Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2009-05-30 – P.M.  

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous allons passer à un temps de questions et de réponses, est-ce que ça vous va?

Q. J’ai une question. Ça concerne la télévision. Est-ce que Jésus nous demande, ou est-ce que ce serait bien de nous débarrasser de nos téléviseurs, de faire sortir ça de nos maisons? Parce qu'il y a quelque chose à demander là-dedans, c’est évident. Je comprends très bien ton explication de Bobino, Bobinette, je comprends qu'il y a quelque chose de très mauvais là-dedans. Est-ce qu’on devrait nous débarrasser de nos téléviseurs, faire sortir ça de nos maisons?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu nous a demandé, par Maman Marie, de délaisser la télévision tranquillement, tranquillement, tranquillement. La Mère de Dieu nous a dit : «Commencez par des petits films; aidés ainsi, vous vous laisserez libérer et guérir par la puissance de Dieu.» Dieu nous demande de ne plus regarder la télévision. Dieu nous demande d’être dans son mouvement de patience d’amour.

Levez la main ceux qui ne regardent plus la télévision. Levez la main ceux qui regardent des films de saints à la télévision : de saints, comme la Passion, sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, sainte Bernadette? Ceux qui regardent Mother Angelica? Il y en a une autre Mother aussi aux États-Unis que Mother Angelica. Est-ce qu’il n'y en a pas une autre? La télévision est un instrument diabolique, mais Dieu a dit : «Dans les derniers temps, je me servirai et je vous montrerai». Mais à un moment donné, il va faire exploser tout cela. Ce que Dieu veut pour nous, c’est de l’amour; ce que Dieu veut pour nous, c’est nous amener là où nous, nous sommes capables d’aller.

Regardons les mouvements de vie malades. Ces mouvements de vie malades sont tous avec nous parce que nous sommes mouvements de vie malades. Enlève la télévision de ta maison, il va encore t’attaquer par la télévision, cela ne changera pas. Il y aura toujours un moment donné où tu iras chez la voisine, la télévision ouverte, et là tes yeux bifurqueront; tu seras tellement dans la tentation que tu souffriras : 'J’ai brisé ma télévision, je l'ai mis sur le bord du chemin et me voilà encore tenté'. De ton intérieur, tu souffriras tellement que tu te jugeras sévèrement. Alors, l’enfant qui a la télévision à la maison et qui ne regarde pas la télévision une semaine, un mois, un an, deux ans, sans ouvrir la télévision que pour regarder un DVD de la Fille du Oui à Jésus, laisse Dieu lui-même le guérir. C’est Dieu qui guérit.

Souvenons-nous du bâton, le bâton qui servait : je me protège. À Dieu de nous protéger, à Dieu de nous donner des grâces par Marie pour nous enlever cet esclavage. C’est de l’esclavage la télévision. Vous devez être assez fort pour passer devant la télévision sans qu’elle vous dérange. Allez chez le voisin, elle aura beau mettre l’écran gros comme le mur, ça ne vous dérangerait même pas, même pour une émission de télévision!

Q. Oui, mais l'internet avec ça?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, l’internet, c’est dangereux. Dieu a dit : «N’allez pas jouer sur cette mer d’images». Faisons attention. On ouvre cet écran et on installe nos enfants : les devoirs! Les écoles obligent les enfants à aller sur internet; alors ne demeurez pas loin, pour ne pas qu’ils aillent autres que là où ils doivent aller. Cela aussi vous devez le vivre.

Que faites-vous de votre magasinage? Si vous avez besoin de magasiner pour vous acheter un vêtement, entrez dans le magasin pour ce que vous avez besoin et sortez. C’est aussi dangereux que celui qui ouvre et va sur l’internet, parce qu’aujourd’hui, si vous allez comme dans le 10/30, Dieu a dit : «La grande Babylone». Vous savez ce que c’est le 10/30? C’est un carrefour qu’on appelle...il y a des centres d’achats extérieurs; ce sont des centres d’achats, un centre où plusieurs? (échange avec l'assistance sur cet endroit). Et c’est une mode. Alors, imaginez-vous que si on ne se fait pas protéger par les grâces de Marie, on en fait du magasinage! Et là on se laisse tenter : nos besoins deviennent excessifs et on ne le réalise pas. Ce sont toujours des besoins, des besoins et des besoins.

Demandez à la Mère de Dieu, pour la télévision, pour l’internet, le magasinage, pour les sorties, pour les cinémas, pour tout, tout, tout. (Question posée sur le magasinage et les restaurants le dimanche).  Maman Marie va nous aider. Maman Marie, elle, va nous aider; par nous-mêmes, on ne peut pas, il y a toujours de la tentation. Si vous avez besoin d’une pinte de lait, bien, allez chercher votre pinte de lait, mais sortez, même si vous voyez que les patates sont à 0.99 ¢ au lieu de 3.99 $, vous retournerez le lundi. C’est déjà trop cher? Faites attention.

Eva : Moi, je prie comme un petit enfant; je prie beaucoup, mais j’aime aller deux fois par jour à l’internet jouer un petit peu aux cartes, au jeu de … (rires de la foule). Est-ce que c’est mal? Mais j’fais rien que ça là. Écoute, j’vais pas ailleurs parce que j’suis pas assez 'bright' pour aller partout sur l’internet, mais je regarde les belles choses que Monique m’envoie ou les autres affaires, mais j’peux pas aller partout sur internet. Mon gendre m’a installé un spider, là-dessus tu joues aux cartes toute seule, tu sais. Puis peut-être pour me déculpabiliser, j’offre les points chauds au Seigneur comme autant d’actes d’amour.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, le Seigneur va raconter une toute petite histoire. Un jour, un enfant se promène; il est dans un tout petit sentier et lorsqu’il avance, il y a quelque chose qui apparaît : 'Oh! Qu’est-ce que c’est que cette affaire carrée toute rouge?' L’enfant continue et voilà qu’un autre apparaît : 'Oh! Je croyais que les trèfles étaient surtout dans les champs'; voilà que cela apparaît dans un carré. Et l’enfant continue et l’enfant continue, et voilà que le pique vient surgir; et tout cela, l’enfant ne comprenait pas. Il avançait et il avançait jusqu’à un moment donné où il voit un cœur splendide : 'Oh! Ressemble-t-il au Cœur de Jésus?' Et l’enfant continua et l’enfant continua. À un moment donné, l’enfant s’arrêta : 'Tiens, tiens, tiens! Qu’est-ce qu’il y a par terre?' Elle ramasse : 'Tiens, ça ressemble au carreau de tantôt, je vais le déposer sur la dame de pique' et l’enfant continua son jeu. Elle aimait bien lorsqu’elle avait un cœur, car elle pouvait étouffer le trèfle, et tout cela était dans l’enfant, et l’enfant se releva et mit dans sa poche toutes ces petites cartes. À un moment donné, l’enfant regarde le Ciel et elle parlait à Dieu : 'Ô Dieu d’amour, oh comme tu es bon! Tu sais, Dieu, tu prends soin de moi. Merci pour le jeu de cartes que tu m’as fait découvrir, comme ça, dans les moments où je m’ennuierai, je n’aurai pas besoin de penser à toi, j’aurai le jeu de cartes.'

Dieu ne nous défend pas de s’amuser, mais toujours en Dieu. Lorsque quelque chose nous amène à découvrir ce qui nous fait oublier notre nous-mêmes, que cela est un jeu dangereux, on est sûr de perdre. Il faut jouer en sachant que cela est bon pour notre âme. Est-ce que cela est bon pour ton âme?

Vous souvenez-vous, dans les vacances chrétiennes l’année passée, il nous a parlé du paquet voleur? Un simple paquet voleur, Seigneur! Lorsque je suis sortie, j’ai été voir Jésus, j’ai dit : "Jésus, tu m’en as demandé beaucoup aujourd’hui". Il y avait un prêtre : père Galbert. Il m’a dit : "Écoute ce que Dieu te dit", et j’ai écouté. Alors, dans l’Esprit, nous allons demander des grâces à Marie pour nous montrer comment jouer avec l’Esprit de Dieu. On n’a pas encore le jeu de cartes d’amour.

Et voilà, est-ce qu’on peut passer à une autre question?

Q. Comment demander à la Sainte Vierge de nous aider dans tout?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout simplement en le lui demandant comme un enfant, comme un enfant. Lorsqu’on rentre de l’école et qu’on voit maman en train d’éplucher une carotte et on a faim : "Maman, peux-tu m’en donner un bout? Eh bien, si la maman donne à son enfant un morceau de carotte qu’elle a épluchée, combien plus la Mère de Dieu qui contient toutes les grâces va nous donner les grâces que nous lui demandons. Il faut avoir confiance. Elle va le faire parce que, je vous assure, ceux qui ont levé les mains qui n’écoutent plus la télévision, je suis sure qu'ils aimaient tous la télévision avant. Oui, et aujourd’hui, c’est grâce à notre Maman du Ciel que nous ne regardons plus la télévision, et cela sera aussi pour le jeu de cartes.

Q. Moi, j’la regarde plus; c’est toi qui viens de me le dire, mais une fois, c’est pour ça que je suis venue au micro. Une fois, là, c’est pas nous, c’est le Seigneur, c’est la Vierge, c’est l’Esprit Saint, j’le sais pas comment, ça m’est venue, j’lavais jamais lu nulle part et un matin j’ai dit à Maman Marie : 'Toutes les petites filles aiment singer sur leur mère, elles aiment faire comme leur mère font et moi, à matin, Maman Marie, je te l'demande, comme toi, de m’aider à dire que je suis la servante du Seigneur, et comme elle l’avait dit : que ta volonté soit faite. Et j’ai demandé ça, et c’est depuis ce temps-là que j’ai des réponses. Souvent, à l’intérieur, la télévision j’y avais pas pensé, ça adonné avec mon déménagement, mais en plus, même avant, depuis un mois avant, j’la regardais beaucoup moins, presque pas.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mouvement de vie. Qu’un enfant, dans son mouvement de vie aime la télévision, et qu'il refuse une tentation et se laisse couvrir du Précieux Sang de Jésus, est guéri. Lorsque les guérisons se font, c’est que nous, nous guérissons. Alors, nous faisons des demandes; sans le savoir, il vient quelque chose à l’intérieur de nous qui nous amène là parce que d’autres se donnent, et à ton tour tu donnes, et à ton tour tu vas aider les autres, parce que c’est Dieu qui fait tout, rien qui vient de nous. Alors, nous sommes dans le Mouvement de la vie. C’est comme un alcoolique qui demande la grâce, et là il reçoit une guérison; mais sa guérison, croyez-vous qu’elle n'aidera pas les autres qui ont cette maladie? Eh oui, leurs mouvements de vie vont guérir et c’est ainsi que Dieu agit.

Q. Vous avez parlé du baptême des petits-enfants. Moi, je suis une arrière grand-mère, puis mon arrière petit-enfant n’est pas baptisé; ma sœur a le même problème. Nous nous demandions, à part de prier, est-ce qu’il y aurait quelque chose à faire?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Qu’est-ce qui est plus grand que Dieu? Allons là où est la Puissance. Maman Marie, elle, nous amène à qui? Alors, passons par Marie pour aller à Jésus et ayons confiance. Vous savez, depuis peut-être deux ans, mais je ne dis pas de date parce que ma mémoire..., Dieu m'a montré : "Jésus, ouvre les portes par où mon enfant doit passer et ferme les portes là où il ne doit pas passer. Ouvre les portes où mon patron doit passer, où il ne doit pas passer. Ouvre-moi les portes par où je dois passer et ferme les portes par où je ne dois pas passer" : l’abandon et laisser-faire. Un an pas de baptême : pas un mot, laisser-faire. Dieu agit. Dieu, Mouvement de vie, ouvre les portes. Bien, il guérit tes mouvements de vie malades et les mouvements de vie malades guéris nous amènent à guérir d’autres mouvements de vie malades, et voilà que ça se poursuit continuellement.

Il n’y a rien d’autre que la prière qui nous amène à Jésus et Jésus fait tout. C’est la Puissance. Il n’y a rien de plus puissant que Dieu. Alors, adressons-nous à Dieu et laissons-le agir. Ne nous accrochons pas après le bâton, parce que votre bâton, c’est votre volonté humaine. Mais attention à ne pas mettre votre bâton dans le néant, le néant, c’est le mouvement de vie malade. Il ne faut pas aller dans les mouvements de vie malades; fermons les portes en disant 'je refuse', et ça, Dieu nous a dit : «Vous avez vos droits d’enfants de Dieu. Servez-vous de vos droits d’enfants de Dieu». Ce sont nos droits parce que nous avons tout reçu de Dieu : nos besoins. Oui, merci.

Q. Pour la télévision, quand on est allé voir un film avec nos enfants….(inaudible)...  comment qu’on fait?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le respect. Lorsque j’étais avec mon mari, Maurice, qui regardait la télévision, eh bien, il aimait beaucoup que je sois au côté de lui, mais je l'avais informé que je voulais plutôt lire la Bible, bien, l’Ancien Testament là, plutôt que de regarder la télévision; mais "je t’aime, puis je ne m’éloignerai pas de toi". Puis j’lui disais que je l’aimais. Alors, je me mettais les bouchons dans les oreilles, hein? J’m’assoyais à côté de lui, puis je lisais ma Bible. Et, à un moment donné, il baissait la télévision, il baissait tellement la télévision que je me demandais s’il pouvait entendre quelque chose. Ah non! Il ne lisait pas la Bible, il riait plutôt avec la télévision; il aimait les émissions qui faisaient rire, mais, à un moment donné, je lui ai acheté un cadeau : des écouteurs! Il aimait ça, j’l’entendais encore rire plus fort.

Ayons confiance en Dieu. Mais le respect : 'je t’aime'. Le 'je t’aime' veut dire ne pas faire plaisir à l’autre sans se faire plaisir; là, ça ne devient pas un 'je t’aime', ça devient de l’esclavage. Aimons-nous. Dieu, nous, pour aimer. Merci.

Q. Un moment donné, je pose une question comme ça : "Qu’est-ce que vous êtes venus faire icitte sur la terre? Mais quand je pose la question, j’ai pas la réponse moi, là. Y’en un qui dit : 'Mon père est farmer, mais moé j’veux être farmer, parce que je veux me nourrir, bon'. L’autre, moé, ma mère, ma grand-mère et ma mère, en tout cas, elle, à voulait avoir des enfants; l’autre, en tout cas, un p'tit bonhomme de 5 ans, Jessy, il dit : 'Moi, mon papa y aime beaucoup, beaucoup ma maman, ma maman à l’aime beaucoup, beaucoup mon papa, puis y m’aiment, y m’aiment, toute ma famille m’aime. Moé, j’suis sur la terre pour aimer et d’être aimé.'  Depuis tantôt vous parlez de l’amour : aimer là; ah, ça là, y faudrait que la mère de Jessy soit ici!

Puis, une autre chose quand on parle du Baptême. J’avais été à une conférence une fois, puis le prêtre y disait... moi, j’ai des p’tits neveux puis des nièces qui sont pas baptisés puis ça me fait mourir, mais, y dit : "Chaque jour, prends de l’eau bénite, puis baptise les enfants du monde à la grandeur du monde qui sont pas baptisés.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Que répondriez-vous à ce qu’elle vient de nous démontrer pour le 'je t’aime' de l’enfant? Cet enfant nous donne quoi? Mouvement de vie. Vous souvenez-vous, au tout début, au tout tout début, quand il a dit : «Que le 'je t’aime' que nous entendons devient un mouvement de vie pour tous les enfants du monde»; alors, imaginez-vous comment nous avons reçu! Ça, c’est le mouvement de l’Église, c’est notre vie. – Le petit donne ce qu'il reçoit - Il donne l’amour et c’est ce que Dieu veut pour chacun de nous.

Q. Moi, j’ai demandé à mon directeur spirituel, si on peut écouter un peu les nouvelles, car c’est bon de prendre le pouls un peu dans la journée, une fois au moins dans la journée. Ça fait que, maintenant, j’écoute les nouvelles une fois dans la journée. J’ai le Père Éternel dans mon salon, puis là je lui dis : "Mon Papa, as-tu vu ça? Mon Papa d’amour regarde'. Là, je dis : 'Jésus, j’te donne cause, choix et conséquence'. Je sais, y nous disent que des personnes ont fait du mal, tout ça, mais j’le juge pas, je dis : 'Jésus je sais comment ça marche, j’te donne ses actions, causes choix et conséquences; t’a tout vérifié ce qu'il a fait, j’te l’donne'. J’ai l’impression que, ting, ting, là je vois des chefs d’État : 'Jésus, j’le bénis, lui il a des grosses décisions à prendre, je le bénis, Seigneur, j’te donne ça Jésus : causes choix et conséquences.'

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Que fais-tu de ta curiosité?

– 'Oh, c’est sûr qu’il doit y avoir un peu de curiosité là-dedans, là.'  

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On ne triche pas Dieu. La télévision, lorsqu’on prend un pouls de quelqu’un, c’est qu’on sonde ses pensées. Lorsqu’on veut prendre le pouls du monde malade, eh bien, te considérerais-tu comme le médecin du monde?

– Non, j’y donne au médecin.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le médecin n’a pas besoin de savoir ce que ses enfants malades sont, il le sait.

– Ben, j’ai dû le faire rire d’abord.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, il y aura toujours un moment dans notre vie où on voudra s’entendre. La télévision est là pour nous apporter des nouvelles, il est vrai. Peux-tu garantir à 100% que les nouvelles sont de la vérité? Alors, donner à Dieu ce qui n’est pas de la vérité, c’est tricher Dieu, parce que Dieu veut prendre ce qui est vrai. Mais si tu dis : 'Je te donne cette inflation', il n'y en a pas d’inflation, on a provoqué une inflation afin d’augmenter les prix. Que peux-tu donner à Dieu? Ce qui n’est pas. Non, tu ne veux pas. On est comme un enfant qui est pris au piège. Dieu sait la vérité, on ne triche pas Dieu. On ne doit pas permettre aux esprits impurs de se servir de nous.

Alors, demeurons le tout petit enfant. Crois-tu qu’un enfant de deux ans, quatre ans irait prendre le pouls du monde pour le donner à Dieu? Non, il dirait : 'je t’aime'. Tu nais pour aimer, être aimé et donner l’amour. Nous sommes dans la purification de la chair, on est là pour apprendre. Alors, remercions Dieu pour ce que nous venons d’apprendre. Merci, Manon. Les nouvelles, c’est quelque chose qui est déjà passé, demeurons dans le présent.

Q. Moi, c’est juste une p’tite réflexion que j’ai déjà entendue, puis j’trouvais ça beau. J’vais peut-être le dire pour faire penser au monde où que l’on vient. C’est un p’tit gars qui dit à sa maman : "Avant d’être dans ton sein, où j’étais?" Sa maman lui a répondu : "Tu étais dans la pensée de Dieu". Le p’tit gars est parti tout joyeux. C’est tout ce que je voulais dire.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, il est moins dix. Il reste peut-être cinq minutes, qu’est-ce que vous en pensez?

Q. Juste une question. Moi, c’est des grands enfants que j’ai et à l’anniversaire de ma fille, j’ai donné comme cadeau d’aller voir une pièce de théâtre à Québec pour qu’on soit ensemble. J’ai acheté les billets, j’pensais rester dans les gîtes du passant, c’est familier, mais elle, elle a préféré un hôtel très cher; c'est que je ne m’attendais pas à ça. Elle va payer pour et puis, moi la question, est-ce que, après ce que tu as enseigné, ça veut dire que ça va me prendre beaucoup de patience?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous avons entendu, ce sont les enseignements du Seigneur et ce que le Seigneur dit à ses enfants, c’est que nous sommes dans un monde que nous avons bâti. C’est nous-mêmes qui sommes dans ce monde de souffrances, ce sont nos conséquences que nous vivons. Combien de mères et de pères pleurent parce qu’ils ont laissé entrer chez eux des appareils comme l’internet. Mais aujourd’hui une jeune fille est partie dans un autre pays. Est-ce qu’elle a communiqué? Et le père pleure, quoi faire avec tout cela? Il n’y a que Dieu qui va tout réparer. Alors, prie la Mère de Dieu, demande la protection de la Mère de Dieu.

Vous savez, comme tout bon confesseur, on aimait bien ce monde pour lui venir en aide, parce que les personnes qui écoutent la télévision et qui donnent, donnent, c’est pour venir en aide; mais le meilleur moyen, c’est la prière, c’est l’abandon, c’est la messe, c’est la confession.

Tout comme nos enfants, on veut être en famille, mais ce sont les 'je t’aime', ce sont un repas. Aussi, l’enfant ne prend pas le temps de venir à la maison : la prière en passant par le Cœur de Marie et elle va réchauffer les cœurs jusqu’au jour où la maison sera pleine. On viendra à la maison. Ça, c’est le vrai 'je t’aime'. On se regardera dans les yeux et Dieu sera présent, car il sera dans son mouvement. Mais lorsqu’on va à une pièce de théâtre, on a les yeux fixés sur ce qui n’est pas. Ce n’est pas que la pièce de théâtre est interdite, parce qu’il y a quand même des pièces de théâtre faites dans l’amour de Dieu, mais lorsqu’il n’y a pas d’amour de Dieu, il n’y a pas de nourriture, comme le jeu de cartes. Alors, on donne à Dieu, mais on fait attention pour ne pas retomber.

Mouvements de vie! Nos mouvements de vie sont malades. Alors, ne nous apitoyons pas sur ce que nous venons de découvrir, mais soyons un 'je t’aime'. Premier 'je t’aime' à Dieu, mais nous avons besoin; alors, il va nous nourrir. Donnons tout cela à Dieu et surtout : 'Je refuse, je te donne tout, Jésus; merci de guérir ce mouvement de vie et Marie comble-nous'. Et ça, il faut continuer. N’ayons pas de peine, demeurons dans la paix, la joie et l’amour. Amen.