Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-19 – A.M.  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Prions en disant un Notre Père, trois Je vous salue Marie, un Gloire au Père pour les intentions de notre Saint Père le Pape et déposons les indulgences que nous recevrons entre les mains de Marie. Quand il y a des rassemblements, lorsqu’il y a la messe et que nous, on se conduit comme des enfants de Dieu, lorsqu’on répond aux demandes de l’Église pour obtenir des indulgences, alors faisons-les avec de l’humilité et beaucoup d’amour. Nous allons commencer.

Notre Père qui es aux cieux… Je vous salue Marie…(3)  Gloire au Père… Nos bons anges gardiens, protégez-nous.

Alors, vous savez que lorsqu’on pose des questions, on pose des questions pour l’Église, pas pour notre petite personne. Si vous voulez déménager et vous ne savez pas si c’est le temps, eh bien, priez. C’est dans la prière qu’on a de la lumière. Merci Seigneur.

Ne soyez pas mal à l’aise à cause du micro, le Seigneur donne des grâces.

Q.  La semaine passée, le dimanche, à l’église, on nous a donné le Prions, pas le Prions, mais le feuillet paroissial. C’était sur la communion – je pense qu’on est les seuls à communier sur la langue dans la paroisse – je suppose que ça s’adressait à nous autres, on disait que, selon saint Cyrille, la plus belle façon de communier, c’était que la main gauche fasse le trône pour la main droite pour recevoir son Dieu d’amour; puis Vatican II a relancé cette façon de communier en disant que c’était la plus belle façon de communier pour nous autres.

Ma question est : si je m’agenouille puis qu’il me dit : lève-toi debout, et si je vois que c’est très fort qu’il ne veut plus me communier sur la langue, qu’est-ce que je fais? Est-ce que je reste à ma place, je ferme les yeux? Je crois que Dieu va me communier quand même, je crois à ça. Si je m’agenouille et que je dis au Seigneur : "Viens me communier" puis que je ne reçois rien, que je ne ressens rien, qu'il va le faire quand même, qu’est-ce qu’on fait dans la situation quand il dit : "Non, mets-toi debout, donne-moi tes mains", on ne la prend pas? On s’en va? C’est ça que je veux savoir.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur, il va raconter une histoire. Un jour, une lumière vint sur la terre. Ceux qui avaient regardé le ciel avaient suivi une étoile qui les conduisit là où eux ne s’attendaient pas à trouver un roi. Lorsqu’ils sont arrivés à l’endroit où l’étoile s’arrêta, ils ont vu une étable. Là, dans cette étable, il y avait de la lumière. Ceux qui avaient suivi étaient des rois, car ceux qui regardaient le ciel étaient considérés comme des êtres princiers. Ils avaient avec eux leurs suites, ils avaient entre leurs mains des trésors. Alors, ils ont avancé vers ce lieu qui était si beau, car leurs yeux s’étaient ouverts à la lumière. Ils ont pénétré dans cette lumière et ils se sont agenouillés. Ils ont adoré et ils ont reçu des cadeaux : la foi, l’espérance et la charité.

Leurs cœurs étaient gonflés d’amour, car là où leurs yeux s’étaient posés, ils avaient vu, ils avaient vu le Messie, ils avaient vu le Roi des rois et ils se sentaient indignes d’être en la présence de cet Enfant. Ils ont regardé la mère, ils ont regardé celui qui était leur protecteur et ils ont loué Dieu, Celui qui était plus grand qu’eux, Celui qui savait plus que ce qu'eux savaient. Ils ont compris que la Lumière était venue sur la terre.

Une fois partis, ils ont parlé entre eux de ce qu’ils avaient vu. Ils étaient si heureux qu’au moment où ils durent se diviser pour retourner chez eux, ils ont senti dans leurs cœurs la présence même de la lumière. Ils savaient que là où ils allaient maintenant, la lumière était avec eux. Ils avaient suivi l’étoile qui les avait amenés à la lumière, maintenant la lumière les accompagnait. Rien en ce monde n’avait fait en eux ce qu’ils avaient ressenti. Dieu les avait appelés et ils avaient répondu oui à cet appel. Ils avaient reconnu leur Dieu, car Celui qui était devant leurs yeux leur avait mis dans leurs cœurs qu’il était le Roi.

Dieu ne trompe pas ses enfants. Lorsqu’il voit que ses enfants viennent à lui et qu’ils sont tout petits, il les comble. Il met dans leurs cœurs son amour, son amour qui ne trompe pas, son amour qui respecte, son amour qui les amène toujours à être ce qu’ils sont. Chaque enfant qui a en lui le besoin de passer Dieu avant lui-même reçoit ce qu’il a reçu : la foi, l’espérance et l’amour, la charité. Celui qui marche vers Dieu est dans la lumière de Dieu. Il n’a pas peur des noirceurs, il n’a pas peur de ce qui habite les noirceurs, car il sait que Dieu le guide. Ces enfants étaient ainsi et les enfants du futur étaient pour être ainsi. Mais, avec le temps, les ténèbres ont épaissi afin d’envelopper la lumière et la lumière est toujours présente.

Si les enfants d’aujourd’hui regardent autour d’eux et ne voient pas, c’est qu’ils ont suivi les ténèbres et non pas la lumière. Lorsque les enfants viennent participer au Saint Sacrifice, c’est Dieu qui les fait participer et ce n’est pas la volonté humaine. C’est Dieu qui met dans le cœur de chaque enfant qui vient, sa lumière. Il leur dit qu’il est leur Roi, leur seul Roi. Il leur dit qu’il est Dieu, leur seul Dieu. On assoit un roi sur un trône et on s’incline devant un roi. Lorsque Dieu est présent, lorsque Dieu se fait sentir, lorsque Dieu se donne, Dieu, dans toute sa splendeur, il est présent. Il invite à l’amour ses enfants, et ses enfants reconnaissent qu’ils sont indignes en leur chair d’avancer. Alors Dieu parle à l’âme : «Avance et adore ton Dieu. Présente-toi comme étant un enfant de Dieu, car ce que tu es, ô mon âme choisie, est enveloppé d’un temple d’amour. Unis-toi à tous les anges qui adorent Dieu. Unis-toi à tous les saints et saintes du Ciel qui adorent Dieu, car eux voient Dieu». Ainsi l’âme donne des grâces au temple afin de le rendre capable de recevoir Dieu. Mais l’enfant, l’enfant qui demeure dans sa volonté n’entend pas et ne voit pas, car il résiste aux grâces que l’âme veut pour le temple; il est dans sa volonté humaine, ce temple, incapable de saisir l’amour, incapable de pénétrer la lumière.

Nous sommes enfants de Dieu, nous devons nous conduire en enfants de Dieu. Nous avons reçu l’amour inconditionnel de notre Dieu. Nous n’avançons pas vers un être comme nous, nous avançons vers le Roi des rois, nous avançons vers notre seul Dieu, Celui qui est l’Éternel, qui a créé tout ce qui est d’invisible et visible. Il est le tout de notre être. Il n’y a pas une seule partie de nous qui ne lui appartient pas. Il connaît chaque partie de nous. Il ne choisit pas une partie plus qu’une autre, il aime notre tout. Il ne nous dit pas : «Ton pied est moins important que ta main», il ne nous dit pas : «Tes yeux valent plus que tes oreilles. Lorsque tu avances, tu avances tout entier. Tout ton être doit être l’exemple de la pureté. Conduis-toi en être pur. Tu as été créé pour aimer, contempler, adorer Dieu, servir. Tu dois servir ton Dieu avant de te servir. Tu dois être à l’égal de ce que je te demande. Ne cherche pas à te plaire, à te contempler. Ne regarde pas tes mains comme étant plus dignes que ta langue, car ta langue, je la connais. Elle est comme la vipère lorsqu’elle ne s’incline pas devant Dieu, mais elle est comme la main de Dieu lorsqu’elle fait la Volonté de Dieu.

«Je purifie ce qu’il y a de plus impur en toi, car de ta langue peut sortir le méchant que Satan a voulu mettre en toi. Ta main peut frapper, ta main peut se retirer, mais ta langue peut condamner. Voilà pourquoi je te montre que lorsque tu viens à moi, que tu t’inclines devant moi, tu acceptes de te reconnaître sauvé, purifié et guéri, car ton âme reconnaît son Dieu lorsque ta langue confesse tes mauvais choix devant les tentateurs. Voilà pourquoi, lorsque ma Mère a pris le pain et le vin consacrés, elle l’a pris avec amour, en ouvrant son être pour recevoir son Dieu. Ouvre-toi à ma Volonté. Ouvre grand ton temple, car c’est moi qui purifie. Toi, tu n’es pas capable de purifier, moi je suis capable de te purifier. Je prends soin de toi, toi qui es dans la tentation, toi qui es confondu avec tes vérités, toi qui n’es pas capable de te maintenir droit, toi qui hésites d’avancer, toi qui n’es pas capable de prendre ma Vie sans être humble et petit.

«Peux-tu regarder ma Chair et mon Sang avec la dignité d’enfant de Dieu? Tu peux te perdre à l’instant où tu me regardes et que tu m’amènes là où, moi, j’ouvre ton être à me recevoir : tentation que tu peux avoir de prendre ma Chair et de ne pas l’adorer, de ne pas prendre l’instant de t’agenouiller, de ne pas prendre l’instant de me dire "je t’aime", de ne pas prendre l’instant d’être un avec moi. Voilà ce qui est tentation pour toi lorsque tu ouvres ta main. C’est toi qui ouvres ta main, alors que lorsque tu ouvres ta bouche, c’est moi qui l’ouvre.

«Tu auras encore à vivre ta souffrance tant que tu ne seras pas obéissant et humble devant Celui qui EST. J’ai ouvert mon Cœur et mon Cœur est encore ouvert; coulent de mon Cœur l’Eau et le Sang qui purifient. L’Eau qui te montre que tu dois te laisser laver par mon amour en tes pensées, en ton regard, ton écoute, tes paroles, tes gestes et tes sentiments, coule de mon Cœur ce Sang, ce Sang qui purifie. Cette purification est pour ta chair. Indigne tu es, indigne tu seras jusqu’au dernier qui refusera d’adorer son Dieu, car tout genou devra fléchir devant Dieu.

«Toi, je te permets d’avancer debout sur tes deux jambes, alors que moi je te vois sans jambes, ni bras, ni tête, ni corps, car tu as perdu la valeur de ce que tu es devant moi. Ne sais-tu pas que ce que tu reçois, c’est mon Corps et c’est mon Sang? Et j’ai donné mon Corps et mon Sang en le laissant clouer sur le bois pour toi? Alors, n’oublie pas que lorsque tu viens et que je t’appelle, je t’amène à goûter à mon Corps et à mon Sang qui s’est donné par amour. C’est mon Corps et c’est mon Sang qui se donnent à toi. Lorsque je me suis mis sur la Croix, que j’ai laissé couler mon Sang jusqu’à la dernière goutte, c’est ma souffrance que tu as goûtée. Lorsque tu entends les paroles : Prenez et mangez, ceci est mon Corps, ceci est mon Sang que je vous donne par amour, voilà ce que vous recevez. Est-ce que vous êtes dignes en votre âme, en votre chair, de manger ma Chair et mon Sang? Vous êtes dignes par la Volonté de mon Père. Rien ne vient de vous, tout de Dieu».

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Que ces paroles entrent en nous, qu’elles nous remplissent de lumière, la même lumière qui est venue sur la terre et qui a attiré à elle tous les enfants de Dieu. Dieu met en nous sa lumière afin que nous ayons la réponse à cette question. Soyons obéissants à Dieu, à Dieu. Et demandons l’aide de Maman Marie.

Nous savons, par notre Saint-Père, qu’à cause du Concile II, il y a eu permission sur la main, mais n’enlevant pas le droit de recevoir sur la langue. Nous sommes le peuple à la nuque raide. Alors, à chacun de nous de savoir. Mais la personne qui n’a jamais reçu Jésus sur la main alors qu’elle a toujours présenté sa langue, gare à cette personne qui s’inclinera devant la volonté humaine. Elle sentira le glaive en son intérieur qui la coupera en deux. Elle sera tiraillée entre l’amour de Dieu et la volonté humaine qui a peur de la volonté humaine : on a peur des virus. Amen.

Q. Mais quand le prêtre ne veut pas, on n'y peut rien? Le prêtre ne veut pas qu'on se mette à genou, sur la langue il veut, mais pas à genou, il faut rester debout. Mais moi, dans mon cœur, je me mets à genoux, mais le prêtre va me dire : lève-toi. Il le fait devant tout le monde. Ça ne me fait rien d'être humiliée, on l'aura pas Jésus. Jésus le sait, lui.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, mets-toi à genoux après. Mais n’oublie jamais de te mettre en génuflexion avant de le recevoir. Un jour, on sera comme les rois qui sont venus adorer Dieu. Nous saurons qui nous sommes.

Il y a un monsieur qui est debout. Ça fait longtemps, Jurek, qu’il est là.

Q. Vous avez répondu un peu à ma question. Je ne sais pas si c’est par orgueil, mais des fois ça me fâche d’aller dans des églises parce qu'ils ont enlevé l’eau bénite; d'autres l’ont encore, et moi je suis habitué d’une certaine façon. Et on m’a toujours dit les bienfaits de l’eau bénite, ça fait que quand je rentre et qu'il n'y en a pas, je suis porté à juger ou être en maudit. C’est peut-être mon orgueil, mais c’est ça.

RLa Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous savons que même certaines églises ferment dans certains pays parce qu’ils ont peur de la grippe porcine. Qu’est-ce que notre Dieu d’amour pense de la grippe porcine? Souvenons-nous de ce qui s’est passé lorsque celui qui a été libéré d’une légion : ils sont tous partis dans les porcs, mais les porcs ne voulaient pas d’eux, ils se sont jetés en bas de la falaise.

Aujourd’hui, il y a cette grippe qu’on annonce : une pandémie. On a peur, on a peur de mourir, on a peur de perdre ceux qu’on aime. Qu’est-ce qui fait qu’il y a eu cette bactérie, ce virus? Qu’est-ce qui fait que nous appelons aujourd’hui ‘grippe porcine’? C’est que des êtres qui ont écouté Satan nous ont tous pris pour des cochons. Ils veulent que nous soyons habités d’esprits impurs qui ont la peur en eux. Ils veulent nous contaminer par la peur. Les cochons, les porcs, ont tellement eu peur de ce qui venait en eux qu’ils sont partis et se sont jetés dans le vide. Eh bien, nous aussi, on part en peur. On se jette partout, puis on frappe tout le monde. Notre imagination est au galop. Tout ce que nous entendons active nos émotions. Tout ce qui est en nous maintenant est en effervescence de tromper.

Nous avons reçu la foi, nous avons reçu l’espérance, nous avons reçu l’amour, la charité, alors cela nous trompe. Alors, comme nous sommes trompés, nous perdons, nous perdons ce qu’il y a en nous. Nous sommes enfants de Dieu et Dieu nous protège. Nous avons été prévenus de ces maladies. Jean n’a-t-il dit dans l’Apocalypse, écrit, qu’il y aurait des maladies, des épidémies? Nous vivons ce que le Ciel nous a fait connaître. Mais croyez qu’eux ont la solution, croyez qu’eux savent nous protéger, eh bien, il y aura une grande pandémie. Satan n’attend que cela. C’est par la peur que cela va se propager. Remarquez une personne qui a peur : elle transpire, sa sueur est du poison. Si un animal léchait notre sueur, il tomberait mort, tant que nous développons un poison. Eh bien, ce poison fait que notre foie s’engorge, que notre estomac se contracte, que tout notre intestin se ferme, alors notre sang ne nous nourrit plus.

Nous avons besoin du tout de notre être pour faire de l’harmonie avec tout ce qui entre en nous. Si nous recevons de l’amour en nous, eh bien, il y aura une circulation qui se fera avec amour : tout notre être sera dans la chaleur de l’amour, tout notre être sera dans la paix de savoir que chacun fait ce qu’il a à faire. Ainsi, le système digestif, le système circulatoire, le système musculaire osseux seront dans l’harmonie. Mais faites entrer ce qui n’est pas amour, telle la peur, alors tout votre être semble se diviser : la tête ne fonctionne pas avec l’estomac, notre estomac fait la guerre au foie, le foie ne répond pas parce qu’il ne se sent pas aimé, alors il bloque son liquide d’amour afin que son liquide d’amour durcisse et il se tourne contre nous. Tout ce qui vient de l’extérieur fait en sorte de nous faire la guerre. Alors, demeurons dans la paix. Prions la Mère de Dieu et cessons d’ouvrir nos oreilles à ce qu’il y a autour de nous.

Eh bien, s’il n’y a pas d’eau bénite, alors amenons celle que nous avons à la maison. Si la porte de l’église est fermée, allons à une autre église. Demeurons dans la paix, Dieu nous ouvrira le chemin. Alors, préparez-vous, on ne voudra pas vous donner la main. N’avons-nous pas vécu ça il y a quelque temps avec un virus? Il y en a toujours eu, mais n’ayons pas peur. Mangeons sainement. Dormons les heures que Dieu nous présente. Le dimanche, c’est jour de repos, alors respectons le jour du repos. Lorsqu’on sait se reposer le dimanche, on sait se reposer la semaine après son travail. Le dimanche n’est pas en dehors de la semaine, il fait partie de la même semaine.

Demeurons dans la joie et ne paniquons pas si notre voisin a la grippe, il se peut que ce ne soit qu’un rhume; alors, n’allez pas au-devant, cela c’est l’œuvre de Satan. Laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Si Dieu le Père veut nous appeler, il nous appellera comme lui le veut. Mieux vaut mourir en paix que dans la peur. Passons notre vie spirituelle avant notre vie corporelle. Faisons comme les premiers chrétiens : Dieu avant nous, et le reste c’est pour sa plus grande Gloire et il nous fait participer à sa Gloire. Alléluia!

Tous : Alléluia!

Q. J’ai deux choses à te demander, deux choses à te dire. Une fois, j’avais été à la messe, puis le prêtre… Je me suis mis à genoux, j’ai pris la communion sur la langue, car je voulais la prendre sur la langue. Il m’a fait lever ben raide. Il a dit : "Lève-toi". Ça fait que là, ça s’est adonné qu’il me l’a donné pareil sur la langue. Il y a une sœur qui m’a dit : "Fais donc comme les autres". Après ça, c’est rien qu’après qu’il est revenu, j’ai dit : "Mon père, moi je viens ici à la messe, mais j’aime bien prendre la communion sur la langue et à genoux. Il a dit : "Fais comme les autres", quelque chose du genre. J’ai dit : "OK, d’abord, je vais aller à une autre église". Il a dit : "Ah non, non, c’est correct, tu peux faire ce que tu veux".

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout enfant qui se donne doit se donner avec amour. Notre Saint-Père, le Pape Benoît XVI, suit les pas de Jean-Paul II et nous pouvons recevoir Jésus par la langue ou en présentant sa main. Ce que Dieu veut nous signaler, c’est que nous devons recevoir Jésus comme il le veut en nous, mais il connaît qui nous sommes. Alors, il nous donne des grâces pour que nous puissions être humbles et petits afin de recevoir Jésus comme nous sommes capables de le recevoir. Si des personnes reçoivent la communion sur la langue, si des personnes reçoivent la communion sur la main, remercions Dieu pour les grâces qu’il nous donne. Merci, Seigneur.

Tous : Merci, Seigneur.