recevoir une bénédiction, puis bénir notre repas!

Bénédiction donnée par un prêtre anglais.