Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2012-06-01 – Soir

 

Jésus : Il y a bien, bien longtemps, des petits enfants ont regardé le Ciel. Lorsqu'ils regardaient le Ciel, ils essayaient de fixer cette grande, grande, grande, grande, grande intensité qui était au-dessus d'eux. Tout leur apparaissait si inaccessible. Ils étaient remplis d'espoir qu'un jour ils sauraient, ils sauraient qui habite là au-dessus d'eux. Tous ceux qui regardaient au-dessus de leur tête se souvenaient de ces enfants qui avaient dit ces paroles. Il y avait tant d'enfants qui regardaient le ciel, qu'un jour, ils ne se sont plus jamais rappelés de ces paroles. On s'était préoccupés trop de la terre et pas assez de ce qui était au-dessus de leur tête.

Mes petits enfants d'amour, Dieu vient parler en votre cœur par la puissance du Saint-Esprit. Plusieurs d'entre vous, mes enfants, avez entendu, vu et compris ce que le Seigneur attendait de vous. Le Seigneur votre Dieu, votre Maître, vous demande d'ouvrir votre cœur et d'accueillir tous ceux qui n'ont pas tourné leur regard vers le Ciel. Prenez-les en vous, mes enfants, prenez-les, ils ont tant besoin de comprendre ce que vous, vous allez comprendre. Vous souffrez parce que vous regardez autour de vous ces enfants qui ne vont pas vers votre Dieu.

Mes petits enfants, souvenez-vous que Dieu est allé vous chercher là où vous étiez. La souffrance de ce monde vous avait amenés à être des enfants tièdes, mes enfants. Aujourd'hui, vous apprenez à être des enfants déterminés à suivre votre Dieu envers et contre tout. Les tempêtes sont présentes dans votre vie, la sécheresse est présente dans votre vie, pourtant vous vous gardez pour Dieu. Vous connaissez, mes petits enfants d'amour, ce qu'est souffrir dans un monde où on ne vous écoute pas. Vous connaissez ce qu'est s'abandonner sans connaître la récompense de votre abandon.

Tranquillement, vous commencez à comprendre la foi. Tranquillement, mes enfants, vous commencez à grandir comme l'arbre qui s'étend et s'étend jusqu'à accueillir les oiseaux du ciel. Plus vous vous abandonnez, plus vous connaissez la foi, et plus vous accueillez vos frères et vos sœurs dans votre cœur, n'est-ce pas l'arbre qui grandit? On a tant besoin de vous, mes enfants. Tant d'enfants ont besoin de comprendre et de voir ce que vous vous comprenez et voyez. Que comprenez-vous? Vous comprenez que votre Dieu se met en votre présence. Que voyez-vous? Vous voyez des enfants comme vous qui avancent pour connaître la vérité. La vérité, mes enfants, se contient, car tout ce qui est vrai vient de Dieu. Rien n'est en dehors de Dieu et Dieu contient tout.  

Soyez toujours fidèles à cette histoire, mes enfants, qui est votre vie. C'est votre Dieu qui vous apprend à être vrais, à être des enfants de l'avenir. En vivant au présent, mes enfants, je vous fais avancer vers ce qui s'en vient, n'est-ce pas être, pour l'avenir, pour un monde meilleur? Ne cherchez pas à comprendre ces paroles, mais abandonnez-vous, pénétrez mes paroles, les paroles sont vivantes, les paroles sont en votre cœur. C'est par la puissance du Saint-Esprit que vous pouvez entendre ce que Dieu vous dit à l'intérieur de vous, mes enfants.

Je réunis mon Église afin que mon Église soit vivante. Que deux prient ensemble, je suis au milieu d'eux. Lorsque vous vous rassemblez pour prier, mes enfants, je suis au milieu de vous. Je vous donne ma Vie et ma Vie, mes enfants, est en vous, elle ne peut être en dehors de vous, elle est en vous. Je vous demande, mes enfants, d'être prière, d'ouvrir votre cœur, d'être présents. La semence est en vous. Lorsque vous pénétrez à l'intérieur de vous, c'est vous, mes enfants, qui êtes en ma Présence, et par la puissance du Saint-Esprit, vous devenez des enfants de foi. Rien ne vient de vous, tout est de Dieu.

Mon Père est en votre présence, le Fils du Dieu Vivant est en votre présence, Dieu l'Esprit-Saint est en votre présence, Dieu EST. Avez-vous la foi, mes enfants? (R : Oui.) Dieu EST, mes enfants, y croyez-vous? (R : Oui.) Ne cherchez pas ailleurs ce que vous, vous savez. Ne regardez pas ce monde, car ce monde ne sait pas que Dieu est présent. Alors, mes enfants, avez-vous compris? Êtes-vous de ce monde? Si vous croyez en moi, si vous croyez que Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit est en vous, c'est que vous êtes prêts à donner votre vie, à ne plus être.

J'ai appris à mes apôtres à ne plus être de ce monde. Ils se sont donnés par amour et leur vie m'a été offerte par amour, par leur oui. Ils ont suivi le chemin de l'Amour. Lorsqu'on suit le Christ, on suit le chemin qu'il a pris. Ils ont consenti à ne plus être de ce monde, mais être de mon monde. Ils ont donné leur vie par amour pour Dieu, afin que leurs frères et leurs sœurs sachent qui est Jésus, le Crucifié, le Ressuscité. Tous ceux qui ont eu la foi ont suivi les pas des apôtres. Tous ceux qui étaient Israël, tous ceux qui étaient païens ont suivi les pas du Christ et le Christ a regardé ses enfants et il les a appelés : «Vous êtes mes choisis, vous êtes les enfants de mon Père.» Tout croyant qui suit le Christ est appelé 'enfant du Père'.

Il en faut de la foi, mes enfants, pour suivre le Christ. Voulez-vous me suivre? (R : Oui.) Êtes-vous prêts à tout pour votre Dieu, votre seul Dieu? (R : Oui.) Acceptez-vous de ne plus être de ce monde? (R : Oui.) Acceptez-vous le prix qui va avec? (R : Oui.) Mes enfants, vous aurez le monde contre vous. Êtes-vous prêts à suivre votre Dieu? (R : Oui.) Je vous ai montré à accepter le manteau de l'amour, le manteau de la vie. Vous n'avez pu répondre qu'avec la puissance du Saint-Esprit. Dieu vous a comblés de grâces, Dieu vous a amenés à renoncer à ce monde. Êtes-vous prêts, mes amours, à être comme les premiers chrétiens? Les premiers chrétiens, mes enfants, aimaient-ils Jésus? (R : Oui.) Est-ce qu'ils étaient prêts à aimer leur prochain? (R : Oui.) Étaient-ils prêts à parler du Christ, à parler de ce Jésus qui était mort sur la Croix? (R : Oui.)

Voyez-vous, mes enfants, c'est cela l'amour. C'est suivre Jésus, c'est croire en ses paroles. Est-ce que ses paroles se sont inscrites dans le cœur des apôtres? Est-ce que par la puissance du Saint-Esprit les apôtres ont sorti de leur cœur ses paroles et les ont prononcées pour leurs frères et leurs sœurs du monde entier? (R : Oui.) Oui, mes enfants, puisque vous connaissez ces paroles, elles sont en votre cœur. Il a fallu que les apôtres, mes enfants, sortent de leur intérieur les paroles que le Christ, le Fils du Dieu Vivant, avait prononcées en leur présence. C'est par la puissance du Saint-Esprit qu'ils se sont rappelé les paroles du Christ; sans peur, sans crainte, ils ont prononcé ses paroles. Ils ont pénétré la vérité, ils ont été en présence de leur Dieu, ils ont donné à leurs frères et à leurs sœurs ce que Dieu voulait leur donner. Rien ne venait d'eux-mêmes, tout venait de Dieu.

Alors, mes enfants, je vais encore vous le redemander : Êtes-vous prêts à vivre ce que les premiers chrétiens ont vécu? (R : Oui.) Êtes-vous prêts à laisser le Saint-Esprit vous envahir totalement? (R : Oui.) Êtes-vous prêts, mes enfants, à prononcer les paroles qui vont monter de votre intérieur pour vos frères et vos sœurs? (R : Oui.) À cet instant, c'est Dieu qui se rend maître de votre vie. À cet instant, vous recevez le manteau de la force, le manteau de la lumière. Vous êtes enfants de la Parole. Regardez-vous, mes petits enfants. Avez-vous remarqué ce monde sans amour? Avez-vous remarqué ce monde qui, jadis, avait regardé le ciel au-dessus de leur tête et qui voulait comprendre ce que le ciel voulait pour eux, alors qu'aujourd'hui, ils ne regardent que leurs souliers, là où ils mettent leurs propres pas, là où ils veulent gérer leur propre vie, là où ils veulent être sans Dieu.

Ce monde, mes enfants, grossit, grossit et grossit dans l'apostasie. Ils ne veulent plus entendre parler de l'enfer, parce qu'ils ne veulent plus entendre parler de Dieu, mais ils côtoient les dieux. Ils ne sont pas maîtres d'eux-mêmes, ils sont maîtres du pouvoir, et le pouvoir les maintient dans ce qu'ils croient, eux, voir et comprendre. Ils veulent une liberté, une liberté mensongère. Ils veulent pénétrer dans le plaisir, ils veulent pénétrer dans les péchés, se disant qu'il n'y a plus de péchés. Voilà ce monde qui est avec vous.

Petits enfants d'amour, à l'intérieur de vous, il y a de la lumière; à l'intérieur de vous, il y a tout ce dont vous avez besoin pour avancer dans les ténèbres : vous avez reçu des paroles et ces paroles ont pénétré en vous, car qui se souvient de ce qui est dit par la puissance du Saint-Esprit, c'est qu'il est abandon. Pouvez-vous comprendre sans le Saint-Esprit? (R : Non.) Puisque les saints apôtres ont pu comprendre qu'après que Jésus ait monté vers son Père, c'est que le Saint-Esprit, le Paraclet, est venu les envelopper, leur donner une puissance telle qu'ils sont sortis tout rayonnants de la puissance du Saint-Esprit.

Dieu le Père, Dieu le Fils ne font qu'un. La Volonté, Celui qui fait la Volonté, Celui qui donne la Volonté, c'est Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit : Dieu le Père est la Volonté, Dieu le Fils fait la Volonté, Dieu le Saint-Esprit donne la Volonté. Comprenez-vous, mes enfants, que vous ne pouvez avoir de volonté que si le Saint-Esprit vous donne la volonté qui vient du Fils et du Père? Vous êtes sous la puissance du Très-Haut, Dieu. Votre foi, mes enfants, pouvez-vous la voir, votre foi, mes enfants, pouvez-vous la vivre? (R : Oui.) Alors, voyez, car lorsque vous voulez vivre la foi, c'est à cet instant même que vous voyez. Tout est en vous. Lorsque vous sortez ce qui est en vous par la puissance du Saint-Esprit, là, vous voyez les œuvres de Dieu. Vous devenez le fruit, vous devenez l'arbre, vous devenez pour vos frères et vos sœurs l'amour.

Rien ne vient de vous, tout est de Dieu. Dieu est d'une telle puissance, mes enfants, qu'il transforme votre être tout entier pour que votre vie soit devant vous. Rien sur la terre ne peut vous instruire. Aucun livre qui est écrit avec la volonté humaine ne peut vous instruire, mes enfants. Mais lorsque vous croyez en le Saint-Esprit, lorsque vous savez que Jésus est en vous, lorsque vous êtes devant Dieu le Père, tout de vous devient un don d'amour. C'est votre vie, mes enfants, qui lit ce livre ouvert, ce n'est pas le livre qui vous instruit, c'est vous-mêmes, comprenez ces paroles. Lorsque vous êtes en le Saint-Esprit, en le Fils, en Dieu le Père, vous êtes devant la puissance de Dieu, vous êtes dans le Verbe de Dieu, vous êtes dans la lumière de Dieu. Rien ne vient de vous, tout vient de Dieu.

Vous êtes le don de l'amour. Toute connaissance est en vous. Lorsque vous êtes devant le livre ouvert, c'est vous qui êtes dans la connaissance, ce n'est pas le livre avec ses lignes écrites, c'est vous, mes enfants. Soyez vides à l'intérieur de vous, ouvrez un livre et lisez, vous ne comprendrez pas, vous ne verrez pas. Vous aurez toute la vie à essayer de comprendre, vous n'y arriverez pas, car votre pensée vient de Dieu, votre regard vient de Dieu, votre écoute vient de Dieu, la parole vient de Dieu, vos actions viennent de Dieu et votre cœur vient de Dieu.

Quelle est donc cette nourriture que Dieu vous a donnée? La vie. Et la vie est en vous, elle n'est pas à l'extérieur de vous, elle est en vous. Alors, vous ne pouvez lire sans la vie, vous ne pouvez comprendre sans la vie, vous seriez des temples vides. Dieu vous donne la connaissance, Dieu vous donne le savoir, Dieu vous donne l'intelligence, Dieu vous donne la lumière, Dieu vous donne l'amour, Dieu vous donne ce dont vous avez besoin pour vous accomplir. Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux que vous aimez. Alors, vous vous donnez à vous-même.

Êtes-vous seuls, mes enfants, en vous? Alors, mes enfants, lorsque vous lisez, à qui vous vous donnez? Alors, je vais encore vous expliquer, mes petits amours. Dieu a-t-il besoin d'être instruit? (R : Non.) Mais lorsque vous lisez pour vos frères et vos sœurs, est-ce qu'ils ont besoin d'être instruits? (R : Oui.) Et où habitent-ils? (R : en nous.) Vous avez compris maintenant. Tout est par amour, mes enfants. Dieu a créé par amour. Vous vous êtes multipliés par amour et vous allez encore vous multiplier par amour, vous allez vous donner de l'amour, vous allez vous donner de l'instruction spirituelle, afin que votre extérieur soit sous la mouvance de l'amour.

La mouvance de l'amour, mes enfants, vient de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. C'est comme un rayon qui fait tout le tour de votre être, et plus vous êtes amoureux de votre prochain et plus ce rayon se multiplie, et plus le rayon se multiplie et plus il devient dense, et plus il devient dense plus il couvre l'être que vous êtes. Votre mesure est incalculable. Votre être est si grand, mes enfants, qu'il couvre la terre. Qui peut faire cela, vous-mêmes, mes enfants? (R : Non.) Voyez-vous, c'est Dieu et Dieu vous habite.

Je vais vous parler, mes enfants, afin que vous puissiez bien comprendre. Ne vous ai-je pas dit que lorsque vous dites une parole, le monde entier s'en nourrit? Est-ce que je peux séparer votre parole de vous-mêmes? Est-ce que votre parole peut être indépendante de votre pensée, de votre regard, de votre écoute, de votre propre parole, de vos actions et de vos sentiments? Alors la parole que vous venez de dire, mes enfants, fait partie de vous, n'est-ce pas? Cette parole, elle a été prononcée par l'être que vous êtes. Si, mes enfants, vous étiez inertes, est-ce que votre parole pourrait sortir de vous-mêmes? (R : Non.) Vous avez raison, mes enfants, il faut la vie en vous pour que la parole puisse sortir de vous-mêmes. Elle prend vie la parole parce que vous avez la vie en vous. Comme vous avez la vie en vous, la présence de la vie ne peut être que si la vie est en vous et je suis la Vie.

Vous êtes donc vivants par Dieu et votre parole qui est sortie, elle est sortie par la vie et comme elle est sortie par la vie, elle fait donc mouvement de la mouvance, mes enfants. À l'intérieur de vous, il y a de la puissance; à l'intérieur de vous, il y a quelque chose qui bouge; à l'intérieur de vous, tout est présent en la présence même de la Vie. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas, en ce moment même en train de vous 'écarter'. Je vous explique que la vie à l'intérieur de vous vient de ma Vie et que ma Vie est vivante. Je suis Dieu, mes enfants, et j'ai la puissance en moi et je vous la donne.

Lorsque vous prenez la vie et que vous sortez une parole, vous sortez avec vous de la puissance. Lorsque vous êtes en la vie et que la Vie est moi – et que vous le savez maintenant – et que votre parole sort de vous, elle sort donc de ce qui est vivant en vous. Lorsque votre parole sort de vous, elle sort à cause de la vie que vous avez en vous qui est en ma Vie. C'est moi la Vie, ce n'est pas vous, c'est moi qui vous donne la vie et je suis la Présence, je suis Dieu. Est-ce que Dieu est puissant? (R : Oui.) Est-ce que Dieu vous habite, vous, seulement? (R : Non.) Est-ce que Dieu habite tous les enfants qui sont sur la terre? (R : Oui.) Est-ce que Dieu habite 'tous' les enfants qui sont sur la terre? (R : Oui.) Méchants et bons? (R : Oui.) Bons et méchants? (R : Oui.) Ne suis-je pas le Crucifié? (R : Oui.) Est-ce que je suis mort sur la Croix par amour? (R : Oui.) Est-ce que j'aurais choisi seulement que les bons, mes enfants? (R : Non.) Continuons maintenant.

Lorsque vous sortez une parole et que cette parole est de la vie, est-ce qu'elle se fait présence en toute vie? (R : Oui.) Oui, mes enfants, pourquoi? Parce que je suis en tous les enfants du monde. Je suis la Vie. Est-ce qu'un enfant peut avoir la vie sans la Vie? Il ne peut exister. Sans la Vie, il n'y a que de l'imagination. Dieu est amour, il se donne. Je suis, moi, l'Amour. Lorsque vous sortez la parole qui vient de la Vie, la parole va à tous les enfants du monde. Elle devient donc une parole qui nourrit.

Maintenant, mes enfants, est-ce qu'il y a des bons enfants et des mauvais enfants? On est bon parce qu'on aime Jésus. Lorsqu'un enfant est mauvais, est-ce qu'il aime Jésus? Lorsque sa parole est bonne, est-ce que c'est parce qu'il aime Jésus qu'il prononce ces paroles? (R : Oui.) Vous avez raison, mes enfants. L'enfant qui prononce une parole d'amour a accepté l'Amour. Qui est l'Amour? (R : Jésus.) Oui, mes enfants, je suis l'Amour. Mon Père m'aime, j'aime mon Père, j'aime le Saint-Esprit, le Saint-Esprit m'aime. Je suis l'Amour, je suis Dieu.

L'enfant qui sort une parole d'amour aime l'Amour. Dans son ignorance pour certains, il aime l'Amour. Dieu est amour. Lorsqu'un enfant, il est mauvais, et qu'il prononce des paroles qui ne sont pas amour, est-ce qu'il aime Jésus à cet instant? (R : Non.) Vous savez pourquoi? Parce qu'il tourne sa parole contre la Vie. Il se donne lui-même ses paroles et ses paroles ne nourrissent pas, elles ne sont donc pas nourrissantes pour tous les enfants du monde.

Comprenez-vous maintenant pourquoi Dieu a donné cet enseignement? Aimez vos ennemis. Vous êtes la vie. Parce que vous êtes la vie, vous êtes en ma Vie. Est-ce que j'ai donné ma Vie pour tous ceux qui sont sur la terre? (R : Oui.) Est-ce que j'ai donné ma Vie pour ceux qui voulaient m'enlever la vie? (R : Oui.) Pour ceux qui voulaient me faire souffrir? (R : Oui.) Oui, j'ai donné ma Vie et je vous demande, mes enfants, voulez-vous donner votre vie pour tous ceux qui sont sur la terre? (R : Oui.) Voyez-vous, mes enfants, ce oui c'est un 'je t'aime' à Jésus. Est-ce que c'est un 'je t'aime' à Dieu le Père? (R : Oui.) Et un 'je t'aime' à Dieu le Saint-Esprit? (R : Oui.) Je vous aime, mes enfants.

Toute parole doit être nourriture, et cela c'est comme un rayon tout autour de vous : il se multiplie, il se multiplie, il se multiplie, il se condense, se condense, pour couvrir toute la terre. Me croyez-vous, mes enfants, lorsque je vous dis que vos paroles sont une nourriture pour tous les enfants du monde? (R : Oui.) Ne vous inquiétez pas, ceux qui n'ont pas tout à fait compris, vous aurez toujours la possibilité de réécouter votre cœur. Mangez ces paroles, elles sont de la nourriture. Buvez ces paroles, c'est votre vie, c'est une source de bonheur dans votre vie. Croyez en ce que vous êtes, car vous êtes en moi, Jésus, vous êtes la vie. Croyez en vous, mes enfants. Croyez en ce que vous êtes en ce moment même d'entendre.

Est-ce que ces paroles sont des paroles d'amour, mes enfants? (R : Oui.) D'où viennent ces paroles, mes enfants : de l'enfant qui a donné sa vie par amour pour vous comme instrument ou ces paroles viennent de Celui qui est mort sur la Croix et ressuscité pour la Gloire de Dieu? L'amour vient de Dieu ne vient pas de vous. C'est Dieu qui vous a créés pour que vous soyez en son amour, qu'en son amour. Vous êtes à Dieu, vous n'appartenez qu'à Dieu. Dieu ne vous force pas comme il ne force pas ses enfants qui ne veulent pas de lui. Je ne vous rendrai pas responsables de vos frères et de vos sœurs qui ne veulent pas de moi, mais je vais vous demander de vous donner pour eux.

Je vais vous demander, mes enfants, de faire comme les premiers chrétiens : de donner vos instants de vie pour eux. Eux ont cru en Jésus, eux ont parlé de Jésus, ils ont préféré mourir que de renoncer aux paroles entendues par la puissance du Saint-Esprit qui est venu par les apôtres. Les apôtres ont répété, par la puissance du Saint-Esprit, les paroles du Christ. Les apôtres ont témoigné de leur vie, ont témoigné de leur vie d'amour, de leur vie spirituelle. Leur vie spirituelle a fait de leur vie extérieure une vie d'amour pour vous. Telle était la Volonté de Dieu et Dieu vous apprend à faire de même. Dieu vous apprend à avancer, à faire confiance en ses paroles. Soyez dans la Parole de Dieu, soyez dans la vie de Dieu, soyez le présent de vos frères et de vos sœurs, car ils ont besoin de vous.

Je ne parle pas que pour vous, mes enfants, je parle aussi pour eux qui n'entendent pas ce que vous entendez parce qu'ils ont bouché leurs oreilles. Ils ont mis un bandeau devant leurs yeux, ils se sont empêchés d'avancer en mettant leurs deux pieds dans l'esprit de ce monde. Ils ne veulent plus avancer. Eux croient qu'ils évoluent. Ils sont meurtris par les paroles qui n'ont pas de vie, car des paroles prononcées sans amour deviennent des paroles sans vie. Mais je les maintiens, je les maintiens par vous, afin qu'ils soient devant la justice de Dieu. Dieu vous demande, mes enfants, de vous donner, de vous donner et de vous donner. Ayez la foi. Soyez devant ce que vous êtes. C'est vous, mes enfants, qui avez prononcé votre oui.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur nous instruit ce soir afin que nous puissions comprendre ce qu'est la vérité. Oui, nous voulons avancer vers la très Grande Purification de la chair, n'est-ce pas? Si le Seigneur nous fait marcher sur ses pas d'amour, c'est pour solidifier nos pas. Le Seigneur veut qu'on soit de ce monde, de ce monde d'amour qu'il nous a parlé, pas du monde que nous avons quitté. Mais le monde que nous avons quitté, croyez-vous qu'il va nous laisser le quitter? (R : Non.) C'est lui qui va nous décourager, c'est lui qui va nous faire douter, car il a toujours réussi à faire tomber la foi en tous ceux qui ont douté, en tous ceux qui ont regardé en arrière.

Ce monde n'est pas pour nous, ce monde ne nous donnera pas ce que nous avons besoin. Nous avons besoin de croire en ce que le Seigneur est en ce moment même en train de nous faire vivre. Le Seigneur est en train de nous faire vivre notre foi par la toute-puissance du Saint-Esprit, et c'est en le Saint-Esprit que nous arriverons à avancer dans les pas du Christ. L'Église s'est bâtie avec la foi. Celui qui croit en Jésus a la vie et lorsque nous avons la vie, nous croyons que nous sommes membres du Corps du Christ. Nous faisons partie de notre Jésus d'amour. Il est facile de dire cela, n'est-ce pas, quand tout va bien, on est ensemble ici ce soir, ça va bien ça! Mais lorsqu'on se retrouve avec ceux qui n'ont pas la même idée que nous, les mêmes paroles que nous, les mêmes écoutes que nous, là, ça devient compliqué.

Où est notre foi? Dans nos talons. Nous sommes prêts à marcher dessus, nous ne marchons pas avec les pieds légers, mais avec les pieds lourds, car on veut s'entendre. L'autre se fait entendre, et nous on s'arrange pour qu'ils nous entendent; mais lorsque deux personnes veulent se faire entendre, il n'y a jamais personne qui comprend. Alors si on ne comprend pas, n'est-ce pas parce que la puissance du Saint-Esprit nous laisse jouer ensemble? Qui a la foi dans l'un des deux? Tous les deux essaient de se maintenir dans ce qu'il pense être vrai; alors lorsqu'on essaie de se maintenir dans quelque chose qu'on croit être vrai, on chancelle, parce que, là, quand on est tout seul, on se dit : 'J'ai-tu dit la bonne chose? Ah! Je me sens, je me sens mal, me semble que j'aurais dû dire ça à la place.'

On se remet en question parce qu'on manque de foi, on manque de solidité : 'Moi, j'irai pas dans l'arène, il n'en est pas question! Moi, aller sur le bûcher? Non, non, non, pas tout à fait, pas sûr, pas sûr.' Où est la foi? Je me disais, il y a quelques minutes, avant la conversation avec l'autre, que j'avais la foi, que j'étais prête à mourir par amour pour Dieu; il a fallu que j'en discute pour ne pas être certaine. Pourquoi? Parce que je suis encore atteint par l'esprit de ce monde. Ma chair prend trop d'importance, mais pas assez ma vie spirituelle, et pourtant, je veux vivre, je veux vivre de Dieu. Qu'est-ce qui fait que je veux vivre de Dieu, et pourtant je ne suis pas à la hauteur? C'est que dans mon quotidien, je vis pour quelque chose qui n'est pas important.

Nous avons entendu, par la puissance du Saint-Esprit, et nous entendons encore, par la puissance du Saint-Esprit, que nous sommes attachés à ce qui est extérieur et qui n'est pas utile dans notre vie : je m'attache à l'argent, je m'attache à ce que l'on fait avec l'argent; je m'attache à mon discernement, 'mon' discernement; je m'attache à ce qui ne me fait pas plaisir, car lorsque je parle contre mon prochain, c'est parce que j'ai vu quelque chose qui ne me plaisait pas, donc, je me suis attaché à cela, ça prend de l'importance dans ma vie, ça. Je vais juste donner un exemple. Si mon voisin étend sa grande couverture juste en avant de ma fenêtre, oh, que j'aimerai pas ça! Son geste m'irrite, parce que je suis irrité de son geste. Quelle est donc la cause de cette irritation : lui ou moi ou moi ou lui? C'est que je m'irrite, je m'irrite moi-même, et je fais sortir mon irritation et j'accuse l'autre de m'irriter. Tant que j'attacherai de l'importance à sa couverture, eh bien, je vais m'irriter; tout comme tant que je m'attacherai à mon manteau de fourrure, je serai aux prises avec ma vie extérieure.

Tout devient de l'importance pour moi lorsque je suis sans amour pour mon prochain. Mais lorsque j'apprendrai à ne pas donner de l'importance à l'extérieur, là, ma vie intérieure prendra le dessus. Là, je dirai : 'Seigneur, donne-moi des grâces de foi, j'ai foi en toi.' On peut demander des grâces de foi, vous savez, mais si on n'a pas foi en Jésus, à quoi ça sert? Oui, bien, vous direz : 'Bien oui, mais il faut que je demande des grâces de foi pour avoir foi en Jésus.'

Regardons la Croix. Regardons un Homme qui s'est donné par amour pour nous. Regardez ses plaies. Est-ce que tout cela, c'est quelque chose qui n'existe pas? Si un Homme qui se dit être Dieu, si un Homme qui a fait des miracles, si un Homme qui a ressuscité et qui, à un moment donné, accepte qu'on le crucifie et qu'il dise : «C'est par amour pour vous que je suis mort sur la Croix», est-ce qu'on va dire qu'il est menteur? Qui a ressuscité? Qui a soigné? Qui a redonné la vue à des aveugles? C'est le même qui a dit : «Père, j'ai tout accompli.» Ce même Homme qui a donné des enseignements à ses apôtres disant : «Si quelqu'un te frappe, présente ton autre joue», cet Homme, il est mort par amour pour nous et c'est notre Dieu, et il a dit : «Aimez-moi, préférez-moi, suivez-moi, je suis le Chemin, je suis la Vérité, je suis la Vie.» C'est ses paroles!

Pourquoi s'attacher à ce qui est extérieur? Attachons-nous à lui, c'est lui qui nous a gagné la vie, c'est lui! Comprenons son geste d'amour. Arrêtons-nous pour saisir ce geste que cet Homme a posé et aimons-le, vous allez voir, c'est plus facile d'avoir la foi en lui. Si on dit, comme ça : 'J'ai la foi', mais est-ce que tu saisis ce que tu dis? Pourquoi tu as la foi? Mais lorsqu'on sait pourquoi, lorsqu'on sait que c'est pour un Homme qui se disait être Jésus, le Fils de Dieu, pour celui-là même qui est mort et qui est ressuscité, parce qu'on a dit qu'il était ressuscité, parce que des hommes ont vu, ont vu ce même Homme qui était mort sur la Croix, qui a été enterré et qui s'est présenté à eux, qui a mangé avec eux, là, ça prend une tournure toute différente de notre foi.

Les premiers chrétiens, et il y en a eu des milliers, n'est-ce pas, ils ont accepté de mourir par amour pour lui. Saint Justin en était l'un des leurs. Il était quelqu'un qui avait connu Celui de qui on parlait : Jésus. Il a essayé de convertir beaucoup de personnes et, à un moment donné, eh bien, on l'a tué à cause de cela. Il ne faut pas avoir la peur, hein, mais il faut comprendre, par la puissance du Saint-Esprit, ce que nous sommes, en ce moment même, en train de vivre. Nous sommes, en ce moment même, en train de vivre ce que le Ciel veut qu'on vive. Pourquoi? Pour la très Grande Purification de la chair.

Dieu nous appelle à croire, Dieu nous appelle à avoir la foi. Nous voulons vivre, n'est-ce pas, la très Grande Purification de la chair? Avez-vous la foi? Avez-vous la foi? (R : Oui.) Il faut l'avoir la foi! Plus nous aurons la foi, plus nous serons solides; plus nous serons solides, plus il y en a qui s'appuieront sur nous; plus ils s'appuieront sur nous, plus nous on se donnera. Et le prix à payer, Dieu seul le sait. Cela, c'est l'affaire de Dieu. Il nous l'a dit, n'est-ce pas? «Que saviez-vous de la très Grande Purification de la chair avant que je vienne parler en vos cœurs?» Il nous a bien dit cela, n'est-ce pas? Et il a donné la réponse. Il a dit : «Rien.» Parce qu'avant qu'il nous parle de la très Grande Purification de la chair, on ne savait rien. Alors, Dieu a à nous instruire. Merci.