Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-19 – Soir

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Noëlla, as-tu les petites bouteilles d’huile? Merci Noëlla.

Alors, avant que tout cela soit, Dieu avait fait des plans. Dieu avait préparé ses enfants à vivre comme des enfants d’amour, les amenant sur leur chemin de vie, les faisant passer d’âge en âge, là où ils devaient aller. Il a pris soin de son peuple, Dieu. Lorsque Dieu a conduit Joseph, là, près du Pharaon, Joseph a suivi ce qu’il y avait dans son cœur et là, Pharaon a aimé Joseph. Mais lorsque le Pharaon mourut, celui qui remplaçait ce Pharaon a eu peur de ce qu’il voyait, a eu peur de l’ampleur de ce peuple qui se multipliait. Alors, il conçut un plan de faire d’eux des esclaves afin qu’ils soient des gens qui travaillent pour lui, car le pouvoir du Pharaon était dans son cœur. Alors ce peuple souffrit, le peuple de Dieu souffrit pendant quatre cents ans, prisonnier du Pharaon.

Lorsque Dieu envoya Moïse, il l’envoya faire sa Volonté : «Va dire au Pharaon de laisser partir mon peuple.» Et Moïse fit ce que le Seigneur lui demanda, mais le Pharaon ferma toujours son cœur à la demande de Dieu. Et sans cesse, Dieu ne cessait de demander à Moïse : «Va et fais sortir mon peuple.» Et Moïse allait voir le Pharaon, mais le Pharaon disait tout le temps non, parce que son cœur se durcissait à chaque fois qu’il disait non à Dieu, et Dieu lui faisait vivre la conséquence de ses non. Il y eut beaucoup d’épreuves, mais le Pharaon disait tout le temps : “C’est ma volonté, c’est moi le maître, c’est moi qui consulte les dieux et les dieux m’écoutent, et je fais taire ceux qui parlent au nom de ce Dieu.” Mais Dieu envoya Moïse : «Maintenant, ce peuple infidèle envers moi vivra la conséquence de ce qu’il a voulu : vivre dans sa volonté humaine, dire non à la Divine Volonté. Tue l’agneau et que l’agneau tué soit votre repas, et avec le sang de cet agneau, allez marquer le tour de la porte. Ce sera une marque voulue par Dieu et la mort ne sera pas connue de vous. Faites ce que je vous demande».

Nous, Dieu nous demande de quitter notre volonté humaine. Dieu nous demande de faire sa Volonté : «Revenez mon peuple. Revenez, vous qui êtes les enfants choisis. Vous êtes les enfants de la Divine Volonté, vous n’appartenez pas à la volonté humaine. Laissez-moi vous marquer du signe de l’Amour, laissez-moi vous marquer de mon don d’amour». Jésus est mort sur la Croix et il a laissé couler son Sang, ce qui marquait notre chair de la puissance de Dieu, de l’amour de Dieu, de la miséricorde de Dieu. Dieu nous a pardonné, Dieu a donné tout de lui, à nous de tout lui donner, à nous de laisser notre chair entre les mains de Dieu. Il nous a demandé de renoncer à la volonté humaine et nous avons dit oui.

Dieu a déjà commencé à marquer ses choisis du signe d’enfants de Dieu sur le front et, ce soir, il a encore demandé à ses prêtres : «Marquez du signe d’enfants de Dieu mes enfants. Allez chercher ceux qui retardent», car c’est ce qu’il nous demande. Combien d’entre nous avons reçu ce signe? Nous le recevons qu’une fois, mais combien d’entre nous avons encore avancé pour les autres? C’est ce qu’il nous demande encore ce soir dans notre liberté d’enfants de Dieu. «Je veux soigner mes enfants avec mes grâces, je veux libérer mes enfants avec ma puissance».

Alors, nous allons laisser toute la place au Christ, car le prêtre c’est le Christ, c’est lui Jésus qui nous marque de ce signe d’enfants de Dieu. Alors, nous allons aller chercher l'huile. Merci Noëlla.

Jésus : Si la Parole est vivante, si la Parole est devant vous, si la Parole vous amène à vous découvrir, c’est que vous êtes vrais. Si tout cela prend un sens dans votre vie, c’est que vous suivez le chemin du Christ. Je vous apporte ma Vie, je vous donne ma Vie. Prenez ma Vie, mes enfants, elle est pour vous. Tout comme les rayons percent vos nuages, moi, je perce votre cœur de mes rayons d’amour. Je suis la Présence et je me donne à vous. Je prends tout de vous, mes enfants. Ayez la foi que je suis votre seul Dieu, que je peux tout pour vous.

Venez à moi, vous qui pleurez. Venez à moi, vous qui avez faim, qui avez froid. Venez à moi, vous qui êtes sans ressources. Venez à moi, vous qui ne savez plus regarder ce monde avec miséricorde. Venez à moi, vous qui cherchez la vérité. Venez à moi, vous qui avez peur la nuit. Venez à moi, vous qui êtes persécutés. Venez à moi, vous qui êtes violentés. Venez à moi, vous qui êtes abusés. Venez à moi, vous qui cherchez la justice. Venez à moi, vous qui êtes seuls. Venez à moi, vous qui souffrez de la perte d’un être cher. Venez à moi, vous qui avez peur de manquer d’ouvrage. Venez à moi, vous qui ne cessez de vous questionner sur ce que vous êtes devant mon Père.

J’appelle tous les enfants à venir dans mon Cœur, à s’unir à mon Cœur afin d’être consolés, afin d’être bercés, afin d’être rassurés, afin de connaître la paix. Mon Cœur s’est ouvert pour vous, venez y plonger en mettant votre vie. Tout ce qui vous fait souffrir, je l’ai porté. Je connais tout de vous. Je connais qui vous a fait souffrir. Je connais ce que vous avez fait à vos frères, à vos sœurs. Je connais vos oublis. Oh! enfants de ma Volonté, je cherche, je cherche votre vrai visage, celui qui est à ma ressemblance. Ne détournez pas votre regard de la Croix, elle est de vous. J’ai laissé couler mon Sang pour vous afin que vous soyez dans ce que vous êtes. Vous connaître tels que vous êtes, c’est vous laisser guérir par Dieu. Prenez en vous, en ce moment même, les souffrances de vos frères et de vos sœurs. N’ayez pas peur, je ne vous donnerai pas ce que vous n’êtes pas capables de prendre. Je vais vous accorder des grâces afin que vous n’oubliiez personne.

L’Esprit de Dieu est sur vous. Il vous amène là où vous, mes enfants, n’avez pas su aller dans le passé. L’Esprit de Dieu vous fait connaître ce que vous êtes au présent. Vous qui voulez regarder, qui voulez comprendre, ma joie est de vous savoir à mon écoute. Je parle en votre cœur. Moi je connais ce qui est en vous. Je lis votre livre de vie et je vous parle de votre vie. Rien ne peut être caché à Dieu, mais combien vous vous êtes cachés des tentations. Vous avez été si souvent inconnus de vous-mêmes. Voulant ignorer les lois de mon Père, vous avez été dans les tentations. Et parce que vous avez ignoré délibérément que les tentations étaient contre vous, vous avez tombé dans des précipices, car chaque fois, enfants de ma Volonté, qu’il y a eu en vous des faiblesses, chaque fois, enfants de ma Volonté, que vous vous êtes aperçu que vous alliez trop loin dans vos pensées, vous avez tombé. Je vous avais si souvent prévenus. Vous ne m’avez pas écouté.

N’ayez crainte mes enfants de ces paroles, elles guérissent, elles libèrent, car ces prêtres, ici présents, vous tiennent entre leurs mains. Soyez tout petits et laissez Dieu vous guérir. Ne reculez pas devant votre vie. Penchez-vous sur vous-mêmes et écoutez Celui qui sait, car moi j’ai suivi vos pas parce que vous refusiez de suivre mes pas. Là où vous alliez, moi je vous regardais et je sais que les pas que vous avez posés étaient des pas que vous, mes enfants, vous ne vous refusiez pas. Vous avez été dans des lieux où il y avait tant de bruit. Il y avait avec vous des personnes qui vous accompagnaient et vous avez marché ensemble, riant ensemble, ne vous préoccupant pas de votre âme. Cela était dans votre vie. Ces pas, je les connais. Cela vous a amenés dans les noirceurs. Vous avez côtoyé la noirceur.

Oh! enfants d’amour, il y a tant de maladies dans les pensées de vos frères et de vos sœurs. Lorsqu’on pense à soi-même et qu'on néglige l’amour que Dieu vous donne, vous mettez en danger les enfants de mon Père, ceux qui ont besoin de nourriture, ceux qui crient vers les enfants de ce monde de venir les aider. À cause de toute cette désinvolture que vous avez consenti à vivre, des enfants ont connu beaucoup de faiblesses dans leurs membres. Aujourd’hui, il y a des enfants qui sont incapables de marcher parce que dès leur naissance ils ont contacté des maladies. Enfants d’amour, voulez-vous vous donner pour eux ce soir? Voulez-vous porter dans votre cœur ces enfants? Et le nombre est si grand! Lorsque vous vous donnez par amour, vous vous donnez tout entier, vous faites connaître en votre intérieur ce qui vous a manqué : l’amour, l’amour pour Dieu, l’amour pour vous-mêmes, l’amour pour votre prochain. Moi, je mets en vous ma Présence et je dépose en vous leur présence, afin de vous demander d’être présents en eux. Lorsque vous êtes présents en eux, vous vivez ce qu’ils attendent de vous : de l’amour.

Parce que vous avez si souvent manqué d’amour, vous avez été là à vous préoccuper de matériel, à vous préoccuper de vos fins de semaine, à vous préoccuper de vos conversations, à vous préoccuper de bien paraître devant une société. Oh! mes enfants, comme l’amour a dû vous manquer! Comme l’amour a dû vous faire connaître que l’amour avait besoin de vous! Avez-vous entendu le vide dans votre cœur qui a frappé et qui a fait de l’écho? Où était cet amour qui remplit votre vie? À cause de cela, des enfants ont été incapables d’aimer qui ils étaient. À cause de cela, des enfants ont refusé d’aimer leurs propres enfants. Vous qui acceptez ce soir d’entendre l’Amour, acceptez mes guérisons pour eux, acceptez mon feu d’amour qui brûle d’amour pour eux. Ils connaîtront ce que moi je veux leur faire connaître : l’amour. C’est ensemble que nous marchons en ce moment. C’est comme si vous étiez là, tout près de moi, et que vos pas s’ajustaient à mes pas. N’allez pas trop vite, restez avec moi, je vais vous montrer encore ce qu’il y a eu dans votre vie.

Oh! que de paroles vous avez prononcées inutilement! Vous avez tant parlé de température. Toutes ces paroles pour remplir votre espace a manqué d’intelligence. Moi, l’Amour, je vous fais paraître ce soir comme des tout petits enfants qui se laissent prendre par l’amour de Dieu, afin qu’ils puissent comprendre que chaque parole nourrit, que chaque parole apporte à ceux qui ont besoin de mots de tendresse, de mots d’encouragement, de mots qui portent l’enfant à donner de lui-même. Chaque mot, c’est la nourriture que Dieu dépose en chacun de vous. Dieu nourrit votre esprit, mais lorsque tout cela était porté vers ce qui était inutile, combien de grâces vous avez perdues. Il aurait mieux fallu, mes enfants, que vous gardiez le silence au lieu de vous entendre dire : il fait beau ce matin, il a plu, on annonce un orage.

Oh! mes enfants, ne savez-vous pas que la parole doit être au service des enfants de Dieu? Voilà pourquoi je vous donne des grâces d’abandon afin de découvrir la valeur de votre parole. Ainsi, des enfants guériront de leur bégaiement, ils guériront de leur incapacité à parler avec amour; des enfants muets reprendront leur mouvement d’amour et ils parleront. Ils seront dans l’agir de Dieu parce que vous serez vous-mêmes, en ce moment même, dans le oui, dans votre oui.

Il faut vivre cela. Chaque instant dans votre vie est important, chaque instant dans votre vie vous amène à vous donner de l’amour. Lorsque vous vous donnez de l’amour, vous prenez ce que je vous donne, et moi je vous accorde encore des grâces pour que vous puissiez fructifier en abondance ce que je vous donne : mon trésor, qui est l’amour, et cela déborde de vous et cela coule comme un ruisseau qui va se jeter dans le fleuve afin d’alimenter tout ce qu’il touche. Vous êtes avec les enfants de mon Père. Vous êtes la vie et la Vie touche la vie. Lorsque vous consentez à être dans mon mouvement d’amour, vous touchez à tout ce qui est amour. Vous vous touchez, et moi, je vous donne à eux et, eux, ils prennent ce que vous êtes. Voilà la vie, voilà le don de l’amour. Accepter de vous donner ainsi, c’est accepter de regarder ce que vous êtes : sur la Croix. Vous devenez une Croix d’amour, une Croix qui laisse paraître ce que vous êtes : des enfants blessés qui guérissent, des enfants enchaînés qui se laissent libérer, des enfants qui ne veulent que Dieu, personne d’autre que Dieu.

J’entends, mes enfants, l’alléluia que les saints du Ciel, en ce moment même, chantent. Ils chantent de vous voir devant Dieu et Dieu étend sa toute-puissance sur vous, car ils adorent Dieu, ils aiment Dieu et Dieu vous fait paraître dans sa lumière comme étant ses sujets d’amour. Dieu s’est arrêté ce soir sur vous pour vous parler de vos frères et de vos sœurs qui, eux, reçoivent. Dieu vous demande, mes enfants, de toujours être vrais dans tout ce que vous êtes. Vos pensées doivent être pour l’amour. Ne perdez pas de temps en utilisant vos pensées pour ce qui est inutile. Le passé ne peut plus rien pour vous et le futur n’est pas pour vous, pas encore. Demeurez dans vos pensées au présent. Beaucoup d’enfants vont recevoir. Que vos yeux regardent le présent. Qu’ils ne se détournent pas pour regarder ce qui est défendu, mais qu’ils soient grand ouverts devant la vérité qui est de vivre devant Dieu, pour Dieu, afin d’être un regard d’amour pour vos frères et vos sœurs. Ne mettez pas de lunettes, mes enfants, vous ne cacherez pas votre regard de vous-mêmes, car vous serez toujours devant vous. Servez-vous de ce que je vous ai donné : la lumière.

Cette lumière, mes  enfants, vous montre que vous devez vivre sur la terre en regardant ce qu’il y a devant vous pour donner tout à Dieu. Ainsi, beaucoup d’enfants recevront ce que vous donnerez à Dieu. Ayez toujours l’écoute qui vous apporte de l’amour. Votre écoute doit être pour vous des mouvements qui font sortir de vous ce qu’il y a de meilleur. Tout ce que vous devez entendre doit vous alimenter; alors, utilisez votre écoute pour vous nourrir, pour vous donner ce que vous avez besoin au quotidien. Les enfants du monde recevront eux aussi ce dont ils ont besoin pour alimenter leur intérieur, afin qu’ils puissent avoir le courage de passer au travers de beaucoup d’obstacles que ce monde met dans leur vie. Parlez avec le langage de l’amour. Vous verrez, la sagesse de Dieu se fera connaître à vous. Il n’y aura pas de vanité en vous, il n’y aura pas de peur en vous, il n’y aura pas de doute sur ce que vous êtes devant Dieu. Vous effacerez ce qui a pénétré en vous et qui a fait de vous des êtres incapables de retenir sa langue.

La parole, mes enfants, doit servir. Alors, servez vos frères et vos sœurs, à leur tour, ils vous serviront. Soyez dans la Volonté de mon Père et agissez. Vous ne tomberez pas sans que mes anges ne soient là pour vous accueillir, car, mes enfants, à cause de vos gestes, de vos actions, les enfants de ce monde ont tombé dans des erreurs et ces erreurs, mes enfants, vous font souffrir. Il est si facile de tomber dans les pièges de Satan, mais mes anges sont avec vous. N’ayez crainte et avancez. Les gestes que vous poserez seront des gestes d’amour. Si cela semble pour vous souffrant de savoir que, oui, mes enfants, on vous jettera par terre et vous tomberez, soyez dans la foi que moi je sais tout et que j’ai mis sur vos passages mes anges. Ils vous porteront et ils vous amèneront là où vous, vous ne pensiez pas être capables d’aller. Cela se fera avec amour, avec beaucoup d’humilité.

Vous comprendrez ce que vous allez vivre, mes enfants, au moment où vous allez le vivre. Votre cœur, je le tiens entre mes mains et je le nourris de ma sainte Volonté. Celui qui écoute le Fils écoute le Père. Mon Père est avec vous. Là où je suis, mon Père est. Beaucoup d’enfants reçoivent des guérisons parce que vous vous donnez. Tout ce que vous donnez, vous le recevez, car Dieu donne ce qu’il a de lui : l’amour. Dieu se donne de l’amour, car tout est de Dieu et vous recevez ce qu’il y a en chaque enfant qui est habité de Dieu. Je suis Celui qui EST. Je suis la Présence et la Présence est devant vous. Croyez en ce que vous venez d’entendre. Telle est la Volonté du Très-Haut.

Instruments d’amour : soyez. Instruments de la Volonté de Dieu : soyez. Car, enfants d’amour, votre oui fait de vous des instruments d’amour pour ce qui s’en vient. Je prépare les enfants de toutes nations à ce qu’ils vont voir en eux. Ils verront ce qu’ils ont fait. Ils verront ce qu’ils ont oublié de faire. Ils verront ce qu’ils ont refusé de faire pour l’Amour. Rien ne sera caché d’eux. Ils verront cela et cela se prépare pour très bientôt. Lorsqu’ils verront, ils auront à prendre des décisions, à savoir s’ils veulent vivre leur vie d’enfants de Dieu. À travers les tribulations, ils devront se reconnaître être aimés de Dieu, être choisis par Dieu. Combien vont vivre cela dans la miséricorde de Dieu, en acceptant la miséricorde de Dieu! Il y aura tant d’amour pour eux. Ils reconnaîtront que je me suis donné par amour et ils croiront. Oh! mes amours, certains enfants refuseront cela encore. Ils croiront qu’ils ont rêvé, ils croiront qu’ils ont été trompés. Vous les porterez, vous les aimerez, car ils devront répondre de leur entêtement.

Ce soir, mes enfants, ma présence vous était nécessaire pour accepter votre sacrifice d’amour : celui de vous donner pour eux, par amour pour eux, en ne pensant qu’à eux, qu’à eux, mes enfants. Je demande, mes bien-aimés, à ce que vous m’adoriez en me disant combien vous m’aimez. Moi je vous aime, je vous aime tant!

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La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons donné à nos frères et sœurs ce que Dieu voulait leur donner par nous. Et Jésus a dit : «Je guéris beaucoup d’enfants». Lorsque Jésus fait pression dans nos mains, eh bien, ça sort de ses plaies, et ce soir, ses plaies étaient dans nos mains et il a agi. Certains ont même ressenti la couronne. Alors Jésus prenait ce que nous sommes et il agissait. Lorsqu’il a dit que nous étions sur la Croix, eh bien oui, il nous a cloués ce soir avec son amour, avec notre consentement.

Dieu est amour et il va encore nous utiliser. Il veut guérir ses enfants. Nous recevons énormément de force pour ce qui s’en vient. Avoir entendu toute la journée le Seigneur nous mettre au pas, et que nous, nous acceptions cela, eh bien, il y a des guérisons en nous. Le Seigneur dit qu’il y a beaucoup de personnes qui ont été dans la lumière et que cette lumière a jailli dans le cœur de certains enfants dans le monde, et à cause de cela, des cœurs de prêtres ont été atteints (applaudissements). Lorsque le Seigneur nous dit qu’il se sert de nous, eh bien, il se sert de nous et il n’arrêtera pas. Il va se servir de nous dans les jours qui vont suivre, même chez vous.

Il dit que certaines personnes ici continuent encore à s’inquiéter pour leurs enfants. Il dit : «Laissez-les-moi, abandonnez-moi vos enfants et faites confiance en Dieu. Laissez-les entre les mains de Marie. Elle, elle me les apporte sans les retenir». Elle demande spécialement aux mamans de faire confiance au Fils. Maman Marie demande aux papas d’être des forces pour les enfants. Il faut toujours donner ce qu’il y a de meilleur à ceux qu’on aime. Alors, montrons-leur un regard rempli de confiance envers Dieu. Si l’on croit que Dieu ne peut pas guérir l’un de nos enfants, alors que lui s’adonne à la drogue, comme on a peu de foi. Dieu est la toute-puissance et il n’y a rien que Dieu ne puisse faire dans notre présent, parce que lui, il l’a déjà accompli. Mais nous, il faut le remercier au présent parce qu’il accomplit. Savez-vous que nous on retarde la guérison de nos propres enfants? À force de toujours manquer d’abandon, eh bien, on les attache à nous, et ce qui retient nos enfants avec nous, c’est comme un cordon et ce cordon, il y a quelque chose qui passe.

Alors, dans ce cordon, il passe : j’ai peur; je m’inquiète pour toi; je ne sais pas si tu vas accepter les grâces du Seigneur; je me demande si tu vas être sauvé; est-ce que tu vas être capable de dire oui lorsque le moment sera venu où tu verras Dieu; est-ce que tu vas continuer à te faire souffrir, eh bien, ce que nous ressentons pour nos enfants, nous leur transmettons par ce cordon. C’est ce que nous faisons. Alors Dieu, lui, il veut qu’on lâche ce que nous, nous faisons, car c’est nous qui faisons ce cordon. «Lâchez prise! Abandonnez-moi vos enfants! Moi, je sais mieux que vous ce qui est bon pour eux. Oui, vous les verrez pleurer, mais dans leurs moments où ils verront qu’ils sont en train de se noyer, ils prendront la bouée. Dans les moments où ils sentiront leur solitude, ne voulant pas de moi, je les appellerai, et là, ils entendront la voix du Seigneur. Dans les moments où ils seront confondus avec leurs cris, avec leur colère, moi, je serai là au moment où ils seront très fatigués, fatigués de leur vie. Je leur parlerai de ma Vie».

Lorsque nos enfants souffrent parce qu’on les fait souffrir, abandonnez-les entre les mains du Seigneur; là, ils sentiront les bras du Seigneur qui les berceront. Ils sauront que ces bras-là, c’est de l’amour, sans forcer, car nous, avec nos bras, on veut les consoler nos enfants, mais on les serre si fort qu’ils sentent notre tremblement. Laissons entre les mains de Dieu ceux qu’on aime et faisons confiance en Dieu et si, nous, nous n’avons pas d’enfants, pensons à ceux qui en ont, parce que chaque enfant qui est sur la terre, c’est un 'je t’aime' pour nous. Nous avons besoin des 'je t’aime', nous avons besoin de nous maintenir dans la vérité. Plus nous allons cesser de regarder ce monde qui souffre en pensant que Dieu va agir, avec notre cœur tremblant, avec notre cœur qui en a assez de ce monde, alors là, nous comprendrons que la miséricorde de Dieu, c’est un 'je t’aime' pour nous, pour tous les enfants du monde.

Nous avons besoin de lâcher prise, nous avons besoin de donner plus de place à Dieu dans notre vie. Que ce soit pour les enfants de ceux qu’on aime, que ce soit pour nos enfants, que ce soit pour l’Église, chaque membre de l’Église est à Dieu, ils ne sont pas à nous. Bien que nous sommes ensemble, bien que nous avons été créés en un mouvement en Dieu, bien que nous formons le tout de Dieu, moi je ne peux rien pour toi; je ne peux rien pour toi, car je ne suis pas Dieu. Ce n’est pas moi qui t’ai créé, ce n’est pas moi qui t’ai créée, c’est Dieu. Moi, je ne connais pas tes souffrances, je ne connais pas tes souffrances, mais Dieu les connaît. Alors, il n’y a que Dieu qui peut nous aider. Nous, on ne peut pas faire ce que Dieu peut faire. Alors, cessons de nous inquiéter pour ce monde. Cessons de nous inquiéter pour ce qui s’en vient.

Il y en a qui se demandent : 'Est-ce qu’on va accepter le vaccin?' Si moi, je ne peux rien pour toi, si je ne peux rien pour toi, est-ce que, croyez-vous qu’un vaccin va pouvoir plus que nous? Mais si on s’abandonne en Dieu, si chacun de nous s’abandonne en Dieu, croyez-vous que Dieu est plus puissant qu’un vaccin? (R : Mais oui.) Mais soyons tous ensemble et disons : ”Dieu, tu t’arranges avec ce vaccin-là”, mais gardons une once d’inquiétude en nous, eh bien, nous en vivrons les conséquences. Satan va tout faire pour qu’on s’inquiète. Il va mettre des esprits impurs autour de nous : “Ben voyons, t’aurais dû accepter le vaccin, regarde l’autre, il est malade. Fais donc comme tout le monde. Eux vont accepter et toi, accepte donc. Tu n’as pas peur de la mort? Tu sais pas que tu pourrais être malade longtemps, qui va payer les paiements de ta maison?” Et on pourrait en accumuler, hein, des tentations? Ils sont passés maîtres là-dedans. Ils sont les tentateurs.

Alors, ne répondons pas à cela et disons : non, je refuse. Donnons à Jésus ce qu’il attend de nous. Il veut, Jésus, qu’on lui donne les tentateurs et lui, il va les enchaîner au pied de sa Croix. Il veut guérir nos mouvements de vie malades, alors pour guérir nos mouvements de vie malades, Dieu va permettre qu’ils viennent nous tenter. Et tout cela, pour nous permettre qu’on lui donne les tentateurs, afin que lui les enchaîne au pied de sa Croix. Dieu sait ce qu’il fait. Alors, à nous de nous accomplir. Il nous a montré, depuis 2008, que nous devions refuser. Il nous a montré quoi dire pour que les esprits impurs se retrouvent au pied de sa Croix. Eh bien, faisons ce qu’il nous demande, si cela était pour ce que nous, nous avions accepté de vivre dans nos conséquences à cause de nos mauvais choix. Tout cela, nous avons dit : “Non, je refuse. Merci Jésus de l’envoyer au pied de ta Croix”. Combien d’entre nous avons fait cela jour et nuit? Recommençant, recommençant, recommençant! Eh bien, continuons, continuons, continuons!

Nous avons vu des changements dans notre vie. Nous avons vu notre paix toujours nous maintenir. Encore aujourd’hui, nous recevons des claques en arrière et on continue dans notre paix, parce que nous avons vu l’agir de Dieu. Nous avons ressenti ce qu’il voulait pour nous : des guérisons. Combien ont ressenti la paix alors qu’ils venaient de refuser et de dire : “Merci Jésus de l’envoyer au pied de la Croix”? Pouvez-vous lever la main? Eh bien, vous ne pouviez ressentir la paix sans avoir été dans la guérison; alors, il y a eu de la guérison en vous. Et si je vous demandais encore : "Avez-vous ressenti seulement qu’une seule fois la paix ou plusieurs fois la paix? Vous ne pouviez ressentir encore la paix sans que d’autres enfants dans le monde entier reçoivent des guérisons. Voilà la purification de la chair.

Vous avez entendu le Seigneur tantôt, il nous a parlé que nous étions pour voir ce que nous avions fait. Alors, nous allons vivre l’illumination des consciences avant la Grande Purification, ce qui va réveiller beaucoup d’enfants qui portent un oui et qui n’ont pas encore prononcé leur oui, mais qui le portent. Alors, lorsqu’ils verront et lorsqu’ils donneront leur oui, savez-vous combien de guérisons on recevra? Ils recevront des guérisons et nous recevrons des guérisons, car la miséricorde de Dieu, c’est l’Eau qui lave et le Sang qui purifie, et Dieu nous a bien dit tantôt : «C’est près, très près, mes enfants». Alléluia.