Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Hohenzell, Autriche,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-19 – Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il faut apprendre tout cela pour avancer, pour éviter de toujours tomber dans la tentation. Si nous ne découvrons pas cet amour inconditionnel de Dieu pour nous, nous ne serons pas au service de Dieu, nous ne servirons pas les plus petits d'entre les petits, nous continuerons d'adorer qui nous sommes, d'adorer tout ce que nous créons avec nos mains. Nous serons toujours prisonniers de cette volonté humaine.

Il faut comprendre que le choix que nous avons fait de vouloir connaître le bien et le mal a été contre nous, et ce n'est pas seulement moi, toi, toi, toi, toi, toi, qu'il faut qu'ils connaissent cela, mais c'est tous les enfants de Dieu et nous les portons en nous. Nous faisons partie du tout de Dieu. Lorsque notre pensée sert notre moi, nous faisons souffrir tous nos frères et nos sœurs, nous faisons souffrir nos propres enfants, nos propres petits-enfants. Lorsque nous avons une seule pensée contre notre prochain, nous avons une pensée contre Dieu.

Notre Mère du Ciel, notre bonne Maman d'amour, nous demande de nous aimer les uns et les autres. Lorsque Jésus a dit : «Aimez vos ennemis, aimez ceux qui vous enlèvent votre nourriture, aimez ceux qui vous empoisonnent, aimez ceux qui vous fouettent, qui vous volent votre mari, votre épouse, aimez celui ou ceux qui ont violé votre enfant, aimez ceux qui vendent de la drogue, aimez ceux qui vous haïssent parce que moi je les aime, parce que ma Mère les aime. Je connais et ma Mère connaît que tout ce que le mal a fait en vous a été contre vous et ce mal vous a maintenus aveugles et sourds, ce mal vous a maintenus ignorants de la vérité.» Il n'y a qu'un seul ennemi : c'est l'ennemi de Dieu, de Dieu le Fils, c'est celui qui a jalousé le Fils de Dieu, Celui qui nous a donné sa Chair, car nous avons une chair et c'est la Chair Parfaite de Dieu.

Lorsqu'Adam fut sur la terre, voulu par Dieu, par Dieu, il a pris de la poussière, de la glaise, et il l'a formé. Ce que Dieu a fait, il a pris ce qui était en Adam et il a formé, car tout ce qui est en nous est ce qu'est la terre. Nous avons en nous tous les minéraux, nous avons en nous toutes les vitamines, nous avons en nous la chaleur de la terre, nous avons en nous l'eau de la terre, parce que la terre est à notre service. Mais l'homme et la femme ne doivent pas oublier que s'ils ne se conduisent pas en enfants de Dieu, ils seront poussière. Nous ne devons jamais oublier que nous sommes créés et que nous ne sommes pas Dieu. Dieu, pour cela, a insufflé sa vie en nous, son souffle de vie, son amour, sa présence, et il l'a (souffle) mis en nous pour nourrir notre âme. L'âme est la vie qui nous montre que notre chair est en mouvement. Dieu donne toutes grâces à l'âme : la vie spirituelle. Elle, elle voit Dieu; elle, elle est en présence de Dieu. Lorsque son temple, notre chair, est obéissant aux lois de Dieu, lorsque la chair aime vivre les enseignements de Dieu, l'âme reçoit tout de Dieu. Elle est comme plongée dans un océan d'amour, un océan de grâces, et nous, nous avançons sur cette terre avec une chair meurtrie, souffrante, une chair qui se souvient.

Dieu ne cesse de nous donner des grâces afin que nous puissions avancer. Il nous dit : «Avancez, mes enfants, avancez. La voie est devant vous, ce chemin est le vôtre. Vous devez comprendre que Dieu vient parler en votre cœur pour vous montrer que la valeur de votre vie a une valeur inestimable pour Dieu. Ma Vie est en vous et vous êtes en ma Vie. Ensemble, vous devez avancer, vous devez écouter et vous devez aimer, vous devez refuser les tentations. Pour refuser les tentations, amours bien-aimés de mon Saint Cœur, je vais vous montrer que mon amour est puissant et que mon amour a été pour vous victorieux sur le mal. Il fallait, enfants d'amour, que vous viviez la souffrance; il fallait, enfants d'amour, que vous entriez dans vos conséquences pour ne plus vouloir la souffrance; il fallait que vous goûtiez à l'amertume que votre volonté humaine vous a fait connaître.

J'appelle tous les enfants inscrits dans le Livre de la Vie. Ce livre, mes enfants, a été écrit avec mon Précieux Sang. J'ai écrit votre vie, à moi de vous faire connaître votre vie. Aucune volonté humaine ne peut vous instruire. Vous prenez mon Corps, vous prenez mon Sang, et je vous nourris. Vous êtes la vie en ma Vie. Aujourd'hui, vous entendez la Volonté de votre Seigneur, parce que le temps de mon Père est devant vous. Soyez petits, soyez des petits enfants, afin que vous puissiez reconnaître que Celui qui parle est la Puissance. Personne ne connaît ce que vous, vous avez entendu. D'autres ont entendu les paroles, car je viens parler en leurs cœurs. Vous avez été nourris par eux, car lorsque je me sers des enfants qui se donnent à Dieu par amour pour leur prochain, Dieu les nourrit de son amour. Ils sont dans la connaissance de Dieu et ce qui était noir se laisse éclairer par l'Amour.

Ce que vous avez entendu, mes enfants, a été en eux. D'autres paroles se sont rajoutées à ces paroles parce que vous, vous avez été choisis pour le présent. Ne vous étonnez pas de ce que vous entendez, car ceux qui s'étonnent ont regardé en arrière. La vie est le présent. N'entrez pas dans vos pensées, car vos pensées se souviennent et ce qui est passé n'est plus présent. L'amour de Dieu guérit, mes enfants, au présent.»

Ce que Dieu nous fait comprendre, c'est que nous devons vivre le présent et ce n'est que dans le présent qu'on agit en Dieu. Si nous n'apprenons pas à être dans le présent, dans notre vie, nous ne serons pas en la Présence, en le Présent, avec un grand P. Dieu nous appelle afin que nous puissions être dans sa Vie à lui, pas dans notre vie à nous qui est souffrante. C'est seulement lorsqu'on est dans le présent de Dieu qu'on peut regarder ce qu'a été notre vie et ce qu'elle a été a débuté depuis Adam jusqu'à il y a une seconde. C'est Dieu qui fait que nous sommes à son écoute, rien ne vient de nous. Alors, demeurons chez nous. Arrêtons d'aller dans la pensée des hommes, des femmes qui ne sont pas en la présence de Dieu, car lorsque nous acceptons leurs pensées, nous sortons de notre vie et nous ouvrons une porte au tentateur. Si je ne veux pas que ma vie soit à Dieu, seulement à Dieu, eh bien, l'autre, lui, va la vouloir.

Nous sommes faits pour donner; alors, si nous ne donnons pas tout à Dieu, nous donnons à qui alors? À notre moi, et notre moi est au mal. Nous ne sommes pas créés pour être individualistes, être séparés des autres, nous sommes créés pour être un tout, être l'amour de Dieu. Oui, nous devons reconnaître que nous avons besoin des uns et des autres, mais assurons-nous que nous sommes présents en la présence de Dieu. Si nous sommes témoins qu'un seul de nos frères ou de nos sœurs, de nos enfants, petits-enfants, ne sont pas dans le présent, alors donnons-les à Celui qui les a créés, lui les connaît, et passons par le Cœur de Marie pour avoir cette force. Elle, elle va nous donner la force de dire les paroles que Dieu est, en ce moment même de par le monde, en train de nous apprendre.

Marie sait que nous avons besoin des uns et des autres pour prononcer les paroles qui nous sont enseignées par Jésus : «Mon joug est léger et le vôtre est si lourd, donnez-le-moi.» Alors, donnons à Jésus : "Je te donne causes : la tentation, le mal; je te donne choix." Au lieu de prendre le chemin le plus petit pour arriver vers Dieu, on prend le grand chemin, mais on prend tout ce qui va avec : le mensonge, la jalousie, l'envie, la haine, la colère, la gourmandise, l'avarice, le pouvoir, la mort. Voilà ce que nous faisons lorsque nous sommes dans nos propres choix. Alors, donnons à Jésus : causes, choix et conséquences. Jésus veut nos maladies, pas pour être malade, il veut nous guérir et nous libérer de nos chaînes. Nous ne pouvons pas dire toutes les conséquences, on serait encore ici dans une semaine et encore, cela serait encore plus long, mais Dieu ne veut pas nous décourager. Alors Dieu, lui, donne à chacun de nous ce dont nous devons lui donner : ces paroles : "Je te donne causes, choix, conséquences." Nous devons les prononcer.

Dieu nous a donné son amour et il est gratuit. Il n'oblige pas. Alors, nous avons cette liberté, mais si nous n'utilisons pas notre liberté, alors nous continuerons encore sur notre chemin jusqu'au jour où nous goûterons l'amertume de notre vie, car Dieu attend, il attend que nous lui prononcions ces paroles. Elles ont été inscrites dans notre cœur; alors, prenons notre cœur et présentons-le à Marie. Elle nous donnera la grâce de prononcer ce oui à l'Amour : oui à Dieu, non à ma volonté humaine, la Divine Volonté, non pas la volonté humaine. Nous avons besoin des grâces de Marie pour renoncer à notre volonté humaine, car notre volonté humaine ne voudra pas nous quitter. Elle, elle écoute maintenant le mal, car nous lui avons laissé de la puissance.

C'est nous qui avons laissé notre droit d'enfants de Dieu entre son pouvoir et elle, comme elle écoute Satan, elle nous fait ressentir la douleur de notre liberté : "Tu n'es pas capable de te maintenir devant Dieu. Crois-tu que Dieu va te pardonner? Regarde ton prochain, il se croit meilleur que toi. Regarde ce que tu es devenu : un être incapable de se maintenir droit devant ses décisions. Tu ne veux pas faire le mal et tu tombes toujours dans le mal. Tu vas vers les sacrements et tu n'es pas digne de ces sacrements, car lorsque tu sors du confessionnal, tu n'es même pas rendu à ton banc que tu juges ton prochain ou tu penses à ce que tu vas faire chez toi. Tu n'es pas capable de te maintenir en présence de ce sacrement. Tu pries et tu n'as pas foi en ce que ton Dieu veut te donner, car tu gères sa Volonté, tu contrôles sa Volonté. Lorsque tu demandes, tu veux avoir ce que tu demandes. Regarde, crois-tu que la vérité est dans la Bible? À quoi te sert d'obéir au Pape, il y a que de la souffrance dans l'Église. Regarde les prêtres : ils ne sont pas capables d'être purs; tu les juges, alors que ce n'est pas le prêtre qui fait une faute, c'est la volonté, car ce que tu vois en lui, c'est ce que tu es. Parce que tu es un juge, eh bien, je te maintiens dans tes jugements et je t'étoufferai jusqu'à vouloir la mort éternelle." Voilà notre volonté humaine, voilà les pièges dans lesquels nous avons tombé.

Il n'y a rien qui soit le mal en Dieu, Dieu est bon, Dieu pardonne, Dieu, c'est la miséricorde. Il vient nous montrer comment aimer l'enfant que nous sommes en nous. Nous sommes les petits bébés de Dieu, nous lui appartenons. Nous n'appartenons pas à la volonté humaine, nous appartenons à la Divine Volonté : Divine/Dieu, Volonté/Pouvoir. Alors, croyons en ce que nous sommes. Nous avons le pouvoir de Dieu en nous et il est miséricorde. Lorsque nous acceptons de nous pardonner, eh bien, nous acceptons de pardonner à tous les enfants de Dieu; là, nous n'avons plus honte de nous présenter devant notre Père, devant notre Sauveur, devant la Lumière, le Saint-Esprit, là nous devenons la vérité. Nous sommes la lumière en la Lumière, parce que Dieu l'a voulu. Alors, soyons toujours devant Dieu comme Dieu le veut, et consentons à apprendre ce que Dieu veut nous dévoiler.

Depuis 2001 que le Seigneur parle dans notre cœur à travers l'instrument que je suis. Il n'a pas besoin de ma volonté humaine, il n'a pas besoin de mes pensées. Ce qu'il attend de moi, c'est ce qu'il attend de vous : 'me voici', et il nous utilise. Vous et moi avons été entre les mains de Dieu parce que Dieu le veut, et nous allons continuer jusqu'au jour où notre chair sera totalement purifiée, pas avant. Nous devons tous consentir à connaître les souffrances du monde comme si c'était nos propres souffrances. Nous devons prendre pour nous tous les mauvais choix comme si c'était nous qui les avions faits, car nous vivons tous les mêmes conséquences, car nous connaissons ce qu'est d'être assujettis au péché. Tant que notre chair sera une chair corruptible et qu'elle ne deviendra pas incorruptible, là, nous serons avec nos frères et nos sœurs dans la souffrance parce que nous ne pouvons faire autrement. Nous avons été créés en un instant et nous avons tous dit oui à la volonté humaine, sauf Marie.

Saint Joseph, Saint-Joseph, dans sa chair meurtrie, dans sa souffrance, a accepté les grâces, a accepté de prendre près de lui la Vierge des vierges, la Choisie. Cela n'est pas venu de lui, cela est venu de la présence en la Présence. Il acceptait la Volonté de Dieu, il se laissait nourrir par les grâces de Dieu, il regardait son prochain et il ne jugeait pas son prochain. Lorsqu'il faisait des travaux, il les faisait avec tellement d'amour que lorsqu'il demandait un prix à une personne pour le travail qu'il avait fait avec amour, et que cette personne ne voulait pas lui donner la valeur de son travail, de son amour, ce qu'il présentait devant la personne ce n'était pas la table, c'était son amour : "Prends mon amour, il est gratuit." Joseph était ainsi. Voilà pourquoi il a été choisi pour être le doux et humble époux de Marie.

Aujourd'hui, nous pouvons regarder Joseph comme étant notre modèle d'amour : un homme dans sa volonté humaine qui aime inconditionnellement ses frères et ses sœurs, un homme qui aime inconditionnellement la Choisie de Dieu sans savoir qu'elle était la Choisie de Dieu. Il a accepté le manteau de la honte avec tellement d'amour par un seul regard sur Marie, lui démontrant qu'elle était devant lui comme quelqu'un qui n'avait pas attendu son amour. Alors, son attente a été récompensée, car il a été choisi pour être le père sur la terre pour Dieu le Fils. Avant même qu'il soit au monde sur la terre, il avait été choisi, car Dieu savait. Il savait que cet homme, dans sa volonté humaine, ne voulait plus sa volonté humaine, il savait que cet homme était rempli d'une bonne volonté et Dieu le nourrissait de sa Volonté.

Adam est l'homme qui nous a fait connaître la souffrance. Joseph est l'homme qui nous a ouvert à la porte de l'Amour, à Celui qui va nous redonner notre état d'enfants de Dieu : la Divine Volonté. Il fallait que Joseph, l'humble Joseph, soit plus bas que tous les hommes, et Joseph s'est vu comme étant l'être le plus indigne de tous les enfants de Dieu parce qu'il devait prendre soin de Dieu le Fils. Voilà Saint-Joseph, voilà l'être d'amour que Dieu a choisi pour nous. Nous devons regarder ce modèle d'amour et nous en nourrir. Tout ce qu'il a obtenu par son humilité nous a gagné la place d'entendre notre cœur, car il a servi le Cœur de Marie sans jamais attendre de Marie qu'elle prie pour lui qui a connu la volonté humaine. Voilà la pureté de Saint-Joseph, homme qui a voulu tout accepter par amour pour Dieu. Sa souffrance lui a valu d'être dans les bras de Jésus au moment où il devait passer de la volonté humaine à la Divine Volonté. Alors, soyons amour et conduisons-nous en êtres d'amour.

Maintenant, le Saint-Esprit est vraiment à l'heure. Amen. Alléluia!