Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2011-10-07 – Soir  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Depuis quelques jours, le Seigneur m'en parlait… quelques jours, peut-être quelques semaines, oh, pas longtemps! Savez-vous ce que ma chair faisait? J'espère qu'il ne le dira pas! J'espère qu'il ne me le fera pas dire! Je vais garder ça pour moi. Vous savez, on a beau être prophète, mais tout d'un coup qu'il me dit quelque chose, puis ça n'arrive pas, là!… Qu'est-ce que je vais avoir l'air? En moi, je n’ai pas confiance!

Oui, on a entendu parler de Jonas cette semaine à Chertsey. Vous autres aussi, hein? Quand j'ai écouté ça, j'ai dit : 'Ouais'… C'est vrai que le Seigneur m'a dit : «Il est arrivé le jour». Je vais vous dire quelque chose que j'aurais aimé garder pour moi. Le Seigneur a dit : «Bientôt, tu te couperas les cheveux», parce que le Seigneur ne veut pas que je me coupe les cheveux. Il a dit : «Ton ange t'apparaîtra et il te le dira de couper les cheveux». Alors, je l'ai pas dit, seulement que je l'ai glissé à quelqu'un... j'ai simplement dit à mon fils : "Lorsque tu me trouveras bizarre dans ma conduite, bien, crois qu'il va arriver quelque chose." Et depuis ce temps, il me dit à la communion que, oui, c'est le moment. Alors, lorsque j'ai répété tantôt, j'ai répété dans la Divine Volonté, hein, j'ai pas bronché, hein? D'ailleurs, même si j'avais voulu, j'en suis incapable dans ces moments-là.

Ce que le Seigneur me fait vivre depuis quelque temps, c'est ce moment, ce moment d'amour. Il montre, il montre des moments où sa lumière nous pénétrera et je vois Maman Marie, et elle va se tenir dans la lumière. Nous verrons la Vierge Marie dans toute sa beauté. Maman Marie, elle apparaît. Elle est belle, hein? On n'est pas capable de décrire Maman Marie. Maintenant, vous allez… à l'intérieur, on va la voir dans sa gloire. Lorsque nous serons totalement purifiés, nos yeux verront la beauté qui réjouit tous les anges gardiens, tous les séraphins, les chérubins, tous, tous les archanges, tous les anges dans le Ciel. Plus notre purification va s'accomplir, plus sa gloire sera pour nous une joie immense.

Mais, il y a le prix à payer. Il y en a qui sont choisis pour être les derniers, hein? Les derniers. On a accepté, quelques-uns, d'être les derniers, hein? Nous supporterons tout cela avec les grâces. Maman Marie, elle, elle s'est tenue debout au pied de la Croix. Alors, elle sera avec nous pour nous soutenir, car la souffrance se concentrera en nous. La mort ne pourra pas nous atteindre, mais c'est comme si on goûterait à la mort. On n'a pas à avoir peur, hein? On a donné notre oui. Plus nous serons enveloppés de la miséricorde de Dieu, plus ceux que nous aimons, et qui auront besoin de nous, seront dans notre chair. Nous avons consenti à unir notre cœur, nous avons consenti à aimer sans condition.

Jésus, il a donné à certains sur la terre la joie de vivre les stigmates. Allez visionner ceux qui ont vécu ça, vous allez voir qu'ils sont dans une joie. Croyez-vous qu'ils font semblant de souffrir? Ils souffrent avec amour. Alors, nous souffrirons avec amour. Maman Marie, elle nous donne des grâces, elle nous en a donné, elle nous donnera encore des grâces. Et Dieu nous donnera à la mesure de ce que nous sommes capables, n'oublions pas ça aussi. Mais sommes-nous capables de dire : "Ne nous ménage pas, Seigneur"? Il ne faut pas en perdre un seul.  

Vous savez, pour quelques-uns, que le Seigneur quelquefois m'associe d'âme à âme, pour vivre la souffrance qu'elles ont à vivre afin qu'elles puissent donner leur oui. C'est arrivé, et cela se passe toujours bien. Il m'est arrivé aussi, physiquement, de vivre ça. Des personnes qui souffraient physiquement et je demandais une partie, bien… demandé!..., c'est le Seigneur, hein? Et cela se passait très bien aussi. Le Ciel prend soin de nous. Alors, ne nous inquiétons pas pour ce que nous – on peut le dire, hein, maintenant? – ce que nous sommes, en ce moment même, en train de vivre, parce que c'est commencé, il l'a dit. Ce temps, maintenant, nous allons le vivre. Certains vont crier vers Marie. Lorsque ce sera trop lourd, Maman Marie, elle ira dire à son Fils : «On va leur donner du repos».

Êtes-vous prêts à vivre cela? (R : Oui.) Amen! On la voulait, eh bien, on est dedans maintenant. Vous savez, on vit cela, et c'est tellement beaucoup plus simple quand ça vient du Seigneur que lorsque ça vient de nous-mêmes.

Q. Est-ce que nous allons vivre cela à chaque jour?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu vas vivre cela à chaque jour. N'allons pas nous cacher parce que Dieu va le savoir. Rappelons-nous : nous devons donner pensée, regard, écoute, parole, action et sentiment. Bien, si tu ne veux pas donner, tu ne donnes pas : tu ne vis pas ce moment de miséricorde. Comprenez-vous? Est-ce qu'il y en a qui n'ont pas compris ce qui vient de se dire ou c'est un p'tit peu… Ok, il y en a en arrière qui n'ont pas compris.

Nous avons à nous donner constamment pour que la miséricorde de Dieu prenne tout de ce qui est en nous de souffrances. Alors, plus nous allons donner, plus la miséricorde de Dieu va prendre ce qu'on lui donne, mais elle va nous donner quoi? De la miséricorde pour nous-mêmes. Lorsqu'on vit un moment de souffrance, ce moment de souffrance, il est activé par les auteurs de la souffrance. Satan et ses acolytes sont les auteurs de notre souffrance. C'est eux qui nous ont fait mentir, qui nous ont fait voler, mais c'est vrai que c'est nous qui avons accepté aussi leurs tentations. Alors, comme eux nous ont fait souffrir : hein, t'as volé…, t'es une voleuse…, tu vas encore voler, ça nous revient toujours. Alors, eux entretiennent cette souffrance. Plus ils entretiennent cette souffrance, plus ils nous maintiennent sous leur pouvoir.

Lorsque nous donnons à Jésus : j'te donne, j'te donne, j'te donne, la moindre petite chose, j'te la donne, alors qu'est-ce qui arrive? C'est que la miséricorde, elle, nous donne son amour, sa présence. Nous recevons la miséricorde constamment comme nourriture, et plus nous faisons ça, et plus nous consentons à regarder, à vivre. N'est-ce pas ce qu'on a vécu, il y a plusieurs années, quand on a commencé à dire : j'te donne causes, choix et conséquences? Plus on donnait causes, choix et conséquences, plus, il me semble, qu'il fallait tout l'temps le dire.

Il y avait une jeune fille au Lac-Saint-Jean, elle a commencé à dire : j'te donne, j'te donne, j'te donne", tout le temps : j'te donne, si bien qu'elle a quitté ses amies parce qu'elle ne pouvait plus suivre leurs conversations, elle n'arrêtait pas de donner. Alors, cela voulait dire que plus elle donnait, plus elle prenait conscience que ce qui était autour d'elle n'était pas toujours ce que Dieu voulait entendre. Dieu veut entendre de l'amour sortir de notre bouche, mais, elle, elle entendait des blasphèmes; alors là, elle donnait, elle donnait, et plus elle donnait, plus elle donnait, plus elle donnait, plus elle découvrait, découvrait que, oups! il faut donner. Bien, c'est la même chose que nous allons vivre. Alors, nous allons vivre cela : les droits d'enfants de Dieu.

Nous avons commencé, mais là, il faut, vous souvenez-vous? 'Je te donne causes, choix, conséquences. Je refuse. Merci, Jésus…' et là, il y  a un moment où vous dites, après Maman Marie : 'Arrache le mal de notre chair et purifie-la'… Nous sommes rendus là. Maintenant, nous allons vivre ça. Nous allons le vivre. Il faut se laisser envelopper de la miséricorde de Dieu pour que le mal soit arraché de nous et purifié de son Feu d'amour.

Lorsque nous serons en nous, la miséricorde de Dieu va avoir pris ce que nous lui avons donné, et là, nous regarderons : oui, oui, oui, oui, et tout sera arraché de nous. La souffrance n'aura plus d'impact sur nous. Elle s'attaquera à qui? Elle s'attaquera à qui? N'oubliez pas que vous êtes en vous, n'oubliez pas que vous êtes un bébé. Et qui va se juger? C'est nous. Mais à qui avons-nous donné les guides? (R : à Jésus.) Notre vie? (R : à Jésus.) Notre jugement? (R : à Jésus.) Qui veut tout prendre? (R : Jésus.) Allons-nous le comprendre? Est-ce que c'est la première fois que nous entendons ça? (R : Non.) Jésus l'a dit quand? Jésus l'a dit de toute sa profondeur au moment où il était sur la terre. Il était tout amour pour nous. Son Sang a coulé de sa chair. Il a porté une croix lourde, lourde sur son épaule. Elle l'a tellement blessé que cette plaie était jusqu'à ses os. Il n'a jamais lâché sa croix. Il a tombé sous le poids de la croix. Est-ce qu'il l'a laissé tomber? (R : Non.) Voyez-vous, Jésus, il a dit : «Donnez-moi votre joug, le mien est léger». Est-ce que sa Parole n'est pas éternelle? Est-ce qu'à ce moment-là, il ne prendra pas tout? Il va tout prendre. Alors, les auteurs de la souffrance, ils vont attaquer qui? La Miséricorde.

Q. Si je me rends compte qu'il y a quelques jours j'ai vécu quelque chose de souffrant et que je n’ai pas toujours été dans la capacité de donner, est-ce que le Seigneur me permet, quand je le réalise maintenant, de lui donner ça dans la Divine Volonté?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, oui, il faut tout donner. Il faut que ce soit Jésus qui prenne tout parce que nous, nous le lui aurons donné. Avec quoi? Notre liberté! Notre liberté! C'est important. Dieu ne nous forcera pas.

Voilà pourquoi il y a des moments où on ne ressentira pas. Dieu nous connaît, alors il connaît notre liberté. Plus nous allons être sincères, plus nous allons être abandon, obéissance, plus ça s'accomplira. Doutez, rouspétez, eh bien, Dieu le sait. Dieu nous aime, il nous aime! Il a respecté la liberté de tous les enfants de Dieu. N'a-t-il pas respecté la liberté de celui qui l'a trahi : Judas? N'a-t-il pas aimé Judas malgré qu'il savait ce que Judas était pour faire? Voilà notre Dieu et il va toujours être éternel dans son éternité. Cela veut dire qu'il ne changera jamais. C'est notre Dieu et on peut s'appuyer sur lui.

Est-ce que cela viendrait d'une humaine toutes ces paroles qui, en ce moment, sont en train de se faire entendre? (R : Non.) Notre Dieu nous instruit. Nous sommes tous dans la même chair, une chair souffrante qui veut être libérée. Croyez-vous que ceux qui ne croient pas en Dieu ne veulent pas, eux aussi, connaître la liberté? Tous les enfants qui ont été créés par le Créateur veulent connaître une liberté. Voilà que chacun de nous, nous sommes devant les faits, les faits accomplis. Nous avons tous été impurs et tous ceux qui vont le vouloir vont devenir purs en leurs pensées, en leurs regards, en leur écoute, en leurs paroles, en leurs actions, en leurs sentiments.

Maintenant, nous allons aller nous reposer. Il est dix heures moins quart, mais il y en a qui sont debout depuis sept heures ce matin pour écouter. Alors, nous avons ici le Père Réal pour la bénédiction et nous avons… Est-ce que Michel est là aussi, le diacre? Ah! il est parti faire dodo… une bénédiction.

Père Rhéal : Que le Dieu tout-puissant fasse descendre sa bénédiction sur vous tous et Maman, en la fête de Notre-Dame-du-Rosaire, qu'elle vous obtienne aussi beaucoup de grâces. Je vous bénis tous et vos familles, vos enfants, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen. Bonne nuit!

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Juste une p'tite, p'tite minute, s'il vous plaît. Une minute, s'il vous plaît. Nous avons eu une messe aujourd'hui et il y avait un chant que nous avions à chanter à la fin de la messe et cela ne s'est pas fait. Êtes-vous d'accord pour qu'on puisse faire acte de réparation? Amen.

Personne dans la salle : Il y a quelqu'un près de moi qui m'informe que c'est la première fois qu'elle t'entend. Elle aimerait que tu te présentes, que tu parles de tes livres…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C'est la première fois que vous venez? Eh! Seigneur! Levez la main ceux pour qui c'est la première fois qu'ils viennent entendre la Fille du Oui. Eh! vous n'êtes pas tombés sur votre siège! Oh! mais il y en a là qui ont lu la Fille du Oui par contre, mais ceux qui n'ont jamais entendu parler de la messagère, la Fille du Oui à Jésus ou jamais lu les livres… alors, si vous voulez…. pour ceux qui veulent entendre encore… (R : Oui.)

Alors, la première fois que j'ai entendu le Seigneur, c'est en 2001. Je suis enfant de la Divine Volonté. C'est ce que le Seigneur dit en moi, parce qu'au début, il m'a demandé ma vie. Il a dit : «Tu ne vis plus. Je prends ta vie.» Il parlait, le Seigneur, toujours avec moi et je l'écoutais. À des moments, j'me disais : "Est-ce que je suis vivante?" Il disait : «Tu es à moi, tu ne t'appartiens plus.» J'étais mariée à ce moment-là et non veuve. Je suis une grand-maman aussi. En ce temps-là, je n'avais que deux petits-enfants. Maintenant, j'en ai cinq et un autre par alliance.

Comment est-il venu chercher l'instrument que je suis? Dans des moments de souffrance. Et cela a commencé quand j'étais très jeune. Une grande lumière a été dans ma vie et il me l'a montrée, car lorsque je suis venue au monde, c'était au lever du soleil et ce soleil a pénétré ma vie et, sans que je le sache, le Seigneur guidait mes pas. À travers la souffrance, j'apprenais à m'abandonner.

Dans une famille nombreuse, j'étais la huitième, et le Seigneur me montrait à être là où je devais être à travers ceux qui souffraient. Le désir de vouloir être à lui, totalement à lui, a été vers douze ans, mais mon père refusa parce qu'être religieuse, il avait, lui, donné le consentement pour ma sœur Rita. Il disait qu'il avait une religieuse et qu'il n'en voulait pas deux. Le Seigneur me voulait parmi mes sœurs et parmi mes frères qui étaient dans la souffrance. Et cette souffrance, Dieu l'a fait ressentir à d'autres familles. C'est une souffrance physique, c'est une souffrance où on doit toujours s'incliner devant l'autorité sans comprendre.

Quelquefois, le Seigneur me donnait des joies à la communion, et pourtant, sans savoir que cela était pour m'amener à m'abandonner encore et encore plus. Ressentir une chaleur qui amène au bonheur, je croyais que c'était normal quand on recevait Jésus. Je croyais que tout le monde ressentait cela lorsqu'ils recevaient la sainte communion. J'ai quand même vieilli à travers la souffrance physique, un caractère qui souffrait, et une personne qui priait pour ne pas trop entrer dans cette souffrance, et crier vers Dieu, crier vers Dieu : "Je veux aimer! Je veux être aimée!" On ne comprend pas pourquoi on a besoin d'amour et d'amour et d'amour et qu'on ne l'obtient pas comme on voudrait l'obtenir. C'est ce que j'ai vécu.

J'ai rencontré Maurice, mon mari. Que d'amour j'ai reçu de lui, que d'amour! Et pourtant, cet amour qu'il me donnait ne pouvait me satisfaire. Cette soif, cette soif d'aimer, d'aimer un amour, un amour profond, où était-il? Car il mettait en moi le besoin de trouver un amour encore plus grand, plus grand que ce que je connaissais. Puisque j'aimais mon mari, que j'aimais mes enfants, pourquoi vouloir encore un amour plus profond? C'est Dieu qui le voulait. Tout ça, je le vivais sans le savoir.

Lorsque ma sœur Rita est décédée, j'ai été au pied de Marie et je lui ai dit : "Je veux mourir". Et le Ciel a ouvert quelque chose en moi : de l'abandon. J'ai pénétré cet abandon, car je venais d'accepter de mourir. C'est ce que Dieu attendait de moi. Et Maman Marie m'a beaucoup appris, car dans les années '98, '99, 2000, Maman Marie me donnait des grâces. Ces années-là, la prière a été pour moi une ouverture à l'obéissance. Plus je priais et plus je voulais prier. Satan, les démons se sont attaqués à l'être que j'étais, physiquement, moralement et spirituellement. Maman Marie était là et elle me protégeait. J'avais beaucoup d'odeurs de roses, j'avais beaucoup de visions.

En 2001, 1er janvier 2001, mes mains ont suinté de l'huile et c'est à ce moment-là que Maman Marie, la Vierge, l'Immaculée-Conception, m'a parlé. Elle était là, présente dans ma vie, dans ma vie spirituelle. Elle a toujours été là, Maman Marie, dans ma vie sur la terre parce que je priais. La famille priait aussi. Mais là, c'était plus profond et elle me montrait en priant, elle me montrait par l'intérieur des images pour que je me souvienne de ce qu'elle me disait. Comme je n'avais pas d'instruction, pour moi, c'était difficile de répéter ce que le Ciel voulait que je répète. Voilà pourquoi Maman Marie m'a instruit en me montrant des images.

J'ai vécu de belles visions, réveillée et semi-réveillée. Et lorsque j'ai reçu le nom de mon ange gardien, Amystica, là, j'ai entendu Jésus, parce qu'il a dit son nom lorsque j'ai eu fini d'écrire. Il parlait en moi. Je n'ai pas tout de suite écrit, c'a été plutôt après la mort de mon mari, le 4 de mars. Là, tous les jours, le Seigneur voulait que j'écrive et lorsque je n'écrivais pas, le Seigneur me parlait et Maman Marie me disait toujours d'écouter son Fils. J'entends, depuis ce temps, la voix de Dieu en moi. Je n'ai qu'à entrer en moi, à m'arrêter : j'entends la voix. Lorsque Dieu me veut dans une obéissance pour répéter à mes frères et à mes sœurs, c'est lui qui me prend.

J'ai reçu des dons et ces dons appartiennent à Dieu. Dieu peut m'unir d'âme à âme, de corps à corps. Cela veut dire que si Dieu le veut, je peux vivre la souffrance de quelqu'un, parce que Dieu le veut et c'est toujours dans le but d'enseigner. Il me fait vivre ce que je dois répéter afin de mieux comprendre sa miséricorde. C'est lui la Miséricorde, c'est lui qui nous apprend à aimer, c'est lui qui nous apprend à nous donner. Maman Marie nous donne beaucoup de grâces. Elle nous amène toujours à aller plus profondément dans la Volonté de Dieu, et cela se fait parce que c'est Dieu qui le veut.

Lorsque Dieu m'a fait écrire, il l'a fait en la Divine Volonté parce qu'il est la Divine Volonté, alors il me faisait pénétrer en sa Divine Volonté. Mais parce que je dois parler, je dois vivre dans la souffrance de ma chair. Elle doit connaître la maladie, elle doit connaître la fatigue, elle doit connaître ce que tous mes frères et mes sœurs vivent afin de servir. On ne peut pas parler de souffrance si on ne connaît pas la souffrance, on ne peut pas parler de la grâce si on n'est pas plongé dans la grâce. Je suis l'instrument du Seigneur et je fais ce que le Seigneur me demande de faire. Ces paroles que vous entendez viennent de la Divine Volonté, pas de moi. Je n'ai pas à choisir ce que je dois dire. Voilà pourquoi je n'ai pas à me laisser instruire par les humains, mais par Dieu.

Dieu a mis auprès de moi un prêtre qui s'appelle Clément Provencher et Dieu a mis autour de moi des prêtres pour m'aider à toujours être à ma place. C'est eux qui me nourrissent, c'est eux qui me donnent ce dont j'ai besoin, cette nourriture : l'amour de Dieu, la miséricorde de Dieu, la Divine Volonté. Les prêtres sont plus grands que tout prophète. Tout prophète doit être à sa place. Si Dieu veut se servir d'un prophète, il s'en sert au moment où, lui, le veut. Lorsqu'il n'en a plus besoin, le prophète retourne chez lui et il vit comme tous les autres. Le prophète doit apprendre à se taire et à tout accepter, à ne pas se défendre, mais à laisser tout à Dieu. Calomnies, jugements appartiennent à Dieu et pas au prophète.

Le prophète qui n'est pas abandon, obéissant, en paie le prix. Le prophète qui ne veut pas servir Dieu, Dieu le laisse libre. Il devient un être orgueilleux, il devient un être manipulateur, il devient maître de ses messages, car cela n'est plus de Dieu. Dieu est le seul Maître. Dieu est Dieu et il a choisi l'instrument que je suis pour parler de ce que Dieu, lui, veut que tous les enfants entendent : la très Grande Purification de la chair. La très Grande Purification de la chair est pour cet instant. Nous avons entendu le Seigneur nous parler depuis 2001, de la très Grande Purification de la chair et il s'est servi des cœurs des enfants de Dieu pour que sorte d'eux ce qui était en eux, ce qui a fait que nous avons entendu notre Dieu parler de nous.

Nous nous sommes reconnus menteurs, violeurs, manipulateurs, dominateurs, orgueilleux. Nous nous sommes vus tels que nous sommes et nous avons été enveloppés des grâces de Dieu pour tout accepter. Nous avons appris à aimer, à aimer notre Dieu. Nous avons appris à nous aimer, à aimer l'Église, à aimer nos frères et nos sœurs. Nous avons appris que nous devons continuer, car nous avons encore beaucoup à apprendre, mais comme nous sommes dans son éternité, cela va aller de plus en plus vite. Tout cela se fait dans la Divine Volonté, tel que notre Seigneur, notre Maître, notre Dieu, notre Sauveur, nous a révélé ce soir.

Mon nom est parmi tous les autres. Le Seigneur m'appelle la Fille du Oui à Jésus, parce que nous appartenons tous au Oui. Fils et filles, nous appartenons au Oui qui est à Jésus. Ce oui, il a été prononcé, et c'est Jésus qui l'a prononcé à son Père avant même que nous, nous soyons en ce monde. Nous devons tout à notre Dieu. Il vient pour nous parler en notre cœur afin que nous apprenions tous, au même moment, ce que nous devons faire pour la plus grande Gloire de son Père. De par le monde, il y a des prophètes. Chacun devait s'accomplir. C'est Dieu, notre Maître. Nous, nous faisons ce que notre Maître veut que nous fassions. Maintenant, je vais ouvrir mes yeux, parce que Dieu le veut. Et c'est cela que Dieu attend de nous : une obéissance.

Mon nom est Francine. Mon nom de fille, Dumont, et mon nom d'épouse, Bériault, mais mon vrai nom, c'est la Fille du Oui à Jésus. Là est mon vrai nom, il m'a été donné avant même que je vienne dans le sein de ma maman sur la terre. Voilà pourquoi Jésus a dit un jour à mes deux sœurs ici présentes : «Elle ne vous appartient pas, elle m'appartient.» Nous appartenons tous à Dieu, qu'à Dieu. Chacun de nous, nous n'appartenons qu'à Dieu. Nous aurons des comptes à rendre qu'à Dieu lorsque Dieu nous fera entrer en nous. Un Vent d'amour, un Vent de l'Esprit Saint, un Vent de Pentecôte. Que de lumière! Amen.