Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Nantes, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-03-15 – P.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu veut nous conduire là où son Père le veut. Nous ne sommes pas capables de comprendre l’amour du Fils pour le Père. Nous sommes incapables de pénétrer cet amour, mais cet amour a fait de nous des enfants qui sommes acceptables devant Dieu le Père.

Dieu vient instruire ses enfants en prenant ce qu’ils sont, en démontrant au monde entier qu’il veut tous ses enfants. Il se sert de chacun de nous afin de démontrer l’amour inconditionnel qu’il a pour tous les enfants du monde. Nous avons un Dieu infiniment miséricordieux. Sa miséricorde nous nourrit à chaque mouvement de notre vie.

Nous pénétrons un temps : nous pénétrons son éternité, nous nous mettons en diapason avec sa Volonté. Il veut qu’on renonce totalement, en cet instant, à notre volonté humaine. Il veut qu’on puisse prendre toutes les volontés humaines et qu’on aille les placer au pied du Trône de la Divine Volonté, afin que chaque enfant de Dieu puisse obtenir les mêmes grâces que nous, nous allons obtenir. Lorsque nous acceptons de pénétrer le présent de Dieu, eh bien, nous acceptons d’entrer avec tous les enfants, tous les enfants de Dieu. Dieu veut qu’on ait le regard, le regard de la tendresse de l’innocence de l’enfant.

Ce que Dieu accomplit pour nous, il va l’accomplir pour un enfant  aussi tendre que cette petite fille, parce que Dieu nous regarde de la même façon. Il ne calcule pas l’âge. Il reconnaît son amour et son amour est éternel, son amour est sans faille. Il veut qu’on goûte à cet amour, il veut qu’on puisse vraiment reconnaître que nous sommes à lui et que nous n’appartenons pas à ce monde. Nous devons avoir ce désir de ne plaire qu’à Dieu, nous devons n’avoir qu’un seul désir : faire sa Volonté. Lorsqu’on s’aperçoit que nous avons laissé entrer à l’intérieur de nous la volonté humaine des autres, nous devons laisser le Fils de Dieu nous ouvrir l’intérieur afin qu’on puisse accepter de lui donner ce qui est à lui. Tout ce qui est venu à l'intérieur de nous et qui est venu par le prochain, nous devons le redonner à Jésus. Le prochain nous a donné, nous, nous devons redonner ce qui est à Jésus afin qu’il puisse purifier, afin qu’il puisse envelopper de sa sainte miséricorde tous ceux qui ont voulu involontairement faire leur volonté en pensant que cela était pour être bien pour nous.

Aucune volonté humaine ne peut nous apporter ce dont nous avons besoin : aucune. Ce que nous avons besoin, c’est la Divine Volonté, c’est la Volonté de l’Amour. C’est la seule Volonté qui nourrit tout ce que nous sommes pour le présenter à Dieu. À chaque fois que nous faisons une seule action, déjà cela est présenté à Dieu, car nous vivons en Jésus et Jésus c’est le Verbe, alors il accomplit la Volonté de son Père; alors, lorsqu’on regarde, que notre regard soit un regard d’amour. Si notre regard n’est pas un regard d’amour, Jésus va l’envelopper de son Précieux Sang, va purifier et va présenter à son Père ce regard. Il va mettre en nous sa force afin que nous puissions comprendre que ce regard n’était pas le regard de l’amour, n’était pas ce que son Père nous avait donné. Il nous a donné un regard et ce regard doit servir Dieu, ne doit pas nous servir; il doit servir Dieu afin que les autres aient un regard pour Dieu.

Nous sommes là pour servir et nous devons nous servir de ce que Dieu nous a donné pour rendre à Dieu ce qui vient de lui. Nous ne devons pas utiliser notre regard pour servir la volonté humaine. Nous ne devons pas servir notre regard, nous devons avoir le regard que pour Dieu. Si on sert notre regard, cela devient un moi : je me sers. À l’instant où je me sers, je me coupe de la Volonté de Dieu. C’est Dieu qui nous sert, ce n’est pas nous-mêmes. Si nous voulons servir notre prochain, faisons ce que Dieu nous demande en acceptant ce qu’il nous donne, là nous pourrons servir, parce que nous saurons que ce que nous voulons être pour les autres vient de Dieu, ne vient pas d’une volonté humaine. Nous devons nous maintenir dans un esprit d’amour, pas un esprit nourri par la volonté humaine, car la volonté humaine contient tout ce qu’elle a accepté : elle a accepté d’écouter, d’écouter ce qui était bon pour elle. La volonté humaine aime se servir. La volonté humaine est orgueilleuse; elle aime se remplir de connaissance afin de démontrer aux autres ce qu’elle peut nous apporter.

La Divine Volonté, c’est Dieu. Dieu est dans son propre mouvement. Dieu n’a pas besoin de se nourrir, Dieu n’a pas besoin d’apprendre, Dieu n’a pas besoin des autres, Dieu est Dieu, Dieu est le Mouvement de l’amour. Dieu est la Lumière, Dieu est l’Intelligence, Dieu est le Pouvoir, il est le Tout-Puissant, la Divine Volonté. Volonté : Dieu qui est en son mouvement, Dieu Unité qui est la Puissance. La Divine Volonté est pour nous, car Dieu nous donne, nous donne ce qu’il est. Lorsque nous recevons la Volonté de Dieu, bien, nous recevons Dieu aussi. Nous ne pouvons pas séparer cela. On ne peut pas séparer 'Divine Volonté' : 'Bon, moi, je ne veux pas de la divinité, je veux que la volonté', cela est impossible, c’est un tout : le Père et le Fils, le Fils qui veut faire la Volonté du Père et le Père qui donne tout au Fils : mouvement qui ne se sépare pas. Tout ce que Dieu le Père est, le Fils l’est, il ne se sépare pas. Alors, nous devons comprendre que lorsque nous acceptons d’aimer Dieu, nous aimons Dieu avec l’amour de Dieu : sa Divine Volonté : redonner à Dieu ce qu’il est afin de toujours être nourris.

La volonté humaine n’est pas ainsi. La volonté humaine sépare le bien d’un côté et la connaissance du mal d’un autre côté : conduis-toi devant ton Dieu et évite le mal; ne recherche pas autre que ton Dieu afin que le mal ne soit pas maître de toi; sois constamment devant ton Dieu afin que le mal ne te séduise pas; reconnais être de ton Dieu afin que le mal ne soit pas maître de tes pensées, ton regard, ton écoute, tes paroles, tes actions et tes sentiments, car tu risques de ne plus savoir que tes regards, tes écoutes, tes paroles, tes pensées, tes actions, tes sentiments, il en fait ce qu’il veut. L’enfant de Dieu doit être devant son Père.

Jésus a toujours été le Fils bien-aimé du Père. Il est en son tout et le tout est de son Père, et son Père est en le tout du Fils. Comprenons que Jésus, Esprit d’amour, a le même Esprit que son Père; alors, tout ce que son Père veut, lui, il le veut : tout ce qui est de la Divinité de Dieu. Le Père est en le Fils : ça ne se sépare pas. La Chair, le Corps de Jésus, eh bien, c’est le tout du Père, car ce que le Père est, le Fils l’est. On ne sépare pas la Matière Parfaite de la Matière Parfaite. Le Tout ne se sépare pas, c’est un tout. Jésus est le Tout. La Volonté du Père est la Volonté du Fils, c’est tout mouvement.

Nous, nous ne devons pas nous séparer. Nous sommes enfants de Dieu, nous venons de Dieu. Nous avons une âme qui a été voulue de Dieu. L’âme se laisse nourrir par les grâces, par la Divinité de Dieu. Tout ce que l’âme a nourri : le corps que nous avons, et le corps que nous avons vient de Dieu. Le corps doit recevoir tout ce qui vient de Dieu, absolument tout. C’est à nous de faire le choix de toujours vouloir ce que Dieu veut. N’allons pas rechercher dans la volonté humaine des connaissances, car notre pensée va s’assombrir. N’allez pas vers le prochain qui, lui, n’est pas en Dieu, car ce qu’il reçoit et qui n’est pas en Dieu pourrait vous atteindre, pourrait empoisonner votre vie.

Tout ce qui est de Dieu est bon pour les pensées, le regard, l’écoute, les paroles, les actions, les sentiments. N’oubliez pas que le corps fait un tout. La pensée obéit à la parole, la parole obéit à la pensée; l’écoute obéit à la parole et à la pensée; le regard écoute la parole; la pensée écoute l’écoute, et cela est en harmonie avec notre chair, nos actions. Pour que nos actions soient en harmonie, il faut avoir de bons sentiments, et ce n’est que Dieu qui peut nourrir ça, sinon votre foie ne pourra pas bien fonctionner, vos glandes vont être toutes perturbées : il n’y aura pas d’harmonie; vos intestins ne pourront pas fonctionner parce que vous ne faites pas ce qui est bon devant Dieu, car Dieu nourrit, mais vous, vous nourrissez votre chair de ce qui n’est pas de Dieu, mais de la volonté humaine : il y a interruption. On se coupe : nous laissons seuls nos organes, car ils ne sont pas dans la grâce, dans la nourriture, dans l’amour inconditionnel.

Comprenons que lorsque nous voulons obtenir du bien pour nous-mêmes, avoir de bonnes pensées, alors nous devons savoir que Dieu est la Pensée, il n’y en a pas d’autre. Dieu est bon. Il donne à l’homme sa pensée, afin que sa pensée soit toujours fixée vers Dieu, afin que sa pensée soit en harmonie avec toutes les autres pensées. Dieu est Un. Dieu : trois Personnes en Un : une unité, un seul Dieu. Alors, nous recevons de Dieu tout ce qu’il nous faut pour être une seule pensée, une unité, un amour. Il n’y a que la pensée de Dieu qui peut nous maintenir dans une harmonie, dans un seul mouvement : l’eau qui coule pour nous et qui descend de la même, de la même source, et qui coule pour nous.

Il n’y a qu’une seule source qui peut nous alimenter et elle vient directement de Dieu. Aucune pensée humaine qui n’est pas nourrie de cette source ne peut nous aider : aucune. Si une seule pensée, une seule pensée, est nourrie d’une autre pensée, et que cette autre pensée est nourrie d’une autre pensée, et que cela vient d’une pensée qui vient – et depuis l’âge – d’âge en âge, et qui n’est pas de la source de Dieu mais d’un savoir, d’une connaissance venant de la volonté humaine qui s’est dit être capable de comprendre, est contre nous.

Dieu nous dit cela afin de nous faire comprendre que notre chair, notre chair est contaminée. Nous, on veut s’instruire dans notre monde moderne et on a ouvert des portes, on a ouvert des portes aux connaissances humaines, à l’orgueil. La volonté humaine, la volonté humaine qui a écouté l’orgueilleux, le moi, celui qui n’a pas voulu écouter Dieu, celui qui a détourné son regard vers lui-même et qui s’est lui-même servi : le moi. Il est devenu les ténèbres. Les ténèbres ne peuvent pas guérir, mais peuvent tromper, car Satan peut faire ce qu’il veut avec une volonté humaine qui ne se tient pas à genoux devant Dieu. Si une volonté humaine se lève sur ses deux jambes, c’est parce que c’est l’enfant qui reconnaît qu’il peut marcher sans Dieu, c’est un enfant qui peut apprendre sans Dieu, c’est un enfant qui peut aider les autres sans Dieu, c’est un enfant qui peut se donner de l’amour sans comprendre d’où vient cet amour qui contrôle, qui domine, qui captive, car l’enfant est aux prises avec les pièges de Satan qui se sert de la volonté humaine. Des adorateurs devant Dieu peuvent, à cause de leur volonté humaine, être aux prises avec des souffrances en leur chair, car la chair se souvient. La chair est souffrante, la chair est habitée avec ce qui n’était pas pour elle : la volonté humaine.

Avant qu’Adam accepte – parce qu’il a accepté de connaître ces connaissances : le bien et le mal – Adam était dans la Divine Volonté. Il acceptait tout de Dieu, absolument tout. Il n’y avait pas d’erreur lorsqu'Adam regardait, lorsqu'Adam discutait avec son Dieu. Il ne voulait pas être à l’égal de Dieu, il discutait du Père à l’enfant, de l’enfant au Père : tout était harmonie. Mais il voulut discuter d’égal à égal, non pas parce qu’il était orgueilleux Adam, il ne connaissait pas encore le mal, mais l’Orgueilleux a fait en sorte qu’il puisse connaître la volonté humaine : le désir de vouloir plaire à Dieu, mais avec ses connaissances. Et combien aujourd’hui nous souffrons à cause de cela! Si nous ne fouettons pas notre chair, eh bien, notre chair va être contre ce qu’elle est, parce qu’elle sera dans la souffrance à cause de la volonté humaine qui écoute Satan, les démons.

Tout ça pour nous amener à comprendre la Volonté de Dieu. Dieu a donné des lois et ses lois sont amour. Une loi, c’est un appel; une loi, c’est une lumière; une loi, c’est un chemin; une loi, c’est un lien : je prends soin de toi, réponds à mon appel d’amour. Lorsque la loi est de Dieu, tout devient de la paix, de la joie, de l’amour. Mais lorsque les lois viennent de l’homme, viennent de la volonté humaine, c’est une loi qui se fait entendre, qui se fait connaître et qui veut se faire comprendre afin d’arrêter ceux qui n’écoutent pas, qui ne veulent pas comprendre; c’est une loi qui maintient sa puissance, son pouvoir, au centre même de la vie des hommes; c’est une loi qui ne nous donne pas de l’amour; c’est une loi qui n’apporte pas l’harmonie; c’est une loi qui détient un pouvoir et qui se fait connaître à nous par notre regard, par notre écoute, par notre parole, afin que la pensée n’oublie pas, afin que les actions se posent devant une loi, et le sentiment n’a pas à intervenir : voilà une loi d’homme.

Lorsque nous, nous voulons nous conduire en enfants de Dieu, nous devons aller vers les lois de Dieu, et les lois de Dieu vont nous aider à vivre sur la terre en harmonie. Ensemble, nous aimerons notre prochain comme nous aimons notre Dieu. Nous aurons le cœur de l’amour et le cœur de l’amour sera nourri par le Cœur même de Dieu. Nous aurons la force d’aimer, d’aimer notre prochain avec la force que Dieu va mettre en nous pour nous et là, cette force sera à l’égal de notre prochain; elle ne sera pas plus haute que notre prochain ni plus basse, elle sera une force harmonieuse, et nous redonnerons à Dieu cette force, car elle est de Dieu. Nous serons des enfants d’amour, car nous aurons un seul esprit : l'Esprit de Dieu.

L’Esprit de Dieu nous fera comprendre que nous sommes ses enfants et que nous sommes tous aimés de lui, car Dieu mettra en nous son Esprit, car tout est de Dieu. Nous aimerons avec notre intérieur de toute notre âme, car notre âme vient de Dieu et elle reconnaît que tout est de Dieu. C’est Dieu qui donne à l’âme cette nourriture pour notre vie éternelle. Nous serons toujours dans ce mouvement d’éternité ensemble. Nous saurons qu’à chaque jour nous vivons notre éternité sur la terre comme au Ciel. Voilà cette loi, cette loi d’amour : aimer son Dieu inconditionnellement.

Nous n’aurons pas besoin de lois humaines, car la loi humaine trompe les enfants de Dieu, car elle cherche à obtenir de la force par le pouvoir, par une intelligence supérieure aux autres. Elle sélectionne des enfants qui sont avides de pouvoir et la loi fait d’eux des enfants de lois humaines qui dirigent les autres, qui instruisent les autres, qui arrêtent les autres. Cette loi sépare, n'unit pas. Une loi qui vient prendre notre cœur afin que nous ayons des paroles qui ne nourrissent que la chair, afin que nous ayons un esprit qui ne veut contempler que la chair, tue ce dont nous avons besoin : de l’amour.

Nous sommes faits pour partager, nous sommes faits pour servir, nous sommes faits pour aimer inconditionnellement notre Dieu, notre prochain. Mais la loi n’a que faire des sentiments des enfants de Dieu, car elle a un sentiment : de s’élever au-dessus des autres. Une loi d’hommes n’apporte rien : elle vole, elle vole toute pensée, elle paralyse ceux qui ont des pensées qui viennent de Dieu pour aider les enfants de Dieu, pour instruire les enfants de Dieu, car la loi contrôle la pensée; il faut que la pensée nourrisse le pouvoir non les enfants. Lorsque nous sommes dans une telle loi, nous perdons, nous perdons la lumière, nous perdons l’écoute de ce que nous avons besoin pour notre éternité.

L’âme a besoin des grâces, n’a pas besoin de matériel. Ce n’est pas le matériel qui va nous donner la santé, ce n’est pas le matériel qui va augmenter notre amour, ce n’est pas le matériel qui va nous faire comprendre que nous devons nous aimer afin d’arrêter la famine, les guerres, les épidémies, afin de redonner à la terre sa pureté. Les lois d’hommes ne s’occupent pas du bien-être de l’enfant, car tout ce qu’elles veulent ces lois, c’est le pouvoir, afin de dominer, afin d’être toujours en haut. L’argent est devenu, pour ceux qui ont ce pouvoir, un moyen de rassembler, de contrôler, pour maintenir ces lois. Et tout ce que nous nous constatons, c'est que nous n’avons jamais assez d’argent pour satisfaire nos besoins, car ces lois – pouvoir – ont contaminé l’être que nous sommes.

Nous entendons le premier commandement de Dieu donné à Moïse et, dès cet instant, nous comprenons que nous n’avons pas été dans cette loi d’amour, car nous nous sommes laissé tricher par Satan. Nous avons écouté la volonté humaine qui a fait ces lois, et aujourd’hui nous souffrons : nous souffrons en notre pensée, nous souffrons en notre âme, nous souffrons parce que nous n’avons plus de force, nous souffrons parce que notre cœur est troublé. Comment pouvons-nous avec un esprit, une âme, une force, un cœur troublé, aimer inconditionnellement notre Dieu! Mais Dieu, dans son amour, sa sainte miséricorde, ne cesse de nous alimenter, car il connaît ce qu’il a mis en nous : il a mis sa vie, son amour, sa lumière, sa chaleur; il a mis en nous son Tout afin qu’on puisse entrer là où nous devons être : dans notre demeure, à la maison avec lui. Il nous attend! Il fait crier des enfants pour qu’on puisse l’entendre : on entend l’écho du Père, sa voix; on entend le Fils qui vient à notre rencontre pour nous parler du Père; on entend le Vent, ce Vent d’amour, de puissance, qui nous rappelle sans cesse que nous avons été sauvés par Celui qui vient nous parler du Père : le Saint-Esprit.

Nous sommes dans ce mouvement d’amour. Tout ce qui a instruit nos pensées et qui ne venait pas de Dieu a été contre nous, absolument tout. Commençons lorsque nous étions tout bébé : nous sommes sortis du ventre de notre maman et lorsque nous sommes sortis du ventre de notre maman, nous avons cherché, nous avons cherché l’amour, ce que nous venions de quitter, et notre regard s’est posé sur des regards qui étaient inquiets, des regards qui voulaient tellement donner du bon à l’enfant; alors, c’étaient des regards qui manquaient de confiance en ce que ce regard était. Dès notre naissance nous n’avons pu trouver ce dont nous avions besoin : nous avions besoin du regard de Dieu et nous ne l’avons pas trouvé dans le regard de notre maman, ni dans le regard de notre papa, ni dans le regard de nos frères, de nos sœurs, ni de notre tante, de notre oncle, ni du voisin. On n'a pas trouvé ce regard.

Il n’y a que le regard de Dieu qui puisse nourrir le petit enfant. Une fois qu’il a vieilli, ce regard, à lui, a commencé à prendre le même regard que ceux qu’il avait regardés et ces mêmes regards ont continué à l’instruire, et cet enfant a vieilli, a vieilli et a vieilli avec un regard souffrant. Lorsqu’il a cherché la confiance dans les bras de maman qui ne craint pas demain et qui sait que ses bras c’est la force de Dieu, la tendresse de Dieu, mais qu’il n’a pas trouvé, alors il a fait de ses propres gestes ce qu’il a ressenti et c’est ce que cet enfant a donné à ses propres enfants.

Nous sommes cet enfant et Dieu vient pour nous dire : «Je veux que tu me regardes, je veux que tu prennes ma force, je veux que tu prennes mon Cœur, je veux que tu t’abandonnes et je te comblerai. Je te montrerai, qu’avec ce que je vais te combler, que tu es capable de me donner ce que tu as accepté d’une volonté humaine – elle s'adresse à une personne : 'tu veux me donner cela? Merci, Paul – Alors, aujourd’hui, nous avons eu des paroles qui éclairent. C’est le cantique de Zacharie : «Les paroles du Seigneur sont esprit et vie. Il a les paroles de la Vie Éternelle.»

En dehors de Dieu, il n’y a pas d’éternité. Recherchons que des paroles de Dieu. Ouvrons notre intérieur, là sont les paroles que nous avons besoin. Dieu a frappé notre cœur. À l’instant où Moïse reçut les lois d’amour, notre cœur a reçu les lois d’amour. Lorsque les lois d’amour ont frappé la pierre, bien, notre cœur aussi était entre ses mains. Cela s’est inscrit avec un feu d’amour, avec une puissance d’amour. Mais lorsque Moïse descendit et qu’il trouva le peuple de Dieu dans une effervescence diabolique, il leva les bras et il montra au peuple de Dieu ce que devaient devenir leurs cœurs : de la pierre, la pierre qui devait se briser afin qu’ils puissent redevenir des enfants de Dieu. Dieu démontrait ce que nous étions pour vivre. Parce que nous voulons vivre dans notre volonté humaine, nous en vivons les conséquences. Le peuple de Dieu avait choisi, avait choisi qu’il voulait lui-même se donner ce dont il avait besoin.

Alors nos cœurs, nos cœurs ont jadis été durs comme de la pierre parce que nous le méritions. «Tu ne regarderas pas autre que ton Dieu; tu n’écouteras autre que ton Dieu; tu ne parleras que par la Parole de ton Dieu; tu comprendras que tout ce que tu feras ne devra plaire que ton Dieu; tu pénètreras le cœur de tous les cœurs des enfants de Dieu que par le Cœur de ton Dieu». Si nous ne faisons pas cela, nous allons continuer à vivre les conséquences de nos propres choix, car : "Parle Seigneur, Parole vivante de Dieu, parle Seigneur". Acceptons-nous que Dieu parle? Acceptons-nous que Dieu nous instruise? Si nous acceptons, alors la Parole vivante de Dieu sera guérissante pour nous, la Parole de Dieu nous libérera de nos chaînes; alors, nous saurons que Dieu a toujours pris soin de nous. "Ô Christ venu dans le monde annoncer aux hommes l’amour du Père, augmente en nous la foi, car la foi de nos pères a nourri l’amour que je devais avoir pour toi."

Abraham choisit son Dieu plutôt que son fils. Noé choisit l’obéissance plutôt que la terre. Isaac comprit que le peuple de Dieu était la voix du Seigneur. Jacob, Jacob accorda à Dieu celui qui devait démontrer aux enfants de Dieu qu’ils devaient suivre la Volonté de Dieu et non pas la volonté humaine. Ainsi, la foi devait se conserver d’âge en âge, d’âge en âge, pour crier vers Dieu afin qu’il envoie le Messie, qu’il envoie le Sauveur. Nous, nous avons été écoutés, mais la foi des enfants de Dieu a souvent rencontré des têtes entêtées qui croyaient avoir une foi assez forte pour se conduire devant Dieu, alors qu’ils écoutaient la volonté humaine. Les pharisiens, hommes de loi, voulaient conserver la foi du peuple de Dieu avec leur volonté humaine. La volonté humaine n’a pu accepter la Divine Volonté. La volonté humaine cloua à la Croix la Divine Volonté. Mais Dieu, Dieu, dans sa miséricorde, nous démontrait que là où nous devons regarder, c’est vers le Ciel. Alors, Dieu montra à tous les enfants de monde qu’il est, lui, notre seul Dieu, notre seule foi.

Ayez la foi en Celui qui se montre tout amour pour tous les enfants de Dieu jusqu’à prendre tous les péchés du monde, jusqu’à accepter de vivre toutes les conséquences qui viennent des mauvais choix devant le péché. La Divine Volonté se montrait victorieuse de l’entêtement des enfants de Dieu. "Ô Christ, toi que le Père nous demande d’écouter comme son Fils, donne-nous l’intelligence et le goût de ta Parole, car ta Parole est nourriture, car ta Parole est vérité, car ta Parole apporte de la lumière, car ta Parole conduit nos pas où nous devons aller, car ta Parole seule peut nourrir ma pensée, mon regard, mon écoute, mes paroles, mes actions, et mon cœur qui ne doit aimer que le Christ, car le Christ est le Fils bien-aimé de Dieu : un seul Fils." Nous devons n’avoir confiance qu’en les paroles de Jésus. Ne cherchez pas en dehors des paroles de Jésus la vérité, car si on cherche la vérité en dehors des paroles de Jésus nous mourons, nous nous laissons empoisonner par la volonté humaine. La volonté humaine a crucifié le Fils.

N'allons pas vers la volonté humaine, car elle va toujours nous maintenir à terre, nous empêchant de regarder vers le Christ qui est la seule nourriture pour nous : la Parole, la Parole qui guérit, qui guérit l’enfant de Dieu afin qu’il puisse se reconnaître repentant, afin que l’âme reçoive sa nourriture qui vient directement de Dieu, cette nourriture si essentielle à notre chair. La Parole de Dieu est vivante et la Parole est dans son accomplissement : le Nouveau Testament. S’il y a en nous des besoins, parce que nous souffrons en notre chair, parce que nous sommes malades, dépressifs, allons là où il y a la guérison. N’allons pas chercher en dehors des paroles qui vont nourrir la volonté humaine, car la volonté humaine est contre nous. On doit nourrir l’âme afin que l’âme nous guérisse, et l’âme c’est Dieu qui la nourrit. Nous ne sommes pas Dieu. Laissons à Dieu ce qui est à Dieu : notre vie spirituelle. C’est par la vie spirituelle que notre vie sur terre prend sa force, prend sa racine à l’intérieur même de la vie.

La parole doit être une parole qui est nourrissante, guérissante, libérante. La parole est ainsi parce qu’elle est de Dieu, du Fils de Dieu. N’allons pas chercher des paroles dans les livres qui se laissent écrire par la volonté humaine, nous allons vivre les conséquences de cette volonté humaine qui est entre les mains de Satan. La volonté humaine n’écoute plus la vie spirituelle, elle écoute Satan. La volonté humaine est contre nous. C’est la volonté humaine qui a tué notre Dieu et notre volonté humaine veut nous tuer, veut nous amener là où nous, nous ne voulons pas aller. Jésus, il a dit : «Mourez en moi». Jésus a dit : «Renoncez à votre volonté humaine. Écoutez la Volonté de mon Père». Que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel, nous le disons dans le Notre Père. Alors, vivons le Notre Père. Que le livre que vous portiez entre vos doigts soit une lecture de lumière, ne soit pas de l’ombre, car cette ombre nous amène là où nous ne voyons rien, là où nous n’entendons pas, et notre corps est malade.

Ne nous laissons pas tricher. Satan est menteur. Il instruit les enfants de Dieu, et les enfants de Dieu croient que cela est bon pour le prochain, alors que cela n’est pas bon pour le prochain. Il n’y a que Dieu qui puisse guérir, pas aucune volonté humaine, aussi fort que cela soit le bon vouloir des enfants de Dieu. Il n’y a seulement qu’un vouloir : c’est la Volonté de Dieu, ce n’est pas la volonté humaine. Oui, nous voulons que nos enfants guérissent; oui, nous voulons guérir de notre arthrite; oui, nous voulons que le prochain soit dans le bien-être dans ses membres, à Dieu de savoir ce qui est bon pour nous; nous, nous ne le savons pas. Que savons-nous de ce que demain sera pour notre enfant? Que savons-nous ce que notre prochain sera pour notre enfant dans dix ans d’ici? Que savons-nous de nous-mêmes face à notre enfant et notre prochain dans vingt ans d’ici? Dieu seul le sait. Laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Et Jésus nous en parle dans l’Évangile : «N’ayez foi qu’en mon Père. Suivez-moi, laissez tout pour moi. Ne regardez pas en arrière. Aimez-moi plus que votre mère, que votre frère», car lorsqu’on a dit : "ta mère, tes frères sont dehors", Jésus a dit : «Qui est ma mère, qui sont mes frères? Tous ceux qui font la Volonté de mon Père».

N’aimons pas plus nos enfants que Dieu, n’aimons pas plus notre prochain que Dieu, plus notre moi que Dieu, c’est Dieu avant tout. Premier commandement de Dieu : «Tu aimeras de tout ton cœur, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de toute ton âme ton Dieu et je te comblerai, car tu aimeras ton prochain comme toi-même. Laisse-moi tout entre les mains : ta vie, tes pensées, ton regard, ton écoute, tes paroles, tes actions, tes sentiments. Je m’occupe, moi, de ton dos courbé, je m’occupe de ta mémoire, je m’occupe de ton diabète, je m’occupe de ton manque de sommeil. Laisse-moi tout, car je sais, moi, pourquoi tu souffres en ta chair. Je vais aller à la source, cette source que toi tu as coupée lorsque tu as fait un choix devant le Tentateur. Ne sais-tu pas que ma source n’a jamais cessé de couler pour toi? Ne sais-tu pas que ce que tu es est enfant d’éternité? Ne sais-tu pas que mon amour t’a toujours soutenu? Cette source n’a jamais été arrêtée même par tes mauvais choix, car je me suis servi de ceux qui avaient une confiance absolue en la Parole, en la Parole du Fils. Et lorsque ceux-ci tombaient, j’allais te chercher dans les moments où tu avais une pensée vers moi. Ma miséricorde est sur toi comme elle est sur tous les enfants du monde». 

Voilà la Parole de Dieu, voilà ce que nous avons besoin; pas de volonté humaine, pas d’enfants qui nous donnent des méthodes pour nous guérir, cela vient de la volonté humaine, c’est du poison. Satan, hypocritement, a instruit des enfants qui se sont crus capables d’aimer leur prochain avec leur volonté humaine. Lorsqu’on veut aider le prochain avec ce que nous sommes, nous devons le faire devant Dieu et prendre tout ce que Dieu a mis dans le cœur de ceux qui ne voulaient que faire la Volonté de Dieu. Assurons-nous que ce que nous voulons nous donner et donner aux autres vient de la Parole de Dieu, de la Volonté de Dieu, de l’amour inconditionnel de Dieu. Si un seul enfant s’attribue une seule pensée qui vient de lui pour aider les autres, il est anathème, car cela a été dit dans la Bible : «Si tu nuis à ton prochain, tu te nuis. Il vaut mieux t’arracher l’œil qui regarde plutôt que de continuer à vivre ainsi, car tu conduis non seulement ton âme dans ce lieu où on ne revient pas, mais aussi ton prochain. Comment vas-tu te regarder le jour où tu verras que tu as voulu faire par tes propres connaissances ce que toi tu croyais être bon pour eux, alors que cela ne venait pas de moi? Qui as-tu écouté, moi ou toi? Si tu as cru que cela était bon alors que cela venait de toi, tu t’es pris pour Dieu. Si tu as pris quelque chose qui venait d’une personne qui avait ses propres connaissances de la volonté humaine, cela ne venait pas de moi, venait d’un dieu».

Nous sommes avec Dieu ou nous sommes contre Dieu. Nous ne devons plus accepter d’être tièdes. Nous devons marcher sur les pas du Christ qui a écouté son Père : «Ta Volonté, pas ma volonté. J’accepte tout, Père. J’accepte de tout regarder par amour pour toi.» Lorsqu’il a dit : «Enlève ce calice de mes yeux», il le disait non pas avec sa Divinité, mais il prenait notre propre chair. Il acceptait de sentir en sa Chair toutes les conséquences qui faisaient souffrir la chair, et la chair qui souffrait a crié. C’est notre chair qui a crié, non notre Dieu. Notre Dieu avait accepté de prendre nature humaine, il avait accepté de prendre qui nous étions. Lui le Parfait, lui la Chair Immaculée, acceptait de prendre ce que nous étions par amour, par amour pour nous. Et nous avons regardé Jésus au Jardin des Oliviers qui souffrait par amour pour nous sans jamais nous accuser.

Alors, nous ne devons pas non plus accuser la personne qui nous a montré à faire du Yoga, la personne qui a fait sur nous du Reiki, des méthodes de relaxation. Nous devons faire comme Jésus, regarder son Père, et dire : "Ta Volonté. Montre-moi ce que moi je dois apporter à la mort, Montre-moi ce que je dois donner à Celui qui a tout pris pour moi, car il est le seul qui emprisonnera les esprits impurs qui ont empoisonné mes frères et mes sœurs. J’accepterai de prendre ce qui montera de l’intérieur de moi et je prononcerai les mots que tu mets en mon cœur : je refuse cette tentation. Je te remercie, mon Dieu, mon Sauveur, d’envoyer ces esprits au pied de ta Croix. Je te loue, je te rends grâce parce que tu guéris toute chair et je remercie, je remercie ta Mère qui a été comblée de grâces et qui m’aide à continuer à poursuivre le chemin que tu me montres". Nous sommes enfants de Dieu et nous devons accepter d’être dans cette vérité.

Si Dieu veut guérir, il guérira au moment où lui le voudra, de la façon que lui le voudra, mais il faut le demander à lui, pas à la volonté humaine; n’avoir confiance qu’en la Parole de Dieu, avoir confiance que Jésus c’est lui le Sauveur, c’est lui notre Rédempteur, c’est lui qui va arracher de notre chair tout le mal qui est entré en nous par nos mauvais choix devant les tentateurs. C’est lui qui se charge de tout cela, c’est lui le Médecin de l’amour. Nous avons le plus grand médecin que nous pouvons avoir. Oui, nous pouvons avoir le plus grand médecin du monde, et c’est Jésus. Il ne cesse de demander à son Père : «Père, donne-moi les remèdes que je dois prescrire à ces enfants. Donne-moi les méthodes spirituelles nécessaires pour qu’ils puissent s’en aller avec une bonne prescription.»

Et il nous a aussi donné sa Mère, Jésus, qui nous donne ce que nous avons besoin lorsque nous sommes trop stressés : le chapelet. Les parties de notre chair, notre extrémité, ont besoin de force; alors, allons chercher la force là où elle est. Chaque petit grain est au bout de notre doigt et lorsque nous acceptons avec amour d’être la petite parole en la Parole, eh bien, la force du chapelet pénètre en nous et régénère ce dont nous, nous avons épuisé durant une journée. Combien d’entre nous faisons des heures au-delà de ce que notre chair est capable d’accepter? Alors, allons nous reposer. Ça, notre chapelet, c’est de la force. Alors, c’est une bonne prescription spirituelle ça, cela vient de Dieu.

Lorsque nous allons vers les sacrements, oh, quelle prescription! Nous avons tout ce qu’il nous faut. Nous sommes jaloux? Allons à la confesse, nous allons recevoir les grâces nécessaires pour guérir de cette jalousie. Savez-vous qu’une jalousie nous empêche de bien digérer, nous empêche de bien dormir, nous empêche d’être dans notre repos? Tout cela, nous devons le réaliser. Lorsque Jésus se penchait sur le lépreux : «Tes péchés sont pardonnés», il se levait puis il était guéri. Eh bien, Jésus n’a pas changé. La force de son Père n’a pas diminué. C’est nous qui n’avons pas compris, c’est nous qui n’avons pas saisi notre place en Jésus. Nous ne devons pas sortir du Corps de Jésus. Nous sommes de la Chair parfaite.

Oui, c’est vrai qu’il a fallu Adam, Ève, jusqu’à aujourd’hui. Nous sommes de la chair de la chair, de la chair de la chair. Eh bien, donne-moi ton Esprit, Dieu, je vais me retrouver tout de suite en Jésus en passant par toutes ces chairs. C’est lui l’Alpha et l’Oméga. Alors, pénétrons dans la lumière de Dieu et sachons que lorsque nous demandons des grâces de guérison, nous sommes en la Chair Parfaite de Jésus, car lorsque nous allons communier et que nous croyons en ce que nous recevons, nous recevons la Chair Parfaite, la Chair Immaculée. Jésus n’est pas malade, il est Parfait; alors sa Chair prend notre chair. C’est Jésus qui nous prend. Nous, on consent à avancer et même si on consent, c’est lui qui nous fait avancer, c’est lui qui nous donne sa Chair puisqu’il se sert du prêtre, et le prêtre n’est pas lui, il est le Christ : il nous donne sa Chair.

Lorsque nous comprenons cela, nous comprenons que la volonté humaine ne peut prendre la Divine Volonté. C’est la Divine Volonté qui se prend et la Divine Volonté se donne, et nous recevons, nous recevons la puissance de Dieu, l’amour de Dieu le Père, son Fils bien-aimé. Lorsque nous croirons en cela, en notre chair rien ne nous sera refusé. Mais nous doutons parce que nous avons été empoisonnés. On a empoisonné les pensées des enfants de Dieu par des paroles qui venaient de la volonté humaine qui écoutait Satan. Croyez-vous que les apôtres, les disciples, ont pu écrire, ont pu écrire l’Évangile, les Épitres? Cela est faux. C’est l’Esprit de Dieu, le Saint-Esprit qui leur faisait revivre la vie de Jésus, et le Père, le Père nourrissait par ses grâces ses enfants. C’est tellement puissant l’Évangile! Nous n’avons pas compris.

Aujourd’hui, on cherche toutes sortes de méthodes, et ça augmente de plus en plus. Jésus dit : «Lorsque vous acceptez quelque chose, allez voir si cela vient de moi. Si cela ne vient pas de moi et que vous acceptez ce qui ne vient pas de moi, vous acceptez tout ce qu’il y a avec. Vous allez en vivre les conséquences». Il est facile pour Satan de déplacer une douleur qu’il a mise en nous. C’est lui qui a mis en nous son venin, alors il ne veut pas nous enlever cela, il l’a mis en nous. Croyez-vous qu’il va l’enlever? Mais il va le déplacer : 'j’ai mal à un genou, je vais voir quelqu’un; houp, je n’ai plus mal au genou; ah, comment ça se fait, mon coude? J’avais pas mal au coude, je suis rendu que j’ai mal au coude'. Il déplace, il ne guérit pas. Personne, avec sa volonté humaine, ne guérit. 'Comment ça se fait que j’avais mal au genou, là je n’ai plus mal; ah j’suis bien! Je ne suis plus capable d’endurer mon mari, je perds de plus en plus confiance que mes enfants vont retrouver la foi alors qu’étant jeunes, ils disaient le chapelet avec nous?' Il utilise le mal qu’il a mis en nous, contre nous. Et il faut entrer dans la lumière de Dieu pour accepter ces paroles. Ne nous accablons pas lorsque nous nous apercevons que nous avons accepté des méthodes qui venaient de la volonté humaine. Dieu ne veut pas cela.

J’avais un ami et j’ai encore cet ami. Il s’appelle Marcel, hein, Marcel? Marcel a suivi la Fille du Oui au début de 2002. C’était un homme qui aimait Jésus. Il venait d’une famille qui avait la foi, qui pratiquait. Marcel était un homme fort, fier de sa personne. Tout ce qui était des livres des saints, il aimait s’en instruire : Maria Valtorta, aussi de Vassula, même si l’Église n’a pas encore reconnu. Il s’arrêtait sur ce qu’il lisait et qui était en diapason avec l’Évangile. Et lorsque cela dérangeait sa paix, il donnait ça à Dieu, parce qu’il disait : 'nous sommes tous enfants de Dieu et nous avons tous le devoir de nous entraider'. Il était dans une sagesse. Marcel aimait beaucoup la lecture. Il était très instruit. Il était professeur en chimie et aussi il avait pris des cours. Il enseignait au niveau informatique, il enseignait l’anglais; physiquement aussi il donnait des cours. C’était un homme qui aimait apprendre.

Il y a plusieurs années, sa famille avait découvert une façon de s’alimenter. Alors, lui, il avait appris cela, que telle protéine allait avec tel glucide... en tout cas, toutes ces choses-là. Marcel aimait bien en parler. Toute sa famille était dans ça. Alors, il disait comme ça que c’était bon – la maladie là, lorsqu’il y avait de la fièvre, parce que le corps se défendait, il mettait tout ça – Le Seigneur, en moi, ne disait pas un mot. Il disait rien, il le laissait faire parce que c’étaient ses choix. Mais, dans les rencontres, il suivait, parce que Marcel c’était lui qui me conduisait partout avec son épouse. Partout au Québec, c’était Marcel qui me conduisait et c’est lui qui s’est occupé du site de l’internet. Il y en a plusieurs, je crois, qui ont été sur l’Internet et qui ont été – oui, hein, Paul? – qui ont été en connaissance de cet homme qui se donnait pour son prochain. Oui, il se donnait pour son prochain, car ce qu’il apprenait et qu’il avait appris, il le donnait aux autres. Des personnes qui avaient de la difficulté à marcher après avoir pris ce régime avaient plus de facilité maintenant à marcher, si bien qu’il continuait à faire ce qu’il disait. Et il entendait les enseignements, et il savait tout ce que Jésus disait à propos des méthodes, à propos des régimes, et ça lui passait haut comme ça. On ne disait pas un mot. Je ne disais pas un mot. Le Seigneur ne disait pas un mot, et le Seigneur instruisait, et le Seigneur instruisait, et lui continuait, continuait.

En 2007, voilà que le Seigneur me prépare à ne plus voyager avec Marcel et je ne comprenais pas pourquoi. J'ai dit : "Seigneur, tu ne m’enlèveras pas mes amis?" Je m’entendais bien, moi, avec son épouse; on voyageait ensemble et on priait, on priait. Alors, je devais écouter. Le Seigneur ne m’instruit jamais sur ce qui doit arriver. Il veut me donner, me faire vivre le présent. Alors, quelque temps plus tard, Marcel maigrit. Alors, il suit son régime et il maigrit; il suit son régime et il maigrit, il suit son régime. Au mois d’août, début août, il était toujours dans son régime et là le Seigneur lui a dit : «Va voir le médecin». Il ne voulait pas aller voir le médecin parce qu'il se disait qu’avec son régime il était capable de s’en sortir. Et on lui a découvert un cancer du foie et le Seigneur a dit : «Tu agoniseras et je te ressusciterai». Jusqu’à la fin, Marcel avait confiance en ce régime. À un moment donné, son épouse a dit : "C’est bon, mais tu sais, il ne croyait pas en Dieu".

Alors, là, il est venu me voir et Dieu lui a parlé. Il vivait la conséquence de son choix. Il a dit : «Tu témoigneras». Et là, il avait compris. Et, dans ce même temps, il a témoigné qu’il avait pris cette méthode dans ses livres; il avait pris cela comme une bible et il ne s’en était pas rendu compte, lui qui aimait Dieu, qui adorait. Il était en adoration devant son Dieu, mais il était comme embrouillé à cause de ça. Et il a témoigné et il a dit : "Je ne me suis pas rendu compte que je prenais cette méthode comme si c’était un dieu, et on ne peut pas avoir deux dieux, mais un Dieu". Là, il comprenait, il comprenait tout ce qu’il avait fait. Juste avant de partir, car je devais partir pour une tournée d’un mois, j’ai été le voir à l’hôpital. Marcel savait qu’il vivait maintenant sa résurrection. Il avait agonisé toutes ces années et il a été ressuscité. Sa mort a été une mort d’amour. Ceux qui ont été présents au mois de septembre ont vu un homme qui était dans une joie d’aller voir son Dieu, une joie extrême et ils l’ont vu, ses enfants ont vu cela. Ça été un moment de bonheur, ce moment où il devait répondre à l’appel de son Dieu.

Voyez-vous comment on peut se laisser tromper? Si Marcel a témoigné, c’est pour nous. On croit qu’une telle méthode est bonne pour nous guérir. Il a même voulu aider son prochain et il m’a dit : "Je vais réparer ce que j’ai fait". Et je sais que Marcel, là où il est, il répare, et c’est notre frère. Il y a tellement de méthodes aujourd’hui qu’on utilise et qui ne viennent pas de Dieu. Il faut être vigilant. Jésus a dit : «Veillez pour ne pas tomber en tentation». Et c’est toujours ainsi. Nous devons prier, nous devons lire la Bible, comprendre la Bible. Ce n’est que Dieu qui est le Médecin de l’amour.

Combien il y a eu des médecins, des médecins qui soignaient en disant qu’ils avaient les mains de Dieu, le Cœur de Dieu! Ils ne s’attribuaient rien. Pourquoi aujourd’hui il y a tant de maladies? Parce que les médecins sont orgueilleux de leur savoir. Ils doivent se donner pour les enfants. Et il y en a qui se donnent, car lorsque nous avons été dans l’Ouest, nous avons rencontré un médecin qui est pour les cancéreux et elle, elle les prend dans ses bras puis elle prie avec eux, et c’est un médecin! Aujourd’hui, on vit les conséquences de nos propres choix devant la tentation. Nous manquons de foi en la Parole de Dieu. Si nous sommes malades, si nos enfants tombent malades, c’est parce que nous avons écouté la volonté humaine plutôt que la Divine Volonté. Et Dieu vient parler dans notre cœur afin que nous puissions réaliser tout ce que nous avons fait devant notre unique Dieu.

Nous sommes des esclaves de la volonté humaine. Nous devons nous laisser libérer par Jésus. C’est lui qui a laissé couler son Précieux Sang sur la Croix et c’est lui qui, en ce moment même, par la puissance du Saint-Esprit, instruit notre cœur, car ces paroles se sont inscrites dans votre cœur en ce moment. Nous avions à entendre cela par la puissance de Dieu, car Dieu le Père le voulait pour tous nos frères et nos sœurs. Nous sommes des instruments et Dieu s’est servi de nous afin que les erreurs cessent et elles ne cesseront qu’au moment où le dernier des enfants de Dieu dira : "Je refuse toute tentation. Je ne veux plus de cette volonté humaine. Tout esprit est au pied de la Croix, parce que toi, mon Dieu, tu es le seul qui peut, par ta toute-puissance, les enchaîner afin qu’ils ne nuisent plus jamais aux enfants de Dieu. Ma guérison, ma libération, est venue de toi et la Mère de Dieu a su m’envelopper de sa maternelle présence pour m’amener là où je suis aujourd’hui devant, devant mon Dieu."

Et, à cet instant, à cet instant, Jésus illuminera tel, que sans cette grâce qu'est la purification de sa chair, de son âme, il n’aurait pu vivre cela, il en serait mort de joie. Et cela est pour chacun de nous. Nous allons nous laisser guérir par Jésus, car lorsque nous acceptons des paroles qui viennent directement de notre intérieur par la puissance de Dieu et que cela est dit par la Divine Volonté, nous guérissons, nous nous laissons entre les mains du Père, et le Père sait ce qui est bon pour nous.

Acceptons nos guérisons et recevons de la Mère de Dieu une rose, car nous allons guérir. Nous allons tous guérir, mais au moment où Dieu le voudra. Nous sommes les roses de Marie, car à chaque fois que Marie, la Mère de Dieu, a prié pour nous qui sommes des pécheurs, des petits, des petits enfants qui reconnaissent être des grands pécheurs, eh bien, il y eut des roses. Et Maman Marie a présenté ces roses à Dieu, Dieu le Père, en reconnaissant qu’elle est sa Fille, à Dieu le Fils, en continuant toujours à être à ses pieds parce qu’elle est sa Mère et que lui est son Dieu, à Dieu le Saint-Esprit, parce qu’il a fait d’elle une puissance pour chacun de nous, car elle est la Comblée. Elle a reçu le Fils de Dieu en son sein et rien ne manque en son Fils. Elle a donc reçu tout ce que nous, nous avions besoin et c’est vers elle que nous devons aller : nous devons passer par la Mère de Dieu.

Si Dieu veut nous donner une rose aujourd’hui, nous devons reconnaître que nous sommes déjà guéris, guéris d’une mauvaise habitude de croire en la volonté humaine. Il y aura beaucoup de guérisons et nous en recevrons des roses, et nous mettrons cela au pied de Marie.

Alors, nous avons reçu ce que nous devions recevoir. Nous avons besoin de reconnaître que nous sommes de la Divine Volonté et non pas de la volonté humaine.

Alors, si vous voulez bien, dites votre chapelet et je reviendrai.

 

Chapelet par l'assistance.