Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Nantes, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-03-14 - Soir  Partie 1

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus ne vous bousculerait pas – ça  ne fonctionne pas? Ah, c’est peut-être moi. Et voilà, OK. Merci. – Voyez-vous qu’il faut s’entraider? Le monde d’amour ne sera fait que d’enfants d’amour. Pour que nous soyons que des enfants d’amour, il faut ouvrir nos yeux. Et comme nous avons les yeux fermés, Dieu s’en chargera. C’est Dieu qui va nous montrer ce que nous devons faire, c’est Dieu qui va nous préparer à chaque instant à vivre ce que nous devons vivre.  

Nous avons entendu parler beaucoup de messagers, de ce qui s’en vient. Qu’avons-nous compris de ces messages? Comment pouvons-nous, nous, avec notre volonté humaine, comprendre ces messages alors que notre volonté humaine est contre nous? Lorsque nous, nous voulons trop, eh bien, Satan nous sert. Lorsque nous, nous sommes très agités, eh bien, Satan, lui, nous maintient dans cette agitation, parce qu’il se trouve à y avoir beaucoup de courants et comme il y a beaucoup de courants, lui, il nous envoie là où nous on aimerait aller; mais une fois qu’on y va, quelquefois on est déçus.
Le temps de Dieu est un temps d’amour. Le temps de Dieu est un temps de paix, de sagesse, parce que Dieu vit en chaque enfant. Alors, chaque enfant est important pour Dieu. Il ne calcule pas son temps d’après quelques enfants. Son temps à lui, il est éternel et, dans cette éternité, il a mis chacun de nous pour que nous nous accomplissions dans ce temps; alors il ne manquera aucune minute dans le temps de chaque enfant pour sa purification de la chair. Ce que Dieu veut nous faire comprendre, nous, on aimerait que du jour au lendemain on puisse vivre dans une chair purifiée; on aimerait que les trois jours annoncés, ces trois jours essentiels que nous retrouvons si souvent dans la Bible, soient pour nous dans notre temps à nous. Mais c’est quoi notre temps à nous? On dit : "Seigneur, ton temps ou mon temps? Ton bientôt, Seigneur, ou mon bientôt?" Un temps doit être au présent. Lorsque nous sommes dans le passé, il n’y a plus de temps, c’est déjà terminé, et lorsque nous pensons à un temps qui serait pour nous un temps futur – cela n’est pas arrivé – alors, c’est comme si on tombait dans un vide et dans un autre.
Dieu va nous faire vivre le présent. Il va nous montrer tout ce qu’il y a à l’intérieur de nous, caché à l’intérieur de nous par notre souffrance, et cela, il va nous le montrer lorsque nous serons au présent. Il ne nous le montrera pas dans le passé parce que nous ne serons pas avec lui. Il ne nous montrera pas cela pour le futur, nous ne sommes pas capables d’être avec lui dans le futur. Nous ne sommes pas Dieu, lui est Dieu. Nous, nous devons être dans le présent afin de regarder ce qui va ressurgir de l’intérieur de nous.
Levez la main ceux qui étaient ici hier : une bonne majorité. Levez la main ceux qui ont entendu parler de ce qui s’est passé alors qu’ils n’étaient pas là hier : alors la bonne majorité, vous savez que nous allons vivre la Grande Purification. Est-ce qu’il y en a qui n’ont pas entendu parler des trois jours où nous verrons notre vie? – Vous n’avez pas entendu parler de cela? – Dieu nous prépare à sortir de notre tombeau, Dieu nous prépare à vivre dans notre chair comme des enfants d’amour, pour nous, pour Dieu et pour notre prochain, sans aucune pensée qui n’est pas amour, sans aucune parole qui n’est pas amour, sans aucune écoute, regard, action et sentiment. Tout ce qui n’est pas amour va sortir de nous, et tout cela Dieu nous en parle depuis 2001 à travers l’instrument que je suis. Il en parle à d’autres. À travers la mission que nous avons, Dieu fait sortir de nous ce qui est pour nous : on veut entendre, on veut entendre notre vérité, on veut entendre ce qui va faire que nous allons sortir de notre tombeau.
Oui, Jésus, il a pris nos péchés, oui, Jésus, il a vaincu le mal. Trois jours que Jésus est allé aux enfers, le troisième jour, il ressuscita. Mais nous, sommes-nous ressuscités? Lorsque Jésus a été dans la Gloire de son Père, il brillait plus que le soleil, plus que la lumière du jour. Il était dans la joie. Nous, nous ne sommes pas dans la joie : nous pleurons, nous avons faim, nous crions, nous voyons la pauvreté, il y a de la guerre, on ne cesse de violer nos enfants. Nous vivons dans une très grande souffrance sur la terre : une vallée de larmes, parce que nous vivons dans les conséquences de nos mauvais choix devant le péché. Chacun de nous, nous vivons cela, et cela est depuis Adam. Nous vivons la conséquence de la tache originelle, de la désobéissance; nous vivons les conséquences des mauvais choix de Caïn lorsqu’il a jalousé son frère, lorsqu’il a tué son frère, lorsqu’il s’est éloigné des enfants fidèles, de la fidélité. Lorsqu’il est allé au loin, il a connu la conséquence de son infidélité envers sa chair, envers l’amour de Dieu pour ses enfants, envers l’amour pour lui-même et envers l’amour pour son prochain. Eh bien, nous vivons cela, nous vivons nos conséquences.
Jésus, lui, a accompli pour nous, pas pour lui, pour nous, ce que nous nous devons vivre. Il nous a obtenu les forces nécessaires pour vivre ces trois jours de ténèbres, les mêmes jours que Jésus. Pensons maintenant à Pierre. Pierre a renié son Dieu d’amour, Celui qu’il avait suivi, aimé, adulé. Il l’a renié par trois fois. C’étaient ses choix, ses choix devant la tentation. Il a pleuré trois jours : trois jours à pleurer, à se sentir incapable de regarder son adorable Maître, trois jours à ne pas être capable de se dire être aimé de son Dieu, alors que son Dieu, son Maître, lui avait démontré son amour. Pendant trois jours, il a été incapable, il ne savait pas comment se pardonner. Eh bien, nous, nous avons reçu la force par ses pleurs, car lorsqu’il a été vers son Dieu, là il a reçu une force. Il fallait qu’il pleure, qu’il regrette, il fallait qu’il connaisse sa faute afin qu’il puisse se regarder, afin qu’il puisse savourer ce qu'est le repentir.

Pierre était notre repentir. Il était le pape, le premier pape, et il nous a montré le chemin que nous devons suivre. N’est-il pas la pierre sur laquelle Jésus a dit : «Pierre, sur cette pierre je bâtirai mon Église»? Eh bien, nous allons vivre ce que notre pape, le premier pape a vécu. Et Pierre, lorsqu’il est sorti de cela, il a été jusqu’à la mort, jusqu’à la mort avec amour, avec amour pour l’Église. Sommes-nous prêts, nous, à aller jusqu’à mourir pour Jésus? Qu’à l’instant même, des hommes dans l’entrée se présentent et qu’ils nous disent : si un seul de vous, vous prononcez le mot Jésus, il est mort. Sommes-nous prêts à dire : Jésus? Il le faut. Mais avant de dire Jésus, Jésus va vous montrer : «Vous allez connaître mon amour, vous allez ressentir la puissance de mon Père, vous allez avoir tout ce qu’il vous faut pour avancer, vous obtiendrez tout de mon Père». Jésus va faire cela avant qu’on prononce le mot 'Jésus', car Jésus ne nous mettra pas dans une situation comme cela simplement pour nous montrer que nous devons le suivre envers et contre tout.

Jésus est un Dieu libre, c’est notre Dieu, alors il prend soin de ses enfants. Il ne met pas ses enfants dans la peur, il ne met pas ses enfants dans une situation qui va les ébranler. Jésus, il prépare. Jésus, il soigne, il soigne notre cœur et c’est ce que Jésus est en ce moment en train de faire. Il va soigner notre cœur, il va guérir nos pensées malades, notre écoute affectée par le péché. Il va nous montrer que nos paroles doivent être des paroles pour nous, pas contre nous. Il va nous montrer que nos actions portent de la puissance, que notre cœur c’est un cœur de chair et non un cœur de pierre, et là, nous serons prêts à prononcer Jésus, pas avant, car Jésus nous prépare quelque chose de très grand.

Rappelons-nous de l’Apocalypse. Il est dit que les corps corruptibles vont redevenir des corps incorruptibles. Il est dit qu’un monde d’amour sera sur la terre et le mal ne se fera plus connaître à lui. Il est dit que nous serons unis. Eh bien, Jésus est en train de préparer chacun de nous pour cela. Nous allons vivre sur la terre sans avoir contact avec le mal. Mais lorsque nous pensons 'sans avoir contact avec le mal', nous pensons à Satan, aux démons; c’est eux le mal, mais n’oublions pas que nous avons en nous le mal. La volonté humaine connaît le bien et cherche à éviter le mal.

Nous avons eu des connaissances par Dieu jadis. Lorsqu'Adam et Ève ont commis le péché originel, eux qui n’avaient jamais connu le mal, comment pouvaient-ils éviter le mal? Ils ne pouvaient pas, il n’y avait pas de mal sur la terre autre que le péché originel et qui était une tache sur l’âme, alors Dieu les instruisait. Dieu les instruisait et leur montrait comment se tenir ensemble. Ils ne se séparaient pas, ils formaient un peuple : le peuple de Dieu. Ils mettaient en eux des paroles, des paroles afin qu’ils puissent être sous le regard de Dieu. Il instruisait lui-même ses enfants. Alors ils savaient, les enfants, que lorsqu’ils s’éloignaient, il pouvait y avoir un danger. Ils ne le connaissaient pas, ils ne le voyaient pas, mais il pouvait y avoir un danger.

Dieu leur donnait tout ce qu’il leur fallait afin de se nourrir. Il leur montrait comment se servir de telle ou telle plante pour s’alimenter, pour se vêtir. C’est Dieu qui instruisait, ce n’était pas eux-mêmes. Dieu les guidait et Dieu leur montrait comment faire attention pour ne pas abuser sur la récolte, pour ne pas abuser sur les plantes qu'ils devaient utiliser pour s’habiller. Tout était un équilibre. Ils tuaient des animaux, parce que nous savons très bien qu’Abel offrait les petits de son troupeau et il offrait cela par amour pour Dieu. Pourquoi Dieu voulait-il des offrandes? Parce qu’il mettait dans leur cœur ce besoin de donner ce qu’ils recevaient. Ils recevaient tout de Dieu. Alors Dieu, lui, aimait aussi recevoir de ses enfants. Il leur apprenait à donner et à recevoir et tout était dans une harmonie d’amour.

Lorsque Caïn, Caïn a commencé à regarder son frère, c’est parce qu’il a commencé à accepter une tentation. Il regardait ce que son frère faisait. Pourquoi regardait-il son frère? C’est comme s’il voulait apprendre. Il n’avait pas à apprendre, tout venait de Dieu. Mais les tentateurs voulaient qu’il compare ce qu’il faisait d’avec ce que son frère faisait. Cela n’était pas de Dieu. Le choix de Caïn devenait un choix pour lui-même, pas pour Dieu, pas pour son prochain, mais pour lui-même. C’est parce que le Tentateur se faisait sentir à lui. Le Tentateur, c’est le moi.

Lorsque Lucifer a refusé d’adorer le Fils de Dieu fait chair, tout s’est tourné vers lui, pas contre lui, vers lui. Il a goûté à la noirceur, il a goûté à ce qu’il était : il goûtait à son moi. Alors, il voulait que Caïn goûte à son moi; alors, c’est le moi qui s’est approché. Une fois que le moi s’est approché, l’autre a répondu à un moi : je vais comparer, je vais comparer, alors que tout ne devait être que pour Dieu et non pas pour lui, que pour Dieu. Lorsqu’on donne tout à Dieu, Dieu multiplie, mais lorsqu’on garde pour soi, Dieu ne peut multiplier parce qu’on se sépare de Dieu. Caïn s’est lui-même séparé de Dieu. Alors, comment son offrande pouvait-elle être une offrande pure? Son offrande portait de l’impureté, car ce qu’il était touchait à ce qu’il faisait. Tout se contaminait. Il vivait une conséquence : la tentation : je me regarde et je donne ce qui est de moi; alors Dieu recevait ce qui était de Caïn. Mais Dieu n’a pas rejeté cela, mais il démontrait à Caïn : «Mon enfant, ce que tu m’offres n’est pas de moi, mais de toi. Prends garde, prends garde à ce que toi tu vas devenir.»

Avec le temps, avec le temps, il est devenu un être qui voulait se satisfaire et plus il allait, plus il choisissait ce qu’il donnait à Dieu: "Je ne donnerai pas ma meilleure récolte, je vais la garder pour moi, mais je vais donner à Dieu une offrande." Il apprenait à se satisfaire. Et cela est en nous. D’année en année, la chair a connu cela; d’année en année, la chair a aimé ce qu’elle goûtait; d’année en année, la chair a regardé ce qu’elle aimait regarder; elle a écouté ce qu’elle aimait écouter; elle a dit ce qu’elle aimait entendre dire : elle s’en nourrissait. Alors, les actions de ce que la chair était nourrissaient, nourrissaient le cœur et le cœur durcissait.
Voilà pourquoi, dans l’Ancien Testament, le monde est devenu un monde d’entêtement. Le peuple de Dieu, son peuple, s’entêtait toujours, toujours et toujours : "Moi je sais ce qui te plaît, Dieu, je vais te le donner". Alors Dieu les faisait vivre dans leurs conséquences : «Alors, que cela soit. Montre-moi ce que toi tu veux me donner.» Alors ce qu’ils donnaient c’était ce qu’ils étaient eux-mêmes : ils donnaient leur pauvreté alors que Dieu aurait tellement voulu leur donner l’abondance. Le peuple de Dieu est devenu un peuple de souffrance, le peuple de Dieu est devenu un peuple orgueilleux. Mais le peuple de Dieu aimait Dieu. Il voulait, avec ce qu’ils étaient, offrir à Dieu. Combien d’enfants ont donné des offrandes à Dieu afin d’obtenir, obtenir une guérison afin d’obtenir des biens, car ils voulaient plaire à Dieu, mais avec ce qu’ils étaient.

Nous sommes ici. Nous voulons donner à Dieu nos enfants avec ce que nous sommes. Nous demandons à Dieu de nous aider à trouver un emploi avec ce que nous sommes. Nous voulons obtenir une guérison avec ce que nous sommes. Il y en a qui guérissent : une guérison pour eux-mêmes ou pour leur enfant, alors que Dieu veut plus que cela. Dieu veut nous donner l’abondance. Dieu veut que nous soyons ensemble. Lorsqu’il instruisait les enfants d’Adam et Ève, il instruisait tous les enfants. Ils étaient ensemble et c’est ainsi que nous devons vivre : ensemble. Cessons de nous séparer, cessons de demander une guérison pour une personne ou pour notre enfant, cessons de demander un emploi pour nous-mêmes. Nous sommes des individualistes, on ne vit que pour soi-même. Lorsqu’on veut du bien pour son enfant, ses enfants, eh bien, on ne veut du bien que pour la chair de sa chair. Dieu veut qu’on soit tous ensemble pour obtenir en abondance. Lorsqu’il donnait une bonne récolte à ses enfants, eh bien, il donnait une récolte pour tous ses enfants, pas seulement pour un, mais pour tous. Et c’est ainsi que nous allons vivre, c’est ainsi que Dieu va faire pour nous.

Nous sommes une Église. Lorsque Pierre a pleuré, il a pleuré sur sa faute parce qu’il se souvenait. Il se souvenait que Dieu lui avait dit : «Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église». Il avait la parole facile, Pierre, il avait le caractère fort, Pierre, il était tout feu parce qu'il avait la force de Dieu. Et les apôtres étaient autour de Pierre et ils aimaient que Pierre prenne la parole devant son Maître, car ce que Pierre disait, ils écoutaient. Ils écoutaient Pierre qui parlait à Jésus au nom des autres. Ils le ressentaient et Pierre savait. Comprenez-vous la souffrance de Pierre? Il ne l’avait pas seulement pour lui. Il l’avait devant ses frères et ses sœurs, car il y avait des femmes qui suivaient les apôtres, les disciples, Jésus. Il sentait qu’il était choisi par Dieu. Dieu lui démontrait qu’il devait être l’unité du peuple de Dieu, de l’Église, et il a accepté. Il a été jusqu’au bout. Il a pleuré, il a demandé pardon.

Nous, nous devons faire la même chose. Nous ne devons plus accepter que Satan se serve de nous pour mettre en nous son venin afin qu’on puisse devenir des individualistes. Nous devons refuser cela. Nous devons être une Église, nous devons être la force dans l’Église. Jésus dit : «Comment allez-vous combattre si vous vous éparpillez? Satan va vous atteindre. Soyez ensemble, marchez ensemble, soutenez-vous les uns et les autres. J’ai accepté qu’on m’aide à porter ma Croix, alors acceptez que quelqu’un porte votre croix, acceptez de porter vous-mêmes la croix d’un autre. Faites ça ensemble.» Et ça, ce sont les enseignements de Jésus. C’est l’Évangile. Jésus est venu fonder son Église et une Église n’a qu’une Tête : la sienne. Nous sommes les membres de Jésus. Alors, là où est Jésus, nous devons aller et cela, nous devons l’accomplir, mais pas avec notre chair, pas avec cette chair qui s’est laissé engourdir par Satan, par les mensonges, les hypocrisies, l’égoïsme, le moi.

Renoncer à sa volonté humaine, c’est renoncer à son moi : "C’est toi Dieu, c’est toi qui sais ce qui est bon pour moi, c’est toi qui guéris, c’est toi qui me reposes, c’est toi qui me donnes la force, c’est toi qui me donnes la patience, c’est toi qui me donnes ce dont j’ai besoin pour m’aimer. Je n’ai pas à aller le chercher chez mon prochain, car c’est toi l’amour. Remplis-moi de ton amour, car là où j’ai été, je n’ai jamais trouvé ton amour, car même en mes enfants, je retrouvais un amour qui avait peur, un amour qui était déçu, un amour qui contrôlait, qui dominait, car je reconnaissais ce que moi j’avais reçu. J’avais reçu un amour contrôlant, dominant, un amour qui ne cherche qu’à recevoir mais si maladroit pour donner, ou un amour qui donne mais qui ne sait pas recevoir." On a donné à nos enfants ce que nous avons reçu : un amour blessé.

Il n’y a que Jésus qui soit un amour parfait et c’est cet amour qui doit nous nourrir, cet amour qui doit guérir, cet amour qui doit libérer, et là nous apprendrons à nous pardonner, là nous apprendrons à nous regarder, à nous écouter, nous apprendrons à nous parler : on va se parler soi-même, on va se nourrir de notre propre parole. Nous allons avoir un esprit : l’Esprit de Dieu. Nous allons avoir des actions dans nos cœurs, car ces actions seront nourries de Dieu et non pas d’un monde qui nous dit quoi faire, d’un monde qui nous dit qu’on ne doit pas faire ceci ou faire cela. Dieu va nous dire quoi faire. Nous allons être instruits par l’amour de Dieu et notre cœur, notre cœur va être fort, notre cœur va être solide, et nous saurons, nous saurons qu’il faut dire telle parole, car ses paroles nourriront. Nous saurons qu’il faut qu’on écoute parce que ce qu’on écoute, c’est pour nous, car cela vient de Dieu et non pas d’une chair blessée, mais de Dieu. Cela se fera ressentir à l’intérieur de nous.

Comment pouvons-nous nous dire : une chose est bonne, une chose n’est pas bonne? On ne sait même pas s’aimer. On traîne notre tombe avec nous, on est fatigués, on veut s’arrêter, mais on ne sait pas où se reposer. Alors, lorsqu’on voit qu’on n’a pas de repos, on continue, on continue et on nuit, on nuit à ce que nous sommes et on nuit à tout le monde autour de nous. Tant que nous n’apprendrons pas à s’aimer inconditionnellement, nous, s’aimer inconditionnellement avec l’amour de Dieu, nous ne pourrons donner le meilleur de nous-mêmes à tous ceux que nous aimons. Lorsque nous apprendrons à nous aimer inconditionnellement, on va vouloir tous être ensemble. C’est la souffrance qui sépare, c’est la volonté humaine qui jalouse. Il faut vraiment comprendre ce que Jésus nous dit.

Qui d’entre nous n’est pas capable d’aimer un tout petit bébé qui vient de naître? Oui, on est capables d’aimer un petit bébé qui vient de naître. On voudrait tant le prendre dans nos bras, mais on n’est pas capables, on est trop maladroits; on voudrait tant le nourrir, mais est-ce qu’il a faim? C’est-tu trop lui donner? Est-ce que je vais attendre? On est incapables de comprendre l’amour que nous avons pour cet enfant; on voudrait tant qu’il nous regarde, on voudrait tant qu’il soit une joie pour nous. Déjà on lui montre, déjà on lui montre qu’il y a de la faiblesse. On cherche à capter son attention et tout ce qu’il regarde, ce sont des yeux qui manquent d’amour inconditionnel pour ce qu’ils sont : nous-mêmes, et cela, dès les premières heures d’un bébé sur la terre.

Jésus va tout replacer cela. Il nous montre comment faire. Il veut qu’on revienne à l’état de tout petits enfants et il se charge de nous. C’est lui qui va mettre les paroles en nous pour qu’on puisse s’aimer, et ces paroles, il va faire en sorte qu’on puisse les utiliser lorsqu’on va ressentir en nous que nous sommes blessés à cause d’une tentation qui va venir de l’extérieur, car une tentation de jalousie va réveiller en nous de la souffrance. Mais comment reconnaître cette souffrance? Cette souffrance peut être une souffrance d’envie, cette souffrance peut être une souffrance de complexe d’infériorité, cette souffrance peut être une souffrance de peur, d’insatisfaction, cette souffrance peut être une souffrance de contrôle, de domination. Dieu va nous va le faire ressentir que cela est une souffrance, car lorsque cela sera près de nous, cette tentation, et que quelque chose monte en nous, nous apprendrons à nous arrêter. Est-ce que c’est de la joie que je ressens? Est-ce que c’est de la paix? Est-ce que c’est de l’amour? Si cela n’est pas joie, paix, amour, c’est une tentation qui vient à l’extérieur et qui réveille en nous une souffrance.

Satan se sert de tout le méchant qu’il a mis en nous pour réveiller ce qui pourrait le servir. Lorsqu'il est près de nous et que nous répondons à cette tentation, il va se servir de nos blessures : c’est une blessure la jalousie, c’est une blessure l’envie, c’est une blessure la domination. Ce sont des blessures dont les esprits impurs se servent. Ce sont eux qui nous ont marqués. Ils ont marqué notre chair de leur langage. Ils savent qui approcher, car ils voient en cet enfant ce qu'eux ont mis : leur mal, leur venin. Ils reconnaissent en nous ce qu’ils sont. C’est comme si on était l’image de leur malice. Alors, lorsqu’ils voient qu’un enfant est orgueilleux, ils le voient dans le visage, ils le voient dans les yeux, ils voient ce qu’elle porte comme écoute, cette personne. Ils peuvent, par les paroles qu’on dit, savoir ce qu’il y a dans nos pensées, car ils reconnaissent leur mal. Ils voient, selon la façon que nous nous agissons, ce qu’on ressent, car ils ont fait en sorte que nous agissions comme eux voulaient qu’on agisse. Et tout cela, ils s’en servent contre nous. Ils nous mettent devant des situations qui feront que nous sortirons ce qui est en nous pour attaquer encore une fois notre chair et chacun de nous.

Toute chair sera attaquée : que ce soit des enfants qui portent un amour inconditionnel devant Dieu, la chair souffrira; que ce soit des enfants qui aiment Dieu – oui c’est agréable d’aimer Dieu, oui peut-être, peut-être pas – les tièdes : ils attaquent la chair; que ce soit des enfants qui n’aiment pas Dieu, ils attaquent la chair; que ce soit des enfants qui ne connaissent pas Dieu, ils attaquent la chair. La chair, c’est matière. La chair vient de la Matière Parfaite et la Matière Parfaite n’est autre que Jésus fait Homme, Dieu-Homme, Celui même qui s’est présenté à son Père. La Matière en Dieu s’est fait voir aux esprits purs et les esprits qui ont adoré Dieu sont demeurés des esprits purs. Ceux qui n’ont pas voulu adorer sont devenus le mal à l’état pur, et le mal à l’état pur attaque la chair.
Lorsque nous, avant que nous soyons sur la terre, nous étions en Jésus – toute matière a toujours été en Dieu, car Dieu contient tout puisqu’il est le Tout-Puissant, puisqu’il est l’Éternel – alors, nous qui sommes chair, nous venons de la Chair Parfaite. C’est Dieu qui voulut en son temps créer, créer ce que nous sommes. À l’instant où il dit créer ce que nous sommes –  «Créons à l’image de ce que nous sommes» – : des enfants, tout fut créé, tout fut créé. Alors, lorsqu’Adam fut créé sur la terre, Dieu faisait ce que lui avait accompli devant son Père. Alors Adam fut et nous nous fûmes parce que lorsqu'Adam fut créé, Ève fut créée avec la chair d’Adam et ainsi de suite jusqu’à aujourd’hui. Alors, lorsque nous, nous répondons à une jalousie, eh bien, Satan qui se sert de cette jalousie fait souffrir toutes les chairs qui appartiennent à Dieu. Toutes les chairs qui appartiennent à Dieu, il les fait souffrir, car nous sommes de la chair. On ne peut pas se séparer.

Voilà pourquoi Dieu veut que nous soyons dans la connaissance que nous sommes un peuple, que nous sommes membres de son Corps à lui. Il n’y a pas deux corps, il y en a seulement qu’un : le Fils de Dieu fait Chair. Alors, nous sommes cette unité. Satan a voulu nous diviser. Satan a voulu faire de nous des êtres individualistes et, pour réussir, il a fallu qu’il fasse connaître le moi. En nous faisant connaître le moi par celui qui a écouté Caïn, nous sommes tous devenus des tout petits moi et nous souffrons parce que nous ne sommes pas créés pour être des moi. Nous sommes créés pour être une unité d’amour : tous des enfants de Dieu qui ont le même regard, la même écoute, le même esprit, les mêmes paroles, les mêmes actions, les mêmes cœurs dans ce que Dieu a voulu qu’on soit. Si une personne a une habilité pour coudre, eh bien, son habilité sert tous les enfants de Dieu. Si un autre a une habilité pour le chant, eh bien, ce chant sert tous les enfants de Dieu. Voilà ce que Dieu a fait pour nous. Il a mis en nous des talents pour chacun de nous. Nous sommes pour les autres et les autres sont pour nous et lorsque nous acceptons cela, cela c’est de l’abondance, cela sert tous les enfants de Dieu. Nous recevons de tous les enfants de Dieu.

Voilà pourquoi, lorsque nous prions, nous devons prier non seulement pour notre enfant, mais pour tous les enfants de Dieu. Si nous voulons que notre enfant obtienne un emploi, eh bien, prions pour que tous les enfants du monde soient dans l’emploi que Dieu veut pour lui. Ainsi, nous recevrons toutes les grâces que Dieu a données à chacun pour que chacun puisse s’accomplir dans le quotidien avec ses grâces. Alors, un va donner à l’autre et un va donner à l’autre : moi je vais donner, je vais recevoir, je vais multiplier. Ce sera sans cesse de l’amour qui donne et qui reçoit. Personne, personne ne pourra manquer de rien, car nous serons une grâce pour chacun, nous serons un talent pour chacun. Dieu veut qu’on réalise cela.
Nous devons vraiment être dans ce que nous sommes : l’amour. Si l’on veut être un talent pour les autres, alors aimons-nous, aimons-nous inconditionnellement. Cessons de dire : 'Je n’ai pas une belle voix, je n’ai pas le regard d’un autre, je ne suis pas capable de jouer de la musique'. Chacun est important pour les autres. Lorsque je dis : 'Je ne suis pas bonne dans la musique', eh bien, c’est la personne qui, elle, a besoin des grâces de Dieu pour que son talent fructifie pour nous. Eh bien, nous venons de couper des grâces qu’elle a droit, car Dieu va nous donner de la paix : «Calme-toi. Ne sais-tu pas que je t’ai donné à toi des talents? Ne sais-tu pas que je t’aime? Tout ce que tu es est sous mon regard. N’envie pas ton prochain, donne-moi cela. Je vais, moi, te montrer que ce que moi je t’ai donné, c’est de l’amour pour toi. Aime-toi.» Et lorsque nous accepterons ces grâces, là, nous entendrons de la musique qui vient à nous par un tel ou un tel enfant et nous apprécierons sa musique parce qu’elle sera pour nous de la joie, de l’amour et de la paix. On se nourrira.

Chacun a reçu pour nous, et nous, nous avons reçu pour les autres. Il faut le réaliser. Il faut que cela soit compris en nous pour que nous puissions vivre la purification de la chair. Il faut aimer cette chair. Il faut regarder ce qui vient de Dieu : "Ô Chair Éternelle, tu m’as donné ta propre chair, tu fais couler en ma chair ta toute-puissance, ton amour, et tout ce qui est de moi vient de toi. Tu m’offres ta puissance, tu me fais goûter à ta chaleur. Tout de moi est de toi et je suis de toi qui es la Perfection. Apprends-moi, apprends-moi à regarder qui je suis, à ne plus me juger. Montre-moi que lorsque je me regarde, je suis ce que toi tu veux que je sois. Accorde-moi les grâces que j’ai besoin afin d’être devant toi la beauté que je suis. Ce n’est que par tes grâces que je vais me sentir dans ta beauté.

J’ai fait ce qui ne devait pas être fait à tes yeux, mais tu m’as toujours aimé. Tu n’as jamais détourné ton regard de moi alors que j’ai détourné mon regard de toi pour me cacher. J’ai eu honte et toi tu m’as appelé. Je me suis caché la vérité afin que tu ne saches pas ce que je savais. Mais on ne te cache rien, car tu sais, toi, que ma douleur a été jusqu’à vouloir me cacher la vérité. Cette douleur, tu la connais, tu l’as même ressentie en toi afin de me donner de la force de me regarder. Je veux être ta vérité, je ne veux plus être le mensonge, car je sais que tu m’apprends à m’aimer, je sais que tu me donnes des grâces afin que je puisse continuer sur ce chemin de lumière.

Ô éternel, éternel amour dans lequel tu me plonges, je veux vivre cet instant d’éternité dans ton éternité, car je suis éternel puisque tu m’as donné ton souffle de vie. Je pénètre dans ce temps d’amour par ta puissance. Je fais connaître à ma chair ce qu’elle a oublié pour qu’elle puisse toujours espérer de connaître sa perfection. Ô Chair Éternelle, comment ne pas prononcer ce mot : Chair Éternelle! Cela est si bon. Je goûte ce que je suis. Toi en moi, moi en toi : mouvement d’amour qui se donne et qui se donne et qui appelle l’éternité à écouter ce temps précieux. Éternité d’amour, éternité qui s’accomplit, éternité qui se laisse voir, perfection en tout parce je suis le tout de ton Tout." Comprendre cela, c’est accepter de vivre ce temps qui est pour nous le temps de Dieu. Nous sommes dans le temps de Dieu et le temps de Dieu va s’accomplir. Rien n’arrêtera ce temps, car Dieu a choisi de toute éternité ce moment pour nous. Aucune blessure ne sera oubliée, car Dieu nous montre, nous montre notre vie. Il n’y a que Celui qui a tout connu qui peut nous montrer qui nous sommes, car nous sommes la chair qui porte toutes les chairs depuis la première jusqu’à la dernière qui est dans la souffrance. Tout est pour nous et c’est le temps de Dieu : temps de vérité où la volonté humaine n’a plus sa place.

Nous sommes enfants de la Divine Volonté et c’est la Divine Volonté qui s’accomplit devant nous. Si chacun de nous nous vivons cela, c’est par les mérites de la Mère de Dieu, notre Maman du Ciel. Elle nous a mérité cette place dans le Cœur de son Fils. Elle a montré à Dieu la perfection de tout ce que nous étions pour être, car Adam, Ève, n’ont pu montrer à Dieu ce que chacun de nous devions être, mais Marie elle, elle l’a montré. Voilà pourquoi, aujourd’hui, nous lui devons d’avoir la première place dans notre vie, la première place dans notre vie, car elle est la seule, la seule qui sait que son Fils nous a préparé notre place. C’est elle qui nous amène à lui et qui nous fait disparaître afin qu’on puisse nous aimer inconditionnellement. C’est notre amour et notre amour inconditionnel qui s’est fait goûter au Cœur de Dieu et elle, elle nous avait en son Cœur, elle nous avait en elle; ainsi, Dieu goûta l’amour que nous étions : un amour inconditionnel. Il ne reste plus qu’à tout accomplir, car le Ciel a tout préparé pour nous.

Nous vivons des grâces qui nous dépassent; alors, acceptons-les comme des tout petits enfants qui viennent au monde. Vivons-les et le reste c’est pour demain. Alors, levons-nous, levons-nous pour offrir à Maman Marie ce qu’elle attend de nous. Mettons notre cœur en avant de nous. Touchons notre cœur. Soyons la fidélité en les enfants d’Adam et Ève, ceux qui n’avaient pas commis de péché en leur chair. Soyons avec eux. Promettons d’être dans cette fidélité jusqu’au bout par amour pour Celui qui nous a créés. Ce cœur appartient à Dieu, ce cœur est à lui. Lui seul a ce droit d’arracher notre cœur et d’y mettre son propre Cœur.

"Ô Cœur tendre, ô Cœur d’amour, que tout cœur soit devant l’appel du Dieu Vivant afin que tous les cœurs repentants s’unissent au Cœur même de Celle qui a laissé percer son Cœur d’un glaive, acceptant tout sans un seul mot de reproche envers les enfants qui devaient percer le Cœur de son Fils. Acceptons d’aimer inconditionnellement l’être que nous sommes, car l’être que nous sommes vit dans le Cœur du Christ. Acceptons de nous regarder comme Pierre s’est regardé. Acceptons de pleurer comme Pierre a pleuré. Acceptons de prononcer notre pardon comme Pierre a prononcé le pardon. Acceptons d’aller chercher les autres afin de rassembler le peuple de Dieu. Marchons sur les pas de Celui qui conduit le peuple de Dieu dans la terre promise. En acceptant cela, nous acceptons de connaître le bonheur parfait, nous acceptons de regarder la Lumière qui nous fera voir ce que nous avons en nous. La Parole s’inscrit dans le Cœur même du Christ et elle brûlera jusqu’au dernier moment de la Purification.

Mère, tes enfants s’accomplissent devant ton Fils : ils font allégeance devant le Roi; ils promettent de toujours être fidèles à la couronne, de combattre le mal avec les armes de l’amour; ils promettent d’avancer en étant des enfants humbles devant l’adversité; ils renoncent à l’orgueil, à leur moi; ils promettent de faire tout pour leur Dieu sans aucun regret pour le passé; ils avancent dans la paix; ils se reconnaissent être dans la Lumière du monde, le Fils de Dieu, venu sur la terre pour les instruire; ils seront la Parole, et la Parole instruira; ils donneront et ils recevront l’amour divin de Dieu l’Éternel." Acceptez-vous cette vérité? Cela est pour l'éternité.

Maintenant, vous pouvez vous asseoir. Si chacun de nous vivons ces instants, nous les vivons en Dieu. Ce n’est pas à nous, mais à l’Église que nous nous sommes présentés, c’est à l’Église elle-même, car nous sommes baptisés, nous sommes prêtres, prophètes, et nos paroles sont agissantes. Dieu est dans sa puissance et chacun de nous, nous portons la responsabilité de notre âme, la responsabilité de notre chair. Lorsque nous acceptons d’être fidèles, eh bien, nous acceptons tout ce qu’il y a avec : les lois d’amour, la Parole de Jésus. Et Dieu, lorsqu’il écoute ses enfants, c’est lui-même qui s’engage à leur faire vivre ce qu’ils ont demandé à Dieu. Lorsque vous priez, Dieu écoute; lorsque vous vous abandonnez, Dieu agit. C’est ce que Dieu veut nous faire réaliser. Lorsque nous acceptons de mourir en le Cœur de Jésus en passant par le Cœur de Marie, nous devenons les enfants de la Promesse. Dieu a promis aux enfants, ses enfants, la terre promise. Il l’a promise à Abraham et nous sommes les enfants de la Promesse, car nous l’avons dans notre cœur. Nous voulons vivre dans une terre où le miel coulera, où tout ne sera qu’abondance, et Dieu écoute et Dieu accomplit son œuvre.

Il a demandé à son peuple de renoncer à leur volonté humaine, d’avancer et d’écouter ses lois, de ne pas adorer un autre Dieu que lui. Il a parlé par la bouche de Moïse. Le peuple de Dieu devait écouter. Ils devaient écouter avec leur cœur, mais ils ont écouté avec leur tête et ils ont tenu tête à Dieu. Dieu démontre que par le cœur nous avons cette force. Par le cœur, nous suivrons les dix Commandements de Dieu, nous ferons ce que Jésus veut que nous fassions : nous aimer comme Dieu nous aime, aimer notre prochain comme nous on doit s’aimer, ainsi nous donnerons à Dieu ce qui est à Dieu. Nous sommes à Dieu. Nous n’appartenons pas à ce monde.

Jésus vient nous parler en notre cœur et c’est avec des mots simples qu’il utilise pour nous parler. Il est notre Dieu et nous sommes ses enfants. Il vient parler à des tout petits comme nous et il nous utilise. Il va utiliser chacun de nous pour détruire le mal. Les esprits impurs, par des enfants qui ont fait allégeance, vont s’accomplir en disant leur non aux tentations, en croyant que Jésus envoie les tentations au pied de sa Croix, en croyant que nous allons guérir. Jésus, notre Dieu amour, a accompli les Écritures, et nous sommes la chair de la Chair Parfaite, donc tout est accompli. Le mal a tout fait pour que nous ayons peur de lui. Il a mis à la tête des enfants de la terre des personnes qui écoutent Satan, mais nous, nous décidons d’écouter Jésus.

Nous venons de démontrer avec notre cœur que nous avons confiance au Cœur de Marie pour disparaître totalement dans le Cœur de Jésus. Oui, nous voulons mourir par amour pour Dieu et c’est notre liberté. Notre seule liberté est en nous, elle n’est pas à l’extérieur de nous. Ce n’est pas en vivant avec une chair impure que nous pouvons dire être libres; nous sommes libres par notre intérieur : aimer, aimer inconditionnellement.

Aujourd’hui, en ce moment, nous vivons un présent en Dieu. Demain sera un présent en Dieu, car rappelez-vous de ce que vous venez de faire : vous avez fait une promesse à Dieu, car il est dit dans la Loi de Dieu : «Que toutes paroles portent des conséquences, que tous gestes portent des conséquences». Alors ce que nous venons de faire en croyant que cela est vrai et que nous allons faire tout, cela portera des conséquences, des conséquences d’amour. Nous avons promis de nous aider les uns et les autres. Qu’un seul tombe, les autres vont aider. Nous l’avons promis, nous avons fait une promesse de fidélité. Les premiers enfants de Dieu étaient instruits par Dieu. Eh bien, nous avons été instruits par Dieu et nous lui avons promis de faire ce qu’il nous a dit et cela est inscrit dans notre cœur, et cela nous le verrons, car notre livre de vie porte ces non.

Nous sommes avec Dieu ou nous ne le sommes pas. Il faut arrêter d’être des tièdes. Nous aurons la force de renoncer à toute idolâtrie, nous aurons la force de nous fermer lorsqu'une tentation de jugement venant de notre prochain se fera connaître à nous, car nous serons occupés à l’intérieur de nous pour dire : "Je refuse cette tentation. Merci Jésus de l’envoyer au pied de la Croix, merci de guérir tous mouvements de vie malades, du premier jusqu’au dernier, toi tu sais lequel qu’il faut guérir. Merci Marie de me donner des grâces." Et nous allons persévérer et tout s’accomplira, car Dieu tient ses promesses. Tenons nos promesses, Dieu va tenir ses promesses. Amen. Alléluia. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous allons nous lever et chanter pour Dieu, pour nous et pour notre prochain. Avez-vous des chants dans votre cœur? Celui qui a un talent pour le chant et qu’il nous le fasse écouter, nous allons le suivre.

 

♪♪♪       Ave Maria.