Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Lawrence, Mass. (E.U.),

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-05-18

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque Dieu réunit ses enfants, il le fait avec beaucoup d’attention; il appelle à l’intérieur ses enfants comme un souffle très doux, car il sait que ses enfants ne sont pas toujours à l’écoute.

Dieu est tout amour pour ses enfants; doucement, il fait des pas avec eux afin qu’ils puissent être là où Dieu veut qu’ils soient.

Vous voilà ici avec la Volonté de l’Amour; beaucoup d’enfants avant vous ont aussi écouté la voix de Dieu.

Dieu les appelait à être à son écoute, qu’à son écoute, mais d’autres enfants n’ont pas toujours voulu écouter leur Dieu, parce que dans leur cœur ils n’avaient pas beaucoup de place pour leur Dieu, ils avaient donné leur cœur à d’autres dieux, et cela les rendait incapables d’agir comme des enfants de Dieu.

Dieu va rassembler ses enfants afin de leur parler directement en leur cœur afin qu’ils soient à son écoute, afin qu’ils puissent avancer là où Dieu les veut.

Ce temps est un temps où tous les enfants doivent avancer là où Dieu les veut.

 

Jésus : Enfants d’amour, je vais vous faire avancer ce soir, là où Dieu vous veut.

Écoutez la Parole de votre Dieu à l’intérieur de vous; votre tête, mes enfants, ne peut comprendre ce que moi je vous dis, car je suis en vous, je suis votre vie, c’est moi qui vous fais voir et entendre par la puissance du Saint-Esprit, parce que je fais la Volonté de mon Père.

Un jour, mes enfants, des enfants sont venus sur la terre par la Volonté de mon Père; ils vivaient dans leur volonté humaine parce qu’ils avaient en eux la tache originelle; ils avaient en eux cette souffrance : celle de toujours choisir entre ce qui est le bien et ce qui est le mal.

Le mal était autour d’eux, le mal s’acharnait contre eux, le mal voulait les atteindre au plus profond d’eux-mêmes afin de faire taire le bien en eux, le bien qui vient de Dieu, le bien qui est nourri de Dieu; le mal ne voulait pas que ces enfants se nourrissent de ce bien d’amour, le mal écoutait Satan.

À l’intérieur de vous, il y a ce mouvement, ce mouvement qui écoute Satan.

Vous avez reçu des grâces, mes enfants, afin que vous puissiez résister à la tentation, mais peu vont à l’intérieur d’eux puiser les grâces de Dieu, car ce monde leur a appris à vivre de leur extérieur, allant chercher ce qui leur apporterait du bien, mais ce bien, mes enfants, n’est pas pour vous, il est construit de ce qui est le mal.

Le mal ne veut pas pour vous le bien, le mal a fait en sorte que vous alliez vers ce bien déguisé, afin que vous soyez toujours dans la tentation de faire le mal.

Cette nourriture est à l’extérieur de vous, elle n’est pas en vous; il faut que cela soit de l’extérieur pour pénétrer en vous pour que cela soit en vous, il faut que vous consentiez vous-mêmes, mes enfants, à accepter ce qui est extérieur, et lorsque vous acceptez ce qui est de l’extérieur comme étant un bien et vous l’acceptez, cela entre en vous.

Mes enfants, c’est Satan qui fait ce mouvement, celui de vous présenter ce bien déguisé; Satan est l’être des ténèbres et il veut vous atteindre; puisqu’il a atteint les enfants de Dieu, la descendance de Caïn avec les enfants de Dieu, Satan a atteint tous les autres enfants, et aujourd’hui vous vivez encore dans ce mouvement.

Caïn, lorsqu’il fut chassé loin d’Adam et Ève, il partit avec sa descendance; alors là, au loin, il fut tenté par les démons, car des démons s’approchaient des descendants de Caïn.

Les démons voulaient séduire les femmes et les femmes se sont laissé séduire, car les démons avaient pris des formes qui semblaient, pour les femmes, comme étant des formes différentes de ce qu’elles connaissaient.

Elles se lais(sèrent) séduire par ces formes, car les démons avaient comme une apparence humaine : ils étaient grands, ils étaient forts, ils étaient habiles, car ils avaient été vers les animaux pour transformer ce que Dieu avait créé en une espèce, une espèce qui devait leur servir pour approcher l’espèce humaine.

Les femmes ne se sont pas méfiées et elles ont eu des relations avec cette espèce, et cela a formé des enfants, et ces enfants n’étaient pas des enfants de Dieu, car ils avaient accepté le mal; ils aimaient le mal, ils rejetaient tout ce qui était de Dieu, ils se formaient eux-mêmes des dieux et ils apprenaient aux hommes le mal, et le mal devint pour eux une nourriture.

Ils se sont laissé prendre aux pièges de Satan, si bien que les descendants de Caïn étaient le mal; ils ont approché la descendance d’Adam et Ève et eux n’ont pas su se défendre; avec les années, les années, les années, les années, ils sont devenus eux aussi le mal, ils avaient des dieux dans leur vie.

Noé demeura fidèle à Dieu, il marchait sous le regard de Dieu; il était un homme juste, il avait sa famille et il parlait de Dieu; que de souffrances il avait dans son cœur, car il voyait tout ce mal autour de lui.

Dieu vint lui parler, Dieu lui dit ce qu’il avait projeté pour ces êtres immondes : la disparition de ces êtres.

Noé écouta Dieu et il fit tout ce que Dieu demandait; alors, lorsque l’arche fut terminée, il vint le temps où il devait entrer, car Dieu a fait pleuvoir 40 jours et 40 nuits sur la terre afin de faire disparaître cette race.

Un des descendants de Noé eut relation avec une femme de la descendance de Caïn; un des enfants de Noé avait avec lui cet enfant; il était très intelligent, il pouvait se faire aimer sans que cela se sache qu’il avait le mal en lui.

Lorsque le déluge fut terminé, on alla sur la terre et la descendance de Noé se multiplia; l’enfant, l’enfant du mal était là, il grandissait, il eut des enfants; l’un d’eux était si pervers, il montra le mal (aux) enfants des enfants, des enfants de Noé : le mal se multipliait.

Il fit connaître l’idolâtrie, il apporta avec lui des connaissances qui entrè(rent) en eux : la noirceur, la noirceur qui venait de tout ce qui était contre Dieu; il se servait de la noirceur, de ce pouvoir, car la noirceur a pouvoir.

Alors, il montra comment se servir de ce pouvoir : il montra à ces enfants comment se servir de pierres, il se ser(vit) aussi des statues comme étant des dieux : il reproduisait le mal.

Il reproduisait les démons qui avaient séduit les femmes de la descendance de Caïn, et les enfants devinrent orgueilleux de ce qu’ils connaissaient, si orgueilleux qu’ils (voulurent) devenir eux-mêmes des dieux.

Celui qui leur montrait tout cela était à la tête de ces enfants; il voulut atteindre Dieu pour leur montrer qu’il était supérieur.

Enfants de ma Volonté, les enfants ont voulu affronter Dieu; ils ont construit la tour de Babel afin d’atteindre Dieu pour le faire disparaître.

Et Dieu regardait ces enfants, ces êtres qui avaient le mal en eux, ces enfants qui avaient fermé leur cœur à Dieu, et Dieu fit pour eux un mouvement : il multiplia la langue.

Alors, ces enfants se sont mis à parler de langues différentes; ils étaient étourdis de ce qu’ils entendaient, ils étaient incapables de communiquer ensemble, si bien qu’ils sont partis chacun de leur côté, multipliant la terre de ce qu’ils étaient : des êtres faits de ce qu’ils avaient voulu être.

Eux qui formaient un peuple devin(rent) des petits peuples de souffrances, ils sont partis avec la conséquence de leur choix face au péché de l’idolâtrie.

Et depuis ce temps les enfants sur la terre marchent avec cette conséquence; ils portent en eux toutes ces connaissances les aveuglant, leur montrant qu’ils sont faibles devant Dieu, créant en eux des mouvements contre eux-mêmes : se faire souffrir, ne pas se donner de repos, incapables de comprendre la vérité, demeurer sourds à ce qui est bon pour eux, avoir froid lorsqu’ils sont en contact d’une douceur, être incapables d’aimer lorsqu’il y a de l’amour devant eux, demeurant dans leur solitude : conséquences du manque d’amour devant Dieu Éternel.

Ces enfants sont incapables par eux-mêmes de comprendre la Parole de Dieu, car ils ont refusé leur Dieu, ils sont des errants sur la terre.

La Parole est de Dieu, la Parole est amour; parce qu’ils ont voulu affronter Dieu, leur parole n’a pas le langage de l’amour; lorsqu’ils parlent d’amour, ils sont incapables d’être ce qu’ils sont, car la parole est, en soi, l’être.

Je suis la Parole, je suis l’Amour, ma Parole nourrit, ma Parole apporte la lumière; il n’y a que Dieu qui puisse guérir ce qui est en vous parce que vous portez cette marque en votre chair : l’idolâtrie, vouloir être supérieur à Dieu.

Aujourd’hui, les enfants de Dieu sont incapables de comprendre l’amour infini de Dieu parce que la chair souffre.

La vie spirituelle a besoin de Dieu, la vie spirituelle est à Dieu.

Lorsque je suis venu sur la terre, je me suis donné pour nourrir votre âme; doucement, j’ai approché de vous les enfants, je vous ai parlé de Dieu, je vous ai parlé de son amour, j’ai rappelé aux enfants tout ce que mon Père avait fait pour eux.

Les lois que mon Père avait données à Moïse devenaient de plus en plus lumière pour eux, ils ont commencé à comprendre que Dieu les aimait tels qu’ils étaient parce que c’est le Fils qui parlait; la Parole était en eux par le Fils et le Fils guérissait.

Mes enfants, lorsque Moïse parla, il parla par Dieu, car Dieu avait mis dans le cœur (d')Aaron la présence même de la puissance du Saint-Esprit.

Moïse parlait, Moïse offrait, Moïse éclairait, et le Saint-Esprit faisait comprendre que tout ce qui était de Dieu était bon pour eux; voilà ce qu'Aaron représentait : la douceur de Dieu par la puissance du Saint-Esprit.

Moïse fut pour eux un père d’amour, Moïse fut pour eux un être obéissant à Dieu, Moïse fut pour eux un être de la terre qui pouvait parler à Dieu.

Lorsqu’ils écoutaient, ils écoutaient ce que Dieu voulait qu’ils entendent; ils commençaient à comprendre que Dieu est Dieu et que celui qui écoutait Dieu était dans l’amour de Dieu, car Dieu comblait, Dieu donnait.

Lorsqu’ils détournaient leur regard vers des dieux, ils ressentaient le regard de Dieu, ils ressentaient que Dieu leur demandait obéissance, car leur être souffrait, leur être souffrait de ne pas être comblé par Dieu.

Comprenez, mes enfants, que ces enfants avaient été pendant 400 ans esclaves des dieux : pendant 400 ans, ils ont été traités comme des esclaves, les dieux étaient maîtres d’eux, les dieux faisaient d’eux des êtres inférieurs aux enfants qui écoutaient leurs paroles.

Pharaon et ses sujets étaient contre ceux qui écoutaient Dieu, il tenait entre ses mains ces enfants choisis de Dieu : il les fit esclaves pour les faire souffrir, il leur demandait ce qui était très souffrant.

Dieu regardait ces enfants, ces enfants qui souffraient, ces enfants qui demandaient qu’on vienne les libérer : 400 ans, mes enfants, à écouter ces enfants qui criaient vers Dieu, 400 ans pour que Dieu leur envoie Moïse.

Dieu fit pleuvoir pendant 40 jours et 40 nuits afin d’effacer sur la surface de la terre l’impureté : ces enfants sauvés ont écouté ce qui était le mal; en leur chair était l’idolâtrie, alors la chair a connu l’idolâtrie pendant 400 ans : la chair a goûté à la souffrance de ces dieux, la chair a été fouettée, la chair a été humiliée, la chair savait que les dieux étaient contre eux.

Mes enfants, il fallait que la chair supplie Dieu, il fallait, mes enfants, que la chair sache qui est Dieu, il fallait que la chair accepte de se laisser libérer par Dieu. Lorsque Dieu a envoyé Moïse, la chair était prête à accepter Dieu, et ils ont accepté de suivre celui que Dieu leur avait envoyé, et Dieu sauva son peuple.

Dieu regarda son peuple qui entra dans le désert : ces enfants avaient sur eux la poussière de l’idolâtrie : parce qu’ils avaient la poussière de l’idolâtrie, ils sont demeurés là où tout n’est que poussière, là où la poussière fait souffrir lorsque le vent se lève, là où il n’y a pas (de) nourriture, là où il n’y a pas de fraîcheur.

Dieu leur montrait qu’il était Dieu : il les nourrissait, il leur donnait un breuvage d’amour; tout entrait en eux et c’est de l’intérieur qu’ils commençaient à aimer Dieu, à recevoir Dieu, à vouloir se laisser prendre entre les mains de Dieu afin de purifier cette chair qui devait connaître la libération.

Lorsque le peuple de Dieu sortit du désert, il a fallu qu’il attende quatre mille ans avant que le Fils de Dieu se fasse connaître : quatre mille ans, mes enfants, à attendre avant que le Fils de Dieu vint les rafraîchir, avant que leur chair soit dans la douceur de Dieu.

Tout cela se multipliait parce que le péché était grand, (alors) Dieu envoya son Fils afin de récompenser ces enfants : eux qui attendaient, qui attendaient, qui attendaient le Messie, ont été en présence même du Fils de Dieu, telle était leur récompense.

Dieu avait choisi ce temps pour eux, Dieu s’est montré à eux, Dieu est venu leur parler, et ils ont vu, et ils ont suivi les pas du Christ : l’homme, maintenant, était prêt à avancer là où il devait connaître le Royaume de Dieu.

Enfants d’amour, lorsque je suis venu sur la terre, j’ai pris toute la souffrance du monde : j’ai vécu ce que vous avez vécu, j’ai vécu ce que les hommes étaient pour vivre, et je vais vivre ce que les hommes vont vivre, car tout est accompli.

Tout est là devant vous : je vis votre vie, je vous fais connaître ce qui est bon pour vous.

Je viens vous dire, mes enfants, qu’à l’intérieur de vous il y a des mouvements qu’il faut que vous me donniez, car les démons vous ont fait connaître l’idolâtrie, les démons ont réussi à faire pénétrer en vous ce qui est contre mon Père.

Il n’y a qu’un seul Dieu. Pourquoi aujourd’hui, mes enfants, vous êtes attirés par ce qui est le pouvoir? Combien d’entre vous, mes enfants, (vous) avez des douleurs et cherchez un moyen d’être consolés? Enfants d’amour, ne savez-vous pas que vous portez tous les enfants du monde?

Lorsque je parle à vous, je parle à tous les enfants du monde : soyez des fils et des filles du oui à Jésus.

Vous êtes à Jésus, mon Père vous a donnés à moi, je prends tous ceux que vous portez en vous, et je parle à vous comme si vous étiez tous les enfants, voilà pourquoi je dis, mes enfants, que vous êtes attirés par le pouvoir; ne cherchez pas à savoir si cela est individuel ou collectif, cela est présent pour tous les enfants du monde.

Enfants d’amour, vous êtes si attirés par le pouvoir : il y en a qui prennent des pierres pour pouvoir soulager leurs douleurs; il y en a qui mettent des bracelets croyant en des pouvoirs pour enlever de la douleur; il y (en) a qui mettent des colliers autour de leur cou parce qu’ils croient en leur pouvoir.

Des hommes leur ont dit que cela était bon et que cela n’était pas dangereux : ne croyez pas cela, cela vient d’un pouvoir; il ne peut y avoir deux pouvoirs, mes enfants, il n’y a que le pouvoir de mon Père qui peut vous apporter guérison totale.

Si vous croyez en ces pouvoirs, vous faites erreur; ces pouvoirs ne guérissent pas, mes enfants, ils trichent, ils prennent la douleur et ils la mettent à un autre endroit : il y a transfert.

Voyez-vous, mes enfants, combien il y en a qui se sont fait prendre à cela!

Il y a aussi les pierres de naissance, combien se sont laissé prendre à ce jeu! Les naissances, mes enfants, c’est le choix de mon Père : c’est le petit être qui vient en ce monde par la Volonté de mon Père, et mon Père a choisi un ange à la naissance de l’enfant.

L’ange gardien est là pour le protéger, croyez-vous que la pierre de naissance devient, pour cet enfant, essentielle? Croyez-vous que cela est bon pour son âme? Croyez-vous que cela est bon pour lui qui va vieillir? Le petit enfant n’a que faire de cette pierre.

Quel est donc ce besoin si ce n’est qu’on vous a dit qu’il y avait pierre de naissance pour tel mois et tel mois, donnant un nom aux pierres? Cela vient des dieux, mes enfants.

Si vous donnez cela tout simplement sans vouloir de mal, vous laissez pénétrer ce qui va avec.

On ne veut plus parler de démons parce qu’on ne veut plus faire peur : est-ce que cela va empêcher Satan et les démons de vous atteindre, mes enfants?

Lorsque vous acceptez quelque chose, vous acceptez ce qui va avec, même dans l’invisible, et la souffrance se multiplie comme la souffrance s’est multipliée avant Noé, après Noé, jusqu’à ce jour.

Le mal veut faire de vous ses esclaves pour l’éternité.

Moi, je suis un Dieu d’amour, je viens vous parler dans votre cœur; je suis la Vie, je suis la Parole, vous n’avez besoin que de Dieu.

Je veux vous nourrir, mes enfants; je vous ai donné mon Corps, je vous ai donné mon Sang, vous n’avez besoin que de moi.

Je suis votre joie, je suis le Présent le plus précieux dans votre vie; (quoi) de plus beau que de donner la vie à celui qui est votre ami?

Ne vous attachez pas à ce qui est mort, la mort est Satan : les pierres ne sont pas vivantes, les métaux ne sont pas vivants, ce qui est à la terre doit être à la terre, ils ne doivent pas avoir (un) pouvoir sur vous; combien d’enfants se sont laissé prendre à ce piège, et ce n’est qu’une partie de ce que vous ne connaissez pas.

Mes enfants d’amour, écoutez votre Dieu, je viens vous apporter des lumières afin de vous laisser libérer par Jésus : c’est moi votre Purificateur, c’est moi qui viens arracher le mal de votre chair.

Je viens brûler d’un feu d’amour votre chair afin que vous compreniez que je vous aime; je viens réparer, mes enfants, les conséquences de vos choix face au péché.

Tout ce qui répare, guérit et libère : laissez-vous prendre dans ce mouvement d’amour, vous aidez vos frères et vos sœurs du monde entier; eux qui se sont laissé prendre profondément dans ces mouvements sont incapables d’entendre et de comprendre, car cela les fait trop souffrir.

La nuit des ténèbres est autour de la terre, la nuit des ténèbres a pénétré vos vies; ceux qui ne se sont pas laissé nourrir de mon Corps et de mon Sang, ceux qui n’ont pas aimé leur Dieu comme étant leur univers sont incapables de comprendre : donnez-vous, mes enfants.

Je travaille de l’intérieur, pas de l’extérieur, voilà pourquoi je vous ai demandé de laisser votre Dieu prendre toute la place; vos paroles qui sortiraient de votre volonté humaine ne feraient que les faire souffrir et éloigner.

Je viens doucement vous parler, et plus vous acceptez ces paroles, et plus ceux qui sont en vous se laissent libérer : des chaînes se défont et d’autres affaiblissent.

Le temps de Dieu n’est pas votre temps, laissez-vous guider par votre âme.

Regardez cet endroit, mes enfants, c’est ma demeure; tous ceux qui entrent dans cette demeure entrent chez moi.

Tout comme Moïse qui entrait dans le sanctuaire, je projetais sur lui ma lumière; alors, lorsque vous pénétrez ici, je projette sur vous ma lumière; je vous regarde, je vous enveloppe de ma force afin que vous puissiez me donner votre vie, la vie de tous ceux que vous portez en vous.

Mes enfants, vous avez besoin de cette force pour vous avancer vers moi, car votre chair, votre chair si blessée, est dans la souffrance; savez-vous que votre chair, mes enfants, se sait incapable d’aimer son Dieu comme elle voudrait l’aimer? Elle souffre, voilà pourquoi je l’enveloppe de ma force.

Les sacrements, mes enfants, les sacrements sont pour vous un vêtement d’amour, ils vous enveloppent, ils vous rendent purs, mes enfants; les sacrements sont pour vous un moyen d’être devant votre Dieu.

Lorsque vous dites oui aux sacrements, votre âme s’incline devant Dieu, elle adore son Dieu, elle rend grâce à son Dieu pour tant de bienfaits; votre âme reconnaît qu’elle est entre les mains de Dieu, et elle accueille les biens que Dieu lui donne et, de votre intérieur, vous recevez.

Voilà pourquoi, mes enfants, vous avez tant besoin de mes prêtres; voilà pourquoi, mes enfants, vous avez tant besoin d’eux : le Christ-Prêtre.

Vous venez à moi et je vais vers vous, je vous apprends à m’aimer, je vous apprends à être humbles et petits devant ma grandeur : vous avez besoin de moi, je suis tout pour vous, je suis votre Dieu.

Mes enfants, rendez grâce à Dieu pour tous les biens que vous recevez.

Dieu a toujours pris soin de vous et Dieu va toujours prendre soin de vous.

Faites (à vous-mêmes) connaître ce que Dieu a déposé en vous, en prenant dans votre main le chapelet : le chapelet, mes enfants, c’est l’amour de ma Mère pour vous.

L’amour de ma Mère pour vous est un bien précieux : ma Mère vous veut dans son Cœur parce que je suis l’amour de son Cœur.

Lorsque vous priez le rosaire, mes enfants, ma Mère ouvre mon Cœur, et vous recevez des grâces nécessaires pour votre vie, ce qui vous protège de l’idolâtrie.

Maintenant, mes enfants, elle va ouvrir les yeux.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur Dieu nous a parlé de pierres, de pierres de naissance, plus particulièrement ce soir.

Il nous a parlé de beaucoup de choses depuis 2001.

Il y a peu de temps que je sais que les pierres de naissance viennent des dieux; pourquoi il ne m’a parlé de cela avant? Parce que ce n’était pas le temps, je devais souffrir pour m’amener là où je suis.

Pourquoi j’ai souffert? Parce que j’ai eu devant moi cette souffrance; de ma chair, j’ai connu la souffrance.

Je n'étais pas pour les pierres de naissance, je n’aimais pas les pierres de naissance, mais je ne savais pas qu’il ne fallait pas s’en servir; ça, c’est différent.

Un jour, ma grande fille aujourd’hui grande, mais elle était toute petite, elle a reçu une croix; il y avait une pierre de naissance dessus et elle venait de sa marraine, alors, moi, j’ai cru que cela était bien; elle a porté cette croix, (on) y avait déposé la pierre de naissance dessus : elle commença à vivre, à vivre des mouvements, je l’ai su que plus tard.

Quand elle était dans les années de dix ans, elle voyait quelque chose, elle voyait des ombres, comme un animal qui pouvait passer très vite, dans le coin là, là; elle disait : "C’était tellement vite, ça passait et ça disparaissait"; ce qui lui faisait très peur; je lui avais parlé des anges gardiens, de son ange gardien, et elle accourait souvent à son ange gardien.

Elle m’a dit aussi que lorsqu'elle allait dans une pièce, elle semblait voir une bête qui surgissait de la noirceur; quelquefois, quand elle voyait la tapisserie qui était dans ma salle de bain, elle voyait la tête qui sortait, elle entendait une voix qui lui disait : "Pourquoi t’écoutes ta mère, écoute-la pas."

Et cela se manifestait dans sa vie, elle priait, elle priait, et elle avait peur.

C’est plusieurs années (après) que je l’ai su, c’est dans les années 98 : toutes ces années-là à vivre dans ce qu’elle ne comprenait pas!

Un jour, elle a enlevé cette croix et elle l’a donnée à sa petite fille Kimilie, et elle faisait des cauchemars.

Voyez-vous, la semaine passée, j’ai su cela par Jésus, alors elle a consenti à enlever cette croix avec cette pierre, et je l’ai enterrée parce que je m’en venais ici, tout de suite, la journée même.

Je n’ai pas eu le temps d’aller présenter ça à mon père spirituel, mais je sais, je sais maintenant pourquoi ma fille avait ces mouvements autour d'elle et qu’elle (ne) comprenait pas.

La prière, la prière nous protège; c’est la prière qui a protégé mon enfant, c’est la prière qui a protégé ma petite-fille, car Maman Marie a toujours été dans notre vie.

L’être humain est toujours en danger.

Depuis quelque temps, le Seigneur nous parle, nous parle de ce qui s’est passé depuis Adam et Ève; il a commencé lentement à nous parler d’amour en premier; il nous a parlé de notre prochain, de l’amour de notre prochain, il nous a parlé de l’Église, de son Corps mystique.

Nous faisons partie du Corps mystique de Jésus, nous formons un membre; plusieurs membres qui forment le Corps de Jésus : un membre.

Lorsque nous acceptons d’être un membre entre les mains de Dieu, Jésus semble nous souder à tous les autres membres de l’Église et ce qu'il donne à un, il le donne aux autres.

Il est très difficile pour nous de comprendre l’agir de Dieu.

Pourquoi a-t-il fallu attendre toutes ces années-là pour nous faire comprendre le danger? On n’aurait pas voulu entendre.

Est-ce que j’aurais eu la force d’enlever la croix? J’aurais dit : "Mais voyons, c’est une croix, ça n’a pas rapport!" J’aurais argumenté parce que ma volonté humaine aurait été trop puissante sur moi : Dieu, il fallait qu’il me montre que je n’étais rien sans lui.

Il m’a fait passer par où j’aurais jamais été capable de passer, il m’a montré que tout était de lui et rien de moi, ce qui a fait que j’ai enlevé cette croix et il m’a montré que la croix est amour, que la Croix d’amour, c’est le Christ, que la Croix d’amour, c’est nous, nous en Jésus, et qu’il n’y a que l’Amour qui est pour nous vivant : nous n’avons pas besoin d’autres que Jésus.

Lorsque Jésus nous dit quelque chose, on y croit; alors, j’ai cru à ce que j’avais entendu parce que cela ne venait pas de moi, c’était impossible puisque je ne le savais pas; alors, j’ai eu cette force de croire en son amour, et je l’ai eue par Jésus.

Nous avons beaucoup à donner à Jésus et nous devons le donner comme des tout petits enfants, sans avoir peur.

Jésus (ne) vient pas nous parler pour nous montrer que nous avons mal agi : nous sommes un mouvement qui est le résultat des autres mouvements.

Au tout début, avant Noé, il y eut des mouvements, et ces mouvements nous ont appris des mouvements impurs : cela ne vient pas des enfants de Dieu, cela vient des démons.

Il est vrai qu’ils ont fait des choix devant la tentation et ils ont dû vivre les conséquences.

Lorsque Noé fut sauvé des eaux, il avait avec lui sa descendance : ses enfants, et ses enfants avaient des enfants mais, parmi eux, il y en avait un qui n’était pas dans la pureté, il était habité des démons et c’est à partir de lui que continua l’idolâtrie.

Cet être leur montra comment aller vers les dieux parce qu’il avait ça en lui, tout était en lui; il leur parlait de l’astrologie, d’énergie, de pouvoir; il savait se servir de plantes qui apportaient du pouvoir; il parlait que l’être humain avait des pouvoirs; tous ceux qui l’écoutaient entraient dans ses pièges, car cet être était habité de démons.

Mais si nous savons tout cela, c’est parce que Dieu nous sait prêts pour entendre ce qu’il nous dit; nous avons mis notre âme entre les mains de Dieu; par les sacrements, notre âme a été nourrie des grâces de Dieu, alors nous avons avancé, nous avons avancé.

Mais n’oublions pas que notre chair a toujours été dans cette connaissance, notre chair connaît ce qu’est l’idolâtrie, notre chair connaît ce qu’est le pouvoir autre que Dieu, ce qui nous porte à écouter ceux qui nous parlent de ce qui est contre Dieu, mais l’enfant de Dieu veut savoir.

Jésus me dit : «Mes enfants ont faim, mes enfants ont soif de vérité.»

Pourquoi avons-nous si faim et soif de vérité? Parce que c’est notre âme, notre âme, elle qui est nourrie des grâces de Dieu, du Corps et du Sang de Jésus, a soif de savoir et elle fait taire notre volonté humaine parce que, vous savez, ça prend un effort pour nous de quitter notre télévision, notre chaleur à la maison.

Comment se fait-il que nous soyons un petit nombre, alors que nous devrions être beaucoup? On est à l’Église, nous sommes devant la Présence même de Dieu et ce n’est pas une personne comme Normande qui vous a dit d’être ici, c’est Dieu.

Dieu a parlé à l’intérieur de vous et vous avez dit oui, et il a parlé aussi à l’intérieur des autres, mais ils ont été incapables de dire non à leur volonté humaine parce que leur volonté humaine leur a fait savoir que c’était bon de demeurer à la maison, qu’il y avait d’autres choses à faire : nous n’avons aucun mérite d’être ici, le mérite n’en revient qu’à Dieu.

Ce que nous avons entendu ce soir est bon pour ceux que nous portons en nous; il y aura d’autres mouvements comme celui-là.

Dieu est bon avec tous ses enfants; ce qu’il prépare est au-delà de ce que nous, nous pouvons comprendre, il est en train de rendre notre chair pure.

Plus nous allons donner à Jésus ce qui est en notre chair, plus Jésus va enlever le mal; il va purifier notre chair et elle souffrira moins, jusqu’au moment où tout sera purifié : ce qui était assujetti au péché ne le sera plus, ce qui a connu la mort ne le connaîtra plus.

Plusieurs diront : "Oui, mais Jésus il dit, depuis qu’il est venu, que le Règne de son Père vient sur la terre; Paul attendait cela, tous les apôtres attendaient cela, tous ceux qui ont cru en les apôtres, tous ceux qui ont cru en les disciples attendaient le Règne de Dieu sur la terre pour demain!"

Mais le demain de Dieu est dans le mouvement éternel; lorsque Jésus a dit que le Règne de son Père est là à vos portes, il avait raison et il a raison parce que tout commençait et tout continue.

Jean a vu, Jean a écrit l’Apocalypse : Révélation.

Voilà que Dieu nous parle de ce qui a été et de ce qui sera; Dieu nous prend dans notre présent et il nous amène dans le temps d’Adam et Ève, c’est comme si on y était; alors, lorsque nous donnons à Dieu tout ce qu’il y a dans notre chair, alors ça s’accomplit.

La première fois qu’il y eut de l’impureté, notre chair, elle, (en ce moment) en est imprégnée; alors, lorsque nous donnons l’impureté : "Je te donne, Jésus, cette conséquence parce que je suis devant des choix face au péché", à ce moment, Jésus guérit : il faut qu’il ait notre consentement, il veut que nous vivions nos choix.

N’oubliez pas qu’Ève a été devant un choix, c’était à Ève de dire : "Je n’écoute pas cette tentation"; elle ne l’a pas dit, mais elle a dit oui à la tentation : tout s’est fait avec consentement.

Et lorsque nous, nous vivons le cancer, nous vivons l’arthrite, le diabète, nous vivons les migraines, nous vivons les conséquences des choix devant le péché, voilà pourquoi Jésus veut notre oui : faites vos choix.

Alors, c’est ce que Dieu veut de nous, nous sommes dans le mouvement de l’Amour.

Jésus dit qu’il comble cette enfant[1], il illumine son cœur afin qu’elle puisse être dans le mouvement de Dieu, dans la force de Dieu pour tout ce qu’elle donne à Dieu : sa souffrance. Merci, Seigneur.

Ce que vous venez d’entendre, c’est une guérison de Dieu; à qui elle est adressée? À l’enfant qui vient de partir.

Dieu ne cesse de se donner et il va toujours continuer de se donner; plus nous allons donner cause, choix et conséquences, plus il y aura des guérisons.

Cela était pour nous ce soir.

Alors, si vous voulez bien, nous allons demeurer devant Jésus et nous allons méditer cet amour.

Merci, merci Seigneur.

 

 

 


[1] Le Seigneur donne des grâces à une personne qui doit quitter la salle.