Rencontre d'amour avec l’Agir de Dieu, Saskatoon, Saskatchewan,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2015-04-13 Questions et réponses avec l'Agir de Dieu

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Vous pouvez poser des questions sur ce que vous avez entendu, et ce n'est pas moi qui vais répondre, Dieu merci. Je vais répéter!

Q. Une question est posée sur votre vie, vos débuts.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Au début, dans les années 2001, quand je me suis présentée à Winnipeg, là le Seigneur me présentait. Je suis la 9e d'une famille de 14 enfants. Le 14e est décédé. J'ai vécu une enfance avec des parents catholiques. Ils nous ont appris à aller à la messe le dimanche, à respecter notre prochain, à ne pas voler notre prochain. Un père autoritaire, oui autoritaire: tu vas à gauche, on va à gauche; il n'avait seulement qu'à bouger ses yeux, là où ils arrêtaient, on savait où aller. Alors, on a appris à obéir à nos parents. Dieu sait ce qu'il fait, hein? Alors, ça m'a appris à obéir.

Q. Quand avez-vous ressenti la présence du Seigneur en vous?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Il y a eu plusieurs étapes, je crois, dans ma vie. La première fois que je suis entrée dans une église, j'ai eu l'impression d'entrer dans un palais. Cet endroit n'était pas comme les autres, et cela m'a beaucoup touchée. Je me rappelle aussi, quelques années plus tard, quand je recevais Jésus, c'était tellement chaud à l'intérieur de moi, c'était une chaleur de joie; mais pour moi, c'était ainsi qu'on devait recevoir Jésus. Ce qui s'est passé d'autres, oui, j'ai eu des visions. J'ai eu des visions, mais comment savoir que c'était des visions? C'est des rêves! Mais oui, mais c'était des rêves vivants. Quand on rêve, on ne s'en souvient plus, ou si on s'en souvient, au bout d'un certain temps ça part, mais pas ceux-là! Ceux-là tu les vis, oui.

La première fois que j'ai entendu Jésus, c'est dans une vision. Il a dit: «Je crie mon amour au-dessus des toits, mais personne ne l'entend tant il est grand et incompris.» Ma petite fille Caroline, en ce moment elle a 42, la plus vieille de mes filles, et elle a écrit cette phrase sur un papier que j'ai mis dans ma Bible. Elle devait être au primaire. Et après, toutes sortes de choses sont arrivées: une colombe dans ma chambre, voir deux maris: un qui m'aime de son vivant, un qui m'aime alors qu'il est parfait, alors que mon mari, hein, personne n'est parfait. C'est là, aujourd'hui, que je réalise qu'il me montrait la présence de mon mari après sa mort.

Je crois que ma mission a commencé à prendre ..., tout cela a formé l'être que j'étais. Mais à la mort de ma sœur Rita en 97, là il s'est passé quelque chose. Elle m'a dit quelque chose quelques heures avant de mourir: "Qu'est-ce que tu veux que je dise à Jésus pour toi? Qu'as-tu à lui demander? Je ne savais quoi lui demander, j'ai dit, 'j'ai rien', pourquoi cette question-là? Là le besoin de prier, sans oublier mon chapelet tous les jours, était devenu tellement important, non que je ne priais pas, on dit le 'Je vous salue, Marie' quand on étend notre linge, qu'on fait notre ménage, ça on le fait, mais là, c'était de me mettre à genou pour dire mon chapelet.

Cela m'a amenée à Marmora, Ontario, un lieu où on disait que la Vierge Marie apparaissait à Dory Tan. Là, j'ai été accueillie dans des jardins de fleurs! Quand on sent la rose ou l'encens la première fois, on se dit: 'on me joue un tour, hein?' Là, je faisais mes premières expériences mystiques. Oui, c'est à ce moment-là que la Vierge Marie a commencé à se manifester à moi. J'ai 67 ans. En 98, je suis allée et en 99, j'ai senti l'odeur de rose. Et c'est en 2001 que j'ai entendu sa voix après avoir suinté de l'huile et mon chapelet est demeuré comme imbibé de cette huile. Quinze jours après, Jésus a parlé à l'intérieur de moi, et c'est à tous les jours. Je n'ai seulement qu'à me présenter et Dieu parle continuellement. Parfois, la nuit, je dis à Maman Marie de dire à son Fils qu'il faut que je dorme. Ça arrive! Mais on ne dit pas ceci à beaucoup de monde.

En 99, le Seigneur a mis sur ma route le Père Clément Provencher qui est devenu mon guide spirituel. Merci, Seigneur. Il y a deux nuits de cela, le Seigneur l'a rappelé à lui. Il avait 87 ans. Mais je sais qu'au plus profond de moi, il a mis un autre guide spirituel. Mais le Père Provencher sera toujours mon père spirituel. Il a été ordonné à Prince Albert, ici. Son diocèse est ici à Saskatoon. Il a été paralysé quelques mois et il disait que son lit était son autel. Il disait: "Dieu fait ce qu'il veut de moi." Merci, Seigneur, de me l'avoir donné. Pensez à lui, hein? Il a prié pour vous et il disait: "Je prie pour tous ceux vers qui le Seigneur t'envoie." Et il mettait toujours tout le monde sur l'autel. Il a fait trois cartables de noms de prêtres, à partir du curé d'Ars. Il disait: "Je ne dis pas une messe sans eux." Il vivait son sacerdoce uni à tous les prêtres qui ne faisaient qu'un prêtre en le Grand Prêtre. Ce sont ses paroles: "Un seul prêtre en le Grand Prêtre", un ensemble d'enfants qui ne forment qu'un cœur d'amour.

Mais je ne me dis pas prophète et je ne suis pas prophète, je suis un instrument: un crayon, une répéteuse, un micro, c'est ce que je suis. Je ne suis pas plus importante que vous, là. Les prophètes sont dans l'Évangile. Nous, on répète par la puissance du Saint-Esprit ce que Dieu a dit dans l'Évangile. Il a dit: «J'aurais tant à vous dire, mais vous n'êtes pas prêts.» Alors, il vient dire ce qu'il voulait nous dire; alors, il n'y a pas de prophètes. Ceux qui vous disent: 'À telle date, il va arriver ceci, à telle date il va arriver cela, ceci va arriver...', donnez ça au Seigneur. Dieu parle pour que nous soyons 'un' parmi tous les autres afin que nous soyons tous un. C'est ce que Dieu fait. On est en train de vivre l'Évangile.

Le Fils de Dieu est mort sur la Croix et il nous a tous purifiés. Il n'y aura pas une deuxième purification. Quand Jésus a dit à Pierre: «Est-ce que je vais me faire crucifier à nouveau pour toi?» Mais non, Pierre a compris. Alors, il faut faire comme Pierre: comprendre. Nous avons été purifiés. La Purification de la chair est accomplie, mais nous n'avons pas profité des grâces de la Purification, parce que nous ne cessons pas de vivre dans l'ombre de nos péchés, 'l'ombre de nos péchés.' Si nous disons que les péchés sont encore sur la terre, c'est que nous sommes des incroyants. Cela veut dire que nous n'avons pas la foi en Jésus crucifié. Satan, le mal, a dit lui-même: "Vous ne méritez pas votre Dieu". Vous allez le lire dans le volume, il y a un livre, mais le volume 5, cinquième partie, il a dit: "Vous n'avez rien compris." Eh bien, le menteur a dit une vérité. Eh oui, on n'a rien compris. Alors, il faut qu'on revive la purification, la revivre, mais en profitant des grâces de la Purification. C'est nous qui devons vivre la Purification qui est accomplie.

Tout prend un sens. Depuis 2001, le Seigneur parle à travers moi de la purification de la chair. Il a dit des mots et nous, nous avons cru comprendre que c'était ça. Comment pouvions-nous vraiment comprendre? On avait ça à l'intérieur de nous. Mais de plus en plus, avec le refus, avec les prières, il s'est fait un petit peu de nettoyage, mais il nous en reste! Depuis 2001 le Seigneur n'arrête pas de nous parler dans notre cœur des heures et des heures. À travers l'instrument que je suis, combien de rencontres, Nicole, même pas d'heures, combien de rencontres? Au-delà de 900 et pas une rencontre n'a duré qu'une heure, un peu plus qu'une heure, même beaucoup plus qu'une heure! D'ailleurs, plusieurs ont dit: 'Elle est habitée d'une entité, car cela est impossible humainement.' Le Saint-Esprit n'est pas une entité.

Alors, nous avons à nous accomplir. Si le Seigneur nous a parlé autant d'heures, et d'heures et d'heures depuis 2001, bien, il a mis en nous quelque chose. Il a mis en nous un feu, et maintenant, Satan n'est plus capable de l'éteindre. Le Père Clément me disait: "Fais ce qu'il te dit". Au début, il disait: "Là où tu vas, il y a quelque chose qui commence à s'accomplir, une petite fumée, une petite brèche, mais ça commence, le feu commence à prendre." Il disait: "Plus tu vas t'abandonner, plus ils vont s'abandonner, le feu deviendra tellement grand que rien ne pourra l'éteindre." Eh bien, il est là, c'est impossible de l'éteindre.

Nous allons faire ce que Dieu nous demande. Nous allons continuer à bâtir le monde d'amour en écoutant Jésus, en faisant ce qu'il nous dit de faire. Il a dit: «Bâtis un refuge». 'Oui, Seigneur.' On a fait ce qu'il nous a demandé, hein? On est allés à Chertsey, on a démoli mon chalet, on a bâti un étage et un autre étage. J'ai perdu mon petit refuge pour entrer dans un grand refuge. D'autres sont venus. Alors, je me suis retrouvée avec beaucoup d'amis, mais j'avais perdu mon intimité. Comment comprendre ça? Je faisais ce que le Bon Dieu me disait et une fois que je revenais à moi: 'Seigneur, tu me demandes de bâtir un refuge et moi j'ai perdu mon petit chalet, là.' Il m'apprenait à renoncer. Même au petit peu que j'avais, il m'a montré: «Ce n'est pas à toi, c'est aux enfants de Dieu.»

Eh bien, c'est moi qui devais construire ma vie intérieure. Je devais faire de mon cœur un refuge pour tout le monde. Jésus nous disait: «Je ne m'occupe pas de votre matériel, je m'occupe de vous.» 'Bien, tu nous veux avec un marteau, des clous, des planches, puis tu nous dis que tu ne t'occupes pas de notre matériel'? Comment comprendre le message du Seigneur? Une journée, on comprend, on est tous dans la joie, dans la paix et dans l'amour, et le lendemain on dit: 'est-ce bien ce qu'il veut?'

La Mère du Fils de Dieu nous dit: «Venez, mes enfants, venez. Ayez un pied à terre.» C'est quoi avoir un pied à terre? Tout le monde est arrivé, une bonne gang, et ils ont mis les deux pieds à terre. Alors, nous, on comprenait avec nos blessures que cet endroit était un endroit particulier où il y aurait beaucoup de personnes qui viendraient dans les moments de catastrophes. Eh bien, les moments de catastrophes, si vous venez tout le monde là-bas, eh bien, ça va être une catastrophe!! On n'a pas compris que Maman Marie était le refuge, le seul refuge, et que Maman Marie n'a pas un Cœur grand comme 40 milles environ, là. Non, elle a le Cœur plus grand que la terre. Elle a l'amour inconditionnel.

Mais il y a quelque chose qu'on ne peut pas douter: c'est ce que j'ai vu. J'ai vu l'ange blanc sur le cheval blanc, j'ai vu les flèches qu'il prenait par en arrière, et j'ai vu son arc dans les mains et j'ai vu ses flèches qui ont touché le Dragon qui avait plusieurs têtes. Oui, j'ai vu ça. J'ai vu les pieds, une paire de pieds avec une tunique juste en bas des genoux. Oui, j'ai vu aussi d'autres paires de pieds, en tout douze paires de pieds, ça je les ai vus. Oui, j'ai vu qu'ils se plaçaient partout sur la terre; comme si la terre était plate, je pouvais voir partout où ils se déposaient. Oui, j'ai vu aussi des enfants habillés tout en blanc qui s'assemblaient tout autour. D'où ils venaient? Je ne sais pas, je les voyais, ils s'assemblaient et allaient là où il y avait une paire de pieds et ils se réunissaient tous. Oui, j'ai vu tout cela.

Oui, j'ai vu aussi quelque chose venir de l'univers qui devait frapper la terre, oui je l'ai vu. Oui, j'ai vu que cette masse amenait avec elle comme de la poussière. J'ai tout vu ça. Oui, j'ai entendu: douze tribus; donc, au Canada, nous avons une tribu, laquelle? Je ne sais pas, moi, mais c'est l'une des 12 tribus au Canada, en Amérique. Ça, ce n'est pas de nos affaires quand ce sera là, mais c'est l'affaire du Ciel, pas nous. Allons-nous interpréter tout cela avec ce qui est en nous? On va se tromper. Alors, il faut faire attention.

J'ai entendu Maman Marie dire que le Canada serait inondé. Eh bien, oui, on est inondé. Qu'est-ce qu'on a fait à nos enfants? On les a nourris de tout ce qui est contre Dieu, et ils perdent la foi: ils sont en train de mourir, ils se noient dans un monde sans foi. Alors, il faut réagir. Et elle a dit aussi: «Parce que vous priez, ils ne mourront pas.» Comment interpréter tout cela? Bien, c'est en faisant ce que la Sainte Vierge nous demande: priez, priez, priez, faites pénitence. Alors, nous ferons ce que nous avons à faire. Il a dit aussi quelque chose: «Tout commencera au printemps.» J'ai parlé de nutrition là-bas. Après j'ai commencé à avoir des troubles de yeux, j'ai commencé à avoir les membres qui me faisaient très mal et je me suis retrouvée à l'hôpital et là, le Seigneur m'a montré des choses merveilleuses, et cela a fait le volume 5.

Il fallait que cela soit pour comprendre ce que nous avons fait: nous avons laissé entre les mains de Satan et de ses acolytes nos actes de vie. Nous nous sommes entretués, nous avons contribué à l'alcoolisme, à la drogue, au meurtre; nous avons contribué au suicide, au viol; nous avons contribué aux guerres; nous avons contribué à toute cette crasse sur la terre, car Jésus dit: «Une seule pensée qui n'est pas amour est une destruction plus grande que toutes les bombes que vous connaissez.»

Une seule pensée a contribué à rendre malades nous-mêmes, nos frères, nos sœurs: plus grande encore que les pestes, plus grand encore que tout ce nous nous connaissons, parce que nous ne cessons pas de nous diviser, nous ne cessons pas de nous entretuer en détruisant l'amour que nous sommes envers nous-mêmes. Alors, Dieu dit: «Tant que vous n'apprendrez pas à vous aimer afin que votre amour conditionnel connaisse sa pleine mesure, le monde sur la terre continuera à s'entretuer.» Et nous parlons de nos enfants, de nos petits-enfants, de nos frères, de nos sœurs, du tout petit enfant qui vient au monde jusqu'à celui qui va mourir et qui a peut-être 118 ans. Voilà ce que contient ce volume, il nous détaille: qui nous sommes, ce que nous avons fait. Alors, il faut remercier le Bon Dieu. Nous allons connaître une joie. Lorsqu'on apprend à aimer, à s'aimer, on apprend à aimer nos frères et nos sœurs, les insultes ne nous touchent plus, les maladies ne nous affectent plus, l'inquiétude ne nous gruge plus, nous sentons notre liberté. Eh bien, c'est pour nous, c'est pour notre temps.

Au lancement du Volume 5, le Seigneur a dit: «Ils sont nombreux ceux qui regardent par la fenêtre.» Il ne l'a pas dit devant tout le monde, il a dit à quelques-uns après: «Certains ont franchi le seuil de la porte.» Alors, il y en a beaucoup; maintenant, il faut rentrer, il faut avoir les deux pieds dedans. Voilà pourquoi on est réuni. Il a commencé en 2001, alors nous allons continuer. Lui a fait confiance en nous, alors nous devons avoir confiance en nous et faire ce que Dieu nous demande. N'ouvrez pas vos oreilles à la facilité, n'ouvrez pas vos oreilles à la peur, n'ouvrez pas vos oreilles aux catastrophes. Tout ce qui amène à la division, à la peur, n'est pas du Ciel. Dieu est bon. Il nous envoie continuellement ses anges. Tous les saints du Ciel ne sont pas seulement au Ciel, ils sont, par la grâce, divinisés. Ils ne sont pas Dieu, ils sont, par la grâce, capables d'être ici sur la terre.

Eh bien, je vais vous dire que moi j'en ai fait l'expérience et que mes sœurs en ont fait l'expérience. Oui, nous étions en train d'aller chercher du bois; pour ceux qui connaissent, les 2 x 8, 12 pieds de long, c'est lourd; là où ils sont, il faut passer par-dessus des obstacles, d'autres morceaux de bois, il faut enjamber. Alors, je dis à ma sœur qui est plus vieille de 9 ans que moi: 'Cesse de forcer, c'est moi qui vais prendre le bout, tu n'as seulement qu'à soulever, mais ne force pas.' Mais là je dis: 'Samson, toi tu forceras.' Alors, nous, on prend: elle à un bout, et moi à l'autre bout, on enjambe; là, au bout, je lui dis: 'Tu as tout pris?' Elle répond: 'Mais non, c'était tellement léger, c'est toi qui prenais tout. J'ai dit: 'non'. On avait monté deux tempos de 10 x 12 qu'on a collés ensemble avec des 'tapes'. Trois femmes à bouger cela de 5 pieds. On a fait ça encore avec l'aide de Samson. On n'était pas fatiguées à la fin de la journée et on se disait: 'C'est peut-être le jus qu'on a pris ce matin'. Alors, le lendemain, on a pris la même chose, mais ça n'a pas fonctionné, on était fatiguées. Voyez-vous, c'est comme ça, les saints sont présents, mais on ne leur demande pas. Il faut le faire.

Alors, nous sommes ensemble et on va bâtir, mais c'est Jésus qui bâtit, et on va mettre nos forces en lui, et c'est Maman Marie qui va nous amener à lui. Mais vous n'aurez pas le temps de tricoter huit heures par jour et pour les hommes pas le temps d'aller regarder votre hockey à la télévision, car vous allez être beaucoup dérangés parce que Satan ne vous laissera pas tranquilles. Lui, il sait ce que vous avez laissé pénétrer en vous. Oui, il y en a qui sont partis depuis 2001, on a commencé à refuser, mais il y en a beaucoup encore. Depuis notre jeunesse, il y a du venin en nous et il va se servir de ça. Et lorsqu'il ne pourra plus à cause de notre mesure d'amour, eh bien, il va aller voir ceux qu'on aime et qui ont beaucoup de venin en eux. Savez-vous qui sera contre nous? Ceux que nous aimons qui sont plus près de nous. Il va se servir de nos parents, frères, sœurs, mères, pères, tantes, oncles, cousins, cousines. Lorsqu'il ne pourra pas se servir de vos enfants, parce que ce sera vos enfants, pour ceux qui en ont, qui seront attaqués.

Combien d'entre nous s'inquiètent parce que nos enfants ne vont plus à la messe à tous les dimanches? Combien d'entre nous s'inquiètent parce que nos enfants ont un emploi, 'oh, peut-être il va le perdre?' Combien d'entre nous avons des enfants qui ont de mauvaises habitudes avec leurs amis: drogues, boissons ou trop de petits jeux? Eh bien, il va se servir de tout pour nous atteindre. Alors, il faudra être vigilant pour ne pas tomber dans ses pièges, parce que si vous tombez dans ses pièges, lui va vous nourrir; alors vous serez une nourriture pour ceux que vous aimez: une nourriture empoisonnée. C'est ce que nous avons toujours fait. À chaque fois que nous nous sommes inquiétés pour nos enfants, eh bien, il a réussi à nous troubler. Il nous maintenait dans la peur. Cette peur n'est pas du Ciel, cette peur c'est l'ombre de nos péchés. Voilà ce que nous avons donné à nos propres enfants, et cela s'est multiplié.

Dans ces enregistrements, vous allez comprendre. Voilà l'importance de filmer, d'enregistrer. Ce n'est pas dans une soirée qu'on peut tout assimiler ces enseignements-là. Un enseignement, c'est s'alimenter de connaissances. Cette connaissance est pour nous, elle n'est pas contre nous, alors nous avons à nous donner pour les uns et pour les autres, mais Jésus a dit: «C'est vous en premier.» C'est nous qu'il faut qu'on redevienne amour. Avons-nous cette mesure? Êtes-vous sûr de connaître votre mesure? Oh, ce qu'on connaît, c'est peut-être elle! Celle-là on ne la connaît pas. Oh, peut-être elle est ici ou peut-être là. Mais Dieu veut plus que cela. Il veut tous que nous puissions connaître notre pleine mesure d'amour, afin qu'un monde d'amour s'installe sur la terre et lorsque ce monde d'amour s'installera sur la terre et que Dieu le Père nous appellera: «Viens mon enfant, viens, ta récompense est grande», nous serons dans la joie d'aller vers le Ciel. Et ce que nous laisserons sur la terre seront nos bonnes conséquences et ces bonnes conséquences c'est pour qui? Mais c'est pour nos enfants, pour nos frères et nos sœurs, pour eux. Alors, ça vaut la peine qu'on fasse nos efforts.

Vous allez voir qu'il en parle des efforts, vous allez apprendre à jouer au soccer. Vous allez voir, c'est écrit sur 47 pages une 'game' de soccer. C'est Dieu! On est des enfants et il nous instruit en prenant un jeu. Voyez-vous que ce n'est pas dangereux la purification de la chair? C'est doux la purification de la chair. Alors, ne nous arrêtons pas à une tentation comme: "Tu n'es même pas capable de te maintenir dans ton amour. Tu vois, tu ne t'apprécies même pas." Eh bien ça, il faut refuser. Oui, nos droits d'enfants de Dieu. S'il vous plaît, prenez-en une, vous allez comprendre que vous allez l'utiliser souvent, si souvent qu'en peu de temps, vous allez la connaître par cœur. Vous allez introduire vos propres mots à vous, ce n'est pas apprendre comme à l'école, mais toujours vivre cela, vivre nos droits d'enfants de Dieu. C'est là que vous allez comprendre combien c'est important d'avoir une Maman qui a l'amour inconditionnel. Merci Maman d'amour.  

Q. Quand c'est Francine qui parle et quand c'est la suivante?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Ce que je suis et ce que Jésus veut que je sois, ce que je suis c'est ce que vous, vous êtes. En ce que nous sommes, nous le sommes en Dieu. Rien ne peut être en dehors de Dieu. La voix de Dieu est la puissance de Dieu par tout ce qu'il est en chacun de nous. Comment peut-on répéter ce qui est de Dieu si ce n'est que la Fille du Oui est en l'Esprit Saint. Et voilà!

Quand le Seigneur dit: «Va», Francine reste à la maison. Oui. Alors j'ai dit souvent: 'Seigneur, quand est-ce que je suis moi'? Il dit: «Quand tu n'es pas, parce que quand tu sais que tu n'es pas, tu es vraie. Voilà pourquoi je t'appellerai La Fille du Oui à Jésus. Tu pénétreras le oui qui m'appartient, il est à moi, toi tu ne peux pas être un oui que si moi je te fais pénétrer dans mon Oui.» Alors, on est tous des filles du oui à Jésus et tous des fils du oui à Jésus. C'est tout ce que je peux répondre.

Q. Notre sainte Mère, elle aime d'un amour inconditionnel parce qu'on lui a accordé des grâces particulières, et on entend souvent qu'on doit être comme la Vierge Marie, comme notre Maman d'amour. Alors, qu'est-ce qu'on doit faire pour être comme la Vierge Marie parce que, elle, elle aime d'un amour inconditionnel, elle a eu des grâces spéciales, et nous on se fait dire qu'elle est notre modèle, qu'on doit l'imiter. Comment fait-on pour faire ça?

Maman Marie: Avant même que je sois, Dieu a connu qui j'étais: sa Fille, sa Fille bien-aimée. Avant même que vous soyez, Dieu vous a tous connus et il a voulu de vous comme il a voulu de moi. Moi et vous étions tous en la pensée de Dieu le Père. Dieu n'a pas eu de préférence, mes enfants. Vous êtes tous les enfants de Dieu. Je suis la Fille de Dieu, vous êtes les fils de Dieu et les filles de Dieu. Ma joie est de vous savoir tous aimés de Dieu le Père. Ma joie ne serait pas complète, mes enfants, si je me regardais plus importante que vous. Nous avons tous été créés en un instant, moi et vous, vous et moi.

Petits enfants d'amour, nous nagions dans l'amour inconditionnel. Nous avons entré dans l'éternité; alors nous avons été des enfants éternels en l'éternité. Le présent, le passé et le futur sont en l'éternité. Rien n'est en dehors de l'éternité. Mon temps et votre temps sont le même temps. Mes petits enfants, soyez humbles, et dans l'humilité vous allez reconnaître votre place. Chacun de nous avons eu une place en Dieu. Chacun de nous avons une place au présent et chacun de nous aurons une place au futur. La vie éternelle est en nous. Je suis éternelle et vous êtes éternels. Je suis créée à la ressemblance de Dieu et vous êtes créés à la ressemblance de Dieu. J'ai goûté à l'amour inconditionnel et vous avez goûté à l'amour inconditionnel. Mes petits enfants d'amour, cela était si bon de ne former qu'un tout. Cet amour inconditionnel remplissait notre amour inconditionnel dans un temps éternel. Notre connaissance était au comble de l'éternité. Dans l'éternité, rien ne s'arrête, tout est dans l’accomplissement.

Lorsqu'il y a eu cette épreuve d'amour, tous, vous étiez en l'amour inconditionnel tout comme moi. Ce qui s'est passé, mes enfants, était devant moi comme cela était devant vous. Dans l'amour inconditionnel, vous avez regardé comme j'ai regardé. Je me suis gardée dans l'amour inconditionnel, et avec votre amour inconditionnel vous avez pris une décision, mes enfants. Voyez-vous, mes petits amours, la différence entre votre amour qui est devenu conditionnel, et mon amour qui est demeuré inconditionnel a fait ce que vous êtes au présent. Au présent, je suis dans l'amour inconditionnel, dans l'amour, au présent, vous êtes dans cet amour conditionnel.

Votre mission sur la terre a été ma mission sur la terre. Comme je gardais toujours mon esprit en Dieu, je vivais dans l'amour inconditionnel qui m'habitait. De ma présence en le sein de ma maman Sainte-Anne jusqu'à la fin de ma mission au moment de l'Assomption, j'ai accompli l'épreuve d'amour avec ce qui était en moi. Et vous, mes petits enfants, lorsque vous prenez naissance en le sein de votre maman sur la terre, votre mission commence avec votre amour conditionnel, et votre mission se termine lorsque vous êtes devant votre jugement et que vous prononcez ce qui sera devant votre amour conditionnel. Lorsque vous serez devant vos actes de vie, et que vous prononcerez votre choix devant Dieu, votre mission sera terminée et c'est avec votre amour conditionnel que cela se fera pour que vous puissiez rentrer dans la Maison de Dieu pour être enveloppés éternellement de votre amour inconditionnel.

Mes petits enfants d'amour, votre amour est inconditionnel. Lorsque vous venez sur la terre, il devient conditionnel pour reprendre son inconditionnel lorsque vous entrez à nouveau en Dieu dans l'éternité, son Royaume. Vous devez vivre ce temps que Dieu vous donne sur la terre avec ma présence, car mon Fils, votre Dieu, votre Sauveur, vous a mérité votre place sur la terre comme au Ciel. Il vous a mérité, mes enfants, d'entrer dans le Royaume de Dieu, et cela depuis qu'il est mort sur la Croix.

Vivez, mes enfants, l'amour. Je suis votre Maman. J'ai souffert avec ce que je vivais. Je vivais l'amour inconditionnel. Ma souffrance était grande, beaucoup plus grande que vous, vous pouvez imaginer. Vous avez regardé, sur la Croix, Jésus. Moi, j'ai regardé sur la Croix mon Fils avec mon amour inconditionnel, alors que votre amour était conditionnel. Pouvez-vous imaginer ma souffrance? Ma souffrance avait la mesure de l'amour inconditionnel. Tout le long de ma vie sur la terre, je l'ai vécue avec l'amour inconditionnel. Que de souffrances, mes enfants, j'ai ressenties lorsque je voyais autour de moi des enfants qui ne s'aimaient pas avec l'amour qu'ils avaient en eux! Dieu ne m'a pas enlevé un seul instant de mon temps sur la terre, alors que j'entrais dans la souffrance de chacun de vous. J'utilisais la force de mon amour inconditionnel pour en supporter la douleur.

Un  jour, mes petits enfants, vous comprendrez combien mon amour pour vous a été grand. Plusieurs ont vu mon Cœur saigner, ce Cœur était celui que Dieu voulait qu'il soit: mon 'je t'aime'. Oui, lorsque je suis venue sur la terre, Dieu a dit: «Va, ma Fille. Entre dans ce temps d'amour.»  Dieu savait combien j'étais pour entrer dans la douleur, et je me suis accomplie. Qui peut vous comprendre mieux que moi? Est-ce que vous pouvez comprendre que votre douleur a été ma douleur? Seule une personne qui connaît la douleur peut comprendre la douleur. Je n'ai pas été épargnée. C'est mon amour inconditionnel qui contenait sa force qui m'a fait avancer.

Lorsque l'ange Gabriel est venu vers moi et qu'il m'a dit: "Tu es choisie pour être la Mère du Fils de Dieu", Dieu ne m'avait pas déclaré, avant ce moment, que j'étais l'Élue. J'ai accepté cela avec abandon et humilité. La connaissance, mes enfants, pénétrait en moi au présent. Dieu ne me disait pas tout à l'avance. Je devais vivre ma mission d'amour. Je l'ai vécue avec mon amour inconditionnel. Oui, j'ai goûté à cette grâce, mes enfants. Mes petits, la grâce m'a été donnée parce que j'ai prononcé le oui. Est-ce que ce fiat était le seul, mes enfants? J'ai prononcé 'oui' lorsque mon Fils se faisait insulter, flageller. Lorsque je disais oui, on me couvrait de grâces. Est-ce que ces grâces m'ont éloignée de la douleur? Elles étaient pour vous. Ces grâces étaient pour les enfants qui devaient vivre avec leur amour conditionnel.

Oh! Mes enfants! Comme j'aurais aimé être sur la Croix moi aussi, ressentir ces clous dans mes mains, dans mes pieds, sur mon côté. Oh, mes enfants, je devais tout accepter par amour pour vous! Lorsque le Sang de mon Fils jaillissait de sa chair, mon amour inconditionnel, j'y goûtais. Il avait la saveur de son Sang. J'aimais inconditionnellement tous les enfants créés comme vous étiez. Je ne vous ai pas jugés, je vous ai soutenus avec mon amour inconditionnel. Lorsque mon Fils est mort sur la Croix, mon amour inconditionnel s'est comme arrêté, et il m'a fait pénétrer en lui pour que je puisse continuer à vivre sur la terre ma mission. Je devenais la Mère de l'Église, je devenais Celle qui devait supporter l'Église avec la force de vos actes de vie purifiés.

Voilà pourquoi, mes enfants, lorsque vous faites des actes de vie, c'est moi qui unis vos actes de vie et je les amène à mon Fils, et mon Fils, avec son amour inconditionnel, vous enveloppe de sa toute-puissance et il y a des guérisons et des libérations. Savez-vous, mes enfants, ce qui fait que vos actes de vie se lient ensemble? C'est que je vous donne des grâces, celles que j'ai obtenues lorsque j'ai tout accepté. C'est puissant l'amour, mes enfants. C'est beau l'amour, mes enfants. Alors, ayez confiance en votre Maman. Je suis la Comblée de toutes grâces pour vous. Est-ce que j'avais besoin de grâces alors que j'avais l'amour inconditionnel? Je suis l'Immaculée Conception. C'est pour vous ces grâces, mes petits enfants! Alors, n'ayez aucune inquiétude, Maman est là. Satan ne peut vous approcher lorsque je suis près de vous et que vous acceptez ma présence.

L'Immaculée Conception vous aime. Je vous aime, mes amours. M'aimez-vous, mes enfants? (R: Yes.) Je vous remercie, mes enfants, au nom de tous les enfants de la terre qui ne savent pas me dire ce mot d'amour. Alors, en votre nom, je leur dis: «Maman vous aime.»

Voilà  pour ce soir, mes enfants. Il est temps de vous coucher.