Rencontre d’amour avec l'agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-12-11

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je vais partager avec vous ce que Dieu m'a montré.

Au tout début, Jésus m'a demandé d'avancer au moment de l'offertoire, alors il a dit : «Avance, avance avec mes anges», et je tenais quelque chose dans mes mains; alors, j'ai avancé et ce que j'avais dans les mains je l'ai déposé au pied de la Croix de Jésus, et j'ai embrassé les pieds ensanglantés de Jésus, le Crucifié.

Il prenait à cet instant toutes nos souffrances, tout ce que nous sommes incapables, nous, de lui laisser.

À cause que nous portons en nous tant de souffrances, nous avons de la difficulté de donner à Jésus ce qui nous fait le plus souffrir; il est facile de donner à Jésus ce qui nous fait souffrir, mais ce qui est le plus souffrant dans notre vie, c'est cela qu'il veut : il veut tout de nous.

Tout ce qui s'est accroché à nous, il le veut; tout ce qui nous semble impossible, il le veut : il veut que nous lui fassions totalement confiance, et c'est seulement qu'en lui donnant que nous allons recevoir.

Il faut donner pour recevoir : quel est le moment le plus beau de notre vie, si ce n'est qu'à l'offertoire nous offrons à Jésus notre vie, nous offrons à Jésus la vie de ceux que nous portons en nous? À ce moment tout s'illumine dans notre vie, tout devient plus léger parce que son Sang coule sur nous : c'est le Sang de Jésus qui va purifier tout ce qui nous a fait souffrir.

Au moment de la communion, lorsque j'ai reçu le Corps et le Sang de Jésus, je les tenais sur ma patène; je lui ai dit combien je l'aimais, alors à cet instant Jésus a dit : «Je me languis de toi, je te prends»; j'ai reçu Jésus, et il m'a prise en lui.

J'ai senti une grande joie en moi et à cet instant j'ai vu une lumière, une lumière tout au haut de moi, et j'ai levé la tête pour regarder la lumière, et j'ai compris que c'était l'étoile de Bethléem; elle était toute lumineuse, et un grand rayon est sorti de cette étoile, de cette lumière, et elle a éclairé la pièce où j'étais, ici : nous étions tous sous cette lumière.

Là, j'ai vu la crèche : c'était une étable, il y avait dans cette étable des personnages; il y avait un homme et il y avait une femme, et là j'ai vu que des gens étaient là aussi, des gens pauvres, et j'ai vu d'autres personnes qui étaient comme transparentes, elles n’étaient pas comme l'homme et la femme, et les gens pauvres, c'était des personnes qui étaient transparentes; il y avait un nombre, et le nombre était beaucoup : c'était nous, nous étions là.

Et tout d'un coup j'ai vu une lumière : entre l'homme et la femme, il y avait comme un genre de berceau, et la lumière venait de ce berceau, et la lumière s'est levée; l'homme et la femme étaient en adoration devant cette Lumière, nous étions émerveillés de ce que nous voyions; la Lumière s'est levée, s'est levée, et lorsqu'elle était à une certaine hauteur, elle s'est changée en Hostie.

Alors, Jésus a dit : «Je veux que tu dises à mes enfants que lorsqu'ils regardent l'Hostie, il regarde le Messie, je suis la Lumière du monde» : qui regarde Jésus-Hostie regarde la Lumière du monde.

Nous sommes en ce temps de l'Avent dans la préparation de ce que nous allons vivre, Jésus nous prépare à vivre ce moment merveilleux; lorsqu'il est venu en ce monde, la Lumière est venue en ce monde pour nous.

Il nous a emmenés là où nous devions être : Dieu le Père est venu lui-même nous chercher; lorsqu'il a envoyé l'étoile, ça venait de sa puissance; il nous guidait vers son Fils, vers le Sauveur.

Parce que les trois Rois Mages représentaient le monde : ils venaient de partout les Rois Mages, ils ne venaient pas du même endroit; ils ne savaient pas ce qu'ils étaient pour trouver, mais ils savaient qu'il y avait quelqu'un de très important qui était pour venir au monde, car ils avaient entendu parler d'un Roi qui était pour venir : nous avons entendu parler de la Lumière du monde, nous avons entendu parler Jésus lui-même de sa puissance en ce monde.

Lorsque nous allons fêter ce moment tant attendu par nos frères et nos sœurs avant nous, nous allons renouveler ce que nous avons vécu : lorsque nous avons été présents devant cette Lumière – parce que nous avons été présents, il me l'a montré –, c'est parce que nous étions en Marie; nous étions en ces personnes, mais plus particulièrement en Marie.

Elle voyait la Lumière du monde venir en ce monde : ce que Marie a vu, Joseph ne l'a pas vu, ni les bergers; ils n'ont pas vu Dieu, ils ont vu l'Enfant fait Homme; Marie, elle, elle a vu son Dieu tout lumineux, elle a vu la Cour Céleste qui s'inclinait et qui adorait leur Dieu d'amour fait Homme.

Les anges qui ont été fidèles étaient présents, car au moment où il leur a été annoncé que le Fils de Dieu viendrait et qu'il viendrait par une humaine, tous les anges au Ciel ont tressailli; certains n'ont pas voulu adorer, d'autres se sont inclinés et ont adoré : il était juste que ces anges soient présents et adorent le Fils de Dieu fait Homme; Maman Marie qui voyait tout cela, parce qu'elle en avait la grâce, nous portait en elle : nous avons tous été présents à ce moment-là.

C'est une grâce aujourd'hui que nous avons de comprendre la Divine Volonté; c'est un mouvement qui nous est accordé à nous aujourd'hui par la Divine Volonté.

Aucun de nous ne pouvons comprendre un tel mouvement, aucun de nous ne pouvons vivre un tel mouvement, cela se fait dans la foi; nous croyons que Marie est la Divine Mère de Jésus, nous croyons que Marie a mis au monde son Enfant sans douleur, avec amour : cela (s’est) fait par la puissance du Saint-Esprit.

Elle a été enveloppée de l'amour de Dieu, et son Enfant est venu au monde, et il a été accueilli par l'amour; tout cela s'est fait d'une manière que nous, nous ne pouvons pas comprendre parce que Celui qui venait au monde était Dieu, il n'était pas seulement qu'un enfant comme nous; il fallait que cela soit afin que la Cour Céleste soit devant ce geste accompli : tout s'accomplissait tel Dieu leur avait annoncé.

Nous, nous devons vivre ces moments avec amour et avec foi; foi parce que nous avons entendu parler, amour parce que ceux qui ont écrit ces événements ont été enveloppés du Saint-Esprit par amour pour nous; ils auraient pu garder cela pour eux-mêmes, mais Dieu le voulait autrement; c'était pour tous les enfants du monde que le Sauveur venait au monde : il fallait qu'il soit écrit, cet événement, afin que chacun soit dans la vérité, dans la lumière.

Nous savons que cet événement est un événement d'amour pour nous qui nous apporte l'espérance; il devait apporter tous nos péchés à la mort, il fallait que le Messie vienne pour cela, il fallait que s'accomplissent les Écritures tant annoncées par Isaïe : “Une Lumière viendrait en ce monde"; on reconnaîtrait la Lumière, mais on ne l'accepterait pas tous : tous avaient été dans ce mouvement; certains croiraient à la Lumière, d'autres ne croiraient pas.

Voilà pourquoi il y en a qui ont refusé la Lumière, et ont crucifié la Lumière; nous devons porter ces enfants, nous devons les aimer envers et contre tout, car encore aujourd'hui on ne croit pas que Jésus soit la Lumière, le Sauveur du monde.

Au moment où j'ai vu cela devant moi, Jésus a dit : «Dis à mes enfants de penser à ceux qui sont les plus délaissés en ce temps de l'Avent»; un moment donné, j'ai pensé à tous ceux qui étaient pour vivre ce moment dans la solitude, mais l'Esprit de Dieu m'a fait comprendre que ce sont ceux qui n'ont pas accepté la Lumière : ce sont eux les plus délaissés.

C'est eux qui ont refusé ce mouvement d'amour; c'est eux qui n'acceptent pas la chaleur de l'amour de Dieu qui va réchauffer leurs cœurs au moment où le Sauveur viendra au monde, encore, cette année; c'est à eux que nous devons penser : aux plus délaissés.

Ils vont entendre parler de cet événement, mais ils ne croiront pas; certains croyaient à cet événement, mais ils ont changé : à cause de leurs blessures, ils ont changé de religion, et ils ne fêteront pas cet événement.

La Lumière était avec eux, ils ont ressenti la Lumière, mais ils n'ont pas voulu demeurer dans la Lumière, ils se sont éloignés de la Lumière, et plus on s'éloigne de la Lumière et plus on a froid; ils vont ressentir cette froideur et cette froideur sera tournée contre eux, car ils ne se rassembleront pas avec nous pour chanter la venue du Messie : ils seront seuls, ils auront une froideur contre ce que nous, nous ressentirons en nous : cette chaleur; Jésus les aime, et il les veut à lui : il ne veut en perdre aucun.

Père Provencher nous a parlé de la brebis, et il nous a parlé du troupeau : le Messie est venu pour tous les pécheurs du monde, pour tous les enfants de son Père; il est venu pour enlever la tache originelle, celle qui nous a fait connaître la mort; il est venu pour sauver tous les enfants, sans exception.

Il nous a parlé de la petite brebis qui s'était retirée du troupeau : alors nous devons penser à ceux qui se sont retirés du troupeau; que ce soit à cause qu'ils ont voulu suivre une secte, une autre, ou une autre, ou que ce soit qu'ils sont athées, ou que ce soit ceux qui se disent catholiques, mais qui sont tièdes, indifférents à cet événement; ce sont tous : la petite brebis qui s’est éloignée, mais elle fait partie de notre troupeau; elle faisait partie de notre troupeau avant qu'elle s'éloigne, elle était avec nous.

N'est-ce pas parce que nous avons moins prié ensemble? N'est-ce pas parce que nous avons écouté notre moi? Nous devons nous réunir dans le Cœur de Marie afin que chacun de nous profite de cette chaleur, de cette Lumière qui réchauffe nos vies, notre vie spirituelle; nous devons faire qu'un seul troupeau : l'Église.

La Mère de Dieu nous a portés en elle; elle nous a montré tous ceux qui étaient présents afin que nous n'oubliions pas qu'elle nous portait tous à ce moment-là; que ce soit ceux qui étaient pour crucifier son Fils, elle les portait, que ce soit celui qui était pour percer le Cœur de son Fils, elle le portait : elle portait tous les enfants qui étaient pour être sauvés par son Fils; alors, le temps de l'Avent nous prépare à nous regarder, nous devons nous regarder dans la lumière de Jésus.

L’étoile de Bethléem est la lumière, c'est la grâce de Dieu; c'était une grâce pour les trois Rois Mages de voir l'étoile; ils avaient été préparés à cela : ce mouvement devait les emmener à suivre cette étoile.

Nous, nous devons regarder ce que nous avons reçu en cette année : toutes les grâces que nous avons reçues qui ont fait des mouvements en nous et qui nous ont emmenés à garder notre cœur chaud pour cet événement d'amour.

Nous devons rendre grâce à Dieu, nous devons rendre grâce à la Trinité pour nous avoir donné Marie comme Mère, nous devons rendre grâce à la Trinité pour tous nos frères et nos sœurs du monde entier et cela depuis Adam jusqu'au dernier qui sera créé, car chacun a contribué à nous emmener là où nous sommes.

Ne pensez pas à ceux qui ont disparu de la terre avant Noé : Dieu savait ce qu'il faisait en mettant les enfants au monde, il n'a pas fait d'erreur, Dieu; à juger les mouvements de Dieu, on se met encore en dette devant Dieu; il va falloir expliquer ce que nous, nous venons de penser.

Il faut toujours savoir que Dieu ne fait pas d'erreur : Dieu savait avant même leurs jugements qui était pour aller au Ciel, vers lui; Dieu savait qui était pour dire non à la Vie éternelle, car Dieu est amour : Dieu savait tout cela.

Est-ce que Dieu serait un Dieu ignorant de ce qui s'en vient ? Dieu est l'Éternel, Dieu sait tout, Dieu voit tout, il est Omnipotent, il est la Puissance; rien ne lui est impossible, mais aux enfants de choisir.

À eux de vouloir de la lumière, à eux de vouloir de son amour; lui, il a donné l'amour; lui, il a donné la vie; lui, il a fait naître des mouvements pour chacun de nous.

Si aujourd'hui nous savons que des enfants sont en enfer et que nous disons : "Pourquoi Dieu a permis qu'ils viennent au monde"? Nous nous mettons en avant de Dieu et nous discutons avec Dieu de sa Volonté : "Qu'as-tu pensé? Pourquoi as-tu fait ça, tu savais qu'en faisait naître ces enfants au monde nous étions pour souffrir, que nos enfants étaient pour se droguer, que nos enfants étaient pour quitter son épouse/son époux alors qu'ils étaient dans le sacrement du Mariage? Tu connaissais tout cela, ô Dieu; alors, pourquoi as-tu permis que des enfants viennent au monde et aillent en enfer alors que toi tu es tout-puissant?"

Nous nous mettons au même niveau que Dieu; pour parler ainsi, il faut être debout face à Dieu : nous sommes pas à ses pieds, nous sommes debout, et nous discutons d'égal à égal : tout comme Ève qui a été tentée, et qui voulait tout connaître pour discuter avec Dieu d'égal à égal.

C'est l'orgueil qui nous fait cela : nous voulons connaître, nous voulons savoir, nous voulons comprendre pourquoi nous sommes dans la souffrance, pourquoi nos enfants sont dans la souffrance; lorsque nous essayons de comprendre tout cela, nous mettons les mouvements de Dieu avec tous les mouvements que nous, nous avons faits.

Nous avons fait de bons mouvements, mais nous avons fait aussi de mauvais mouvements; alors, nous disons à Dieu, qui est parfait, qui connaît tout, qui sait tout, qui est la Lumière, qu'il a fait de bons mouvements et qu'il a fait de mauvais mouvements : Dieu n'a pas fait de mauvais mouvements.

Tous les enfants ont été dans la lumière, tous les enfants ont reçu les mêmes grâces que nous, nous avons reçues et que nous recevrons; tous les enfants de Dieu sont venus au monde en recevant tout ce qui leur était nécessaire pour aller vers Dieu le Père; mais Dieu aime sans condition, il aime tous ses enfants : il ne peut pas ne pas donner au monde ce qui lui est nécessaire pour aller vers Lui.

Chaque enfant qui est venu au monde est un mouvement dans notre vie, et ce mouvement nous est nécessaire pour avancer là où nous devons être; toute personne qui est venue au monde a été choisie de Dieu, donc le nombre a été calculé par Dieu : cela devait nous apporter le bonheur éternel sans souffrance.

Avant le péché d'Adam et Ève, Dieu savait tous ceux qui étaient pour venir au monde; il connaissait Marie, il avait vu Marie avant même qu'elle soit au monde et cela, plusieurs milliers d'années avant sa naissance, même Isaïe en a témoigné; alors, tous ceux qui étaient pour venir au monde, Dieu les connaissait tous avant que la désobéissance soit : il ne pouvait pas arrêter le mouvement de l'amour, il était Amour.

Oh! il aurait pu puisqu'il est Dieu, mais Dieu se donne, Dieu ne cesse de se donner, il est Essence d'amour; il a voulu nous témoigner de l'amour pour tous nos frères et nos sœurs du monde entier sans exception.

Nous devons en faire autant : nous devons aimer nos frères et nos sœurs sans exception avec ce qu'ils sont, avec ce qu'ils ont reçu; à eux de faire leur choix, ce n'est pas à nous de les juger; eux-mêmes se jugeront : Dieu ne condamne pas un enfant; (c’est lui) qui choisit l’amour, c’est lui qui choisit d'aller en enfer, ce n'est pas Dieu, Dieu est trop amour.

Il nous demande, en ce temps de l'Avent, de penser, d'accompagner, de donner, d'offrir tous ceux qui sont délaissés par eux-mêmes; c'est eux-mêmes qui choisissent cela, c'est à eux que nous devons penser : nous devons aimer sans condition.

Le Messie est venu sur la terre pour tous les enfants de son Père, sans exception; il n'est pas venu en calculant le nombre de ceux qui étaient pour l'accueillir, il a voulu se donner pour tous les enfants du monde : il est la Lumière.

Lorsque nous voyons Jésus-Hostie devant nous, nous voyons la Lumière du monde; il nous donne son Corps, il nous donne son Sang, pour nous, mais (aussi) pour tous ceux que nous portons en nous.

Nous devons nous garder dans l'amour en ce temps de l'Avent, nous devons suivre ce que Marie nous a demandé; souvenons-nous de ce qu'elle nous a recommandé.

La venue de son Fils est pour nous des grâces, alors conduisons-nous en enfants de Dieu; elle nous a donné, l'an passé, il y a bientôt un an, des recommandations sur notre conduite en ce temps de l'Avent, et c'est encore pour nous.

La joie de Dieu de voir ses enfants de la Lumière suivre ses enseignements est très grande, car il a vu ce que nous avons fait et il a vu ce que nous étions pour continuer de faire.

Aujourd'hui, plusieurs d'entre nous ne vont plus au restaurant le dimanche, n'encouragent pas les marchands le dimanche, et nous n'en souffrons pas; si nous n'en souffrons pas, c'est parce que nous avons reçu des grâces.

Parce qu’au tout début il a fallu faire des efforts pour ne pas entrer au restaurant; c'était bon d'aller prendre un bon déjeuner au restaurant le dimanche, mais c'était pas bon pour notre vie spirituelle.

Aujourd'hui, nous sommes dans la joie, plus grande encore est notre joie de s'apercevoir que nous ne jugeons pas ceux qui vont au restaurant : ça, c'est une récompense; nous faisons cela avec amour, nous soutenons nos frères et nos sœurs avec amour parce que cela va leur apporter des grâces.

Parce qu'au moment où ils regarderont ce qu'ils ont fait le dimanche, ils diront : "Oh! Dieu d'amour, il y avait tant à te donner, à t'offrir, et j'ai pensé à mon estomac, à la bonne compagnie des autres, mais vois combien je pouvais me donner pour mon prochain; j'aurais aimé en ce temps-là connaître qu'il fallait que je te connaisse, avant moi, avant mon prochain, mais aujourd'hui, ô Dieu d'amour, pour toi tout est le présent, alors je te donne cela, j'accepte tout : je suis un tout petit enfant entre tes mains.

Je renonce à ma volonté humaine, et je me laisse plonger dans ta Divine Volonté pour goûter aux joies du dimanche avec ma famille, avec la grande famille de Dieu; mon cœur déjà se met à chanter pour Dieu, à danser pour Dieu, je le sens en moi. Merci, ô Dieu d'amour, d'être la Lumière du monde".

Tous ces mouvements sont déjà en nous et c'est avec cela que nous allons continuer à faire ce que la Sainte Vierge nous a demandé, à faire ce que Jésus nous a demandé.

N'oublions pas que notre âme doit servir Dieu, que ce que nous allons entendre doit servir Dieu; il nous a demandé de ne pas prendre conversation avec des personnes qui parlent contre notre prochain, contre l'Église, contre les événements.

Chaque mouvement va nous apporter d'autres mouvements; il faut continuer à les regarder avec amour, à sourire, à laisser sortir de nous l'amour de Dieu pour eux; ils sauront cette année que vous serez là, qu'ils devront prendre conversation avec vous.

Cette année, il y aura quelque chose de nouveau en eux : ils vivront cette soirée de fête avec de la paix : avec votre paix; c'est votre paix qui sortira de vous, et ils la sentiront; cela ne les empêchera pas de blasphémer le Nom de Dieu, mais ils sauront qu'ils sont aimés de Dieu, et ils sauront que vous les aimez.

Et lorsque viendra le temps de la Grande Purification, ils n'auront pas peur de la Lumière lorsqu'ils la verront, parce qu'ils sauront qu'ils sont aimés de Jésus, puisque vous les avez aimés malgré que vous les avez entendus blasphémer; et parce que vous les avez aimés à ce moment-là, ils n'auront plus peur d'aller vers Jésus : cela leur a apporté des grâces d'amour.

Souvenons-nous aussi qu'il nous a été demandé de ne pas trop nous gaver pour notre santé et pour en laisser aux autres; cela est bon pour nous, c'est bon aussi pour ceux que nous portons en nous; au moment où nous, nous savons que ça devient de la gourmandise, nous arrêtons, et nous l'offrons à Jésus; alors, tous les mouvements qui ont été de l’abus seront dans ce mouvement, et comme vous vous serez gardés de cela, cela sera, pour ceux qui auront abusé, des grâces.

Car ils seront devant la Lumière, et lorsqu'ils seront devant la Lumière : (chacun) il saura que celui qui s'est privé a fait en sorte de lui enlever un trop dans sa vie.

C'est comme si vous aviez pris son abus et que vous l'avez porté pour vous : vous avez accepté de donner une partie de vous afin que les autres ne souffrent pas; tout cela, il le réalisera au moment où il verra tout ce que ses frères et ses sœurs ont fait pour lui; il ressentira cet amour, cela réchauffera son cœur rempli de reconnaissance pour vous, et il saura que tout est venu de Jésus.

Rappelez-vous des cadeaux, cadeaux utiles; il est plus facile aujourd'hui pour nous de faire nos emplettes parce que là, nous avons quelque chose qui nous donne un point de repère : allez vers les objets utiles, cela nous ménage des pas, et ceux qui reçoivent tout cela, ils peuvent en profiter, car ce qui est utile leur sert dans leur quotidien; ce qui est inutile prend la place dans les armoires et on les oublie et, à la première occasion où il y a une vente de garage, on les met sur le bord de la rue.

Alors, Dieu est si amour, lorsqu'il montrera à celui qui a reçu nos cadeaux, combien nous avons été pleins d'attention pour lui, lui saura qu'il est aimé de nous, lui saura que cela était rempli de mouvements de Dieu pour lui : il sera reconnaissant, tout cela réchauffera sa vie.

Jésus est la Lumière, Jésus sait ce qu'il fait parce qu'il écoute la Volonté de Dieu le Père; en toute chose, Dieu le Père est parfait, tout mouvement nous conduit vers lui.

Voyez-vous, vos mouvements sont bons, les mouvements de ceux qui ne sont pas bons pour eux vont se changer en bons mouvements; rien n'est perdu pour Dieu, c'est Dieu qui répare, c'est Dieu qui guérit, c'est lui qui libère, c'est lui le Purificateur, alors laissons tout entre ses mains et ayons confiance.

Les années pour Dieu, c'est un mouvement; pour nous, les années semblent lourdes, longues, c'est parce que nous ne voyons pas tous ceux que nous portons en nous.

Depuis Adam et Ève jusqu'au dernier créé, tous les enfants de Dieu sont en nous, il y en a des années en nous, mais nous le vivons pas comme Dieu le vit à l'intérieur de nous : il est le Présent; nous devons lui laisser tout cela, nous devons toujours avoir la foi que Dieu ne fait pas d'erreur.

Lorsqu'il entend une seule prière de Marie qui vient vers la Trinité pour obtenir des grâces pour la personne qui vient de prier, Dieu accorde, accorde ce qui va conduire les enfants de Dieu vers lui; tout mouvement n'est pas perdu pour Dieu, tout mouvement est vivant, il faut croire.

Souvenons-nous de ce que le Père Provencher a dit à la messe : le centurion, il a demandé guérison pour son serviteur, il fallait qu'il s'approche : c'était un mouvement; il a regardé Jésus : c'était un mouvement; il a reconnu la lumière en lui, la force en lui, la Volonté de son Père en lui : c'était un mouvement; il a parlé avec son cœur : c'était un mouvement; il a reçu la réponse de Jésus : c'était un mouvement; il a témoigné devant Dieu qu'il était pécheur : c'était un mouvement; Jésus lui a dit combien il l'aimait : c'était un mouvement; qu'il avait la foi : c'était un mouvement; que son serviteur était guéri : c'était un mouvement : tout cela était pour nous.

Si un païen a demandé à son Dieu une guérison et qu'il a cru sans voir, nous devons en faire de même; vous direz : “Oui, mais lui il a eu la réponse tout de suite, son serviteur a été guéri tout de suite, alors que nous ça fait tant d'années que nous demandons, nous voyons encore nos enfants souffrir et nous souffrons.”

Lorsque le centurion a dit ces paroles, c'était pour tous ceux qui étaient pour se présenter devant Jésus et qui étaient pour aller faire des demandes à Jésus; il prenait en lui tout mouvement pour tous ses frères et sœurs du monde entier : nous devons croire que Jésus agit pour nous à l'instant même.

Chaque mouvement a un seul but : de nous amener vers la vie éternelle, et c'est à cet instant que tout se fait; un mouvement vient pour amener un autre mouvement, un mouvement vient pour amener un autre mouvement et c'est pour tous les enfants du monde, nous qui savons qui sont l'Église, nous qui savons qui sont membres en Jésus.

Nous devons demander, et lorsque nous demandons, nous devons remercier à l'instant pour ce que nous venons de recevoir en l'Église, en tout le monde, et avoir la foi : nous devons continuer à demander à Dieu dans la foi.

Ce qu'il nous accorde c'est la vie éternelle : croire en Jésus, c'est avoir la vie éternelle; chacun de nous avons cette mission de faire des mouvements pour que tous les enfants du monde aient la vie éternelle, c'est cela que Dieu veut nous apporter.

La récompense se fait voir au moment où Dieu le Père le veut : lorsqu'il y a miracle, c'est pour augmenter la foi; Dieu ne fait pas de miracle pour ceux qui ne veulent pas voir, Dieu ne fait pas aussi de miracle pour notre vie extérieure, mais pour notre vie spirituelle.

C'est notre vie spirituelle qui doit être nourrie : c'est notre vie spirituelle qui nous donne des grâces afin que nous puissions obtenir tout ce qui nous est nécessaire pour faire un autre mouvement.

Tout est dans la grâce de Dieu : celui qui sait attendre la guérison de son enfant sait reconnaître que Dieu agit à chaque instant; celui qui est impatient se donne de la souffrance, il ne peut voir et entendre à ce moment- là, il veut régenter la Volonté de Dieu.

À Dieu de savoir ce qui est bon pour tous les enfants du monde : à Dieu seul de savoir qu'un mouvement est de lui et que ce mouvement n'est pas imparfait; il est parfait parce qu'il nous conduit à un autre mouvement, vers la vie éternelle pour que tous les enfants de Dieu soient auprès de lui.

Voyez-vous, Dieu a inscrit ses enfants dans le Livre de la Vie, et c'est le Fils de Dieu qui est le seul qui peut ouvrir ce Livre; nous devons faire confiance en Jésus parce que tous nos noms y sont inscrits; tous ceux qui ne croient pas en Jésus, leurs noms ne sont pas inscrits.

À nous de prier afin que chaque mouvement nous fasse découvrir l'abandon entre les mains du Messie, notre Sauveur; fêtons cet événement avec foi cette année, avec amour, en sachant que le Messie a accompli la Volonté de son Père : tout est accompli.

Nous sommes dans le mouvement vivant de la Divine Volonté : tous mouvements passés, présents et futurs ne forment qu'un seul mouvement, le mouvement de la Divine Volonté.

Soyons tout amour pour chacun de nous et rendons grâce à Dieu; chantons encore : Venez Divin Messie.