Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Nashua, New Hampshire,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-05-19 – Partie 1

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque fois que Dieu rassemble ses enfants, il le fait avec son amour; il prend soin de chacun de nous comme le bien le plus précieux.

Il l’a toujours fait; depuis Adam et Ève, Dieu a toujours pris soin de ses enfants.

Il nous ouvre les coeurs afin que nous fassions un seul cœur : un cœur qui se donne, un cœur qui prend tous les enfants du monde.

À chaque rencontre d’amour, Dieu veut nourrir ses enfants; il veut les rassembler afin qu’ils puissent comprendre la valeur de leur vie sur la terre.

On regarde le monde d’aujourd’hui, et on hoche la tête; on regarde la déchéance du monde, car ce que nous voyons, c’est un monde sans foi, c’est un monde qui juge ses frères et ses soeurs, c’est un monde qui fait appel au plus fort, c’est un monde qui apprend à ne plus être.

Tout cela est devant nos yeux, et tout cela est en nous.

Lorsque nous remarquons, à l’extérieur, ce monde, alors il est connu de nous ce monde; si ce monde est connu de nous-mêmes, c’est que nous le portons en nous : on découvre que ce que nous connaissons.

Dieu veut qu’on aille plus loin que cela, Dieu veut qu’on découvre la grandeur de sa puissance malgré ces souffrances.

Comment, nous qui avons vécu avec la souffrance, pouvons-nous dire : grandeur? C’est que Dieu nous a maintenus vivants alors que nous contemplions la mort.

À tous les jours, nous voyons des enfants mourir, à tous les jours nous constatons que des enfants vont mourir; nous ne voyons pas de l’autre côté, c’est-à-dire après la mort.

Notre mort à nous est souffrante, est souffrante parce que nous ne connaissons pas ce qui se passera après la mort; si nous souffrons ainsi c’est parce que nous portons la peur en nous, la peur de découvrir ce qui va se passer.

Pourquoi avons-nous si peur de ce qui va se passer après la mort? C’est parce que nous manquons de confiance en la miséricorde de Dieu, nous manquons de confiance en la tendresse du Père : nous avons appris à faire confiance qu’en nous-mêmes.

Faire confiance en soi-même, c’est manquer d’amour.

Comment voulez-vous avoir confiance en vous-mêmes alors que vous portez tant de souffrances? Dieu nous dit d’avoir confiance en lui et pas en nous-mêmes.

Pourquoi ce monde nous dit : "Aie confiance en toi"? Nous avons appris cela dès notre enfance parce que nos parents aussi l’ont appris de leurs parents.

"Aie confiance en toi, car tu vas aller loin; fais confiance en tes savoirs, cela t’apportera beaucoup; si tu veux avancer, alors regarde ce que tu es; prends confiance en toi" : ces paroles sont ancrées en nous.

Cela nous a appris à avoir confiance en ce que nous sommes; nous sommes des enfants blessés par le péché, et on nous dit d’avoir confiance en nous.

Regardons-nous, pas un seul ici n’a pas commis des péchés : nous avons jugé notre prochain, nous avons volé, oh! volé l’amour du prochain : "Aime-moi, je veux être aimé."

Voyez-vous, on demandait l’amour du prochain, on l’exigeait; l’amour, c’est gratuit; l’amour, c’est libre, ça se donne.

Nous avons été en nous-mêmes des êtres blessés et nous continuons encore à être blessés parce que nous avons peur et nous doutons, et c’est envers cet enfant que nous devons avoir confiance.

Qu’est-ce que qui peut sortir de bon de nous-mêmes? Rien.

Ce qu’il y a de bon en nous, c’est le oui à Dieu; c’est seulement ça qui est bon, alors Dieu veut le faire développer.

Dieu veut que nous saisissions la valeur du oui à Dieu : celui qui n’a pas peur, celui qui n’hésite pas à faire confiance en Dieu; alors, pour cela, Dieu nous amène dans le passé.

Il n’y a que Dieu qui puisse faire ce mouvement parce que Dieu est la Divine Volonté, Dieu est l’Alpha et l’Oméga; le passé, le présent et le futur (sont) en Dieu.

Tout est accompli en Dieu, à lui seul de nous amener là où lui il le veut pour que nous nous accomplissions.

Le Saint-Esprit me demande de fermer les yeux.

 

Saint-Esprit : À l’intérieur de vous, il y a une lumière; à l’intérieur de vous, il y a un endroit où Dieu veut vous amener.

Chacun de vous êtes habité par la Volonté de Dieu et la Volonté de Dieu est toute-puissance.

Elle vous amène dans un temps, dans un temps où il y avait un homme, un homme qui avait donné son âme au diable, un homme qui vivait des connaissances du diable : il avait échappé au déluge.

Il était là à regarder sa noirceur, il aimait se contempler dans ce mouvement; alors, le soir il se retirait pour que personne (ne) soit témoin de son agir.

Il parlait au diable comme il parlait à un ami, et le diable lui promettait prospérité dans les âges; le démon lui promit pouvoir par les astres; le démon lui promit qu’il ne s’effacerait jamais par les lumières; le démon lui promit qu’il serait toujours le plus fort en se servant du pouvoir des pierres; le démon lui promit qu’il ne serait jamais oublié dans l’esprit des hommes par les plantes : il promit de mettre ce pouvoir dans la racine même de l’homme.

Le diable promettait tout ça à la condition qu’il fasse tout ce qu’il veut, et l’homme promit, car il avait un cœur malsain : à l’intérieur de lui coulait le sang de l’infidélité.

Il avait atteint l’âge où Satan se servit de lui : toutes les connaissances étaient venues de Satan, il était instruit jour et nuit.

Satan fit de lui un être à son service : ses paroles étaient envoûtantes, ses gestes étaient habiles, et il prospérait, car là où il était, on le suivait, là où il se présentait, on ne voulait écouter que ce qu’il disait : il se disait être pour eux alors qu’il était contre eux, les enfants de Dieu.

Il leur montrait ce qu’il avait appris de Satan : on l’écoutait, on l’admirait : il en vint à faire oublier à ces enfants qu’ils se devaient à Dieu.

Il leur montrait que lorsqu’ils prenaient des herbes, ils pouvaient aller dans l’oubli de leur être.

Il leur faisait voir des visages et ces visages étaient de laideur, mais ils avaient pouvoir, pouvoir de changer leur vie, pouvoir de mettre dans leur vie de la chance : il leur expliquait ce qu’était que d’avoir de la chance, il leur expliquait ce qu’était que de pouvoir contrôler l’avenir.

Il leur apprenait à écouter les besoins des autres pour contrôler, car il avait réuni autour de lui des adeptes afin qu’eux puissent partir et aller montrer, car il voulait étendre son pouvoir aussi loin qu’il pouvait l’imaginer.

Cet être diabolique était méchant; il leur apprenait comment se servir des armes, car il leur avait appris à construire des armes.

Il leur avait appris à faire des offrandes au démon; le démon avait pris la forme de dieux : tête d’animaux sur un corps d’homme, corps animal avec une tête d’homme devinrent pour eux une connaissance.

Il y avait parmi ces images des êtres qu’ils n’avaient jamais vus, cela les fascinait; il mettait dans leur esprit qu’ils étaient des êtres de pouvoir, qu’il fallait leur offrir des offrandes afin d’obtenir d’eux, et eux écoutaient, et eux offraient.

Alors, ils ont appris à idolâtrer, ils ont appris à devenir des êtres indépendants de Dieu, ils ont appris à être soi-même des dieux : ils s’ornaient de pierres.

Ces bijoux étaient pour eux des ornements qui les faisaient connaître comme étant des dieux, et les enfants de Dieu allaient vers eux, leur offrant des offrandes.

Ils devin(rent) comme des petits esclaves afin d’obtenir ce qu’ils demandaient : tout cela était l’œuvre de Satan.

Celui qui les dirigeait était de plus en plus dans la connaissance du mal, il leur montra comment tuer des enfants : ils ouvraient, et ils offraient.

Il était le mal incarné, car ce qu’il offrait était des enfants.

Le monde est devenu de plus en plus incapable de se raisonner : on tuait par plaisir, on violait, on volait pour obtenir, tout se faisait ouvertement; le pouvoir (du mal) était si grand qu’on ne pouvait plus trouver aucune âme fidèle à Dieu.

Dieu voyait et Dieu regardait ces enfants, et Dieu dit : «Ces enfants ne méritent pas de vivre; je vais les faire disparaître de la surface de la terre», car tout n’était que désolation.

Il vint des maladies, il vint des guerres, il vint des séparations; il troubla les esprits afin qu’ils ne puissent former un peuple.

Il vint un homme droit qui sortit de ce peuple infidèle, et on l’appela Abraham, car Dieu aimait son enfant; il apporta avec lui sa tribu.

Dieu le favorisait, il grandissait et il se développait; il n’était pas comme l’être de noirceur, il était droit, il était lumière : cet homme était un homme de justice.

Dieu le regarda, et Dieu l’aima, et Dieu voulut de lui la chair de sa chair, alors il alla trouver Abraham, et lui donna la prospérité.

Il lui donna tout pouvoir sur la terre : tout ce qu’il voyait était à lui, tout ce qui devait venir de lui, lui était accordé par Dieu, car il devint la promesse de Dieu pour les âges à venir.

Abraham connut son enfant, il rendit grâce à Dieu; son cœur était gonflé de joie et Dieu vint lui parler : «Donne-moi la chair de ta chair, viens m’offrir ton amour, montre-moi que tu m’es fidèle.»

Abraham accepta, et parce qu'Abraham accepta, Dieu le récompensa : «Génération en génération tu recevras, de ton Dieu, l’amour de ton Dieu; tu seras appelé père d’amour sur cette terre, car ce qui sortira de toi sera de toi pour Dieu, car je peuplerai la terre de ta descendance», et la terre se peupla d’enfants fidèles, et la terre était témoin des enfants de génération et de génération.

Ces enfants avaient en eux des souvenirs de la souffrance parce qu’ils avaient été témoins de la laideur, parce qu’ils venaient d’Abraham : Abraham avait vu, entendu.

Abraham avait tourné son regard vers Dieu et non vers cette laideur, Abraham avait toujours été fidèle à Dieu; il avait détourné son regard des dieux, et sa descendance se souvenait, car tout en leur chair était la marque de la souffrance, et ils avançaient, ils avançaient.

Les enfants ont connu l’épreuve de l’amour, ils se devaient être fidèles; les uns et les autres, ils devaient se soutenir comme étant une seule famille, mais le mal était en eux.

Alors, ils ont été infidèles à leurs frères, car ils ont voulu tuer Joseph, et Dieu les amena, les amena où il y avait des dieux afin qu’ils puissent être devant ce qu’ils avaient en leur chair, et leur chair a crié, leur chair a crié pardon, leur chair a voulu reconnaître qu’il n’y avait qu’un seul Dieu, et Dieu les fit sortir de cet esclavage.

Dieu leur donna tout ce qui leur était nécessaire afin qu’ils soient fidèles en un seul Dieu jusqu’au jour où viendrait l’Élu tant attendu.

Le Fils de Dieu vint en ce monde, il leur fit connaître l’amour du Père, il imprégna en leur cœur les dix commandements, il fit d’eux l’Église, il fit d’eux la promesse d’entrer dans une terre où tout ne serait que perfection : le Règne de Dieu sur la terre comme au Ciel.

Enfants d’amour, regardez ce que vous êtes devenus : aujourd’hui, la terre est entourée de noirceur parce que les enfants ont ouvert une porte au diable : ils ont écouté leur chair plutôt qu’écouter leur cœur qui portait les dix commandements de mon Père; ils ont écouté ce monde qui inscrivait dans leur esprit tout ce qui était du passé et qui avait fait souffrir les enfants de Dieu, les amenant à se détruire.

Aujourd’hui, ce monde revit la méchanceté, mais ils la vivent en leur chair : ils sont aux prises avec tout ce qui a été connu par cet être de noirceur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur Dieu veut que nous sachions que nous vivons sous le pouvoir de l’Antéchrist.

L’Antéchrist est tout autour de nous, il se fait voir et il se fait aimer et adorer.

Tout ce qui est du pouvoir autre que Dieu est de Satan.

Nous avons accepté dans nos demeures ce qui était impur, nous avons accepté l’impureté de la chair, nous avons accepté l’impureté de l’esprit, nous avons accepté l’idolâtrie : nous avons accepté de prendre ce qui nous rend comme des bêtes parce que nous (n')avons plus peur des bêtes.

Comment se fait-il que nous voyons des animaux ayant la forme d’êtres humains, et nous ne nous étonnons pas? Parce que notre chair connaît cela : l’être qui écoutait Satan, l’être qui s’était donné à Satan avait vu ces images.

Satan se montrait à lui, montrait ces démons, et lui les connaissait, il lui apprenait à leur donner des noms : c’est comme si Satan faisait (avec lui) ce que Dieu avait fait avec Adam. Il voulait faire de cet être un être de perdition pour (les) générations qui devaient venir.

Aujourd’hui, nous lisons l’horoscope : avez-vous réalisé que l’horoscope, ce sont ces personnages, ce sont leurs noms que nous consultons, que nous avons nommés notre jour de naissance comme étant sous leur influence? Cela vient de cet être immonde qui a donné son âme à Satan.

Cela est tellement autour de nous qu’aujourd’hui on ne prie même plus pour libérer ceux qui sont aux prises avec ces choses.

Car ce n’est pas humain, ce sont des esprits : ils ont un pouvoir, un pouvoir de nous perdre.

Combien il y en a qui ont lu ces horoscopes et qui ont choisi délibérément de suivre ce qu’il y avait d’écrit : on a déménagé, on a changé d’emploi, on a investi de l’argent à cause de ce qu’on avait lu.

Les esprits mauvais nous faisaient faire des pas dans notre vie; cela est tellement entré à l’intérieur de nous qu’on a voulu se faire du mal.

On reproduit les mêmes mouvements qui se sont faits en ces temps-là : on vole notre prochain, et on se donne des excuses.

Cela est fait subtilement, car l’intelligence de Satan y a vu.

Lorsqu’on vole les assurances, on nuit à notre prochain, on nuit à soi-même; c’est voler (et) on veut se déculpabiliser, et on s’étonne lorsqu’on se fait voler notre époux ou notre épouse.

Voyez-vous, nous (ne) sommes pas plus fins qu’eux, on n'a rien vu, parce que dans ce temps-là, il y avait des enfants comme nous qui avaient été jadis des enfants de Dieu, qui avaient foi.

Puisqu’ils étaient descendants de Noé, ils se souvenaient d’avoir été sauvés des eaux, alors quelle est donc la différence avec nous qui se savons être sauvés par la Croix du Christ? Nous revivons le même mouvement qui s’est déjà passé.

Souvenez-vous que l’Esprit de Dieu a dit : «On ouvrait le ventre des mamans et on prenait l’enfant pour (l')offrir à des dieux.»

On refait encore la même chose : on fait des avortements et les premiers qui (sont) à notre tête, qui doivent nous protéger, ne disent pas non; on veut faire des lois disant que cela est permis.

Tout cela, c’est l’œuvre de Satan, c’est le même! Il veut tuer la vie.

Aujourd’hui, il veut encore tuer la vie; il tue la chair de notre chair : il nous tue; en atteignant notre chair, il va atteindre notre âme, cela est devant nous.

Dieu, s’il nous parle ainsi, c’est pour que nous puissions voir ce qu’il fait.

C’est répandu à la surface de la planète, cette noirceur est partout.

S’il (ne) tue pas nos enfants, il les empoisonne, il les amène jusqu’au suicide, car ils connaissent se servir de ces herbes qui tuent.

C’est Satan qui a montré comment se servir d’herbes qui empoissonnent l’esprit; il connaissait, cet homme de noirceur, toutes les recettes pour faire de la drogue; cela vient de Satan.

Aujourd’hui, c’est répandu partout; on vend ce que l’homme veut faire connaître pour tuer et on achète, on achète ce qui empoisonne nos vies, parce que si cela est dans notre vie, c’est que nous, nous n’avons rien fait pour arrêter cela.

Croyez-vous que Satan est plus fort que Dieu? Dieu est puissant, Dieu est le Tout.

Il a donné à Abraham tout ce qui lui était nécessaire pour prospérer; son troupeau était très grand, si grand! Lorsqu’il partait, il choisissait sa terre afin que son troupeau puisse paître.

Qui a donné prospérité à Abraham, sinon Dieu? Pourquoi avons-nous peur de ne pas avoir notre nécessité? Dieu a toujours pris soin de ses enfants, et aujourd’hui, on doute qu’il va prendre soin de nous.

On fait confiance en un pouvoir et ce pouvoir, lui, va prendre toute notre confiance, la confiance qu’il a développée pour nous-mêmes.

On s’est arrangé pour que l’être humain ait confiance en lui; en développant sa confiance en lui, ça le rendait fragile, fragile dans ses besoins : j’ai besoin de manger, j’ai besoin d’avoir une demeure et j’ai besoin de m’alimenter et de m’habiller; et cela a été beaucoup plus loin : j’ai besoin de confort.

Alors, le monde nous a donné l’électricité, nous a donné de la chaleur; le monde nous a donné aussi des moyens d’aller plus vite, bien confortablement assis dans les autos; tout cela pour nous apporter du confort.

Est-ce que Dieu avait besoin de cela, lui, pour nous donner du confort? Il avait tout donné à Abraham et Abraham grandissait, grandissait dans la joie, dans la confiance en son Dieu et non pas dans sa confiance, parce qu’il a attendu des années de temps avant d’avoir son fils.

Il a fait confiance en Dieu, pas en lui, pas en l’homme viril qu’il était! Il donnait tout à son Dieu et ça lui apportait de la joie et tous ces gens étaient dans la joie, on ne manquait de rien : ils étaient nourris, habillés, logés, ça formait une famille.

Aujourd’hui, on se fie à quelqu’un, à celui qui va prendre soin de nous, à celui qui nous a montré qu’il fallait se prendre en main, à celui qui nous a dit : "Travaille pour moi, je vais bien te payer", à celui qui nous a apporté de la nourriture en abondance : "Ne crains pas, je suis capable d’aller en chercher ailleurs, avec de meilleurs prix, à condition que tu le mérites : vote pour moi".

Voyez-vous, nous avons fait confiance en l’être humain et non pas en Dieu et nous en payons le prix, parce que c’est Satan qui nous a conduits là et non Dieu.

Dieu nous a donné des hommes, des hommes qui devaient prendre soin de nous, des hommes qui avaient le regard tourné vers Dieu, car les enfants d’Abraham étaient (loyaux) envers Dieu : ils montraient à leur descendance que Dieu était le Tout-Puissant, ils se réunissaient et ils parlaient de Dieu. Les enfants respectaient les parents comme les parents apprenaient à respecter les enfants parce qu’ils connaissaient la valeur de famille : tout était en la confiance de Dieu.

Pourquoi l’homme a-t-il délaissé cela? Pourquoi l’homme a-t-il voulu avoir plutôt, à la tête, quelqu’un qui était pour les diriger? Pourquoi l’homme a-t-il voulu avoir des rois et devenir esclave de ces rois, car ils devaient donner beaucoup pour avoir peu? Ils ont préféré avoir peu et avoir un roi parce qu’à l’intérieur d’eux (il y) avait la souffrance des enfants qui avaient idolâtré.

On avait idolâtré des dieux, on avait idolâtré des animaux qui avaient la forme humaine, et tout cela était en eux : ils avançaient dans un piège, et ils se sont laissé prendre.

Dieu a regardé ces enfants, et Dieu a dit : «Que cela soit». Dieu a continué à les regarder, il a continué à leur donner de l’amour en envoyant parmi eux sa Parole, car des hommes étaient, devant la Face de Dieu, des instruments d’amour.

Ces prophètes parlaient de Dieu, de fidélité à Dieu; ils leur rappelaient qu’ils avaient dans leur cœur les dix commandements de Dieu; ils leur disaient que Dieu les appelait à renoncer à l’idolâtrie.

Alors, cela nous rappelle qu’il y a toujours eu de l’idolâtrie, cela nous montre que nous vivons dans l’idolâtrie parce qu’il envoie encore des instruments.

Il parle dans les cœurs directement afin de nous maintenir dans la foi, une foi bien fragile, mais une foi toujours existante : nous sommes les enfants de la Promesse, nous sommes les enfants de la génération, de génération, de génération d’Abraham.

Dieu a dit que nous entrerions dans une terre où le miel coulerait, et lorsque Dieu dit, cela s’accomplit; il veut que nous réalisions que nous devons laisser nos idoles parce que nous en avons beaucoup.

La première idole, n’est-ce pas d’aimer notre maison au-dessus de ce qu’elle vaut? Que vaut une maison? On donne des prix selon la valeur de la grandeur des pièces. Qui a fixé ces prix? Ce sont ceux qui veulent avoir beaucoup, ce sont ceux qui veulent contrôler les autres, ce sont ceux qui veulent que nous leur donnions notre bien jusqu’à la sueur de notre front : notre maison est devenue une offrande entre leurs mains.

Nous avons fait de l’idolâtrie : aimer notre maison au-dessus de notre vie spirituelle.

Combien d’enfants de Dieu préfèrent travailler sur leur maison plutôt que d’arrêter complètement de travailler le dimanche? Combien d’enfants préfèrent nettoyer l’intérieur de leur maison plutôt que de rendre visite à leurs parents? Combien d’enfants ont peur que des étrangers, des voisins entrent dans leur demeure, allant même à se procurer une arme à feu : tuer la chair de sa chair, car le voisin est notre frère.

Nous avons Adam et Ève comme parents : nous ne venons pas d’animaux, nous venons d’êtres humains, et Dieu a créé Adam, Dieu a créé Ève et il nous a créés, car la chair de la chair s’est multipliée.

Alors, si nous avons peur que quelqu’un vienne prendre comme acquis que notre maison est la sienne, le prix à payer est de lui enlever ce droit qu’il se donne : "Si tu viens prendre ma maison, je vais te tuer."

Voyez-vous, on a fait de notre demeure une idole, et si on allait dans notre maison, on verrait qu’il y a beaucoup d’idoles : on y tient à notre téléphone; on y tient à notre télévision; on y tient à nos bons plats, nos mets favoris aux dépens de notre santé.

Comment se fait-il que nous nous empiffrions au-delà de notre bien-être? Qu’est-ce qui a mis en nous tous ces abus? On mange, on mange et on a une indigestion; j’ai le diabète, mais je mange, mange, mange, mange; j’ai la haute pression, je mange, mange, mange, mange; ah! je fais du gras, je mange, mange, mange, mange.

Qui a mis ça en nous, si ce n’est pas Satan? C’est lui qui a développé ces besoins, c’est lui qui a mis chez nous un écran noir : "Ah! ça me prend mes nouvelles; ah! un bon film, ah! j’ai les yeux tout gonflés, mais je vais continuer à écouter la télévision; je travaille dans une heure, deux heures, c’est pas grave, j’ai le temps d’écouter mon émission", et on s’en va tout stressé, et on ne voit pas l’auto qui s’en vient, et on la frappe.

Qui a fait que nous ayons ce manque de paix à l’intérieur de nous? C’est Satan, c’est lui qui nous maintient dans ces besoins qui sont contre nous.

Et le téléphone, cet appareil qui communique avec le prochain : "Tu as promis que tu venais, qu’est-ce que tu fais? Tu es en retard." 

Je me sers du téléphone pour dire ma façon de penser à mon voisin; je prends le téléphone parce que je veux faire une plainte; cela est contre nous, et nous le faisons quand même.

Le téléphone, c’est comme un pouvoir : "Je sais, moi, ce qui est bon, je vais le dire aux autres", ça ne nous donne pas le temps de réfléchir afin de nous calmer, ce n’est pas de la chaise au téléphone qu’on va apprendre à redevenir dans notre paix.

Qui a fait que nous ayons un appareil qui montre notre souffrance à notre voisin? Qui nous montre à être impolis? C’est Satan, Dieu ne veut pas ça.

Dieu est amour, Dieu ne nous dit pas ces choses-là pour nous dire : «Demain, vous allez jeter votre télévision, votre téléphone, et vous allez quitter votre maison.»

Dieu n’est pas comme ça, mais il veut nous donner des lumières, il veut que nous puissions être dans nos propres choix.

Parce que Satan, lui, n’a que faire de nos choix, subtilement, il nous l’impose : cela a été dans notre vie, et nous ne nous sommes pas aperçus du mal qu’on se faisait.

Dieu nous donne des enseignements afin que nous puissions être devant ce que nous sommes.

«Regardez ce qu’il y a dans votre chair? Pourquoi êtes-vous si épris du matériel? Laissez-moi vous combler, mais vous vous imposez des souffrances à cause de ce que vous tenez; cela doit vous servir, mais c’est vous qui servez : c’est de l’idolâtrie.

Vous faites confiance en ce monde et vous ne faites plus confiance en Dieu, et votre maladie est dans votre vie; la mort est autour de vous, et vous ne voyez rien : c’est la conséquence de vos choix devant le péché, car il est péché d’idolâtrer.»

Mais on n'a rien vu de l’idolâtrie, on a oublié le plus grand des commandements de Dieu : «Aime ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de tout ton cœur.

Fais-moi confiance, donne-moi ton âme, elle est à moi; laisse-moi ton cœur, je vais le remplir de mes élans d’amour; laisse-moi ton esprit, et prends mon Esprit d’amour; ma force est à toi, tu es si petit, laisse-toi entre mes mains.»

Voilà ce qu'est aimer Dieu, mais nous n’avons rien fait de cela. Nous avons aimé de toute notre force notre vie, notre vie de souffrances, notre vie qui fait souffrir ceux qu’on aime, car nous avons fait, avec notre cœur, du mal à ceux qu’on aime : nos paroles ont été des paroles qui contrôlaient, qui dominaient. Nous n’avons pas écouté notre prochain, car notre esprit était trop de ce monde. Notre amour a été un amour calculateur, nous n’avons pas aimé notre prochain, nous n’avons pas aimé nous-mêmes; n’est-ce pas le deuxième commandement qui est semblable au premier?

C’est notre vie, nous devons nous reprendre et donner à Dieu ce qui est à Dieu.

Nous devons revenir à la case de départ : "Tu m’as donné ma volonté humaine parce que je l’ai demandée, je voulais connaître, je voulais savoir.

Maintenant que j’ai vécu tout cela, c’est bien triste ma vie, alors viens reprendre ma volonté humaine; puisque tu m’as suivi pendant toutes ces années, c’est que tu tiens à moi.

Tu m’as enlevé la Divine Volonté parce que je ne la méritais pas, mais je sais maintenant que je la mérite, ah! pas par moi-même, mais par ton Fils.

Alors, donne-moi ta Divine Volonté, je la veux; nourris-moi, prends ce que je suis, je veux être à ta ressemblance.

Toutes ces années à ne pas croire que je pouvais être parfait comme toi; je me suis triché, c’est parce que Satan m’a triché.

Aujourd’hui, je le sais que c’est lui et que ce n’est pas l’enfant de Dieu que je suis, alors prends-moi, je suis tout à toi."

Ce sont des paroles qui nous appartiennent. Ces paroles, je viens de les entendre par la puissance du Saint-Esprit, elles sont de chacun de nous : c’est nous, ça. Alors, rendons grâce à Dieu pour ce que nous venons d’entendre.

Levons-nous tous ensemble, tenons-nous par la main, et disons à notre Père que nous sommes ses enfants.

Que pas un seul ne soit détaché de l’amour divin du Père.

Est-ce que tout le monde est bien attaché? Est-ce qu’il y en a en arrière qui ne sont pas attachés avec celui d’en avant? Dieu patiente, on va attendre à notre tour.

Attache-toi, Laurianne, pour ne former qu’un seul mouvement : le Cœur de Dieu.

Qui sommes-nous pour prier, si ce n’est que Dieu va prier; c’est lui notre Dieu, c’est lui notre Papa d’amour, alors agissons comme des tout petits enfants parce que nous sommes des enfants.

Pour toi Père, en ton Fils : "Notre Père qui es au Cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel.

Donne-nous aujourd’hui, notre pain de ce jour, pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal. Amen!"

♪♪♪ : Amen! Amen! Amen! Amen! Amen! (bis)

Merci, Seigneur!

I love you.

Alors, on va prendre quelques minutes et après si vous voulez bien, il y en a beaucoup qui aiment poser des questions à l’Esprit Saint.