Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu, Rennes, France,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-06-19 – Questions et réponses avec l'Agir de Dieu

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: La deuxième partie, c'est questions et réponses. Vous avez été là il y a quelques années, je ne sais pas si on avait eu questions et réponses. Les questions, vous les posez avec votre cœur pour tous nos frères et nos sœurs, pas des questions personnelles, mais des questions qui vont nourrir la chair.

Q. Qu'est-ce que vous pensez de l'Avertissement?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Ce que le Seigneur fait avec nous, c'est nous rendre notre état d'enfants d'amour afin qu'on puisse vivre ce qui vient.

À l'intérieur de moi, le Seigneur m'a choisie pour parler de la purification de la chair. La purification de la chair va nous amener à comprendre que nous ne sommes pas, nous, qui n'avons pas profité des grâces de la purification, prêts pour vivre l'Avertissement. L'Avertissement doit être accompli avec amour. L'Avertissement, c'est pour tous les enfants de Dieu. C'est pour que les enfants de Dieu puissent pénétrer dans l'amour de Dieu et pas dans la punition de Dieu, pas dans la peur qui n'appartient pas à Dieu, pas dans l'inquiétude afin de brasser nos enfants. On veut que nos enfants soient sauvés et là, on dit: 'Seigneur, viens les brasser, fais-leur peur. Fais peur à mon voisin qui vient de tondre son gazon et envoyer tout le temps son gazon sur mon terrain.'  L'Avertissement, c'est de l'amour.

Dieu vient dire: «Je vous avertis, mes enfants, que si vous ne vous préparez pas, qu'allez-vous faire de vous-mêmes? Allez-vous être prêts à vivre ce moment où vous devrez regarder qui vous êtes? Ce n'est pas avec la peur que je viens chercher ceux qui se sont éloignés de moi, c'est avec l'amour. Je vais vous préparer à vivre ces moments de tribulations avec l'amour.» Non pas avec l'inquiétude, avec le trouble dans notre vie, nous sommes enfants de Dieu. Nous devons vivre ces moments pour aider nos frères et nos sœurs avec amour. Est-ce que c'est de l'amour que de regarder ceux qui vivent hors de Dieu, comme la franc-maçonnerie, et dire: 'Ils vont être bien punis, ça prend quelque chose pour qu'il les brasse, il faut qu'ils aient peur?' Non. Il faut leur apporter soutien et on ne peut leur apporter soutien d'amour que par l'amour.

Dieu dit: «Ne vous attardez pas à regarder à l'extérieur les événements. Vous les avez provoqués les événements.» Pourquoi il y a des tremblements de terre? Pourquoi il y a des inondations? Pourquoi des feux de forêts qui s'étendent jusque dans les villages, jusqu'à des villes? Pourquoi les maladies prolifèrent? Pourquoi il y a maintenant des maladies dont la médecine ne peut plus rien? Parce que nous manquons d'amour envers nous-mêmes. Nous voulons entrer dans les grandes, grandes tribulations, nous voulons entrer dans ce que le Ciel nous parle avec ce que nous sommes: avec nos peurs, avec nos inquiétudes. Allons-nous soutenir nos frères et nos sœurs? Allons-nous soutenir nos propres enfants? Allons-nous soutenir l'Église? Allons-nous soutenir ceux qui sont hors de l'Église? Nous sommes l'Église et il n'y a pas deux, dix, vingt religions, il n'y a que Jésus, il n'y a que l'Amour, il n'y a que Dieu.

Alors, Dieu dit: «Je commence par vous. Je viens parler d'amour de par le monde. Ceux qui vous parlent de peur, qui ne vous conduisent pas à l'amour, ne peuvent pas comprendre ce que j'attends d'eux. Ce que j'attends de vous, c'est de l'amour. Je veux que vous viviez dans la paix, dans la joie, afin d'être pour les autres une force, une lumière en la Lumière.» La terre appartient à Dieu, elle n'appartient pas à la peur qui écoute Satan, elle n'appartient pas à ce qui nous fait trembler.

Oui, Dieu, il a dit: «Vous marcherez parmi les scorpions. Je solidifierai vos pas, afin que lorsqu'il y aura tremblement cela ne vous affectera pas. Je mettrai autour de vous une force qui ne vous fera pas trébucher lorsqu'il y aura de grands vents, des tornades, des cyclones. Vous serez ma force pour ceux qui n'auront pas de force. Soyez miséricorde en la Miséricorde. Prenez avec vous ceux qui ont de la difficulté à se maintenir debout. Avancez avec les paralytiques, oui, portez-les sur votre dos. Ne reculez pas devant la Noirceur, ma Mère vous tient la main. Ayez la foi que j'ai tout accompli. Il y aura de grands tumultes, n'ayez pas peur. Vous avez entré dans le monde d'amour. Jean Paul II vous a fait pénétrer dans le monde d'amour.» Benoît XVI nous a fait goûter à la foi. François nous amène à prendre sur nos épaules ceux qui sont pauvres, et les plus pauvres ne sont-ils pas ceux qui ne savent pas qu'ils ont faim, qu'ils ont soif de Dieu? Ils ont un cœur à la recherche du vrai amour et ils ne le savent pas.

Il n'y a que de l'amour dans les paroles de Dieu. Qu'avons-nous compris de l'Ancien Testament? Nous avons compris que ce que nous étions capables de comprendre. Cette inondation, qui est sortie des eaux de la terre qui sont remontées, et qui, pendant quarante jours sans arrêt, a démontré aux enfants de Dieu qu'ils devaient se laisser purifier, qu'ils devaient aimer Dieu plus que leurs dieux. Ils sont morts, oui, pour les sauver d'eux-mêmes afin qu'ils puissent recevoir les grâces de la purification, pour que tous ceux qui devaient les vivre les nourrissent.

Nous sommes une nourriture et cette nourriture nous vient du Ciel. Nous sommes les choisis bénis pour les choisis de Dieu, et cela, c'est de par le monde. Nous devons avancer ensemble, nous devons entrer dans la lumière, nous devons pénétrer notre intérieur, notre intérieur, là où est notre âme, là où les grâces abondent, là où notre conscience reprend vie, parce que nous consentons à écouter notre conscience, ne pas rejeter ce que nous sommes: 'Oui, j'ai offensé Dieu parce que je tombe continuellement dans l'ombre de mes péchés; oui, j'ai jugé mon prochain, mon prochain que je dois aimer dès cet instant, pas attendre, c'est aujourd'hui que je dois l'aimer avec ma mesure d'amour.'

Plus nous allons comprendre cela, plus notre mesure d'amour va monter, et là, nous goûterons, nous goûterons à cet amour que nous devons avoir pour tous les créés de Dieu, pour 'tous' les créés de Dieu: la franc-maçonnerie ce sont des enfants de Dieu qui ont été trompés par Satan. Allons-nous les laisser entre le pouvoir de Satan? Lorsque nous ne les aimons pas, savez-vous ce que cela fait? Ils deviennent une puissance entre les griffes de Satan, car il se sert de leurs mains qui tombent dans les griffes de Satan et cela nous nourrit, car nous n'aimons pas notre frère qui fait partie de la franc-maçonnerie. Dieu ne nous demande pas d'aimer la franc-maçonnerie, le mouvement de la franc-maçonnerie: «Aime ton frère, soutiens-le. Lui il est aveugle, lui il est sourd, alors donne-lui la main, conduis-le vers la lumière.»

Alors, pour que cela se fasse, il faut être nous-mêmes dans la paix, dans la joie et dans l'amour. Voilà ce Volume 5, il faut le vivre, il faut le comprendre, il faut le pénétrer, il faut l'accomplir. Nous sommes, de par le monde, choisis; de par le monde, il y a des enfants comme vous. Nous ne sommes pas plus importants aux yeux de Dieu que les enfants qui font partie de la franc-maçonnerie ou dans une autre secte. Dieu nous aime autant, eux que nous, nous comme eux. Qu'avons-nous compris de l'amour inconditionnel de Dieu? Maintenant, c'est le temps. Nous allons entrer dans cette lumière, nous allons écouter notre conscience qui nous appelle à aimer. C'est notre âme qui nous envoie des échos d'amour et ces échos viennent d'où? De tous les saints avant nous. Eux ont compris qu'ils ont été purifiés, et nous les avons avec nous. Alors, avançons ensemble.

Il y aura quelque chose de très important: le Grand Châtiment. Lorsque nous ferons une force, une puissance de vie, nous irons chercher ceux qui doivent se regarder, s'aimer, se pardonner. Et ce moment, lorsqu'il arrivera, se fera au moment que Dieu saura qu'ils sont prêts à vivre cela. D'autres ne seront pas prêts, mais ceux qui doivent vivre leur oui à l'Amour, lorsque le dernier sera prêt, tout débutera. Et qui connaît ce moment? Que Dieu seul, que Dieu seul, que Dieu seul, que Dieu seul: aucun enfant ne le sait. Mais il nous instruit, il nous appelle à l'amour. Répondons à l'amour, car lorsque le Grand Châtiment arrivera, la terre s'ouvrira, et tout ce qui est impur autour de nous sera avalé. Il ne faut pas perdre aucun des enfants que Dieu veut.

Ce moment, nous ne le connaissons pas, mais nous devons nous accomplir. C'est si important ce que Dieu nous demande, si important! Ne nous écartons pas de notre mission. Nous avons fait des actes qui ne portaient pas la lumière, mais l'ombre du péché. Maintenant, nos actes de vie doivent porter la lumière à nos frères et à nos sœurs, à nos enfants, à nos petits-enfants, et cela à la surface de la terre. Amen. Merci, Seigneur.

Q. Est-ce que Dieu nous donnera la force de, comme on peut dire, nous sommes de tout petits groupes, le petit nombre, et dans nos paroisses parfois on se sent incompris, et Dieu sait si pourtant on aime Jésus et sa Sainte Mère. Alors, est-ce qu'on aura cette force d'annoncer à temps et à contretemps cet amour de Dieu?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Tu l'auras en toi, tu l'as en toi et tu le vivras, car c'est toi la force en la Force. Tes yeux témoigneront, tes écoutes témoigneront, tes paroles témoigneront pour toi-même, tes actes seront des actes d'amour pour toi-même ainsi que tes sentiments. Nous serons des Abel, nous serons des Sainte Bernadette, nous serons comme nos frères et nos sœurs: petits, petits, petits, et Dieu agira à travers nous. Mais nous devrons être lumière. Ça ne coûte pas cher un sourire, et n'attendez pas un sourire des autres, car cela coûte cher. Parce que si on attend le sourire des autres, là, on vit nos conséquences et on les vit avec notre vie. Ça, c'est cher! On le paie avec notre vie.

Alors, commençons là. Soyons des enfants de Dieu simples, simples, simples, et la peur va disparaître de nous, le venin va être sans pouvoir en nous. Mais il y aura beaucoup d'efforts à faire! Vous allez voir que le Seigneur vous fera jouer une partie, pour nous, les Canadiens, de soccer, mais vous, une partie de foot, c'est la même chose, c'est le même sport; alors, vous allez courir.

Q. La France, fille aînée de l'Église, comme disait Jean Paul II: "Qu'as-tu fait de ton baptême?" Nous avons, vous savez aussi bien que moi, un président, des députés, des ministres, qui votent des lois qui sont contre Dieu, et là, on se sent salis par ces lois et on participe malgré nous, malgré nous! Comment Dieu peut changer tout cela? C'est une grande souffrance pour nous.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Il l'a changée, il l'a accomplie! Nous avons en nous cette puissance. Nous sommes le pain de vie, nous sommes l'eau de vie! Cessons d'empoisonner le pain et l'eau! D'où vient la Source? Du Cœur même de Jésus et de Marie. Buvons! La France doit boire au Cœur même de l'Amour! Le Fils et la Mère qui abreuvent leurs enfants. La Fille aînée de l'Église doit se maintenir debout. Lorsqu'elle a peur d'une loi, elle n'a pas confiance en ce qu'elle est: la Fille aînée de l'Église. Elle n'a pas confiance qu'elle a un pouvoir de vie avec tous les enfants de Dieu. Elle se maintient dans l'écoute extérieure au lieu de s'abreuver à l'intérieur: l'écoute de l'amour.

C'est cela notre force. Nous allons faire 'un' ensemble. Alors, la Fille aînée doit se maintenir debout et tous les autres pays vont se maintenir debout, non pas qu'elle est plus importante, mais elle doit mettre dans sa vie ce qu'elle est: 'Je dois être l'amour pour moi-même.' La France ne cesse de s'abreuver de souffrances, de souffrances et de souffrances. Alors, le Seigneur, il a dit: «Nous en reparlerons.» Amen.

Alors, nous sommes bons pour d'autres questions, il est 4 h 05.

Q. Je voudrais savoir ce qui se passe avec les enfants qui sont conçus dans des petites éprouvettes.

Jésus: Ces enfants ne sont pas des enfants, ils viennent de la chair. Est-ce qu'il y a rencontre? La vie se maintient dans la vie. Lorsque la vie se donne à la vie, lorsque la vie pénètre le berceau, Dieu seul a le pouvoir, Dieu seul maintient la vie. Pourquoi avoir peur, mes enfants, de la puissance de la vie? L'homme prend entre ses mains ce qui appartient à la vie et il croit en être maître. Ayez la foi. Le clonage, mes enfants, n'est pas la vie, mais l'enfant qui reçoit la force de la vie en son sein, il y a le pouvoir de la vie qui se rencontre.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Alors, ce que nous venons d'entendre, c'est que des hommes ont pris entre leurs mains un pouvoir: la vie qui vient de l'homme. Lorsque ce pouvoir est entre leurs mains pour le mal, et que cela pénètre ce qui n'a pas la vie, la vie ne peut pas être.

Cela veut dire:

Si ce qui appartient à l'homme pénètre dans ce qui n'a pas d'âme, donc, animal, il n'y a pas de vie, il n'y a pas d'âme.

Si la science prend ce qui vient de l'homme pour aider une maman à recevoir la vie en son intérieur, la vie rencontre la vie: il y a vie, il y a une âme. Il ne peut en être autrement.

Alors, Dieu donne à chacun de nous ce besoin de connaître la vérité. Ne nous attristons pas lorsqu'un germe de vie est associé à ce qui n'a pas d'âme, il n'y a pas de vie, mais lorsque le germe de la vie, la puissance de la vie en l'homme, est déposé en le sein d'une maman qui ne peut pas, à cause d'une anomalie qu'elle connaît en sa chair, est-ce que Dieu ne bénit pas ce moment? Combien de mamans pleurent parce qu'elles ne peuvent pas avoir d'enfants, alors que l'homme, lui, est incapable d'avoir cette force en lui; alors, elle va vers la science, les médecins qui reçoivent, venant d'un homme, ce qu'il lui faut, à cette personne, à cette maman.

Que comprenons-nous de l'amour de Dieu? Lorsque les hommes et les femmes seront amour, il n'y aura plus de maladies, et la procréation se fera avec l'amour d'un homme et d'une femme qui se rencontrent avec leur chair comme Dieu le veut. N'oublions pas que ce que la femme reçoit en son sein, c'est la chair, c'est une partie de la chair. Mais ne nous arrêtons pas au clonage, s'il vous plaît. Ceci est une nourriture favorite de Satan. Donnons ce qui est à Dieu. Cela appartient à Dieu, cela n'appartient pas à nous. Soyons amour envers nous-mêmes si nous voulons que l'amour règne dans notre cœur.

Est-ce que ça va? On accepte ce qu'on a semé. N'oublions pas que tous nos actes de vie ont contribué à nous faire souffrir. Amen.

Est-ce qu'il y a d'autres questions?

Q. Si personne ne prend la parole, moi, j'en ai une pour certaines personnes. À certains moments de la vie, quelquefois on est terriblement éprouvés dans nos familles, et parfois le pardon est si dur à donner qu'on ne sait pas. Alors, moi, j'ai un prêtre qui m'a dit: "Non seulement tu dois pardonner, mais toute seule, tu ne pourras pas. Tu dois le bénir ce monsieur ou cette femme. Toi seule, tu n'y arriveras pas. Demande à Marie, avec son intercession, demande à Jésus, et là, ils feront pour toi ce qu'il faut." Qu'en pensez-vous?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Moi, je n'en pense rien.

Q. Non, mais c'est parfois difficile chez nous en ce moment, avec tout ce qui nous arrive dans nos familles! C'est inimaginable, comme vous le savez. 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Il y avait une grande douleur qui n'a pas cessé depuis plusieurs années de se nourrir par elle-même.

Un garçon est arrivé dans une université et il a tué beaucoup d'étudiants. Et ce garçon, il est décédé, mais sa mère… À toutes les années, à la même date, on rappelle par des moyens médias ce que son fils avait fait. D'année en année, cela dure: la douleur qui se nourrit, la douleur qui se nourrit. On accuse son enfant, et elle, elle a pardonné. Elle a demandé l'aide à Dieu de pardonner à tous ceux qui ne pardonnent pas à son fils, l'aide pour qu'elle puisse pardonner à tous ces parents qui la frappent et la frappent, et ainsi qu'à tous ceux qui écoutent et qui accusent et qui accusent. C'est avec l'aide de Dieu qu'elle a pu pardonner, et encore, elle pardonne continuellement. Alors nous avons besoin de l'aide de Dieu.

Combien d'entre nous, après un décès d'un de nos parents, d'un de nos amis, on dit: 'Ah! Il est parti! Je lui en voulais, je n'ai même pas eu le temps de lui dire: je te pardonne.' Bien, ça gruge! Au bout de dix ans, quinze ans, c'est encore là et c'est encore là et c'est encore là. Nous sommes incapables de vivre l'amour. Notre chair est malade, notre chair connaît des anomalies. Nous sommes incapables de pardonner, de pardonner à l'être que nous sommes. Le pardon doit être pour nous, pour arrêter ce carnage qui se passe en notre vie, notre propre vie. Jésus n'a-t-il pas dit: «Pardonnez à ceux qui vous frappent, pardonnez à ceux qui vous font pleurer, pardonnez à ceux qui vous rendent malades», car les béatitudes: «Heureux ceux qui pleurent, ils connaîtront…», n'est-ce pas, toujours et toujours: «Heureux... Heureux... Alors, cessons, cessons de vivre en dehors des paroles de Dieu.

Dieu est amour, Dieu ne condamne pas. Dieu pardonne. Dieu est la Vie, Dieu est l'Amour. Il nous donne de l'amour pour qu'on puisse comprendre ce qui se passe. Nous parlons des éprouvettes. Dans les éprouvettes, qu'est-ce qu'il y a dans les éprouvettes, la mort ou la vie? Nous en faisons ce que nous voulons. C'est nous-mêmes qui faisons le jugement de la personne qui a donné son germe de vie, nous faisons le jugement de la personne qui reçoit le germe de la vie. Est-ce que nous savons si cette maman est avec une fille ou avec un homme? Mais nous la jugeons, nous la condamnons.

Dieu n'a-t-il pas le pouvoir de dire: «Il n'y aura pas d'enfant»? Mais nous nous sommes pris plus grands que Dieu. Nous nous disons être plus grands que Celui qui est notre Créateur. Nous faisons ce que Satan veut qu'on fasse: il veut nous créer une seconde fois pour que nous soyons à son image. C'est faux, nous sommes des enfants créés par Dieu, nous ne renierons pas qui nous sommes. Nous sommes la vie en la Vie. Nous devons nous comporter comme des enfants vivants, pas comme des enfants morts. Arrêtons de nourrir le mal avec nos pensées. Ne faisons pas comme les pharisiens. Les pharisiens, ce sont des enfants de Dieu qui ont condamné la vie pour qu'elle connaisse la mort, et Dieu les a regardés et les a aimés. Alors, nous devons faire ce que Jésus a fait: aimer, aimer les enfants de Dieu qui ont la vie.

Nous ne devons pas condamner celui qui fait les avortements, les médecins, car si nous condamnons ces médecins-là, condamnons-nous, nous faisons pire qu'eux: c'est à chaque jour que nous accusons nos frères et nos sœurs qui ne sont pas comme nous. Nous accusons ceux qui aident leur prochain comme ils peuvent les aider. On pleure. Des jeunes femmes qui ont un mari non fertile, elles pleurent, elles vont prier Maman Marie: 'Aide-moi!' Et là, elles n'en peuvent plus, elles vont vers ce moyen; mais nous les condamnons. Nous ne sommes pas capables de nous pencher sur le paralytique, nous ne sommes pas capables de nous pencher sur l'homme stérile, nous ne sommes pas capables de nous pencher sur la femme qui pleure de ne pas avoir d'enfants, nous ne sommes pas capables de nous pencher sur la femme qui aime la femme plus que l'homme qui devrait être son époux. Nous ne sommes pas capables, nos yeux sont asséchés à cause de notre cœur durci.

Nous, nous avons un cœur, un cœur d'amour, pas un cœur de pierre. Nous sommes l'Église, nous sommes des vainqueurs. Nous avons, comme nous qui sommes mère, une Mère qui comprend ses enfants. J'ai comme amis des homosexuels qui font tellement d'efforts pour ne pas aller vers les hommes. Ça pleure: 'Donne-moi de la force. Dis à Dieu que je l'aime. Mais des fois, le soir, c'est tellement fort, j'ai le goût de sortir de la maison pour aller dans la rue à la recherche…' Il pleure! Est-ce que je vais le condamner? Lui, il sait la souffrance, qu'est-ce que c'est que de souffrir dans sa chair. Il supplie Dieu. Sommes-nous là pour les soutenir? Sommes-nous là pour soutenir la femme qui, elle, ne demande pas d'aide de Dieu, mais qui croit que ce qu'elle fait, c'est bon pour elle parce qu'elle ne se sent pas dominée par l'homme qui, un jour, l'a dominée? Ne jetons pas la pierre. Jésus a dit: «Celui qui est sans péché qu'il lance la première pierre»; alors, remercions notre Dieu d'Amour d'être pour nous, pas contre nous. Remercions notre Jésus d'Amour de nous rappeler que nous devons être pour nous et pas contre nous. Amen.

Nous allons arrêter ici. Bon Père Galbert, voulez-vous nous bénir pour qu'on ait la grâce de l'amour?