Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2006-06-04

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu veut parler, Dieu veut parler d’amour, Dieu veut crier son amour, Dieu veut prendre tout ce que vous êtes et vous le présenter.

 

Jésus : Amours, amours, vous êtes à moi. Est-ce que je vais cesser de vous parler d’amour puisque vous devenez de plus en plus amour?

Enfants, vous êtes créés à la ressemblance de Dieu et vous, par moi, vous êtes en train de faire peau neuve; mon Père a créé l’homme à la ressemblance de Dieu; regardez-vous : ce que je vois ce sont des sourires; ce que je vois ce sont des enfants remplis d’espérance.

Vous avez reçu des grâces de guérison et cela a fait naître en vous de l’amour, et cet amour vous a rendus beaux; vous êtes beaux mes enfants, vous êtes à mon Père; je veux vous combler, je veux vous envelopper de mon amour, de l’amour du Fils.

Mon amour est si resplendissant, si lumineux, qu’à mon approche tous pouvaient ressentir qu’en leur vie, il se passait quelque chose; moi, je vous dis que j’ai fait d’eux des êtres prêts à se donner pour vous, afin que vous puissiez être ce que vous êtes aujourd’hui, et je vais faire de vous des êtres d’amour pour que ceux qui vont être là demain soient sous votre influence d’amour.

Je suis le Médecin de l’amour; votre amour était si blessé, votre amour était si chancelant; je viens apporter à votre être tout ce qui lui est nécessaire; ma voix est en vous, ma voix vous parle, parle à l’intérieur de vous; vous aviez le cœur à la tristesse, maintenant vous avez le cœur à chanter.

Je rassemble le peuple de mon Père pour lui parler, pour lui dire : «Vois, vois ma Présence en toi; je t’ai dispersé parce que tu m’as été infidèle; tu n’as pas écouté la voix de Dieu, tu as idolâtré, tu n’as pas été respectueux envers les lois de Dieu, et j’ai soufflé sur toi pour t’éparpiller aux quatre vents.

Aujourd’hui, je parle en ton cœur pour te dire que voici ce temps tant attendu; oh! je viens parler en ton cœur pour te dire que je t’aime, que tu es l’enfant de la Promesse, que tu es choisi de mon Père; tu es peuple de Dieu pour ne former qu’un seul peuple : un peuple d’amour, un peuple qui reconnaît son Dieu, qui reconnaît que Dieu a toujours été pour toi un Dieu plein de tendresse, fidèle à ses promesses.

Je t’ai promis le Messie, je t’ai promis une terre fertile, je t’ai promis l’amour où tu connaîtrais la félicité; tout est en toi : j’ai mis en toi ma Vie; elle t’apporte ce vent d’amour qui réchauffe ton cœur blessé.

Ce vent est vivant, ce vent est agissant.

Je parle dans les cœurs de tous ceux que tu aimes; pas un seul cœur n’est pas en présence de la voix de son Dieu; vois comme je suis puissant; ma colère s’est apaisée parce que je t’ai regardé; j’ai vu combien tu souffres, j’ai vu combien tu as crié vers moi; j’ai attendu que ton cœur soit prêt à écouter ma voix afin de te ramener à la maison.

Ô peuple d’amour, tu es appelé à vivre ton éternité en présence même de ton Dieu; tu seras toujours fidèle et je ne détournerai plus jamais mon regard de toi; je mets en toi ces paroles, ces paroles qui guérissent, ces paroles vivantes; elles sont à toi ces paroles, c’est toi-même qui les entends parce qu’elles sortent de toi.

Je viens te chercher, je viens t’apprendre à reconnaître ton Dieu, je viens t’alimenter afin que tu sois présent avec moi; regarde autour de toi : un monde d’amour s’ouvre, tu avances dans la Terre Nouvelle; c’est moi la Terre Nouvelle, c’est moi qui (ai) tout créé et je t’offre tout ce que je suis; comme mon amour est puissant!»

Tout ce que vous entendez, vous qui êtes aujourd’hui présents, est en vous; vous êtes des instruments pour le peuple de Dieu afin que tout soit dans l’accomplissement.

Je suis un Dieu d’amour, je suis un Dieu fidèle, et parce que vous m’êtes fidèles, je vous récompense.

J’appelle tous les enfants du monde à être fidèles à la Parole; la Parole est de Dieu, la Parole guérit, la Parole illumine.

Enfants d’amour, vous êtes à Dieu, vous n’appartenez plus à ce monde, mais vous allez repartir d’ici, dans vos familles, parmi vos amis; vous allez retourner à votre travail quotidien mais, avec mes grâces, le cœur rempli d’espérance; tout est pour vous un moment de grâces.

Malgré les sons qui viendront à vous de l’extérieur, vous saurez reconnaître ceux qui viendront du Saint-Esprit; vous ne laisserez pas pénétrer en vous ce qui vient de la volonté humaine, vous prendrez garde aux pièges de Satan qui se servira de ceux que vous aimez pour vous faire trébucher.

La lumière sera devant vous, et vous regarderez ce qui se passe dans votre vie, et l’Esprit Saint vous fera comprendre que ce que vous voyez vient de la souffrance, et cette souffrance n’est pas à vous; vous continuerez à me donner la souffrance dont vous êtes témoins, vous me donnerez la cause et les conséquences.

Peuple d’amour, vous avancez avec tous vos frères et vos sœurs; vous avancez dans la paix, vous ne jetez plus un regard vers en arrière; vous avez appris que tout est présent dans votre vie, vous reconnaissez être enfants de Dieu et vous ne cherchez pas à savoir ce que mon Père réserve à l’être que vous êtes; vous patientez lorsque vous faites une demande, car vous savez que, dès l’instant où votre demande est faite, mon Père agit, et vous acceptez le présent comme étant la Volonté de mon Père.

Vous voyez autour de vous des maladies, tel le cancer, mais vous gardez votre paix; et vous garderez encore votre paix, car ce qu’ils vivent c’est la conséquence du péché, mais vous apprenez à présenter cela au Fils de Dieu; vous vous abandonnez, et vous gardez votre paix.

Lorsqu’un être cher quitte la terre, vous savez maintenant que cet être cher, par vos oui à l’Amour, par vos prières, a obtenu des grâces pour aller là, vers le bonheur éternel, et vous savez que Dieu ne sépare pas ceux qui s’aiment.

Vous allez continuer, mes enfants, à vivre dans votre quotidien en êtres d’amour parce que vous êtes amour; vous ne pouvez plus vous regarder comme n’étant pas amour, puisque vous avez entendu Jésus vous dire que vous étiez amour; allez-vous croire plus l’être fragile que vous étiez dans votre faiblesse que Jésus?

Oui, vous êtes amour et vous allez le demeurer malgré vos faiblesses; vous savez maintenant que vous êtes amour et qu’un oui de vous laisse toute la place à Jésus pour vous consoler, vous soigner.

À moi, par mes grâces, de faire de vous un être nouveau; ma Parole est guérissante.

Ces enseignements sont pour vous : je vous parle de purification, je vous parle de la Grande Purification.

Votre purification est commencée, et plus vous allez vivre ces enseignements, dès le début jusqu’à ce que j’arrêterai de parler en vos cœurs, plus votre purification sera dans l’accomplissement, et lorsque j’arrêterai de parler, c’est parce que vous me verrez.

Enfants d’amour, à moi de vous purifier; ces temps sont des temps présents; je viens parler directement en vos cœurs parce que c’est le temps de la Purification; sans mes grâces, vous ne pouvez vivre la purification; à moi seul de poursuivre ma Passion, à vous de participer à ma Passion.

Voyez, mes enfants, ce qui se passe à l’intérieur de vous : tout est en cheminement; je vous ai préparés à entendre ma voix en déposant en vous des grâces d’acceptation; d’autres sont venus avant vous, ils n’ont pas entendu ma voix à l’intérieur qui parle directement en vos cœurs et qui se fait entendre à l’extérieur : vous êtes les choisis.

Il fallait que d’autres enfants vous préparent à cela; il fallait que vous puissiez comprendre la grandeur de ce mouvement d’amour; vous êtes tous maintenant prêts à vivre la Purification, parce que vous avez compris que la Divine Volonté fait tout, prend tout et accomplit tout et que vous, vous vous abandonnez dans la Divine Volonté; il fallait que cela soit appris de vous avant que vous le viviez, vous, mes enfants, par votre oui; c’est moi qui purifie votre intérieur par mon agir.

Enfants d’amour, vivez ce que vous entendez, puisque c’est votre vie que je mets devant vous; lorsque je me sers d’enfants comme vous pour parler en leur cœur, eh bien, c’est de vous que je parle et c’est d’eux que je parle en ce moment.

Vous êtes l’Église et l’Église est vous; en vous, je suis; l’Église, c’est mes membres, là est l’Église : vous êtes le temple de Dieu; le temple de Dieu n’a pas été respecté, le temple de Dieu a connu l’impureté : à moi de tout purifier, puisque je suis le Fils de Dieu.

Je vous emmène moi-même à l’intérieur de vous par votre oui, là où vous, vous n’avez jamais été capables d’aller; il n’y a que le Fils de Dieu, par la puissance du Saint-Esprit, qui vous emmène pour que vous puissiez voir, entendre, pour que vous puissiez mourir, mourir en la vie éternelle afin de revivre.

Vous êtes la vie, je suis la Vie; ma Vie enveloppe votre vie et vous regardez mon Père avec ce que, moi, je mets en vous : mes grâces qui purifient, mes grâces qui gué(rissent); j’arrache de vous le mal qui s’est infiltré dans les moindres recoins de votre chair; aucun être humain ne peut faire cela que le Fils.

Par les grâces des sacrements, vous apprenez à regarder votre âme, votre âme qui illumine de beauté, et votre corps en ressent les effets parce que plus vous laissez vos pensées, vos paroles, vos actions, vos sentiments entre les mains de Dieu, plus votre âme illumine à l’intérieur de vous, et va dans les moindres recoins.

Ô enfants d’amour, continuez ce mouvement qui est votre oui et laissez-moi faire.

Consentez-vous, mes enfants, à me laisser toute la place? Consentez-vous à être abandon pour ceux que vous aimez? Recevez la paix et préparez-vous, mes enfants, car vous verrez la grandeur de Dieu.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus nous a donné beaucoup de grâces depuis quelques heures, mais combien de grâces nous avons reçues depuis notre naissance et que nous n’avons pas réalisé.

Dieu va mettre ces grâces devant nous bientôt; il va nous falloir une force incalculable pour vivre ces grâces, les sentir et en remercier Dieu; nous allons exulter de joie devant ce que nous allons voir, et ce que nous allons voir, c’est nous-mêmes, c’est nous devant la Lumière, devant Dieu; cela sera notre récompense, récompense d’avoir dit oui à Jésus, d’avoir tout accepté par amour, par amour pour nos frères et nos sœurs du monde entier.

Aujourd’hui, nous apprenons à retenir notre langue, une langue bien tranchante; avec les grâces de Marie, nous critiquons de moins en moins, mais il faut encore dire des ‘Je vous salue Marie’ parce que nous critiquons encore, mais la souffrance est de moins en moins grande, elle devient si petite maintenant.

Lorsqu’on vient de réaliser qu’on vient de faire une critique, on s’arrête : “Oh, j’ai fait une critique” et là, on dit un ‘Je vous salue Marie’, mais plus lentement, on s’affole moins; avant, au tout début, oh! un ‘Je vous salue Marie, pleine de grâces’ et maintenant, c’est plus léger; c’est parce que notre chair ressent cette légèreté, elle sent cette libération, elle sent ce respect que nous, nous lui donnons.

Nous commençons à respecter notre chair; nous avons tant manqué de respect envers la chair que nous avions reçue de Dieu; maintenant, nous regardons cela avec les yeux de Dieu; nous commençons à aimer notre langage : un langage d’amour, un langage d’espérance, un langage de foi; (ce sont) les trois vertus théologales, hein?

Eh bien, c’est pour nous, mais il reste que nous devons continuer notre purification parce que, en notre chair, il y a les péchés capitaux; c’est ce que nous devons constamment donner à Jésus, et lorsqu’il (ne) nous en restera plus pour nous-mêmes, eh bien, on donnera ceux de nos frères et de nos sœurs : il va toujours en rester à donner.

Ne cherchons pas à savoir si, de ces péchés, il y en a qui nous appartiennent ou il y en a qui appartiennent aux autres; prenez cela comme si c’était vous-mêmes qui étiez encore en faiblesse devant le mal qui veut vous faire tomber dans le péché.

Portons nos frères et nos sœurs avec de la joie et du respect; si nous regardons notre prochain en disant : “Il blasphème, il commet l’adultère, il ne respecte pas l’Eucharistie”, eh bien, nous ne respectons pas qui nous sommes parce que nous les portons : nous parlons contre nous-mêmes.

Nous ne pouvons pas nous séparer de ceux que nous aimons à l’intérieur de nous; nous disons : “J’aime mon frère, j’aime ma sœur, mais ils sont en état de péché” : ce n’est pas aimer, c’est comme si je (disais) : “Jésus, je t’aime, mais tu es en état de péché”; nous faisons cela lorsque nous nous mettons en dehors du péché que font nos frères et nos sœurs, nous devons porter la Croix.

Jésus a accepté Simon; Simon a porté la Croix de Jésus; oh! au début, il n’a pas voulu, il a fallu qu’il sente le Sang de Jésus sur lui pour s’abandonner; eh bien, nous, il faut qu’on sente le repentir de nos frères et de nos sœurs sur nous pour continuer; si nous nous rebutons en disant : “C’est son péché, c’est pas le mien; lui, il pèche”, eh bien, c’est comme si on regardait la Croix de Jésus : “C’est pas moi qui ai fait ce péché-là, je n’ai pas à porter la Croix.”

Mais si nous disons : “Nous, nous blasphémons; nous, nous commettons l’adultère encore; nous, nous sommes dans l’impureté,” eh bien, le mal, il va être tout mélangé, il va s’attaquer à nous encore, mais nous avons une arme : Jésus, l’Amour, et là, nous allons donner, nous allons donner le péché, la cause et la conséquence : nous allons porter la Croix, la Croix qui est purifiée par le Précieux Sang de Jésus, et qui va être encore plongé dans le Précieux Sang de Jésus, si ce (n’)est pas nous aussi avec les autres?

Ne nous privons pas d’être plongés dans ce Précieux Sang, parce qu’à chaque fois (que) nous sommes plongés dans ce Précieux Sang, eh bien, nous guérissons : notre chair guérit, nous sommes de moins en moins malades, nous avons des courbatures encore, mais elles sont moins douloureuses et moins longues aussi.

Ça va être de même pour toutes les maladies, (elles) vont commencer à diminuer, et plus notre purification, notre purification avancera, plus nous serons guéris, plus la maladie va perdre de l’emprise sur le corps qui est à Dieu.

Qui est le corps? Nous n’avons pas à savoir : est-ce que c’est le mien? Est-ce que c’est celui qui est de mon frère, de ma sœur? Cela (ne) regarde que Dieu; ça (ne) nous regarde pas, mais nous savons que nous recevons; si un de nos frères reçoit une guérison, nous recevons; si nous recevons une guérison, ils reçoivent, voilà ce qu’il y a de merveilleux dans ce qu’il nous apprend.

Depuis le tout début, Jésus a parlé en nos cœurs; certains se nourrissent de ces enseignements et ils ne cessent de recevoir des guérisons; ils voient même l’agir de Dieu; ils affrontent la souffrance, ils voient leurs enfants qui sont dans la souffrance, mais ils perçoivent l’agir de Dieu à travers leurs souffrances; je parle de la souffrance de leurs enfants; ils commencent à voir que Jésus agit à travers leurs enfants et que leurs enfants commencent à ressentir la purification de la chair en ceux qu’ils portent en eux, parce qu’ils nous portent nos enfants; comme on se laisse purifier par Jésus, nous sommes en eux et ils en ressentent les effets.

L’Église va renaître de ses cendres; nous sommes l’Église; vous pouvez vous imaginer lorsque le feu sera dans sa pleine puissance? Rien n’arrêtera les enfants de Dieu, le peuple de Dieu; il passera là où Dieu veut qu’il passe pour entrer dans la Terre Promise.

Jésus dit : «Je suis la Terre Nouvelle.» Oui, Jésus est la Terre Nouvelle, il est la semence, il est la vie et il est les fruits, il est tout, Jésus, tout ce que nous avons besoin : nous avons besoin d’un endroit pour vivre; nous avons besoin d’un endroit pour dormir; nous avons besoin d’un endroit pour se réfugier; nous avons besoin d’un endroit pour adorer, aimer : c’est Jésus, c’est une Terre vivante, une Terre remplie de grâces pour nous; ça nous alimente.

Lorsque cela sera accompli, là la matière deviendra pour nous un lieu d’amour; si nous sommes appelés à vivre sur la terre, je parle de la matière, c’est parce que Dieu le Père le voudra, mais si Dieu le Père dit : «Viens, viens avec moi, je t’attends depuis si longtemps, je veux te montrer mon amour; parce que mon amour t’a toujours regardé, je veux que tu me regardes, je veux que tu voies la merveille que je suis pour toi.

Tu vas être avec moi, mais tu vas être aussi avec eux, ceux qui demeureront sur la terre pour continuer à procréer, afin d’atteindre la perfection dans le nombre que j’ai moi-même choisi; tu seras avec eux, tu verras ces merveilles, puisqu’ils ont été purifiés comme toi, puisqu’ils sont peuple de Dieu, choisis de Dieu; regarde, tu es avec moi et ta chair est purifiée; tu es parfait, je ne te refuse rien.»

Dieu, dans son pouvoir, peut-il, vous qui êtes impurs, non encore parfaits parce que, à l’intérieur, il y a des enfants impurs, pouvez-vous voir la Vierge Marie? Oui, il y en a, il y en a qui la voit; s’il y en a qui la voit, c’est parce que Dieu le permet.

Qui peut dire que Dieu va refuser qu’on aille voir nos enfants, qu’on aille se montrer? Nous ne pouvons même pas nous imaginer ce que nous allons vivre; cela est impossible pour nous, mais cela sera merveilleux.

Si, en ce moment même, je vous demandais : “Levez la main ceux qui désirent voir Dieu le Père?” Levez la main maintenant ceux qui veulent, après la Grande Purification, vivre au Ciel plutôt que de demeurer sur la terre?

Les hésitants sont encore dans une réalité face à ceux qui vivent sur la terre; ceux qui n’hésitent pas, c’est que ceux-là ont reçu des récompenses de faire la Volonté de Dieu le Père, et non pas les autres comme étant une punition, oh! non, c’est parce qu’ils (ne) sont encore pas prêts à quitter ceux qu’ils aiment en se disant : “Ils ont bien trop besoin de nous encore.”

Voyez-vous, l’amour de Dieu est parfait, il aime tellement ses enfants; nous voudrions, nous, l’enfant de Dieu, aller tout de suite voir Dieu le Père, sans hésitation, mais Dieu met en nous des grâces pour que nous puissions continuer à vivre sur la terre encore avec nos frères et nos sœurs pour accomplir notre mission : toujours faire la Volonté de Dieu.

Il y a quelque temps, j’ai demandé – j’entends mon mari, mais il est très rare que je voie mon mari, cela ne m’est pas permis –, mais quelquefois je le demande quand je m’ennuie beaucoup et il (Dieu) accepte; mais depuis 2001, si je l’ai vu six, sept fois, c’est beau.

Alors, je vais vous raconter ce que j’ai vécu.  Il était là, je voyais des yeux, j’ai dit : “C’est toi, Maurice?”

Il me regardait. Dans ces yeux, et j’ai regardé ses yeux; ces yeux brillaient d’amour, de l’amour de Jésus; là je savais que c’était Jésus, que c’était Maurice parce que Maurice est en Jésus.

Une grande joie était en moi, je l’ai ressentie cette joie et il a montré des mouvements; ces mouvements étaient pour tous les enfants du monde; il accomplissait l’œuvre de Dieu, et là, je regardais ce qu’il faisait et je regardais les enfants; je leur disais – mes frères et mes sœurs – : “Il est là, il nous aide”, mais ils ne croyaient pas.

Alors, il a continué à faire un autre mouvement; c’était d’apporter de la vérité dans l’Église, il démontrait qu’il y avait des livres qu’il fallait qu’on aille lire.

Alors, il était tellement présent, et je regardais les autres, j’ai dit : “Vous (ne) voyez pas? C’est lui, il est là"; et comment ça se fait que moi je le vois; "Vous (ne) le voyez pas?” et eux regardaient tout étonnés, et ils ne voulaient pas me croire.

Et là, il y eut un autre mouvement : j’étais en train de parler de Jésus et tout d’un coup, il y eut un grand vent et on pouvait voir bouger; alors, les gens ont vu que cela ne venait pas de moi, mais que ça venait de quelqu’un d’autre.

Alors, ils ont commencé à croire, ils ont commencé à croire que Jésus agissait vraiment à travers moi et que ce que je disais était la vérité.

Alors, ils ont commencé à se tenir beaucoup auprès de moi; j’ai dit : “Maintenant, j’ai terminé, je suis prête à aller vers Dieu le Père”.

Alors, eux autres ont dit : “Non, nous ne voulons pas que tu partes”; j’ai dit : “Il faut que je parte”; alors, ils ont dit : “Non, reste avec nous”; ils sentaient cette présence.

Alors, j’ai crié vers Dieu le Père : “Dieu le Père, accomplis ta Volonté, ne me laisse pas ici Père.”

Et à cet instant, mon corps est tombé par terre; tout mon corps est tombé et j’ai senti cette tombée en ma chair, et je me suis réveillée, et cette joie que j’ai ressentie était dans mon cœur, ça me pressait le cœur, mais c’était un mouvement d’amour.

Les êtres que nous aimons sont avec nous, ils nous aident à vivre notre purification et ils aident nos frères et nos sœurs à vivre la purification; ils sont vivants, mais nous, nous ne pouvons pas percevoir l’invisible, mais lorsque nous serons parfaits, nous verrons l’invisible; l’invisible deviendra visible, mouvement deviendra mouvement que nous percevrons, parce que c’est ce qu’ils ont perçu à la fin : ils voyaient l’invisible, parce que Dieu le Père le permettait.

Tout cela, c’est la Volonté de Dieu; Dieu va permettre des mouvements.

Lorsque nous perdons un être cher, soyez sûrs que cet être cher est avec vous parce que vous êtes amour, parce que vous priez, parce que vous avez prié pour cet être cher; parce que vous avez vu dans cet être cher un regard d’amour, vous avez vu les yeux de Jésus; lorsqu’on regarde l’un de nos enfants et qu’il nous regarde avec amour, c’est parce que nous regardons les yeux de Jésus; nous voyons Jésus, mais nous ne comprenons pas; eh bien, si cet être d’amour avait tant d’amour dans ses yeux, il projetait à l’extérieur son oui, son oui à Jésus.

Voyez-vous, les êtres aimés, nous ne les voyons plus une fois qu’ils quittent la terre, mais ils sont là; notre âme le sait, ils sont présents.

Ceux qui sont au purgatoire, ils intercèdent auprès de Marie pour les prières; ils prient, ils souffrent dans la joie pour nous; ils ne peuvent plus intervenir pour eux, mais nous, nous pouvons intervenir pour eux, et plus nous donnons et plus nous recevons.

Nous sommes en communication avec l’amour : ils sont l’amour, on ne coupe pas l’amour; on ne peut pas mettre de barrage à l’amour parce que l’amour ça passe partout; l’amour, c’est Jésus, et l’amour, on ne peut pas le retenir dans nos mains et l’emprisonner parce que l’amour, c’est libre; alors, les êtres aimés sont avec nous, en nous.

Gardons cela dans notre cœur et partons d’ici avec tout ce trésor que nous avons reçu, afin que nous puissions bien le digérer; une digestion c’est quelque chose qui continue toujours; pouvons-nous cesser de nous alimenter? Alors, nous sommes toujours en digestion, continuons.

Merci.