Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-18 - Soir

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, je regarde chacun de vous. Je veux savourer cet instant, et je veux l’unir à tous les autres instants que le Seigneur m’a donnés : celui de rencontrer des regards comme vous, celui de s’unir pour toujours trouver la même famille. Le Seigneur est en ce moment en train de rassembler. Il le dit : «Je fais le plus grand des rassemblements, afin de parler en les cœurs afin que les cœurs sachent qu’en eux je suis, qu’en eux mon Sang coule, que mon Eau vive les alimente».

Notre cœur, ce soir, est alimenté par l’Eau vive du Seigneur et notre cœur est inondé de la sainte miséricorde du Seigneur, et il veut qu’on le partage pour tous les enfants du monde. Et cela est tellement important pour ce qui s’en vient! Il nous parle, il nous parle, le Seigneur, d’enseignements d’amour. Il nous dit de nous aimer devant lui, d’aimer notre prochain. Il nous prépare à entrer dans son monde d’amour, à passer par le chemin étroit. Cette route, il nous la fait prendre à chaque instant de notre quotidien afin qu’on puisse regarder devant nous ce petit passage. On a l’impression de temps en temps, hein, que le passage est tellement petit! Il est aussi petit qu’un fil, parce que lorsqu'on sent nos douleurs, on vieillit, hein? On a moins d’énergie, on est plus fatigués.

Lorsqu’on regarde ceux qu’on aime et qu’on voit que la maladie les attrape, lorsqu’on voit le monde qui est en train de vivre une grande catastrophe et ne pas réagir, lorsqu’on voit que le monde des finances est en train de s’autodétruire pour mieux nous maintenir dans leur pouvoir, lorsqu’on voit que la plupart des gens voient qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas, mais l’ignorance dans laquelle ils se laissent eux-mêmes plonger les maintient dans leur sécurité inventée, eh! que le chemin nous semble étroit! Il faut passer là Seigneur, il faut passer là où toi tu veux qu’on passe. Tu enseignes ici, tu enseignes là, tu prépares les cœurs, tu ouvres les cœurs, tu guéris, tu libères, tu nous plonges dans ton éternel mouvement d’amour, et là, on avance ensemble : nous ici, eux ailleurs. Les mêmes cœurs, les mêmes cœurs que Jésus est en train en ce moment de nourrir de son amour battent pour la même raison : l’amour. Rien d’autre ne semble compter en ce moment, en ce moment : l’amour.

Nous sommes réunis ici. Il n’y a que l’amour qui compte en ce moment. Ce qui s’est passé ce matin, hier, ce qui s’est passé cet après-midi, il y a seulement qu'une heure, ne compte plus. C’est comme si nos cœurs avaient pris le rythme de chacun de nous, et là, on bat, on bat d’amour comme si on battait sur le dessus d’un tambour : je frappe, d’autres se lèvent; ils baissent, puis ils frappent, oups, on se soulève et là, on se met au même diapason : je t’aime – moi aussi je t’aime – mais non, je t’aime plus – non, non, c’est moi qui t’aime plus. On est là, puis on s’aime, puis on veut s’aimer, parce qu’on a découvert le 'je t’aime', on a découvert notre propre 'je t’aime'', un 'je t’aime' qu’on avait prononcé à Dieu. Le 'je t’aime' qu’on avait nous-mêmes prononcé à Dieu, on est en train de le vivre, on est en ce moment en train d’y goûter : "Ta Volonté. J'ai renoncé à ma volonté. Ta Volonté".

Maintenant, je sais pourquoi je t’ai dit 'je t’aime', parce que je suis ton enfant, parce que je me veux à toi. Tu m’as tellement aimé que tu m’as mis en mission de mon 'je t'aime' : je me plonge dans mon 'je t'aime' et là, je suis en mission; dans ma propre vie, je suis en mission. Oui, j’ai jadis été violé, abusé; jadis, j’ai été dans la prostitution; jadis, j’ai tué; jadis, j’ai menti, j’ai jalousé, j’ai envié, j’ai idolâtré et, aujourd’hui, je vis mon 'je t'aime'. Il fallait que je passe à travers tout ça pour que j’apprécie ta présence dans ma vie, toi qui ne m’as jamais quitté. Il nous aime, Dieu! Qui d’entre nous ne porte pas dans sa chair ce que nous venons d’entendre? Qui d’entre nous ne connaît pas ce qu’est la souffrance d’un mensonge? Qui d’entre nous ne connaît pas la souffrance de ne pas être capable d’être aimé, d’aimer comme Dieu veut qu’on aime, qu’on soit aimé? La souffrance de s’aimer!

Tout le monde entier, tout le monde entier, depuis qu'Adam a dit non à la Divine Volonté, nous le portons dans notre chair, et Jésus nous le dit depuis 2001. Tous ceux qui ont lu le livre 1 : 'Amour pour tous les Miens', il y a tellement de 'je t'aime' dans ce livre-là qu’au début cela était redondant; et aujourd’hui, on boit le 'je t'aime', parce que le 'je t'aime', à chaque fois qu’il le disait dans le livre 1, c’était nous. Il prononçait ce que nous, on avait dit à Dieu : 'je t'aime'. Et  aujourd’hui, on le comprend, on comprend qu’un seul 'je t'aime' nous a inondés de grâces d’amour. Il a dit : «Si vous saviez la valeur de mon 'je t'aime', je vous inonderais de mes faveurs et je vous mettrais dans un état de joie si grand qu’on mourrait d’amour». Alors, Dieu se retient dans ses 'je t'aime'.

Eh bien, on le vit aujourd’hui, on commence à y goûter à ça, on commence à entrer dans cette paix qui est durable ; on apprend à se consoler, à ne plus s’ennuyer: 'Ah, cette solitude! C’est lourd à porter cette solitude!' Maintenant, on est capable de comprendre qu’on n’est jamais seul, que Jésus a toujours été là dans les moments où on avait besoin de lui, alors qu’on ne lui demandait rien. Aujourd’hui, on peut lui demander : "Remplis mon 'je t'aime' de ton 'je t'aime' afin que jamais je n’oublie que tu es là, que je ne suis pas seul". Nous aurons besoin de ça. Écoutez bien : nous aurons besoin de ça bientôt! Imprimez cette parole en vous, car ce qui s’en vient sera quelque chose qui nous frappera si fort qu’on aura l’impression d’être seuls au monde. Alors, n’oubliez pas que Jésus est là, que Jésus va remplir notre 'je t'aime' pour nous-mêmes. Cela va nous donner des forces pour continuer avec les autres, cela va continuer à nous alimenter lorsqu’on aura froid, lorsqu’on aura faim, lorsqu’on se sentira seuls dans un monde où on ne pense qu’au matériel, dans un monde où on ne pense qu’à satisfaire ses sens, dans un monde où on ne pensera qu’à vivre le quotidien en s’offrant ce que l’esprit de ce monde offrira. Nous, nous regarderons cela et nous sentirons peser sur nos épaules leurs tromperies.

Toutes ces paroles en ce moment même nous nourrissent. L’Esprit de Dieu plane sur nous. L’Esprit de Dieu plane sur tous les enfants du oui qui ont prononcé leur oui afin d’obtenir des grâces des enfants qui ont prononcé leur oui pour eux. Oui, nous sommes en mission d’un 'je t'aime' ce soir; oui, nous serons en mission demain dans ce 'je t'aime' pour les 'je t'aime'. Il ne faut pas prendre à la légère ce que nous entendons, car nous en aurons besoin demain, nous en aurons besoin après-demain, nous en aurons besoin encore après-demain.

Nous avons été choyés depuis 2001. Souvenez-vous qu’à la fin des sept années, le Seigneur a dit : «Sonne un glas». Eh bien, nous sommes entrés dans un autre temps où nous allons prendre tout ce que nous avons reçu depuis sept ans et s'alimenter avec. Nous allons nous alimenter de l'amour de Dieu, de l'amour pour nous-mêmes et de l'amour pour notre prochain, et c'est avec ça qu'on va avancer. Sans cet amour, on est perdus. Nous allons faire la ligne comme les autres pour obtenir du matériel, nous allons faire la ligne comme les autres pour continuer à s'enrichir, nous allons faire la ligne comme les autres pour obtenir notre bien-être au détriment des autres. Oui, si nous ne buvons pas ce 'je t'aime', si nous ne comprenons pas ce 'je t'aime', si nous ne pénétrons pas ce 'je t'aime', eh bien, nous ferons comme les autres. Ne pensez pas que vous allez passer au côté des tentations. Quand votre estomac va crier, là, vous allez voir que vous aurez besoin du 'je t'aime'.

Là, aujourd’hui, on entend parler de ce qui va venir : vous avez les deux pieds dedans, vous avez les deux pieds dans ce que ce monde bientôt va vous mettre devant les yeux. L’Esprit de Dieu est un Esprit d’amour, rempli de compassion pour tous les enfants du monde : voilà le ‘je t’aime’ que nous avons besoin de comprendre. L’Esprit de Dieu est amoureux de tous les enfants du monde : voilà le ‘je t’aime’ que nous avons besoin de comprendre. L’Esprit de Dieu est un Esprit humble : il n’y a que dans l’humilité que nous pouvons vivre notre ‘je t’aime’. L’Esprit de Dieu a fait de nous des êtres simples qui veulent renoncer au matériel : voilà ce qu’est vouloir ce ‘je t’aime’. Le ‘vouloir’, afin de tout temps être dans ce que nous sommes vraiment. Il faut regarder ce que nous sommes devenus et que nous avons de la difficulté à délaisser. Nous sommes attachés à nos biens, nous sommes attachés à notre réputation, ça, ce n’est pas facile. Oui, on aime Dieu : tout pour toi, Dieu, mais lorsqu’il y a quelque chose qui va se présenter devant nous : "Je ne te donne pas la communion toi, tu ne suis pas ce que nous te demandons, parce que ce que tu représentes, c’est de l’orgueil". Qu’allons-nous faire? Comment allons-nous réagir? Eh bien, préparez-vous à cela!

La Vierge Marie, notre Maman d’amour, ne nous a-t-elle pas avertis d’un schisme dans l’Église? Nous l’avons entendu, nous l’avons même transcrit sur des feuilles et cela apparaît dans les enseignements qu’il nous a donnés. Eh bien, il est commencé ce schisme. Cela a commencé avec Jean Paul II. On critiquait Jean Paul II. Ses cardinaux, certains de ses cardinaux critiquaient Jean Paul II. Des évêques, des prêtres ont critiqué lorsqu’il a parlé de la contraception, qu’il n’était pas ce que Dieu demandait, lorsqu’il a parlé de l’avortement, lorsqu’il a parlé de ses prêtres qui devaient être fidèles à ce que l’Esprit de Dieu mettait en l’esprit du Pape. Tout cela est devant nous. Nous serons confondus tantôt avec l’obéissance à Dieu, à l’Esprit de Dieu, car c’est devant l’Esprit Saint qu’il faudra répondre, pas devant les hommes, mais devant l’Esprit Saint. Lorsqu’on entend qu’on nous demande la désobéissance à Benoît XVI, eh bien, dites-vous qu’on demande la désobéissance à l’Esprit de Dieu. Qui dois-je choisir?

Tous les enseignements que nous avons reçus nous ont été donnés par l’Esprit de Dieu et vous avez été témoins depuis 2001 de l’agir de Dieu. Dieu nous a guéris, Dieu nous a libérés, Dieu nous a montré que nous n’étions pas aveugles et sourds lorsqu’on suivait l’Esprit de Dieu, lorsqu’on suivait les dix commandements de son Père : aimer inconditionnellement Dieu. II nous a demandé de suivre les pas du Christ qui est la Lumière du monde et la Lumière du monde, n’est-ce pas depuis que le monde est? Le monde est depuis Adam. Alors Jésus nous a dit lui-même : «Je suis la lumière de tous les enfants du monde, du premier jusqu’au dernier». Jésus ne s’est pas limité à se dire être lumière que pour le monde qui est venu au moment de sa naissance. On priait pour la venue du Messie et cela depuis si longtemps.

Alors Jésus est la lumière qui nous a montré que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament vient de lui et non pas des hommes, vient de Celui qui est Dieu. Il n’y a pas trois dieux, il n’y a pas deux dieux, il n’y a qu’un seul Dieu. Alors tout ce qui a été écrit par Moïse a été écrit dans l’Esprit de Dieu et Jésus a nourri ce monde et il nous nourrit. Ce qui a été est aujourd’hui et ce que sera demain a été et s’accomplit pour nous. Jésus est l’accomplissement. Il accomplit ce qui a déjà été et c’est pour notre temps. Alors, préparons-nous pour ce qu’il veut de chacun de nous : qu’on vive notre ‘je t’aime’ avec la droiture de notre cœur devant l’Esprit de Dieu.

Tous ceux qui diront que cela est injuste, eh bien, ceux-là se vêtissent d’un manteau d’opinions, ceux-là se vêtissent d’un manteau d’orgueil, ceux-là se vêtissent d’un manteau qui porte un nom : ‘Moi, je sais. Moi, je condamne ce qui nous semble être égoïste et injuste.’ Il n’y a qu’un être qui peut parler ainsi et faire parler les autres ainsi, un être, et il n’est que ténèbres. La Lumière ne parle pas ainsi, la Lumière n’a pas de paroles qui jugent, la Lumière n’a pas de paroles qui condamnent, la Lumière n’a pas de paroles qui comparent, la Lumière est droite et la Lumière est Dieu. Alors, sortez de Dieu, vous parlerez comme un moi : vous jugerez votre prochain, vous condamnerez ce qui ne fait pas l’affaire des autres.

Qu’un seul se dit être dans l’injustice, qu’il aille au pied de la Croix et qu’il dise à Dieu : "Je ne peux me défendre, mais toi, tu peux me défendre. Je n’ai pas à me présenter comme quelqu’un qui a besoin d’un avocat. Sois, toi, mon juge, mon défenseur, car j’ai confiance en toi". Voilà un enfant de Dieu. Mais qu’un seul être dit qu’il trouve cela injuste, égoïste devant ses frères, devant ses sœurs, n’est qu’anathème, car l’Esprit de Dieu est irrévocable lorsque cela est contre lui, car cela attaque toutes les âmes. Essayons de comprendre que l’obéissance à Dieu, nous devons la vivre dans nos tripes. L’obéissance à Dieu n’est qu’amour, l’obéissance à Dieu porte la trace de l’humilité, l’obéissance à Dieu a la saveur du Cœur de Jésus. Si nous ne sommes pas dans ce Cœur, nous sommes en dehors de notre cœur, nous pataugeons dans notre volonté humaine.

Nous sommes ici ce soir pour ne former qu’une Église et c’est celle de Jésus. Il n’y en a pas d’autres! Jésus! Alors, si on a quelque chose à se plaindre devant son pape, eh bien, adressons-nous à Jésus, pas à chacun de nous. Qu’est-ce que l’on sait nous de l’Esprit de Dieu, si ce n’est qu’il nous dit : «Aime ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de tout ton cœur? Sois défaillant dans ton esprit et tu n’aimes pas ton Dieu. Prends la force de ce monde pour gagner ta cause, eh bien, tu n’aimes pas ton Dieu. Si tu crois gagner l’estime de Dieu en demandant aux autres de juger avec ce que tu es, devant ton âme tu n’aimes pas ton Dieu, car l’âme que tu as n’est pas à toi, elle est à moi, car elle vient de moi et elle doit retourner à moi, et elle, elle sait que l’Esprit de Dieu est amoureux de tous ses enfants».

Il faut vivre avec notre cœur rempli de miséricorde. La miséricorde ne condamne pas, la miséricorde ouvre les cœurs, la miséricorde ne juge pas, la miséricorde inonde l’Esprit du Précieux Sang de Dieu, la miséricorde ne divise pas, elle rassemble les enfants de Dieu. Alors, soyons ce que nous sommes lorsqu’on parlera que notre Pape, celui que Dieu nous a donné, est dans ses erreurs. Demeurons humbles et petits et sauvons nos âmes. Nous sommes responsables de notre âme. Même le Pape n’est pas responsable de notre âme, car lui peut dire non à Dieu avec sa volonté humaine, mais nous ne sommes pas obligés de le suivre. Alors, voyez-vous l’importance de prendre soin de notre âme? Nous devons prendre soin de notre âme comme le bien le plus précieux afin de l’offrir à Dieu.

Soyons devant ce que Dieu nous présente, car demain nous serons confondus avec des paroles qui viendront à nous et qui nous amèneront à prendre une décision : "J’aime mon Dieu avec ce que je suis" ou "j’aime mon Dieu avec ce que je ne suis pas". Là, vous aurez une réponse : "Je n’aime pas Dieu". Cela est catégorique. Suivons l’Évangile. Si une personne vous met dans la souffrance devant votre âme, eh bien, vous devez donner à votre âme ce dont elle veut : son Dieu. Pas satisfaire l’esprit de ce monde, pas dire oui à l’esprit de ce monde, car on parle d’une future Église où il y aura des prêtres qui iront vers le sacrement du Mariage alors que le Pape a dit non. Dans la future Église, on parlera des femmes prêtres alors que le Pape a dit non. À chacun de nous de suivre les pas du Christ. Nous savons que le Christ porte la vie et qu’il n’y a que la Vie qui dépose la vie en nous et c’est la Vie éternelle.

Croyez-vous que nous, les femmes, nous sommes dégradées parce que nous ne portons pas la vie, mais que nous la recevons? Nous recevons la vie en notre sein et la vie prend forme; on nourrit la vie, on en prend soin, on la porte jusqu’au moment où Dieu nous dit : «Voici le temps que tu te sépares de celui ou celle que j’aime et que je veux pour toi et pour le monde entier». Croyez-vous que la femme qui met cet enfant au monde n’est pas regardée par Dieu comme un trésor? Dieu dépose son trésor dans son trésor. Il nous aime, mais il faut que la vie soit déposée dans ce tabernacle, et c’est Jésus et tous ceux qui sont à la ressemblance de Jésus qui font ce mouvement. Voilà pourquoi le prêtre est prêtre.

Que comprenons-nous de ce que Dieu veut pour nous, alors que nous avons un esprit de ce monde? Il n’y a que Dieu qui puisse nous instruire ainsi, il n’y a que Dieu qui puisse nous révéler la grandeur de l’amour du Père pour chacun de ses enfants. Il nous a envoyé son Fils bien-aimé, qui prit chair en le sein de la Vierge Marie, par la puissance de Dieu l’Esprit Saint, et Dieu lui-même s’est fait Être : chair dans le sein de Marie et elle l’a nourri de son amour. La Vierge Marie, la femme, n’est-elle pas à la ressemblance de Dieu qui a regardé Marie et qui a dit : «Femme, voici tes enfants, voici la chair de ta chair qui portera la vie qui devra se reconnaître être éternelle». Qu’avons à avoir honte d’être le tabernacle de l’amour? L’esprit de ce monde ne peut pas nous donner ces paroles, seul l’Esprit de Dieu peut parler ainsi pour chacun de nous.

Tous ceux qui portent un oui en eux peuvent dire : 'Oui Seigneur, c’est toi la Vie éternelle, c’est toi qui as déposé dans le sein de chaque maman tes enfants, car ce que tu as fait en Adam, tu l’as fait pour tous les Adam, car chaque homme est un Adam et chaque femme est une Ève.' Voilà le trésor de Dieu qui se montre à nous; ainsi, nous pouvons nous regarder tels nous sommes. Nous sommes des enfants, des tout petits enfants à qui est promis le Royaume de Dieu. Le Royaume de Dieu est pour nous, parce que nous consentons à nous regarder petits, sans orgueil, sans envie. La femme ne doit pas envier l’homme et l’homme ne doit pas se sentir supérieur à la femme. La femme doit se sentir être utile et l’homme doit se sentir à sa place afin d’aimer qui nous sommes, d’aimer le ‘je t’aime’, d’avancer. Nous aurons besoin de vivre ces paroles dans les jours qui vont venir.

Nous aurons besoin de comprendre que la lumière de Dieu nous est dévoilée par la Lumière. Aucun être humain ne peut comprendre la lumière si ce n’est que la Lumière se fait entendre en chacun de nous. C’est ce que nous sommes en ce moment même en train de vivre. Nous sommes en ce moment même en train de nous préparer à toute éventualité. Dieu ne négligera rien. Nous avons su par Marie qu’on était pour vivre un schisme en l’Église où des prêtres seraient contre des prêtres, des évêques contre des évêques, des cardinaux contre des cardinaux. Eh bien, gardons notre paix. Soyons dans cet amour qui est celui de Dieu. Ne jugeons pas ceux qui se révoltent en ce moment, mais prions. Demeurons ce que nous sommes.

II nous a parlé de ce qui s’en vient par les prophètes et même avant le Nouveau Testament. Rappelons-nous de tous les prophètes avant le grand, unique Prophète divin : Jésus. Tout s’accomplit. Alors Dieu prend soin de nous pour nous préparer à ce qui s’en vient. Soyons toujours ouverts à sa parole et gardons-nous des pièges de Satan, car les pièges de Satan, on ne les voit pas toujours venir. C’est lorsque Dieu nous rappelle à l’ordre qu’on réalise : 'Oups! J’ai failli ne pas voir et comprendre que j’étais dans l’erreur'. Il faut garder sa paix toujours et toujours. Lorsque la Mère de Dieu nous a parlé de cette division en le sein même de l’Église, elle nous a donné des grâces de paix, elle nous a donné des grâces d’abandon, des grâces de persévérance, des grâces de foi, d’espérance. «Continuez mes enfants, continuez, car en ce moment même vous êtes en train de recevoir des forces pour ce qui s’en vient. Vous allez passer à travers les serpents, les scorpions, et vous allez passer là où les autres ne passeront pas. N’ayez pas peur, mon Fils vous instruit. N’ayez crainte, l’Esprit de Dieu vous ouvre à la lumière. Faites ce que vous avez à faire quotidiennement.» Voilà ce que le Ciel nous dit toujours, toujours et toujours.

Sachons reconnaître les signes qui nous parlent. Lorsque nous sommes en présence de la souffrance du monde, eh bien, rappelons-nous les paroles de Dieu. Elles sont écrites dans l’Apocalypse : «N’ayez pas peur, il faut que cela arrive. Avancez et ne courez pas à gauche et à droite pour savoir si j’y suis». Dieu nous prévenait que la volonté humaine était pour nous manipuler et qu’à cause de la volonté humaine, on serait devant un danger de croire à des faux prophètes. Là où il n’y a pas la paix, il y a le danger; là où il y a des émotions très fortes, il y a danger. Dieu est doux et humble de cœur. Vous pouvez reconnaître qu’une personne parle en l’Esprit de Dieu lorsqu’il y a douceur et paix en votre cœur. S’il y a promesse, gros comme le bras, que tout va aller bien, ne croyez pas à cela. S’il y a promesse qu’il arrivera telle chose à telle date, ne croyez pas. Dieu est doux, il est humble, alors il veut nous maintenir dans sa douceur, dans son humilité, pour qu’on goûte à ça. Ne partons pas en guerre. Demeurons là où nous sommes, dans la simplicité, dans son immense amour.

Nous avons beaucoup à apprendre encore. Oui, parce que j’ai été, dans les jours qui ont précédé aujourd’hui, dans des endroits où j’ai beaucoup appris du Seigneur. Il m’a envoyée dans des refuges. Pratiquement partout où j’ai été, Nicole et moi, on a été accueillies par des personnes qui ont transformé le lieu où ils habitent en refuge, mais on en reparlera. Ce que le Seigneur nous a donné ce soir, c’est quand même beaucoup, hein? On s’est fait brasser un tout p’tit peu, hein? Mais se faire brasser par l’Esprit de Dieu, c’est comme le petit jeu où il y a une petite boule, une bille, puis il y a juste un petit trou : faut qu’on rentre dans le trou. Alors, hein, ça l’a bougé ce soir, tranquillement. À un moment donné, on ne comprenait pas trop, trop où est-ce qu’il voulait nous amener, mais il fallait bien recevoir des grâces. Savez-vous que lorsque l’Esprit de Dieu parle en nous et qu’il nous amène là où il veut nous amener, eh bien, à cet instant il y a des guérisons en nous, des libérations. Comme nous apprenons, avec les grâces, à ne pas se lever puis partir : 'moi j’comprends rien là', mais à demeurer sur place, à attendre sa Volonté, voilà qu’il y a des guérisons.

Alors, ce soir, nous avons eu des guérisons, nous avons obtenu beaucoup de grâces pour ceux qui sont en nous. Tout cela, c’est pour demain encore, pour les refuges. Il nous montre. Nous avons besoin de nous laisser éduquer avec abandon, beaucoup d’abandon. Nous qui sommes ensemble, hein, depuis 2001 on est ensemble, on a grandi dans l’amour du prochain ensemble, eh bien, c’est ensemble que nous allons vivre ce qui s’en vient. On n’aura pas peur.

Il est dix heures moins quart, hein c’est quand même pas si mal! Il est de bonne heure qu’elle dit, Monique. Hein, il y en a qui sont fatigués en arrière là, hein? (R. Non.) Non? Bien non! Ah! vous en entendriez encore, hein? Oh, la la! Seigneur, y'en veulent encore, Seigneur! 

Alors, je vais vous raconter un tout petit peu ce qui s’est passé, en attendant Nicole. Demain, Nicole sera avec moi, alors nous entendrons parler en anglais et en français pour les enfants qui ne comprennent pas le français. Là-bas, ils ont dit comme ça : "J’espère que ça va continuer, qu’on va entendre l’anglais". Ils ont soif. Parce que lorsque nous sommes arrivés là-bas : 'Qui est la Fille du Oui à Jésus? Qu’est-ce qu’elle fait?' Ils ne connaissaient pas la purification de la chair. Eux autres, ce qu’ils connaissaient beaucoup, ce sont les messages de John Leary, de celui de la Colombie, oui, qui a été enlevé…, qui a vu l’illumination des consciences – Maul…, il s’appelle Mo… ok, vous le savez pas plus que moi (rires). Seigneur, on te donne ça, Seigneur! Oui, il a été enlevé et une fois qu’on l’a enlevé… (diverses paroles dans la salle) non, non, non, c’était un chanteur… ok, Nicole vous le dira demain.

Alors, là-bas, on parle beaucoup de refuges, énormément en ce qui concerne les refuges. Il y a des personnes qui ont senti le besoin de faire venir la Fille du Oui à Jésus sans savoir trop, trop, comment c’était pour se passer. Et cela est venu très fort par la puissance de Saint-Esprit, et c’est vraiment dans leur cœur qu’ils ont reçu de faire venir cet instrument. Alors, lorsque nous sommes arrivées là-bas, on nous a préparées pour qu’on soit devant eux, et on a laissé parler le Saint-Esprit. Mais, pendant ce temps, entre les moments où il n’y avait pas l’enseignement, bien, là, ils nous parlaient de refuges. Hey, là, moi, je me reculais un petit peu. Ah! Le Seigneur ne me parle pas de ça! Je suis bien contente, hein, Nicole, qu’on ne me parle pas de ça des refuges? Juste un petit peu ici et là, mais ça, ce n’est pas mes affaires.

Alors là, on avançait, et puis plus on s’avançait et plus ils en parlaient. Hé! qu’on voyait ça des barils de lentilles, puis des barils de ci, puis…! J'ai dit : "Seigneur, protège-moi de ça, Seigneur! Je ne veux pas entendre parler de ça, Seigneur!" Alors là, Nicole ne disait pas un mot elle, et moi je disais : "On laisse tout ça au Seigneur : je te donne cause, choix et conséquences". Alors, je refusais de me laisser troubler en même temps, là. Alors ma volonté humaine, hein, elle valsait entre 'j'm’abandonne puis, Seigneur, j'suis pas prête là!" Alors, avec le temps, on a passé, quoi, peut-être cinq jours? Et voilà qu’on monte un tout petit peu plus haut, à Windsor, Windsor, c’est ça. Et là encore, on nous parle de refuges! Bon.

Le lendemain, on part, puis on s’en va vers…, pas Détroit, mais Toledo…, non Hinckley. Imaginez-vous, on arrive là et on nous dit : "Bien, vous êtes dans un refuge". Ah oui!? Encore? … Là, il y avait un chemin de la croix, puis il y avait comme une chapelle juste au bout. Je me rends là, je prie, je prie, je prie la Sainte Vierge, je vais au pied de la Croix d’amour et je continue mon chemin… je me mets à genoux devant Maman Marie et Jésus et je prie. Là, j’entends la Sainte Vierge qui me dit : «Là, où on a voulu que tu sois, à ton chalet, tu feras des travaux d’agrandissement». Là, elle a dit : «Tu as des économies. Tu sortiras cela et tu feras les travaux pour agrandir, car cela sera un refuge». Là, je suis sortie de là…, là ça priait, ça priait et ça priait! Alors, je me suis présentée devant le Saint Sacrement parce qu’il y avait l’adoration, et là : "Seigneur, tout ce qui n’est pas de la Divine Volonté, sors de mes pensées. Tout ce qui n'est pas de la Divine Volonté, Seigneur, sors de mes pensées. Je refuse, Seigneur, de m’inquiéter. Merci d’envoyer ça au pied de la Croix, Seigneur, et merci de guérir nos mouvements de vie malades. Merci, Maman, de me combler".

Alors là, j’ai dit : "Moi, j’bouge pas". J'ai dit : "Ça, c’est ma volonté humaine ça qui vient d’en manger un coup là; je viens d’avoir une bonne attaque là". Là, j’entends le Seigneur. Il a dit comme ça : «Ferme les yeux». Moi, en priant, comme ça, j’le regardais, je ferme les yeux, mais quand j’ai fermé les yeux, le Saint Sacrement a comme apparu tout lumineux à l’intérieur de moi. Après, il m’a dit : «Ouvre les yeux». Alors j’ai ouvert les yeux et là, il m'a dit : «Referme tes yeux». Je ne le voyais pas là. Il a dit : «Crois en ce que tu viens d’entendre». "OK, Seigneur". Là j’ai prié et j’ai prié, mais au plus profond de moi-même, hein, je disais : "Seigneur, si c’est vraiment de toi là, tu vas me le montrer. Tu sais, Seigneur, les ruses de Satan là, il peut attaquer n’importe qui, hein, de n’importe quelle façon. Accepte pas, Seigneur, qu’il m’utilise pour faire quelque chose qui n'est pas de toi. Sais-tu, Seigneur, comment les gens vont paniquer lorsqu’ils vont entendre qu’il faut que je fasse un refuge au chalet? Tout le monde va se lancer dans les refuges, puis ça va paniquer partout : 'ça y est, ça s’en vient, puis il faut se préparer, puis ils vont dévaliser tous les magasins'. J’ai dit : Seigneur, prends soin de moi". Alors, j’étais pas encore abandon, hein? Il va falloir que j’aille à confesse.

Et là encore, on a été visiter un endroit aux États-Unis où la Sainte Vierge apparaît. Oh! Je ne me rappelle pas de l’endroit encore. Nicole, peut-être qu’elle le sait. Et rendue là, ma raison c’était de m'abandonner, prier la Sainte Vierge, prier la Sainte Vierge. Vous savez, c’est pas facile. Moi, je n’en voulais pas de cette mission-là. La Grande Purification, ça, ça fait mon affaire, mais pas les refuges. Je suis franche, j’ai encore besoin de beaucoup de prières pour m’en aller à faire ce que le Seigneur me demande, beaucoup. Là, on part de là et voilà qu’on s’en va à Toledo. Ah, c’était moins pire, on nous a fait coucher dans un motel, je n’étais pas couchée dans un refuge! Le lendemain, on part après avoir fait la rencontre le lendemain, et voilà que j’étais dans tout un refuge. Il n'y avait pas une place dans le sous-sol qu’on pouvait marcher sans que ce soit plein de produits : les poêles, les gros… en tous cas, y avait tous les… tout est préparé. Alors là, encore là, ça priait, puis ça priait et ça priait! Je disais : "Seigneur, qu’est-ce que tu attends de moi?" Là, on a parti de là. On a resté là trois jours, on a couché trois nuits, on a parti de là et là, ça c’était à Détroit, on s’est en allé à Tecumseh. Eh bien, à Tecumseh, on parlait encore de refuges! Encore à la même place.

Voyez-vous que le Seigneur avait ses idées, hein? Oui, mais moi, je ne les avais pas! Alors, tout le long que je suis descendue : dix heures, on a le temps de réfléchir, hein? Là, j’ai dit à Nicole : "Moi, j’bouge pas. Nicole, j’bouge pas dans ce qu’il m’a… Il a voulu écrire les quatre livres, le livre en quatre parties, j’connaissais rien, il a tout fait, j’connaissais même pas une personne qui était pour m’aider. Tout a rentré. Les livres ont été imprimés. On a eu tout : les sons, les DVD, tout, tout rentrait comme le Seigneur disait. Bien, ça va être comme ça pour le reste. Y a rien qui va venir de moi".

Eh bien, quand j’suis arrivée chez moi, là il m’a montré. Il m’a montré dans une vision qu’il y avait des enfants qui se bousculaient d’un bord, puis de l’autre, puis ça se bousculait. Et voilà que j’étais là et là, je n’avais seulement qu’à rentrer en moi, et dans un élan, un pas m’emmenait là où les autres ça leur prenait dix pas pour avancer. Et là, il y avait encore de la bousculade, et là encore, je rentrais en moi et là, d’un pas encore plus loin que le premier, le Seigneur, il m’a dit : «Je t’ai montré qu’il n’y a rien qui viendra de toi, mais tout de moi et fais ce que je te dis». Il m’a dit que : «Oui, tu devras faire les travaux et je te donnerai l’aide pour ton chalet». "OK, Seigneur".

Encore là, hein, ce matin, je me suis réveillée, puis il a dit : «Ouvre la Bible». Il m’a donné la page. C’était 570, dans les affaires des Rois, où Dieu dit que son peuple devait écouter – le peuple de Juda – et qu’il devait être obéissant et que celui qui ne serait pas obéissant en vivrait les conséquences. Il avait dit : «Là où iront ceux qui seront en guerre contre ceux qui sont contre Dieu, ils devront faire ma Volonté : exterminer tous ceux qui sont contre moi et ils ne devront pas prendre ni or, aucun trésor qui a été contre moi, car ceux qui se serviront de cela, je les punirai». Là, j’ai fermé la Bible, j’ai dit : "Je ne comprends pas trop, trop qu’est-ce que c’a rapport avec ce que j’ai à faire". Alors, il a dit : «Maintenant, ouvre la Bible encore une fois». J’ai ouvert la Bible et là, c’était l’épître de Pierre qui disait comme il était bon d’obéir au Seigneur, que le Seigneur donnait tant de grâces, que Celui qui était mort sur la Croix était Celui qu’on devait suivre, être obéissant et ne faire que sa Volonté, et que ceux qui étaient pour faire sa Volonté étaient pour être remplis de grâces. Alors, le Seigneur, après que j’aie eu fermé, il a dit : «Maintenant, tu as compris. Si tu es désobéissante, eh bien, tu en vivras les conséquences. Je te demande d’être obéissante». Alors, j’ai obéi au Seigneur.

Et il m’a fait écrire, il m’a fait écrire quelque chose… parce que j’avais mon mari – quand il est décédé…, il avait mis de l’argent de côté et cet argent-là, je le donnais à mes enfants, et c’est cet argent-là qu’il voulait que je prenne – là, il m’a fait écrire le message que tout argent doit servir, tout argent qui ne sert pas est l’œuvre du démon. Il a parlé d’une monnaie qui s’appelle amero et il a dit que c’est la monnaie du diable. Toute monnaie, toute monnaie est la monnaie du diable : toute monnaie. Il a dit que ceux qui seront dans les ténèbres reconnaîtront que tout ce qui est de Dieu n’est que fausseté, car le dieu qui se présentera ne sera pas celui qui est sur la croix, mais il se présentera comme étant le sauveur pour tous ceux qui auront des besoins. Plusieurs se laisseront prendre à ce piège, plusieurs accepteront cette monnaie, plusieurs se contenteront de voir et d’accepter, plusieurs seront dans la contemplation de ce qu’ils pourront s’offrir avec cette monnaie.

Cette monnaie est l’œuvre du démon. Il n’y a aucune monnaie sur la terre qui n’est pas l’œuvre du démon, qu’elle soit canadienne, américaine, mexicaine, qu’elle soit de l’Europe ou qu’elle soit de l’Asie, toute monnaie est l’œuvre du diable, et le diable n’a pas d’amis. Il manipule des personnes afin que ces personnes contrôlent le monde. Il y aura beaucoup de tromperie venant de ces personnes. Ces personnes servent l’œuvre de Satan, car ils veulent conserver leur pouvoir, mais Satan n’a pas d’amis. Il veut que les enfants soient dans la peur, ainsi il peut facilement atteindre les âmes. Ceux qui se conserveront dans la paix ne seront pas atteints. Oui, il est vrai que cette monnaie sera bientôt entre les mains de ceux qui la voudront, mais ceux qui perdront la paix à cause de cette monnaie seront en danger autant que ceux qui la posséderont. Vivre cela dans la paix est de vouloir être entre les mains de Dieu.

La paix est sur vous, alors gardez la paix. Ne perdez pas votre paix en ayant peur de ce qui s’en vient puisque je vous prépare, puisque je vous ouvre à ce qui s’en vient afin que vous soyez dans la lumière. Demeurez dans la paix, soyez humbles et petits. N’ai-je pas pris moi-même une monnaie entre les mains? N’ai-je pas dit à qui appartient cette monnaie? L’image imprimée sur cette monnaie était celle de César. Et mes paroles ont été : «Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu».

Jésus : Alors, enfants de ma Volonté, rendez aux hommes de pouvoir ce qui est aux hommes de pouvoir et gardez-vous pour Dieu. Ne vous écartez pas du chemin que je vous montre. Gardez votre paix. Ne vous attachez pas à aucune monnaie, mes enfants, ni à cette future monnaie, ni à celle que vous avez entre vos mains, car cela est la monnaie du diable. Il n’y a rien d’autre que mes grâces qui vont vous emmener là où vous devez aller : dans votre refuge intérieur, là où tout n’est que paix, là où vous pouvez entendre votre Dieu, comprendre que ce qui vient a été préparé par Dieu depuis des siècles, des siècles, des siècles, des siècles. N’ayez pas peur de ce que vous allez vivre et soyez obéissants. Je vais vous guider, je vais vous montrer. Je vais vous ouvrir à un amour inconditionnel pour Dieu, pour vous-mêmes et pour votre prochain. Voilà les grâces que vous avez besoin pour accueillir mes enfants.

Vous aurez à accueillir mes enfants, ceux qui portent un oui et qui n’ont pas encore prononcé leur oui. Ouvrez votre cœur, ils ont besoin d’entrer chez eux, dans leur refuge intérieur; alors le vôtre doit être que lumière. On doit entendre le son des enfants de Dieu qui chantent pour Dieu, qui louent leur Dieu, qui dansent comme David a dansé pour Dieu. Soyez simples, mes enfants, je vous entends, je vous regarde et ce que je vois, ce sont des enfants qui veulent vivre la Volonté de Dieu, mais qui sont dans des interrogations. Vous vous interrogez sur ce qui s’en vient. Gardez-vous au présent, c’est moi qui vous dis ce que vous avez besoin d’entendre au présent. Je vais vous montrer, car vous avez besoin d’apprendre. Vous avez un temps encore. Ce n’est pas pour demain. Il y a des événements, mes enfants, qui arrivent et vous devez les vivre dans la paix, dans l’amour et dans la joie. Gardez-vous pour le présent. Soyez vrais. Ne courez pas à gauche et à droite.

Cette instrument qui semble avoir la tête dure a été choisie pour vous, afin de vous montrer que la volonté humaine a parfois bien des tours dans son sac. Il faut vous assurer, par la prière, que tout est de Dieu. Il faut avoir confiance en l’Esprit de Dieu, pas en l’esprit des hommes. Vous maintenir en état de grâce, humbles devant le sacrement de l’Ordre ministériel, humbles devant les consacrés fidèles à Dieu, est une grâce pour vous. Vous devez être à l’écoute de la voix du Seigneur, Celui qui est mort sur la Croix : Jésus de Nazareth, le Roi des Juifs, qui vous a donné sa mère, Marie, l’humble épouse de Joseph, comme grâce, car elle est la grâce dont vous avez besoin pour pénétrer en vous. Suivez les pas du Christ et n’ayez pas peur. Tout est préparé pour ce qui vient.

La terre, mes enfants, devra obéir à Dieu et non pas à ce que les hommes lui ont fait, car les hommes n’ont pas respecté la terre. Soyez-moi fidèles et je vous récompenserai, mais désobéissez à Dieu, vous vivrez ce que mon peuple infidèle a subi. Telle est ma justice. Je prends soin de vous. Je vous amène à mes verts pâturages et je vous fais goûter à mon Eau vive afin que vous puissiez apprécier mon herbe d’amour qui est ma Nourriture. Elle a la saveur du miel, mes enfants, et du bon lait. Soyez mes tout-petits qui viennent prendre le lait à la mamelle, car JE SUIS est en votre présence pour vous amener à découvrir le 'je t’aime' de mon Père pour vous.

Petits enfants, levez-vous maintenant, vous en avez besoin.

♪♪♪      Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia (bis)

Je t’aime Jésus, je t’aime Jésus, je t’aime Jésus, je t’aime Jésus (bis)
Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia (bis)

 

Jésus : «Chantez enfants d’amour, je mets dans votre cœur les grâces de ma Volonté. Je vous montre mon amour et je crie en vous : Je vous aime! Chantez mon ‘je t’aime’».

♪♪♪      Je t’aime Amour, je t’aime Amour, je t’aime Amour, je t’aime Amour (bis)

 

Jésus : «Donnez-vous la main».

♪♪♪      Oui, on s’aime Jésus. Oui, on s’aime Jésus. Oui, on s’aime Jésus, Oui, on s’aime Jésus (bis)

            Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia (bis)

 

Jésus : «Le Cœur de l’Amour est en chacun de vous, il vous dit : 'bonne nuit'. Allez, mes enfants».

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.

♪♪♪      Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia (bis)

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors un 'je t'aime', un 'je t'aime' à chacun de nous et allons nous coucher.