Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2003-10-24 – En soirée

 

Jésus : Cette enfant du oui à Jésus est voulue de nous, la Trinité.

Chacun ici présent, vous êtes de nous, la Trinité, tout comme elle.

Ce qu’il y a de particulier en elle, mes enfants, c’est nous qui y avons déposé; cela ne vient pas d’elle, mais de Dieu.

Dieu a déposé en cette enfant un don : celui de l’abandon.

Elle ne pouvait d’elle-même s’abandonner : Dieu seul distribue ses dons.

Vous, mes enfants, avez en vous cet abandon, nous avons donné à chacun de vous un don : ce don, c’est celui de répondre oui à l’appel de votre Dieu.

Il faut laisser Dieu développer en vous cet abandon.

Mes amours, laissez-vous prendre par moi; par votre Dieu; laissez-vous envelopper par son amour.

Votre Mère, votre Maman d’amour, celle que vous aimez, celle qui a prononcé son oui, s’est abandonnée;

faites comme votre douce Maman d’amour : abandonnez-vous à notre Volonté.

Lorsque vous prononcez votre oui en vous, vous laissez Dieu agir en vous; les dons d’amour commencent à se faire sentir en vous, à se faire connaître de vous.

Mes amours, lorsque votre mère terrestre vous portait, Dieu déposait en vous des grâces, des grâces d’amour : ce sont des dons.

Par la puissance du Saint-Esprit, vous avez reçu des dons et ces dons forment votre quotidien.

Chacun a reçu de Dieu tout ce qui lui était nécessaire pour s’accomplir sur la terre.

Vous avez reçu, mes enfants, ces dons d’amour.

Lorsque vous acceptez de donner de la place à Dieu en vous, vous acceptez que Dieu vous nourrisse de ses grâces d’amour pour vous faire découvrir ces dons avec l’amour de Dieu.

Je vous explique, mes enfants. Combien d’enfants ont reçu le don de chanter? Combien d’enfants ont découvert ce don qui est amour, qui porte à donner? Ce don ne vient pas d'eux, il vient de Dieu : c’est Dieu qui a déposé en ces enfants le don de chanter pour que les autres entendent, entendent la Volonté de Dieu.

Tout doit s’accomplir dans la Volonté de Dieu.

Lorsqu’un enfant croit que ce don vient de sa propre volonté, il perçoit qu’il chante, mais il ne peut percevoir l’amour qui se développe en lui, afin qu’il puisse se donner.

Il devient un enfant qui veut s’accomplir dans sa volonté, mais non pour plaire à Dieu.

Vouloir chanter : c’est vouloir plaire à Dieu parce que le chant vient de Dieu, parce que sa voix vient de Dieu, parce que sa vie vient de Dieu.

Tout enfant qui s’abandonne comprend que Jésus est amour et qu’il s’est donné, afin que lui puisse se découvrir comme étant un enfant de Dieu, et lorsque cet enfant perçoit cet amour, il se donne comme Jésus s’est donné.

Voyez-vous combien d’enfants chantent : ils ne savent pas que Jésus s’est donné sur la Croix pour purifier leur voix, pour purifier leurs chants, afin qu’ils puissent chanter dans la Volonté de Dieu pour plaire à  leurs frères et à leurs sœurs.

Mes enfants, lorsque vous entendez des chants et que vous trouvez cela bon pour vous, pour votre intérieur, c’est parce que vous-mêmes avez reçu une écoute : celui de l’abandon.

Lorsque vous entendez des chants d’amour : tout en vous commence à vibrer, commence à s’abandonner, à découvrir que Dieu donne des sons d’amour à votre intérieur.

Dieu qui habite l’intérieur de ses enfants, il aime entendre leurs chants, et lorsqu’un enfant accepte de laisser couler en lui ce chant d’amour, il donne à Dieu ce que Dieu lui a donné : une écoute.

Voyez-vous, mes enfants, Dieu est l’Amour,  il est la Volonté.

Si un enfant, par son oui, accepte ce que Dieu lui a donné, il découvre la joie de chanter; il découvre la joie de se donner;  alors il devient un être d’amour pour lui, car lorsqu’il apprend qu’il est amour, il aime donner.

Et les enfants qui écoutent ce chant et lorsqu’ils s’abandonnent, ils apprennent à découvrir que Dieu a mis des chants à l’intérieur de certains enfants pour eux, afin qu'ils puissent les écouter.

Voyez-vous, tout vient de Dieu, tout passe par Dieu et vous, à l’intérieur, vous recevez en Dieu ce que Dieu veut vous donner.

Tout est mouvement d’amour, c’est ce que vous faites en ce moment : vous acceptez d’écouter mes paroles d’amour afin que ces paroles puissent vous nourrir.

Je suis la Parole, je suis la Vie : seule la Vie peut faire vibrer en vous la vie qui vous habite.

Il n’y a que Dieu, aucun enfant sur la terre ne peut prétendre être capable de faire vibrer ceux qui l’écoutent; il n’y a que Dieu qui peut faire cela.

C’est pourquoi lorsqu’il parle, si ces mots sont amour, l’autre qui l’écoute trouve que ces sons sont agréables, alors il aime écouter.

Mais si l’enfant parle avec sa volonté humaine en se donnant tout ce pouvoir, l’autre, à l’intérieur de lui, le perçoit parce qu’il ne ressent rien; il n’apprend pas à écouter celui qui parle parce que cela vient de sa personne.

Il faut être en Dieu pour parler, il faut être en Dieu pour écouter.

Mes amours, lorsque vous venez ici, vous consentez à ouvrir votre intérieur pour écouter, et lorsqu’une personne parle en Dieu, elle vous donne ce que Dieu lui donne.

C’est pourquoi, mes enfants, votre temps ici ne vous paraît pas long parce que vous apprenez à vous donner, vous apprenez à recevoir.

 

Dieu, la Trinité : Oh! mes amours, cette enfant qui parle, elle s’est donnée; pas un mot n’a pas été connu de nous, la Trinité, avant qu’elle s’assoie devant vous.

C'est moi, Dieu, qui lui donne cet abandon. Par notre puissance, nous prenons sa volonté humaine et nous la remplissons de la Divine Volonté.

Tout  d’elle devient abandon; c’est parce qu’elle a donné son oui.

 

Jésus : Moi, l’Amour, je vous parle à chacun d’entre vous; je veux vous nourrir de mes paroles d’amour; je veux faire de vous des enfants à l’écoute de Dieu pour vous faire grandir, pour vous nourrir, pour vous apprendre que vous êtes amour et que vous devez donner.

Mes enfants, tous ceux qui veulent faire ma Volonté ne doivent pas garder en eux une réticence, un doute, des questions : ils doivent être complètement abandonnés.

Le Saint-Esprit vous couvre de sa puissance, il vous enveloppe comme il a enveloppé Marie, et là, mes enfants, Dieu qui vous habite fait de vous des enfants abandonnés dans la Divine Volonté.

Vous n’êtes consentants que lorsque vous donnez votre oui.

Mes enfants, tout doit tourner autour de la Volonté de Dieu.

Lorsque tout tourne autour de votre volonté, vous recevez ce que vous, vous prétendez avoir et pas plus, mes enfants.

Comme il est maigre votre dû car, mes amours, vous ne voyez pas plus loin que votre nez!

Moi, je suis la Puissance.

Moi, je suis l’Amour. Je vous ai connus avant même votre naissance; avant même que vous soyez dans le sein de votre mère terrestre; avant même que vous soyez ici, en ma Présence.

Voyez-vous, mes enfants, que Dieu vous connaît? Voyez-vous, mes enfants, que je sais ce qui est bon pour vous?

Je connais aussi ce qui va se passer demain pour vous; je connais aussi ce qui va se passer dans un an, mais cela ne peut vous être dévoilé.

Savez-vous, mes enfants, que lorsqu’on veut se nourrir de ce que vous, vous ne connaissez pas, (l'avenir) vous avancez en cherchant à contrôler; alors, quelqu’un qui contrôle cherche à dévier la Volonté de Dieu; il se demande s'il peut faire un tel geste sans que cela nuise à ce qu’il a appris.

Cet enfant ne peut s’accomplir, car il met sa volonté humaine avant la Volonté de Dieu.

Moi, je veux vous apprendre à mourir en moi.

Je veux vous apprendre à vous abandonner dans la Divine Volonté.

Dans l’abandon, avoir confiance en Dieu, votre Père.

Mon Père m’a donné à vous; j’ai pris tous vos péchés et je les ai amenés à la mort; je vous porte tous.

Mon Corps, mes enfants, a été meurtri à cause de votre volonté humaine.

Croyez-vous que moi, le Fils de Dieu, je peux être pour vous un Dieu qui sait ce qui est bon pour vous, puisque je vous ai en moi, puisque je vous porte? Il faut que vous consentiez à renoncer à votre volonté humaine pour venir mourir en moi, en Jésus.

Puisque je vous porte depuis deux mille ans, puisque vous savez compter, ayez confiance, abandonnez-vous.

Mon Père connaît tout ce qui est bon pour vous.

Il a choisi ce temps pour vous faire découvrir que votre volonté humaine est contre vous, il a choisi ce temps pour vous faire savoir que si vous renoncez à votre volonté humaine pour venir mourir en moi, afin que vous ayez la Divine Volonté à la place de votre volonté humaine, c’est que mon Père connaît ce qui est bon pour vous.

Mourir en moi, en le Christ, c’est vivre.

Oh! amours, combien d’entre vous faites des actions en ne voulant pas faire le mal? Mais à cause de votre volonté humaine, vous vous apercevez que vous avez fait une action qui était mal : elle portait le péché.

Vous avez fait quelque chose que vous ne vouliez pas faire, mais à cause de votre volonté humaine si faible, vous avez consenti à poser ce geste. Voyez-vous que votre volonté humaine porte en elle une faiblesse si grande que vous venez, avec ce que vous faites,  consentir à pécher? Celui qui pèche se donne dans le mal; il ne peut découvrir en lui la vraie valeur de ce qu’il est de ce qu’il donne et de ce qu’il reçoit.

Lorsque vous faites des actions d’amour, c’est parce que le Saint-Esprit vous a donné des dons de vous accomplir dans ce qui est bon pour vous et dans ce que les autres aiment recevoir de vous.

Et c’est la même chose, lorsque vous consentez à dire à quelqu’un qu’il a fait quelque chose de bien : vous consentez à faire la Volonté de Dieu avec votre volonté humaine.

Vous êtes amour, vous recevez l’amour; vous êtes en harmonie avec vous-mêmes et vous êtes aussi en harmonie avec votre prochain : pouvez-vous, vous, être dans cet accomplissement avec votre volonté humaine, à chaque jour? 

C’est impossible, mes enfants, vous ne le pourriez pas sans les grâces de mon Père!

Mon Père vous donne à chaque jour votre pain quotidien afin que vous vous accomplissiez dans ce que vous, vous avez reçu : les dons du Saint-Esprit.

C’est pourquoi vous apprenez à vous donner, à vous donner comme mon fils, ce soir, lorsqu’il a déposé ses mains sur ses notes : il s’est accompli dans la Volonté de Dieu, mais à cause de sa volonté humaine, bien souvent, il ne peut percevoir l’amour qui sort par ses sons, l’amour qui sort de son intérieur pour donner, parce qu’il est trop faible, il est trop petit.

Moi, Dieu, je suis en lui, je lui donne des grâces d’amour afin qu’il puisse se découvrir enfant dans l’accomplissement de la Volonté de Dieu, pas dans son accomplissement à lui.

Il est fait pour donner, comme moi, je me suis donné; il joue pour donner.

Et vous, mes amours, ce soir lorsque vous avez gardé le silence pour entendre ces sons d’amour, Dieu déposait en vous des grâces pour découvrir la splendeur de l’agir de Dieu.

Tout vient de Dieu! C’est pour vous, mes enfants; recevez des sons d’amour parce que vous êtes amour; laissez-vous envahir par l’Amour.

Mais si votre volonté humaine ne peut s’abandonner, c’est qu’en vous, vous êtes trop petits; c’est qu’en vous, il y a un oui qui veut se faire entendre.

Il n’y a que moi qui peux vous faire découvrir l’abandon.

En acceptant  de vous abandonner, votre oui sort parce que je connais votre oui avant même que vous le prononciez.

Je nourris votre être, je suis la Vie, je suis le Courant qui passe en vous, qui vous fait vibrer d’amour.

Lorsque vous entendez l’Amour, vous êtes tous liés les uns aux autres pour vous donner; vous êtes tous liés les uns aux autres pour recevoir, car vous êtes en moi, Jésus, vous vivez en moi.

Je suis le Fils de Dieu, je vous ai donné ma Vie pour nourrir votre vie et votre vie, mes enfants, est entre vos mains.

Oui, c’est votre choix : à vous de savoir si vous voulez vivre en moi, Jésus; à vous de savoir si vous voulez vous abandonner, si vous voulez découvrir ce que vos frères et vos sœurs veulent vous donner; à vous de savoir si vous voulez recevoir.

Je peux tout pour vous, mes enfants, c’est moi le Verbe.

Certains d’entre vous connaissent ces paroles, mais dites-vous bien, mes enfants, qu’hier, Dieu le Père vous a donné des grâces pour votre journée afin que vous puissiez découvrir qui vous êtes aujourd’hui, afin que vous puissiez découvrir ce que Dieu veut vous donner aujourd’hui, au présent.

Lorsque vous vous abandonnez en moi, en Jésus, vous accueillez ces paroles avec les grâces que vous avez reçues hier, pour aujourd’hui.

Voyez-vous, je suis la Présence et la Présence veut vous faire goûter à chaque instant la saveur de votre vie.

Ainsi votre vie ne sera pas une vie quotidienne remplie de votre quotidien

qui est si ennuyant, qui est si platonique!

Mes amours, c’est moi qui vais tout faire pour vous car, à cause de votre consentement, votre volonté humaine diminue et c’est ma Divine Volonté qui augmente à chaque jour en vous.

Elle prend une place de plus dans votre intérieur.

C’est votre transformation, votre transformation en enfant de la Divine Volonté.

Vous vivez ce temps d’amour : je parle en vous, j’agis en vous, vous êtes en ma Présence.

Tout s’accomplit dans la Volonté de Dieu.

Que tout soit comme Dieu le Père le veut : dans l’abandon, dans l’amour pour vous et pour votre prochain.

Amen, mes enfants.

 

Fille du Oui à Jésus : Tous ensemble demandons à Dieu de nous nourrir de ses grâces d’amour en acceptant que le prêtre vienne nous bénir.

 

Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il accomplit sa Volonté. Il me donne des mots qui viennent en moi, je ne les connais pas; ces mots sont déjà préparés dans la Divine Volonté, je n’ai seulement qu’à laisser couler en moi ces paroles.

Ces mots sont pour vous, pour moi aussi, parce que lorsqu’ils sortent de moi, eh bien, ils me nourrissent autant qu’ils vous nourrissent.

Ça vient du Saint-Esprit, ça ne vient pas de moi! Ils sont à l’Amour et nous sommes l’amour.

Il consent à ce que je vienne me présenter, et il consent à ce que vous autres aussi, vous veniez ici entendre : c'est la Volonté de Dieu

S’il avait voulu, je ne serais pas ici et vous autres non plus : cela ne vient que de lui.

Aujourd’hui, c’est une journée remplie de mouvements.

Hier, je ne savais pas vraiment ce qu’il attendait vraiment de moi.

Il avait déjà préparé, la semaine passée, quelques mouvements en moi, mais ce n'était pas le moment de me donner la lumière pour que je sache vraiment ce qu’il voulait.

Mais croyez-moi, qu’hier, il l’a fait! Hier au matin, il m’a dit : «Ma fille, tu te lèves. Tu vas faire telle chose, tu vas faire telle chose, telle chose.»

Il me dictait tout ce que je devais faire pour venir ici.

Il m’a dit de faire des photos : ce n’est pas son habitude.

Alors, j’ai demandé à ma fille parce que je ne manie pas ces appareils; je n’ai  jamais été une personne qui s’est familiarisée avec ça; ah, j’ai eu des petits Kodak – mon mari, il avait des gratteux, il en avait gagné un, même deux; il en a passé un à ma fille – mais je n’avais pas reçu le don de m’en servir.

C’est pour ça que j’ai été étonnée qu’il me demande de faire des photos; mais je ne savais pas comment vraiment m’y prendre; j’ai dit oui.

C’est vraiment hier, dans l’après-midi, il me disait tout.

Alors, j’allais prendre mes premiers écrits; les premiers écrits étaient dans des contenants, dans des valises, ça date depuis 2001, dès le commencement; alors, j’ai apporté ça en haut (chez-moi); il me le demandait, je l’ai fait.

Alors, il disait tout, comment les installer pour prendre des photos; ça, c’est hier et, aujourd’hui, je devais m’en venir ici et ma valise n'était pas faite.

Pourquoi je dis ça? Parce que Monique le sait où je mets toutes mes cassettes; elle le sait, c’est une ancienne secrétaire.

Alors elle a placé toutes ces choses-là, bien comme il le faut; elle a même acheté des petites valises noires, toutes bien à sa place.

Mais je ne trouvais pas ma valise, je ne savais pas où elle était, j’avais déménagé; alors, j’ai appelé Marcel, puis je lui ai demandé pour voir si c’était lui qui avait les cassettes; alors, non, ce n'était pas lui.

Alors, je suis repartie, puis j’ai fouillé, et je l’ai trouvée dans le fond de ma garde-robe.

Alors, il m’a demandé de sortir un témoignage; ce témoignage je l’ai apporté avec moi, c’est sur des cassettes, ça se fait spontanément; et aussi il m’a demandé d’amener une cassette sur son agir (sur cette cassette), je prie, et ce n'est pas moi qui prie, je laisse prier le Bon Dieu, c’est plus facile! Alors, je répète les paroles. Lorsque je suis avec du monde, bien ce n’est pas poli de prier toute seule; alors, je prie tout haut.

Mais, Monique, elle a pris une habitude : c’est de tout enregistrer.

Le Seigneur, il savait ce qu’il faisait! Parce que ça s’est fait qu'en deux mille deux, elle est arrivée à la maison vers février, je crois, puis elle est demeurée quatre mois à la maison; alors là, Monique, elle enregistrait tout : les bénédicités, les prières, partout, elle me suivait avec une cassette.

Je lui disais : "Monique, tu n’es pas pour tout enregistrer!"

Mais savez-vous, je vais vous conter une petite anecdote, c’est que je pourrais en conter plusieurs, mais je vais en choisir une : lorsqu’on faisait notre bénédicité avant les repas, bien c’était moi qui le disais, mais dans le Seigneur.

Alors quand je commençais, elle trouvait ça beau; alors là, ça s’allongeait, ça devenait un message.

Puis des fois, elle se désolait que ce ne soit pas enregistré.

Là on était rendu qu'on mangeait avec l’enregistreuse à côté de nos assiettes.

Alors elle enregistrait, mais ce qui arrivait, c’est que notre assiette était rendue toute froide, parce que c’était tout froid quand il finissait.

Des fois, ça pouvait durer quinze minutes, une demi-heure; alors on ne mettait pas la nourriture tout de suite dans nos assiettes, un petit peu après, parce qu’on savait que le bénédicité pouvait être long.

Mais des fois, quand j’avais bien faim, je disais : "Monique, dis-le toi, le bénédicité" parce que c’était long! Mais on a eu des messages fantastiques, merveilleux et je les ai gardés.

Et c’est aussi le soir avant de se coucher, après des journées très longues, alors, même si c’était long, Monique enregistrait et des fois, savez-vous, elle dormait – oui, je t’ai déjà vue – et quand j’ouvrais les yeux, parce que je prie les yeux fermés, je disais : "Monique, t’as dormi hein?" Elle avait cogné des clous, elle était à genoux, puis elle dormait après une bonne journée de travail! Et quelquefois elle ne dormait pas, parce qu’il y avait des prières qui se changeaient en agir.

Comment vous dire? C’est que j'entrais dans la Divine Volonté si profondément que j’entendais des âmes en moi et c’est une des cassettes qu’il m’a demandé d’apporter, et c'est ce que j’ai fait avec les photos.

Hier au soir – je retourne un peu en arrière – hier au soir, j’ai monté chez Bureau en Gros, je ne veux pas faire, …oui, ce n’est pas moi qui le dis, c’est  le Saint-Esprit. "Oui, Seigneur."

Alors, j’ai fait des acétates (lorsque) je suis arrivée là-bas, je ne savais pas quoi faire avec les photos qui étaient manquées d’ailleurs, parce que les photos étaient foncées.

J’ai dit : ah! j’ai essayé de faire des photocopies pour avoir des plus belles images et ça n'a rien donné, c’était noir, c’était vraiment pas beau.

Mais eux autres ont des appareils vraiment bien sophistiqués, ça très bien sorti.

C’est dans la Volonté de Dieu.

Alors, j’ai tout mis ça dans ma valise.

Après, j’ai fait ma valise; juste avant de partir, j’avais oublié ma brosse à dent, ma pâte à dent; j’avais oublié de quoi pour me coucher, alors juste avant de prendre la poignée; j’ai dit : "Ah, mon doux! C’est sa Volonté avant ma volonté."

Alors, j’ai apporté tout ça avec moi et qu’est-ce que je devais faire avec ça, je ne le savais pas.

Je savais qu’il fallait l’amener.

Alors j’ai été voir mon père spirituel, après, j’ai été faire ma pénitence devant Jésus d’amour et après, il  m’a envoyée dans ma chambre pour écrire et il a dit que c’était sa Volonté.

Il veut qu’on apprenne à connaître qui je suis.

Il veut que les enfants soient témoins de la Vérité,

il veut démontrer qu’il est le seul maître de sa Volonté à lui, pas la nôtre.

Alors, il dit que c’est à chaque instant qu'il va me dire quoi faire avec ça.

Alors, je n’ai qu’à suivre ce qu’il nous demande.

Je dis : nous, parce que je ne suis pas seule dans la Volonté de Dieu, c’est l’Œuvre de Dieu.

Nous sommes plusieurs à faire la Volonté de Dieu.

Lorsque Noëlla a demandé si Jésus voulait venir parler, ça venait pas d’elle, c’était la Volonté de Dieu; il attendait ce moment.

Elle fait partie de l’équipe! Lorsqu’on fait la Volonté de Dieu, c’est son œuvre.

Que  l’œuvre soit faite pour ces écrits, que l’œuvre soit faite pour d’autres écrits,

il n’y a qu’une œuvre : c’est celle de Dieu.

Il n’y en a pas plusieurs; lorsqu’on s’accomplit pour Dieu, eh bien, on accomplit son Œuvre.

Alors, chacun de nous, on a quelque chose à faire dans cette œuvre; elle fait partie de nous parce que Dieu est en nous.

C’est pour ça qu'il dit tout le temps "nous" à travers moi.

Il me fait souvent prier et c’est des "nous"; il me fait chanter et c’est des "nous", parce que lorsqu’il donne, il dit qu’il ne donne pas seulement qu’à une personne, mais il donne à tous ses enfants.

On porte en nous nos frères et nos sœurs et c’est pour chacun d’entre nous qu’il faut tout donner.

Tout pour Dieu! Qu’importe ce qu’on pense de nous lorsqu’on fait la Volonté de Dieu.

Qu’importe ce que Dieu nous demande : on doit s’accomplir parce que Dieu nous donne les grâces qui vont avec : il nous donne la paix, il nous donne la joie.

Je savais, cette semaine, et c’était très fort en moi, qu’il fallait parler, qu’il fallait que les gens découvrent une partie de ma vie, mais je ne savais pas pourquoi, mais c’était là; toute la semaine, c’était présent en moi.

Depuis (l'année) deux mille un, je ne me posais pas cette question; je me cache derrière Jésus.

Il m’a donné un nom. C’est un nom! C’est : la Fille du Oui à Jésus. 

Alors, lorsque Jésus m’a donné ce nom, c’est comme si j’avais disparu, c’est comme si mon nom prenait toute la place, et je m’imprégnais dans ce nom que lui avait choisi.

Parce que c’est la Volonté de Dieu, parce que ce n’est pas ma volonté, à chaque jour, je laisse couler en moi la Volonté de Dieu.

Ce qu’il attend de moi, je n’en sais rien; mais je sais une chose : tout pour Dieu! C’est comme un emblème.

Quand je sors de la maison, je dis : "Tout pour Dieu" parce que je sais qu’il m’envoie pour son œuvre à lui et c’est ma mission qui est sa Mission.

On a tous une mission sur la terre : c’est de mourir pour faire la Volonté de Dieu, mourir en Jésus.

C’est bien compliqué pour nous, mourir en Jésus, quand on voit ça avec notre volonté humaine.

Comment faire? Comment renoncer à tout ce qu’on est? Mais, on a qu’à ne faire rien.

Je le répète souvent : laissez faire Dieu.

Durant notre quotidien, lorsqu’il nous arrive des pensées sans qu’on le veuille : "Pourquoi je pense à ça, tout d’un coup?" Eh bien, accueillez, accueillez ça.

Dieu va nourrir, on n’a pas à se poser des questions, on a qu’à s’abandonner;  si ça vient de Dieu, Dieu va nourrir.

Ça va revenir en nous et Dieu va s’arranger avec ça, parce que ça lui appartient.

Tout ce qui vient dans notre tête, c’est le Saint-Esprit qui l’a déposé, c’est Dieu.

On n’a pas à se soucier comment ça va se développer, lui va nous le montrer par ses grâces, par ses grâces d’amour.

Et si ça vient de notre volonté humaine, là, ces pensées, croyez-moi, on va tellement y penser que ça va former notre quotidien selon notre volonté; et on a une pensée très fertile! Lorsque ça vient de nous-mêmes, on pense à chaque seconde.

On se réveille le matin, là, puis tout de suite on se met à penser à ça; on se lève puis on y repense encore, puis on vient de rajouter quelque chose de nouveau dans notre pensée : "Ah! ça de l’allure!" Après ça, on continue, on en met encore un peu; et ça commence à prendre forme.

Ça prend tellement forme qu’on est en train de faire des images dans notre tête; on pourrait en faire un film! Eh bien ça, c’est la volonté humaine : ça ne vient pas de Dieu.

Savez-vous pourquoi? Parce que Dieu quand il nous donne une pensée, il nous donne des grâces d'abandon, il nous donne la lumière, il nous donne la paix, alors, lorsqu’on est en paix, lorsqu’on est calme : on attend.

Dieu forme en nous sa Volonté; cela se fait tout simplement par ses grâces d’amour.

Alors l’idée qu’on avait eue prend forme, pas globalement, c’est un tout petit peu.

Alors quand on a un tout petit peu plus de lumière, c’est par la lumière qu’on commence à voir notre idée, c’est plus palpable, ça devient plus clair et Dieu nous laisse aller, il nous nourrit tranquillement avec ses grâces, puis on reste toujours en paix; on forme notre quotidien avec ce qu’il nous donne au présent.

C’est pour ça qu’on peut travailler en paix sans se soucier; on n’est pas fatigué, notre idée est tout le temps là.

Pourtant, comment ça se fait que je peux faire mon travail, sans penser à l’idée que j’ai eue? Mais c’est l’abandon, la paix en moi.

Alors je travaille sans me fatiguer parce que je suis plus attentif à ce que je fais, j’apprends à aimer ce que je fais : c’est l’abandon.

Et lorsque Dieu le veut, l’idée continue, une chose de plus se rajoute, ça devient plus clair.

Là je peux vraiment savoir que Dieu veut telle chose.

Ah! ce n’est pas long comme un roman, c’est un tout petit peu et ça me suffit.

C’est suffisant  pour que je puisse savoir que oups, je dois faire telle ou telle chose : ça se concrétise.

Je vais vous donner un exemple : si j’ai l’idée d’aller acheter un vêtement, eh bien, cela s’arrête là.

Je sais qu’il faut que je m’achète de quoi, mais je  ne commence pas, avec ma volonté humaine, à savoir où est-ce qu’il faut que je l’achète, quand il faut que j’aille magasiner, quelle sorte de tissu ça va être? Non, je laisse tout ça au Seigneur; lui, il saura le moment quand je devrai le faire.

Alors, je continue ma journée en faisant ce que je dois faire et tout d’un coup; je reçois un coup de téléphone : une personne m’appelle si je veux bien aller magasiner avec.

Oups! alors là, ça rejoint un peu ce que j’avais eu comme idée; alors je ne peux pas refuser puisque je me suis abandonnée au Seigneur, il me l’envoie, alors merci Seigneur! Mais je continue à faire ma journée; je ne commence pas à avoir toutes sortes de pensées : Qu’est-ce que je vais m’acheter? Va-t-on aller manger ensemble? Qu’est-ce que je vais faire? Vais-je trouver? D’un coup qu'elle magasine pour elle, ça va me retarder.

Non, je ne pense pas à ça.

Si Dieu me l’a envoyée pour que j’aille magasiner avec, bien je vais y aller; alors je continue à faire ce que j’ai à faire.

Lorsque le moment est venu là, l’endroit est choisi.

L’endroit est choisi parce qu’elle aime bien aller à telle ou telle place.

Ou, moi, je lui dis : "Ah moi, j’aimerais ça m’acheter une paire de souliers", eh bien, elle, qui connaît mieux que moi certains magasins, elle va m’emmener.

Voilà que ça se concrétise et pourtant c’est simple! Dieu agit, Dieu agit dans tous ses enfants, il donne.

Lorsque j’arrive là-bas, je laisse faire, je suis la personne et elle m’emmène avec elle.

Si elle veut aller dans un autre magasin que celui-là, ce n’est pas grave, c’est bien! Alors, cette personne m’emmène dans le magasin et là je dis : "Seigneur, magasine à ma place" et sans m’en rendre compte, j’ai besoin d’une paire de souliers et j’ai besoin d’une paire de bottes : "Eh, je n’y avais même pas pensé avant de partir qu’il fallait que je m’achète des bottes!" Eh bien, c’est que Dieu me fait découvrir ce qu’il veut me donner; c’est son idée à lui, ce n’est pas la mienne.

Il sait prendre soin de moi beaucoup mieux que moi je peux prendre soin de moi.

Savez-vous combien de fois j’ai été magasiner avec ma volonté humaine, m’acheter des souliers et je n’ai pas trouvé? Et combien de fois j’ai pensé à ça avec ma volonté humaine? Ah! vous seriez bien surpris! Je suis toujours revenue sans souliers et sans bottes; c’est parce que ça venait de ma volonté humaine.

Je vous ai donné un exemple bien simple; un exemple quotidien qu’on a à tous les jours puis qu’on fait quotidiennement; que ce soit pour l’achat d’une auto, ah! c’est important pour les hommes l’achat d’une auto et, maintenant, pour les femmes aussi; que ce soit pour une maison, aussi c’est la même chose; que ce soit pour un emploi, ça aussi c’est pareil; que ce soit aussi pour se trouver un  chum; que ce soit aussi pour des projets de voyage : si cela vient en nous et que nous gardons notre paix, notre amour en nous : cela vient de Dieu.

Mais si on se met nous-mêmes à vouloir régenter, eh bien, on va passer notre volonté humaine avant la Volonté de Dieu et ça n’arrivera pas comme Dieu veut nous  donner : ça va être tout croche.

Dieu va nous donner encore plus que ce que nous autres on est capable de concrétiser avec notre volonté humaine.

Il faut laisser faire Dieu, il faut s’abandonner en Dieu.

Dieu est l’Amour, Dieu est agissant et il me l’a montré souvent.

Depuis deux ans, c’est incroyable tout ce qu’il a fait pour moi et tout ce qu’il a fait pour nous.

Arrêtez-vous un instant pour penser, depuis votre naissance, aux moments où vous avez fait des actions dans l’abandon : vous allez voir que Dieu est amour; et pensez aussi à tout ce que vous avez voulu avoir et que vous vous êtes offerts avec votre volonté humaine.

Réalisez tous les épuisements que vous avez faits, toutes ces journées à penser, à calculer pour vous offrir telle et telle chose, à toutes ces espérances que vous avez voulu avoir.

Souvent, il y a  quelque chose, quelqu’un ou des gens qui disent : "C’est lorsque tu lâches prise que ça arrive." 

C’est vrai, c’est l’abandon; cette lumière ne vient pas de cette personne, elle vient de Dieu.

Dieu va se servir de personnes autour de nous pour nous dire : 

«Donne-toi, abandonne-toi. Moi, je vais le faire pour toi.

Laisse ta volonté humaine et fais ton oui en toi.»

Eh bien, c’est ça notre vie; c’est ça notre vie quotidienne depuis qu’on est au monde.

On est né sur la terre avec une volonté humaine; on ne nous a pas appris à nous abandonner en Jésus.

J’ai crié à Jésus, j’ai crié à Dieu le Père, je lui ai dit : "Comment veux-tu qu’on le fasse puisqu’on ne le sait pas, puisqu’on ne sait même pas qu’on a en nous cette volonté humaine qui nous met prisonniers de nos actions."

Parce que j’ai entendu Jésus nous parler d’amour, lorsque j’ai découvert la volonté humaine, j’ai laissé prier Jésus en moi parce qu’il savait mieux prier que moi!

Il savait comment prier son Père pour qu’il puisse nous montrer comment nous abandonner.

Cela ne vient pas de nous; aucun enfant sur la terre pourrait demander à Dieu le Père : "Donne-nous des connaissances, montre-nous comment nous abandonner, aie pitié de nous"; il n’y a que le Fils qui peut faire ça, parce que Jésus l’a dit, parce que Jésus a crié, Il a crié à son Père, pour nous, de venir nous aider.

Lorsqu’il a dit : «J’ai soif!» Jésus nous prenait en lui avec ce que nous sommes avec notre volonté humaine.

Il criait à son Père : «Donne à manger à ces enfants parce qu’ils ont faim, donne à boire à ces enfants parce qu’ils ont soif.»

Il l’a fait en nous prenant en lui.

Alors, Jésus est le seul qui peut parler à son Père, c’est le seul qui peut nous montrer comment nous abandonner, comment faire de nous des enfants de la Divine Volonté afin que nous puissions comprendre que nous, nous devons nous abandonner afin de vivre dans la Divine Volonté.

C'est cette volonté humaine qui a fait de nous des enfants indépendants les uns des autres, qui a tout pris les dons du Saint-Esprit;

cette volonté humaine est en train de nous détruire

Dieu me dit de continuer parce qu'il veut que je témoigne de son amour.

Il veut que je témoigne de la Volonté de Dieu parce que Dieu seul peut nous faire comprendre que nous sommes en train de nous tuer.

À chaque fois qu’on fait notre volonté humaine, on empêche Dieu d’agir.

À chaque fois que notre volonté humaine se fait sentir en nous, se fait entendre en nous : Dieu attend!

Dieu ne se laisse pas voir parce qu’il respecte qui nous sommes.

C’est l’Amour qui est en nous, qui crie en nous en ce moment.

Elle (la Divine Volonté) est en train de nous faire découvrir que nous avons soif, que nous avons faim.

Elle est en train de perdre du terrain la volonté humaine,

et Jésus est en train de prendre une place importante dans notre vie.

Nous avons encore un bon bout de chemin à faire, mais Jésus nous dit Ne regarde pas en arrière, regarde en avant. Avance, parce que ce qui s’est passé hier, moi, je l’ai pris en moi et lorsque tu consens à t’abandonner en moi, tout mon Sang purifie tes actions posées par ta volonté humaine et ce que tu ne sais pas est en avant.» 

Dieu va nous saisir, Dieu va nous prendre afin qu’on puisse goûter à sa Volonté d’amour.

Sa Volonté d’amour est incalculable tant elle est puissante, tant elle est douceur, miséricorde!

Sa Divine Volonté ne peut être décrite que par lui.

Lorsqu’on commence à goûter à cette volonté d’amour, on commence déjà à voir l’agir de Dieu autour de nous; on commence à ouvrir les yeux; on commence à voir quelque chose qu’on n’avait jamais remarqué : notre prochain.

Savez-vous que c’est la première chose qu’on voit? Lorsque j’ai commencé, tout ce que je voulais faire, c’était de prier; je voulais prier pour mes frères et mes sœurs.

C’est ça la Volonté de Dieu : c’est se donner, c’est aimer son prochain, c’est s’aimer comme Dieu nous a aimés, comme Dieu nous apprend à nous aimer et comme Dieu va nous faire découvrir : s’aimer en Dieu.

C’est pour cette raison que je donne mon oui à chaque instant afin de donner ce que Dieu m’a fait découvrir : l’amour.

On ne peut être ici, en face de personnes qui ont connu les prières en groupe, savez-vous pourquoi? Je dis ça parce que la plupart d’entre vous êtes de grands priants; vous avez suivi des groupes de prière, vous avez connu le Charismatique bien avant moi.

C’est Jésus, lui-même, qui forme ses  enfants; c’est Jésus, lui-même, qui choisit ses enfants.

Dieu m’a dit que chacun de vous allez faire sa Volonté d’amour pour vos frères et vos sœurs;

cela ne viendra pas de vous, ça va venir de Dieu.

Vous avez chacun une mission qui fait partie de l’œuvre de Dieu pour le temps qu’on vit, pour ce temps d’amour.

On est en train de laisser toute la place à Dieu pour nos frères et nos sœurs et nos frères et nos sœurs, eux, se donnent pour chacun de nous :

on apprend à donner et à recevoir.

C’est un mouvement d’amour qui nous unit parce qu’on est en le Christ, on est en le Corps Mystique de Jésus :

l’Église, son Église, son Œuvre.

'Oui, Seigneur Jésus', il voudrait que chacun de nous puissions donner à nos frères et à nos sœurs qui entendent des sons d’amour, des sons de joie. C’est pourquoi je demande si notre ami Laurent voudrait nous faire chanter la chanson de Noëlla.

Merci