Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2006-12-02 – P.M.

 

Jésus : Ce chant vous a amenés dans le cœur de l’Église; il vous apprend à toujours faire confiance en celui que Dieu a choisi.

Le pape est un exemple pour vous, un exemple de fidélité, d’obéissance.

Celui que le Ciel vous a choisi est un pape d’amour, il croit en ma Parole; il croit que ce que j’ai enseigné est vérité, et il propage la vérité.

Il est soutenu par les membres qui sont sous sa gouverne, car il est gouverneur : je lui ai confié mon royaume; il est pour vous, ce que moi, je suis pour vous.

Soyez toujours fidèles à ce qu’il vous demande; demeurez enfants de Dieu tel qu’il est : enfant de Dieu.

Regardez ce monde avec amour, ne le jugez pas, car ce monde se tournerait contre vous; soyez avec ce monde, non dans ce monde.

Gardez-vous de vos pensées humaines, elles vont vous faire souffrir, car ce monde n’a rien à attendre de vous-mêmes, il se croit être maître de vous-mêmes.

Gardez votre place, tel mon pape vous le demande; soyez fidèles à l’amour du Christ comme le Christ est fidèle en tout en son Père.

Demeurez unis avec tous les enfants du monde en gardant en vous que Jésus a pris tous les enfants et a sauvé tous les enfants; je dis tous mes enfants, car certains croient qu’il y a des enfants qui ne méritent pas mon sacrifice, parce qu’ils ne me suivent pas.

Gardez-vous de cela, car cela n’est pas de moi, mais de Satan; lui, le diviseur, lui, le menteur, il veut vous conduire hors de l’Église : hors de moi, de mon Corps.

Je porte les âmes souffrantes, militantes et triomphantes.

Les âmes souffrantes sont celles du purgatoire; militantes sont celles de la terre : ceux qui vivent devant mon Père afin qu’ils aillent vers mon Père. 

Vous devez tous être unis les uns et les autres; ne regardez pas les œuvres de vos frères et de vos sœurs, regardez vos œuvres, car ce sont vos œuvres qui vous apporteront des récompenses.

Laissez tout entre les mains de Celui qui vous a gagné la vie éternelle.

Mon pape demande l’amour; ce n’est seulement qu’en étant amour que vous êtes devant Dieu; si des enfants ne se savent pas être devant Dieu, cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas amour; s’ils font des actions agréables pour (leur) prochain, cela est devant Dieu.

Demeurez toujours comme des tout petits enfants; ne cherchez pas à regarder de l’autre côté de la frontière; chacun a ses cultures, chacun a ses traditions données de génération en génération; s’ils font de bonnes actions, c’est qu’ils sont nourris des grâces de Dieu.

Il n’y a que l’amour qui vous amène à vous reconnaître enfants de Dieu, que l’amour, mes enfants.

Qui d’entre vous, ici, peut mesurer son amour pour moi? Personne, car vous-mêmes, vous n’êtes pas capables de mesurer votre amour pour moi, car moi, je connais la valeur de vos oui à l’Amour, moi, je connais la valeur de vos actions.

Laissez-moi juge de votre amour; tout ce qui est à vous est le oui.

Lorsque vous consentez à aimer, Dieu vous comble; alors, vos frères et vos sœurs de tout pays, de toute religion, sont devant mon Père lorsqu’ils se conduisent en êtres d’amour.

S’il se conduit en être indifférent à son prochain, n’ayant que de regard que pour lui-même, Dieu ne le rejette pas, mais il détourne son regard, il le laisse seul avec lui-même afin qu’il puisse comprendre que ce qu’il fait porte des conséquences.

Lorsqu’il vit ses conséquences et lorsqu’il est dans sa souffrance à cause de ses mauvaises actions et qu’il a regret, qu’il cherche de l’amour, mon Père tourne son regard vers celui qui est repentant.

La religion de l’Amour est universelle : je suis, moi, le Sauveur du monde; je suis venu au monde en prenant l’état de pauvreté, puisque je suis venu au monde dans une crèche, une étable, mes enfants! J’ai voulu démontrer au monde que celui qui se montre petit est grand devant mon Père.

Nul enfant sur la terre ne peut juger son frère et sa sœur comme étant indignes devant mon Père; aimez-vous inconditionnellement, aimez vos ennemis, car vous ne savez pas si votre ennemi est inconditionnellement contre vous.

Qui d’entre vous peut dire qu’il ne connaîtra jamais de regret? Personne ne peut dire cela, car vous ne sondez pas les cœurs, il n’y a que Dieu qui puisse le faire.

Au moment où il quitte la terre, il y a toujours un moment où il doit vivre son jugement; là tout se passe, là Dieu donne de l’amour afin qu’il puisse se juger avec son amour et des grâces.

Des grâces lui sont accordées et ces grâces, mes enfants, il les a obtenues par vos prières, par vos oui à l’Amour, par vos actions.

Voyez-vous, vous ne pouvez pas être contre vous-mêmes; voilà pourquoi Dieu vous demande de regarder ce monde comme étant un monde qui a besoin de prières, de vos prières, afin que vous puissiez, tous ensemble, être devant le regard de mon Père.

Ce temps est un temps d’amour, est un temps de grâces, est un temps où chacun de vous doit être devant sa vie.

Votre purification, c’est regarder votre vie avec amour, non avec jugement, car votre vie fait partie de la vie de tous les enfants de la terre, car mon Père est votre Père.

Mon Père a choisi chaque enfant puisqu’il a permis la vie; si des enfants, parmi eux, ne choisissent pas le Fils de Dieu, ne veulent pas du Fils de Dieu, et cela, malgré les grâces accordées, vous devez, vous, en tant qu’enfants de Dieu, continuer à aimer sans condition, à vivre d’espérance, de foi et d’amour, car c’est votre vie.

Vous portez ces enfants en vous, mes amours, et lorsque vous aimez sans condition, lorsque vous acceptez de regarder ce monde comme étant sauvé par ma Croix, votre vie continue son cours dans le mouvement de la Rédemption.

Tant qu’il y aura des enfants sur la terre qui auront à vivre leur jugement, vous devrez prier sans condition, sans un regard vers en arrière, mais avancer.

Oui, vous allez avancer, mes amours, car c’est votre vie; vous êtes sur le chemin de l’éternité avec les enfants de Dieu qui, eux, sont appelés tous à être éternels; vous êtes amour.

Le pape que le Ciel vous a accordé est pour vous une grâce; il vous lie les uns et les autres, il vous conduit vers de verts pâturages, là où l’herbe est haute, là où il n’y a pas de frontières, là où chacun donne de lui-même par amour.

Voyez-vous, mes enfants, si aujourd’hui votre pape parle d’amour, c’est pour vous montrer l’exemple à suivre.

Aimez, aimez sans condition les enfants de mon Père.

Je suis l’Église et vous êtes mes membres; tous, je dis bien tous, vous êtes mes membres; tous, vous êtes mes âmes d’amour; tant que vous êtes en moi, je vis votre vie et je vous demande de vivre ma Vie.

Ceux qui ne sont plus avec moi, c’est qu’ils ont choisi la mort éternelle; ne pleurez pas sur la mort éternelle, la mort éternelle est venue les avaler pour faire son œuvre.

Moi, l’Amour, j’ai respecté leur choix; eux, ils ont choisi, ces enfants de Dieu; tous ont eu le même regard : celui de mon Père.

Je me suis donné pour eux comme je me donne pour vous.

Savez-vous, mes enfants, que j’ai connu et que je connais, que je connaîtrai tous ceux qui diront non à l’Amour? Et pourtant, mon amour est inconditionnel, je me penche sur chacun d’eux, comme je me penche sur vous-mêmes.

Je fais cela, mes enfants, et je vais continuer à faire cela par amour, par amour pour vous; ils vivent en vous comme vous vivez en eux.

Je suis la Vie et ils ont reçu la vie de mon Père, et je respecte le choix de mon Père; la Vie est en eux et tant qu’il y aura vie, il y aura ma Vie.

Je vous demande, mes amours, de comprendre que vous êtes liés les uns et les autres; en acceptant de vivre ensemble, en êtres d’amour, vous acceptez de partager l’amour et eux acceptent de partager leur vie.

Je parle de vos frères et de vos sœurs qui portent un oui à l’Amour; celui qui ne porte pas le oui à l’Amour vit sa vie dans la souffrance.

Mais les grâces, mes enfants, vous sont accordées, vous les oui à l’Amour, afin que vous puissiez avancer, afin que vous puissiez aimer inconditionnellement, afin que vous puissiez vous aider les uns et les autres à passer votre vie de purification sur terre.

Enfants d’amour, telle est la Volonté de mon Père, telle doit être votre volonté, car elle n’est plus celle qui vous a dominés.

Vous avez renoncé à votre volonté pour vivre dans ma Volonté, moi le Rédempteur, moi le Messie, la Lumière, la Vie, le Chemin.

Ma Volonté est en vous et vous êtes en moi, je vous nourris de mes grâces de vie; vos mouvements sont nourris de ma Volonté et tout ce que vous faites est grâce, absolument tout; voyez-vous, tout vous revient.

Voilà l’importance, mes enfants, de vivre avec vos frères et vos sœurs, en ne regardant pas si ceux-là sont avec Dieu ou contre Dieu, si ceux-là sont dans la religion catholique ou dans une autre religion.

Ne savez-vous pas qu’il n’y a qu’une seule Église, Jésus? Je suis l’Église, mon Père est moi, je suis en mon Père, mon Père est en moi, il est Dieu, je suis Dieu.

Tous ceux qui croient en mon Père, mon Père les bénit; tous ceux qui croient qu’ils ont droit à la vie éternelle et qu’ils font de bonnes actions, mon Père les bénit.

Je me suis donné pour eux; ils verront le Fils de Dieu au moment où mon Père le veut.

Tout est amour en mon Père et vous devez être ainsi par moi, car vous êtes en mon Père et mon Père est en vous par moi.

Priez, mes enfants, pour tous les enfants de la terre; soyez prière inconditionnelle; ne regardez pas s'il y a des fruits, à moi de vous les montrer si mon Père le veut; mais sachez qu’aucune prière n’est négligée, aucune; cela veut dire aucune de vos bonnes pensées, aucune de votre bonne écoute, aucune de vos bonnes paroles, de vos bons sentiments, de vos bonnes actions n’est négligée.

Voyez-vous l’importance de votre vie en l’Église avec tous vos frères et vos sœurs de la terre? Votre pape le crie, mes enfants.

Il n’y a qu’en l’Amour qu’il y a de l’amour; en dehors de l’Amour, il n’y a rien; tout est vérité lorsqu’on suit Dieu.

Je vous parle d’amour, je vous fais connaître la Volonté de mon Père comme j’ai fait connaître la Volonté de mon Père aux premiers chrétiens; il n’y a pas de différence entre eux et vous; si avec les années il y a eu séparation, c’est qu’il y a eu la volonté humaine, la souffrance.

Laissez à Jésus la souffrance, cela je l’ai porté; alors, donnez-moi ce qui est à moi, afin que ce monde cesse de souffrir, cesse de se laisser diviser par Satan; c’est le prince des ténèbres qui veut diviser les enfants de mon Père.

Il se sert de l’orgueil, mes enfants, il se sert de lois, il se sert de traditions, il se sert de cultures, il se sert de mouvements de piété; voyez-vous les ruses de Satan?

Soyez pieux, et manquez envers l’amour, vous manquez envers vous-mêmes; dites-vous aimer Dieu et manquer envers l’amour du prochain, vous manquez envers vous-mêmes.

Vous portez en vous le monde par moi; alors, mes amours, attention pour ne pas tomber dans les pièges de Satan; ils sont nombreux les pièges de Satan.

Ce monde se laisse prendre par des lectures fausses, par des personnages faux; savez-vous, mes enfants, que la magie devient mouvement de vérité pour certaines personnes, alors que la magie n’est pas de Dieu? C’est vide la magie, c’est tromper l’œil la magie, c’est difformer la vérité la magie, c’est montrer ce qui n’existe pas pour apporter de la fantaisie.

Prenez garde à la fantaisie, car elle est contre vous; tout ce qui est fantaisie vous amène à découvrir ce qui n’est pas réel; ce qui n’est pas réel n’est pas lumière, donc : ténèbres.

Il y a des enfants qui se laissent prendre par la magie.

Je n’ai pas approuvé la magie, mes enfants, et je n’approuverai pas la magie; vous n’aurez rien à apporter à mes tout petits enfants en les instruisant avec la magie : je ne suis pas un magicien.

Je ne viens pas changer ce monde par de la magie; vous devez vivre dans la lumière, dans la vérité, dans l’amour.

Il y a vous : ce qui est magie est extérieur, n’est pas en vous.

Il montre un monde où on peut changer ce qui est mauvais en bon dans un seul mouvement; que de faussetés, mes enfants, on n'apprend pas la vérité en disant cela, car j’ai porté la Croix.

Chacun de vous, ici, (vous) savez que la purification se fait dans la souffrance, mais avec mes grâces.

Je ne vous ai jamais parlé de magie; je vous mets en garde de croire à cela.

Priez, mes enfants, priez pour les petits enfants de ce monde; priez, car Satan a ensorcelé les enfants de Dieu leur faisant accroire qu’on peut aider des petits enfants à bas âge à croire en Jésus en se servant de la magie; tout cela n’est pas de moi.

Souvenez-vous, mes enfants, je vous ai dit d’apprendre votre Évangile; allez dans la Bible et lisez, lisez Simon le magicien et vous comprendrez.

L’Esprit de Dieu ne se marchande pas : il est là, il est présent, il nourrit, il est l’Amour; tout est présent, tout est vrai, tout est lumière.

Je vous demande, mes enfants, d’aider vos petits enfants; je vous demande d’aider vos petits frères, vos petites sœurs à être dans la vérité, et à aimer la vérité, et à rechercher la vérité, et à fuir ce qui est vide.

La prière : ce n’est pas votre volonté qui changera ce monde, c’est ma Volonté, alors priez et gardez votre paix.

Ces paroles, mes enfants, nourrissent votre vie, et comme vous acceptez de laisser la Vie nourrir votre vie, eux reçoivent; vous êtes instruments d’amour pour mes petits, petits enfants.

Il y a tant à donner; donnez, mes amours, donnez; je vous conduis dans mes verts pâturages, là où il est bon d’être ensemble dans l’harmonie.

Voyez-vous, mes enfants, Dieu voit, Dieu entend et Dieu accomplit vos mouvements d’amour lorsque vos mouvements sont pour l’amour de tous les enfants du monde.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous vivons dans un temps où nous devons être vrais, être vérité.

Nous voyons beaucoup autour de nous des souffrances; nous sommes témoins que la vérité n’est pas vécue, recherchée et aimée.

On veut se détourner de la vérité pour combler des besoins, des besoins que le monde s’est créés et que ce monde nous a montrés.

Combien d’entre nous ont aimé la fantaisie? Combien d’entre nous! Nous avons tous, pour la plupart, écouté Walt Disney; nous avons aimé regarder la Belle au bois dormant; nous avons aussi aimé les sensations fortes, comme la citrouille, le monsieur qui était à cheval, puis on lui coupe la tête et la tête tombe et c’est une citrouille; nous avons aimé aussi des films qui nous faisaient frissonner.

Tout cela nous apportait quelque chose à l’intérieur de nous : un monde de fantaisie.

Et aujourd’hui, nous pleurons : nous pleurons de voir nos petits enfants écouter des films d’Harry Potter; eh bien, nous vivons la conséquence de nos choix : c’est une bataille!

Si aujourd’hui nous réalisons cela, c’est que Dieu met en nous des grâces afin que nous puissions reconnaître que nos choix ont été contre nous, contre ceux que nous portons en nous, et il veut atteindre ses tout petits enfants en passant par ceux qui ont dit oui à cette fantaisie avant eux.

Il veut couper des chaînes, il veut que nous aidions ses petits enfants en gardant notre paix et en priant, en priant la Mère de Dieu; elle a soutenu les apôtres, la Mère de Dieu, les apôtres qui eux aussi ont entendu parler de magie et qui n’ont pas approuvé.

La Mère de Dieu priait, la Mère de Dieu priait le Saint-Esprit, son Époux, afin que les apôtres reçoivent cette force d’être droits, vrais devant le Christ, Celui qui leur avait enseigné la vérité.

La Mère de Dieu veut faire de même avec nous-mêmes; elle prie pour nous, elle veut que nous soyons des êtres vrais, elle veut que nous nous abandonnions entre les mains de son Fils, afin de fermer cette plaie que nous avons ouverte.

Alors, il faut donner ça à Jésus et garder notre paix, parce que beaucoup paniquent lorsque des petits enfants parlent de Harry Potter, et ils ont les yeux tout brillants.

Alors, Jésus est beaucoup plus puissant que de l’imagination; c’est imaginaire, ce n’est pas vrai.

Si nous n’avons pas cru à la Belle au bois dormant, eh bien, ne croyons pas qu’Harry Potter, qui n’est pas vrai, ait un pouvoir sur nos enfants; il n’a aucun pouvoir sur nos enfants, aucun, si ce n’est que nous leur ouvrons une porte aux esprits du mal, car si nous croyons qu’il a un pouvoir sur nos enfants, c’est que nous y croyons en laissant passer cela.

C’est comme si on irait sur la mer; nous voyons au loin une colonne noire qui arrive, nous voyons la mer s’agiter, nous voyons les vents qui font tourbillonner cette colonne noire; nous la voyons, elle avance, elle avance, elle avance sur nous; nous regardons cette colonne et nous avons peur, mais nous ne regardons pas le principal : la lumière.

La lumière est beaucoup plus grande que cette colonne, la lumière est autour de nous, elle fait partie de nous; nous sommes sur la mer et nous sommes enveloppés d’une lumière; elle est là, elle est la vie, c’est Jésus, car Jésus est partout, Jésus est la Puissance, Jésus est là présent en nous, avec nous sur la terre.

Alors, sur la mer, nous ne sommes pas seuls, nous sommes avec Dieu, Dieu est avec nous, il a le pouvoir d’apaiser la tempête, il a le pouvoir d’arrêter ce vent et de dire à cette colonne : «Sors et n’apparais plus»; il a ce pouvoir.

Mais si nous avons peur, nous demeurons sur la mer, mais nous avons les yeux fixés vers cette colonne et nous ne pensons pas à invoquer Jésus, à croire en la puissance de Jésus; alors, la colonne, elle avance, elle avance vers nous et nous croyons qu’elle va nous nuire; c’est notre choix.

Alors, ne soyons pas ainsi lorsque nous regardons ce que nos enfants sont en train de vivre lorsqu’ils entendent parler de pouvoir, que ce soit pour Harry Potter ou pour un autre magicien, et il y en a plus qu’un : Jésus est plus puissant que tous ces magiciens, il a ce pouvoir de les anéantir.

Car qui a éveillé ce pouvoir, si ce n’est que Satan? Satan suscite des personnages faux pour susciter la peur, pour mettre en nous des murs.

C’est nous qui bâtissons, qui laissons bâtir des murs entre la grâce que nous obtenons de Dieu et nos enfants; nous devons avoir plus confiance au pouvoir de Jésus qu’au pouvoir de Satan, parce que nous, maintenant que nous voyons, nous que nous entendons, nous savons que les magiciens ne sont pas de Dieu, mais de Satan; alors, si nous savons cela, nous savons que Jésus est plus puissant que Satan, alors gardons notre paix.

Prions avec la Mère de Jésus; elle, elle a eu confiance en son Fils, elle n’a jamais douté de son Fils, Marie; elle savait qu’il était le Sauveur, le Messie, et elle disait toujours oui; continuellement, elle disait oui et elle a soutenu les apôtres.

Alors, nous devons nous soutenir les uns et les autres devant ce qui est devant nous; ce n’est qu’une colonne noire parmi tout ce qu’il y a; si elle est devant nous, c’est que nous lui donnons de l’importance.

Nous sommes dans un monde de ténèbres, tout autour de nous n’est que ténèbres; alors, nous savons que Jésus est la Lumière et parce que nous savons que Jésus est la Lumière, tout devient lumière, tout devient paix.

Alors, gardons nos yeux fixés vers Jésus, la colonne ne sera plus, colonne de ténèbres ne sera pas devant nous; elle cherche à nous atteindre, à nous arrêter, et elle se sert de nos enfants, de nos petits enfants.

Satan veut nous arrêter, veut nourrir la peur qui est en nous.

Nous acceptons la purification; notre chair ne veut plus de cette peur, mais à l’intérieur de nous, il y a nos frères et nos sœurs qui, eux, n’ont pas encore donné leur peur à Jésus, et notre chair reconnaît cette peur, alors donnons à Jésus cela.

Il y aura encore d’autres mouvements comme cela devant nous; n’oubliez pas que Jésus nous a parlé, il y a peu de temps, du Code Da Vinci nous disant que nous manquions de foi envers sa puissance et encore aujourd’hui, il vient de nous parler de notre manque de foi en sa puissance.

N’ayons pas peur, Satan ne peut pas arrêter ce qui est commencé; il va continuer, il ne s’arrêtera pas, car il se nourrit de la peur; il provoque la peur parce que c’est une nourriture.

Alors, s'il provoque la peur pour nous, il se nourrit de ce que nous sommes; il aime la souffrance, il provoque des événements pour développer la souffrance en nous, il se nourrit de la souffrance et il va continuer, il va le faire.

Il voit que nous sommes des oui à l’Amour, il ne veut pas perdre des batailles, mais il ne cesse d’en perdre avec les enfants de la Lumière; alors, il s’attaque, il s’attaque à ceux qui sont autour de nous pour centupler leurs souffrances; gardons notre paix.

Si nos enfants ont des personnages à la maison, si nos petits-enfants ont des livres à la maison, à leur demeure, si nous arrivons et que la télévision est ouverte et que nous voyons l’agir de Satan, gardons notre paix, donnons à Jésus ce que nous voyons, ce que nous entendons, Jésus le veut.

S’il a permis que nous allions chez notre enfant et que nous voyions cela devant nos yeux, ce n’est pas pour nous faire souffrir, c’est pour que nous puissions le lui donner.

Il nous met devant des mouvements afin que nous puissions lui redonner ces mouvements qui ne sont pas amour; il agit avec nous comme il a agi avec les autres.

Mais, en ce temps de purification, nous devons tout lui donner sans condition, aimer sans condition, ne pas accepter la peur, car cette peur va se lire dans notre regard, dans nos gestes, dans nos paroles, dans ce que nous ressentons.

Croyez-vous que nos enfants, nos petits-enfants ne liront pas : peur? Oui, ils vont lire la peur dans ce que nous sommes, mais l’inverse aussi est là.

Si nous sommes dans la foi, dans l’abandon, ils vont regarder cela et ils vont lire : amour; ça, ils vont le lire.

Nous allons les aimer inconditionnellement; nous n’aimerons pas le film, la revue, le jouet, mais eux oui, et ils se sentiront, eux, aimés pour ce qu’ils sont, eux, et non pas en ce qu’ils croient.

Combien d’entre nous avons fait des gestes étant jeunes pour attirer l’attention? Nous avons cru qu’en faisant telle action, nous étions pour attirer l’amour de nos parents, de nos frères, de nos sœurs, de notre professeur; parce que nous étions jeunes, on voulait être aimés, mais on nous avait pas appris à nous aimer parce que nos parents avaient pas appris à s’aimer.

Alors, il faut apprendre à nos enfants, à nos petits-enfants à s’aimer; alors, il faut commencer par soi-même : s’aimer, aimer qui nous sommes sans condition.

Nous n’avons pas besoin d’artifices, nous n’avons pas besoin de magie, nous n’avons pas besoin de paroles extérieures, tout est en nous et Jésus nous l’a enseigné; nous sommes l’amour, l’amour est en nous, ça nous habite.

Alors, soyons amour et cet amour va se lire sur le regard de nos enfants, de nos petits-enfants; ils vont dire : "Ils sont amour; il aime"; ils vont se sentir aimés pour ce qu’ils sont et tout aura commencé par nous-mêmes.

Si nous, nous voyons la colonne noire, eux ne voient pas nécessairement la colonne noire; ils sont dans les ténèbres, il est vrai, mais ils nourrissent pas seulement que cette colonne, ils veulent atteindre l’amour, le bonheur; ils veulent connaître des joies, comme nous, nous avons voulu connaître des joies, des sensations de bonheur, en écoutant de la fantaisie, en regardant de la fantaisie; c’est ce qu’ils recherchent : la joie, le bonheur.

Maintenant que nous, nous, nous savons, à nous d’être modèles d’abandon en Jésus et Jésus va se charger, lui, de leur montrer qu’ils sont amour; tout va se faire de l’intérieur et non pas de l’extérieur; ce ne sont pas nos paroles, nos gestes qui vont changer quelque chose à ce qu’ils croient, eux, c’est Jésus.

Jésus va leur donner des grâces par nous, Jésus va faire en sorte de nous nourrir et notre nourriture va se répandre à l’intérieur de nous; ils vont recevoir cette nourriture, ils vont accueillir.

Comment Jésus le fait, comment Jésus l’a fait et comment il le fera? Ça, ça ne regarde que le Ciel, pas nous.

Soyons abandon, soyons ce que nous devons être : des enfants entre les mains de Dieu, comme Jésus a été, sur la terre, entre les mains de son Père; il faisait la Volonté de son Père, faisons la Volonté du Fils, soyons vrais et prions.

Ne cessons pas de prier; dire le chapelet à tous les jours, seul ou avec quelques-uns ou quelqu’un, faisons-le; si nous n’avons pas le temps, si nous sommes malades, fatigués, nous avons un ange gardien, des anges gardiens; eux vont le faire.

Mais savez-vous que si vous ne leur demandez pas, ils ne feront pas ce que nous, nous leur demanderons pas? Ils vont attendre, non qu’ils ne le veulent pas, mais ils sont auprès de nous et ils attendent qu’on les mette en service; ils sont là pour nous servir.

Imaginons-nous! Le Ciel nous a donné des êtres célestes pour nous servir, et ce qu’ils font est inimaginable pour nous les humains, car nous avons des limites alors qu’eux n’ont pas de limites.

Alors, prions, disons le rosaire, disons le rosaire avec nos frères et nos sœurs, et demandons à nos anges gardiens de le faire quand nous le faisons, avec nous, ensemble, et eux vont le faire.

Et demandons à tous nos anges gardiens de le faire avec tous les anges gardiens, et tout va s’accomplir; il y a les Séraphins aussi, les Chérubins, l’armée de saint Michel; il y a tellement de puissances!

Tout est pour nous, enfants de Dieu, mais nous avons, à cause de notre volonté humaine, des manques de mémoire.

Nous parlons beaucoup d’Alzheimer, alors les enfants de Dieu, eux, vont dire : des oublis; oui, nous avons des oublis, mais notre ange gardien, lui, n’oublie pas.

Il suffit qu’une fois nous lui disions : "Prie lorsque je ne peux pas prier, et souviens-toi que si j’oublie, toi, je sais que tu n’oublieras jamais, jamais"; alors ça, ça a pas tombé dans l’oreille d’un sourd, il va toujours prier.

Si nous le répétons à notre ange gardien, savez-vous qu’il aime ça? Il y a une communication entre nous et eux; il aime être avec nous, il aime se sentir appelé, mis en service; il est amour, il est ce que nous, nous voulons être : amour, mais dans la perfection.

Alors, nous qui aimons la compagnie de nos frères et de nos sœurs, pensons à notre ange gardien qui aime notre compagnie; il aime être considéré et, non pas qu’il est orgueilleux de tout cela, il est humble notre ange gardien, nos anges gardiens.

Dans son humilité, il reconnaît l’agir de Dieu; il sait que c’est l’agir de Dieu qui nous fait penser à être en communication avec lui; alors, voyez-vous comment notre ange gardien aime cela?

Notre ange gardien a la beauté devant la lumière de Dieu; notre ange gardien se mire dans la lumière de Dieu, il se laisse nourrir, envelopper de la lumière de Dieu et il projette cette lumière pour démontrer à Dieu un amour céleste : c’est un mouvement de Dieu vers ses créations : ses créatures célestes, esprits d’amour.

Alors, ils sont auprès de nous; la lumière de Dieu se reflète sur eux et ils sont tout amour, et eux sont auprès de nous, continuellement sont auprès de nous.

Voyez-vous, la lumière de Dieu se tient auprès de nous, elle nous enveloppe, elle est présente et elle se met à notre service.

Nous n’avons pas à craindre pour demain, laissons à Dieu tout cela; ayons confiance, ne regardons pas le temps comme étant de la souffrance.

Nous regardons nos enfants et nous disons : "Il vient pas encore à la messe, il ne prie pas; nos petits-enfants jouent sur l’Internet continuellement des heures et des heures, c’est à peine si j’ai un bonjour."

Eh! il a un ange gardien à côté de lui, il est dans la lumière de Dieu! Ce que nous regardons, c’est ce qu’il est devenu à cause de nos choix, nous regardons nos conséquences.

Regardons la lumière de Dieu sur eux, la lumière de Dieu qui les enveloppe : ils baignent dans le Sang de Jésus.

Ils sont le choix de Dieu le Père, ils sont l’amour inconditionnel du Père, du Fils et du Saint-Esprit; ils sont sous le regard d’un Père, ils sont sous la protection de Marie, ils sont sous la garde de saint Michel avec ses anges, son armée.

C’est cela que nous devons réaliser en regardant nos enfants, là est la vérité : notre vérité à nous, c’est une vérité blessée.

Nous croyons que nos enfants ne sont pas assez bons pour Dieu, ne se conduisent pas assez bien pour Dieu, là est notre vérité : "Ils se conduisent mal, c’est épouvantable; ils passent des heures devant la télévision; regarde, il y a de la violence, il n’est pas capable de rester tranquille; qu’est-ce qui va arriver à l’école? Il va t'être sous les, les pilules" : tout cela, ça c’est notre vérité, c’est la nôtre.

Il n’y a qu’une vérité, c’est celle qui vient du Ciel; c’est elle que nous devons nourrir, pas l’autre, car l’autre, il y a quelqu’un qui s’en nourrit : c’est Satan.

Satan se sert de notre vérité blessée pour atteindre nos enfants; comment il fait? Eh bien, il s’arrange qu’on les laisse seuls; lorsque nos enfants sont seuls, ils sont seuls avec leurs choix et leurs conséquences, et ils souffrent.

Alors, Jésus, lui, c’est la Tête et nous sommes les membres; nous ne devons pas laisser un seul membre seul, pas un seul instant; alors, nous devons pas laisser nos enfants seuls.

Notre ange gardien laisse jamais nos enfants seuls, si nos enfants ne rejettent pas leur ange gardien.

Vous savez, lorsque nous, nous savons que nous allons dans un endroit impur pour y faire le mal, notre ange gardien ne suivra pas, il va nous attendre, il va être là, à la sortie.

Pensons à un pain : un pain, c’est de la farine, c’est du sel, c’est de l’eau; lorsque cela est mélangé, ça forme un pain, oh! c’est pas haut le pain, ça forme un pain, ça forme une nourriture.

Si nous introduisons à l’intérieur de notre recette de l’arsenic, eh bien, notre pain à l’extérieur va être le même; c’est lorsque nous allons y goûter que nous ressentirons le mal, jusqu’à connaître la mort.

Si nous choisissons de manger le pain à une toute petite quantité, pas plus gros qu’un grain de sable à tous les jours, est-ce que nous allons mourir instantané(ment) en mangeant ce pain? Non.

Mangez-le à tous les jours, tous les jours vous allez être malades : vous allez développer de la souffrance, vous allez développer des pensées qui vont vous faire souffrir, vos membres vont être au ralenti, vos nerfs vont se durcir, tout votre système digestif va être ébranlé, tout votre système éliminatoire ne fonctionnera plus normalement, vos paroles seront des paroles blessantes, vos actions seront des actions qui ne vous amèneront pas à reconnaître que vous faites de bonnes actions, ce que vous allez ressentir sera de l’amertume contre vous-mêmes, car ce poison nourrira votre besoin quotidien en alimentation : cela est contre nous.

Voyez-vous, ce que nous, nous devons être? Un pain de vie avec ce qu’il y a de meilleur, et pour être un pain de vie, il n’y a que Jésus qui puisse alimenter la terre, pour qu’il y ait une bonne récolte, pour que le sel soit actif, pour que l’eau ne soit pas empoisonnée.

Car, voyez-vous, l’arsenic c’est quelque chose qui peut être mis dans le pain par l’eau : il mélange et il présente de l’aspect extérieur qui est valide.

Chacun de nous, nous devons nous aider les uns et les autres en croyant que Jésus fait tout pour nous, car il est le Pain de Vie; il s’est mis, Jésus, tout petit pour nous.

Pourquoi il a fallu que Jésus prenne un pain pour se présenter à nous, il aurait pu se donner à nous d’une autre façon? C’est pour nous nourrir, c’est pour nous donner une partie de lui.

Ce qui est vivant nous nourrit, ce qui est vrai nous nourrit; Jésus est la Vie, Jésus est la Vérité.

Il vient nous apporter la Parole afin que nous soyons tous devant le témoignage : Jésus a témoigné de son Père et son Père a témoigné de Jésus.

Lorsque Jésus a choisi le pain pour se donner, lorsque Jésus a choisi le vin pour se donner, il s’est laissé prendre par la Volonté de son Père afin de nous donner la Vie.

Quotidiennement, nous avons besoin de nourriture; la volonté humaine a besoin de manger, la volonté humaine a besoin de boire; enlevez le manger et ne soyez qu’à l’eau, vous ne vivrez que quelque temps, vous ne vivrez pas pendant 90 ans.

Prenez du pain : le pain va nous nourrir, le pain va nous combler dans notre besoin à cause que nous sommes charnels.

Jésus a choisi le pain comme nourriture, car il savait que nous avions besoin de nourriture : il s’est donné en donnant son Corps.

Il a pris la Volonté de son Père, il en a fait sa Volonté; à chaque jour, il nous donne son Pain quotidien : la grâce; à chaque jour, Dieu le Père nous nourrit de ses grâces.

Jésus, lui, par le Pain, il se représente comme étant vivant, vrai, et tout cela se fait par la puissance de Dieu : il est vrai, Jésus Eucharistie, il est présent, Jésus Eucharistie.

Quoi que l’on pense et quoi que l’on dise, Jésus est présent sous forme d’une hostie consacrée : la puissance de Dieu est en l’hostie consacrée.

Qu’un pain se change et forme une hostie et qu’elle ne soit pas consacrée, il n’y a pas la présence de Jésus; il n’y a que Dieu qui puisse, par son pouvoir, mettre la Vie en ce pain : ce Pain est l’Amour.

Ce Pain est la Vie, Jésus, Jésus Eucharistie, Jésus vivant, Jésus vrai, Jésus qui se donne; si nous regardons cela avec la foi, nous voyons la puissance de Dieu en nous.

Nous aurons beau regarder, nous allons voir un tout petit rond blanc qui est un pain qu’on appelle hostie; si nous regardons cela en nous avec amour, nous allons savoir que Jésus est là, que Jésus est présent, que Jésus est vrai.

Un jour, à la maison, l’une de mes filles a reçu une custode; elle l'a reçue de la grand-maman de son mari.

Le grand-papa était très malade, alors la grand-maman allait chercher Jésus Hostie et lui apportait; quand il est décédé, elle n’avait pas eu le temps de lui donner l’hostie : Jésus.

Alors, dans sa peine, elle laissa tout ça de côté et perdit la mémoire; à cause d’une crise de diabète très hau(te), elle tomba et on l’amena; on pouvait pas la laisser toute seule.

C’est après un certain temps, quand ils ont fait le ménage de la maison, ils ont trouvé cette petite custode; elle ne savait même pas, la maman, qu’est-ce que c’était; alors, elle a dit : "Toi qui pries beaucoup, je t’amène ça."

Et là, on a adoré; on n'avait pas voulu toucher; ah! c’était Jésus! Alors, on a demandé au Père Clément, et là, j’ai prié, j’ai prié : "Jésus, envoie le Père Clément, envoie le Père Clément."

Ça cogne à la porte, et c’était lui; il me dit que… Ah! je me rappelle pas la raison de sa visite, mais c’était pas pour ça là, il le savait pas lui; alors, il est arrivé et alors, je lui ai présenté ça.

Savez-vous, il a mis la main, il a entendu battre le Cœur de Jésus; ah! là, j’étais tout étonnée!

Mais il dit : "Tu ne…" – lui, tout étonné – : "Tu ne sens pas le Cœur de Jésus battre?"

"Ben, non, mon Père"; j’étais toute gênée de dire : "Non, mon Père".

Mais je l’avais adoré, je l’avais adoré, hé! le temps que je l’ai eu, et il l’a apporté.

J’avais de la peine qu’il l’ait apportée, mais il fallait par obéissance qu’elle soit consommée : que Jésus soit pris.

Mais voyez-vous la foi? Il y avait deux sortes de foi : le Père Clément qui, lui, avait eu la grâce par le sacrement de l’Ordre d’entendre battre le Cœur de Jésus, et ma foi de rien entendre, mais d’adorer Jésus.

Je me sentais tellement indigne d’être devant Jésus, chez moi, à la maison. Hé! Jésus à la maison! Hé, c’est ma maison ! Elle était pas digne de recevoir Jésus comme ça là, Jésus présent, mais je l’ai adoré.

Alors, voyez-vous, il y a deux sortes : il y a la foi qui est confirmée par Dieu, dans la Volonté de Dieu le Père, et il y a la foi qui nourrit par la Vie de Jésus, en Jésus, et tout se faisait par Jésus.

Là est la Vie, là est un Pain vivant, là est la Présence de Dieu, là est la Vérité; c’est ce que nous devons rechercher, c’est ce que nous devons croire.

Ne laissons pas Satan empoisonner notre vie; si nous manquons de foi, si nous discutons de la vérité, c’est de l’arsenic; nous mettons dans notre propre vie, dans nos paroles, de l’arsenic; à tous les jours, nous allons avaler ça et ça va faire son bout de chemin avec le temps.

Satan veut notre mort, alors il s’arrange pour mettre de l’arsenic dans notre vie.

Croyons sans voir que le Ciel est avec nous; croyons que notre ange gardien est avec nous, qu’il est à notre service : croyons en la puissance de Dieu.

La puissance de Dieu est au-dessus de la puissance des anges, et combien plus au-dessus du pouvoir de Satan, parce que Satan, il a un pouvoir, il sait se servir de ce pouvoir en utilisant la peur.

Alors, ne tombons pas dans son piège parce que la peur fait des ravages, elle divise, elle rend malade, elle nous enlève l’amour.

Demeurons amour, aimons nos enfants, laissons Jésus imprimer sur nous : amour.

Nos enfants savent lire, même à quelques mois, quelques jours, un mois et demi; ils savent l’amour, ils savent eux, reconnaître l’amour, ils se laissent bercer, ils se laissent aimer, ils se laissent prendre par l’amour, parce qu’ils savent, ils savent lire; nous, nous ne savons pas lire comme un tout petit bébé : l’amour.

Alors, Laurent, tu nous fais chanter l’amour?