2012-08-10

La paix soit sur vous
 

Je te donne des grâces d’abandon. Mes enfants, vous avez à vous donner et à vivre en Jésus. Oui, mes enfants, soyez forts, doux et obéissants. À moi de vivre ce que vos choix vous ont amenés à vivre : la souffrance, et c’est dans l’abandon que vous pouvez me laisser toute cette souffrance qui se fait ressentir en votre chair. Vous avez un tout petit temps à vivre dans ce temps d’abandon afin de vous accomplir dans ce que Dieu vous réserve. Aujourd’hui, vous vivez dans les grâces pour que demain vous vous accomplissiez. Je vous aime.

Il est de moi de vous faire entrer en votre vie intérieure, et cela se fait par mes grâces. Lorsque vous vous abandonnez, vous acceptez les grâces afin que vous puissiez vivre en votre vie spirituelle. Ce n’est pas à vous de vous faire entrer en votre vie spirituelle, les grâces ne vous appartiennent pas. Avant la désobéissance, les grâces vous nourrissaient continuellement puisque vous n’aviez qu’une pensée : celle de Dieu. Votre pensée était nourrie par la pensée de Dieu : ce que Dieu voulait vous le vouliez.

Aujourd’hui, vous avez votre propre pensée, votre propre volonté; c’est pourquoi il faut que vous vous arrêtiez pour penser à Dieu et vous abandonner pour être dans les grâces de Dieu. À cause de la désobéissance, vous n’avez plus été capables d’entrer là où sont votre force, votre joie et votre amour de tout donner à Dieu. Mes douceurs, je vous accorde ce temps par amour. Laissez tout à Dieu et soyez des êtres de paix. Ne vous faites pas la guerre avec vos paroles, elles vous font connaître des sentiments de rébellion, de désappointement. Je sais que vous souffrez, je connais la cause de vos maladies.

Mes tout petits, je vous aime, m’aimez-vous? Êtes-vous consentants à vivre la souffrance par amour pour tous vos frères et vos sœurs? Moi, je le suis. Oui, mes enfants, lorsqu’un de vous souffre, je souffre, c’est mon amour qui se donne à vous. Voilà ce que je veux que vous sachiez : mon amour pour vous est en vous et je vis ce que vous vivez, et je prends tout. Tous ceux qui vous ont amenés à souffrir, je les prends en moi pour ne pas vous faire connaître leurs souffrances qui vous anéantiraient.

Lorsque vous êtes amour, vous avez en vous la lumière qui réchauffe vos cellules; vous avez en vous les forces qui vous amènent à ne pas vous décourager; vous avez en vous la patience d’attendre que vos cellules se détendent, se renforcissent et se régénèrent. Tout en vous est en la puissance de Dieu. Restez calmes, faites ce que vous avez à faire et n’en faites pas plus. Je vous dis ce que vous devez être. On prend soin de vous, à vous de prendre soin aussi de vous. Votre prochain peut vous aider à être dans la confiance, mais c’est à vous d’aimer votre chair. Mes enfants, comment pouvez-vous aimer votre chair, si vous ne vous reconnaissez pas amour pour vous en aimant vous donner la paix?

Mes petits, les enfants du tiers-monde s’abandonnent, car ils n’ont autre choix que vivre le présent. Ils se savent être vivants pour la journée qu’ils vivent, ils ne s’arrêtent pas pour faire des projets pour demain : la paix les aide à vivre ce jour. Ils ne demandent rien, ils n’ont rien; ce qu’ils savent, c’est qu’ils sont vivants. Mes petits des pays riches, vous ne vivez pas votre journée dans la paix. Vous ne savez pas ce que la paix peut vous apporter. La paix est une source de force et votre force est pour vous ce que votre paix est dans votre journée. Lorsque vous vivez ce jour dans la paix : ce jour est béni de Dieu. Et parce que vous, qui êtes dans la paix, apportez à votre quotidien des actes de paix qui vous donnent des actes d’amour, votre chair profite de la joie que la paix apporte. Les petits qui n’ont rien profitent de cette paix, et ils savent sourire à la vie : leur vie. Et vous, souriez-vous? Je vous le fais savoir pour que vous puissiez vous apporter de la paix.

Jésus vous aime.