Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Montréal, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-12-10 

 

Jésus : Je suis le Verbe et j’accomplis la Volonté de mon Père; parce que vous consentez à mourir en moi, moi, je prends tout de vous et je le rends amour : à moi seul de vous transformer en êtres d’amour.

Je parle en vos cœurs, vous êtes en moi, Jésus; j’ai toute puissance, je ne force aucun de vous; en vous, vous portez les enfants de Dieu parce que là où moi je suis, là ils sont.

Mes enfants, en ce moment même, les enfants de ce monde reçoivent des grâces de mon Père afin qu’ils puissent reconnaître qu’ils sont de mon Père.

Ils ont oublié leur place en moi, Jésus.

Ils ne peuvent rien sans moi; l’Église est moi : à moi seul de rendre mon Église vivante, agissante; je me meus en chacun de vous.

Enfants d’amour, qu’un seul soit en moi et tous les enfants de la terre reçoivent; c’est moi qui agis en eux, mais à eux d’accepter ce que moi je leur donne par vous qui vous vous donnez; vous devenez, entre mes mains, des instruments d’amour pour eux.

Je connais votre intérieur puisque c’est moi qui le nourris et, parce que je le nourris, vous devenez des êtres d’amour pour eux.

Je me suis donné par amour et, vous, je vous apprends à vous donner par amour : être tout à Dieu, c’est être pour eux des êtres d’amour.

Mes enfants, en ce temps de l’Avent, je vous demande de vous donner pour tous ceux qui ne pensent pas à ce qui vient.

Je suis venu par le oui de Marie sur la terre, et c’est dans une étable que j’ai mis ma demeure; cette demeure, c’est mon Père qui l’a voulue, et moi, j’ai fait la Volonté de mon Père; dans la pauvreté, dans la simplicité, je suis venu afin que vous soyez, vous aussi, devant ma Présence : une présence d’amour.

Enfants d’amour, je vous appelle à vivre dans la pauvreté : je vous appelle à vivre simplement.

À tous ceux qui vont renoncer à la richesse, Dieu va les combler de sa richesse; j’ai tout reçu de mon Père et il veut tout vous donner.

La richesse de mon Père n’a pas la valeur des humains, elle est indéfinissable tant ses bienfaits sont éternels : rien ne peut définir la richesse de mon Père.

Mais vous, mes enfants, votre richesse est si éphémère; elle ne peut vous apporter le bonheur, elle vous rend prisonniers, elle vous empêche de vous donner.

Vous devenez des êtres calculateurs, des êtres blessés par le manque de partage : celui qui a beaucoup, peu il veut donner; celui qui a peu, lui, a appris à partager; je veux vous apprendre, mes enfants, à partager, à donner ce qui vous est inutile.

Mes enfants, la Purification doit être pour vous un mouvement de libération.

Combien d’entre vous, mes enfants, avez accumulé des objets; ils sont devenus pour vous des objets qui ont pris de la valeur dans votre vie prenant la place de l’amour du prochain.

Comment voulez-vous être tout amour si vous pensez à tout ce que vous avez accumulé? Lorsqu’on a accumulé beaucoup, mes enfants, il est difficile de renoncer.

Je vais vous donner des grâces, des grâces qui vont vous aider à vous détacher de tous ces biens matériels; tranquillement, je vais déposer en vous des grâces d’abandon afin que vous puissiez connaître le renoncement.

Il faut que vous consentiez à accepter ce que je veux vous donner; l’enfant qui accepte voit déjà sa liberté; il accepte que Dieu fasse de lui un être bon, un être qui avance et qui suit Jésus.

Souvenez-vous, mes enfants, lorsque j’ai rencontré le riche, il m’aimait beaucoup, il voulait suivre Jésus, mais il n’a pu renoncer à ses richesses, car il en avait beaucoup; vous qui avez beaucoup, je vous demande aujourd’hui, mes enfants, voulez-vous renoncer à vos richesses et suivre Jésus, comme moi je le veux, pas comme vous, vous le voulez?

Je vous parle de purification, je vous parle de votre venue en vous.

C’est vous, mes enfants, qui allez venir à moi; je vais vous montrer que je vis en vous; je vais vous montrer tout ce que vous êtes, et je vais vous demander si vous voulez n’être qu’à moi, ne plus être de ce monde.

Votre réponse, mes enfants, est en vous : à celui qui dit oui à Jésus, celui-là Dieu lui donne; à celui qui dit non à Jésus, celui-là Dieu ne peut pas donner parce que c’est lui qui ne veut pas.

Je suis venu sur la terre pour chaque enfant, je veux donner et donner; maintenant, chaque enfant devra donner à Jésus son oui parce que vient le temps où tous les enfants devront vivre dans un monde d’amour.

Je suis en train de vous préparer à entrer en vous, à regarder tout ce que vous avez consenti de faire; je vais vous montrer vos richesses et je vais aussi vous montrer tout ce que vous avez voulu renoncer par amour pour moi.

Mes enfants, mon Père sait ce qui est bon pour vous; c’est lui qui va vous combler, c’est lui qui veut vous donner tout ce qui vous est nécessaire pour chaque jour.

Vous avez voulu vous enrichir avec la pensée du monde : vous avez accumulé, mes enfants, à vous en rendre malades.

Vous avez entendu parler des enfants qui meurent parce qu’ils ont si peu; vous avez donné, mais votre surplus; vous n’avez pas donné ce qui vous tenait à cœur, vous avez retenu vos biens, ne voulant pas renoncer à vos besoins et, à cause de cela, vos besoins sont devenus excessifs : vous êtes devenus des êtres envieux.

Regardez, mes enfants, tout ce qu’il y a autour de vous, vous allez vous rendre compte qu’il est difficile pour vous de vous priver de luxe; vous ne savez même plus ce qu’est la nécessité parce que vous pensez en êtres gâtés.

Vous qui vivez dans ce pays riche, vous qui ne manquez de rien, moi, je vous demande, mes enfants, de venir à moi afin que je puisse vous montrer que vivre dans la simplicité, c’est vivre dans la liberté.

Ne plus avoir peur de renoncer, vous laisser dépouiller : vous laisser appauvrir, afin de découvrir votre place en l’Église, en moi, Jésus : c’est l’amour, c’est vivre sans avoir peur pour demain, c’est vivre en pensant que vous êtes amour pour votre prochain, c’est ne plus avoir honte à cause de votre richesse devant la pauvreté de vos frères et de vos sœurs.

Voyez-vous, mes enfants, ce que Dieu veut faire de vous? Je veux que vous soyez des êtres d’amour pour vous.

Comment pouvez-vous être amour pour vous si vous avez peur de demain, peur de perdre ce que vous avez? Il faut que vous soyez libres, mes enfants, libres de vivre comme Dieu le veut.

Mes enfants, je ne vous demande pas d’aller vendre votre maison, il est important pour vous d’avoir une demeure; je ne vous demande pas de renoncer à votre loyer, je sais que vous avez besoin d’un lieu pour habiter.

Mes enfants, regardez dans vos maisons et voyez-y si vous pouvez partager; cessez de combler votre maison avec tous ces bibelots inutiles; avec vos garde-robes bien remplis, mes enfants, je vais vous demander de partager la nécessité, je ne vous demanderai pas de partager vos bibelots inutiles, mes enfants pauvres n’ont pas besoin de vos bibelots pour vivre.

Je ne veux pas que vous les empoisonniez avec vos idées de consommation, mais je veux que vous appreniez, mes enfants, à vivre simplement, à partager le surplus de vos vêtements, le surplus, mes enfants, de vos articles, tels vos souliers, telles vos bottes, mes enfants : il y en a qui n’en ont pas.

Mes enfants, je veux vous donner des grâces afin que vous puissiez voir ce qui est inutile autour de vous.

Je vais vous montrer tranquillement à renoncer à tout cela; je vais vous apprendre aussi à ne pas acheter ce qui est déjà dans votre maison : il y a de vos meubles qui sont encore utiles; mais, mes enfants, vous qui aimez la nouveauté, vous êtes si souvent portés à les échanger; tranquillement, vous allez apprendre, mes enfants, à être simples.

Laissez à Dieu ce qui est à Dieu; je vais mettre en vous des besoins de ce qui vous est utile et je vais mettre en vous de l’abandon pour ce qui est inutile : tout se fera en harmonie.

Je ne veux pas, mes enfants, que vous scandalisiez vos petits enfants parce qu’eux n’ont pas encore reçu les grâces de Dieu; c’est lentement que je vais vous aider et vous serez des modèles pour eux : eux aussi vont apprendre à être moins exigeants.

Vous avez été pour eux des modèles, mes enfants, des modèles de consommateurs, à moi de vous rendre simples parce que le monde dans lequel vous vivrez va être un monde simple.

Réalisez, mes enfants, que lorsque vous serez en vous, lorsque je vous demanderai si vous voulez de moi, et que vous devrez renoncer à votre monde, comme il sera facile pour vous de dire oui, mais comme il sera difficile pour ceux qui n’ont pas appris à renoncer aux biens matériels.

Voyez-vous ce que je veux que vous faisiez? Votre abandon sera des grâces pour eux; vous recevrez des grâces et ces grâces seront en eux aussi; lorsqu’ils devront renoncer, ces grâces seront déjà en eux : il sera donc facile pour eux de dire oui.

Je veux que vous soyez des êtres d’amour pour eux, vous êtes mes enfants de la Lumière, mes enfants de mon Église, mon Père vous a choisis afin que vous puissiez être amour pour eux.

Enfants d’amour, vous êtes tous à moi; c’est moi qui déverse en vous des grâces d’amour et d’abandon; votre purification, mes enfants, est commencée, et cela fait partie de votre purification.

Je vous ai parlé d’amour, je vous ai parlé d’abandon, maintenant je vous apprends à vivre l’abandon; je vous apprends à vivre en Jésus, à être comme Jésus parce que je vous veux à ma ressemblance.

Je vais séparer mes enfants de tout ce qui n’est pas amour, et tout ce qui est amour sera pour vous, à moi seul de faire de vous des êtres d’amour parce que mon Père m’a tout donné.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L’amour de Dieu le Père, c’est un amour infini; il n’est que justice, il nous apprend tranquillement à devenir des êtres simples.

Il faut se rappeler de nos parents, ils ont vécu dans la simplicité; leur maison était des maisons de famille, on n’avait pas peur de briser des bibelots parce qu’il n’y en avait pas beaucoup dans la maison : les maisons de nos parents étaient simples.

Aujourd’hui, lorsqu’on rentre chez quelqu’un, on a l’impression de rentrer dans une maison de catalogue : tout est bien à sa place et nous, quand on rentre, on a notre place.

C’est nous-mêmes qui avons compliqué nos vies, alors Jésus veut qu’on apprenne à renoncer à tout cela.

Nous avons seulement qu’à penser à ce que nous avons été étant jeunes; on n’était pas malheureux dans les maisons de nos parents, on était plus heureux que nous le sommes aujourd’hui.

Nous nous sommes bâtis un avenir, mais on a oublié l’amour; on a pensé à notre carrière et on a laissé de côté la famille; nous sommes devenus des êtres froids, nous sommes devenus des êtres calculateurs; nous avons pris pour acquis que notre vie, notre bonheur dépendaient de nous; nous avons pensé à notre vie sur terre, mais nous n’avons pas pensé à la vie que Jésus nous parlait dans l’Évangile.

Jésus, lorsqu’il est venu sur la terre, nous a parlé d’une vie simple; il nous parlait souvent de pauvreté, il nous parlait de vivre en êtres d’amour : il nous montrait comment nous conduire.

En parlant de son Père, il nous parlait de l’amour; en parlant des commandements de son Père, il nous parlait de la façon que nous devions vivre sur la terre, il nous parlait de partage; Jésus venait d’une famille simple : Joseph était un homme simple, il travaillait le bois, et Marie, elle, faisait de la couture; tous les deux avaient un métier, ils le mettaient au service du prochain.

Nous, notre métier, on l’a mis à notre service : tout pour nous, rien que pour nous; nous avons pensé à avoir de grandes maisons, nous avons pensé aux autos, nous avons pensé à la retraite avec un bon compte en banque, on a même fait des projets comme aller dans des pays chauds : on a fait tout cela.

On a même calculé le nombre d’enfants qu’il nous fallait, personne ne nous a obligés; il est vrai que cela est dispendieux aujourd’hui d’élever des enfants : c’est ce qu’on nous a appris, et on y croit, parce que lorsqu’on pense qu’il faut élever nos enfants, on pense à la garde-robe qu’il leur faut, on pense à tous les sports qu’il va falloir qu’on paie, on pense à leurs loisirs, on pense à leurs études; et surtout, on pense à ce que nous nous voulons : nous ne voulons pas nous priver; alors tout cela est très dispendieux parce que nous voyons ça avec ce que nous avons accumulé et que nous ne voulons pas perdre : alors nous sommes convaincus qu’aujourd’hui, avoir plus que deux, trois enfants, c’est trop.

C’est notre vie à nous, ce sont nos choix.

Nous, au Canada, nous voyons cela avec ce que nous sommes, avec ce que nous avons, et nous sommes convaincus que c’est ça le bonheur.

Lorsque nous serons en nous, lorsque nous vivrons notre vie en un instant, tout nous sera montré, tout ce que nous avons accumulé n’aura aucune mesure, car rien de ce que nous aurons accumulé ne sera mesuré par Dieu, car cela n’est pas des fruits, ce sont nos actions qui seront des fruits.

Alors Jésus dit : «Mes enfants d’amour, je vous aime trop pour vous laisser ainsi, c’est moi qui vais vous montrer que vous valez mieux que tout ce que vous avez accumulé.»

À cause de ce monde d’aujourd’hui, nous avons avancé dans quelque chose de mouvant : aujourd’hui, on est comme pris dans cet engrenage et nous avons de la difficulté à nous en sortir.

Il n’y a que Jésus qui va pouvoir nous aider, par nous-mêmes, nous n’y parviendrons pas.

Dieu ne veut pas nous faire renoncer à tout cela par la force, il veut que nous puissions renoncer à tout cela avec amour pour lui; quel mérite on aurait de renoncer à cela s’il y avait une guerre? Le mérite ne nous en reviendrait pas.

Alors Jésus dit : «Je veux vous donner ce que vous, vous ne pouvez pas vous offrir : l’abandon, l’abandon en Dieu par amour.»

Dieu fait de grandes choses pour nous, c’est à nous de vouloir ce qu’il veut nous donner; c’est lentement que Jésus est en train de nous montrer ce qu’il attend de nous; nous avons voulu vivre ces moments d’amour.

Depuis 2001 que Jésus nous parle d’amour, d’abandon, à travers l’instrument que je suis, en utilisant chacun de vous : il nous apprend à vivre notre purification.

Il a fallu qu’il nous montre l’amour avant, il a fallu qu’il nous parle de notre prochain en nous; il nous a démontré combien nous allons être heureux à vivre en lui, à renoncer à notre volonté humaine; eh bien, renoncer à notre volonté humaine, c’est aussi renoncer aux biens matériels.

Jésus ne veut pas que nous soyons tièdes.

Il veut que nous soyons des êtres vrais, il veut que nous soyons total, des êtres complètement abandonnés en lui, c’est pour la plus grande Gloire de son Père.

Son Père nous a donné son Fils : Jésus est notre Sauveur, Jésus est le Messie, alors nous devons croire en lui, il est notre modèle sur la terre.

Jésus est venu en Être simple et c’est en êtres simples qu’il veut que nous vivions; tranquillement, nous avons appris à renoncer au matériel : plusieurs d’entre nous n’avons plus le goût d’aller magasiner, cela est venu par les grâces de Jésus.
Maintenant, il veut que nous regardions nos maisons et que nous fassions du ménage : il veut que nous partagions avec ceux qui ont des difficultés.

Il y a dans toutes les villes des organismes qui aident les pauvres, alors nous devons faire notre part, nous devons donner ce qui est du luxe dans nos maisons et, si on en n’a pas, alors prions pour ceux qui en ont afin qu’ils obtiennent beaucoup de grâces.

Il ne faut pas oublier que Dieu nous demande la prière.

Nous devons prier pour chacun de nous : la prière fait de nous des êtres d’abandon, pour nous et pour ceux que nous aimons : soyons des êtres bons pour l’Église de Dieu.

Jésus nous dit que tout ce que nous accepterons de faire sera des grâces pour nous, sera des grâces pour nos propres enfants, sera des grâces pour notre famille; nos générations seront pour nous des mouvements d’amour.

Dieu nous montrera ce que nous avons fait et il nous montrera ce que nous avons consenti à donner pour eux, ceux qu’on aime.

Il veut aussi que nous puissions donner (afin de donner) beaucoup de grâces à l’Église; l’Église, c’est tous les enfants de Dieu; Dieu est le seul qui peut sonder les cœurs, Dieu sait qui a besoin de grâces, alors nos renoncements se font pour eux, pour ceux que Dieu a choisis.

Alors Dieu veut que nous arrêtions maintenant et de laisser la place à son Église, la Tête de son Église, afin que nous puissions recevoir les grâces qu’il nous a accordées. Merci.

 

Questions et réponses

 

Q. Comment reconnaître que c’est la Volonté de Dieu quand on pose la question? Moi je demande pour moi, mais tout le monde a le même problème. De quelle façon on peut reconnaître sans faute que c’est la Volonté de Dieu quand on doit prendre une décision, qu’on se pose des questions? C’est sûr qu’on peut demander le Saint-Esprit, des fois c’est dans le petit panier qu’on cherche, qu’on va tirer, mais je ne sais pas. Est-ce qu’il y a un moyen infaillible de savoir que c’est la Volonté de Dieu?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout ce qui est amour porte la trace de Dieu, tout ce qui est amour pour le prochain est de Dieu.

Si tu penses à toi alors que ta famille n’est pas en accord, alors que tu as regardé cela avec les yeux de Dieu, tu verras que Dieu veut le bien de la famille; Dieu est Amour, il ne peut être contre ses enfants.

Dieu apporte la paix, Dieu ne trouble pas, il ne domine pas, il ne prend pas, il accorde, il donne.

La Volonté de Dieu est en les commandements de Dieu, la Volonté de Dieu est en le Fils de Dieu, alors l’Évangile est la Volonté de Dieu.

Toute action que vous devez prendre doit être une action qui vous amène à la Vie éternelle; si vous voulez faire une action, faites-la en Jésus : le Fils de Dieu est le Verbe, c’est lui qui va faire la Volonté de son Père.

Il faut penser que chaque pensée que vous avez doit être une pensée de Jésus, chaque action que vous devez faire doit être une action faite par Jésus.

Jésus aime faire la Volonté de son Père.

Jésus est l’Amour, Jésus est la Lumière, le Chemin et la Vérité; alors tout ce qui conduit chaque enfant à devenir amour pour Dieu le Père fait la Volonté de Dieu le Père : le chemin est long mais la route est sûre.

Le chemin est parfois rempli d’embûches : lorsque Jésus a pris sa Croix, il a avancé malgré les insultes, malgré les humiliations, malgré les enfants qui ne croyaient pas qu’il était Dieu, il nous a donné sa Vie pour qu’elle soit notre modèle de vie.

Alors notre chemin est le Chemin de Jésus : il est droit mais il est celui du Christ; là où il nous conduit, là nous devons aller dans l’obéissance à Dieu le Père, qu’à Dieu le Père.

 

Q. Comment on fait quand on apprend le discernement? Et si on a des voix intérieures qui nous parlent, comment on fait pour vraiment savoir si cela vient de Dieu ou si ça vient du mal? Parce que, quand on est nouveau dans ça, puis, en tout cas des fois, moi, je suis un petit peu à l’envers, puis j’ai encore des difficultés à savoir si ça vient vraiment de Dieu ou du mal. Des fois je réussis, mais il y a d’autres fois je réussis moins, puis je voudrais savoir comment on peut vraiment savoir, à part de la confiance et d’être certain, de faire confiance à Jésus, je ne sais pas s’il y a autre chose à part de ça, le discernement, à savoir si ça vient de Dieu ou du mal?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le discernement nous est accordé par la puissance du Saint-Esprit, c’est le Saint-Esprit qui éclaire, qui nous montre ce qui est le bien et ce qui est le mal; tout ce qui nous appartient n’est que le oui ou le non; c’est tout ce qui nous appartient.

Le bien vient de Dieu, il est enveloppé d’amour, il éclaire tout ce qui est bon, il nous apprend à avancer vers le Royaume de Dieu.

Lorsqu’on apprend que Dieu nous veut, c’est qu’en nous on a dit oui à Dieu; lorsqu’on hésite, lorsqu’il y a un doute, c’est qu’on a tourné notre regard vers nous-mêmes, non vers Dieu; nous sommes incertains de comprendre, alors Dieu attend notre oui.

Dieu ne peut obliger aucun enfant à prononcer son oui parce que Dieu est Amour, parce que Dieu est la Toute-Puissance et il n’use pas de sa toute-puissance pour ses enfants parce qu’il nous veut comme ses enfants : alors Dieu doit être ainsi pour toi.

Tu dois être amour pour toi, tu dois être amour pour ton prochain en toi, tu dois savoir que Jésus a donné sa Vie, que Jésus ne prononce pas des paroles contre le prochain, que Jésus n’a pas prononcé des paroles contre lui, donc, tu ne peux prononcer des paroles contre toi.

Tu ne peux prononcer des paroles contre l’Église, car l’Église, c’est Jésus; tu ne peux être contre toi-même car, toi, tu appartiens à Jésus; si tu comprends cela, c’est que tu comprends que chaque enfant appartient à Jésus, alors tu es dans la lumière parce que l’Esprit de Dieu te montre.

Lorsque tu es dans le doute, arrête-toi et prie, prie Marie pour t’abandonner, Marie va t’amener à son Fils afin que tu puisses t’abandonner et, lorsque tu es abandon, tu deviens un instrument entre les mains de Dieu et Dieu t’amène là où lui il le veut.

Là où il t’amène parfois, tu rencontreras des souffrances et lorsque ces souffrances seront abondantes, tu seras enveloppée des grâces d’amour de Dieu parce que Dieu s’est servi de toi pour sauver des hommes.

Et lorsque Satan te trompera, tu sauras parce que l’Esprit de Dieu te montrera, et tu donneras ta vie à Jésus, et tu donneras tes frères et tes sœurs parce que Dieu permet, parce qu’il te sait à lui, qu’à lui.

Lorsque Dieu prend un enfant et que cet enfant se donne à lui, qu’à lui, alors Jésus prend cette petite âme pour qu’elle puisse aider d’autres âmes à s’abandonner : tu deviens l’instrument de Dieu.

Dieu est si amour qu’il ne peut te laisser seule avec toi-même, il sait qui tu es.

Satan ne peut rien contre l’enfant humble, car il sait que cet enfant humble accepte tout de Jésus, et il sait que la Mère de Dieu l’enveloppe de son manteau d’amour.

Q. J’aurais une question. Ce n’est pas par rapport à ce qui a été dit ce soir. C’est deux personnes qui m’ont posé la question, parce que c’est dans le troisième livre, et c’est quand Jésus dit : le mariage, c’est pour l’éternité, alors qu’une anglophone m’a dit : “mais quand ont dit nos vœux, on dit : jusqu’à ce que la mort nous sépare.” Alors, elle se posait la question, “est-ce que je peux me remarier si je suis veuve, et tout ça?”

 

R. Jésus : Sur la terre, deux êtres s’unissent, deux cœurs battent ensemble et lorsque ces deux cœurs découvrent l’amour l’un pour l’autre, Dieu bénit ces deux personnes et elles ont la force de s’abandonner l’une à l’autre pour ne faire qu’un.

Là, ils prennent la décision d’aller vers le prêtre et, par la puissance du sacerdoce, ils reçoivent des grâces.

Le prêtre les bénit par la puissance du sacrement du Mariage, les deux corps ne font qu’un sur la terre.

L’âme de ces deux enfants devient, devant Dieu, des âmes d’amour qui ont consenti devant Dieu à profiter des grâces du sacrement du Mariage.

Lorsque deux âmes consentent à se plonger dans les grâces du sacrement du Mariage, elles connaissent la puissance de ces grâces, et ces grâces leur donnent le bonheur; elles ont devant Dieu la nourriture de Dieu pour leur âme afin qu’elles puissent toujours être pures.

Alors, Dieu n’enlève pas aux âmes ce qu’il a donné; les âmes profitent éternellement de cette joie sans fin ce que Dieu leur donne, tel l’enfant qui reçoit le sacrement du Baptême.

Elle reçoit les grâces de la pureté et cette grâce, elle s’y noie; comme elle connaît cette grâce, elle ne peut en être privée, cette grâce lui est donnée éternellement.

Le corps de ces deux enfants qui s’unissent sur la terre reçoit les grâces pour être fidèle l’un à l’autre, pour se donner l’un à l’autre et pour profiter de l’amour de Dieu sur la terre.

Lorsqu’un être meurt sur la terre, l’autre demeure sur la terre, donc il y a un des deux corps qui va dans une attente; l’autre qui demeure sur la terre va continuer à vivre, et si, sur la terre, son cœur bat d’amour pour un autre, alors Dieu va bénir ces cœurs afin qu’ils puissent avoir ce besoin de s’unir par le sacrement du Mariage, alors l’âme de ces deux enfants va recevoir des grâces du sacrement du Mariage.

L’âme est à Dieu et Dieu aime combler ses âmes, et lorsque le moment sera venu et que ces deux âmes devront aller vers Dieu, lorsqu’ils seront dans le Royaume de Dieu, ils seront dans la grâce du sacrement éternellement.

Et lorsqu’ils rencontreront l’âme qui a été, elle aussi, unie par la grâce du sacrement, ils seront des âmes d’amour et ils rendront grâce à Dieu pour avoir reçu tant de grâces.

Dieu est infiniment amour, il ne prive pas ses âmes de ses grâces et ce que Dieu donne à ces âmes, c’est pour l’éternité.

Voilà pourquoi je vous dis, mes enfants, que chaque sacrement, ce sont des grâces pour les âmes, et ces grâces qui leur sont accordées, c’est éternel.

 

Alors, merci beaucoup.