Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-09-20 -  A.M.   

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chaque regard doit nous amener à découvrir notre place parmi tous les enfants de Dieu. Le regard nous appartient parce qu’il nous a été donné par Dieu; alors, nous devons prendre soin de ce que Dieu nous a donné. Il nous a donné une écoute et cette écoute nous appartient; alors, utilisons notre écoute pour la plus grande Gloire de Dieu.

La parole est un langage d’amour. La parole démontre ce que nous sommes à l’intérieur de nous, et ce que nous sommes à l’intérieur de nous est ce que Dieu a voulu que nous soyons : un fruit, un fruit que les autres doivent savourer. Alors, si nos paroles ont un goût amer, eh bien, les autres vont recevoir ce qui vient de nous : ils n‘aimeront pas ce que nous allons dire. Mais si nos paroles portent le fruit de l’amour, si nos paroles portent la connaissance de Dieu, les autres vont goûter, les autres vont goûter à ce que Dieu veut pour eux. Ils ne goûteront pas l’être fragile dans son péché parce que Dieu a apporté à la mort tout cela; alors, il a comme nettoyé ce que nous, nous avons fait, mais il reste que nous vivons encore dans nos fautes passées. C’est comme si le Seigneur nous disait en ce moment : «Bon, tu es là dans ton présent, mais tu vis encore avec ton passé. Tu vis avec ce que moi j’ai amené à la mort et qui n’existe plus, mais que toi tu consens à être».

Alors, ce qu’il vient nous dire, c’est que nous sommes comme des morts. Il nous en a parlé hier : on marche avec notre tombe. Nous, nous sommes vivants, nous ne sommes pas morts. Alors, Jésus veut nous faire réaliser, par la toute-puissance du Saint-Esprit devant la Volonté de son Père, que nous sommes des êtres du présent : vivants. Alors, c’est pour ça qu’il nous utilise, il veut que notre regard soit une porte qui nous fait voir ce qu’il y a à l’intérieur de nous afin qu’on puisse entendre la Parole qui nous nourrit : la Parole de Dieu. Nous, on n’a rien à dire parce que ce que nous portons en nous, c’est du passé : on n’a rien d’intéressant à dire aux autres. On n’apprend rien avec le passé, parce que si on apprenait avec le passé, c’est qu’on serait toujours dans le mauvais temps : "Bon, tu me nourris avec ton passé, qu’est-ce que je fais avec ça, moi, maintenant que je vis au présent? Est-ce que je vais prendre ce qui est déjà en arrière, désuet? Est-ce qu’on va utiliser quelque chose qui n’apporte plus rien? Alors si j’utilise mon passé et (que) je l’utilise pour mon présent, je ne porterai pas de fruit, je n’aurai rien à me donner et je n’aurai rien à donner aux autres".

Pensons à nos enfants et à nos petits-enfants, pensons à nos frères et à nos sœurs, pensons à ceux qui ont besoin de nous dans le monde entier, ce qu’ils veulent c’est quelque chose de vrai, de vivant. Alors, Jésus veut que nous soyons des êtres vivants. Depuis des siècles, des milliers d’années, des milliers d’années, nous vivons avec le passé, nous vivons avec le premier péché : d'Adam et Ève. Il a été purifié par la grâce, mais il reste que notre chair porte encore cette marque, elle ne cesse de vouloir connaître ce qui est bien, ce qui est mal. Notre curiosité vient de là. Nous sommes tellement curieux : on veut savoir, on veut connaître.

Ève, lorsqu’elle s’est fait prendre par la tentation, c’est la tentation qui s’est approchée. La tentation qui s’est approchée d’Ève voulait qu’elle soit dans la connaissance; alors, voilà pourquoi la tentation s’est approchée. Puis, elle, elle s’est laissé prendre dans ce mouvement inerte de mort, et elle a voulu être comme Dieu. À l’instant où elle a voulu être comme Dieu, elle acceptait : "Je vais apprendre par moi-même. Je vais pouvoir parler à Dieu de ce que lui est". Alors, elle qui venait de, voulait se mettre à la même égalité que Dieu. À cet instant, elle ne comprenait pas qu’elle devenait un instrument d’orgueil entre les mains de l’orgueilleux, alors elle a approché Adam. Elle a voulu faire goûter à Adam ce qu’elle avait vu, entendu, et elle sortait ce goût de tentation. Et c’est là qu’Adam est tombé, c’est là que le péché est devenu en la vie. C’est Adam la vie, pourquoi? Parce que c’est à partir d’Adam que Ève a reçu la vie parce qu’Adam l’a reçue de Dieu. Cette même vie a été en Ève, mais n’oublions pas que c’est la vie qu'il fallait qui soit touchée. Alors, lorsque la vie d’Adam, qu’il avait reçue de Dieu, a été contaminée, alors, là il a connu le bien et le mal : il devait choisir. Il devait toujours choisir le bien, mais il y avait ce poison qui était en lui. Dieu nous a dit : «Une seule goutte de poison dans l’océan, eh bien, l’océan est contaminé.» Alors, notre vie a été contaminée : notre vie.

Aujourd’hui, notre vie est contaminée. Nous sommes la vie, nous sommes le mouvement. Jésus l’a dit, hier par la puissance du Saint-Esprit, à travers l’instrument : que lorsqu’on prend une cuillère et qu’on la prend et (qu')on l’utilise, elle sert la vie : la vie prend tout et elle se sert de tout; alors, la cuillère devient au service de la vie. Comprenons que nous avons fait cela toute notre vie. Nous avons utilisé ce que Dieu a mis dans notre vie afin qu’on se serve de ce que Dieu nous a donné. Mais à cause du mal qui est à l’intérieur de nous, nous avons été le contraire de ce que nous aurions dû être. C’est ce qu’il y a autour de nous qui est devenu maître de nous-mêmes : nous nous sommes mis au service de ce qui devait être à notre service. On a seulement qu’à se regarder.

On a parlé hier d’un tout petit sou, ce petit sou qui devient pour nous tellement séduisant que nous avons été trompés : nous avons utilisé la monnaie pour nous alimenter. Regardons ce que nous prenons : nous mangeons, c’est vrai, nous mangeons, eh bien, la nourriture est maître de nous : nous sommes esclaves du sucre, nous sommes esclaves du salé. L’alimentation est devenue plus importante que nous. Combien ont le diabète, haute pression, basse pression? Combien ont des maladies? Eh bien, 'dis-moi ce que tu manges et je te dirai ce que tu es, alors ce que tu manges est devenu ton maître, est devenu plus important que toi'.

Nous nous sommes mis volontairement esclaves de ce que nous avons devant nous. Notre regard a capté l’alimentation et nous avons goûté à l’alimentation avec nos sens, pas avec notre amour, pas avec notre cœur, pas avec notre vie : nous avons laissé notre vie entre les mains du tentateur. C’est lui qui nous a tentés avec le sucre, c’est lui qui nous a tentés avec tout ce qui était salé. Aujourd’hui, on ne cesse de manger des cochonneries. Notre alimentation n’est pas pour nous, elle est contre nous, alors que c’est nous qui devrions contrôler ce que nous mangeons : nous ne sommes plus capables et pourtant la vie nous appartient, la vie est à nous.

Combien y en a-t-il qui sont aux prises avec la cigarette? C’est de la drogue! Combien sont aux prises avec le coke? N’est-ce pas toute une drogue? La cocaïne! Et nous aimons ça. Ça l’a un bon goût, hein? Eh bien, c’est dans notre vie, c’est ça qui nous contrôle. Le petit café! C’est bon le café, ça vient de toi, Seigneur, tu fais pousser ça partout" Eh bien, Satan s’en est servi contre nous. Nous, on consomme, on consomme : pas un café par semaine, ni par jour, ouf, c’est trop bon! Ça sent tellement bon, hein? Je ne pars pas sans mon café. C’est devenu maître de nous, si bien qu’il y en a qui ont le contrôle sur le café : Colombie, c’est l’une des matières premières entre les mains des guérillas, les paramilitaires. Ce sont des enfants de Dieu, des enfants aimés de Dieu, qui se sont fait prendre par Satan parce qu’ils ont le pouvoir comme maîtres : ils veulent l’argent; alors, ils contrôlent, ils contrôlent cela.

C’est quelque chose de très souffrant de savoir que nous aimons le café, alors que le café est devenu une souffrance pour des millions de personnes. Et c’est le tentateur qui a fait ça; ce ne sont pas nos frères, eux se sont laissé prendre comme nous on s’est laissé prendre. Si le matin on s’en va travailler, oups, on n’a pas notre café et qu’on arrive au bureau, puis on lève la voix : "Hey, t’as pas pris ton café à matin?" Alors, voyez-vous, allons-nous condamner ceux qui veulent mettre la main sur toute la production pour avoir le contrôle de l’argent? Voyez-vous, il y a toujours le voleur, puis quelqu’un qui tient le sac, puis quelqu’un qui achète la marchandise volée. On n’a pas le droit de jeter la pierre à nos frères, nous n’avons pas le droit de jeter la pierre à ceux qui vendent la drogue, ceux qui leur procurent la drogue, ceux qui contrôlent la drogue, parce que nous en prenons de la drogue : nous prenons du coke, de la cigarette, nous prenons aussi des médicaments. Hein, c’est vrai qu’il y en a qui ont besoin de la morphine : on a remplacé les grâces du Ciel par de la morphine.

Une mère de quatorze enfants était dans les derniers moments de sa vie, dans une très grande douleur, et on lui a demandé si elle voulait quelque chose pour la soulager. Elle a dit : "Non, ces grâces que le Ciel me donne sont pour mes enfants. Est-ce que je vais refuser ça pour eux? C’est leur nourriture". Aujourd’hui, bien, on va jusqu’à l’euthanasie et nos enfants pleurent et on pleure! On est aveuglés. On est dans la boue jusque-là et Dieu vient nous chercher : «Ah! où est-ce qu’ils sont donc pour que je puisse les sortir?» Alors, nous autres, on évite : "Qu’est-ce! Qui veut donc me prendre? Ah, Seigneur!" On ne réalise même pas que le Seigneur veut nous sortir de notre boue. Dieu vient nous montrer sa lumière, Dieu vient nous parler dans notre cœur. Il utilise des instruments, que ça soit une cuillère : la cuillère n’a pas de vie, que ce soit une pécheresse qui vit dans son passé : elle n’a pas de vie. Alors, il fait ce qu’il veut le Seigneur, mais c’est pour nous. Il vient nous parler pour nous, afin qu’on puisse réaliser que nous sommes vivants. Il veut que nous utilisions ce qu’il met devant nous afin qu’on puisse aider les autres.

Il ne m’a pas envoyée en Colombie…, quatre ans qu’Isabelle, une amie là-bas, quatre ans qu’elle a attendu. Eh qu’elle trouvait ça long parfois! Des fois, elle était découragée : elle allait devant la Sainte Vierge et elle pleurait et d’autres disaient : "Ne te décourage pas!" Ensemble, ils priaient et ce n’est seulement qu’en septembre 2008 que le Seigneur a voulu que j’aille, oh, pas moi, mais l’instrument. Là-bas, dans les rencontres que nous avons eues, il n’y a pas eu pratiquement une seule fois où vous allez entendre : "Mais qui tu es, toi?" Le Seigneur ne voulait pas qu’on s’attache à l’instrument. Il n’en a pratiquement pas parlé, sauf une fois dans un endroit privé; là, on était entre amis, mais pas dans les rencontres. Il voulait toute la place.

Il nous utilise, tout comme vous en ce moment, vous êtes utilisés. C’est très important ce que nous faisons. Il faut démontrer au monde entier que nous sommes vivants, que nous sommes des êtres d’amour, que nous sommes là pour servir Dieu. Tantôt, il nous l’a dit au début : «Vous n’êtes pas ici pour vous, mais pour moi, pour Dieu.» D’ailleurs, c'était Maman Marie qui parlait : «Vous n’êtes pas ici pour vous, mais pour Dieu.» On est des êtres de service, tout comme les prêtres sont des êtres de service. Nous devons l’être jusqu’au bout : nous devons apprendre la vérité, nous devons cesser d’accuser. Oui, il est déchirant de savoir que notre enfant se drogue; oui, il est déchirant de savoir que notre fille se prostitue pour acheter sa coke. Et nous, qu’est-ce qu’on fait? Nous, on s’oublie, on se met au service de ce que nous sommes habitués d’avoir : notre consommation. Nous nous prostituons nous aussi d’une certaine façon pour avoir notre coke. C’est ce que nous faisons.

Alors, Dieu veut que cela cesse. Il veut que nous utilisions nos mouvements de vie pour chasser les esprits impurs afin qu’ils aillent tous au pied de la Croix. Tous les esprits impurs devront être envoyés au pied de sa Croix. On a de l’ouvrage, hein? Nous savons qu’il y a tellement d’esprits impurs autour de nous que si on les voyait, tout serait noir autour de nous : noir, noir, noir, noir, noir; on ne pourrait même pas passer notre main à travers de tout ça. Mais ne nous décourageons pas, Dieu est là, c’est la Lumière, et il nous dit comment faire pour marcher à travers cette noirceur : refuser les tentations, dire : "Merci, Seigneur, ta puissance est plus forte que Satan et les esprits impurs."

Il m’a fait vivre quelque chose cet été, dans les vacances, première semaine. Au moment de l’adoration, il nous a demandé de fermer les yeux. Au moment de fermer les yeux, là, Dieu nous a montré, nous a montré un esprit impur, un être diabolique qui contrôlait les enfants de Dieu. Il disait, cet être impur, qu’il était pour continuer à nous contrôler parce que nous n'étions que mensonges. Il avait réussi à faire de nous des êtres menteurs. Il (a) dit : "Je vais vous contrôler. Je vais utiliser votre mère, votre père, votre sœur, votre frère. Je vais utiliser vos enfants. Je vais utiliser vos amis. Je vais vous utiliser." Ça, pour ceux qui ont écouté la première semaine de vacances, c’était le mardi. Nous (l')avons entendu par la puissance de Dieu. Il nous a fait pénétrer à l’intérieur de nous, et tous ici, nous avons vécu cela. Certains ont pu témoigner qu’ils ont vu même l’être et lorsqu'à une personne, j’ai dit : "Comment il était?" Elle l’a décrit tel comme moi je l’avais vu.

Alors, il s’est passé aussi quelque chose à Bogota – Nicole, lève donc la main; Nicole, je ne te vois pas – Alors, ce que nous avons vécu, c’est quelque chose qui m’a comme un peu ébranlée : ma chair a été ébranlée. Nous étions pour nous rencontrer, avec nos frères et nos sœurs, deux fois dans la même soirée : une débutait à six heures et se terminait à huit heures pour se rendre à la deuxième rencontre. Alors, nous avions rendez-vous avec le prêtre de la paroisse qui a voulu nous rencontrer, et après nous avons été à l’adoration et lorsque nous avons été à l’adoration, Jésus a dit : «Approche-toi.» Alors, je me suis approchée. Il (a) dit : «Approche-toi.» Alors, je me suis encore approchée. Il m’a demandé : «Tu m’aimes?» J’ai dit : "Ah oui, Seigneur, je t’aime." Il (a) dit : «Je veux ta vie, je veux que tu meures. Est-ce que tu veux donner ta vie pour la Colombie?» Alors, j’ai dit : "Oui, Seigneur." Il (a) dit : «Ton cœur, je le veux. Je vais prendre ton cœur et je le mettrai dans ma main, et ce sera le cœur de la Colombie, et je parlerai au cœur de la Colombie.» Et il a dit : «Il n’y aura pas de montre». Alors, je savais qu’il n’arrêterait pas la rencontre une fois commencée; j’ai été à l’extérieur, (vers) la personne responsable de la rencontre, je lui ai dit ce que le Seigneur avait dit. Il y avait trois interprètes pour l'espagnol : il y avait le Père Ruben, il y avait Isabelle et il y avait Raquel, une personne du Venezuela, alors la personne qui organisait ça, c’était George – en espagnol Georgi – et là, le Seigneur lui a dit : «Dans ton cœur, il y a la personne qui devra interpréter ce soir.» Alors, il a dit : "C’est Isabelle." Elle n’était pas encore arrivée. Aussitôt qu’elle est arrivée, le Seigneur lui a parlé, il lui a demandé la même chose : il lui a demandé sa vie et, sans hésitation, Isabelle elle a dit oui : aucune hésitation, et vous savez quand il nous demande la vie, on ne sait pas trop, trop ce qu’on s’attend avec le Seigneur. Et il a demandé son cœur et, elle aussi, c’était le cœur de la Colombie. Alors on savait qu’il était pour se passer quelque chose d’assez important ce soir-là.

Lorsqu’au moment de la messe, je regardais Jésus, alors il est monté quelque chose de très fort en moi et Jésus semblait vouloir prendre tout de moi pour l’utiliser afin de faire parler quelqu’un. Ça, il l’a déjà fait à plusieurs reprises dans le début, lorsque j’entendais une personne, comme une personne qui était droguée : je l’ai vécue. La personne a vécu en moi comme si son âme était en moi : je vivais sa vie. Ça, je l’ai fait quelquefois. Mais là, ça semblait très, très, très…, comme s’il voulait que le mal parle. Alors là, j’ai regardé le Seigneur (et) j’ai dit : "Seigneur, tu ne me demanderas pas ça ici, nous sommes dans une église, Seigneur", je me suis rassurée. Alors là, j’ai pu continuer ma messe bien calmement. Il ne m’a rien dit, mais je me suis rassurée. Lorsque la messe fut terminée, qu’on a tout placé, là j’ai regardé Jésus et j’ai adoré mon Jésus d’Amour et je me suis installée.

Lorsque tout a commencé, il parlait, il parlait, il parlait : là, il nous emmenait dans un temps, il nous emmenait dans le passé; il nous a comme dévoilé que les personnes qui sont en Amérique du Nord et en Amérique du Sud, ce sont de la descendance des personnes qui ont été (présentes) à la tour de Babel et qui ont voulu affronter Dieu. Il a multiplié les langues et de ceux-là, il y en a qui ont été comme sous l’emprise de Satan; d’autres, moins, et avec leur intelligence, avec le temps, ils ont pu fabriquer comme des vaisseaux, pas des vaisseaux, mais quelque chose pour s’en aller au loin sur la mer et que le vent les aurait emportés. Alors, ceux qui sont ici, que ce soit en Amérique du Nord ou en Amérique du Sud, eh bien, c’est comme dans la même génération. Voilà pourquoi, on s’explique pourquoi ils ont la peau foncée, autant du nord que du sud. Ils ont les traits qui se ressemblent. Alors, il nous a tout expliqué ça.

À un moment donné, là, il m’a prise totalement; cela veut dire que je n’étais plus là : mon esprit était en Dieu et j’étais en Jésus, mais ma chair, Jésus l’a utilisée pour obliger Satan à parler. Satan lui-même a parlé. Ce que j’ai ressenti, ça, je ne l’oublierai pas. Je peux ne pas me souvenir des paroles qu’il a dites, mais ce que j’ai ressenti : c’est un feu. C’était un feu, un feu qui brûlait de la pointe de mes orteils jusqu’à toute ma tête entière, là : tout était en feu. Mais Dieu ne permettait pas que ma chair brûle, mais j’ai ressenti ce feu : c’est un feu, il était dans mon être; mais Dieu était… comme (si) toute ma chair était à Jésus. Voilà pourquoi le feu qui était là ne m’atteignait pas parce que c’était Dieu qui me soutenait, et c’est Dieu qui l’obligeait à parler. À un moment donné, il voulait tellement sortir, il voulait tellement sortir, mais il n'a pu s’en aller que lorsque Dieu lui a permis de partir. Il a été obligé de dire les paroles que Dieu voulait que les autres entendent.

Tout ça m’a comme montré la puissance de Dieu. J’en ai parlé à mon père Clément et mon père Clément, il a dit : "Qu’est-ce que nous avons à craindre lorsque nous sommes avec Dieu? Nous n’avons rien à craindre." Satan, il est obligé d’écouter Dieu. Il ne peut rien faire si Dieu ne le permet pas. Lorsque Dieu a permis qu’il parte, il s’en est allé et moi j’ai été comme dans un état, après : incapable… Ma chair avait été en présence de ce feu et parce que ma chair avait été en présence de ce feu, eh bien, c’est comme si j’étais incapable de fonctionner normalement. Alors, Dieu m’a maintenue toute la nuit en sa Présence. Nicole peut en témoigner. À un moment donné, Nicole, par le Saint-Esprit – elle dort au côté – alors, il a dit : «Continue à dormir, dors Nicole». Elle n'a pu dormir parce qu’elle avait mal à la gorge. Elle voulait dormir, mais elle sentait que je vivais des choses et elle avait de la difficulté à vouloir vraiment me laisser seule dans cet état, mais j’étais avec Dieu, j’étais vraiment avec Dieu.

Lorsque je me suis levée, le lendemain, j’étais en pleine forme : aucune fatigue, aucune fatigue, et plus que cela, j’avais une douleur à mon cou – parce que j’ai la colonne déviée à mon cou et depuis plusieurs mois j’avais de la difficulté avec mon cou; même, j’en avais parlé à Nicole, j'avais dit : "Oh! il faudrait bien que j’aille voir Michel, j’ai mal à mon cou!" – Eh bien, ce n’est pas tout de suite comme ça, hein, qu’on le réalise, mais c’est durant la journée. J’ai dit : "Oh, mon Dieu, je n’ai plus mal à mon cou." Alors, non seulement je n’avais pas dormi de la nuit, mais ma douleur était partie : j’ai reçu une guérison.

Tout ça, c’est pour nous démontrer que lorsque nous laissons tout entre les mains de notre Jésus d’Amour, lui, il répare, il guérit. C’est lui qui va nous guérir, c’est lui qui va prendre nos mouvements de vie et les guérir. Mais pour que nous puissions être guéris, il faut vivre notre passion. Il y en a beaucoup qui sont découragés : "Mais ça n’arrive pas? Quand est-ce que nous allons vivre dans ce monde d’amour? Quand la Grande Purification va arriver? C’est comme s’ils voulaient que ce monde sans amour soit reviré comme ça : voilà notre monde d’amour! De là à aller là, il y en a des choses à faire.

Il va falloir apprendre à aimer inconditionnellement l’être que nous sommes, apprendre que nous avons consenti à mettre la nourriture devant nous et la maintenir devant nous pour qu'elle soit un dieu. Notre nourriture est devenue un dieu : nous voulons nos chips, notre crème glacée, notre bière; nous voulons notre porc; nous voulons notre bœuf, qu’importe s'il est mal nourri, qu’importe si on n’arrête pas de les piquer aux hormones, à toutes sortes de choses qui causent le cancer; nous voulons tous nos bonbons qui causent le cancer; nous voulons notre pain blanc, bien tranché, moelleux qui n’est rien. Nous consentons, nous, à ce que notre vie qui vient de Dieu soit nourrie avec ce qui est contre nous, parce qu’il y a des personnes, il y a des personnes qui ont le pouvoir : on contrôle maintenant tout.

Pourquoi, aujourd’hui, les animaux sont-ils si dangereux pour nous, jusqu’à leur injecter toutes sortes de produits contre les maladies? Parce que des hommes ont abusé, des hommes ont abusé sur la production, ils ont fait même des croisements pour pouvoir avoir une meilleure viande, pas pour nous, pour l’argent : pour l’argent! Alors, nous mangeons ce qui vient de ce pouvoir. Quelle est la différence avec ceux qui vendent la drogue? On vend la drogue pour l’argent et on vend la viande qui n’est pas une bonne viande pour l’argent. Et nous, nous avançons. C’est nous qui avançons à l’abattoir, c’est nous qui consentons à donner notre vie à celui qui est contre nous.

Voyez-vous pourquoi elle est importante la prière? Qui va changer ce monde? Personne qui est dans la tentation : personne. Même les hommes hauts du gouvernement, ils ne peuvent pas parce qu’eux autres même s’empoisonnent, parce qu’eux autres même mangent de cette viande pourrie; s’ils ne la mangent pas et s'ils vont vers les produits biologiques, hey, on va aller voir l’eau qu’ils consomment : même l’eau n’est pas de la bonne eau. Tout l’air, l’air est pollué.

Lorsque nous avons été en Colombie, toutes les autos ne fonctionnent pas avec de l’essence sans plomb, alors, ce qui émane de ces autos, ce sont des odeurs très fortes et ça nous prend tout de suite à la gorge parce que nous, on est moins habitués qu’eux. Mais ça empoisonne la terre entière, la terre entière. Il y a tellement d’autos là-bas, là, que sur deux jours, ils sont obligés de se servir de leur auto une seule fois parce que sur leur plaque, il y a comme un numéro qui lit : "Tu peux te servir de l’auto et l’autre journée, laisse-la chez toi." Alors, ils prennent les taxis et comme les taxis fonctionnent aussi sans plomb, eh bien, ça continue à polluer. Pardon? avec plomb. Et les autos, eh, qu’il y en a des autos là-bas! Nous, nous avons des lignes, nous avons des stops. Eux ont déjà eu des lignes et les stops, ils ne les voient plus, ils n’en ont plus besoin : je passe, oups, je passe le camion! Là, il s’en va, oups, je me tasse, oups, là, je repasse. Alors, Nicole et moi, nous avons eu la grâce de ne pas mourir la première fois. On a vu ça à Medjugorje : il fallait se tasser parce que l’auto allait vite, mais au moins, elle suivait sa route. Là-bas, non. Ils sont sur la route! "Mais quelle route? Je ne la vois plus. Je ne vois rien en avant de moi, ce que je vois, ce sont des autos qui passent, qui coupent, qui veulent leur place." Ouf! Et savez-vous, ils font leur signe de la croix en auto, quand ils entrent dans leur auto. Ils ont la foi que Dieu est là. Ils n’ont pratiquement pas d’accident, mais ils ne vont pas vite parce qu’il y a trop d’autos, mais ça tricote. Ils ne manquent pas souvent des mailles eux autres!

C’est un pays qui a la foi. J’ai été, là-bas, dans la deuxième semaine. On avait pris une rencontre avec un prêtre qui est en charge d’un poste de radio : Radio Maria. Et nous avons eu cette rencontre. Nous étions pour avoir une demi-heure – Nicole, à peu près, au début – Ça a duré deux heures. Le Saint-Esprit, tout de suite, a passé. Pourquoi? Je me suis étonnée au début : "Pourquoi, Seigneur, tu veux ça?" Le poste Ville-Marie, Montréal, m’a demandé et Dieu a refusé. Je vais en Colombie. Radio Maria demande, mais demande, c’est Isabelle qui connaissait le prêtre, cette journée-là, elle lui a dit qui venait. Il a dit oui, alors qu’il refuse tous les mystiques, et cette journée-là la porte était ouverte : "Prends rendez-vous avec ma secrétaire." Quand le Seigneur veut quelque chose! Alors, j’ai été surprise que le Seigneur accepte ça. Il m’a dit : «Abandonne-toi et fais ce que je te dis».

Alors, il a commencé à poser des questions. Ça parle en espagnol, on ne comprend pas, mais ça ne fait rien. Alors, lorsqu’il y avait des questions, là, le Père Ruben au côté de moi me posait les questions en français et le Saint-Esprit a répondu, et cela a duré deux heures et Jésus a même parlé. Qui écoute ça? Toute la Colombie, et non seulement la Colombie, hein, Nicole? Pratiquement l’Amérique du Sud, et ça va même un peu plus loin, et Isabelle a dit comme ça aussi à la radio : "Cela même les guérillas, les paramilitaires qui, eux, sont violents, écoutent attentivement ce  poste de radio." Pourquoi? Parce qu’ils sont des enfants de Dieu et ils croient en Dieu. Alors, Dieu leur a parlé et il a parlé à tous ses enfants et, par la puissance du Saint-Esprit, il leur a dit combien il les aimait et combien sa miséricorde est pour eux, pour ses enfants, et il leur a bien dit : «Ce n’est pas vous, mes enfants qui voulez le mal, c’est Satan. Vous n’êtes que des petits enfants entre ses mains.» Ils ont entendu cela. Ça, c’est la grâce de Dieu et c’est ce que Dieu veut pour tous les enfants du monde.

Nous n’avons pas le droit de parler contre nos frères et contre nos sœurs. Même si une personne nous dit que la Sainte Vierge n’est pas comme nous, nous pensons, elle est une personne bien quelconque, eh bien, si vous saviez comme Jésus l’aime, si vous saviez comment Jésus la prend et la berce! Pas un seul mot de reproche et c’est de sa Mère qu’il parle! Parce qu’il sait que sa Mère n’aurait jamais voulu que son Fils nous dise : "Hey, défends-moi, je suis ta Mère." Non, parce que Marie avait le Cœur de son Fils, ils ne faisaient qu’un seul cœur. Voyez-vous comment Dieu aime? Il nous demande de nous aimer ainsi.

Lorsque Satan a parlé, il a dit : "Vous ne méritez pas votre Dieu. Vous êtes indigne de lui." Et c’est Satan qui a dit ça. Oh, il n’a pas dit ça avec un gros plaisir parce qu’il semblait vouloir frapper quelque chose à l’intérieur pour pouvoir sortir, mais ses paroles sortaient pareil. Dieu l’obligeait parce que Dieu était en moi et c’est Dieu qui le maintenait là, pas ma petite volonté, pas ma petite chair, là, c’est Dieu : il l’obligeait.

Il va nous parler de renoncement. Il va nous dire combien nous, nous avons consenti à nous donner à tout ce qui n’est pas de Dieu. Alors, on va le laisser parler. Nous avons beaucoup à apprendre.

 

Jésus : Ce que vous allez apprendre va vous amener là où vous, vous avez peur d’aller. Vous savez que je peux vous amener là où vous n’êtes pas capables d’aller, mais la peur, la peur de savoir ce que je vais vous dire, la peur de connaître ce que vous, vous devrez faire est en vous. Vous avez entendu parler, hier soir, mes petits enfants, d’une cuillère. Lorsque vous utilisez une cuillère, c’est la vie en vous, mes enfants, qui fait le mouvement et la cuillère devient à votre service. Lorsque vous n’avez plus besoin de votre cuillère, vous la laissez de côté, mais vous la réutilisez lorsque vous voulez vous en servir : vous en servir. Cela veut dire que la cuillère doit être à votre service, non vous au service de la cuillère.

Eh bien, petits enfants d’amour, combien d’entre vous, vous avez des choses qui sont là en attente, pour être à votre service? Il est bien d’avoir des objets à votre service, mes enfants, lorsque cela est pour vous; être pour vous, c’est pour votre vie. Mais lorsque vous avez des objets, petits enfants, qui sont là pour que vous vous en serviez, alors que cela fait un an, deux ans, trois ans, dix ans, vingt ans, et que ces objets n’ont pas encore été à votre service, pris par vous pour que vous les utilisiez, ne sont-ils pas de trop dans votre vie? Ne sont-ils pas des objets qui deviennent maîtres de vous-mêmes? Ce sont eux qui deviennent plus importants que vous.

Petits enfants d’amour, un manteau de fourrure mis dans un endroit bien protégé afin d’être à un moment donné à votre service, alors que ça fait deux ans, trois ans, quatre ans qu’il est là : qui est donc le maître? Est-ce que vous l’avez utilisé? Est-ce que cela est devenu pour vous quelque chose d’important? Si ce que vous utilisez est devenu important pour vous, alors faites attention, car la vie est à Dieu et Dieu, lui, vous appellera à lui et vous n’apporterez pas votre manteau de fourrure. Alors, servez-vous de ce que vous avez dans votre vie. Si cela n’est pas entre vos mains pour servir votre vie, cela est entre les mains de Satan et c’est lui qui se sert de vous. Un objet qui est mis de côté et qui ne sert pas la vie sert ce qui n’est pas la vie : Satan, le tentateur.

Cela n’est qu’un exemple, petits enfants d’amour. Lorsqu’on s’attache à des objets comme l’or et que cela ne sert pas la vie, cela sert Satan. On a voulu conquérir des pays parce qu’ils avaient de l’or : on a tué pour cela, on a emprisonné pour cela la vie. L’or, mes enfants, n’apporte rien en ce monde, ce n’est que du métal. Qui a fait que l’or est devenu important pour l’homme? C’est Satan. Même si vous, mes enfants, avez besoin de ce minéral pour votre vie, Dieu l’a mis en vous en petite quantité afin que vous puissiez être dans le mouvement de la vie. Mais Satan, Satan a fait miroiter ce métal, le rassemblant afin de faire des objets et cela a été contre l’homme. Cela n’est pas de Dieu. Un objet, mes enfants, doit servir, doit être entre les mains de la vie.

Combien d’entre vous avez été incapables de vous défaire de votre cristal? Vous avez reçu cela des noces, mes enfants. Est-ce que vous vous en servez à tous les repas? Vous vous en servez à des occasions. Vous vous êtes attachés à la beauté de ce matériau et ce matériau est devenu un maître pour vous. Vous avez peur lorsque les enfants prennent entre leurs petits doigts d’amour un verre en cristal : il ne faut pas qu’ils l’échappent. Ce n’est pas parce que vous avez peur que l’enfant se fasse du mal, vous pensez en tout premier au cristal, parce que vous êtes prêts à échanger ce petit verre de cristal pour un tout petit verre de vitre tout orné de petites fleurs pour les petites mains.

Ô Enfants d’amour, comme vous vous laissez prendre par les pièges de Satan. Cela vous a amenés à ne pas partager, cela vous a amenés à garder pour vous vos petits sous, alors que les petits sous doivent être partagés. Ce qui est à Dieu est de Dieu. Lorsque vous avez entre les mains de la monnaie, elle doit servir; si elle ne vous sert pas, alors donnez-la à ceux qui vont s’en servir.

Il va vous en falloir des grâces, mes enfants, pour comprendre l’Amour qui vous habite pour vivre votre vie, pour accepter d'être dans le mouvement de l’éternité. Vous n’entrerez pas dans mon monde d’amour avec ce qui vous a rendus malheureux, vous n’entrerez pas dans mon monde d’amour avec ce qui est inutile. Voilà pourquoi je vous parle, voilà pourquoi je vous fais avancer dans votre purification de la chair. N’est-ce pas péché, mes enfants, l’avarice? Cela vous a été dit par l’Église, cela n’a pas changé. L’avarice a plusieurs formes, mais pas seulement pour l’argent, (elle) est aussi pour ce que vous avez accumulé avec l’argent. L’argent s’est changé, mes enfants, en matériel.

Aujourd’hui, on a des musées. On conserve : on conserve ce qui n’est pas du présent; on conserve le passé afin d’obtenir de l’argent; on conserve ce qui est du passé pour maintenir l’esprit du passé afin qu’on se rappelle : on se rappelle de ce qui a été dans la vie comme étant un chemin qui conduit vers ce qui est le présent, on amène le passé au présent et le présent devient empoisonné. Lorsqu’on va dans les musées, mes enfants, où qu’ils soient, vous regardez ce qui est déjà du passé.

La lumière de Dieu est en vous, la lumière de Dieu vous bénit, la lumière de Dieu vous nourrit, la lumière de Dieu vous maintient dans votre vie, car votre vie est à Dieu et votre vie est éternelle. L’éternité est le présent. L’éternité n’est pas le passé, car l’éternité est toujours au présent. Ce qui est pour vous passé, dans l’éternité est le présent : tout est vie. Lorsqu’on met dans les musées un tableau, mes enfants, est-ce que ce tableau sert la vie, votre vie? Est-ce qu’il vous apporte la lumière, les grâces, les bénédictions du Ciel, la nourriture? Est-ce que ce tableau vous fait vivre votre présent qui est Dieu? Lorsqu’on garde des objets comme l’étole, alors qu’il ne sert plus, cela ne sert pas la vie. On doit se servir de ce que Dieu met dans votre vie afin que ce qui est soit au service de Dieu, soit à votre service. Tout ce qui est de Dieu est vivant.

Ces paroles, enfants d’amour, c’est pour vous. Vous êtes la vie. Refusez la tentation qui vous fait penser à tout ce que l’homme, en l’Église et en dehors de l’Église, a voulu conserver pour son plus grand bien : cela est le tentateur. Donnez-moi cela et remerciez-moi, car j’apporte ce qui est à moi et je l’envoie au pied de la Croix. Ce qui est au pied de la Croix, c’est le mal, car j’ai vaincu le mal et je guéris les mouvements de vie malades. Ma Mère est auprès de vous en ce moment et elle vous donne des grâces afin que vous puissiez continuer ce que vous avez déjà commencé : la purification de la chair.

Je ne viens pas excuser ce que mon Église a fait, je ne viens pas excuser ce que vous avez voulu faire pour le bien du monde : je viens vous montrer les lumières, les lumières qui sont dans votre vie : je viens vous montrer les hommes de Dieu, les femmes de Dieu qui ont toujours voulu aimer Dieu, adorer Dieu, servir Dieu avec leur chair blessée. Ce monde, enfants d’amour, est votre monde. À moi, le Sauveur du monde de vous parler : à vous d’écouter, à vous d’accepter que votre regard soit le regard de l’amour, que votre écoute soit l’écoute de l’amour, afin que vos paroles soient pour vous une nourriture. Vous n’êtes que des instruments, enfants d’amour. Dieu se sert de vous afin que vous soyez au service de vos frères et de vos sœurs.

J’ai créé, mes enfants, un livre d’amour : c’est votre vie. Les anges, mes enfants, sont là et ils ne manquent aucun mot qui vient de leur Dieu : rien ne sera tranché, car tout est dit. Ce que je fais, mes enfants, c’est vous rappeler ce que je vous ai dit par mes apôtres, mes disciples, mes prophètes, mes rois, les enfants de Dieu. Du plus petit au plus grand, Dieu s’est toujours servi des enfants de Dieu.

Petits enfants d’amour, levez-vous maintenant, vous êtes bien fatigués.

 

La Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, il est onze heures et quart. Nous avons reçu des grâces ce matin.

Jésus, au moment où j'ai été l’adorer, il m’a dit : «Mes enfants auront des guérisons, non seulement ceux qui seront ici, mais partout dans le monde». Jésus nous attend.

Vous savez, là-bas, lorsque j’ai été en Colombie, les églises sont tellement pleines, les portes sont ouvertes et on voit des personnes dehors debout qui ne regardent pas la rue, ils regardent vers l’intérieur de l’église parce qu’une messe se dit. À toutes les demi-heures, il y a des messes là-bas, en Colombie. S’il ne s'en dit pas une à une église, il s'en dit à une autre à une autre (église). C’est comme ça continuellement : ils ont soif de Dieu. Nous, nous n’avons pas beaucoup de messes, n’est-ce pas? Alors, savez-vous où on est la plupart du temps? On est dans ce monde, et Jésus nous attend.

Nous avons une grâce aujourd’hui d’être présents là où Jésus est. Jésus est avec nous. Son Corps, son Sang sont là. La transsubstantiation, c’est le Corps et le Sang de Jésus présent; ce n’est pas une hostie, un pain qu’on a voulu mélanger avec de l’eau et du sel, ah, c’est plus que ça : c’est notre Dieu! Jésus est présent : Dieu le Père est avec nous, Dieu le Fils est avec nous, Dieu le Saint-Esprit est avec nous. Il est présent ici dans cette demeure. C’est, c’est au-delà de tout ce que nous, nous pouvons imaginer : Dieu qui a fait ce que nous sommes, notre Créateur, l’univers. Tout ce qui est dans l’univers, sur la terre, tout ce qui est sur la terre, il l’a déposé en nous. Nous ne sommes vivants que par la Vie et la Vie est ici, elle est avec nous, mais nous sommes encore trop épris de nous-mêmes, mais pas assez de lui.

Alors, prenons le temps d’aller le voir, s'il vous plaît, et remercions-le de toujours nous maintenir dans nos mouvements de vie malades. Nous sommes tellement malades que nous ne pouvons même pas réaliser que notre Dieu est avec nous, si bien que des personnes ne croient pas. Comment se fait-il que des personnes ne croient pas que Jésus est présent dans l’Hostie, que Jésus est devant nous, que lorsque nous regardons la Croix, ce n’est pas cet objet, c’est ce qu’il y a en nous : Jésus? C’est comme si la Croix était là pour nous rappeler ce que nous, nous ne sommes pas capables de nous rappeler : que Jésus est dans notre vie.

Nous avons besoin de la Croix pour nous maintenir vivants, nous avons besoin de Jésus sur la Croix pour nous maintenir vivants, tout comme le peuple dans le désert lorsqu’il s’est fait piquer, qu’il s’est fait piquer par les serpents, qui étaient en danger de mort et qui mouraient. Dieu a dit de mettre un serpent d’airain sur un bâton de bois. Eh bien, c’était pour rappeler que Jésus était pour mourir sur la Croix et amener à la mort le mal. Ils avaient besoin de croire en quelque chose. Eh bien nous, nous avons besoin de croire en quelque chose lorsque nous sommes devant cette Croix. Lorsque nous sommes devant Jésus, lorsque nous sommes devant Maman Marie, c’est pour nous rappeler que nous sommes en Jésus, que nous sommes en Marie et nous adorons Jésus, nous n'adorons pas le bois, nous adorons Jésus qui est en nous, mais nous avons besoin de lui. Et il a dit : «Lorsque je serai en croix, je serai entre ciel et terre et les regards se tourneront vers moi». Nous avons besoin de ça. Nous avons besoin de nous rappeler que Dieu nous a sauvés, que nous avons besoin de lui constamment.

Le bois, toujours le bois. Tout le monde est capable de faire un morceau de bois, tout le monde est capable de mouler un corps afin qu’il soit attaché à ce bois, tout le monde est capable de faire ça. Par la puissance du prêtre, il est béni et ça devient pour nous un sacramental. Mais Jésus, le Corps et le Sang de Jésus, est présent ici dans cette maison : il est vivant. Nous avons eu la preuve. Nous savons que Jésus, par la Volonté de son Père a fait en sorte que l’Hostie consacrée, qui est le Corps et le Sang de Jésus, se laisse voir. Vous savez tous qu’il y a eu des miracles nous montrant le Sang de Jésus, la Chair même de Jésus dans l’Hostie. Jésus est là et que faisons-nous?

Alors, demandons des grâces à Marie : "Marie, fais-nous comprendre que Jésus, notre Roi, notre Dieu, notre unique Dieu : Père, Fils et Esprit-Saint, sont présents". Un seul Dieu en trois personnes. On ne peut pas séparer notre Jésus de Dieu le Père, de Dieu le Fils : ils sont inséparables, c’est l’Amour. On ne sépare pas l’Amour, l’Amour ne se sépare pas. Faites ce que vous voulez, croyez-le, croyez-le pas, Jésus lui, il nous aime.

Alors, prenons ce petit temps et chantons pour Dieu

 

♪♪♪  Nous avons marché vers toi et nous t’avons reconnu.