Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu, Rennes, France,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-06-20 – Questions et réponses avec l'Agir de Dieu

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Est-ce que vous êtes prêts pour la deuxième partie? Oui? Alors, la deuxième partie se passe ainsi: vous posez une question non personnelle; s'il vous plaît, pour nous, pour chacun de nous, et pas seulement pour chacun de nous, mais aussi pour ceux qui vont écouter ou pour ceux qui vont regarder; mais on est là pour tout le monde, on est là pour l'Église. Votre question, moi, Francine, ne répond pas, mais la Fille du Oui, par la puissance du Saint-Esprit: je vais tout simplement répéter. Ça peut être Dieu le Père, je ne le sais pas, mais on est abandon. S'il y a une personne qui peut poser une question...

Q. Si une idée nous vient sur le pape François pour le suivre. … on dit beaucoup de choses sur le pape François, qu’est que l’on fait pour le suivre?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: On remercie le Seigneur, on rend grâce au Seigneur de sa Volonté, on s'unit tous ensemble pour soutenir l'Église. Nous devons être une force. On attaque les chrétiens. En Iran, on attaque les chrétiens; en France, vous êtes attaqués; au Canada, nous sommes attaqués; aux États-Unis, nous sommes attaqués; de par le monde, il y a un grand danger.

Nous avons autour de nous une boîte noire. Savez-vous ce que c'est qu'une boîte noire? Ce qui nous diffuse toutes sortes de soi-disant nouvelles. Ce ne sont pas des nouvelles, c'est ce qui est passé, car lorsque nous les recevons, c'est déjà passé. Nous entrons dans ce qu'ils veulent nous faire écouter, dans ce qu'ils veulent nous faire regarder, et nous pénétrons dans ce que nous ne connaissons pas.

Connaissons-nous le cœur de l'Église? Nous sommes le cœur de l'Église. Nous ne nous connaissons même pas. Pouvons-nous connaître le cœur même des choisis de Dieu? On parle de saint Pierre, on parle de saint Jean, de saint Jacques, des apôtres, de tous les apôtres, des disciples, il y en a eu soixante-dix qui ont soutenu les apôtres, les connaissons-nous? Nous, connaissons-nous le cœur de Padre Pio? Le cœur du Frère André? Nous ne les connaissons pas, mais ce que nous voyons, ce sont leurs fruits. C'est ce que nous voyons.

Mais nous pouvons mettre un obstacle aux fruits en y mettant ce que nous écoutons, ce que nous regardons, ce que nous pensons à cause de ce que nous avons vu et entendu. Nos paroles, nos paroles se tournent contre l'amour, 'contre' l'amour, mais si nos paroles sont de l'amour, de la confiance envers notre Dieu, envers notre Maman du Ciel, là, notre cœur se laissera nourrir, pas de nous, mais des grâces du Ciel. Nous nous associerons à toutes les grâces qui nous viennent du Ciel. Toutes ces grâces sont amour. Ces grâces, nous les avons eues par la puissance de Dieu et nous en aurons encore et encore et encore.

Nous vivons dans un temps de tumultes où la noirceur et la lumière se font connaître. La lumière se fait connaître, mais les ténèbres veulent étouffer la lumière. La lumière se fait voir, mais la noirceur fait un écran pour qu'on ne voie pas la lumière. Nous vivons un temps qui nous a été annoncé par saint Jean. Nous vivons un temps voulu par Dieu, et qui a été choisi pour vivre en ce temps? Ceux qui pensent, regardent, écoutent, disent, agissent et ressentent: c'est nous.
Nous avons été choisis par l'Éternel pour vivre en ce temps. Est-ce que Dieu a permis 'ce temps' pour nous envoyer 'sur la terre' en vivant ce temps où il y a la noirceur et la lumière? Oui, il l'a permis. Mais s'il a permis cela, n'est-ce pas parce que nous avons cette force en nous de faire sa Volonté, pas la volonté des médias, pas la volonté qui est contrôlée par la peur, pas la volonté qui ne voit que ce qu'elle est capable de voir, mais par la Volonté de Dieu. Nous n'avons rien à craindre, Dieu est avec nous.

Il n'y a pas eu un seul pape à Rome, un seul pape à Rome qui n'est pas venu de Dieu. Nous avons les papes que nous méritons. Alors, nous devons nous maintenir dans la Volonté de Dieu, dans l'amour de Dieu, nous devons soutenir nos frères et nos sœurs, nous devons soutenir notre pape, notre pape que nous méritons, nos cardinaux que nous méritons, nos prêtres, nos évêques.

Un prêtre: le pape est un prêtre, les cardinaux, les évêques sont tous des prêtres. Est-ce que les prêtres sont les représentants du prêtre Melchisédech? Oui. C'est le prêtre saint, c'est le prêtre éternel. Jésus est le Prêtre. Il n'y en a pas deux, il y en a un seul.

Est-ce que les prêtres sont attaquables? Est-ce que Satan peut attaquer les prêtres? (R: Oui.) Non! Satan ne peut pas attaquer les prêtres, ils sont en le Christ par le sacrement de l'Ordre, car si cela était, le sacrement de l'Ordre, qui vient de Dieu, serait un sacrement avec des failles. Donc: ne croyons pas à notre sacrement de Baptême, ne croyons pas à notre sacrement de la Confirmation, la Confession, l'Eucharistie, le Mariage, l'Extrême-Onction, car nous ne croyons pas au sacrement de l'Ordre! Il est de Dieu. Aucun être humain créé n'a institué un sacrement. C'est Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit qui ont institué les sacrements, car le Fils ne se sépare pas du Père, il ne se sépare pas du Saint-Esprit, ils sont UN. Donc, Dieu a institué les sacrements, donc un prêtre est prêtre éternellement.

Mais Jésus, lorsqu'il est venu sur la terre, a-t-il choisi des hommes pour qu'ils soient prêtres? Oui. Mathieu, il était collecteur d'impôts. Pierre, Jean étaient des pêcheurs et d'autres aussi: Jacques. C'était des pêcheurs. Il a même choisi Judas l'Iscariote. C'était le choix de Dieu, ce n'est pas eux qui se sont choisis, c'est Dieu qui a choisi ceux qui devaient le suivre. Et Dieu a choisi ses prêtres.

Lorsque, au moment de la cène, le sacrement fut, est-ce que Judas était présent, Judas l'Iscariote? «Lève-toi et va faire ce que tu as à faire.» Il n'était donc pas présent, pourquoi? Parce que son cœur n'y était pas, il avait la tête ailleurs; alors, il n'a pas été l'époux, parce que vous savez qu'il y a époux. L'homme, en le prêtre, accepte de se donner entièrement à son Dieu, il accepte. Il renonce à quoi? Il renonce à son état d'homme; alors, il n'y aura pas de procréation, il le donne à son Dieu. Donc, à cet instant, le prêtre devient quoi pour nous? Notre père. Nous sommes ses enfants. Le prêtre: nous sommes les enfants du prêtre, car il est dit: «Jésus a tout reçu de son Père.» Nous avons tous été donnés à Jésus qui venait sur la Croix pour instituer les sacrements. Alors, un prêtre, c'est notre père. Il a devoir de nous regarder comme ses enfants. Ça, le prêtre peut le faire.

Mais l'homme, a-t-il été un enfant créé? Oui. A-t-il été un jeune enfant de quatre, cinq ans, le gros moi: 'Non maman, non papa', c'est non, non, non; hein, la crise du non, ils l'ont connue! L'adolescence, la puberté, ont-ils connu ça? Mais oui, ils ont connu ça. Ils ont connu les attaques de Satan. La chair, c'est notre chair. Leur chair est notre chair. Ils ont besoin de l'amour de toutes les chairs, car ils sont comme nous. C'est seulement le sacrement de l'Ordre qui les différencie de nous. Mais, par le baptême, sont-ils comme nous? Pareils. Par le sacrement de la Confirmation – il fallait qu'ils reçoivent le sacrement de la confirmation - par le sacrement de la Confession, oui, ils ont besoin du sacrement de la Confession, le sacrement de l'Eucharistie. Le sacrement de l'Ordre, il faut qu'ils le vivent. L'homme devient le prêtre, mais il demeure l'homme, pourquoi? Parce qu'à la fin de ses jours, il aura le sacrement de l'Extrême-Onction.

Padre Pio n'a-t-il pas eu besoin du sacrement de la Confession avant de mourir? Il craignait tout le temps qui il était: il 'craignait' qui il était. Il ne voulait pas faire de péchés parce qu'il se savait être faible, est-ce qu'il avait peur de son sacrement? Il demeurait plus de deux heures, au moment de l'Eucharistie, à offrir la Chair, il présentait la Chair à Dieu le Père, au moment où le Sang se présentait..., quel prêtre! Mais l'homme! L'homme avait besoin de quelque chose. Savez-vous ce qu'il avait besoin? Il avait besoin de ressentir sa chair: les plaies. Est-ce que c'est le prêtre qui a reçu les stigmates ou la chair? C'est la chair.

Qui a connu des femmes qui ont reçu des stigmates? (R: Marie Jahenny, Marthe Robin....) Est-ce qu'elles étaient prêtres? (R: Non.) Alors, qui avait besoin de reconnaître sa faiblesse et qui avait besoin de reconnaître que Jésus était son Sauveur, qu'il/qu'elle avait souffert pour lui? Le prêtre ou la chair? La chair. C'est la chair. Se rappeler constamment que l'homme en le prêtre est vulnérable, que l'homme en le prêtre doit sentir que Jésus l'a sauvé, que Jésus l'a purifié. Notre pape François a besoin de cela, a besoin de nous, de sentir qu'il est sauvé, que Jésus se donne. Mais que comprenons-nous? Nous comprenons que ce qui est extérieur: on ne comprend pas.

Lorsque François a été élu, j'étais à la maison à cause de mon anomalie. Alors, Dieu m'a dénudée, dénudée complètement. Je n'avais pas un seul poil pour me montrer: «Tu es un ver de terre, tu es là où je te veux. Rends grâce à ton Seigneur. Écoute et regarde.» Alors, par internet, j'ai assisté à l'élection de notre pape. Le Seigneur, avant même qu'il apparaisse, qu'on ouvre les portes, il a décrit qui il était physiquement. Il a décrit son cœur: il a décrit son amour envers la Vierge Marie, il a décrit son humilité. Et lorsque le pape est apparu, je savais comment il était, parce que c'était la Volonté de Dieu, et il a dit: «Il ébranlera le monde.»

Oui, ça dérange beaucoup de monde, même les athées. Les athées disent: 'Aïe! Hein!' Alors, on n'est pas indifférents. C'est celui qu'on avait besoin. Mais soyons dignes, soyons dignes de ce qu'il nous donne. Il a raconté une histoire. Une histoire, vous pouvez la lire, elle est sur internet. Il a comparé chacun de nous comme étant des étoiles dans le ciel, et parmi ces étoiles, il y en avait une au centre. Eh bien, cette étoile ne brillait pas plus que les autres. Il a dit: «C'est moi qui ai été chercher l'étoile et c'est moi qui choisis, pour les étoiles, celle qui va être parmi les étoiles afin de démontrer à toutes les étoiles qu'elles sont enfants de Dieu.» C'est ce que Dieu fait avec nous. Alors, nous devons soutenir notre chair et aimer, aimer, aimer.

On dit qu'il y a la franc-maçonnerie à Rome. Eh oui! Que faisons-nous? 'Ah! C'est épouvantable, l'Église va virer athée et tout…' Hé! Ce sont des cardinaux, ils sont intouchables. Que nourrissons-nous? La chair en l'homme. Et que lui donnons-nous? Une nourriture, une nourriture infectée. Nous la nourrissons du poison que l'Autre met facilement en nous pour nourrir l'homme qui est dans la franc-maçonnerie, et là, ça se nourrit, ça se nourrit et ça se nourrit.

Satan est bien subtil, très subtil. Il se sert de nous pour nourrir nos frères qui croient qu'ils sont des lumières. Mais non, ils se nourrissent de noirceur, de noirceur. C'est l'homme qui est pris au piège, c'est l'homme lui-même qui se nourrit du venin de Satan, car ce sont des hommes, que des hommes. Ils ont besoin de nous, ils n'ont pas besoin de nos bavardages inutiles, ils n'ont pas besoin de nos jugements, ils n'ont surtout pas besoin de la peur. On les nourrit, et cela engendre et engendre et engendre le mal.

Nous sommes des pièges. Nous-mêmes, nous sommes les pièges, et ces pièges, Satan s'en sert. En premier, contre nous, parce qu'il faut qu'il nous piège pour qu'on parle contre notre chair. Ah! Notre chair, elle est franc-maçonne! Mais nous, on n'est pas contents, nous on juge, nous on condamne: on se condamne. On devient, entre les griffes de Satan, des proies faciles contre un et contre l'autre, contre un et contre l'autre, car ce qu'il tient entre ses mains, c'est le pouvoir de la vie, et le pouvoir de la vie n'est pas en Satan, c'est le néant.

Satan, il s'est retiré loin de la lumière. Lui-même a refusé d'adorer Dieu qui reflétait sa beauté, qui reflétait la vie éternelle 'sur lui'. Il a refusé la vie éternelle; donc, il est devenu le rien, il est devenu mort à jamais. Comme il veut nous anéantir et qu'il n'a plus de vie, il faut qu'il vienne chercher la vie, alors il vient nous chercher. Il nous maintient entre ses griffes, et la vie que nous sommes, il en fait ce qu'il veut. C'est ce que nous devons découvrir. Nous sommes vivants et notre vie appartient à Dieu. Merci qu'il nous l'ait donnée et que nous la faisons goûter à ceux qui sont vivants, pas aux esprits impurs qui sont morts, parce qu'eux veulent nous enlever la vie éternelle pour nous faire entrer dans la mort éternelle.

N'écoutons pas cette boîte noire qui ressemble à notre noirceur, parce que nous l'avons voulue. Vous savez, nous avons été en Irlande. Combien d'années l'Irlande a résisté à tout ce qui était contre leur religion? Combien d'années? N'est-ce pas des centaines d'années, des centaines d'années, des centaines d'années? Et savez-vous ce qui est arrivé depuis quelques années, même pas cinquante, soixante ans? Eh bien, ils ont réussi: les esprits impurs ont réussi là où ils n'avaient pas réussi il y a sept cents ans: atteindre leur âme, à les ébranler, à affaiblir leur âme. En atteignant la chair, ils ont affaibli leur âme par la télévision, par les sons: images et sons. Ce qu'ils n'avaient pas réussi, ils l'ont réussi dans les environs de cinquante ans, pas cent ans!

Alors, voyez-vous le piège de Satan? Mais Dieu a dit: «Je vais me servir de ce qu'il a voulu contre vous pour en faire du bien.» Voilà pourquoi qu'internet, Dieu s'en sert contre qui? Contre Satan, pas contre nous, contre Satan. Mais attention! Dieu permet que j'aie un site, mais il a dit: «Ne va pas dans cette mer d'images.» J'attends qu'il me montre où je dois aller. Comme prendre une recette de Ricardo! Le connaissez-vous Ricardo? Ah non? Vous ne connaissez pas, vous devriez connaître Ricardo, de bonnes recettes! Mais il ne veut pas qu'on s'écarte. Le danger est grand, le danger est très grand.

Nous avons été dans l'Ouest et les jeunes ont témoigné. Et il y a un jeune qui a dit: "Non, je ne veux plus me servir de Facebook, mais je me sens pris à cause de l'opinion de mes amis." Vous allez pouvoir l'écouter. Il dit: "Je réalise que c'est froid, car lorsque l'autre m'écrit, je ne sais pas, je ne vois pas ses yeux, je ne vois pas s'il y a, entre lui et moi, la vérité, l'amour. Je reçois, mais qu'est-ce que je reçois? Je ne le sais pas." Alors, lui, il dit: "Je veux être dans ma vie, je veux regarder dans le regard de l'autre qui je suis: l'amour." Voyez-vous? Il a quel âge? À peine trente, à peu près trente-cinq. C'est un beau jeune, mais qui commence à réaliser qu'il y a du danger. Combien d'entre nous connaissons des personnes qui, à cause de ces échanges, ont quitté leur époux ou leur épouse? Ils se sont fait prendre au piège du mensonge. Mais, par contre, il y en a d'autres, oui, leur cœur s'est lié.

Mais Dieu lui, il sait ce qui est bon pour nous. Lorsque cela nous amène à être amour devant Dieu, là, on peut reconnaître que c'est Dieu. Mais lorsque ce que nous entendons, ce que nous lisons, ne nous amène pas à nourrir notre âme pour qu'on s'aime soi-même avant ce qui est écrit, si cela ne nous amène pas à ça, c'est contre nous, cela n'est pas de Dieu. Alors, quand je regarde une recette de Ricardo, je sens à l'intérieur de moi: 'J'aime ce qu'il met. Non, ça, c'est une épice que je ne suis pas capable de digérer ou c'est trop fort. Non, ça, je ne l'ai pas dans mon armoire. Eh! j'en ai assez dans mes armoires.' Voyez-vous? Je m'aime assez pour reconnaître que ça, c'est bon, oui, cela va être bon. C'est cela qu'il faut découvrir, aussi simple que cela avec des gestes simples.

Lorsque nous entendons parler que notre pape va peut-être prendre des risques, c'est toi qui prends des risques: tu viens de reconnaître ce qui est en toi. Nous avons pris des risques: 'J'aime, je n'aime pas. Ouf! mon âme s'en est nourrie, peut-être pas.' Cela a été dans notre vie et l'Autre s'en sert pour projeter des jugements. Il sait se servir de ce qui est en nous et qui ne porte pas l'amour, mais son venin. Hypocritement, il s'en sert. Alors, soyons amour envers nous-mêmes. Maintenons-nous ensemble pour créer une puissance de vie.

Maman Marie, croyez-vous qu'elle jugerait son pape? Elle se dit être plus petite devant un prêtre, un prêtre! Et elle l'a dit, vous l'avez déjà entendu ou lu. C'est notre humble Maman Marie. Alors, suivons les pas de notre Maman d'amour: demeurons humbles. Elle nous enrichira de ses grâces d'amour pour qu'on puisse se donner pour l'Église. L'Église, ce sont tous les enfants de Dieu, du pape jusqu'au dernier qui vient de venir au monde à cet instant. Ça, c'est l'Église. Amen. Merci, Seigneur.

Q. Comment évangéliser, quoi répondre à quelqu'un qui nous dit: 'Oui, mais si Dieu est amour, tout amour, comme tu dis, pourquoi il permet toutes ses atrocités' et là, on est sans réponse. Qu'est-ce qu'on dit, comment on s'en sort?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Un  jour, dans ma paroisse, le curé, il a dit durant le sermon: "Qu'il y avait un coiffeur et il a rencontré une personne qui lui a dit: 'Ah! J'ai les cheveux longs!' Mais il lui a dit: 'Tu n'as seulement qu'à rentrer, je vais te couper les cheveux, je vais te coiffer, je vais te rendre beau'."

Alors, nous, que faisons-nous? Nous sommes là à discuter de Dieu: 'Va vers Dieu. Toi-même vas vers Dieu! Tu as besoin d'une coupe de cheveux! Va vers le coiffeur! Tu as besoin d'un dentiste, tu as mal aux dents! Va chez le dentiste! Tu as besoin de béquilles! Va là où ils en vendent, à la pharmacie! Va là où tes besoins sont. Tu as besoin d'amour, de croire? Mais ne va pas voir ta voisine, ne va pas voir ton voisin, ne va pas voir un charlatan, ne va pas voir un athée, va voir Dieu. Entre dans sa demeure, parle avec lui, là où tu es. Confie-toi à lui, c'est lui le Médecin de l'amour, c'est lui le Coiffeur de l'amour, c'est lui le Dentiste de l'amour, c'est lui le Papa d'Amour et c'est lui la Maman d'Amour. Mais toi, qui es-tu? Un enfant qui ne sait même pas qui tu es. Tu es un enfant d'amour et Dieu t'aime.' À cause de l'ignorance, eh bien, Dieu nous fait vivre ce que nous choisissons. Si le monde est ce qu'il est aujourd'hui, c'est parce que nous manquons d'amour envers nous-mêmes.

Si le monde est ce qu'il est aujourd'hui, c'est parce que nous manquons d'amour envers nous-mêmes. Et là, c'est l'affaire de Dieu maintenant. Dire à une personne: 'Tu vois, Dieu, lui, ne te juge pas à cause des paroles que tu viens de dire, mais toi tu le juges.' Ces paroles tu ne peux les dire qu'à une personne qui s'ouvre totalement à toi. Une personne qui ne veut pas avoir ta réponse, mais qui veut discuter avec toi de ce qui appartient à Dieu, tu gardes le silence, tu le donnes à Dieu, car on ne donne pas à manger à ceux qui veulent te manger, on ne donne pas à boire à ceux qui sont assoiffés d'eux-mêmes. C'est Dieu avant tout, et après, c'est toi pour lui.

Alors on doit passer Dieu en premier. Il va te donner ce qu'il te faut pour reconnaître que tu es amour envers toi-même et cet amour va sortir gratuitement de toi, et il va le ressentir. S'il s'ouvre à ton amour qui vient de Dieu, tu vas le ressentir. Mais si tu ne ressens pas qu'il a accepté ton amour, tu vas aussi le ressentir, et tu auras plus de pouvoir d'amour sur son amour qui a faim si tu pénètres ton amour par l'intérieur. Il faut garder le silence parfois, car c'est plus riche en puissance.

Q. Ça serait bien fort de dire à quelqu’un qui pose une question de lui répondre : ‘Tu te juges forte devant la gloire’, car en disant ces paroles-là, tu le juges. Il ne faut pas le dire.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Si tu parles ainsi, c'est parce que tu parleras à une personne comme Geneviève qui a le cœur d'amour et qui est prête à tout pour aider son prochain à avoir une réponse. Elle le fait par amour. Mais tu vas le ressentir, alors il va y avoir un échange merveilleux; là, tes paroles ne s'arrêteront pas, tu vas le dire et (ton prochain) lui, il va vouloir. Il a faim, il a soif, et là, il va y avoir de la nourriture. Ça ne s'arrêtera pas sur un oui ou un non, cela va amener encore et encore de la nourriture. Alors, soyons dans la paix, soyons dans la joie et soyons dans l'amour, ça, ça passe partout.

Au début, en 2001, le Seigneur, il a dit: «Je vous nourris, mes enfants. Allez-vous donner cette nourriture à un tout petit bébé qui n'a pas de dents, qui n'a pas ce qu'il faut pour digérer votre steak?» Nous sommes une nourriture abondante, alors nous devons comprendre que tous les autres ne sont pas rendus là où nous sommes rendus. Ne nourrissons pas un petit bébé avec un steak, mais à la cuiller, à la cuiller. Amen.

Q. Je veux poser une question concernant la situation de l'Église parce que, malheureusement, moi, je souffre de cette situation par rapport aux différentes communautés, aux prêtres qui se divisent parce que les uns veulent la messe du jour, les autres veulent la messe qu'on pratique dans toutes les paroisses. C'est par rapport à ça que j'ai une souffrance parce que ça crée une division dans l'Église et dans les familles: ceux qui veulent garder la messe... et ceux qui ont suivi le concile. C'est par rapport à ça que j'ai une souffrance.

Jésus: Je vais vous raconter une histoire. Il y avait un grand vent dans une prairie. Ce vent faisait pencher le blé dans la direction où le vent soufflait. Dans une autre partie de cette prairie, il y avait de l'orge. L'orge ne se penchait pas vers la direction où soufflait le vent, il se maintenait droit. Il ne voulait pas se pencher. Sa direction à lui était la sienne. Dans une autre partie de la prairie, il y avait du millet. Ce millet, il recevait le vent et lorsque le vent soufflait et soufflait, le millet se laissait dépouiller. Il était si petit. 

Et lorsque le vent s'arrêta, le blé qui était haut avait perdu ses grains: il était devenu un épi sans sa richesse. Alors que l'orge, qui était demeurée droite, était brisée: l'épi avait été coupé. Le millet avait été dépouillé. Tout autour de lui était ses graines, elles étaient tombées à ses pieds: tout petit il avait été ce qu'il est.

Le blé orgueilleux avait perdu à la volée ses graines qui le rendaient fort. L'orge s'était brisée en deux parce qu'il n'avait pas voulu s'incliner devant la puissance du vent. Et le millet, tout petit, avait tout accepté. Il avait perdu ses graines, mais ses graines ne s'étaient pas éloignées de sa tige qui était sortie de la terre en acceptant qu'il était un plant tout petit et fragile.
Voyez-vous, mes enfants, vous êtes des enfants de Dieu. Vous avez en vous ce dont il vous faut pour grandir devant la Face de Dieu. L'Église ne vient pas de vous, elle vient de Dieu. C'est Jésus la Tête de l'Église. C'est moi qui l'ai fondée parce que mon Père m'a envoyé parmi vous. Je vous donne la grâce de vivre en mon Église. Ce n'est pas vous, mes enfants d'amour, qui pouvez vous nourrir de la grâce, car la grâce ne vous appartient pas. C'est le Saint-Esprit qui vous fait comprendre la Parole, c'est le Saint-Esprit qui vous ouvre à la Parole, c'est le Saint-Esprit qui vous amène sur votre chemin tracé par mon Sang. Je suis la Vérité, je suis la Vie Éternelle. Tout en moi est les enfants de mon Père. Vous venez de mon Père, vous ne venez pas de vous-mêmes.

Si souffrances il y a, c'est que vous connaissez ce Vent, mais vous n'avez pas confiance en le Saint-Esprit, alors vos pensées s'envolent et vous êtes incapables de les retenir.

Les enfants de mon Père doivent avoir confiance en la puissance du Saint-Esprit qui nourrit l'être qu'ils sont.

Les enfants qui ont de la difficulté à accepter l'Église ne comprennent pas que seul le Saint-Esprit peut alimenter d'amour toute volonté lorsqu'elle est en Dieu. Il faut faire la Volonté de Dieu pour comprendre que la volonté humaine est capable de s'accomplir, car si elle ne s'accomplit pas, elle est brisée, elle se brise de tous les membres: ils souffrent.

Les enfants de Dieu qui sont humbles, qui sont petits, qui prient la Mère de Dieu, Celle qui est la Mère de l'Église, ma Mère, se reconnaissent être entre les mains de la Mère de Dieu qui nourrit, avec les grâces du Ciel, qui ils sont. Malgré la souffrance, ils ne s'éloignent pas de qui ils sont: des enfants de Dieu; malgré les contrariétés, ils se gardent bien d'émettre des opinions; malgré la souffrance, ils ne s'éloignent pas de la souffrance que connaît l'Église.

Je vous aime tels que vous êtes. Demeurez humbles. Faites ce que ma Mère vous demande: priez, priez, priez avec le cœur. Il faut prier avec l'amour, car le Ciel écoute ce qui vient de votre cœur et qui a été alimenté par les grâces de l'Amour. Dieu donne et il reçoit. Ainsi, le petit millet se multiplie, il se multiplie en ne se donnant pas le mérite, mais en rendant grâce à ce que j'ai accompli pour la multiplication du Pain de Vie.

Cette nourriture est pour vous. Soyez en Église, méritez l'Église, elle vous nourrit. Je vous aime, mes enfants, j'aime aussi ceux qui ne comprennent pas l'Église. Padre Pio, les saints, mes enfants, ont compris que c'est l'Église qui compte, et l'Église, c'est ensemble pour tous. Que votre foi soit aussi grande que la foi de vos ancêtres, car, eux, malgré qu'ils 'mangeaient du curé', faisaient ce que le curé demandait. Amen, mes enfants.

Q. … par rapport aux …........ au droit des musulmans, chapelle désinfectée…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Prions, prions, aimons, attachons-nous plus à la chair qu'aux murs. Si nous voulons que les murs nous rappellent qui a été en ces murs, il faut aimer qui nous sommes, car les murs parleront, les murs témoigneront de la présence de l'amour. Soyons comme notre Jésus d'Amour. On ne comprend pas les plans de Dieu, mais ils sont parfaits, et il a besoin de nous en ce temps. Amen. Merci, Seigneur. Merci.

Alors, on va remercier Maman Marie par un chant.

♪♪

Nous te saluons, ô toi Notre Dame
Marie, Vierge sainte que drape le soleil
Couronnée d'étoiles, la lune est sous tes pas
En toi nous est donnée l'aurore du salut