Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Grafenstein, Autriche,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-21 – Partie 2   (MP3 : début à 16:39)

 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Si la Parole est pour nous une nourriture, soyons une nourriture pour tous nos frères et nos sœurs. Laissons notre Dieu utiliser qui nous sommes, laissons notre Dieu faire de nous des instruments d'amour. Il veut nous utiliser pour tous ses enfants pour ce qui s'en vient. Nous allons vivre des moments de purification, nous allons vivre la purification de la chair.

À travers l'instrument que je suis, il parle. Il dit : «Ce n'est pas toi qui les as réunis, c'est moi. Ce n'est pas toi qui les connais, c'est moi. Même ta voix ne t'appartient pas. Ce que j'attends de toi, c'est un oui, et ce que j'attends d'eux, c'est un oui.» Voilà pourquoi le Seigneur veut nous nourrir de sa Volonté. Il veut nous apprendre à quitter le pourquoi de notre souffrance, mais il faut le découvrir pour ne pas s'arrêter en chemin. Plus nous entrerons dans la vérité, eh bien, plus nous découvrirons que nous avons été des menteurs. Il n'y a que les enfants de Dieu, dans la présence en la Présence, qui sont dans la vérité.

Lorsque notre pensée est en Dieu, lorsque notre pensée aime Dieu, nous-mêmes et notre prochain, nous sommes dans le présent, dans notre vie, en la Présence, en Dieu. Lorsqu'une seule pensée n'est pas amour pour Dieu, pour nous-mêmes et notre prochain, nous ne sommes pas dans notre présent, nous ne sommes pas dans notre vie, parce que notre présent nous le faisons en présence de notre vie, notre présent devient actif, il produit des fruits lorsqu'il est au présent. Nous le faisons devant Dieu, nous utilisons notre vie d'enfants de Dieu.

Lorsque notre pensée est contre Dieu, contre nous, contre notre prochain, nous sommes avec le moi. Nous sommes en dehors de la présence qui est notre vie devant Dieu. Lorsqu'on est avec nous-mêmes, Dieu nous laisse avec nous-mêmes : «Tu veux juger ton prochain, tu veux donner ton opinion, tu veux croire que ce que tu dis c'est la vérité, alors que cela soit, c'est toi qui choisis.» Alors, Dieu, lui, est dans notre vie, mais nous lui fermons la porte : 'Je veux vivre dans mon moi'.

Nous savons que lorsque nous parlons contre notre prochain, il y a quelque chose en nous qu'on veut faire taire : notre conscience. La conscience, c'est la parole de l'âme. Lorsque nous ne voulons pas l'écouter, nous passons en avant d'elle – et cela va très vite – car l'âme nous donne des grâces, elle nous rappelle que nous sommes enfants de Dieu, mais nous, avec notre volonté humaine, on n'écoute pas, et c'est tellement vite, aussi vite que lorsqu'on ouvre le bouton pour la lumière. Qu'est-ce qui a fait, avec les années, que nous sommes vite d'esprit? Avec les années, nous ne sommes pas là, nous sommes vite, nous avons l'esprit vif.

Lorsqu'on vient au monde, nous pensons avant de parler. Lorsqu'on est tout petit, bien, avant de marcher, on pense. Avant de faire une action, le tout petit enfant réfléchit : il se demande s'il est capable. Il veut bien s'assurer que ce qu'il va faire ne lui fera pas mal, parce qu'il se souvient d'avoir tombé la première fois qu'il a essayé de marcher. Plus il avance, plus sa pensée s'ajuste avec sa souffrance; plus sa souffrance se fait connaître à lui, plus il veut l'oublier; plus il veut l'oublier, plus il s'oublie : il laisse passer en avant sa souffrance et il recule. Il est plus facile de mal se conduire que de bien se conduire.

Dieu dit : nous sommes devenus les amis du mal, si bien qu'il est devenu plus grand que nous. Le mal est devenu notre maître : c'est le mal qui dirige, c'est le mal qui prend en charge notre pensée. On veut oublier la souffrance, et comme on veut oublier la souffrance, on l'envoie en avant, on la met devant notre vie : 'Passe en avant, moi, je vais te suivre'. Nous savons que c'est souffrant parler contre notre prochain, car nous savons que Dieu nous a demandé de ne pas parler contre notre prochain. Mais comme nous tombons souvent dans le jugement, on réalise qu'on s'est mal conduit devant Dieu; on réalise qu'on s'est mal conduit devant l'enfant de Dieu que nous sommes; on réalise que notre prochain est dans la souffrance à cause de nous; alors, on envoie la souffrance en avant. La souffrance vient de nous parce que nous avons accepté le mal, et comme nous ne voulons plus souffrir, on a fait, du mal, notre ami : il est devenu notre compagnon de vie.

Aujourd'hui, il y a séparations, divorces, avortements, homosexualité, empêchements de famille, de conception : c'est rendu normal. On voit ça comme quelque chose, comme si c'était bien banal. C'est parce que nous ne voulons plus souffrir. Nous mettons la souffrance en avant, comme ça nous ne la ressentons pas, nous sommes en arrière : 'Je ne me remets pas en question devant les dix commandements de Dieu'. Alors, il vient un moment où je me dis : 'Dieu n'existe pas, les dix commandements de Dieu, c'est de la foutaise'. Ce qui fait que nous sommes incapables de redevenir des enfants qui veulent Dieu, parce que la souffrance est trop grande; elle a atteint un niveau que nous, nous ne pouvons pas aller. Nous vivons à la surface de nous qui est tout embrouillée. Nous ne voulons plus voir cette saleté, alors nous vivons notre vie sans Dieu, nous sommes avec le moi.

Oui, nous pouvons lancer la pierre à ceux qui sont séparés, divorcés, à ceux qui se font avorter, qui font des avortements, oui nous pouvons lancer la pierre. Pour cela, il faut mettre un bandeau devant ses yeux, il faut mettre des bouchons dans nos oreilles pour ne pas se voir et ne pas s'entendre, parce que même si nous prions : nous parlons contre la voisine qui vient de recevoir son troisième amant; nous parlons contre l'homme qui n'entre pas à la maison parce qu'il est à la taverne; nous parlons contre les enfants qui sont irrespectueux envers leurs parents; nous parlons de notre enfant qui n'a pas respecté le sacrement du Mariage. Oh! nous ne disons pas cela à n'importe qui, mais à notre meilleur ami, pour se faire consoler!

Nous mettons des bandeaux et nous ne voyons pas que nous sommes souffrants, que nous ne voulons pas souffrir, et comme nous ne voulons pas souffrir, on se dit être dans la souffrance à cause de. Nous mettons notre souffrance en avant et nous nous mettons en arrière, et nous la regardons et nous parlons d'elle. Dieu nous dit que ce n'est pas avec des enfants souffrants à cause de leur volonté humaine qui vont être dans le monde d'amour de Dieu. Dieu dit que les enfants choisis n'entreront pas avec leurs souffrances, ils n'entreront pas avec le souvenir d'un passé, ils devront donner à Dieu, à Celui qui a pris toute souffrance. Tout enfant devra donner causes, choix et conséquences. Causes : c'est le mal, c'est le mal qui est la cause de notre souffrance.

Les choix que nous faisons, nous devons les donner à Dieu. C'est nous qui choisissons d'aller en arrière de la souffrance en choisissant d'écouter les tentateurs. Nous ne voulons pas du péché, mais nous sommes rendus incapables de nous arrêter de parler inutilement : nous donnons notre opinion sur la religion, nous donnons notre opinion sur la conduite des prêtres, nous donnons notre opinion sur un politicien, nous donnons notre opinion sur un projet qui a été voté alors qu'il ne nous plaît pas. Nos choix : c'est nous qui choisissons de prendre du chocolat alors qu'on est diabétique. Nous sommes contre nous. Alors, Dieu nous dit : «Cela n'est plus pour vous. Je veux que vous me le donniez. Donnez cause et choix.»

Mais Jésus, il veut aussi la souffrance. Conséquences : lorsque nous sommes devant notre enfant qui est dans la drogue, alors donnons à Dieu : "Je te donne causes, choix et conséquences." On obtiendra des grâces et ces grâces feront son bout de chemin; cela atteindra notre enfant, parce qu'il y aura guérisons et libérations. Lorsque nous donnons à Jésus ce qu'il a déjà pris lorsqu'il est venu mourir sur la Croix, il fait couler en nous son Précieux Sang. Il nous donne ce que nous, nous lui demandons, parce que lorsque nous disons : "Je te donne causes, choix et conséquences", à l'intérieur de nous, nous avons ce cri : 'Je veux guérir de mes mauvaises manies, je veux que mon enfant guérisse de cette mauvaise manie'. C'est ça que nous disons à notre Dieu.

Jésus, il a fait sa Passion. Son Père l'a envoyé sur la terre afin qu'il accomplisse les Écritures. Isaïe avait tout annoncé; d'autres aussi, prophètes, avaient annoncé la venue de Jésus; Jean-Baptiste avait annoncé sa venue. Alors Jésus accomplissait les Écritures. Jésus est l'Alpha et l'Oméga. Il est le passé, le présent et le futur. Comment Isaïe pouvait-il avoir prédit ce que Jésus était pour vivre? Parce qu'Isaïe était en Jésus, il accomplissait ce qu'il était pour accomplir. Le présent de Jésus se trouvait en Isaïe, parce que Jésus c'est l'Alpha et l'Oméga : il n'y a pas de commencement, il n'y a pas de fin. Alors, la Passion du Christ était déjà accomplie et tout s'accomplissait d'année en année, de l'alpha de la Genèse à l'Apocalypse. Tout était déjà accompli.

Alors, lorsque Jésus est venu sur la terre, il accomplissait sa Vie afin que nous, nous soyons devant notre présent. Lui, l'Alpha et l'Oméga, était dans son mouvement de rédemption. Le mouvement de la rédemption ne s'est pas accompli seulement qu'au moment où Jésus, à trente ans, a commencé sa vie publique, la vie de Jésus a commencé dès le début. Alors, la rédemption déjà commençait. Ça nous amenait toujours d'année en année à vivre ce que nous devions vivre : on est ensemble. Nous étions en Abraham. Croyez-vous qu'Abraham est encore avec nous, en nous? Je ne crois pas qu'Abraham ait dit non à la vie éternelle, alors il est en nous, il fait partie de notre oui à l'Amour.

Lorsqu'un enfant de Dieu dit non à la vie éternelle, il est hors de la vie éternelle, et ce n'est que l'enfant qui choisit. Alors, notre vie, en ce moment même, est dans l'accomplissement de la rédemption. Voilà pourquoi nous devons dire ces paroles : "Je te donne causes, choix et conséquences." Nous devons vivre notre passion, nous devons accepter d'être sauvés. N'attendons pas notre premier jugement. Si nous attendons notre mort terrestre, oui nous entrerons dans notre jugement, oui nous verrons tout ce que nous avons fait. Pour aller vers Dieu le Père, il va falloir donner tout à Jésus : "Je te choisis, ô Dieu d'amour. Je veux la vie éternelle." Alors, comme nous avons vu toute notre vie, nous avons consenti à aller vers la vie éternelle.

En ce moment même, Jésus veut que nous vivions le premier jugement sur la terre. Il veut que nous lui donnions causes, choix et conséquences sur tout ce que le Saint-Esprit va faire ressurgir de nous, tout ce que notre chair a emmagasiné. Nous, nous ne savons pas ce que Dieu sait. Avons-nous besoin de le savoir? Dieu, lui, sait ce que nous devons savoir et c'est lui qui va nous le montrer. Nous allons être devant la miséricorde de Dieu, car en nous il y aura encore beaucoup de guérisons. Plus nous recevrons des guérisons, plus les chaînes vont tomber. Là, nous allons continuer à donner : "Je te donne causes, choix et conséquences."

L'amour pour Dieu, pour nous-mêmes, pour notre prochain, va augmenter, ce qui va faire que nous allons marcher ensemble, nous allons suivre notre Rédempteur. Nous ne suivrons plus la souffrance, nous allons suivre notre Libérateur. C'est lui qui va nous libérer de la volonté humaine, c'est lui qui va nous amener là où nous allons être : devant son Père, enfants de la Divine Volonté. Nous ne verrons pas Dieu sur la terre, mais nous aurons sa connaissance. Nous serons les enfants de Dieu dans une chair qui ne sera plus assujettie au péché. Dieu ne vient pas nous parler pour compliquer notre vie; nous, nous l'avons compliquée. Lui, il vient déposer en nous des grâces d'amour, de miséricorde.

Oui, nous donnerons à Jésus causes, choix et conséquences. 'J'ai de la difficulté à endurer mon mari', mais on ne le dira plus parce qu'on dira : 'Ah! je te donne causes, choix et conséquences'. Ne le dites pas trop fort pour ne pas qu'il entende, pour lui donner la chance à lui de dire lui aussi : "Je te donne causes, choix et conséquences." Parce que ce n'est pas la première fois que nous allons dire causes, choix et conséquences qui fera que nous serons totalement purifiés dans notre chair. Ça nous amènera là où nous devrons être et c'est pour tout ce qui est dans notre vie. 'J'ai pris l'habitude maintenant de ne pas trop peser sur la pédale à gaz' et j'en vois un qui passe vite devant moi : "Je te donne causes, choix, conséquences." 'Je viens de brûler mon repas' : "Je te donne causes, choix, conséquences."

Nous allons guérir, nous allons être libérés de nos chaînes; notre âme va se réjouir, elle nous inondera de grâces. Il y aura des guérisons physiques, il y aura des conversions, il y aura des enfants qui reviendront à la maison en disant : "Maman, je ne me drogue plus."

Ce que l'instrument est en ce moment même en train de vous dire, elle l'a vu et entendu par des enfants qui ont été témoins de ce que le Seigneur a fait dans leur vie lorsqu'ils ont dit causes, choix et conséquences. Cela a changé leur vie, mais le Seigneur les a fait aller plus loin. Il faut faire un geste pour notre Dieu, croire qu'il a le pouvoir d'envoyer les esprits impurs au pied de sa Croix. Il a mis, notre Dieu, en nous, une liberté. C'est cette liberté que nous avons eue de choisir notre volonté humaine en écoutant le menteur, le voleur. Le but de Satan est de démontrer que le Fils de Dieu n'est pas le Fils de Dieu, mais lui. Il veut que nous croyons qu'il est, lui, le Fils de Dieu. Il veut nous détruire, il veut atteindre Celui qu'il n'a pas adoré. Alors, il va tout faire pour nous éliminer parce que nous sommes la chair de la Chair, ce qu'il a refusé d'adorer : le Fils de Dieu. Dieu va se servir de nous, les tout petits souffrants. Il va nous demander :

Jésus : Enfants d'amour, ce que vous êtes, vous l'êtes pour moi. Ce que j'attends, enfants d'amour, c'est votre oui. Vous devez vivre que pour mon Père, vous ne devez vivre que pour l'Amour. Vous n'avez la vérité que par la Vérité. Tout ce que vous entendez vient de la lumière de Dieu. Vous êtes en ma lumière. Le tout de mon Tout est venu de mon Père et vous êtes le 'je t'aime' de mon Père. Il faut que vous soyez dans votre amour. Plus vous allez me donner, mes enfants, vos souffrances, plus vous allez me donner vos erreurs, plus vous allez me donner ce qui a fait de vous des enfants de souffrance, je vais vous ouvrir à la Vie.

Le Saint-Esprit va vous montrer ce que vous avez accepté à cause des tentateurs. Tout ce qui est en moi va vous aider. Vous allez comprendre que par la puissance du Saint-Esprit vous êtes en présence de votre souffrance, et vous allez réaliser qu'un tentateur veut se servir de vous pour maintenir la souffrance dans ce monde. Vous avez en vous l'amour de mon Père. Vous, mes enfants, refusez le tentateur. N'acceptez plus qu'il vole vos mouvements de vie malades, n'acceptez plus d'être aveugles et sourds. Votre refus, mes enfants, arrêtera ses manœuvres.

Et donnez-moi de l'amour, dites-moi merci, je suis votre Rédempteur, je suis le Sauveur. C'est moi qui ai pris le mal et l'ai envoyé là où il ne doit plus vous nuire. J'ai le pouvoir d'envoyer le tentateur au pied de ma Croix. Utilisez la Parole de mon Père, et moi, son Fils, j'accomplirai tout par amour. Vous êtes de mon Père et je suis venu pour servir. Alors, mes amours, dites-moi merci d'envoyer ce tentateur au pied de la Croix. Je vais vous donner des guérisons, je vais couper des chaînes. Il faut que vous soyez devant la Vérité pour dire la vérité. Pour dire la vérité, mes enfants, il faut que vous receviez des guérisons. Votre chair est si meurtrie. Vous êtes incapables, mes enfants, sans mes grâces, de vous accomplir.

Ma Mère, l'humble Marie, elle a été comblée de toutes grâces. Allez vers elle, elle vous donnera des grâces. Tout ce que vous entendez, vous devez l'accepter et faire de votre quotidien une vie d'amour. C'est aimer votre Dieu de toutes vos forces, de toute votre âme, de tout votre esprit, de tout votre cœur que de dire : "Merci, Marie, de nous donner des grâces." Je vais, enfants d'amour, étendre ma miséricorde sur tous les enfants. Laissez-moi me servir de vous afin que les esprits impurs se retrouvent au pied de ma Croix.

Ce temps, mes enfants, a été voulu par mon Père. Vous avez tous été choisis. Je prépare un monde d'amour avec des enfants voulant être amour. Je ne perdrai aucun enfant, car je sais qui porte un oui en lui. Je connais les enfants de mon Père, car mon Père m'a tout donné. Avant que vous soyez en ce monde, vous étiez en moi. Vous êtes en ce monde pour vous accomplir. Je me suis accompli devant mon Père pour vous montrer que vous devez vous accomplir devant votre Père. J'appelle mon Père, votre Père, parce que je connais votre oui. Il est petit, mais il est vrai. Tout ce que vous êtes, vous l'êtes par amour pour mon Père.

Voilà pourquoi, par la puissance du Saint-Esprit, je suis venu dans votre vie, votre vie qui m'a laissé seul dans ma Vie, car vous êtes ma Vie. Vous m'avez laissé souvent seul en vous. Je viens vers vous dans votre monde qui a fait de vous des enfants qui ont des pensées qui ne sont pas de mon Père; votre regard n'est pas le regard de mon Père; votre écoute n'est pas l'écoute de mon Père; vos paroles ne sont pas les paroles de mon Père. Mes enfants, vos actions ne sont pas les mouvements de mon Père; votre amour, votre amour, mes enfants, est si blessé que je ne peux vous présenter à mon Père tels vous êtes.

Voilà pourquoi je veux tout prendre de vous. Je veux prendre vos pensées, je veux prendre votre écoute, votre regard, je veux prendre vos paroles, vos actions et vos sentiments. Je veux tout de vous et je vais arracher le mal, je vais purifier de mon feu d'amour tout ce que vous allez me donner. Je vais vous redonner votre état d'enfants de Dieu. Vous êtes les enfants de la Divine Volonté. J'appelle mon Père à venir à moi, j'appelle les descendants de la Promesse.

Enfants d'amour, je vous ai donné ma Vie, je vous donne ma Vie. Je vis encore ma Passion, mes enfants. Je vous la présente comme un don d'amour, et ce don d'amour, mes enfants, ira jusqu'au bout. Tout ce que vous êtes, c'est mon Oui à mon Père : «Ta Volonté, Père, pas ma Volonté.» Votre volonté, mes enfants, je la veux. Je vais la plonger dans mon Sang, et dans mon Sang elle apprendra qui vous êtes : enfants de la Divine Volonté, non pas la volonté humaine. Votre chair doit, mes enfants, reconnaître qu'elle appartient à mon Père; votre chair doit savoir qu'elle n'est pas à la volonté humaine.

Ce que je suis, je le suis par amour pour mon Père. Je me présente entre vos mains, je me donne en Chair et en Sang pour vous donner du courage, car les enfants de ce monde devront vivre la purification de la chair. Ils entreront dans leur tombe trois jours où ils devront regarder toute souffrance qu'ont dû endurer la pensée, le regard, l'écoute. Ce que je suis, enfants d'amour : tout ce qui est, est de moi.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Notre Dieu d'amour nous appelle à nous dépasser. C'est lui qui va nous amener là où nous, nous ne pouvons pas aller. Pour cela, il va falloir qu'on s'accomplisse.

Il m'envoie un peu partout, le Seigneur. Ce que nous avons vécu ensemble, d'autres ont vécu aussi ce moment. Ils ont avancé et ils nous ont fait avancer. Nos parents qui ont prié, qui 'ont' prié, ont fait en sorte de nous amener là où nous sommes aujourd'hui. À d'autres endroits, il y a des enseignements comme nous venons d'entendre; ils nous ont donné beaucoup de grâces, de guérisons et de libérations. Plusieurs ont accepté de ne plus vivre dans leur volonté humaine, mais ils ont aussi accepté quelque chose : de porter un manteau.

Au début, le Seigneur nous a fait porter un manteau d'amour; après, nous avons porté le manteau de la lumière; après, nous avons porté le manteau de la vie; après, il nous a fait porter un manteau de souffrances d'amour. Maintenant, il nous fait porter un manteau, un manteau de souffrances fait avec le cœur de tous les enfants, et ça, c'est depuis 2010. Lorsque nous avons reçu ce manteau, vous l'avez tous reçu. Lorsque nous avons accepté de souffrir avec les grâces du Seigneur, on s'associait avec tous ceux qui se donnaient par amour pour leur prochain.

Dieu nous a appris à passer les plus souffrants avant nous, et il a dit comme ça : «Vous recevrez au centuple.» Eh bien, c'est ce qui se passe. Lorsque nous acceptons un manteau, pour porter ce manteau il nous faut des grâces; alors, nous avons reçu une grâce spéciale : c'est la grâce de la présence en la Présence : nous, dans notre vie, en la présence de Dieu. Alors, nous consentons, par ce fait, de prendre tous les enfants du monde sur nos épaules. Si on se promène et qu'on voit un blessé dans la rue, on va l'aider.

Alors, Jésus, un jour, il m'a montré. Nous étions des tout petits enfants de deux à trois ans; on suivait le pas de Jésus. Ce que je voyais, c'était Jésus qui marchait, mais sans sandales. Il faisait un grand pas et là, j'ai vu d'autres qui ont enlevé des sandales et, pieds nus, ils ont fait le même pas que Jésus. Je savais que c'était les prêtres et nous, les tout petits; on était des milliers et des milliers. On a enlevé les petites sandales et là, on a suivi Jésus et les prêtres; et là, on s'est tous attachés, on se tenait tous à la petite robe.

On a monté une montagne, mais lorsqu'on montait la montagne, il y avait des toutes petites brebis blessées. On prenait les petites brebis, puis ont les mettait sur nos épaules et là, on montait, toujours ensemble. À un moment donné, la petite brebis était devenue une petite brebis très vigilante, parce qu'il a fallu qu'on la mette par terre, et là, on a monté. Et la petite brebis, c'était un enfant avec nous. On a monté la montagne. Là, on a regardé la montagne tous ensemble, on n'était pas encore arrivés au sommet, elle brillait, elle brillait, elle brillait, et on savait tous qu'on s'en allait là. Eh bien, c'était chacun de nous, ça.

Mais Dieu nous demande : «Êtes-vous prêts à porter sur vos épaules ces petites brebis blessées? Si nous sommes prêts à les porter, eh bien, nous serons prêts à porter ce manteau, car la présence dans la Présence : nous, dans notre vie en la présence de Jésus, nous serons capables d'aider nos frères et nos sœurs avec ce que nous sommes. Nous apprendrons à dire : "Je donne causes, choix et conséquences. Je refuse ce tentateur. Merci, Jésus, de l'envoyer au pied de ta Croix. Merci de guérir tout mouvement de vie malade. Merci, Maman Marie, de nous donner des grâces." Lorsque nous aurons une pensée qui n'est pas la pensée de Dieu : "Divine Volonté, arrache le mal, purifie-la de ton feu d'amour", car l'illumination des consciences est commencée.

Ce que Dieu fait, il le fait avec sa sagesse. N'allons pas dans les plans du Seigneur, nous n'avons pas encore acquis la sagesse. Laissons à Dieu ce qui est à Dieu, mais accomplissons-nous. Maintenant, il dit : «Tais-toi.»