Rencontre d’amour avec l'agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-12-10 – A.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous sommes ici par Dieu, c'est notre vie qui se poursuit.

Jésus est le Mouvement de l'amour et nous sommes le mouvement de l'amour; chaque mouvement dans notre vie nous a emmenés là où nous sommes aujourd'hui.

Lorsque nous sommes venus en ce monde, dès l'instant où nous avons respiré en ce monde, un mouvement se faisait sur la terre; ce mouvement était tout nouveau : il venait d'apparaître, il se mettait en marche avec les autres mouvements.

Chaque enfant qui vient sur la terre est un mouvement qui s'ajoute aux autres mouvements : le mouvement de Dieu continue, il est avec nous.

Un seul enfant qui vient au monde, c'est la Présence de Dieu qui se met en marche avec nous; tout être sur la terre est lié avec nous, pas un seul instant nous ne sommes pas liés les uns et les autres : le Mouvement est Jésus, le mouvement est l’amour.

Un enfant qui vient au monde, c'est de l'amour qui vient au monde pour nous, il nous apporte la présence de Dieu; c'est comme un mouvement qui ne cesse pas de nous montrer l'amour de Dieu pour chacun de nous.

Dieu ne cesse de se donner, il nous apporte des mouvements qui nous font avancer vers le Royaume de son Père.

Dieu est en train de nous parler de nous-mêmes, de notre naissance sur la terre; nous sommes venus pour accomplir la Volonté de Dieu le Père avec nos frères et nos sœurs; notre propre mouvement de vie apporte un autre mouvement de vie à ceux qui sont déjà sur la terre; ce mouvement qui est tout à fait nouveau dans leur vie leur apporte quelque chose de nouveau dans leur vie.

La vie reconnaît le mouvement de Dieu : à l'intérieur de nous, nous sommes mouvement; à l'intérieur de nous, il y a le monde entier.

Un jour que nous étions à Toronto, Dieu nous a parlé d'un mouvement, d'un mouvement de vie; il nous a raconté une histoire, et c'est l'Esprit de Dieu qui va vous faire entendre cette histoire comme il fait avec moi en ce moment; il fait bouger à l'intérieur de moi un mouvement de vie, ce mouvement de vie me fait répéter ce que l'Esprit de Dieu veut que vous entendiez et ce que je dois entendre; alors, je vais fermer mes yeux et laisser le Saint-Esprit raconter ce qu'il nous avait raconté.

 

Le Saint-Esprit : Un jour, un enfant vint en ce monde, il était si petit; des bras humains ont accueilli cet enfant, et ils l'ont présenté à la maman; elle prit l'enfant et voulut le serrer très fort contre elle, mais sa fragilité qui était en elle empêchait de le serrer très fort contre elle.

Elle aurait tant voulu le serrer dans ses bras, mais elle avait un mouvement à l'intérieur d'elle, ce qui l'empêchât de faire ce qu'elle aurait voulu faire; elle regardait cet enfant et elle l'admirait : elle voyait dans cet enfant la beauté, la beauté de ce qu'elle était elle-même.

Il était fragile, mais plein de force; il était petit, mais si puissant; il était d'une grande beauté mais, en même temps, son intérieur lui disait qu'il fallait qu'il prenne soin de sa beauté; elle voulut lui donner un baiser, cela se déposa sur son front, elle sentit en elle un amour très fort : tout son être était amoureux de l'enfant qu'elle voyait.

Elle était en mouvement d'amour et se mit à penser à tout ce qu'elle avait été elle-même : un enfant, un enfant qui avait grandi, un enfant qui avait appris à parler, à marcher, à réfléchir; tout était devant elle, car elle savait qu'elle devait apprendre à cet enfant comment parler, comment marcher, manger, s'habiller.

Tout cela était devant elle, c'était elle qu'elle voyait; tout était mouvement, alors elle comprit que la vie venait d'apparaître devant elle : un mouvement nouveau était dans sa vie; elle n'était plus seule, elle devait penser à cet être qu'elle venait d'avoir; son temps devait lui être consacré et elle en était heureuse.

Le mouvement se fit encore plus présent dans sa vie, car lorsque l'enfant qui avait vieilli était dans le besoin, elle en prenait soin; elle faisait des efforts pour oublier qui elle était pour donner à cet enfant son besoin; elle qui venait de passer une nuit sans dormir, à cause de la fièvre de l'enfant, oubliait sa fatigue et elle se donnait; elle était mouvement d'amour parce que ce mouvement avait apporté à son être de l'amour : tout était dans l'harmonie entre elle et l'enfant.

Lui-même apprenait à découvrir combien il était bon de s'oublier avec amour sans rien exiger de l'autre, car l'enfant était en lui-même un mouvement d'amour pour lui-même.

Elle devait respecter cela, elle devait apprendre à ne pas exiger de cet enfant qu'il vive comme elle, elle vivait; elle respectait, ce mouvement était en elle et faisait naître d'autres mouvements qui l'emmen(èrent) à découvrir qu'elle devait accepter, accepter de voir son enfant s'éloigner pour vivre sa vie avec ceux qui étaient avec cet enfant; un autre mouvement se faisait connaître à elle et elle s'abandonnait; elle ne pouvait pas forcer l'enfant à demeurer toujours auprès d'elle.

Tout était mouvement dans sa vie et le mouvement l'emmena encore plus loin : à reconnaître que ce qui était dans la vie de son enfant n'était pas pour elle, parce qu'elle ne devait pas prendre pour acquis qu'elle connaissait tout de la vie de cet enfant; ce mouvement était en elle et elle apprivoisait ce mouvement.

Tout était amour dans sa vie; elle était parfaite dans son mouvement, elle était pure dans ce mouvement, car l'enfant avait mission, avait mission d'aimer tout, tout ce qu'il y avait mouvement sur la terre; elle aurait voulu prendre sa vie et la vivre, elle aurait voulu souffrir ce qu'il souffrait, mais elle apprenait, elle apprenait à être dans ce mouvement de vie, dans ce mouvement de sacrifice, dans ce mouvement de souffrance : elle vivait son propre mouvement, tout était amour.

Chaque mouvement l'emmenait à découvrir le mouvement de Dieu; elle comprenait que tout était pour Dieu; elle comprenait que la vie était Dieu, car elle était dans son propre mouvement : amour.

Le mouvement apporte la vie et chaque mouvement apporte d'autres mouvements afin que la vie soit dans le mouvement.

Voilà, je parle afin de faire connaître aux enfants ce qu'il y a en eux : l'être humain est complet par lui-même, il est vie en la Vie; chaque personne est mouvement; à l'intérieur de chaque personne, il y a des mouvements et ces mouvements apportent des mouvements qui complètent la vie humaine.

Avant que tout soit extérieur, tout était intérieur; un être humain qui vieillit doit regarder son intérieur pour apercevoir si ces mouvements ont toujours été vie; s'ils n'ont pas toujours été vie, c'est qu'il n'a pas suivi le cours de l'amour, de l'acceptation, du respect, de l'harmonie.

Une cellule, mes enfants, est la vie; dans chaque cellule il y a l'être de vie qui est la personne, elle est dans la cellule et dans la cellule il y a la Présence, et la Vie est Jésus; chaque cellule est vivante en Jésus et dans chaque cellule il y a toutes les autres cellules; c'est une complémentarité de l'être : il y a vie, il y a mouvement.

Lorsqu'une cellule se donne de l'amour en acceptant la vie, les autres cellules en ressentent les effets, et toutes les autres cellules sont en harmonie avec cette cellule, car chaque cellule contient l'être que vous êtes, et chaque cellule contient Jésus, chaque cellule contient le monde entier.

Que des cellules soient en contact avec le mal, cette cellule refuse le mouvement; la vie, elle, empêche le mouvement de se nourrir de mouvements.

Jésus est la Vie, Jésus est le Mouvement, il nourrit la cellule de sa Vie afin qu'il y ait mouvement, et la cellule qui, elle, est dans le mal ne peut être dans le mouvement, elle s'arrête, elle devient paralysée; parce qu'elle devient paralysée, elle empêche la nourriture de lui donner mouvement et, au bout d'un certain temps, la cellule qui était paralysée commence à mourir, et parce qu'elle commence à mourir, il y a un mouvement qui arrête : les autres cellules en ressentent les effets.

Tous ceux qui sont en cette cellule aussi en ont ressenti les effets : le mouvement de la vie a fait connaître un mouvement qui s'est éteint.

Lorsqu'il y a une autre cellule qui, elle, connaît la douleur, la douleur causée par la jalousie, il y a le mouvement qui en souffre, et l'être qui souffre veut arrêter cette souffrance, il cherche une solution et la vie lui fait comprendre qu'il n'y a seulement que la Vie qui peut guérir.

Cette cellule est en présence d'un mouvement contre la vie et tous ceux qui sont en cette cellule ressentent cette souffrance et elle aussi, la vie dans tous les êtres humains, ressent ce mouvement de souffrance; lorsqu'il y a ce mouvement dans la cellule, il y a aussi maladie et le mouvement s'interrompt : il y a donc la mort dans cette cellule.

L'être humain a en lui des millions, des millions, des millions, des millions de cellules; qu'une seule cellule tombe malade, elle disparaît, le corps n'est plus parfait, car le mouvement a connu une imperfection : nous sommes ici, nous les humains.

À l'intérieur de nous, nous avons tout reçu dès notre naissance pour vivre une vie parfaite, mais parce que nous avons interrompu le Mouvement de l'amour qui est Jésus, nous sommes devenus des êtres malades à l'intérieur de nous-mêmes.

Chaque cellule nous appartient, elle n'appartient pas à notre prochain, elle est en nous; lorsque nous vivons dans des mouvements qui ne sont pas amour, à l'intérieur de nous des cellules meurent, parce qu'à l'intérieur de nous nous avons la vie, une vie qui ne cesse de se mouvoir en nous, une vie qui ne cesse de se mouvoir dans la vie en Jésus.

C'est Jésus qui nous apporte la nourriture pour chaque cellule que nous avons, parce que chaque cellule est importante pour Dieu, il est le Créateur, il est la Source qui coule en nous et qui nourrit chaque cellule de notre corps.

Une seule pensée contre Jésus est une pensée contre nous; nous faisons mourir des cellules, nous faisons le contraire de la vie : nous arrêtons un mouvement à l'intérieur de nous; nous-mêmes nous choisissons d'arrêter un mouvement dans notre vie en ayant une pensée contre la vie.

Voilà pourquoi aujourd'hui en ce monde il y a tant d'enfants qui souffrent, tant d'enfants qui ne voient pas la vie; il y a des enfants qui refusent la vie parce qu’à l'intérieur d'eux il y a tant de cellules qui sont disparues.

Jésus est vivant, Jésus est la Présence, là où il y a une seule cellule, il y a la vie.

Voilà pourquoi nous sommes encore vivants, parce qu'à l'intérieur de nous Jésus vit dans les cellules; même s’il y a beaucoup de cellules qui sont malades, beaucoup de cellules qui sont disparues, il y a toujours encore la vie.

Le mouvement de vie est en nous parce que Jésus est en nous et il est le Mouvement de vie; faites disparaître Jésus, il n'y a plus de vie.

Jésus, dans l'Évangile, il a dit : «Croyez en moi et vous aurez la vie éternelle.» Si nous croyons en Jésus, nous allons vivre éternellement, rien ne mourra car Jésus est venu en ce monde; Jésus est le Sauveur, est le Messie, il est venu prendre toutes nos cellules malades, empoisonnées, nos cellules mortes à cause de nos refus de vie; lorsque nous faisons un seul mouvement contre l'Amour qui est Jésus, nous faisons un mouvement contre la vie : c'est le péché.

Il est péché de ne pas vouloir la vie, il est péché de ne pas être dans le Mouvement qui est Jésus; nous nous refusons le mouvement de la vie et nous faisons mourir des mouvements à l'intérieur de nous.

Jésus, lui, par sa naissance sur la terre, est venu prendre tout ce qui était vie, tout ce qui est vie, et tout ce qui sera vie, Jésus est l'Éternel.

Lorsque Jésus dit : «JE SUIS», il est le présent, il prend tous mouvements qui sont du passé, du présent et du futur; alors nos cellules qui sont mortes à cause du mal, à cause du refus du mouvement de la vie, elles sont en Jésus, il les prend.

Les mouvements présents, notre vie présente, toutes cellules présentes en nous sont en Jésus, il les a prises, et toutes les cellules qui sont dans notre vie et que nous allons faire mourir à cause de notre refus au mouvement de vie, Jésus les a pris; il a pris tout mouvement, alors nous sommes dans le mouvement de vie.

Nous sommes en tous nos frères et nos sœurs du monde entier, depuis le premier qui est Adam; il a pris tout mouvement en Adam, tous les mouvements il les a pris du premier jusqu'au dernier.

Il a pris tout mouvement d'Adam, il les a pris en lui parce qu’Adam était en Jésus et Jésus était en Adam; il était la Vie, il ne pouvait faire autrement, Adam, que de vivre en Jésus; parce que Jésus est le Verbe, Jésus est la Volonté du Père, et Jésus a fait la Volonté du Père, alors il a pris Adam en lui et nous étions en Adam.

Chaque cellule d'Adam dès le tout début était parfaite; nous étions en lui, nous étions vie, nous étions vrais, nous étions purs en Adam; on était parfaits puisqu'on était en Adam qui était parfait, il (n’)avait pas commis aucun mouvement contre la vie, nous étions vie, nous étions vrais, nous étions en santé, nous étions immortels.

Lorsqu’Adam a désobéi, un mouvement de vie s'est arrêté à Adam : son être parfait est devenu imparfait; nous étions dans cette imperfection parce que nous étions dans chacune de ses cellules; dans ce refus de mouvement, nous étions dans ce mouvement, alors nous avons été nous aussi dans un arrêt : un mouvement s'est arrêté, un mouvement de vie s'est arrêté, alors en nous un mouvement s'est arrêté.

Comprenez que nous étions en lui au moment où il a désobéi à Dieu; il a dit non au mouvement de vie parfait, au mouvement de vie immortel, alors ce mouvement a disparu de nous, notre immortalité a disparu de nous.

Nous avons fait un mouvement contre la Vie, contre l'Éternel, contre la Perfection; nous sommes devenus des êtres avec le péché, le péché originel; nous venions de la perfection de l'Éternel, mais à cause du refus à l'éternité, nous sommes devenus mortels.

Ce péché venait avec nous, voilà pourquoi lorsque nous venons au monde, nous venons au monde avec le péché originel, le péché qui nous a rendus mortels; nous connaissons maintenant la mort, parce que la vie, le mouvement de vie, avait connu un mouvement contre la vie; alors, nous avons en nous ce mouvement : nous sommes maintenant avec la mort; à l'intérieur de nous ce mouvement est, les autres qui sont venus après aussi.

Caïn a fait naître encore un mouvement contre la vie; nombre de cellules (ont) connu la mort parce qu'il a refusé la vie; c'est Caïn qui avait le choix, c'est Caïn qui a dit non au mouvement de vie; à l'intérieur de lui la vie criait l'Amour, mais il n'a pas écouté l'Amour.

Jésus qui était présent s'est fait connaître en Caïn; il était le Mouvement de la vie, il donnait de l'amour à cet être de vie; nous étions en Caïn, nous étions en le mouvement de Caïn; puisque Jésus était le Mouvement et qu'il était en mouvement, il était dans la vie : il vivait Caïn, Jésus était en lui, et nous étions en lui.

Lorsqu'il a tué son frère, il a tué la vie et toutes les cellules de Caïn ont ressenti cet effet; nous avons tous ressenti cet effet en nous; à l'intérieur de nous rentrait la peur, à l'intérieur de nous rentrait la colère, à l'intérieur de nous rentrait la jalousie, à l'intérieur de nous rentrait le mouvement de se défendre contre la vie.

(Il) s'est défendu devant Dieu d'avoir tué son frère; il n'a pas voulu avouer à Dieu ce qu'il avait fait, il faisait naître encore un autre mouvement en lui : il refusait (à) la vie de réparer ce mouvement; c'était contre lui-même qu'il était.

Ce mouvement est aussi en nous; nous étions en Caïn, nous avons souffert de cela, et nous en souffrons encore.

De nos jours, beaucoup tuent parce qu'il y a le mouvement contre la vie; d'autres qui sont venus après Caïn ont connu des mouvements d'arrêts de vie, parce qu'en eux il y avait des cellules qui étaient mortes, en eux il y avait des cellules contaminées, mais Jésus était là, Jésus les tenait toujours en vie.

Beaucoup d'entre eux ont refusé, ont refusé de reconnaître la vie, le mouvement de vie, l'obéissance à Dieu; ils ont refusé de regarder la création de Dieu comme étant pour eux : ils refusaient des mouvements de vie.

Dieu qui regardait tout cela voyait combien l'homme était contre lui-même, contre la vie; toutes ses cellules étaient empoisonnées, il ne pouvait plus écouter la vie en lui qui lui disait de revenir dans le mouvement de l'Amour, il (ne) resta seulement que très peu de vies sur la terre : cette vie était encore en Noé; nous étions en Noé.

Nous étions dans l'espérance, car en lui Dieu guérissait; Dieu tenait en Noé la vie; il y avait des mouvements en lui et il y croyait; Dieu rendait la vie aux cellules qui avaient été contaminées; chaque jour, Noé regardait ce qu'il y avait autour de lui, et il voyait le mouvement de vie; ce mouvement de vie s'harmonisait avec ce qu'il était en lui; il acceptait ceux qui étaient avec lui, mais il ne passait pas ces êtres avant la vie : c'est Dieu la Vie.

Il avait compris que la Vie était en lui et que la Vie était Dieu et qu'il aimait Dieu; Dieu le lui rendait bien, car Dieu guérissait ses cellules, il voyait et il entendait, parce qu'il voulait accepter le mouvement de vie qui était Jésus en lui.

Tout était vivant et il savait que Dieu était plus que lui; il avait compris que la vie, c'était Dieu, que ce n'était pas lui, il était vie en la Vie, il était mouvement dans le Mouvement.

Nous, nous qui étions en Noé nous reprenions vie, nous étions pratiquement morts et, parce qu'un homme, parce que son épouse, ses enfants continuaient à croire en la vie, nous reprenions vie; nous étions dans les cellules qui étaient dans le mouvement de Dieu, car nous étions dans toutes les cellules de la vie.

Dieu est le Mouvement de l'amour, Dieu est la Toute-Puissance.

Lui seul a tout pouvoir sur la mort et la vie, lui seul peut guérir, lui seul peut ressusciter; là où il y a Jésus, là où il y a la vie, là où il y a la maladie, là Jésus est pour guérir; il faut croire à ce mouvement puisque Jésus l'a fait.

Pourquoi Noé, lui, a-t-il été sauvé alors que les autres, non? Parce que Jésus a vu des cellules en lui qui vivaient, il a pris soin toujours de ces cellules : tout était en harmonie avec nous.

Ce mouvement nous a appris à vivre, ce mouvement nous a appris à espérer, à croire en Dieu, à avoir foi en lui; même si nous ne voyons pas, même si nous n'entendons pas, même si nous ne comprenons pas, ce mouvement nous a appris à accepter, à s'oublier, à s'offrir, à tout remettre entre les mains de Dieu.

Oui, Noé a mis sa vie entre les mains de Dieu, il lui a fait confiance, il a écouté la Vie qui lui disait quoi faire et il s'exécutait dans ce mouvement, et ce mouvement a fait qu'il a sauvé sa vie : Dieu a sauvé la vie de Noé, Dieu a sauvé la vie de sa famille, et il nous a sauvés.

Mais l'homme est ainsi : l'homme n'est pas toujours prêt à continuer dans ce mouvement de vie à cause du péché originel; la mort est en lui, toujours cette cellule qui a connu un mouvement contre la vie : chaque cellule est un mouvement.

Ce mouvement n'était plus en Noé, n'était plus en la famille de Noé, c'est avec cela qu'ils ont continué à vivre sur la terre, et c’est avec cela que nous étions en Noé, en sa famille : nous étions dans ce mouvement.

Alors, avec les années, certains hommes, et le nombre est grand, ont fait des actes contre Dieu, contre le mouvement de vie; ils se sont pris pour des dieux, d'autres ont écouté ces hommes qui voulaient se prendre pour des dieux, c'est comme si le mouvement de la vie s'était pris pour Dieu.

Le mouvement, que ces hommes étaient, voulait contrôler la vie, alors qu'ils ne pouvaient pas contrôler la vie parce que la Vie était Jésus; la Volonté était Dieu et Dieu leur a montré.

Dieu a montré à ces êtres qu'il était Dieu; Dieu n'a pas voulu détruire ces hommes, il leur a donné un mouvement : il leur a multiplié la langue afin qu'ils puissent comprendre que ce qu'ils devaient écouter était leur intérieur.

En multipliant la langue, il faisait de ce mouvement un mouvement d'acceptation, un mouvement de vie, un mouvement qui faisait avancer : il nous amenait encore à connaître la vie.

Ce mouvement avait apporté du nouveau à ces hommes : une autre façon d'entendre, une autre façon d'agir, une autre façon de regarder, d'accepter, car chacun devait écouter ce qu'il entendait, mais tout ce mouvement partait de leur intérieur.

Tout était nouveau; ils ne comprenaient plus ceux avec qui ils vivaient, car leur langage n'était pas le même, alors le Mouvement de la vie se faisait connaître à l'extérieur : « Regardez ce que je peux faire, moi la Vie, avec vous qui croyez connaître la vie; c'est moi la Vie, c'est moi qui ai tout pouvoir; j'ai pouvoir sur votre vie.»

Même si ces personnes n'ont pas compris le mouvement de vie qui se passait dans leur mouvement de vie de leur vie, tout s'accomplissait comme la Volonté de Dieu le voulait.

Car Dieu le Père faisait mouvement dans la vie de tous les êtres humains qui étaient sur la terre, afin d'apporter l'amour en ce monde; il devait en être ainsi afin que nous puissions, nous, connaître le Mouvement de la vie qui nous ressusciterait.

Nous étions en chacun de ces gens qui ont eu ce mouvement; nous aussi nous découvrions que le mouvement était à Dieu, que le mouvement ne nous appartenait pas, qu'il faisait partie de la Volonté de Dieu le Père et non pas de notre volonté.

Voilà pourquoi à l'intérieur de nous les cellules commençaient à guérir encore, parce qu’à cause de l'orgueil de ces hommes, des cellules en nous avaient disparu, étaient malades; Dieu reprenait ce qui était à lui : mouvement de vie.

Alors, nous étions encore dans le mouvement de Jésus, la Vie; il nous a amenés encore à connaître d'autres mouvements jusqu'au jour où Dieu a parlé, a parlé de Lumière, a parlé de Vie, a parlé du Sauveur, du Libérateur.

Ces hommes étaient dans le mouvement de la Volonté de Dieu; ils entendaient la Vie qui se mouvait en eux et ils répétaient ce que la Vie voulait qu'ils répètent; ils étaient dans ce mouvement, ils connaissaient, ces êtres, un mouvement de vérité, de lumière, afin d'en parler.

Comment Isaïe aurait-il pu parler du Rédempteur, si ce n'est que le Rédempteur lui-même faisait mouvement en lui? Tout était mouvement en Isaïe, et nous étions en lui; nous n'étions pas en dehors de la vie d'Isaïe, nous aussi nous prenions connaissance du Rédempteur, du Sauveur, de la Promesse.

La Lumière en ce monde se faisait connaître à l'intérieur de nous; les cellules étaient en mouvement de vie devant la Lumière; tout se faisait dans l'harmonie pour nous amener à connaître d'autres mouvements.

Il fallait que ce mouvement se fasse; il fallait que d'autres mouvements se fassent connaître en Ézéchiel, en Daniel, en Tobie; tout cela était vie, c'est le mouvement qui prenait son cours pour nous amener là où nous sommes; nous étions le mouvement, nous étions la vie en tous ces êtres : ils nous apprenaient le mouvement de vie.

Lorsque Jésus est venu au monde, le Mouvement se faisait voir, se faisait prendre par le mouvement parfait de Marie : Marie était le mouvement de l'Amour, de la Perfection.

Aucun mouvement en Marie n'avait connu l'interruption, aucun; Marie était parfaite dans son mouvement, elle était le mouvement de la Perfection du premier mouvement : la vie; elle n'avait point écouté la désobéissance.

Marie était en Adam, elle était la vie, elle était le mouvement en Jésus, et Jésus se mouvait en elle avec une telle perfection qu'elle ne refusait rien à ce Mouvement; elle se réfugiait en ce Mouvement, elle s'oubliait en ce Mouvement, elle s’offrait en ce Mouvement, elle nous offrait continuellement : il nous donnait continuellement.

Voilà pourquoi aucune cellule n'a été interrompue en Marie, elle était la Mère digne de recevoir le Mouvement de vie; elle était l'être parfait de l'obéissance en tout, car Dieu avait regardé et Dieu avait vu la perfection, l'obéissance en Marie; alors, Dieu fit de Marie un mouvement parfait : elle était le mouvement du Mouvement.

Alors lorsqu'elle est venue en Adam par le Mouvement de la vie, rien ne pouvait atteindre Marie, elle était enveloppée de la Divine Volonté, la Volonté de Dieu en tout, la perfection de Dieu en tout : elle avait refusé sa volonté humaine.

Pas un seul instant, en la vie de Marie, elle a usé de sa volonté humaine, pas un seul instant, et Dieu vit cela, et Dieu se complaisait en elle, il était tout amour, car il était amour pour elle, elle était amour, voilà pourquoi Marie prit dans ses bras le Mouvement de la vie, mais elle se sentait petite devant cette grandeur.

Elle reconnaissait qu'elle était humaine, elle reconnaissait sa petitesse; la faiblesse de l'être humain, elle le savait parce qu'elle nous avait portés; elle nous avait offerts, donnés.

Alors, elle respectait son Dieu et, avec une telle délicatesse, elle adorait son Dieu; avant même de lui donner son amour d'une maman, elle adorait son Dieu; elle passait son Dieu avant l'Enfant de chair qu'elle portait dans ses bras : tel était le mouvement de la vie, telle était la perfection de la vie en Marie.

Elle a vu son Enfant qui a vieilli et elle a respecté son Enfant qui s'amusait avec les autres, qui devait grandir avec les autres; elle respectait tout cela Marie bien qu'elle savait qu'il était Dieu; elle offrait tout par amour parce qu'elle était dans le Mouvement de vie, et le mouvement de vie devait respecter la Volonté de Dieu le Père en tout.

Voilà pourquoi elle s'est exécutée en tant que Mère sur la terre comme toute mère sur la terre; telle était la Volonté de Dieu afin que la mission de son Fils soit au moment où Dieu le Père le voulait.

Nous étions en Marie, Marie était dans le Mouvement de vie et nous étions dans toutes les cellules de Marie, malgré que nous étions imparfaits; malgré qu'à l'intérieur de nous nous avions des cellules qui étaient paralysées, malades, même des cellules qui étaient mortes : nous étions des êtres si imparfaits, elle acceptait tout et sa souffrance, elle l'acceptait; elle voyait la souffrance en son Enfant et elle acceptait cette souffrance comme étant la sienne, parce qu'elle avait tout accepté Marie, elle avait accepté de vivre la vie en tout.

Elle ne pouvait pas vivre la Vie de Jésus, mais elle participait à tout ce que Jésus vivait; elle était la Mère de la Douleur, notre Mère; elle faisait de nous des enfants qui devaient faire des mouvements en la vie et accepter de se regarder tels que nous étions parce qu'elle nous avait portés; elle connaissait tout de nous, car Dieu lui avait donné ce don : tout était en elle.

Marie était amoureuse de ce que nous sommes, voilà pourquoi aujourd'hui, lorsque nous nous regardons avec nos défauts, nous ne nous détruisons pas : nous acceptons les grâces de Dieu; lorsque nous acceptons les grâces de Dieu, nous acceptons que Marie soit notre Mère, nous acceptons les supplications de notre Mère pour nous, nous acceptons la protection de Marie qui nous a protégés contre les attaques de Satan qui voulait nous détruire en utilisant le mal en nous afin que nous puissions faire des mouvements contre la Vie, contre notre vie.

Nous étions tous en Marie et lorsque nous acceptons les grâces, nous acceptons notre Mère, nous acceptons ses incessantes intercessions auprès de la Trinité; nous nous laissons plonger dans le Mouvement de vie parce que nous avons vécu dans le sein de Marie, dans la perfection du corps de Marie : dans chacune de ses cellules; tout était parfait, voilà pourquoi aujourd'hui nous sommes ici : nous sommes la vie.

Lorsque Jésus a prêché, lorsque Jésus a parlé à ses apôtres, il a parlé de la vie, il a parlé de la lumière, il a parlé de son Père, il a parlé de notre conduite, il a parlé de ce que nous, nous étions, il a parlé de ce que nous étions pour devenir.

Jésus est le Mouvement de la vie et nous avons été en les apôtres : nous avons, nous aussi, été dans ce mouvement de vie; nous ne pouvions pas nous boucher les oreilles, nous étions vie; même si à l'intérieur de nous il y avait des mouvements qui avaient refusé la vie, il y avait la vie, il y avait des cellules vivantes, il y avait des mouvements vivants, parce que Jésus était en nous, il ne cessait de nous tenir en vie par sa Présence.

Alors, les apôtres ont accepté, ont cru, ils ont été dans ce mouvement de vie, nous avons été dans ce mouvement de vie; ils ont formé le Corps du Christ, ils ont été les premiers membres actifs de l'Église vivante, celle qui devait faire de nous des temples de vie pour recevoir le Corps et le Sang du Messie, du Sauveur : Nourriture incessante de toute vie, de bonheur, la vie éternelle; à l'intérieur de nous, un mouvement se faisait connaître : un mouvement éternel.

Adam, par sa désobéissance, avait refusé le Mouvement de la vie; il avait désobéi à Dieu, et sa vie connut la mort; à la naissance de Jésus, Jésus a tout pris : tout mouvement, du premier jusqu'au dernier de la terre, et il l'a fait sien.

Lorsque Jésus a parlé à ses apôtres, lorsqu'il a institué le sacrement du Baptême, il venait annoncer à la vie, au mouvement, que la vie éternelle reprenait mouvement : tout cela était en nous; nous étions en les apôtres, nous étions dans un mouvement de vie : les apôtres ont cru en Jésus.

Lorsque Jésus s'est fait baptiser par Jean le Baptiste, il a démontré qu'il était la Vie, qu'il était l'Envoyé du Père, le Fils bien-aimé de Dieu le Père, et la vie reconnut la Vie : Jean Baptiste a reconnu son Dieu, son Sauveur, puisqu'il avait prêché sa venue en criant dans les cœurs de se préparer.

Il a reconnu son Dieu, son Sauveur; il en était indigne, et il l'a aimé jusqu'à la mort parce qu'il se savait être dans la vie éternelle : nous étions en Jean le Baptiste; un mouvement de vie s'est fait en nous à cet instant : nous avons reconnu que la vie éternelle était devant nous, nous avons reconnu que nous avions droit à la vie éternelle même si nous en étions indignes à cause des cellules mortes en nous, à cause des mouvements morts en nous.

Ce mouvement qui était en Jean le Baptiste faisait naître en nous un mouvement, un mouvement de vie éternelle; alors, lorsque Jésus a été baptisé, il a été baptisé par Dieu, il nous portait tous : nous étions tous en Jésus.

Lorsque Dieu le Père témoigna qu'il était la Vie éternelle, qu'il était celui qui devait nous emmener à la vie éternelle, il mettait en nous ce besoin d'aller vers lui dans la vie éternelle : il se faisait connaître, il se donnait à nous encore.

Dieu le Père, par le Fils, redonnait la vie éternelle à chaque mouvement qui avait refusé son mouvement de vie : l'éternité nous était offerte, à tous ceux qui accepteraient son Fils; il fallait, nous qui sommes aujourd'hui dans le Mouvement de vie, que nous acceptions la vie de la Vie.

Alors, les apôtres ont été témoins, et ils ont cru; ils ont suivi la Vie, ils ont entendu la Vie, ils ont été témoins que la Vie ressuscitait la vie, ils ont été témoins que la Vie guérissait la vie; les apôtres ont été dans ce mouvement et nous étions dans ce mouvement : nous étions présents en eux.

D'autres cellules en nous qui étaient malades, paralysées, engourdies par les faussetés, par les erreurs, reprenaient vie, guérissaient, nous donnaient la force d'aller vers Jésus; il fallait que ce mouvement soit afin que nous puissions dire : "Oui, je crois en toi Jésus, je crois en la vie éternelle; je suis, moi, dans le mouvement de la vie, et je veux la vie éternelle; j'accepte tout cela parce que je vois, parce que j'entends, parce que je suis témoin de guérisons” : nous étions en les apôtres.

Ce Mouvement de vie est en nous, voilà pourquoi aujourd'hui nous croyons en Jésus sans avoir vu de nos yeux extérieurs ce que Jésus a fait parce que le mouvement est à l'intérieur, la vie est à l'intérieur.

Le mouvement de vie, c'est nous à l'intérieur, voilà la vie, voilà le mouvement de la vérité, de la foi : c'est en nous; la foi est en nous; la foi, c'est vivant, c'est un mouvement de vie : il nourrit l'être que nous sommes à l'intérieur de nous.

Si, aujourd'hui, nous avons encore des cellules qui manquent de (mouvement de) foi, si encore nous avons des cellules qui s'interrogent sur la foi, c'est parce que nous connaissons la foi, parce que ces cellules qui sont malades sont sous l'influence des cellules qui sont guéries par ce mouvement.

Voyez-vous combien Dieu est vivant? Un mouvement apporte un autre mouvement, d'autres mouvements apportent d'autres mouvements, ces mouvements nous apportent d'autres mouvements; pas un seul instant, dans notre vie, (nous) n'avons pas été en mouvement dans le mouvement de Jésus, pas une seule fois : nous sommes vivants, nous sommes vrais.

Si des cellules sont mortes en nous, il y a des cellules vivantes encore; s'il y a des cellules paralysées, il y a des cellules encore vivantes en nous qui font mouvement dans la vie de Dieu; si des cellules en nous sont malades, il y a des cellules qui, elles, sont en pleine santé et elles nous font mouvoir dans la vie de Dieu, dans le mouvement de la vie.

Voilà pourquoi nous avançons, voilà pourquoi nous faisons des mouvements de vie : pour faire d'autres mouvements de vie qui nous emmènent dans d'autres mouvements de vie, qui vont nous faire voir d'autres mouvements de vie, afin d'atteindre le mouvement éternel qui ne s'arrêtera jamais.

Nous sommes la vie en le Corps de Jésus, nous sommes l'Église; l'Église est vivante, il n'y a pas d'interruption en l'Église; ceux qui ne voudront pas croire en Jésus vont laisser leurs cellules mourir, et ils vont totalement disparaître.

Jésus nous parle à l'intérieur de nous, il est le Mouvement de la vie; il guérit des cellules qui ont refusé d'entendre, il guérit de cellules qui ont manqué de foi, il guérit des cellules qui ont douté, il guérit des cellules qui ont eu peur, il guérit des cellules qui ont refusé d'avancer, il guérit des cellules qui ont mis un arrêt à la Volonté de son Père : voilà ce qu'il fait Jésus en ce moment même.

Nous sommes le mouvement en le mouvement de Jésus et Jésus est dans le mouvement de la Volonté de son Père; Dieu le Père est le Mouvement, il met (le) mouvement en nous par la puissance du Saint-Esprit pour que nous puissions entendre le mouvement à l'extérieur de nous-mêmes.

Dieu est la Volonté, Dieu est la Divine Volonté, à lui seul de faire mouvement de vie, à lui seul de choisir quand nous faire entendre le Mouvement de la vie, à lui seul de choisir qui va entendre le Mouvement de la vie, parce qu'il connaît ceux qui ont accepté ce mouvement dans le mouvement de son Fils, et il connaît tous ceux qui ont dit oui à son Fils.

Puisque Dieu a choisi Marie pour être la Mère du Messie, puisqu'il a vu en Marie l'obéissance en sa Volonté avant même qu'elle soit en ce monde, puisqu'il a vu en Marie le mouvement de la vie qui acceptait tout, il a vu en nous, il a vu en chacun de nous ce mouvement : nos mouvements étaient en Adam, nos mouvements étaient en Noé, nos mouvements étaient en les prophètes, nos mouvements étaient en les Apôtres, nos mouvements étaient en les autres prophètes.

Est-ce que Bernadette, qui a vu Marie, n'a-t-elle pas répété les paroles de Marie? Elle a donné le message que Marie lui demandait de dire : elle a été une prophète pour nous de notre temps, et l'Église l'a reconnue.

Lorsque Juan Diego a répété les paroles de Marie, n'était-il pas prophète? Il venait de répéter ce que le Ciel voulait qu'il répète; c'était la Volonté de Dieu, non la volonté de Marie, mais la Volonté de Dieu; tout comme Moïse, tout comme Isaïe, tout comme Isaac, tout comme Ézéchiel, tout comme Joseph, tout comme Daniel, tout comme les Apôtres, ils ont répété ce que Jésus leur a dit : Marie, obéissante, a fait la Volonté de Dieu en tout.

Padre Pio, prophète de notre temps, du vingtième siècle, l'a vécu avec nous, au même moment que nous : prophète reconnu par l'Église, alors il a été dans le mouvement de la vie; il a accepté le mouvement de la vie afin que nous puissions, nous, être le mouvement de la vie en la Vie, afin que nous puissions voir et entendre ce que nous voyons et entendons, (et) accepter en tout la Volonté de Dieu, pas des hommes, de Dieu : à Dieu seul de nous faire connaître sa Volonté.

Padre Pio (ne) nous a pas parlé avec sa volonté humaine, Bernadette Soubirous n'a pas parlé avec sa volonté humaine, Juan Diego n'a pas parlé avec sa volonté humaine, ils étaient enveloppés par la puissance du Saint-Esprit afin de faire sortir d'eux la vie, la vie qui est celle de Jésus, non pas leur vie; puisque leur vie était dans le mouvement de Jésus, ils étaient dans la mouvance de l'Amour afin d'être vivants.

Une cellule qui est dans le mouvement de Jésus est vivante, mais une cellule qui n'est pas dans le mouvement de Jésus n'est pas vivante.

Lorsque vous écoutez une personne qui parle alors qu'elle n'est pas en Jésus, vous écoutez une cellule morte, vous écoutez une cellule qui empoisonne vos cellules; tout mouvement ne peut venir que de Dieu, tout mouvement n'est que la Volonté de Dieu en tout : tout ne doit être que Dieu.

Il est bon de se rappeler que nous sommes vivants encore et que Jésus prend soin des cellules que nous sommes, afin de nous montrer que nous sommes vivants; nous sommes la vie, nous sommes l'Église, nous sommes vivants en l'Église.

Tant qu'il y aura des cellules vivantes en nous, nous aurons la vérité devant nous, nous aurons la lumière devant nous qui (ne) vient que de Dieu, nous saurons reconnaître ce qui vient de Dieu parce que cela viendra de notre intérieur et non pas de notre extérieur.

Marie a vécu sur la terre en la Divine Volonté, non pas dans sa volonté humaine : Marie était vivante; Marie est vivante et Marie sera toujours vivante; à nous d'imiter Marie en allant, à l'intérieur de nous, reconnaître la Vie; ne nous laissons pas prendre par les pièges de Satan.

 

Jésus : Enfants d'amour, vous êtes à moi; vous êtes vie parce que je vous fais vie; vous êtes mouvements parce que je suis le Mouvement; je vous fais mouvements, je vous apporte nourriture, je vous apporte la vie, afin que vous soyez vous-mêmes témoins de la Vie, tels mes apôtres; vous êtes les apôtres des derniers temps avant mon retour en Gloire : je vous prépare à ce mouvement; avant ce mouvement, il va falloir que vous connaissiez d'autres mouvements qui vont vous apporter à ce mouvement.

Allez dans la paix de Dieu.

 

Questions :

 

Q. : Dans mon côté humain, je ne comprends pas. Quand votre lumière luit-elle par des gestes de lumière? Quand je vois le Cœur du Seigneur Jésus qui devient blanc de lumière plutôt qu'être rouge comme d'habitude, et qui bat et que le mien débat, c'est pareil comme si je serais pour faire une crise cardiaque, est-ce mon cœur qui est malade ou vous utilisez mon cœur pour y rentrer votre Parole? Je voulais le demander à l'Esprit Saint.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chaque enfant de Dieu est un mouvement de Dieu, chaque enfant de Dieu se laisse prendre par la Volonté du Père; lorsqu'il répond oui à la Volonté du Père, le Père réagit à son Fils.

C'est le Fils, qui est en chacun de nous, qui fait le mouvement de la vie, qui est la Présence; Dieu le Père passe par le Fils pour venir à nous, afin que nous puissions comprendre que nous sommes vie en son Fils, seulement qu'en son Fils.

Nous ne pouvons pas voir l'agir de Dieu le Père en passant par notre volonté humaine, il n'y a que le Fils qui puisse voir le Père, être en le Père, et nous, nous acceptons de mourir en Jésus.

Jésus prend la vie en nous et il fait mouvement à l'intérieur de nous pour nourrir notre âme; c'est notre âme qui voit les grâces que Jésus nous donne pour nourrir notre vie spirituelle, afin que nous puissions nous donner encore plus à son Père.

Tout cela peut être dans notre vie à l'extérieur par la puissance du Saint-Esprit; c'est le Saint-Esprit qui nous enveloppe, c'est le Saint-Esprit qui fait que nous puissions être témoins de ce que Jésus fait à notre âme; c'est comme si nous voyions avec les yeux de notre âme, c'est comme si nous étions en présence même de l'amour de Jésus pour notre âme; il le fait dans des moments d'abandon, dans les moments où nous avons besoin de se donner encore plus.

Lorsqu'un seul d'entre nous, (nous) ouvrons une porte à l'intérieur de nous afin que la Vie puisse prendre toute la place, Dieu agit; voilà pourquoi il y a des personnes qui, aujourd'hui, voient, entendent, sans comprendre de mots; ils entendent la Volonté de Dieu, comme si cela leur était adressé avec des mots qu'ils peuvent entendre avec leurs oreilles.

Tout est dans la Volonté de Dieu pour n'être que présent; Jésus agit au présent pour nous-mêmes en ce temps d'amour; il est important de s'abandonner dans la Volonté de Dieu le Père, afin qu'il puisse aller rejoindre nos frères et nos sœurs qui sont à l'intérieur de nous et qui ont besoin de voir et d'entendre.

Certaines personnes qui, elles, ne pratiquent pas, qui se disent même athées, voient; c'est parce qu'à l'intérieur d'(elles), il y a une porte ouverte à connaître la vérité, à voir ce qui est vraiment vrai dans (leur) vie; (elles) veu(lent) aller plus loin que (leur) volonté humaine parce qu'il sait qu'il y a quelque chose de plus; alors, Dieu se sert de nous, qui sommes ses instruments d'amour, qui sommes abandonnés entre ses mains, pour leur apporter la lumière.

Il y a de l'amour dans le cœur des enfants qui s'abandonnent, voilà pourquoi on peut voir avec l'âme ce que Dieu attend de toi.

Il n'y a que l'abandon qui fait de nous des êtres qui voyons et qui entendons; sans l'abandon, nous demeurons dans notre état humain avec nos propres convictions, avec nos propres pensées, avec ce que nous avons en nous et qui est blessé.

La volonté humaine peut gérer notre vie, elle nous apporte des réponses, mais elle ne donne pas la paix; ces réponses sont toujours vides de grâces, nous en ressortons avec plus de blessures; voilà pourquoi il est important de se donner à Dieu.

Si nous qui sommes témoins de l'agir de Dieu, si nous qui croyons, qui prions, nous voyons l'agir de Dieu, c'est parce que nous nous abandonnons entre ses mains en passant par les grâces du sacrement de la Pénitence et par les grâces du sacrement de l'Eucharistie.

Si nous voulons vivre l'Évangile, être vrais, et nous disons voir, alors que nous rejetons les sacrements de la Pénitence et de l'Eucharistie : nous voyons ce que Satan veut que nous voyions.

Celui qui se dit voir, alors qu'il ne connaît pas Dieu, alors qu'il cherche la vérité, qu'il est sincère à l'intérieur de lui, qui n'est pas faux, qu'il ne cherche pas à se vanter, qui ne cherche pas à nourrir son orgueil, qui ne cherche pas à nourrir son intelligence intellectuelle, celui-là, Dieu se révèle à lui pour l'attirer à lui parce qu'il est comme un bébé, un tout petit enfant qui cherche Dieu; il ne sait pas qu'il cherche Dieu, mais Dieu sait qu'il cherche la vérité, la lumière; là, Dieu agit.

Nous devons être comme des enfants puisque dans l'Évangile de Jésus, Jésus a dit à ses Apôtres : «Celui qui veut être près de moi dans le Royaume de mon Père doit être comme un enfant.»

Alors, il est le Royaume de Dieu le Père, Jésus, et nous nous tenons comme un enfant prêt à recevoir la vérité qui vient de Jésus, prêt à voir la Lumière qui est Jésus; Dieu le Père accepte parce que c'est Jésus qui connaît l'enfant et qui supplie son Père d'avoir pitié de lui : Jésus est amour, Jésus est plein de tendresse.

Nous devons nous donner pour nos frères et nos sœurs; il nous apprend à tout accepter, à vivre de ses grâces, afin que d'autres qui sont à l'intérieur de nous puissent chercher la vérité, que la vérité qui vient de Jésus.  Merci.

 

Q. : L'enseignement qu'on a eu sur les cellules était très éclairant, mais il y a des jours, lorsqu'on voit plus les cellules malades que les cellules guérissantes, que les cellules qui sont bien, et puis, de ce temps-là je vois beaucoup de témoignages autour de moi, ou est-ce que le mal sort beaucoup surtout parmi nos enfants? Des fois, on dirait que les cellules malades sont entourées, sont comme envoûtées par le mal, et que le mal sort terriblement, on sait plus comment faire; on sait comment agir, et on abandonne ça au Seigneur, mais on trouve que ça prend du temps.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il était une fois un tout petit garçon qui regardait à travers une vitre; il voulait atteindre l'objet qui était devant lui; alors, il tendit les bras et il frappa la vitre, mais son désir d'atteindre cet objet était toujours en lui, il le voulait cet objet.

Alors, il se demanda : "Comment atteindre cet objet puisqu'il y a un empêchement devant moi; je vois, mais je ne peux pas le tenir dans mes mains; je vois et je ne peux pas le serrer sur mon cœur, l'aimer à chaque jour; je vois et je me sens comme impuissant devant mon besoin d'avoir cet objet"; alors, Dieu fit comprendre à l'enfant qu'il avait devant lui sa volonté humaine; la vitre était sa volonté humaine.

Il voulait bien faire tomber la volonté humaine, mais comme cela lui faisait du tort, Dieu mettait dans sa vie des mouvements d'amour pour lui, afin de lui faire comprendre qu'il était le seul à choisir s'il voulait s'abandonner entre les mains de Dieu : Dieu lui parlait, Dieu le nourrissait du Corps de son Fils, du Sang de son Fils.

Dieu savait qu'il avançait, Dieu voyait que ses mouvements étaient de plus en plus patients, malgré son impatience; Dieu savait que son Fils transformait de l'intérieur son être, afin de redonner vie à ce qu'il avait fait mourir à cause de sa volonté humaine.

Dieu connaissait cet enfant, Dieu l'aimait tendrement, il lui donnait tant d'amour; il ne cessait de le regarder, de l'aimer; sans cesse son Fils se donnait pour lui avec amour; il ne se rendait pas compte, lui, que la vitre s'amincissait; il ne réalisait pas combien Dieu agissait dans sa vie.

Dieu savait qu'il pensait à l'objet qui était devant lui, à l'amour, à la fidélité, à l'obéissance, à la pureté, à la vérité, c'était l'âme de ceux qu'il aimait; il voulait atteindre l'âme de ce tendre enfant, l'âme de ses frères et de ses sœurs.

Dieu lui montrait qu'il devait tout lui abandonner, jusqu'au jour où il n'y aura plus de volonté humaine, plus de vitre, là, c’est à ce moment-là, qu'il comprendrait que ces enfants et ceux qu'il aime n'appartiennent qu'à Dieu le Père, pas à cet enfant qui regardait à travers la vitre.

S'il a appris qu'il était incapable d'aider, c'est parce que Dieu lui a montré sa volonté humaine; Dieu lui a fait vivre la force qu'il prenait pour aider Dieu à amener ces enfants, ces êtres d'amour, à aimer Dieu le Père.

Dieu nourrissait cet être, par son Fils, d'abandon pour lui dire : «Tu n'es pas Dieu, c'est moi Dieu le Père, à moi de nourrir du Corps et du Sang de mon Fils tous les enfants que j'ai choisis pour vivre éternellement auprès de moi; ta volonté humaine ne peut pas apporter à l'âme ce que mon Fils peut apporter, il faut être patient, ce que tu ne vois pas, c'est ce qu'il y a devant tes yeux.

Si tu ne vois pas ce qu'il y a devant tes yeux, comment peux-tu prétendre vouloir aider ceux que tu aimes? Il faut commencer par toi; c'est par toi que je passe : mouvement tu es et mouvement tu seras.

Tu es venu au monde, et à l'instant où tu es venu au monde, un mouvement d'amour s'est rajouté aux autres mouvements d'amour, afin d'amener ces mouvements vers l'éternité; et chaque enfant qui est venu au monde après toi est à Dieu, et ce n'est seulement que Dieu qui va faire mouvement de vie pour qu'il vienne auprès de moi pour l'éternité.

Tu ne vois pas l'agir, tu ne vois pas ce que moi je vois et, pourtant, cela est devant toi; lorsque tu regardes une enfant pleurer, lorsque tu regardes une enfant se droguer, lorsque tu regardes une enfant blasphémer le nom de mon Fils, ce que tu vois, c'est le mouvement qui a dit non à Dieu le Père; c'est ce que tu vois, mais tu ne le comprends pas; ce que tu comprends, c'est ta douleur à toi qui t'habite; tu vis la peur de savoir qu'ils ne sont pas encore dans le mouvement de la résurrection.

Dieu va ressusciter tous les enfants qui ont eu des mouvements contre la vie; chaque mouvement apporte d'autres mouvements; si ton mouvement apporte la vie, il l'apporte aussi aux autres, il n'y a que mouvement de vie en Dieu.

Croire en Dieu le Père, c'est croire en mon Fils; croire en mon Fils, c'est croire à la vie éternelle.

Petit être d'amour, tu n'appartiens qu'à Dieu et tous les autres n'appartiennent qu'à Dieu; ne t'inquiète pas, reçois les grâces de paix, reçois les grâces de foi en ma toute-puissance; puisque je t'ai mis au monde, puisque j'ai mis ceux que tu aimes au monde, à moi de prendre tout pour vous amener à moi.

La puissance n'est qu'à Dieu, je suis la Puissance.»

Nous devons avoir confiance en Dieu le Père, il nous a donné son Fils; il nous a donné son Fils pour chacun de nous, il est la Vie.

Il n'y a que par le Fils que nous allons être heureux; si nous sommes malheureux à cause de nos enfants qui ne pratiquent plus, à cause que nos enfants connaissent l'infidélité au sacrement du Mariage, à cause que nos enfants ont rejeté la religion catholique, n'est-ce pas parce que nous nourrissons notre propre manque de confiance envers Dieu le Père qui a donné son Fils pour sauver tous les enfants du monde? Dieu nous parle afin que nous puissions avoir confiance en lui.

Ne faisons pas comme ceux qui ont manqué de foi envers Jésus, qui n'ont pas cru en lui et aujourd'hui ne connaissent pas la vie éternelle.

Nous sommes croyants, nous sommes vrais, nous sommes vivants, nous croyons en Jésus : soyons total, soyons vrais avec nos blessures à l'intérieur de nous, avec toutes nos cellules mortes, malades, engourdies, paralysées.

Nous devons avancer et avoir foi que Dieu est en train de transformer l'être d'amour, malade, que nous sommes en être d'amour vrai, vivant, agissant en Jésus, que par Jésus, pour la plus grande Gloire de Dieu le Père.

Nos enfants appartiennent à Dieu, ne nous appartiennent pas; nos enfants sont venus au monde par le Mouvement de la vie et le Mouvement de la vie n'est pas nous, il est Dieu.

Laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Aimons tendrement nos enfants avec les grâces de Dieu et remercions Dieu d'aimer avec son amour, parce que si nous aimons nos enfants à en pleurer sur leurs fautes, n'est-ce pas parce que nous recevons des grâces d'amour de Dieu? Dieu veut que nous nous attendrissions sur nos enfants par la prière.

Nous avons perdu cela; aujourd'hui, la Sainte Vierge nous rappelle sans cesse : «Priez avec le cœur, ayez foi en vos prières»; là est notre place : en le Cœur de Marie pour aller au Cœur de Jésus, vivre cela dans l'amour.

L'amour est un mouvement de vie; il nous est donné pour aimer nos enfants, pas les contrôler, pas vivre leur vie, pas vivre leur incertitude, leur infidélité, Jésus a pris cela; laissons cela à Dieu, parce que si nous voulons vivre cela dans l'inquiétude, nous récoltons ce que nous ressentons, nous ne donnons pas à Jésus notre souffrance de parents.

Marie a vu son Fils souffrir à cause des péchés du monde; elle n'a pas gardé cette souffrance pour elle, elle l'a donnée à Dieu, Dieu le Père : «Votre Volonté, non ma volonté; votre amour avant tout, parce que mon amour vient de votre amour; à quoi servirait mon amour s'il ne se donne pas à votre amour? Mon amour serait un amour blessé, un amour contrôlable, dominateur, calculateur, un amour qui serait déchiré à chaque instant.»

Le Coeur de Marie est un cœur pur, vrai, rempli de l'amour de Dieu; voilà pourquoi le Cœur de Marie est ouvert pour nous accueillir, parce que son amour est vrai; il est pur son amour, c'est l'amour de Dieu, ce n'est pas un amour humain, alors laissons à Dieu de faire de notre amour un amour de son amour.

L'amour des humains est un amour qui pleure trop souvent, tout est à Dieu.

Ce que nous entendons, ce sont des paroles qui guérissent notre intérieur et qui guérissent l'intérieur des autres enfants de Dieu; ce n'est pas pour rien que Dieu nous réunit ici tous ensemble, nous sommes des instruments entre les mains de Dieu : à Dieu de se servir de ses instruments.

L'instrument, lui, n'a pas la vie, c'est Dieu qui donne la vie à l'instrument, alors laissons à Dieu l'être que nous sommes; nous sommes tous des instruments entre les mains de Dieu pour ceux que Dieu veut à lui; Dieu connaît tous ceux qui vont aller à lui, pas un seul ne sera perdu.

Lorsque Dieu le Père, lorsqu'il a donné son Fils, il savait tous ceux qui étaient pour répondre oui à son appel, il savait aussi tout ce qu'ils étaient pour vivre afin de répondre à son appel.

Dieu a fait des mouvements afin de nous amener là : il a dû passer parfois par des maladies, il a dû passer par le vide.

Cela veut dire que certains ont la foi, mais c'est comme s'ils vivaient cette soif d'amour qu'ils ne peuvent pas saisir, ce besoin de se donner alors qu'ils ne ressentent rien, parce que Dieu savait qu'ils aimaient sans condition Dieu, alors il leur donnait de l'amour.

Les voies de Dieu sont impénétrables, à nous de les vivre comme des tout petits enfants.

 

Dieu : Amours, amours, je vous aime; amours, amours, vous êtes à moi.

Rien n'est oublié afin que vous soyez à l'écoute de Dieu.

Je vous aime.