Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2003-10-26  A.M.

 

Jésus : Je suis la Parole, je suis celui qui est, je suis celui qui vient; je viens vous apporter le bonheur.

Je me suis mis sur l’autel pour vous, aujourd’hui; je me suis donné à vous par les mains consacrées du prêtre :

vous avez reçu mon Corps, vous avez reçu mon Sang, tout votre être, mes enfants, n’était plus au moment où moi, je vous ai pris : ce n’est pas vous qui êtes venus vers moi, c’est moi qui ai été vers vous; ce n’est pas vous qui m’avez pris, c’est moi qui vous ai pris, vous êtes venus à moi, je vous attire, mes enfants, afin que vous soyez tout petits en moi afin que vous disparaissiez.

Je suis la Nourriture vivante, je suis l’Amour et l’Amour ne cesse de se donner.

Je vous ai donné de la nourriture spirituelle, ma nourriture est divine.

Je suis la Divinité : mon Corps est le Corps de Dieu, mon Sang est le Sang de Dieu.

Vous avez reçu en vous, Dieu, Dieu vous a pris en lui.

Réalisez que votre sang, mes enfants, a été nourri de mon Sang, il a coulé dans vos veines; mon Corps a été dans votre corps, tout ce que vous êtes : votre chair, vos muscles, vos tendons a été enveloppé de mon Corps.

Je suis, moi, l’Amour, je viens nourrir votre intérieur de ma Divinité : il faut que vous preniez et mangiez, il faut que vous preniez et buviez à ma coupe, assis à ma table, afin que vous puissiez ne plus jamais avoir faim, ne plus jamais avoir soif.

Méditez ces paroles, soyez reconnaissants de ce que votre Dieu vous donne.

Je suis le Fils bien-aimé du Père, mon Père m’a tout donné, et lorsque je me donne et lorsque je vous reçois : vous recevez de mon Père ce qu’il m’a donné.

Toute nourriture corporelle ne sert, mes enfants, qu’à nourrir votre corps : ce corps blessé à cause de vos péchés,

ce corps meurtri à cause de vos péchés, ce corps malade à cause de vos péchés.

Moi, l’Amour, je viens en vous pour vous purifier, pour purifier tout ce qui n’est pas de la Divinité.

Lorsque j’ai dit à l’aveugle : «Que veux-tu que je fasse pour toi?» Vous êtes aveugles, vous êtes sourds! Je viens pour vous soigner, je viens pour vous dire que je vous aime, mais vous doutez, vous doutez que Dieu a donné son Corps pour envelopper votre corps.

Réalisez ce qui vient de se passer, j’ai été en vous et je suis en vous, je ne disparais pas comme lorsque vous prenez du pain.

Moi, je suis la Divinité, je ne me fais pas expulser de votre corps.

Je demeure, mes enfants.

Je vous habite, mes enfants.

Mon Sang est vivant, mon Sang est la Puissance : il vous a purifiés, et lorsque vous me prenez,

je purifie quotidiennement tout ce que vous avez fait d’impur en vous.

Je soigne votre âme, votre âme me parle, votre âme me remercie, votre âme m’adore.

Elle voit, elle; elle entend, elle; elle est en présence de son Époux.

Lorsque vous vous approchez, moi qui suis en vous, j’approche; lorsque vous vous inclinez pour me recevoir, moi, je vous regarde; votre corps est consentant à me recevoir; votre âme, elle, est toute petite en adoration devant son Époux : elle attend; elle est toute fléchie devant la Divinité qui s’approche; elle sait qu’elle va recevoir des grâces qui vont la rendre belle pour l’éternité : elle se sent si privilégiée qu’elle ne bouge pas! 

Ce temps où elle voit son Dieu qui s’approche pour lui donner des grâces

est si important pour votre âme!

Si vous pouviez voir votre âme, que de larmes de joie couleraient de vos yeux! Votre âme reçoit son Époux avec tous les honneurs qui lui sont dus.

C’est votre âme, mes enfants, qui reçoit les grâces; c’est votre âme, mes enfants, qui vous nourrit, afin que vous soyez guéris, afin que vous soyez sauvés.

Votre corps est extérieur, il ne dure que le temps de votre temps sur la terre et celui-là se calcule en jour, en mois, en année, mais votre âme, elle, elle est éternelle :

elle, elle est importante!

On court, mes enfants, pour être soigné de l’extérieur.

Mais, à l’intérieur, c’est l’âme qui reçoit, c’est elle qui accueille tout et c’est par l’âme, mes enfants, que votre corps se guérit.

Soyez petits, rendez grâce à Dieu : il a préparé tout ce qui vous était nécessaire pour recevoir la Divinité en vous, pour accueillir les grâces de mon Père, car le Fils passe par le Père.

L’âme le sait, votre âme s’incline devant le Fils de Dieu, car Dieu le Père a donné l’âme à son Fils, il a tout donné.

Les élus de mon Père : c’est vous, les choisis de mon Père, c’est vous!

Il vous a donnés à moi et moi, j’ai dit à mon Père que je lui ramènerais ses enfants pour sa Gloire.

Il est important ce moment où vous venez communier.

Il n’y a pas de plus grand miracle qui se passe devant vous, pour vous, et si peu le voit! Ils sont si rares les enfants qui réalisent que l’âme vibre, que l’âme se languit de son Époux.

Vous vous approchez de moi la tête basse, vous vous approchez de moi bien souvent sans un sourire, sans exprimer de joie sur votre visage :

vous venez comme si vous étiez des pécheurs.

Mes enfants, vous êtes mes choisis, lorsque vous vous approchez de moi, soyez dans l’allégresse, votre âme se réjouit; soyez dans la confiance que Dieu est votre tout.

Il ne veut pas, pour vous, vous montrer un Dieu qui vous domine, qui vous fait peur, qui vous rend triste : cessez, mes enfants, de présenter un visage de deuil, soyez dans la joie.

Et lorsque vous me recevez, eh bien, entrez en vous, vous allez voir que votre âme est toute lumineuse, votre âme est rayonnante, elle est si rayonnante que cela sort de vous : vous êtes lumineux! Mes amours, si Dieu est lumineux, croyez-vous qu’au moment où moi je vous prends, vous devenez lumineux?

Ces paroles sont de vie, ces paroles sont puissance, recevez votre Dieu avec amour.

L’amour, mes enfants, ça se goûte; l’amour, mes enfants, ça se partage; l’amour, mes enfants, se réjouit :

réjouissez-vous, soyez dans la joie lorsque vous me recevez! Lorsque vous allez vous recueillir, demeurez dans la joie parce que, savez-vous ce que je vous dis?

«Je t’aime, je t’aime, aimez-moi. Comme tu es belle! Comme tu es transformée! Tu brilles, ma bien-aimée. Oh! que de bien je dépose en toi!  Comme tu es ma fiancée, je te pare du plus beau bijou et je te revêts de mon vêtement : il est tout blanc, il est si pur. Oh! sois dans la joie, nous sommes en fête toi et moi. Je suis ta vie et je suis en train de nourrir ta vie. Tout est possible, reste avec moi; reste avec moi, je t’aime!»

Oh! mes enfants, quand on entend des mots d’amour, est-ce que vous tournez le regard lorsque votre mari vous parle, ou votre épouse?  Est-ce que vous perdez votre sourire? Non! vous êtes contents, vous êtes tout en joie! 

Eh bien, ces paroles que votre époux, votre épouse, votre fiancé(e), vos amis, vous disent, ce sont des mots d’amour qui viennent de moi, parce que je vous ai donné des grâces d’amour et votre âme en a profité, et cela sort de vous.

Alors au moment que moi, le Divin, je viens nourrir votre âme, soyez dans la joie, soyez dans l’allégresse! 

Croyez, parce que je veux faire tout pour vous!

Je veux que vous redeveniez des enfants d’amour : là, vous ne connaîtrez plus jamais la souffrance; il n’y aura plus de larmes causées par vos peines, vos désappointements; il n’y aura plus de contradictions parce que quelqu’un vous a dit quelque chose que vous ne vouliez pas entendre, ou vous n’avez pas obtenu quelque chose que vous aimeriez avoir, ou quelqu’un de très précieux pour vous ne veut pas vous regarder : tout cela, mes enfants, ne sera plus! 

Je viens vous apporter le bonheur, Je viens vous nourrir de ma Divinité.

Vous, mes enfants de la Divine Volonté, vous mes élus, vous mes choisis, vous êtes des enfants de la Lumière : alors, brillez à l’extérieur avec vos muscles! Je ne puis vous forcer, moi, à sourire, mais je peux, moi, vous aider en déversant en vous des grâces de joie et, si vous les accueillez, vous allez voir combien c’est bon! Une légèreté vient en vous, une paix vous envahit et à l’intérieur des émotions commencent à se faire sentir : c’est comme un feu d’artifice, vous ne pouvez pas faire autrement que de sourire et ceux qui vous regardent se disent : "Comme il est heureux, comme il semble être bien en lui! Quelle est donc cette joie que, moi, je ne ressens pas? D’où vient-elle? Pourquoi, moi, je ne l’ai pas? Je veux goûter à ce qu’il goûte." 

Il vous regardera et vous serez un témoin de mon agir.

Vos âmes qui ont été guéries vont contribuer à guérir, car je vais me servir de vous pour attirer à moi mes petits enfants, car je suis la Toute-Puissance, car je suis la Divinité, c’est moi qui suis tout Pouvoir.

Ce pouvoir vient de mon Père, vous êtes en présence de ce pouvoir.

Ayez confiance et venez, je suis l’Amour!

Gardez-vous tout petits dans cet état d’être que vous êtes en ce moment.

Amours, je vous aime, amour vous êtes et amour vous serez pour l’éternité.

Par le pouvoir du sacerdoce, recevez, mes amours, des grâces d’amour.

Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur veut parler à travers son instrument d’amour, il veut parler aussi à travers chacun de vous.

Chacun de nous avons été éclairé, chacun de nous avons reçu des grâces de lumière.

Vous avez vu, cette fin de semaine choisie par Dieu le Père, son agir.

Vous avez assisté vous-mêmes à l’agir, c’est le Verbe qui s’est manifesté à travers son instrument d’amour;

c’est parce que Dieu le Père l’a choisie, et chacun de vous avez été aussi des instruments en fin de semaine;

il n’y avait pas seulement que moi : nous faisions qu’un seul cœur dans le Cœur même de Jésus.

Beaucoup de grâces ont été données.

Ce n’est pas parce que vous êtes venus ici, spécialement en fin de semaine que cela se produit, c’est à tous les jours; c’est à chaque jour que Dieu le Père nous nourrit ce n'est pas : s'asseoir, venir écouter que vous recevez, à ce moment-là, des grâces spécialement, c’est à tous les jours : c’est lorsque que vous vous levez le matin, c’est lorsque vous déjeunez, travaillez; c’est à chaque instant que Dieu le Père déverse en chacun de nous des grâces par Jésus.

Jésus nous habite, Jésus est vivant en nous et c’est à tous les jours!

Si nous faisons nos journées en ressentant en nous de la pesanteur, de la fatigue; si, en nous, il y a des idées qui se forment et qui nous épuisent à la fin de la journée : c’est parce que notre volonté humaine est en nous et que nous avons répondu à notre volonté humaine : nous lui avons dit oui, à elle.

Nous avons deux choix à faire, c’est oui ou c'est non.

On dit oui à Jésus : on dit oui à tout ce qui est bon en nous.

Mais n'oubliez pas que vous pouvez aussi dire oui à votre volonté humaine aussi.

Lorsque vous acceptez d'être contrariés, c'est parce que c'est vous-mêmes qui avez pris ce qui était à l'extérieur et vous avez consenti à le laisser entrer en vous.

La personne qui s'adresse à vous et qui vous dit que vous avez engraissé, c'est que vous avez accepté ce qu'elle vient de dire, vous l'avez laissé pénétrer en vous.

Vous aviez le choix : vous pouviez dire : "Non, Seigneur, je ne veux pas que cette parole m'atteigne, je te la donne."

Eh bien, vous auriez gardé votre paix! Est-ce que ça aurait changé quelque chose? Auriez-vous engraissé tout d'un coup?  Non, vous êtes la même, vous êtes la même personne.

La différence entre une personne qui garde sa paix, sa joie, sa bonne humeur et la personne qui a été contrariée, c'est tout simplement qu'une a dit oui : elle a accepté ce que l'autre lui a dit.

Nous laissons pénétrer quelque chose en nous.

Bien souvent, Satan se sert de personnes autour de nous pour nous atteindre.

Il incite des personnes à prononcer des paroles blessantes.

Et, souvent, la personne dit "Bien voyons, qu'est-ce que j'ai dit?".

Oh! bien souvent, elle ne se rend même pas compte qu'elle vient de faire de la peine à l'autre : elle a pris une mauvaise habitude.

Lorsqu'elle voit une personne qui est grasse, pour elle, c'est un défaut, ou bien pour elle, bah! c'est quelque chose qui n'est pas tout à fait normal.

Pourquoi elle remarque qu'une personne est grasse, pourquoi elle remarque qu'une personne est mince?

C'est parce qu'en elle, elle porte des blessures.

Elle-même, jadis, s'est laissé blesser ou si elle ne s'est pas laissé blesser, c'est qu'elle porte une personne qui a été blessée : ça peut être une personne de sa génération.

Et Satan, lui, se sert de ces blessures-là, ce n'est pas parce qu'il peut deviner ce qu'il y a à l'intérieur d'elle :

c'est faux! – parce que Satan ne peut pas venir en nous, mais il regarde, il nous voit agir – et lorsque la personne regarde une personne qui a une belle silhouette qu'elle aurait voulue : il voit l'envie à l'intérieur qui sort, alors il peut l'attaquer, là il sait qu'elle a un point faible.

Vous ne pouvez pas vous imaginer comment il est rusé!

Dès que vous sortez du sein de votre mère, Satan fait tout pour vous faire perdre la vie qui vous a été donnée par le Père.

Satan a été projeté en enfer parce qu'il a refusé d'aimer, il a refusé d'adorer le Fils de Dieu fait Homme.

Alors, vous autres, nous, on est quoi? On est humain.

Pouvez-vous comprendre la haine qu'il a pour nous? Dieu nous protège de la comprendre parce qu'on ne pourrait même pas en supporter la douleur.

Vous savez pourquoi? parce qu'il ne veut pas qu'on comprenne la douleur que Satan a.

Il nous ménage parce que ça nous détruirait.

Alors, c'est pour ça que nous devons toujours être des êtres d'amour pour nous, pour ceux aussi qui sont autour de nous.

Lorsque vous vous laissez blesser par une personne, c'est vous qui êtes blessés la première.

Et après, qu'est-ce que vous faites? Vous dites : "Ah! la "vinyenne" vilaine : alors, vous aussi vous la blessez.

Parce que lorsqu'on se laisse blesser : à l'intérieur de soi, cette blessure pénètre, en nous, elle nous fait mal, elle nous rend faibles; puisqu'elle nous rend faibles, nous sommes portés nous aussi à trébucher, à faire du mal à l'extérieur de nous.

Voyez-vous, on porte en nous notre volonté humaine qui est blessée à cause du péché.

Jésus, il n'est qu'amour, il ne fait pas parler ses messagers pour dire : "Tu es un pécheur, tu es comme ci, tu es comme ça", non; il nous envoie pour laisser parler le Saint-Esprit à travers nous pour qu'on puisse se découvrir,

pour découvrir ce que la volonté a fait avec les enfants de Dieu, avec les enfants de la Divine Volonté.

Dieu ne nous forcera pas à redevenir des enfants de la Divine Volonté si nous, nous ne le consentons pas.

C'est pourquoi il envoie des messagers qui se laissent prendre par le mouvement du Saint-Esprit pour parler de qui nous sommes.

Moi, je ne le sais pas plus que vous toutes ces paroles, il me les fait dire au moment où vous vous les entendez.

Il est important de savoir que Dieu parle, il parle pour nous; c’est à chacun de nous de choisir si on veut se laisser transformer.

Nous avons prononcé notre oui à l’Amour, c’est vrai!

Mais ça ne nous fait pas instantanément redevenir tel qu'on aurait dû être, avant le péché d’Adam et Ève : cela serait un manquement envers ce que nous sommes.

Lorsque vous prenez une feuille, et que la feuille est remplie de mots, oui toutes sortes de mots : c’est nous qui l’avons écrit cette feuille, nous y avons mis de notre volonté.

S'il arrivait que Dieu voudrait nous changer, il prendrait la feuille, puis il l’effacerait; il a ce pouvoir de faire de nous un être complètement nouveau, mais nous qui avons été faits des dons du Saint-Esprit, nous avons produit en nous des actions qui ont été bonnes à travers des actions qui n’ont pas été bonnes : alors Dieu fait attention à nous.

Il veut nous garder tels que nous sommes avec nos tempéraments, avec les dons qu’on a reçus.

C’est comme la semence, il a mis la graine dans la terre, il y a poussé une plante, mais la nuit le démon est venu et il a commencé à semer et la mauvaise herbe a commencé à pousser.

Est-ce que Dieu va tout enlever? Il va faire attention, parce qu’il veut garder ce qui est bon en nous, parce que c’est son œuvre, c’est son œuvre à lui! Il nous a formés avec ce que nous sommes, il respecte notre liberté, il nous aime tel qu'on est.

C’est pour ça que nous devons librement prononcer notre oui, et c’est tranquillement que nous allons laisser Dieu nous transformer avec ce que nous sommes, mais avec aussi notre consentement.

C’est à tous les jours que Dieu veut qu’on prononce notre oui.

Quelque chose qui est acquis facilement, est-ce qu’on peut l’apprécier? Pourquoi sommes-nous convaincus que nous ne pouvons pas apprécier quelque chose sans effort? Parce que le Fils, le Fils de Dieu est venu sur la terre en prenant chair, parce que le Fils sur la terre a pris toutes nos actions et il a laissé couler son Sang sur nos actions qui n’étaient pas pures : il a gagné notre place.

On ne pourrait pas apprécier tout ce que Jésus a fait pour nous, si du jour au lendemain Dieu nous changeait instantanément.

On regarderait la Croix et on dirait : "Merci Jésus, tu es mort pour nous, tu as souffert pour nous. Ton sacrifice Jésus, je l’apprécie; merci." 

C’est un merci bien maigre! 

C’est une reconnaissance qui ne nous montre pas notre vraie valeur à nous.

Voyez-vous, lorsque Jésus est mort sur la Croix, il connaissait chacun de nous et il connaissait tout ce qu’on allait faire avec notre volonté humaine : le bien et le mal.

Alors, en nous faisant vivre à tous les jours notre vie, avec ce que nous sommes, en nous laissant purifier par sa Divine Volonté, en acceptant qu’il nous transforme, à chaque jour : on avance avec ce qu’on a fait.

Et lorsqu’un pas est fait et lorsqu’on découvre que Dieu nous aime malgré nos défauts, eh bien, on est heureux :

là on commence à prendre de la valeur! Comment ça se fait que Dieu m’aime malgré que j’ai conté des menteries, malgré que j’ai volé, malgré que j’ai tué, malgré que j’ai enlevé la vie à l’intérieur de moi? Pourquoi Dieu m’aime-t-il comme ça? Voyez-vous, c’est ce qu’il veut qu’on fasse : il veut, à tous les jours, qu’on apprécie son amour.

C’est pour ça qu’il y a des personnes dont leur guérison est plus lente que d’autres : parce qu’ils passeraient à côté d’un trésor! Ils ne pourraient pas découvrir leur valeur, leur vie en Jésus :

l’importance de ce qu’ils sont aux yeux de Dieu.

Certaines personnes, elles, guérissent plus vite, pourquoi? Parce qu’il est tout pur à l’intérieur, il est comme le petit enfant : son orgueil a moins pris d’emprise sur lui; sa volonté humaine a prononcé plus de oui pour Dieu que de oui pour le mal : alors il connaît sa valeur parce que Dieu lui a montrée.

À chaque jour, c’est la même chose pour nous.

Chacun d’entre vous allez recevoir des grâces de guérison et vous avez reçu des  grâces de guérison pour votre âme! Lorsque notre corps, lui, est prêt à recevoir ce que Dieu veut pour chacun de nous; c’est que Dieu le Père sait que nous allons apprécier ce qu’il vient de nous donner avec ce que nous sommes, avec notre petite personne à nous :

alors nous allons rendre grâce à Dieu, ça va sortir de nous.

Le Seigneur veut que je témoigne.

Lorsque j’ai commencé en l’an quatre-vingt-dix-huit, j’allais à Marmora et dans le milieu de quatre-vingt-dix-huit, un homme était dans l’autobus : il s’appelait Jean-Paul, mais il faisait des ministères de guérison et je ne connaissais pas ce que c’était que des ministères de guérison.

Alors il s’est approché, puis il m’a demandé : "Est-ce que je peux m’asseoir avec vous?" Moi qui espérais passer un voyage toute seule dans la prière, sans jaser! J’ai dit "oui", il s’est assis, puis il a dit : "Je sais que tu voulais demeurer seule."

J’ai eu honte un petit peu, hein! J’ai dit : "Comment ça se fait qu’il sait ça, lui?" Alors il a commencé à me parler de lui, qu’est-ce qu’il avait fait; il allait d’une maison – pas de maison en maison comme les Jéhovah – quand il était invité avec la Sainte Vierge, puis ils priaient.

Il a consacré sa vie à Marie, à Jésus; alors, il m’a demandé : "Tu veux que je prie avec toi? (J’ai dit) "Oui." 

Alors j’ai ouvert mes mains et, lui, il a déposé un crucifix dans mes mains; il a commencé à prier puis, moi, je priais.

Là, il s’est passé quelque chose, il s’est mis à pleurer; il pleurait, puis il pleurait! Alors il a retiré sa main, il a dit : "Il y a tant de souffrance en toi! Je ne peux plus le supporter."

Il a fallu attendre, il s’est calmé, après ça, il a encore retouché ma main et là, il pleurait puis il pleurait, alors il a retiré sa main.

Il a dit : "Tu portes tellement de souffrance!" alors moi, j’ai cru que c’était toute ma souffrance, je me suis dit : "Mais, mon doux, je ne souffre pas tant que ça!" Je ne comprenais pas.

Il priait dans le Saint-Esprit, puis il a dit : "Tu vas tomber dans le repos du Saint-Esprit".

Je n’ai pas tombé dans le repos du Saint-Esprit, mais il a dit : "Quand tu arriveras chez toi, tu vas tomber dans le repos du Saint-Esprit."

Je suis arrivée à la maison, j’ai fait ma prière, je n’ai pas tombé dans le repos du Saint-Esprit, mais il s’est passé quelque chose.

J’avais eu un accident à l’épaule et pendant un an de temps je dormais assise, et j’avais perdu l’usage de mon épaule : je pouvais me laver comme ça, mais pas trop haut, parce que les muscles avaient décollé de mes os,

puis le médecin avait dit, car j’avais passé des radiographies, il a dit : "Tu ne retrouveras plus comme avant l’usage de ton épaule."

Alors (le lendemain), j’ai commencé à me laver, à ma grande surprise, je n’avais plus de douleur à l’épaule et ce qui avait de beau aussi, c’est que je ne m’étais pas aperçue  que – moi, j’ai la colonne déviée, cervicale et lombaire, et le chiro avait dit que j’étais pour continuer (sans traitement), j'étais pour avoir une opération – je n’avais plus de douleur, je pouvais me pencher.

Hé! j’ai été une bonne semaine, quand je me penchais là à plier mes genoux, parce que tout d’un coup que ça reviendrait! Eh bien, non! Ce n’est plus jamais revenu, je n’ai plus jamais eu mal au dos et mon épaule est guérie.

Alors là, je ne comprenais pas ce qui se passait.

Mais un jour quand j'ai été… comment on appelle ça? un congrès charismatique.

Mais moi, je ne connaissais pas ça, alors les personnes avec qui je priais le lundi soir, eux autres connaissaient ça, ils y allaient.

Mais ça m’a bien tenté d’y aller, alors ils m’ont invitée à y aller et (durant le trajet) je leur contais que j’avais une douleur, depuis un mois, à la poitrine, qui ne partait pas.

Mais durant le ministère – il y avait un ministère de guérison par Sœur Claire Gagné – elle disait de mettre la main à l’endroit où ça faisait mal. J’ai mis ma main sur mon cœur et c’est parti et ce n’est plus jamais revenu.

Arrivée chez-nous, j’ai dit : "Hé, mon doux, mais c’est puissant ces affaires-là!" Alors j’ai parlé au Saint-Esprit et lorsque j’avais mal, savez-vous ce que je faisais? Je priais le Saint-Esprit et ça s’en allait tout simplement, assez qu'une fois, je l’ai conté, hein? Une fois j’ai été chez Sœur Thérèse à Longueuil où il y avait des guérisons; il y avait un jeune homme : Luc, je crois qu'il s’appelle, puis, nous, on lui dit : "Demande ta guérison, aie confiance!"

Il a dit : "Bien non! Qu’est-ce que je vais avoir à offrir au Seigneur?" Alors là,  j’ai dit : "Ah! mon doux! c’est vrai Seigneur!" Alors quand je suis arrivée à la maison, "Ah! Seigneur, maintenant, je vais faire attention, je ne te demande pas de guérir mes chaleurs." Mais je suis restée avec mes chaleurs! Maintenant, ce qu’il y a de beau, c’est que je n’ai plus de chaleurs! Lorsque quelquefois, après une journée de quinze, seize heures par jour, croyez-le ou croyez-le pas, vous n’avez qu’à le demander parce que c’est vrai; dans la construction, on arrive à la maison, on est plein de courbatures des fois au cou, je suis vraiment  raquée.

Alors là, je laisse la place à Jésus et je demande à Jésus de venir en moi, de laisser couler son Sang dans mon sang.

Je dis à Jésus : "Jésus, ce ne sont pas mes cellules, ce sont tes cellules; ce sont tes muscles, ce ne sont pas mes muscles : ce sont les tiens, c’est à toi ces tendons; alors Jésus, prend-les, tout est à toi."

Et vous savez qu’est-ce qu’il arrive? Je n’ai plus de fatigue et je recommence. "J’espère que je n’abuse pas trop, Jésus!"

Jésus nous a dit que dans la Divine Volonté, nous ne connaîtrons plus la maladie.

Nous allons vivre de joie, de paix, d’amour.

Lorsqu’on vit de paix, de joie et d’amour : on n’a pas de douleur.

Dieu dit que nous portons encore des enfants du non en nous et à cause de ça,

nous allons continuer à connaître des souffrances.

Oui, Jésus a dit que lorsque nous allons vivre dans la Nouvelle Terre en enfants de la Divine Volonté, il n’y aura plus d’enfants du non en nous; alors, il n’y aura plus de mal.

Nous qui avons dit notre oui à la Divine Volonté, nous laissons Dieu nous transformer en enfants de la Divine Volonté, et cela se fait là. C’est commencé, ça se fait et lorsque ça sera total, aucun mal ne sera en nous comme Adam et Ève avant le péché.

Dieu est l’Amour, Dieu est la Présence, il faut rendre grâce à Dieu d’avoir été patient avec nous.

Dieu le Père nous regarde et il étire encore pour quelque temps sa patience.

Il dit que :

 

Dieu le Père : Cela, mes enfants, est pour vous.

Le temps est mon temps, abandonnez-vous en mon Fils en renonçant à votre vie.

Moi, votre Père, je vous donne votre pain quotidien : prenez; aimez-vous, pardonnez à ceux qui vous font du mal; je vous protège des tentations, je vous entoure de mes anges pour vous protéger du mal.

Soyez des enfants d’amour en mon Fils.

Et toi, ma fille, toi, ma bien-aimée, toi, ma choisie, tu as reçu le don de guérison. Donne, ma bien-aimée[1],

cela n’est pas pour toi, cela est pour mes enfants, non que tu sois, toi, privée de ces grâces d’amour, mais, ma bien-aimée, comme Obélix, tu es tombée dans la marmite! Viens, approche-toi, ton Dieu a déjà préparé les cœurs.

Amen.

 

 

[1] Dieu tout-puissant demande à sa fille Carmen de se donner à ses frères et ses sœurs; il veut se servir de sa fille choisie pour donner des grâces qui les aideront à avoir la foi en leur guérison.