Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-12-12  Soir  Adoration

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le peuple que tu aimes, tu l'as dispersé de par le monde. Tu leur avais donné tes lois d'amour, tu leur avais demandé de prendre soin de la veuve, de prendre soin de ceux qui avaient faim, de ceux qui avaient froid. Aujourd'hui, Dieu, tu te promènes parmi nous et nous te regardons, nous t'adorons. Mais tu parles, tu parles pour te faire entendre. Nous n'avons pas le droit de faire taire ta voix. Tu as demandé à ce que nous soyons vrais. Eh bien, Seigneur, tu m'as montré, tu m'as montré ceux qui souffrent, tu m'as montré ceux qui martyrisent, tu m'as montré les conséquences de ce que nous sommes devenus à cause de notre confort.

Sommes-nous prêts, ce soir, à boire à la coupe du Seigneur? Voulons-nous vraiment cesser de souffrir? Est-ce que l'on veut que notre cœur aime vraiment? Est-ce que l'on veut que nos enfants puissent vraiment aimer? Alors, ouvrons nos yeux, ouvrons nos oreilles à ce que notre Roi nous demande.

Jésus : Je suis venu parmi vous et je vous ai parlé de ma Volonté. J'ai fait naître dans le cœur des tout petits de l'espoir. Ceux qui n'avaient rien à manger ont espéré, ceux qui souffraient à cause de l'esclavage ont regardé devant eux et ils ont vu, ils ont vu un homme parler librement. Il y avait des pauvres et des pauvres et des pauvres et ils savaient que Dieu parlait pour eux, car lorsque ma voix s'élevait, leur cœur bondissait d'amour, ne voulant que plaire à Dieu. Les veuves s'appuyaient sur Celui qui parlait, voulant croire qu'un jour on prendrait soin d'elles. Les tout petits enfants, ceux qui avaient perdu leurs parents, écoutaient et voulaient approcher cet homme qui se disait être bon. Ce qui sortait de mon Cœur était de l'amour.

J'ai appelé les enfants de mon Père à se donner, à s'oublier pour les plus petits de ce monde. J'ai appelé tous les enfants du Royaume de mon Père à écouter Celui qui venait en son Nom. Regardez-moi aujourd'hui : je passe parmi vous, je vous libère, je vous guéris. Je veux plus que cela : je veux tous mes enfants. En ce moment même, on avorte. En ce moment même, on fait des expériences sur des toutes petites filles enceintes. En ce moment même, on abuse des tout petits garçons. En ce moment même, il y a des hommes qui pleurent sur ce qu'ils ont fait, car lorsqu'ils ferment leurs yeux, ils voient ce qu'ils ont fait à ces enfants. En ce moment même, il y a des souffrances dans les familles : négligence, conséquence, souffrance, à cause de ce qu'ils n'ont pas fait pour l'amour. Leur cœur est déchiré. Tout ce qu'ils ont comme souvenir, ce sont des cris, ce sont des lamentations.

Enfants d'amour, il faut réaliser ce qui est en votre temps. Vous vivez dans un monde moderne, dans un monde civilisé, alors que, dans votre monde, on traite les enfants de Dieu comme on traiterait des animaux qui n'ont pas de la valeur. Tout ce qui est en votre vie doit être guéri. Je marche parmi vous. Aimez votre Dieu. Regardez-moi : je suis le tout petit garçon qui se fait abuser, je suis la toute petite fille qui subit des expériences, je suis Celui qui a tout porté. Je veux vous guérir. Comment voulez-vous guérir si vous portez ces enfants dans votre chair? Ce qu'il y a dans votre chair doit être connu de vous pour guérir, pour être libérés. Cela vous appartient.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Et Dieu vient parler pour que vous puissiez réaliser que seuls les enfants qui accepteront de porter tous les enfants de Dieu vont donner de l'espoir à ces enfants, à ces personnes qui ne sont pas capables d'oublier ce qu'ils ont fait. Qui peut se dire être hors de ce qui se passe aujourd'hui? Dieu veut atteindre les cœurs, Dieu veut qu'on aime inconditionnellement. Dieu veut qu'on porte l'amour en son cœur : l'amour pour une toute petite fille, l'amour pour un petit garçon, l'amour pour une personne oubliée, l'amour pour ceux qui n'ont rien à manger. Ils portent l'odeur de la puanteur sur eux. Cette puanteur, c'est notre indifférence.

C'est nous, les enfants de Dieu, qui avons choisi de vivre dans ce monde moderne; c'est nous, les enfants de Dieu, qui, aujourd'hui, travaillons sur les ordinateurs; c'est nous qui, le soir après le travail, s'assoyons devant la télévision; c'est nous qui, rendus au jeudi soir, nous nous transformons pour s'amuser; c'est nous qui, après avoir reçu notre salaire, partons pour acheter ce qui nous plaît; c'est nous qui avons cette odeur. Nous portons l'odeur du matériel. Alors, guéris-nous, Seigneur. Guéris-nous de nos manies, guéris-nous de tout ce que nous sommes. Ouvre-nous les yeux, ouvre nos oreilles.

Oui, Seigneur, nous voulons boire au calice. Nous voulons savoir que lorsque nous, nous avons mal à la tête, c'est la conséquence de nos manques de prière, lorsque nous avons mal aux épaules, c'est parce que nous avons négligé le pauvre. Nous avons sorti nos petits sous afin de moins payer d'impôts. Allons-nous nous cacher cela? Si nous nous cachons, Seigneur, toi, tu nous montreras. Oui, nous voulons vivre l'illumination des consciences, nous voulons voir notre vie, Seigneur.

Aujourd'hui, parce que tu es devant nous, parce que tu fais présence, toi notre Roi, tu viens nous montrer que tout enfant qui subit les avortements, c'est la conséquence de nos manques d'amour envers les enfants de Dieu. Une seule pensée contre le choix de Dieu a conduit les enfants de Dieu à ne pas vouloir des enfants. Une seule pensée qui a nourri notre vie, alors que ces pensées étaient : ah non, je suis encore enceinte, comment éviter la prochaine fois que je sois enceinte? Ces pensées ont contribué à nourrir les avortements. Tout ce qui a été contre un choisi des enfants de Dieu nous a amenés à vivre des conséquences. La douleur est dans notre chair.

Nous n'avons pas le droit de ne pas connaître nos conséquences, et nos conséquences ne sont pas seulement pour nous, mais pour tous les enfants de Dieu. S'il y a un seul enfant qui se fait avorter, demandons-nous : dans notre vie, est-ce que nous avons eu une seule pensée contre l'enfant dans notre sein? Est-ce que le père a accepté d'être totalement amour pour l'enfant dans le sein de la maman? Est-ce que nous sommes des enfants qui avons toujours été, pour Dieu, de l'amour? Nous regardons ce monde et nous crions vers Dieu pour que la souffrance de ce monde s'arrête. Oui, Dieu nous fait crier afin de nous montrer qu'il est le Seul qui va nous guérir. Il va nous apporter ce dont nous avons besoin afin d'arracher de nous le mal.

Jésus, nous te supplions, Jésus, ne nous néglige pas. Montre-nous ce que nous avons fait à tes enfants. Montre-nous ce que nous avons besoin de voir parce que nous voulons la guérison de ceux qui martyrisent tes enfants, nous voulons la guérison de ceux qui prennent des décisions sur la vie de tes enfants. Nous voulons être ce refuge d'amour, pour toi, afin qu'on te donne tous tes enfants. Ce que tu nous apprends, ô Dieu d'amour, n'est que vérité. On est fatigués, Jésus. On s'épuise, Jésus. Ça fait tant d'années qu'on prie, qu'on prie et qu'on prie, afin que les maladies diminuent, mais elles ne diminuent pas les maladies, elles augmentent. Seigneur, nous sommes rendus à ne plus pouvoir croire en la guérison de ce monde entier.

Fixe ton regard sur chacun de nous, ce soir, Dieu d'amour, étends ta sainte miséricorde sur tous les enfants du monde. Il n'y a que toi qui vas libérer les enfants de l'emprise de l'esprit de ce monde. Nous sommes entrés dans ce monde et ce monde nous maintient. Arrache-nous d'entre les mains de ce monde. Lorsque nous disons 'nous', Jésus, nous pensons en premier aux pauvres de ce monde, nous pensons à ceux qui se font martyriser, à ceux qui se font souffrir en ne voulant pas croire en toi. Jésus, nous voulons croire en toi. Il n'y a seulement qu'en acceptant de voir qui nous sommes, ce qu'on a fait de nous, que nous guérirons. Oui, Jésus, nous voulons que les cancers guérissent, nous voulons que le diabète disparaisse, nous voulons que les maladies de cœur soient entre tes mains afin que ce cœur puisse être fort et sain devant toi; alors, Dieu d'amour, nous voulons obtenir les grâces nécessaires pour notre cœur. Ces grâces vont nous apprendre à te donner la souffrance du monde. Toi seul tu connais la souffrance de ce monde, toi seul tu connais ce que nous avons négligé.

Alors, ce soir, Seigneur, prends notre cœur et guéris-le afin qu'il soit un cœur de chair, afin qu'il sache que tu es notre Dieu; ainsi, notre chair reconnaîtra que nous avons besoin des uns et des autres. Les toutes petites filles de huit, neuf, dix ans qui se font mettre enceintes ont besoin de nous. Les parents qui vendent leur enfant pour pouvoir manger ont besoin de nous. Les tueurs, Seigneur, ce ne sont pas les enfants de Dieu. Nous savons que les tueurs, c'est ceux qui veulent atteindre notre âme. Alors, Dieu, apprends-nous à aimer inconditionnellement les abuseurs, afin qu'ils puissent guérir, afin qu'ils puissent être libérés. Là nous serons guéris, là il n'y aura plus de pleurs, de pauvreté, de tristesse, d'injustice, là il y aura la vérité en nous.

En ce moment même, ô Dieu d'amour, tes rayons sortent.

En ce moment même, ô Dieu tout-puissant, il y a cette lumière qui émane de toi et qui vient nous frapper.

En ce moment même, notre chair est dans les grâces du Seigneur par l'âme.

En ce moment même, les anges entonnent un chant de louange.

En ce moment même, les saints du Ciel accompagnent les anges.

En de moment même, les âmes du purgatoire reçoivent consolation.

En ce moment même, il y a en nous des guérisons.

En ce moment même, une personne qui voulait tuer son enfant ne cherche qu'à vouloir le pardon de Dieu.

En ce moment même, parce que son cœur reçoit des guérisons, il y a des enfants qui sont consolés de la perte d'une maman.

En ce moment même, il y a des enfants qui pardonnent à leur mère d'avoir avorté.

En ce moment même, des enfants regardent leurs parents et prient pour eux afin qu'ils puissent se pardonner de leur avoir enlevé la vie.

En ce moment même, Dieu met dans le cœur de chacun de nous des grâces d'amour qui nous font comprendre que nous sommes dans la grâce du Seigneur.

En ce moment même, Dieu répand sa toute-puissance sur ses prêtres, afin que ses prêtres prennent dans leur cœur tous les petits avortés depuis le premier jusqu'au dernier afin que nous puissions obtenir des grâces de guérison.

En ce moment même, les prêtres s'inclinent devant la Volonté de Dieu pour tout ce qu'ils obtiennent : cette chaleur en eux, qui par leurs cœurs se répand dans notre cœur et vient guérir des blessures, ces blessures qui nous empêchaient de nous aimer.

En ce moment même, Dieu fait descendre sur eux un Sang Précieux qui se répand dans leurs veines et qui nous apporte de la nourriture afin que nous puissions comprendre que la Volonté de Dieu le Père est absolue.

 

C'est l'amour du Père pour le Fils qui a sauvé ce monde, qui nous a sauvés, qui nous a arrachés du mal pour nous redonner notre liberté. Par la grâce, nous acceptons ce que Dieu a mis en ses prêtres, car la Mère de Dieu répand sa présence dans notre cœur. La Mère de Dieu sait que nous avons besoin de ses prêtres, de croire en leur ministère, guérison que nous recevons par la grâce que la Mère de Dieu a obtenue pour nous de croire en la puissance que Dieu a mise dans le cœur de ses prêtres. Guérison nécessaire pour obtenir ce que Dieu veut pour nous : aimer inconditionnellement les enfants du monde entier, de toutes nations, de toutes langues, de toutes religions.

L'amour de Dieu est ce que nous avons besoin. Que chacun de nous puissions nous incliner face contre terre afin que ses prêtres nous donnent ce qui nous est dû de recevoir : l'amour inconditionnel, l'amour qui guérit, qui arrache le mal, qui libère pour l'éternité.

♪♪♪       Christ est Roi des rois