Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à La Motte, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-03-07 - P.M.  Partie 2 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur m’a beaucoup enseigné. Il m’envoie partout, et c’est lui qui me dit où aller. Parce que lorsque j’ai eu terminé le quatrième (volume), il a dit : «Maintenant, ma Mère va ouvrir les cœurs. On va te demander et tu iras, tu iras là où Dieu veut que tu ailles.»

Lorsqu’il m’a dit que j’étais pour venir en France, c’est probablement un an, Nicole? À peu près? À peu près un an, et rien ne se produisait. Alors, au mois d’octobre, septembre-octobre, nous avons été à l’Île-du-Prince-Édouard. Juste à la pointe de l’Île-du-Prince-Édouard, nous étions sur le bord de la mer et là, il a dit : «Regarde, de l’autre côté je t’envoie. Tu iras et je leur parlerai.»

Là, on se disait : "Mais comment on va faire? Qui va nous voyager?" On faisait souvent des… on s’amuse un petit peu : "Ah, on va s’en aller avec nos boîtes, on va s’installer, puis alors on prend nos boîtes sur nos épaules, on s’en va à une autre place"; alors là, Dieu devait bien ricaner : «Attendez, mes filles.»

Alors, le lendemain, nous avons rencontré une personne qui est française. Il s’appelle Serge, il vient de la Provence, et lui a été touché par le Seigneur. Il a dit : "Lorsque je ne serai pas au Canada – il est six mois au Canada –, je vais m’en retourner en France et je travaillerai pour toi." Et lorsqu’il a entendu, il a dit : "Moi, je vais vous voyager". C’était le temps, là. On venait de trouver ce qui nous manquait : comment voyager. Et le Seigneur nous le dit, quand le Seigneur fait un mouvement, il fait le mouvement juste avant de partir.

Dieu le Père, à la communion, parce qu’à la communion, je vois : mon âme me montre mon ciel; alors j’étais en présence de la Trinité. Voyez-vous, c’est lorsque je pénètre : le petit enfant, deux, trois ans, pénètre dans une grande lumière; cette lumière, elle est transparente, lumineuse et opaque en même temps. Ne me demandez pas comment je peux (le) décrire? Comment vivre ça, ce n’est pas explicable. Là, je pénètre, et là, il y a la Trinité : trois personnes. Dieu le Père m’a déposée dans sa main, mais il y en avait d’autres, il y avait d’autres enfants déjà dans la main. Alors, il dit : «Je vous envoie : les enfants du Canada vont aller et vous allez être parmi mes enfants qui ne me regardent plus, qui ne m’écoutent plus et qui ne veulent plus de moi. Je leur parlerai dans leur cœur et ils sauront que c’est moi leur Père.» À la dernière communion, c’est Dieu le Père. Il a dit : «Mon Fils parlera dans leur cœur.»

Alors, voyez-vous, au tout début lorsque j’ai les yeux ouverts, comme en ce moment même, nos cœurs se sont tous réunis en l’Église : Jésus, et j’entends au même moment que vous ce que je dois dire. Lorsqu’il dit, comme dans une tournée, je vais vous raconter une histoire, je ne sais pas quelle histoire il va raconter. Les mots me sont connus à la seconde. S’il arrêtait, je n’aurais plus rien à dire; alors, il nous maintient dans son mouvement d’amour. Lorsque les yeux sont fermés, oh, tantôt j’ai laissé les yeux ouverts, il ne m’a pas dit de fermer les yeux, mais c'était Jésus qui parlait.

Lorsque j’ai les yeux ouverts, c’est votre cœur, ensemble, qui fait l’enseignement : votre cœur fait l’enseignement. Nous devenons des instruments : moi et vous, vous et moi. Je ne suis pas en avant sans que vous, vous soyez en avant. Nous formons un tout et Dieu se sert de nous pour l’Église, pour les enfants du monde entier, non seulement de la France et du Canada : du monde entier.

Mais il y a des mouvements qui sont pour la France, pour le monde entier. À l’instant où je suis arrivée en France, la première rencontre fut faite avec Marie-Madeleine : il a parlé de Marie-Madeleine. Alors tout ça fait que c’est particulier à la France, pour tous les enfants du monde. Il se sert des cœurs, ici, pour tous les enfants du monde entier. Il a parlé à un moment donné de la France et de la Nouvelle-France : Louis XIII qui nous envoya de l’autre côté pour faire la Nouvelle-France : Nouvelle Jérusalem.

Tout cela nous a été expliqué. Je ne connaissais pas ça plus que vous. Alors tout ça, il nous l’a fait connaître à un certain moment durant que j’étais ici, en France, et cela continue. Nous avons eu une rencontre, la dernière rencontre a été dans une église. À quel endroit, Marie-France?

 

Marie-France : Guillac.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Guillac! Et à Guillac, est-ce que c’était hier?

 

Marie-France : Avant-hier.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Avant-hier! Avant-hier, dans l’après-midi, nous avons eu une rencontre et après, cela s’est terminé par la messe : l’Eucharistie. À l’Offertoire, Jésus m’a dit : «Donne-moi ta vie». Alors, je lui ai donné ma vie. «Donne-moi toutes celles qui sont en toi», alors, je lui ai donné toutes les vies qui sont en moi, qui sont en Jésus. Il a dit : «Maintenant, avance». Alors, tout fut déposé. Comme à l’Offertoire, il a dit : «Va», et là, j’ai vu Maman Marie à genoux, et je me suis (vue). La petite fille de deux ans, trois ans, était à genoux et là, elle, c’est rare qu’elle fait ça, elle a couvert mon être de son manteau et j’ai disparu, et j’écoutais la messe. Je rouvre les yeux : obéissance au prêtre qui est Jésus.

Au moment de la communion, lorsque j’ai reçu Jésus d’amour, il m’a demandé : «M’aimes-tu?» Ah! j’ai dit : "Oui." Il m’a redemandé : «M’aimes-tu? Dis-le-moi.» Alors là, j’ai dit oui avec ma bouche, parce que je le dis en dedans de moi, mais là, je l’ai dit : "Oui, Jésus, je t’aime." Alors, il a dit : «Regarde.» Je ne voyais rien, je ne voyais rien, je ne voyais rien. Cela a duré comme ça et là, à un moment donné, j’ai vu une hostie, une grosse hostie, pas une petite, une grosse hostie, et il y avait des rayons qui sortaient, des beaux rayons qui sortaient de l’hostie. Ah! c’était tellement beau! Et c’est comme si le centre de l’hostie se laissait voir. Alors est venue une colombe. Cette colombe portait quelque chose dans son bec. Elle est venue déposer quelque chose dans ma main. Ma main : j’ai vu comme ma main ouverte et là, il y avait un petit papier et ce petit papier, je sais, je l’ai ouvert et j’ai vu les lettres ‘je t’aime’ et en dessous : 'l’Amour' avec un grand A.

Alors, l’Amour, Dieu, venait de nous dire : «Je t’aime.» Il a dit : «Cela n’est pas seulement pour toi, mais pour eux. Va le leur dire.» J’ai consenti, mais pas avec ma voix, mais avec ce que j’étais, là. Je savais que je consentais, mais ça, c’est un mouvement que je ne contrôle pas. Alors, après, la colombe était dans son envol, elle a comme reculé et elle a fait ça, (un tour sur elle-même) et là, toutes ses ailes se sont ouvertes et une belle dame, une belle dame était devant moi. Elle était tellement belle : elle était grande, elle portait une robe toute blanche, ses manches n’étaient pas ouvertes comme ça, elles n’étaient pas non plus comme un collant, mais elle (les) portait, tiens, comme ça, toutes blanches; elle était comme drapée, elle avait comme un châle, et ce châle avait comme peut-être une couleur à peine plus foncée que le blanc, là.

Elle avait les yeux…, la colombe avant même qu’elle se recule, j’ai vu ses yeux, ses yeux étaient beaux. Cela m’a donné de la joie. J’aurais tout le temps voulu regarder ses yeux, à la colombe, mais là, je savais que les yeux que je voyais, c’était les yeux que j’avais vus. J’ai aimé regarder, c’était tellement beau, c’était tellement présent!

Elle avait la peau comme blanche, tellement belle, tellement pure et elle souriait. Ah! son sourire était beau! Et ce qui sortait, c’était sa majesté : elle était majestueuse, elle était tellement belle, mais sa beauté, je la voyais dans tout ce qu’elle était : comme une reine, pas orgueilleuse, oh! pas orgueilleuse; non, c’était comme si son sourire s’harmonisait avec tout son être qu’elle était. Mais je ne savais pas qui elle était, mais je savais que ce n’était pas la Sainte Vierge, pourquoi? Je ne sais pas pourquoi. Je savais que ce n’était pas la Sainte Vierge.

Après, je suis revenue à moi et le prêtre a béni et Dieu a dit : «Reçois ma bénédiction». Alors, j’ai fait le signe de la croix

et là, à un moment donné, j’ai été voir le prêtre lui demander la permission s’il consentait à ce que je dise ce que j’avais vu. Alors, quand tout fut accompli, on s’est en allé tout le monde.

Alors, le lendemain, on s’est levées. Le programme, c’est quoi? On va te faire visiter, on va aller à la messe le matin. Après ça, il y avait aussi une rencontre. On devait aller dans le groupe de prières, et tout. Elle dit : "Est-ce que la messe c’est important? Sinon, on ne peut pas aller au groupe de prières." Oh! ça montait en moi, puis ça montait; ah! j’ai dit : "Il faut aller à la messe. Groupe de prières, c’est important, mais Jésus, c’est important, très important." Alors, c’était tranché : on allait à la messe. Alors là, comme nous étions à une demi-heure de l’endroit, à Sainte-Anne D’Auray. Sainte-Anne D’Auray, alors là, je suis partie avec Marie-France à Sainte-Anne.

 

Marie-France : Ce n’était pas prévu comme ça, hein?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non, pas du tout.

 

Marie-France : On avait une journée de prévue. On n’avait pas de nouvelles, au début, cela a été accepté. Puis, comme j’ai téléphoné deux fois, ça ne répondait pas, oh! j’ai dit : "Seigneur, il y a quelque chose qui ne va pas." Et quand j’ai eu la personne en question, elle m’a dit : "Non, on peut bien l’accueillir pour dormir et pour manger, mais pas pour l’enseignement." Eh bien, je m’étais dit : "Seigneur, s’ils ne peuvent pas nous recevoir, ce sera Sainte-Anne D’Auray" et ce n’était pas prévu, c’est vrai.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh oui! ah! c’est l’agir de Dieu, ah oui!

Alors, nous sommes arrivées à Sainte-Anne D’Auray et nous avons été accueillies par madame Noël. Ah! quelle surprise lorsqu’on l’a embrassée : elle sentait les roses! Nicole l’embrasse : "Elle sent les roses!" Alors là, on lui dit : "Bien, vous sentez les roses." On ne pouvait pas garder ça pour nous, alors on le lui a dit et on est rentrées et j’ai été voir Jésus.

J’ai été adorer mon Jésus d’amour et après, j’ai été voir Grand-maman, Grand-maman sainte Anne. Alors là, elle m’a indiqué où je devais me mettre à genoux. Hey, je n’osais pas, hein, il y avait des personnes. Elle a dit : «Avance.» Alors, j’ai avancé, je me suis mise à genoux, juste où on met les chandelles. Alors, elle a commencé à parler, Grand-maman. Elle a dit : «Obéissance à mon (Petit)-Fils, tu dois obéir à mon Dieu. Sois petite, tu dois faire ce qu’il te demande.» Oh! c’était l’obéissance, hein! Grand-maman, quand elle parle, elle parle avec une voix douce et autoritaire : c’est une grand-mère!

Alors là, oui, oui, oui; je vais vous dire la vérité, hein, parce que si je ne dis pas la vérité, je vais me le faire dire, hein?

J’ai dit à Nicole : "Nicole, on fait ce qu’on a à faire et après la France, c’est autre chose. Nous ne reviendrons plus en France là, ils vont en avoir assez eu." Ah! ça, c’était ma volonté humaine, hein? Alors, Grand-maman, elle a dit : «Tu reviendras en France.» J’ai dit : "OK, Grand-maman" et après, elle a parlé, elle a dit : «C’est moi la grande Dame.» Alors, c’était Grand-maman. Elle a dit : «Ma fille, tu devras prier, prier, prier pour la France. Tu viens de la France et tu te donneras. Le Canada priera pour la France. Il y aura de grandes souffrances.»

Ah! Seigneur, je vais laisser parler Grand-maman.

 

Grand-maman sainte Anne : Tout ce que vous êtes, vous l’êtes pour votre Dieu. En chacun de vous, vous portez la Présence et la Présence, petits enfants, vous a été donnée par Dieu le Père. Combien d’entre vous êtes incapables de demeurer fidèles à la Présence même de votre doux et adorable Dieu? Vous devez apprendre à vous maintenir dans la grâce de la Présence, vous devez, petits-enfants aimés de mon Petit-Fils, être totalement des êtres accomplis en ces temps. Ces temps vous montrent la Volonté de Dieu, ces temps vous montrent à être toujours fidèles à la grâce de Dieu. Dieu vous apprend à être des petits enfants, Dieu vous conduit à vivre la miséricorde : votre miséricorde.

Le Ciel regarde cette terre, cette terre bénie, voulue par Dieu. Lorsqu’on vint ici sur cette terre, Dieu avait béni cette terre afin que vous soyez tous unis par cette bénédiction. Dieu envoya ici ses choisis pour vous instruire, pour vous apprendre à être fidèles aux dix commandements de Dieu, pour vous apprendre à avoir le cœur dans le Cœur même de Dieu. Ce que vous êtes, enfants d’amour, vous l’êtes par la grâce. C’est la grâce qui vous maintient afin que vous puissiez avancer. Tout ce qu’il y a autour de vous est le résultat de vos choix.

Soyez paternels envers vos fils, soyez maternelles envers vos filles. J’ai attendu si longtemps et j’ai été récompensée, car j'ai mis au monde la douce Marie : votre Mère du Ciel et de la terre. Tout regard qui se tourne vers moi, se tourne vers ma Fille bien-aimée. Toute demande qui m’est offerte, moi je l’offre à Dieu afin que vous puissiez être comblés des grâces du Ciel. Ne regardez pas demain, accomplissez-vous au présent.

La prière, mes enfants, la prière vous ouvre à l’appel de Dieu. La petite chapelle a été voulue de Dieu. On vint me prier et j’accordais les grâces que Dieu voulait donner aux enfants. La piété est venue en la vie de tous ceux qui portaient de l’égard envers la Grand-maman de Jésus. On venait en grand nombre pour prier le Ciel d’avoir la grâce de la guérison par mes intercessions. Petits enfants, voici que je vous demande de venir en grand nombre pour prier dans le sanctuaire demandé par le Ciel pour obtenir la paix : la paix en votre cœur.

Il y a tellement de tumulte en votre être, que lorsque vous venez prier, vous vous laissez prendre par les ruses de Satan qui vous trouble. Vous venez me donner vos enfants, mais vous avez peur pour eux. Vous devenez des enfants incapables de vous abandonner dans la grâce de la lumière de Dieu. Dieu, votre bon Papa, sait ce qui est bon pour vous. Beaucoup de miracles vous seront accordés. Il y aura des guérisons comme il y a eu des guérisons.

Le Ciel vous demande d’être fidèles aux dix commandements de Dieu. Le Ciel vous demande de vivre les enseignements de mon Petit-fils adorable : notre Dieu. Il faut que vous soyez fidèles à la grâce de Dieu dans l’obéissance. Soyez obéissants, mes enfants. Petits, vous devez être. L’enfant est maître de ses grâces lorsqu’il croit qu’il est grand; l’enfant qui reconnaît qu’il est petit ne se rend pas maître de ses grâces : il donne à Dieu ce qu’il reçoit. Vous qui avez reçu beaucoup, donnez à Dieu ce que vous avez reçu : la grâce de vivre dans la piété. Oui, vous qui avez reçu beaucoup, louez, et chantez la grâce qui montera vers Dieu et une pluie tombera sur la France.

Je vous dis tout cela, petits enfants, afin que vous soyez dans la paix. De grands événements viennent pour ceux qui ne veulent pas de Dieu. Il y aura de la souffrance, de très grandes souffrances. À nouveau le sang coulera.

Ne vous mettez pas dans votre volonté humaine, cela causerait en votre intérieur des mouvements qui réveilleraient des mouvements qui sont venus en vous par votre ignorance et vous tomberiez dans la peur. Demeurez dans la paix, petits enfants, par la grâce. Venez prier la Mère de Dieu le Fils, ma Fille bien-aimée, devant votre Grand-maman. Je me penche sur vous, vous les adorateurs de Dieu, vous qui acceptez de vous incliner devant la Présence de votre Dieu. Lorsque vous acceptez de vous incliner plus bas que tous ceux qui demeurent debout, se disant être dans leur droit d’enfants de Dieu, vous vous maintenez comme les enfants de ce monde[1] et la douleur augmente. Petits enfants d’amour, n’avez-vous donc pas vu Jean-Paul II, votre pape, qui s’est incliné malgré sa maladie? Il avait de la difficulté à se tenir debout et il s’inclinait devant Dieu. Il priait avec son cœur, il avait confiance en ce qu’il était : un enfant choisi de Dieu. Il était connaissant de sa souffrance humaine et il accordait à Dieu toute la place. Il ne jugeait pas ceux qui le condamnaient, il priait pour eux. Il consolait ceux qui pleuraient : les tout-petits de ce monde. Il était des tout-petits de ce monde. Lui qui était à la tête de l’Église se disait être le plus petit de ce monde, indigne devant tant de grâces.

Ma Fille Marie a consolé son petit cœur d’enfant. Le Ciel lui accordait l’humilité et il s’y plongeait. Il était l’artisan de paix qui voyageait de pays en pays, étant témoin des grâces que le Ciel lui accordait : l’humilité. Soyez humbles, petits enfants, Grand-maman va vous aider. N’ayez pas peur de demain, le Ciel est avec vous, petits enfants. Je suis avec vous. Lorsque vous venez voir Grand-maman, je vous regarde et je prie avec vous. Soyez la grâce dans la Grâce.

Maintenant, petits enfants d’amour, continuez à écouter l’Esprit de Dieu afin que vous soyez prêts pour demain.

 

La Fille du Oui en le Saint-Esprit : Lorsque j’ai entendu cela, elle m’a dit après : «Va voir mon Fils, mon Petit-fils, et va l’adorer.» Alors, j’ai été adorer Jésus et il m’a donné des grâces d’obéissance encore; après, il m’a envoyée à sa Mère.

Alors, j’ai été voir Maman Marie et Maman Marie m’a dit de faire tout ce que son Fils me demanderait, et elle m’a dit de ne pas analyser et de m’abandonner. Alors, j’ai été voir aussi saint Joseph parce que Maman l’avait mis dans mon cœur et saint Joseph m’a bénie, et il a béni la famille. Nous devons être obéissants.

Je n’ai pas compris, avant d’aller là, ce que j’avais vu en moi. Lorsqu’à mon réveil, j’ai refermé les yeux, j’ai vu des gens qui se battaient, j’ai vu des gens qui violaient, il y avait des épées, on perçait la chair avec des épées; après, un autre mouvement : plusieurs se battaient entre eux, c’était un déchirement, on coupait la tête des personnes. Alors, j’ai compris que c’était ce qui s’était passé avant.

On a voulu détruire l’Église et on veut encore détruire l’Église, mais Grand-maman est là, Maman Marie est là, Jésus nous guide. Nous sommes ensemble et c’est ensemble que nous allons prier. Nous n’avons pas à avoir peur des attaques de Satan. C’est lorsque nous sommes dans le jugement, c’est lorsque nous sommes dans la peur que nous donnons de la corde à Satan. Si nous nous maintenons dans la joie d’être des petits-enfants de Grand-maman, eh bien, Satan ne pourra pas se mettre entre nous et les autres. Il faut apprendre à s’aimer, il faut apprendre à s’entraider.

Grand-maman nous a parlé tantôt de la fertilité, hein? Alors nous devons soutenir par la prière les avortements; nous devons soutenir par la prière les enfants qui se servent de la contraception; nous devons soutenir les enfants qui ne veulent plus de leurs enfants et qui les quittent par plaisir; nous devons prier pour eux et garder notre paix en sachant que Grand-maman est là. Puisqu’elle nous a parlé de fertilité, c’est parce qu’elle sait tout, elle sait ce que nous vivons; alors, nous devons vivre dans ce mouvement d’amour qu’est notre Grand-maman, Maman Marie ne cesse d’intercéder pour nous auprès de la Trinité : elle connaît tous nos besoins.

Alors, allons devant Grand-maman et prions : elle est là. Savez-vous qu’elle a pris soin de vous au Canada? Vous savez, lorsqu’on est une personne qui dit entendre à l’intérieur, nous sommes très persécutés. On ne veut pas croire, on ne vient pas voir, mais on accuse, on essaie d’arrêter. Alors, on essaie de m’arrêter beaucoup au Canada, beaucoup, et Jésus me prévient et Maman aussi me le dit, mais le Ciel est toujours là.

Il y a deux ans, j’ai été portée par un mouvement de Dieu : j’ai été voir mon évêque. Il s’est arrangé, Jésus, pour que j’aille voir mon évêque. Vous savez, des moments, je voudrais être à la maison, vivre ma vie comme avant. Alors, avant, lorsque j’étais très fatiguée, j’ai dit : "Je vais aller voir mon évêque. Je vais tout lui dire, puis il va me dire : ‘Reste à la maison, ne fais plus ça.’  Merci mon Dieu, c’est ce que je veux."

Là, quand je faisais ça, eh bien, il m’arrivait que des gens me disaient qu’ils avaient été convertis. Alors, encore une chute! Je disais : "Là, je l’appelle. Là, je ne peux plus continuer, Seigneur, c’est trop pour moi, c’est trop grand pour moi. Je vais l’appeler et là, il va dire d’arrêter." J’étais sûre qu’il était pour le faire. Alors, j’ai appelé, mais il ne m’a pas rappelée. Je n’ai jamais eu son rappel.

Mais à un autre moment donné, c’est moi qui ai (été) envoyé vers lui et là, j’étais toute petite. J’arrive avec les livres, mais j’étais avec mon père spirituel, j’étais avec un prêtre qui avait été pour lire tous les livres; alors, on se présente devant l’évêque, et là, il écoute, il écoute, puis il écoute, tout l’après-midi à écouter et, à la fin, il nous a bénis. Il a dit : "Je vais prendre une attention toute spéciale pour vous parce que vous êtes de mon diocèse." Alors, je sais que mon évêque prie pour moi et je sais qu’il est au courant de tout, mon évêque.

Mais là, il fallait que je vienne en France aussi. Bon, nous avions une rencontre à Sainte-Anne-de-Beaupré. Vous savez, Sainte-Anne-de-Beaupré, hein, les marins qui venaient d’ici qui ont été sauvés par Grand-maman sainte Anne; on a bâti une chapelle, un sanctuaire, et c’est très, très fréquenté. Alors, j’avais une rencontre avec les jeunes cette journée-là au gymnase; le séminaire de Sainte-Anne-de-Beaupré, c’est tout près, là. Mais, à la basilique, le Cardinal Ouellet, le Primat de l’Église au Canada, était là pour préparer le Congrès Eucharistique de 2008.

Alors là, il ne fallait pas, hein, il ne fallait pas démontrer que cela avait été comme préparé : la rencontre de la Fille du Oui avec monseigneur, oh!...  Alors, quelques semaines avant, on lui fait procurer les livres en l’informant que la date avait été (choisie) avant qu’on sache que lui allait là. La personne a dit : "Il ne viendra pas, il est trop occupé, mais on va lui envoyer une invitation, parce que ça ne se fait pas sans inviter le Cardinal, on est là tout près."

Avant que la journée commence, nous avons été à la messe. J’ai été voir Grand-maman Sainte-Anne et Grand-maman sainte Anne, elle m’a dit : «Aujourd’hui, tu recevras un cadeau pour toi, Francine, et pour la Fille du Oui à Jésus.» "C’est bien Grand-maman"; elle m’a dit d’être obéissante à son Petit-fils.

Alors là, j’ai été à la messe; une fois que la messe fut terminée –, ça, c’est au sous-sol; en haut, c’était le Cardinal qui était là; en bas, les petits, bien là, nous on a eu une messe – nous sommes partis pour aller manger au gymnase du séminaire. On ne trouvait pas le chemin, on s’est retrouvés en haut, on s’est trompés, on est redescendus en bas, voilà qu’on entre en même temps que trois personnes habillées en noir qui étaient très impressionnantes. Les gens disent : "Monseigneur Ouellet!" Moi, je n’avais jamais vu Monseigneur Ouellet.

Depuis plusieurs années, avant même que j’entende : je ne regarde plus la télévision, je n’écoute pas la radio, je ne lis pas les journaux, absolument, je ne lis rien. Alors, je n’avais jamais vu le Cardinal Ouellet. Voilà qu’il était là! J’étais contente. Tout le monde a donné la main. Mais il y en a un qui dit : "Monseigneur Ouellet, il y a la Fille du Oui à Jésus ici." Ah! alors là, ils m’ont montrée. Lui, il m’a redonné la main : je lui ai redonné la main. Alors, hein, qu’est-ce qu’il voulait que je dise? "On va prier pour vous, Monseigneur". Je n’avais rien à dire.

Alors là, je suis partie au fond du gymnase avec les personnes qui avaient organisé la rencontre, eux autres s’assoient, et puis là, ils me préparent quelque chose; mais comme je n’avais pas commencé à manger, on vient me dire : "Le Cardinal veut te voir." Ah! alors les autres : le gros sourire. Alors là, il a fallu que j’y aille, hein, mais je ne savais pas quoi dire à un cardinal. Qu’est-ce qu’on dit? On ne le sait pas.

Je suis partie et il m’a invitée à m’asseoir, et j’ai dîné avec Monseigneur. Au milieu du dîner, un prêtre est arrivé, puis il a dit : "Monseigneur, on vous attend en haut". Alors lui, il a dit comme ça : "Bien, j’ai dit à mes acolytes de vous avertir que je mangeais en bas."  Il a dit : "Ah, c’est bien, Monseigneur."

Alors lui, il a continué à manger avec nous. On a partagé, hein? Les gens partageaient leur repas, ce qu’ils avaient, avec Monseigneur. On a parlé, on a parlé, il a beaucoup posé de questions sur moi, il a beaucoup posé de questions; j’ai répondu. Je répondais sur ce qu’il me disait, en d'autre temps, je gardais le silence. On a parlé, on a parlé. Et lorsque tout fut terminé, les gens voulaient parler avec. Alors, il m’a bénie, moi, il m'a béni : Francine a reçu une bénédiction. Il a dit : "Je vous bénis."

Je me lève, lui, il se lève, et tout le monde autour de Monseigneur. Alors, je lui ai dit comme ça : "Monseigneur, des fois je voudrais retourner à la maison". Encore! Alors là, il a dit : "Je bénis". Il a béni l’œuvre! Et ça, c’est la Fille du Oui à Jésus. Il a dit comme ça : "Continuez votre mission." Alors, il m’envoyait en mission, et il y avait des gens qui ont entendu qui étaient autour de moi…

Le Seigneur avait tout préparé pour que je vienne en France, et c’était Grand-maman qui avait tout préparé ça! Alors, Grand-maman voulait vraiment que je vienne en France. Alors, si nous sommes ensemble, c’est parce que Grand-maman le veut et que Dieu avait envoyé Grand-maman pour que nous soyons ensemble.

Nous avons tous une mission. Il a dit : "Continuez votre mission". Notre mission, c’est tout le monde. Il n’y a pas des missions, il y a une mission : c’est celle de Jésus, ce n’est pas la nôtre. Il se sert de nous et nous devons être entre les mains de Dieu, tout comme le prêtre est entre les mains de Dieu. Alors, nous devons être dans les mains de Dieu pour pouvoir nous accomplir, et c’est là que Satan ne peut pas nous atteindre. Oui, quelquefois, il frappe les cœurs, mais il ne peut pas frapper notre âme, il ne peut pas frapper leur âme. Il va encore nous arrêter, mais il y aura toujours un autre chemin. C’est ce qu’il a fait, car nous aurons encore un endroit pour nous rencontrer. Mais il faut toujours être obéissant.

Lorsqu’une fois, j’étais au Lac Saint-Jean, nous étions pour avoir une rencontre, alors une personne du diocèse, une religieuse, a appelé. Elle posait des questions, puis elle posait des questions, elle posait des questions! J’essayais de répondre, elle posait des questions; alors il n’y a pas eu de réponse. Ce qui est arrivé, je lui ai dit, à la personne : "Colette, elle m’a dit comme ça : Vous n’avez pas le droit d’aller dans une église". J’ai dit : "C’est bien, on va obéir."

J’ai dit comme ça : "Si le Seigneur veut me donner des vacances, bien, je vais les prendre mes vacances." Cela l’a fait sourire un peu. Alors, j’ai demandé à la personne : "Colette, ce soir, nous sommes dans une église?" Elle a dit : "Non, nous ne sommes pas dans une église." Alors j’ai informé la religieuse : "Nous ne sommes pas dans une église, est-ce qu’on peut le faire?" Elle a dit : "Ça, c’est vos affaires". Alors j’ai dit : "C’est bien." Elle disait qu’on avait le droit, qu’on n’était pas en désobéissance, alors je l’ai fait. Nous ne serons pas en désobéissance, mais nous devons obéir. Si Colette avait répondu : 'dans une église', eh bien, j’aurais dit à Colette : "Nous ne pouvons pas avoir de rencontre, car l’Église appartient au clergé et nous devons obéissance au clergé." Envers et contre tout, nous devons obéissance.

Alors, c’est ce qui va se passer ce soir. C’est bon d’être obéissants, Satan ne peut pas nous arrêter. Combien de fois j’ai vu cela, combien de fois! "Vous n’entrerez pas dans l’église, mais vous irez au sous-sol." Eh bien, le Seigneur disait à la personne : «Si ton enfant était malade, est-ce que tu appellerais l’ambulance?» Il disait : "Oui". Alors il a dit : «Va appeler le prêtre, mes enfants sont malades. Demande à ce qu’ils peuvent recevoir la confession», parce qu’il y avait un prêtre avec nous. Il a appelé et il a demandé s’il pouvait confesser; non seulement il a dit oui, il a dit : “Je vous ouvre les portes de l’église. Allez! Qu’il aille dire la messe dans mon église." Ça, c’est Jésus, hein? Souvent, le Seigneur a fait ça.

Mais l’obéissance! Nous avions obéi parce que le prêtre qui nous accompagnait a obéi; il nous avait demandé d’obéir, et tout le monde a dit oui parce qu’il nous a demandé d’obéir. Et voilà la grâce! Lorsque nous sommes dans l’obéissance, Dieu passe, et si nous ne sommes pas dans l’obéissance, nous nous coupons volontairement des grâces. Cela devient nos choix.

Alors, il est déjà cinq heures et vingt. Nous en avons eu pour nos grâces! Alors, si on demandait à prier avec celui qui nous a été choisi? Après, on pourrait lui demander une bénédiction.

 

Prêtre : Merci, Francine, de ces paroles que tu nous as données qui nous vont au cœur, parce que cette expérience de conversation avec le Seigneur nous révèle beaucoup de choses.

 


 

[1] Les enfants de ce monde ont besoin de modèles humbles, non d’enfants qui les regardent de haut alors qu’eux se mettent à genoux devant Dieu.