Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
 

2011-12-11 – A.M.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C'est la grâce du Seigneur qui nous amène à écouter notre cœur. Le Seigneur veut que nous soyons en sa présence.

Combien de moments avons-nous dans notre vie pour entendre le Seigneur? Vous allez retourner chez vous et vous allez affronter des tempêtes et elles seront dans votre quotidien. Lorsque vous sentirez un vent de colère, comment allez-vous réagir, alors qu'elle vient doucement vous prendre, alors que sans vous en rendre compte vous êtes entrés dans cette colère? Vous n'avez rien vu, vous n'avez rien entendu, vous n'avez rien ressenti qu'au moment où elle vous a frappés en plein visage; et là, des mots sortent de vous, votre regard se durcit, votre écoute se ferme à l'amour. Vous êtes dans un sentiment incontrôlable et plus vous avancez dans cette tempête, plus vous êtes projetés par terre, et là, vous écoutez les vents extérieurs qui sont provoqués par votre propre tempête intérieure. Qui peut vous aider à ce moment-là? La Vierge Marie, la Vierge Marie, la Vierge Marie.

Satan va faire surgir des tempêtes, mes enfants. Afin que vous puissiez aider vos frères et vos sœurs, il va falloir être doux et humbles. Et qui est doux et humble si ce n'est le Fils de Marie, la Vierge des vierges? Car ces tempêtes se multiplieront. Lorsque vous regarderez votre prochain et lorsque vous penserez que votre prochain, lui, n'est pas dans la tempête, mais vous, là sera un danger. Lorsque vous sentirez que vous êtes diminués et que vous n'êtes pas à la hauteur, qui vous dira que vous êtes dans une tempête? Maman Marie, elle vous le dira. Vous aurez besoin de prier; même si vous n'avez pas le goût de prier, priez. Demandez l'aide à vos anges gardiens, demandez-le dans les moments où la tempête sera passée. N'attendez pas qu'une autre arrive. Certains d'entre vous ont passé par des tempêtes dans les jours précédant ce jour et Satan se sert de nos faiblesses.

Nous avons accepté d'être les derniers, n'est-ce pas? Alors, qu'il en soit ainsi. Satan va nous attaquer et Dieu va nous donner de la force, mais, à des moments, on aura l'impression de ne plus avoir de force, on va avoir l'impression qu'on est délaissés par Dieu. Ne nous inquiétons pas, Maman Marie veille sur nous. Tout cela se passe et se passera encore dans notre vie. Ce temps d'abandon nous fera découvrir notre miséricorde. Nous serons sur la croix, une croix de souffrance.

Regardons-nous aujourd'hui. Nous entendons notre Dieu parler à travers les instruments que moi et Nicole sommes. Et lorsque je partirai d'ici ainsi que Nicole, vous n'entendrez pas parler votre Seigneur dans votre cœur, mais il sera toujours là. Il continuera à vous parler, mais vos tempêtes vous empêcheront de l'entendre. Alors, rappelez-vous de ces instants, rappelez-vous de ce que le Seigneur nous a dit au moment de l'adoration. Vous savez très bien que lorsque j'ai les yeux ouverts, ce n'est pas de moi que sortent ces paroles, mais du Saint-Esprit. Lui seul sait ce que vous êtes, en ce moment même, en train d'emmagasiner pour que vous partiez d'ici avec guérisons et libérations.

La Mère de Dieu nous a demandé de faire des 'Je vous salue Marie' lorsque nous sommes en critique. Est-ce que vous faites vos 'Je vous salue Marie' lorsque vous critiquez? On oublie facilement, hein? Maman Marie le sait. Elle nous rappelle, comme une bonne Maman, que nous devons faire nos 'Je vous salue Marie' à la moindre critique. Elle nous a demandé aussi de nous protéger. Il faut croire en ce que nous avons fait : porter la médaille miraculeuse. Oui, nous l'avons fait, nous l'avons portée sur nous, mais il est bon de temps en temps, hein, de lui dire : "Merci, merci Maman pour ta protection." On l'appelle la médaille miraculeuse. Elle n'a pas encore perdu son pouvoir, c'est nous qui avons perdu notre confiance en cette médaille. C'est le Ciel qui guérit, Dieu qui libère, pas la médaille, mais il sait, lui, comme des tout petits enfants, que nous avons besoin de nous rappeler ce qu'il fait pour nous.

Rappelez-vous que lorsque vous manquez de patience, c'est que vous manquez envers Maman Marie. C'est elle notre Maman, c'est elle qui est bien patiente envers ses enfants. Essayez de compter les 'Je vous salue Marie' que l'on a dit depuis la première fois qu'on en dit. Ça fait beaucoup, n'est-ce pas? Alors, Maman Marie, elle en a de la patience! On recommence toujours à lui dire : 'Je vous salue Marie, pleine de grâces, tu es bénie entre toutes les femmes'. Elle est la Comblée de toutes grâces, elle est la Mère de notre Divin Seigneur. On se dit être des pauvres pécheurs, on lui demande de prier pour nous maintenant, maintenant. Alors elle prie Maman Marie, elle prie, elle prie et elle prie.

Un jour, Maman Marie, je l'ai entendue : «Je suis si fatiguée!» Ce n'est pas une fatigue physique, Maman Marie, qu'elle disait là par ces mots, c'est de nous voir toujours en train de nous plaindre. Oui, on se plaint beaucoup : 'J'ai mal ici, j'ai mal là, mon enfant fait ci, mon enfant fait ça, il va plus à la messe, il est divorcé, sa femme ne vient plus, ma fille va vers la prostitution, elle se drogue…' et là, on entend les mots : «Donnez-moi votre joug, le mien est léger. Abandonnez-moi vos enfants, ils sont les miens. Faites confiance en ma miséricorde, vos enfants sont sauvés.» Et on revient avec les larmes dans les yeux : 'Mon enfant est dans la drogue, j'ai peur, je suis découragée; mes jeunes vont vers les esprits impurs', et encore : «Prie, aie confiance. Donne-moi ton enfant.» 'J'ai mal à mon orteil; j'ai mal aux reins; j'entends pas bien; je suis tout étourdi; je n'ai plus d'appétit; j'ai le cancer; j'ai le sida; j'ai perdu mon emploi; je suis sur le bord de la faillite; j'ai perdu mon loyer; je ne suis plus capable de payer mon mois' : «Abandonne tout cela. Aie confiance en Dieu.» "Oui, Maman", après mes larmes, après mes rages, après mes colères, après mes découragements.

Eh bien, nous en payons les conséquences. Nous nourrissons nos propres conséquences. Tous ces recommencements, il y a eu un temps entre celui-ci et celui-là. Qu'est-ce qui s'est passé dans ce temps-là : je me suis nourri de découragement, je me suis nourri de mes plaintes, je me suis nourri de mes colères, je me suis nourri de mon enfer sur terre. Est-ce que, pendant ce temps, il y en a d'autres qui ont profité de ce temps? Oui, il y en a d'autres qui ont profité de ce temps! C'est Satan, les démons. Eux n'ont pas perdu de temps parce qu'ils sont la cause de ce découragement, ils sont la cause de ces moments de colère, de désespoir. Ils peuvent facilement aller chercher d'autres personnes dans le monde entier qui, une fois, à cause de ce que nous, nous consentons, attaquent. Eh bien, eux les préparent à avoir encore des moments pour nous attaquer. Quand allons-nous cesser de donner cette nourriture à Satan?

Oui, j'ai le cancer? "Mon Dieu, toi, tu vas prendre soin de moi. Je vais te louer." Je suis à la fin de mon mois, je n'ai pas d'argent? "Eh bien, toi, tu me suffis." Ici, au Canada, je serai toujours à profiter de mon chèque par mois. Oui, je vais perdre ma maison; oui, je n'aurai pas d'auto; si mon chèque est assez gros, j'aurai un téléphone, une télévision, une radio, des journaux dans mon petit loyer : "Seigneur, tu me laisseras jamais tomber. Tu m'apprendras à toujours me relever. C'est toi qui vas m'apprendre à ne pas avoir peur de la faim." Mon enfant est dans la drogue? "Eh bien, Seigneur, tu vas t'en occuper, tu vas t'occuper de son âme. C'est de son âme que je te parle, Seigneur, occupe-toi-s'en pour l'éternité." "Seigneur, apprends-moi à mourir, apprends-moi à ne pas m'attacher à cette chair, mais à m'attacher à la vie éternelle."

Oui, il est facile, hein, Seigneur, de parler ainsi devant nos frères et devant nos sœurs, tu n'as pas de fusil sur la tempe, toi. N'est-ce pas ce que les enfants de ce monde diraient s'ils étaient assis à votre place? Eh bien, Seigneur, une balle, ça rentre vite. Ce n'est pas grave ça, Seigneur, c'est mon âme dans l'éternité en enfer qui est grave. Est-ce que je suis prêt à me relever pour dire : "Seigneur, c'est toi qui comptes et ce n'est pas moi. C'est la vie de mes enfants qui compte." Sainte Rita avait prié pour ses deux fils. Elle a dit : "Seigneur, viens chercher mes enfants plutôt que de les laisser en vie et qu'ils meurent en état de péché mortel." Eh bien, Jésus, est venu les chercher, Dieu est venu les chercher. Sommes-nous prêts à faire ça? Voyez-vous, il faut vivre en êtres vivants.

Je suis dans les travaux, n'est-ce pas? Les gros travaux. Et à un moment donné, les os de mes doigts ont commencé à crocher. Mes deux pouces ne fonctionnaient plus jour et nuit; j'avais des grosses 'catins' et je cordais du bois. On a fait le terrain pendant des jours et des jours avec ces bandages-là. Est-ce que le Seigneur m'enlevait les douleurs? Oh non! Jour et nuit, je les ressentais. Mais c'était la Volonté de Dieu : "Seigneur, je ne m'arrêterai que si toi tu m'arrêtes. Ces douleurs, Seigneur, eh bien, je vais apprendre à les aimer. Est-ce que je vais m'arrêter? Non, Seigneur, parce que c'est toi qui me le demandes; alors à toi de t'arranger avec mes douleurs." Eh bien, cela me donnait des forces et j'ai continué. Il m'a appris, il m'a appris que : «Oui, tu as mal, alimente-toi comme il le faut.» Il m'a appris : «Diminue telle chose et va vers autre chose. Lève-toi le matin et ne te plains pas.» Il disait : «Je t'ai guérie.» C'était tout enflé! Mais je le croyais et je le crois. Qu'est-ce que j'en sais, moi, de la guérison? Lui, il en sait beaucoup plus que moi.

C'est ainsi que nous devons vivre. 'Je te donne mon fils, occupe-toi-s'en, Seigneur. Oh! Seigneur, il ne suit pas les dix commandements de Dieu, Seigneur. Occupe-toi-s’en' : «Je m'en occupe, ne t'inquiète pas.» 'Alors, Seigneur, je te crois.' C'est ainsi que nous devons vivre. Gardons notre paix. Dans la douleur physique, morale, de cœur, gardons notre paix. Ma fille est aux prises avec une douleur dont les médecins ne peuvent pas soulager. Oui, elle élève ses enfants, elle se penche, elle se lève, toujours dans la douleur. "Eh bien, occupe-toi-s'en, Seigneur. C'est toi sa force, c'est toi qui la maintiens, c'est ton enfant, occupe-toi-s'en." Cela ne veut pas dire que je ne vais pas l'aider quand je peux. Et 'le peux' est comme ça (petit). Lui, il s'en occupe et j'ai confiance en mon Dieu. Les douleurs qu'elle doit endurer, elle les endure avec la force de Dieu. Telle est la Volonté de Dieu. Voilà ce que le Seigneur nous demande.

Nous méritons ces conséquences. Allons-nous continuer à nous plaindre de ce que nous avons provoqué? À Dieu de prendre toutes ces conséquences. C'est lui notre médecin, c'est lui notre libérateur, alors qu'il s'occupe de nous. Il dit que nous allons passer la très Grande Purification de la chair, eh bien, que cela soit au moment où lui le veut. Satan fait tout pour qu'on puisse douter, mais notre Seigneur dit la vérité. C'est lui la Vérité, ce n'est pas Satan. Il nous demande l'abandon : nous allons vivre l'abandon. Il nous demande d'être miséricorde : oui, nous allons être miséricorde, mais on ne sait pas comment! Lui le sait, qu'il s'arrange avec nous, qu'il nous fasse vivre ce que nous avons à vivre. Oui, il y a guerres et on voit des faillites. Il nous a dit aussi qu'il était pour avoir faillite sur faillite mondiale. Hé, Seigneur! Comme tes voies sont impénétrables! Parce que toi tu vas prendre soin de tous tes enfants, on n'a pas à s'inquiéter.

Il y en a qui parlent de la puce. S'il vous plaît, on le sait? Ne nous inquiétons pas. On a encore de la terre, alors on la cultivera; même si c'est tout petit, eh bien, on plantera que ce qui est nécessaire pour nous, on en gardera un tout p'tit peu puis on donnera le reste. Mieux vaut mourir le ventre vide que le ventre plein, ainsi je monterai plus vite! C'est vers notre Dieu que nous allons, alors on y croit. Croyez-y! Et c'est un pas que nous faisons à chaque jour vers notre confiance. Les chemins de Dieu sont des chemins très étroits; ils ne sont pas larges les chemins, alors on les sent là, hein, les murs chaque côté? On a l'impression d'être écrasés quelquefois. Ça, c'est l'affaire de Dieu. C'est lui le Chemin, ce n'est pas nous. Marchons comme Dieu veut qu'on marche.

Si vous croyez que ces paroles viennent de moi, eh bien, moi, je serais là en train d'écouter en avant si j'avais le choix. Parce que moi aussi je dis comme vous : "Seigneur, tu es sûr que tu t'es pas trompé? Si cela n'était pas pour ce temps… Eh bien, je serais toujours avec toi, je vivrais mon petit train-train, mais comme toi tu le veux. Mais tu veux que je sois en avant et pourtant, je sais que je fais souffrir beaucoup d'enfants. Je suis la cause de beaucoup de jugements, je suis la cause de beaucoup de souffrances et ça, c'est souffrant!" Mais le Seigneur, il est comme ça, il fait souffrir pour guérir. Il nous fait passer par des épreuves, des épreuves d'amour, mais lorsque je sais que je ne suis pas la seule, eh bien là : "Ah! Seigneur! C'est l'fun ça!"

Le Seigneur sait que nous avons besoin des uns et des autres. Alors, soyons amour, gardons-nous dans ce train et mettons-nous en plein centre de tous ceux qui parlent contre nous et passons-les avant nous. Satan, on ne dira pas 'déteste' parce qu'il aime ça le mot 'déteste', il n'aime pas beaucoup qu'on s'aime. Alors, aimons-nous. Soyons ensemble. Faisons ce qu'il nous dit. Lorsque nous sommes tentés par la musique, n'oublions pas que, parfois, la musique n'est pas toujours celle de Dieu. On n'est pas tout seuls ici. Nous sommes, en ce moment même, en présence de beaucoup d'enfants qui aiment la musique, aiment les jeux, aiment parler de vampires. Eh bien, souvenons-nous que la vie n'est pas un jeu, c'est une réalité. Tout ce que nous faisons, nous le récoltons.

Vous souvenez-vous? Ça ne vous est jamais arrivé lorsque vous aviez quoi, dix, douze ans, là, vous commenciez à parler de bruits à votre sœur qui était près de vous, ou si vous êtes un frère, à votre frère qui était près de vous. Et là, vous amplifiiez vos paroles : 'Me semble qu'on entend, ça s'en vient, c'est proche… me semble…. Aïe! As-tu entendu?' Et là, à la fin, on avait les couvertes au-dessus de notre tête, puis là on criait : 'Maman, maman!' Hein, on a tous joué à ça, n'est-ce pas? Et on recommençait une autre journée. On aimait la peur, on aimait cela. Eh bien, cela est dans notre chair et aujourd'hui, les jeunes, hein, la génération, notre génération, eh bien, elle aime la peur. Montrons-leur que nous avons été comme eux, montrons-leur que la vie, avec les esprits impurs, n'est pas un jeu parce que lorsqu'on disait : 'As-tu entendu un bruit?' là, savez-vous ce que l'on faisait? On ouvrait une porte, on en ouvrait une autre, et on invitait les esprits impurs.

Aujourd'hui, c'est différent; aujourd'hui, on les nomme; aujourd'hui, on les détaille. Mais ce sont les mêmes esprits, les mêmes esprits impurs. Ne nous prenons pas autrement que nos enfants. Ils sont devenus ce que nous, nous avons été et nous avons été ce que nos parents ont été, et ce sont les enseignements du Seigneur. Gardons notre paix. Si, aujourd'hui, on est ensemble dans la prière, eux autres vont être ensemble aussi. Aujourd'hui, nous vivons des tempêtes, eux vivent des tempêtes aussi. Ce sont leurs tempêtes dans lesquelles il faut qu'ils vivent pour qu'ils passent, eux aussi, à travers de cette tempête. Ce sont les saints d'autrefois qui nous ont aidés; nos grands-parents, nos parents, ils ont prié. Alors, continuons à prier et cessons de nous plaindre. Les jeunes jouent avec des jeux qui invitent les esprits impurs, ah? On a fait comme eux : 'Je te les donne Seigneur. Arrange-toi avec eux.'

Arrêtons de nous plaindre. Croyons en ce que nous sommes : les enfants de Dieu, pour Dieu. Eux aussi, ils vont faire la même chose que nous bientôt. Ils sont, en ce moment même, en train de se laisser transformer par Dieu. Ce que le Seigneur est en train de faire avec nous, eh bien, ce sont des saints et des saintes. Et ce n'est pas ennuyant d'être des saints et des saintes, on n'a pas le temps de s'ennuyer, on est trop occupés, pas seulement qu'à prier : à travailler, à prier. Ça, c'est différent. À chaque fois qu'on travaille, qu'on travaille, qu'on travaille et qu'on travaille, c'est de la prière. Alors, on peut dire aux jeunes : étudiez, étudiez, étudiez, c'est de la prière; travailler, travailler, travailler à faire son lit, son ménage dans sa chambre, c'est de la prière; conduire prudemment, c'est de la prière. Tout doit être prière.

Alors, dans cinq minutes, nous allons partir pour aller à la messe. Combien ne savent pas participer à la messe! Demandons, au moment de l'offertoire où nous offrons notre vie, demandons qu'il remplisse notre vie pour nous la redonner. Nous avons besoin de force, de courage, de patience, de partage, de charité, d'humilité, de pureté pour passer à travers de ces tempêtes, et où pouvons-nous recevoir ce bagage d'amour? Au moment de la messe, n'est-ce pas? Tout, dans la messe, il y a des moments où on entre, on s'ouvre, on se donne, on reçoit, on remercie et on s'en retourne transformés. Eh bien, croyons en ce que nous sommes devenus après la messe. C'est un moment unique et tous les enfants du monde en ont besoin. Amen.