Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2003-10-25  -  En soirée

 

Jésus : Je suis avec vous, j’entends, je vis en votre présence.

Ce moment récréatif a été une détente pour vous, pour votre volonté humaine; vous avez besoin, mes enfants, de trouver des amis afin qu’ils puissent partager avec vous ces moments de joie.

Ces moments qui se laissent voir en vous, ce sont des moments de découverte dans le partage de votre quotidien.

Il y a l’amour en vous, vous avez participé ce soir à un rythme d’amour[1].

Dieu lui-même, par son prêtre, est venu bénir cette union d’amour fidèle au sacrement du mariage.

Ouvrez votre intérieur, laissez pénétrer ces paroles en vous; ce sont des paroles de lumière pour ceux qui vous entourent.

Ce monde, mes enfants, ne croit plus au sacrement du mariage.

Ce monde, mes enfants, est infidèle aux grâces du sacrement du mariage.

Il y a en vous ces enfants, vous les portez.

Mes prêtres se sont donnés, eux, afin d’être fidèles à son Dieu et vous, enfants, vous vous êtes présentés devant lui en voulant faire des promesses de fidélité, d’obéissance à ma loi d’amour.

Lorsque mes apôtres sont venus pour me demander s'il était permis de répudier sa femme, en écrivant une lettre de renonciation,[2] ils se reconnaissaient faibles à cause de leur volonté humaine; mon Père, par les lois, a permis cette loi.

Mon fils, lorsque lui bénit, c’est moi, Jésus en lui, qui bénis votre mariage.

Ce mariage devient indissoluble parce que je suis le Verbe, je suis l’Accomplissement.

Il ne peut y avoir d’erreur lorsque vous venez près de moi pour vous donner l’un à l’autre, car Jésus dépose en vous, par les grâces du sacrement du mariage, la force de vous supporter l’un l’autre, la patience de vous aimer envers et contre tout, la liberté envers chacun, le respect pour l’un et pour l’autre.

Dieu est la Fidélité et lorsque, vous, vous ne respectez pas le commandement que je vous ai laissé, il se passe quelque chose en vous : une blessure se forme; l’un et l’autre ressentent cette blessure; pas un seul, je dis bien, porte la blessure à lui seul, l’autre aussi la porte.

Par les liens du sacrement du mariage vous ne faites qu’un : votre cœur s’est uni par l’amour à l’autre; vous battez dans le même cœur, en le Cœur de l’Amour : il ne peut donc y avoir séparation.

Le sacrement du mariage, mes enfants, est si grand, il dure pour l’éternité!

Il est rempli de grâces, il vous donne tant de puissance, et vous ne savez pas comment puiser dans ces grâces.

Le sacrement du mariage est la force dans votre faiblesse.

À cause de votre volonté humaine, vous avancez tous les deux dans une vie remplie d’embûches : à cause de tout ce qu’il y a autour de vous et à cause de tout ce que vous amenez chez vous, dans votre foyer d’amour et lorsqu’il y a des contrariétés, vous avez de la difficulté à passer à travers.

Et vous, mes deux amours, j’appelle chacun de vous : une unité et une autre unité, vous ne faites qu’un alors que vous êtes deux[3].

Vous vous êtes présentés en unité d’amour avec ce que vous êtes.

Vous avez rencontré dans votre vie de la misère, des maladies, des fatigues, des peines si grandes que sans mes forces, sans mes grâces, vous n’auriez pu passer au travers.

Vous avez voyagé sur une mer houleuse, vous avez rencontré des vents violents qui ont basculé même votre barque; mais, par mes grâces, vous avez embarqué dans la barque.

Vous n’auriez pu par vous-mêmes le faire.

Quel humain pourrait demeurer à la surface d’une mer houleuse alors que le vent est fort?  Personne!

Il n’y a que Dieu qui vous a donné la force de grimper dans la barque.

Vous  tous, mes amours, vous avez retrouvé la sécurité, l’amour, lorsque vous avez vu que vous n’étiez pas seuls dans la barque.

Lorsque l'épouse tombe et qu'elle rembarque dans la barque, alors qu’elle était projetée à l’extérieur par l’époux,

lorsqu’elle s’aperçoit que l’époux lui tend la main, elle est heureuse de déposer sa main dans sa main et de continuer le voyage, car elle a reçu les grâces de pardonner : elle voit en lui l’être d’amour qui s’est donné à elle par le sacrement du mariage.

Et l’époux, lorsqu’il voit que sa femme, à cause de son caractère, à cause de sa langue, le projette en dehors de sa barque, parce qu’il aime, il grimpe dans la barque et il rentre tout heureux de retrouver son épouse toute soumise dans l’amour; il découvre sa fragilité, il découvre qu’à l’intérieur d’elle, il y a de la bonté; s’il voit ces choses et si elle, elle peut pardonner, c’est seulement à cause de mes grâces d’amour.

Ils ont appris à ne pas être des enfants égoïstes, ils ont appris à s’abandonner en Dieu,

parce qu’ils ont foi au sacrement du mariage.

Les enfants d’aujourd’hui ont perdu la foi dans mes grâces; les enfants d’aujourd’hui ne croient plus à la fidélité de Dieu, car lorsque des enfants ne croient plus en Dieu, ils ne peuvent plus croire en la fidélité de l’autre, car il s’est lui-même montré infidèle à Dieu : et lorsqu’on se montre infidèle à Dieu, on ne peut plus être rassuré, on devient inquiet, on devient incertain du lendemain et la peur entre à petits pas entre le couple, et le couple perd de son assurance, car il n’a plus foi en Dieu.

Il vogue sur cette mer seul et lorsque la tempête arrive, la noirceur l’envahit.

Il y a des sons[4] très forts qui parviennent à eux; ils ne peuvent pas résister, car ils ont perdu l’amour; ils ont perdu l’amour qui les habitait, ils n’ont plus foi aux grâces du sacrement du mariage; alors le couple n’a plus d’intérêt à pardonner, à patienter, à donner : il refuse de voir en l’autre de l’amour, il refuse de voir que l’autre a mal, car il regarde son mal à lui, et elle, elle pleure sur elle-même, elle ne pleure plus sur son amour, car l’amour a pris une débarque.

Oh! enfants d’amour, il y a tellement d’enfants perdus sur cette mer, il y a tellement d’enfants qui ont de la difficulté à rentrer dans la barque à cause de tout ce qu’il y a autour d’eux.

On leur a montré un monde de liberté, un monde qui ne veut plus se donner, se sacrifier, porter la croix.

Il est devenu un monde individualiste ne pensant qu’à soi, ne vivant que pour lui-même, et ce couple qui était un, devient deux : deux êtres qui vivent ensemble, qui s’endurent jusqu’au moment où l’un ou l’autre n’en peut plus.

Il tourne son visage pour cacher son regard qui regarde ailleurs, qui envie ce qu’il voit.

Et l’autre, sa peine l’envahit si fort qu’il ne peut plus vivre dans cet état, il veut trouver un moyen de panser sa douleur; alors il se met lui aussi à regarder ailleurs et lorsqu’il trouve, il s’en va.

Et elle, elle se plaint alors qu’elle a été, elle aussi, infidèle.

Dieu voit ces enfants, Dieu veut leur montrer qu’il les aime,

il ne veut pas qu’ils s’enfoncent dans cette mer pour disparaître à jamais.

Il les tient à la surface avec les enfants de la Lumière qui prient, qui se donnent, afin qu’eux aient la force de croire au sacrement du mariage.

Combien de mes prêtres croient, combien de mes prêtres prient pour ces couples! Ils savent, eux, l’importance du sacrement du mariage.

Il ne faut pas, mes enfants, que vous, vous  jugiez vos frères et vos sœurs qui ont perdu la foi, qui ne croient plus aux grâces du sacrement du mariage.

Il faut les soutenir dans la prière, il faut me les donner afin que, lorsque moi, le Fils de Dieu, je leur montrerai cette alliance d’amour, cette force d’amour, ils puissent puiser dans les grâces du sacrement du mariage pour prononcer leur oui à Dieu.

Et là, lorsqu’ils vont voir l’Amour devant eux, ils vont réaliser qu’ils sont eux-mêmes amour et que l’amour qu’ils ont voulu renoncer est toujours là.

Eux, qui pensaient que leur amour était mort, vont découvrir que cet amour était tout simplement enterré sous un amas de leur propre volonté.

La maladie, mes enfants, vous guette à cause de votre volonté humaine.

Combien d’enfants n’ont pas eu le courage de demeurer près de l’autre, parce que l’autre est tombé malade? Il faut tenir bon, il faut venir puiser dans les grâces pour se donner à l’autre qui est malade, et celui qui est malade doit aussi puiser dans les grâces du sacrement du mariage, afin qu’il puisse donner à Dieu son tendre amour qui a de la difficulté à accepter la maladie.

Oh! mes amours, le Diviseur sait vous inciter à faire le mal.

Lorsqu’il voit votre faiblesse, il vous incite à la division et son plan, mes enfants, est très subtil.

Qu’importe les années, lui, tout ce qu’il veut, c’est de vous diviser, et il prendra le temps, car il est le Maître de la division.

Il sait que le couple est un noyau d’amour sur la terre.

Moi, Jésus, je me suis donné pour mon Épouse, j’ai aimé mon Église : je me suis donné pour elle, j’ai donné ma Vie, et mon Église me doit d’être fidèle : elle doit aimer son Dieu de toute son âme,

de toutes ses forces, de tout son esprit, car vous formez mon Église.

Vous êtes en moi, je suis, moi, la Tête de l’Église : tout membre en moi ne forme qu’une unité.

Et lorsqu’un époux, une épouse s’aiment, ils forment eux aussi une unité, un noyau d’amour et, à la maison, vous enseignez à vos enfants l’amour de Dieu.

Voyez-vous l’importance de l’unité? Et Satan, lui, l’a compris avant vous.

Il sait que lorsqu’un couple demeure ensemble, les enfants regardent le père et la mère qui s’aiment.

Et lui (le garçon) aussi veut connaître ce qu’il voit, c’est pour cela qu’il vous quitte afin que lui aussi forme son propre noyau.

Et la jeune fille en fait autant, elle est heureuse de se donner parce qu’elle voit l’amour devant elle.

Vous, les parents, vous êtes des modèles d’amour, de fidélité, de respect, de liberté, de patience, de tolérance, de respect pour tout ce que vous avez reçu.

Vous avez dans le sacrement du mariage des grâces pour pouvoir demeurer unis l’un à l’autre.

C’est moi qui me suis engagé pour vous tenir dans cet amour, mais il faut que vous, vous veniez à moi, je ne puis vous forcer; il faut que vous consentiez à prononcer votre oui.

Ne savez-vous pas, mes enfants, que le mariage est un jardin d’amour

dans lequel chacun doit prendre soin de la fleur qui y habite?

Lorsqu’une fleur est odorante, l’autre s’en réjouit : alors, mes enfants, sachez être propre : l’époux doit se tenir propre et la femme aussi.

Lorsqu’une fleur se laisse prendre par les rayons du soleil, elle est toujours belle : c’est pourquoi, mes enfants, vous devez vous tenir dans la beauté de Dieu afin de montrer à l’autre un visage serein, plein de paix; si vous venez puiser dans les sacrements, vous allez tenir votre âme belle et votre âme va toujours vous tenir beau.

Et lorsqu’il y a de la mauvaise herbe qui veut pousser dans le jardin : allez vers le sacrement de la pénitence, car si vous ne venez pas, il y aura trop de mauvaise herbe qui empêchera l’autre de s’avancer et l’autre aussi : il n’y aura pas alors un échange de votre beauté.

Il faut laisser grand votre intérieur afin que Dieu puisse prendre ce qui est à vous

et le donner à l’autre.

Tout comme dans le jardin, lorsque le vent souffle, le pollen va trouver l’autre pour féconder : c’est un mouvement d’amour; tout est  mouvement en Dieu; il ne faut pas forcer, il ne faut pas abuser; il faut patienter, il faut donner, il faut recevoir.

Dieu est le mouvement de l'amour; c’est lui qui vous fait découvrir la donation.

Vous reproduisez ce qu’il y a de plus beau : vous créez des êtres d’amour en Dieu, par Dieu, avec Dieu.

Vous mêmes, mes enfants, vous ne pourriez faire ce geste, car vous n’êtes pas le Créateur.

Il n’y a que votre oui qui est à vous : Dieu fait tout, Dieu fait tout pour vous, il faut le faire dans l’amour, et seul Dieu peut vous faire voir comme il est bon ce mouvement d’amour! Et lorsque vous apprenez à demeurer dans ce jardin d’amour, fidèle à tout ce qu’il y a autour de vous, vous vous apercevez que votre jardin est rempli de fleurs et que Dieu lui-même en est le Jardinier.

Comme il sera bon le jour où Dieu vous présentera tout ce qu’il y a dans votre jardin d’amour et que vous avez consenti à donner à Dieu!  Cela sera votre récompense pour l’éternité : ce que Dieu donne, il le donne pour l’éternité.

Je suis avec vous, je suis l’Amour, croyez en ce que je vous dis, croyez au sacrement du mariage.

Et vous, couples mariés, vous qui êtes fidèles à ce sacrement d’amour, portez vos frères et vos sœurs qui n’ont pas été fidèles; portez les enfants qui n’ont pas voulu de ce sacrement, n’y croyant pas : portez-les.

Vous êtes des enfants de la Divine Volonté, vous devez croire en Dieu et ne pas faire de vous des êtres jugeurs.

Laissez à Dieu ces enfants, Dieu veut les attirer à lui avec du miel, non avec du fiel! Lorsque vous jugez ces enfants, lorsque vous les condamnez, vous portez votre propre jugement, votre propre condamnation qui vous sera montré, et vous pleurerez devant moi, l’Amour, parce que vous aurez mal en vous, vous, mes fidèles amours.

Je sais que vous voulez crier fort que le sacrement est indissoluble; mais au lieu de crier cela, criez vers moi : 

"Jésus, nous te les donnons. Ils sont à toi; sauve-les. Toi qui as porté la Croix, toi qui as consenti à l’unité dans ton amour, tu as rassemblé toutes ces croix en ta Croix; alors, Jésus, je dépose ma croix, cette souffrance, devant ce sacrement du mariage qui n’est pas respecté et je la porte avec toi. Je veux alléger ta Croix en te les donnant. Apprends-moi à ne faire qu’un avec eux parce que tu nous as unis."

Toi l’épouse, toi l’époux, unité d’amour, vous ne faites qu’un en Dieu : portez cela dans votre cœur, portez à Dieu son amour et rendez grâce à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, car ils ont été dans votre barque.

Je vous aime, mes amours, vous êtes à Dieu.

Ces temps sont des temps de lumière; ce sont des temps de grâce, ce sont des temps d’amour.

Un monde d’amour vient, il va s’unir, il va faire un seul cœur : le cœur de l’Amour.

Mon Église est faite de vos cœurs; moi, je suis la Tête et vous, vous êtes mes membres et lorsque mon Cœur bat, il fait circuler en vous mon Sang afin que votre cœur batte par la force de mon Sang;

alors, vous ne battez plus en vous, vous battez en moi, l’Amour.

Voilà le plus grand amour qui se révèle à vous, afin que vous soyez dans l’obéissance

à mes lois d’amour, fidèles en tout.

Mes enfants, je vous envoie des messagers parmi vous pour vous parler comme à des enfants tout petits et, vous, écoutez.

Soyez fidèles, car ces jours sont importants pour vous et pour ceux que vous portez en vous : ils ouvrent en eux la lumière.

Si petite soit cette lumière, elle va les guider sur cette mer afin qu’ils ne demeurent plus sur place, car ils sont si fatigués, si épuisés! Ils vont bientôt s’enfoncer.

Soyez la lumière, brillez, mes enfants, en ce temps de ténèbres; attirez-les par votre oui à l’Amour.

Moi, je vais faire tout : vous n’avez qu’à être et moi, je vais accomplir.

Soyez abandon, soyez tout petits.

Tout est dans l’accomplissement de Dieu le Père pour vous, afin que vous puissiez goûter à l’amour de Dieu.

Recevez, mes enfants, par l’Amour, des grâces.

Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le temps se fait bousculer lorsqu’on est en présence de Dieu,

parce qu’on en veut : on veut goûter.

Dieu demande à ce que vous soyez témoins de ce qu’il fait à la suite de ce que j’ai témoigné cet après-midi.

Il veut que vous soyez en sa Présence.

L’agir de Dieu est au présent, il connaît mieux que nous ce qui va se passer.

Dieu le Père fait sa Volonté; lorsqu’il me parle, il dit : «Ma fille, abandonne-toi, j’accomplis ma Volonté», et c’est ce qu’il m’a dit à la communion, j’étais bien fatiguée moi aussi, alors il a dit comme ça : «Viens te reposer, tu ne fais rien, viens.»  Alors, il a encore ouvert sa main, il l’a refermée sur moi : il m’a donné beaucoup, le Seigneur, dans la Volonté, dans l’amour.

Lorsque je vous ai parlé que je priais et que je laissais prier Dieu : Dieu prend toute la place et il témoigne de son amour pour les enfants qui sont en chacun de nous.

Un jour, Monique, elle arrive à la maison et elle conte qu’elle a été à un mariage et que des gens avaient tous été communiés, pas un seul n'avait  resté assis; ils ont tous été communiés pour recevoir Jésus.

Alors, dans ma volonté humaine, cela m’a fait beaucoup de la peine pour Jésus, mais Jésus, lui, m’a demandé de me donner, alors il a mis en moi ce besoin de prier pour eux.

Et ce soir là, une âme est venue en moi et elle a parlé.

'Oui, Seigneur', il dit : «Tais-toi maintenant, fais ce que je te dis[5].» 

C’est pour vous démontrer l’agir de Dieu.

Cela n’était que pour moi; je n’ai pas fait écouter cela, peut-être qu'à mon frère une fois, mais deux, trois phrases, c’est tout.

Vous allez l'écouter, mais c’est fait avec un enregistrement pas bon, ce n’est pas ça qui va compter ce soir.

Ne cherchez pas à tout saisir, laissez la Volonté de Dieu agir en vous.

Ce qu’il veut faire avec ça, je ne le sais pas, mais je sais une chose, c’est que je dois m’accomplir.

 

Jésus : C’est ma Volonté que vous puissiez entendre l’agir de Dieu en cet instrument.

Elle se donne, elle s’associe à ma douleur.

Elle m’accompagne afin que je sois consolé par des enfants qui m’aiment plus que leur vie.

Elle se donne par obéissance et elle n’est pas la seule.

Beaucoup d’entre vous, mes enfants, souffrez pour vos frères et vos sœurs.

Certains ressentent des douleurs : ces douleurs sauvent des âmes et ces âmes sont vivantes.

Mes enfants, soyez abandonnés, associez-vous à votre Dieu.

Je vous aime, soyez tout oubliés en vous pour votre Dieu.

"Après que tous ont écouté ce témoignage, ils ont remercié la Divine Volonté."

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu nous a fait entendre sa Volonté, Dieu nous a mis à l’épreuve ce soir.

Dieu a ouvert une porte : cette porte est en nous, nous sommes tous associés les uns les autres dans la Divine Volonté.

Il y a des enfants en ce monde qui crient vers Dieu, qui ont soif de Dieu mais, à cause de leur volonté humaine, ils ont de la difficulté à prononcer leur oui à l’Amour, mais ils le font à leur façon à eux.

Lorsque vous avez entendu votre frère, c’est qu’il était en prière devant son Dieu : à sa façon à lui, il a crié sa détresse.

C’est comme si Dieu lui avait laissé sa place et il l’a saisie ce soir-là.

Chacun de nous avons en nous à choisir; lui, il l’a choisie.

Croyez-vous que son oui, qu’il a donné ce soir-là, ne lui a pas fait une place? Oui!

En ce moment les cœurs se réveillent!

En ce moment même, nous portons en nous des frères et des sœurs qui commencent à s’apercevoir que ça ne tourne pas rond, que malgré l’argent qu’ils ont, tous ces biens matériels qui les entourent : ça n’apporte pas le bonheur.

C’est grâce aux prières, c’est grâce à l’amour de Dieu.

Nous avons à nous abandonner comme lui s’est abandonné.

Cette prière qu’il a dit en Jésus, cette supplication, elle était belle, n’est-ce pas?

Elle a été faite avec son cœur.

Savez-vous que nous, les priants, avons de la difficulté à prier comme lui? Il faut se donner dans la simplicité, il faut être des enfants comme nous sommes : tout petits.

Lui s’est reconnu tout petit, il s’est reconnu dans sa faiblesse.

Puisque Dieu, Dieu le Père, a permis que j’entende sa supplication, c’est parce qu’il a voulu qu’il témoigne.

Souvenez-vous de ses dernières paroles : il sait que des enfants prient, il sait que des frères et des sœurs prient;

ça été ses derniers mots : "S’il y en a bien comme toi, dis-leur de ne pas nous lâcher"; eh bien, ces paroles, c’était pour vous, c’est pour chacun de nous qui avons reçu des lumières.

C’est rempli d’espérance!

C’est vrai, j’ai pleuré lorsque j’ai réécouté cette cassette et j’ai pleuré lorsque je l’ai écrit aussi sur l’ordinateur.

Mais c’est rempli d’amour; il s’est découvert comme un tout petit enfant rempli d’amour pour Dieu : il veut aller vers le Père.

Eh bien, il a exprimé ce que nous, nous voulons.

Il a dit dans ses mots simples toute sa douleur, toute la douleur du péché : c’est un peu ce qu’on est.

Chacun doit porter toutes ses actions et les présenter comme lui l’a fait, dans la simplicité, dans l’amour.

Vous portez tous des blessures, je porte des blessures : alors, il faut tout donner; parler comme il a parlé à son Dieu avec simplicité, avec amour parce qu’il était convaincu que Dieu l'écoutait; et c'est de cette façon que nous aussi nous devons nous adresser à Dieu avec ce que nous avons fait dans notre passé :

en étant sûrs que Dieu nous a pardonné.

Nous avons fait des pas en Jésus : ces pas, c’est Jésus qui nous les a montrés.

Nous sommes en train de vivre une ère d’amour, nous sommes en train – réalisez-vous! – de vivre dans la Divine Volonté! Dieu a montré son agir.

Vous avez été témoins qu’un enfant prie Dieu et Dieu a permis que vous l’entendiez : c’est la Divine Volonté.

Jésus est l’Église et nous sommes, nous, en lui; nous formons un tout en lui : c’est l’amour.

Il faut demeurer en paix, il faut demeurer en joie.

Jésus a tout pris sur ses épaules et nous, qu’est-ce que nous faisons? Nous avançons dans la vie, nous allons à la confession, mais on sort de là, puis on porte encore nos péchés! On n’est pas capable de se libérer, alors que Dieu a déjà pardonné nos péchés.

On se crée des misères parce qu’on ne sait pas s’aimer, mais lui, il nous apprend à nous aimer comme on est.

Souvenez-vous qu’il a dit  : «C’est à petits pas, à votre rythme à vous,» parce que lui nous connaît mieux qu’on se connaît.

Jésus est plein d’amour et sa Volonté est tellement pleine d’attention pour nous.

Je ne savais pas, moi, ce qui était pour se passer, car lorsque j’ai apporté ça, j’ai dit : "ls ne comprendront rien",

mais c’est drôle, j’écoutais ça, je n’arrivais pas à comprendre chez moi, puis ici, j’ai compris.

Je ne sais pas si vous avez compris?  Bien, c’est peut-être ma machine qui n'est pas bonne – Mais…oui… merci Laurent[6] – alors il savait comment s’en servir! Moi, j‘ai ça depuis 2002, dans ma boîte noire, dans le fond de mon garde-robe, que j’ai cherché hier; mais lui savait, il savait qu’est-ce que c'était pour faire : vous démontrer l’agir dans la Divine Volonté.

Nous sommes tous associés les uns, les autres.

Il a parlé de mariage ce soir, d’unité, deux en un; il nous a montré l’Église Mystique, tous les cœurs dans un seul cœur : l’Amour.

Nous avons entendu un enfant qui a crié vers l’Amour et l’Amour lui-même a permis qu’on entende; c’est parce que s’il veut qu’on entende, c’est parce qu’il veut qu’on découvre : il est en train de nous faire découvrir la splendeur de notre intérieur; alors, lorsqu’on fait une bonne action : tous les autres en profitent.

On l’as-tu entendu, ça? Et pourtant, on le comprend seulement quand Jésus met son doigt : là vous êtes prêts.

On était peut-être pas prêt à entendre ça avant aujourd’hui : entendre une âme parler à l’intérieur d’un enfant et le répéter : ça c’est la Divine Volonté! Pouvez-vous vous imaginer lorsque nous allons vivre tous unis dans l’Amour! 

Nous allons nous parler d’amour en Jésus.

Alors, j’offre à Jésus ces moments d’amour qu’il vient de nous faire découvrir, la splendeur de ce qui va être connu de nous, tous unis dans le Corps du Christ.

C’est lui, la Terre Nouvelle, il nous en montre des petites facettes.

Il ne faut pas prendre ce mouvement d’amour comme quelque chose qui nous abat, les épaules toutes tombées; non! Réjouissons-nous, c’est la Divine Volonté : nous allons tous être unis pour nous soutenir les uns, les autres : nous allons nous aimer.

Jésus parle de rivalité d’amour; on va vouloir se donner de l’amour, et toi, tu vas vouloir m’en donner, puis ça va être comme ça.

C’est vrai ça, il faut le croire!

Lorsque Dieu parle, il est la Vérité, il est l’Amour.

Jésus porte sa Croix, maintenant, il est en train de nous préparer à voir sa Gloire : la Croix Glorieuse toute belle.

Elle nous a purifiés, il faut y croire! On l’attend ce moment d’amour, il est tout près! Essayez d'imaginer qu’on vous parlait de la Divine Volonté, qu’on vous parlait du retour de Jésus dans les cœurs : eh bien, c’est arrivé, on le vit!

Toi, Noëlla, tu attends un montant, hein? Eh bien, dis déjà merci au Seigneur, tu auras ce qu’il veut.

Chacun de nous doit avoir cette foi.

Nous vivons un temps d’amour, un temps de découverte.

Nous sommes en train de découvrir qui est en nous : on est habité de Dieu.

Dieu nous habite, il est vivant en nous : alors on est vivant, on est en sa Présence.

C’est lui, lui Dieu, la Puissance qui est venue nous parler d’amour : c’est le plus beau cadeau qu’on ne pouvait pas espérer.

Nous, des humains qui recevons de Dieu lui-même, l’Agir : nous l’entendons!

Nous avons été aveugles assez longtemps : il nous a tenus vivants depuis Adam et Ève parce qu’il nous voulait avec lui et, avec le temps, nous, on a fait des péchés; s’il n’avait pas été là, on serait déjà mort.

On était en train de s’autodétruire et là, maintenant, qui va vous détruire? Non personne, parce que Jésus est en nous et nous avons donné notre oui pour mourir en lui.

Il est la Vie, Jésus.

Alors Jésus, je te rends grâce.

Nous allons rendre grâce pour toutes les merveilles qu’il est en train de nous faire découvrir.

Bien la première, c’est nous-mêmes parce qu’on est l’œuvre de Dieu le Père :

nous sommes sa création et c’est ensemble qu’on va rendre grâce à Dieu.

Merci.

 


 

[1] Durant la messe, le prêtre bénit deux couples dans le renouvellement de leurs promesses de mariage.

[2] Par cette demande, mes apôtres voulaient savoir si les lois de mon Père pouvaient mettre un terme aux promesses que se font les deux jeunes gens lorsqu'ils se marient.

[3] Jésus s'adresse aux deux couples qui se sont présentés devant son prêtre ce soir. Par eux, ils s'adressent à tous les couples mariés.

[4] Des paroles de violence qu'ils se disent.

[5] Jésus m'a demandé d'apporter avec moi des acétates montrant les messages du Seigneur et des cassettes sur lesquelles on peut entendre l'agir de la Divine Volonté. Sur cette cassette, une âme se fait entendre à la Fille du Oui à Jésus. C'est Jésus qui veut que tous entendent son agir, c'est une âme qui se donne entièrement à sa Volonté. Dieu ne cesse de nous démonter notre présence en son Corps Mystique. On peut lire ce témoignage d'amour venant d'une âme liée en communion d'amour avec chacun de nous dans le volume trois : Amour pour tous les miens Jésus, page 30, "Moi, j'suis avec toi ma p'tite sœur".

[6] Laurent nous explique que son appareil d'écoute sert à ses enregistrements, car il joue du piano et chante pour Dieu.