Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2006-12-02 - A.M. partie 2

 

Jésus : À être vous-mêmes, à laisser pénétrer en vous mes grâces d’amour, mes grâces vous libèrent, mes grâces guérissent votre être blessé.

Vous avez appris à ne pas être vous-mêmes; vous avez appris à exiger, à demander aux autres de vous apporter le bonheur : ce bonheur que vous vouliez tant, il était fait de vos misères.

Oui, vous avez cherché à combler votre vie avec ce que vous connaissiez, vous étiez si souffrants; vous avez voulu demander et demander, vous avez cru que cela était le bonheur.

Enfants de ma Volonté, le bonheur, c’est être vous-mêmes en Jésus, c’est être moi, c’est laisser sortir de vous ce que je dépose en vous pour vous-mêmes, et les autres en profitent.

Laissez couler en vous ce chant d’amour, vous êtes nés pour Dieu, vous êtes nés pour adorer Dieu. Adorer Dieu, c’est donner de vous-mêmes, c’est être pris par un Être supérieur à vous-mêmes afin d’être comblés, là est le bonheur : savoir que Dieu est au-dessus de vous et savoir que Dieu vous regarde et vous aime.

Dieu vous comble avec ses grâces, afin de prendre ce qui vous a blessés et le remplacer par de l’amour.

Laissez couler en vous, mes amours, mes grâces de libération, de guérison; tout cela est pour vous.

Enfants de ma Volonté, soyez attentifs, car les grâces vont vous amener là où vous, vous n’êtes pas capables d’aller et ce qui se fera connaître en vous, vous apportera de la lumière.

Quelquefois, demeurer dans la noirceur c’est souffrant, mais lorsque les grâces accompagnent ce mouvement, vous acceptez de vous regarder comme vous avez été dans la noirceur, et vous donnez à Jésus ce que vous avez accepté et qui n’était pas pour vous, et là vous commencez à être lumière pour vous-mêmes.

Commencez à goûter au bonheur pour que les autres puissent, à leur tour, goûter au bonheur.

Enfants de ma Volonté, maintenant, vous allez être attentifs à vos frères et à vos sœurs qui n’ont pas compris certaines de mes paroles, et moi je vais mettre de la lumière en la personne, qui posera la question, ce qui est devenu incompréhensible pour la personne, et vous, vous recevez aussi, vous recevrez des grâces d’amour.

 

Q. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On m’a posé une question. Une personne est venue demander à Jésus, qu’au moment où les enfants viennent communier, au moment où ils reçoivent Jésus Eucharistie, ils le reçoivent comme eux sont capables de le recevoir.

Parfois, cette personne semble regarder cela et ne pas comprendre la situation, car il y en a qui vienne en état de grâces, d’autres en état de péchés, même de péchés graves; elle se demande si cela est acceptable, car elle connaît les paroles de Jésus qui di(sent) : «Tous, prenez et mangez.»

 

R. Jésus : Vous, vous aussi, vous connaissez cette parole que j’ai prononcée à la dernière Cène.

Enfants d’amour, écoutez bien votre Dieu, car cette personne qui a posé cette question est bien mélangée, si mélangée qu’elle se demande où est la vérité dans tout cela.

Est-ce que Jésus aurait dit cela en acceptant toutes les personnes, quel que soit leur état d’âme?

Moi, Jésus, je vous dis que lorsque vous recevez la Pureté, vous devez être vous-mêmes dans la pureté; on ne peut recevoir la Pureté que si, vous, vous désirez être la pureté.

Vous devez avoir une soif de vérité, car c’est la Vérité qui se donne à vous.

Vous devez aspirer à être lumière parce que c’est la Lumière qui se donne à vous-mêmes.

Vous devez être enfants de Dieu, car c’est le Fils de Dieu qui se donne à vous-mêmes.

Vous devez être l’Église, car c’est la Tête de l’Église qui s’offre afin que vous deveniez membres parfaits de l’Église.

Au moment où j’ai rassemblé mes apôtres pour prendre ce dernier repas avec eux, je les ai invités à ma Table; je leur ai parlé de mon Corps, de mon Sang; je leur ai parlé que cela devait être renouvelé, car c’est moi qui me donne.

À chaque instant où un prêtre consacre le pain et le vin afin qu’ils deviennent mon Corps et mon Sang, je me donne; c’est moi la Pureté, la Lumière, l’Église, et tous ceux qui consentent à être pureté, lumière, l’Église, deviennent un avec moi et cela n’a pas changé.

Que ce soit ce Jeudi Saint ou que ce soit à l’instant où le prêtre prononce ces paroles, il n’y a pas de temps : c’est le moment, c’est le présent.

Lorsque les apôtres ont pris le pain, c’est ma Chair qu’ils prenaient; lorsqu’ils ont pris le vin, c’est mon Sang qu’ils prenaient; ils étaient choisis pour être à la tête de mon Église : je les ai choisis.

Mon Père a accepté tout cela.

Il y avait Judas parmi eux; lorsque vint le moment où il prit mon Corps, où il prit mon Sang, son cœur n’y était pas, sa tête était ailleurs; il n’était pas pur, il n’était pas lumière, il ne voulait pas être l’Église, membre actif, car il avait consenti à me trahir.

Alors, je lui ai dit : «Fais ce que tu dois faire», et il est parti.

Croyez-vous que le Ciel a accepté qu’il prenne mon Corps, qu’il prenne mon Sang? Non, mon Père a ordonné aux anges de prendre mon Sang et mon Corps, afin que cela ne pénètre pas dans son impureté.

Voyez-vous, mes enfants, je suis la Parole et je n’ai qu’une parole, l’Église est moi.

Lorsque l’Église parle de pureté, elle parle d’enfants qui acceptent de se présenter en état de grâce pour recevoir mon Corps et mon Sang.

Celui qui se présente en état de péché véniel consent à aller vers le prêtre le plus tôt possible pour recevoir la grâce sanctifiante, et à ce moment il devient pur, car la grâce sanctifie son âme.

Celui qui me reçoit en étant de péché mortel alors qu’il est repentant et qu'il a une soif de moi, et qui veut qu’un prêtre lui donne l’absolution, vais-je donc refuser ce mouvement d’amour? Je sais moi qu’il a le désir de la Pureté.

Mais celui qui se présente en sachant qu’il est en état de péché et qui ne veut pas, à cause de sa volonté humaine, aller vers le sacrement de la Pénitence, celui-là se présentera devant son geste et lui-même se jugera avec mon amour.

Soyez vrais, mes amours, comme je suis vrai; ne soyez pas tièdes, mes amours, n’ai-je pas dit que je vomirai les tièdes? Je viens et j’accours vers vous pour vous donner la force de vouloir être saints.

Je vous aime tendrement.

Ne vivez pas dans cette incertitude.

L’Église a donné des paroles et ces paroles se sont inscrites par la puissance du Saint-Esprit et vous, vous avez le choix de lire ces paroles de vérité.

Alors, ne soyez pas ébranlés par ce monde, ce monde en souffrance, ce monde qui veut être consolé, mais avec sa volonté humaine; priez, mes enfants, pour que la lumière soit devant eux, je les aime tant.

Oui, j’aime les enfants de ce monde, ils sont à moi, parce que mon Père me les a donnés.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Jésus.

Est-ce qu’il y en a qui veulent continuer en posant des questions?

 

Q. Demande à Jésus qu’il parle de la puce, de ce qui se passe autour de la puce, d’avoir plus de lumière. Comment agir avec tout cela. Est-ce qu’il y aura des refuges? Est-ce qu’on va se cacher?

 

R. Jésus : Alors, fils d’amour, filles et fils d’amour, ce monde vous apporte son savoir, ce monde vous fait connaître sa volonté qui est dominatrice.

Ils veulent vous protéger contre vous-mêmes, ils veulent faire de vous des êtres qui aur(ont) un bon service.

Voyez-vous, la puce, c’est quelque chose qu’on a inventé pour mettre sur le marché afin de répondre à vos besoins, et combien d’entre vous profitez de cela!

N’oubliez pas, mes amours, que pour avoir accès à l’Internet, il y a des puces; combien d’appareils ont des puces! C’est si petit et c’est si efficace! On sait même ce qui se passe dans votre cour, on sait ce qui se passe à l’intérieur de vous.

Enfants d’amour, ces instruments sont extérieurs.

Ce que tu demandes, mon fils, c’est : "Qu’est-ce qui va nous arriver lorsqu’on voudra nous imposer la puce à l’intérieur de notre chair?"

Enfants d’amour, regardez ce qui se passe à l’extérieur de vous : vous voyez des gens qui s’habituent tranquillement à la puce.

On marque tout aujourd’hui pour faciliter les besoins des grands vis-à-vis des petits; tout est pour le pouvoir.

On fera, des enfants, des esclaves.

Puis-je vous poser une question, mes enfants?

Tous : Oui.

Vous sentez-vous esclaves de votre consommation?

Tous : Oui.

Vous sentez-vous esclaves du système médical?

Tous : Oui.

Vous sentez-vous esclaves de vos cartes de crédit?

Tous : Oui.

Vous sentez-vous esclaves de ce qui s’en vient?

Tous : Non.

Je vais vous la poser autrement.

Vous vous sentez-vous pris dans un piège avec ce que l’on veut vous imposer?

Tous : Oui.

 

Enfants d’amour, ne vous ai-je pas parlé hier de liberté? Je vous ai parlé d’une liberté extérieure qu’on vous a fait miroiter, qu’on vous a imposée, et je vous ai parlé aussi d’une liberté intérieure.

Voyez-vous, chacun de vous est libre : être libre à l’intérieur de vous; plus vous allez entrer en vous et plus la liberté extérieure inventée par ce monde perdra du pouvoir.

Lorsque vous, vous réalisez cela, une grande paix vient en vous; vous sentez que vous avez, vous, le choix d’accepter ou refuser.

Ce sont mes grâces, ce sont mes grâces de lumière qui agissent en vous; je vous fais connaître ce qui est en vous, vous apprenez à garder votre paix, et lorsque vous gardez votre paix, vous voyez et vous comprenez, et là vous pouvez prendre une décision.

Enfants de ma Volonté, je ne vous dirai pas, moi : «fais ceci, fais cela»; vous, vous aurez le choix d’accepter ou de refuser.

Puisque j’ai accepté ce que vous êtes, et cela depuis Adam, je n’ai pas forcé aucun enfant de mon Père à choisir la Volonté de mon Père; tout a été dans le choix des enfants de Dieu et cela va continuer.

Mais vous acceptez mes grâces de lumière, vous acceptez de voir et de comprendre, vous acceptez d’aimer votre prochain sans condition et de ne pas lui nuire.

Voyez-vous, je vous ai parlé de la puce, il est vrai, par mes instruments; je vous ai parlé de ce qui s’en vient par mes instruments; beaucoup d’entre vous (vous) savez ce qui va venir pour ceux qui ne seront pas dans la paix, et vous avez lu beaucoup de messages.

Je vous apprends à avancer avec ce que vous recevez à l’intérieur de vous : mes grâces, pour que vous puissiez aider vos frères et vos sœurs.

Il y aura des mouvements, oui, de souffrances, mais ces mouvements de souffrances seront terribles pour ceux qui ne seront pas dans mon oui à l’Amour, mais ceux qui seront dans mon oui à l’Amour, ils vivront cela avec mes grâces dans la paix.

La prière, mes enfants, est pour vous grâce; ne vous ai-je pas dit par ma Mère que tout sera conditionnel par la prière?

Vous avez tous eu un haut-le-coeur au moment où Jean-Paul II est décédé, et tout cela s’est passé dans la grâce parce que vous avez prié, parce que tout était amour.

L’Église était amour, l’Église est amour; continuez, mes amours.

Oui, il y aura des mouvements; on aura peur, on voudra fuir, mais combien cela ne vous atteindra pas parce que vous serez dans la paix et dans la grâce.

Regardez, est-ce que vous avez peur? Vous mangez.

Regardez, est-ce que vous avez peur? Vous ouvrez votre ordinateur.

Regardez, vous, vous savez ce qui s’en vient et pourtant vous avez dormi cette nuit!

Voyez-vous, ce sont les grâces du Ciel et cela vous nourrit; et plus vous réalisez cela et plus ceux que vous aimez et qui portent le oui d’amour avancent.

N’ayez pas peur, il faut que cela arrive. Je prends soin de vous, le Ciel prend soin de vous.

Les anges du Ciel sont là; le Ciel est avec vous, les saints sont avec vous, et cela vous le savez puisque vous l’avez lu dans les messages envoyés par mes messagers; tout cela venait du Ciel.

N’ayez crainte pour la puce, mes amours; tout est déjà accompli, à vous de vous accomplir.

Croyez-vous que le Ciel n’a pas préparé ce qui vient, puisque le Ciel lui-même a donné ce que vous, vous savez?

Lorsque Jean a écrit par la puissance du Saint-Esprit, est-ce que cela était déjà accompli? Tout était déjà accompli, car la puissance de Dieu est au-dessus de vous, les humains, mais il faut vous apprendre.

Il faut vous montrer comment vivre cela et il faut que vous, vous consentiez à être dans le mouvement de la Volonté de Dieu.

Vivez dans la Divine Volonté, mes amours, cela a été choisi pour votre temps et Dieu ne s’est pas trompé; ayez confiance, gardez votre paix et avancez.

Faites ce que vous avez à faire à tous les jours en Jésus : la Pureté, la Vérité, la Lumière, l’Amour.

Amen, mes enfants.

 

Q. Est-ce que c’est lorsqu'on pense que c’est très sérieux?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : "Un jour, un tout petit enfant regarde un miroir et il se demande : "Est-ce que je vais pénétrer dans ce miroir?" Il approche son visage, et il frappe une vitre.

"Ah!" il dit : "Ce n’est pas comme cela que je vais entrer dans ce miroir"; alors, il hoche les épaules.

Un jour, il s’assoit et il lit, car on lui a passé un livre qui parle de l’amour de Dieu, de l’amour du prochain, et dans ce livre, on peut y lire : "Entre en toi, viens à moi."

Alors, il s’assoit, il ferme les yeux et il dit : "Oui, me voici."  Et sans qu’il le réalise, tout se passe : il est déjà en lui.

Mais il comprit, il comprit que tout était de Jésus et rien de lui-même; il comprit que s’il réalisait qu’il était en lui, c’est que les grâces avaient guéri beaucoup de blessures à l’intérieur de lui; il comprit que lorsqu’il pénétrait en lui, tout se faisait par la puissance de Dieu et que lui ne faisait rien, mais qu’il consentait; il comprit qu’il n’était rien, mais qu’il était un oui, et il comprit que Dieu était tout et que lui n’était rien; il comprit qu’il était dans le oui de Jésus, et Jésus avait pris son oui.

Entrer en soi, disait-il, c’est prendre un temps pour le donner à Jésus et être avec lui."

Être à l’intérieur de soi-même, c’est prendre un temps avec Jésus.

Quelquefois je travaille; quelquefois je travaille! C’est dans la construction, et quand je frappe des clous, quand je visse, tout ça, alors là, je le fais, mais avant j’ai pris la précaution de dire : "Eh! c’est pas moi qui fais ça, c’est toi Jésus"; alors, il dit : «Oui, c’est moi.»

Alors, je travaille; mais il est bon parfois que je m’arrête; puis, là je rentre, j’ai seulement qu'à…, en un mouvement, je rentre, je l’entends : «Je t’aime, je t’aime, c’est pas toi qui visses, c’est moi.» "Oui, Jésus."

Alors, je n’ai que fait ça! C’est ça entrer en soi.

Que ce soit pour passer la balayeuse, on s’assure que c’est Jésus qui passe la balayeuse, mais c’est bon, de temps en temps, d’arrêter : "Ah! Jésus", puis là entrer, prendre un moment de silence, puis être là, c’est tout, et Jésus fait le reste.

C’est lui qui fait tout, c’est pas nous; c’est lui qui me dit : «Je t’aime», c’est pas moi, c’est lui; il prend la place, toute la place; alors, je n’ai qu’à me laisser entre ses mains.

Entrer en soi, c’est consentir à être entre les mains de Dieu.

Il le fera comme il le voudra, que ça soit sans rien ressentir, sans rien entendre, le mouvement est là; il est présent, puis il est vrai!

Jésus agit! Il n’est pas un illusionniste, Jésus, il est vrai, il est la Vérité.

Quand il dit : «Viens», "Oui, me voici", là, ça se passe.

Si, nous, on ne le réalise pas comme on voudrait le réaliser, eh bien, dites-vous que tout se passe, et ça, c’est l’affaire de Dieu.

Si on veut ressentir un moment d’extase, eh bien, ça c’est l’affaire de Dieu, c’est pas la nôtre; si on ressent un vide comme si : ben, il y a rien qui se passe, eh bien, on a à gagner l’abandon, c’est tout : on a à apprendre.

Si vous saviez comme Jésus nous apprend l’abandon! Si tout serait comme nous on le veut, au moment où nous, nous le voulons, il n’y aurait pas grand monde qui serait dans l’abandon; et c’est merveilleux d’être abandon.

Jésus a été abandon; lorsqu’il a ouvert ses bras sur la Croix, il a dit : «Père, me voici», il était abandon, puis il a été jusqu’au bout.

Alors, c’est ce que nous, nous devons faire; oh! on n’a pas les bras ouverts sur la Croix, on entre en nous : "Me voici."

Y’a des fois, on n'a même pas besoin de dire : "Me voici", on entre; il a fait de notre désir son propre désir avant même que nous, nous puissions avoir cette pensée d’entrer en nous; c’est lui-même qui le fait; ça, c’est entrer en soi.

Comment comprendre tout ça? Laissons à Dieu ce soin, lui le fait d’une façon merveilleuse et d’une telle simplicité.

Nous, on a toujours ce don-là de compliquer notre vie; mais ça, ça fait partie des mouvements de purification que nous devons vivre pour nos frères et nos sœurs du monde entier.

Voyez-vous, combien d’entre nous avons quasiment fini notre purification? Mais ce mouvement, nous le vivons en notre chair parce que d’autres ne le connaissent même pas.

Alors, nous devons continuer à être tout, tout, tout, tout petits entre les mains de Dieu.

Merci, Seigneur.

 

Q. Alors, lorsqu’elle voit le prêtre consacrer le pain et le vin, l’offrir, se donner, est-ce que Jésus souffre de la même façon qu’il a souffert la première fois? Parce qu’on aime savoir que Jésus est présent et qu’il s’est donné, et que nous aussi on veut participer à cela.

 

R. Jésus : Amours, amours, je suis l’Amour qui se donne.

Lorsque je me suis donné à mon Père, il y eut un oui; à cet instant tout commençait.

Le mouvement se donnait sans cesse et sans cesse, il prenait chaque enfant; tout mouvement qui n’était pas pur devant mon Père, le oui le prenait et il était présent.

Lorsque je vins au monde, je fus en un instant dans le sein de Marie et tous les oui étaient présents et je vivais chaque mouvement.

Je faisais participer ma Mère à ce mouvement d’amour, d’offrandes, car elle apprenait à offrir son Fils, elle apprenait à s’unir au Oui pour ne faire qu’un seul oui.

Lorsque ma Passion fut devant mon Père, le oui se donnait sans condition.

Tous mouvements passés, présents et futurs étaient là, et je souffrais ma Passion, je m’offrais jusqu’à la mort, et tout fut amené à la mort et les hommes ont été libérés de la mort éternelle.

Lorsqu'un prêtre renouvelle ma Passion, le présent se fait; c’est comme si ma Passion était là devant tous les enfants, les attirant à moi, leur demandant de m’offrir leur vie, de m’offrir la vie de tous leurs frères et leurs sœurs pour ne faire qu’un avec moi, et ma Passion se fait.

Comment, vous, petits enfants, pouvez vivre cela en votre chair blessée, en vos faiblesses humaines? Vous avez l’Amour, vous comprenez l’Amour, vous voyez l’Amour devant vous qui se donne; ce Corps est devant vous, ce Sang est devant vous : me voyez-vous, me sentez-vous?

Et pourtant je suis là, je me donne, je vous prends, je vous offre et j’accomplis : tout est présent.

Vous devez vivre, mes enfants, à chaque instant, votre oui à l’Amour; puisque votre chair connaît la conséquence du péché, il faut que vous consentiez à vivre votre don total comme moi : jusqu’au bout.

Oui, lorsque je fus sur la terre, au Jardin des Oliviers, j’ai tout vu et j’ai tout accepté; ce que j’ai vu, c’est vous : passé, présent, futur; j’ai dit oui.

Lorsque j’ai porté ma Croix, c’est votre croix que j’ai portée, et j’ai dit oui.

Lorsqu’on me cloua à la Croix, je m’offrais à mon Père; vous étiez là, je vous offrais, je consentais à souffrir en ma chair jusqu’au bout.

Lorsque l’on perça ma Chair pour aller faire couler la dernière goutte de mon Sang, la dernière goutte d’eau, j’ai été jusqu’au bout pour vous montrer que vous deviez, vous aussi, aller jusqu’au bout.

Ce que vous êtes, mes amours, je le suis; ce que vous souffrez, mes amours, je le souffre : je suis vous, vous êtes moi.

Voilà pourquoi je vous dis : «Offrez-moi votre vie, offrez-moi la vie de tous vos frères et vos sœurs, car je m’offre; vous, vous n’êtes pas capables de vous offrir, vous n’êtes pas le Fils de Dieu.

Alors, vous venez en moi et je renouvelle ce mouvement d’amour comme s’il était le présent pour vous; moi, tout est accompli, c’est à vous maintenant de le vivre.»

Oui, je suis la Divine Volonté et chaque mouvement est présent.

Le temps pour Dieu n’est pas votre temps; ce que vous vivez, vous le vivez dans votre chair, et moi dans ma Divinité.

Ne croyez pas, mes enfants, que lorsque vous êtes présents devant l’Offertoire que cela n’est pas mouvement réel; oui, cela est réel, car je suis la Présence réelle.

Vous voyez mon Corps et vous voyez mon Sang qui se donnent par amour pour vous : cela est vérité.

Allez jusqu’au bout, et je vous prendrai en moi, car moi, je vais jusqu’au bout.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Jésus.

 

Q. Quand nous sommes mariés, doit-on vivre dans la chasteté?

 

R. Jésus : Être chaste, c’est faire de bonnes actions devant Dieu.

Lorsque quelqu’un choisit d’être chaste en se donnant à Jésus pour être son épouse, son époux, il devient chaste en pensée, en parole, en action; il consent à donner sa chair à Jésus afin que personne ne connaisse sa chair.

Lorsqu’un couple, devant Jésus, se marie, s’unit, il ne forme qu’une seule chair; alors, il promet à la chair d’être fidèle en tout à Jésus, en passant par la chair.

Être chaste dans le mariage, c’est être vrai devant Dieu, être lumière devant Dieu; c’est accepter de procréer devant Dieu.

L’acte d’amour devient un acte d’amour pour Dieu le Père; c’est lui qui veut créer, c’est lui qui met la vie en le nid de la vie et il enveloppe cela d’émotions d’amour, de tendresse; tout devient pur, tout devient joie, il n’y a pas d’abus, il y a mouvement d’amour, il y a besoin d’amour, il y a élan d’amour, il y a extase d’amour; là est la chasteté dans le mariage : tout pour Dieu, rien que pour Dieu.

Le couple est une chair; ils deviennent si amour, les deux êtres, qu’ils se regardent et ils voient Dieu; leurs paroles deviennent des paroles d’amour, leurs gestes deviennent de la tendresse d’amour, leurs émotions deviennent des louanges d’amour.

Tout devient parfait lorsque la chair se donne par amour pour Dieu.

Allez, avancez devant Dieu et multipliez-vous. Amen.

 

Tous : Amen.