Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Régina, Saskatchewan,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-11-02

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu fait descendre sur chacun de nous sa miséricorde.

Dieu nous regarde à l’intérieur de nous et il nous montre à quel point nous sommes à sa merci : Dieu veut que nous comprenions que tout ce qui est à lui, il en prend soin.

Lorsqu’on apprend à découvrir la grandeur de Dieu le Père, on apprend à découvrir sa tendresse, alors on apprend à se donner totalement à sa confiance (pour nous).

Depuis 2001, j’ai appris à abandonner tout entre les mains de Dieu.

Il m’a appris à connaître ce que j’étais; dans un premier temps, j’ai découvert que j’avais beaucoup de défauts : lui, il m’apprenait à me regarder avec amour;

parce que ce qu’il me demandait de faire, quelquefois je trouvais que cela me demandait des efforts parce qu’en moi il y avait des réticences face à ce qu’il me demandait :

lorsqu’il me demandait de regarder mon mari qui venait juste de me parler, (alors que) cela ne faisait pas mon affaire, lui, (Jésus) il me demandait d’aller vers lui; en temps normal, je serais demeurée à ma place parce que mes pensées étaient (concentrées sur) ma blessure, à l’intérieur de moi : je voulais penser plutôt à ma blessure et non pas à aller vers lui, je voulais me protéger contre la douleur que j’avais en moi : voilà pourquoi je ne voulais pas aller vers mon mari.

Jésus me disait : «Regarde-le, c’est mon enfant et je l’aime»; alors quand je répondais oui, j’y allais : je découvrais que c’était plus facile.

Sans m’en rendre compte, Dieu me donnait des grâces pour que je puisse aller vers mon mari et, en même temps, je découvrais ma faiblesse à moi parce que tout partait de moi-même; si j’avais ressenti cette souffrance, c’est parce que ça partait de moi-même; c’est parce que j’avais accepté ses paroles qui m’avaient blessée et j’avais consenti à les laisser pénétrer en moi.

Alors Dieu me disait : «Donne-le-moi et donne-toi»; Jésus voulait ma blessure que j’avais laissé entrer en moi et aussi il voulait réparer ce qui était déjà en moi; j’apprenais que, par ma propre liberté, j’avais laissé entrer le mal à l’intérieur de moi.

Chacun de nous avons un choix à faire.

Nous devons réaliser que nous avons laissé pénétrer à l’intérieur de nous des paroles qui nous ont blessés; ces paroles qui ont pénétré en nous rencontraient d’autres paroles qui s’étaient installées en nous depuis plusieurs années.

Depuis notre naissance, nous avons laissé pénétrer en nous des paroles, des paroles qui nous ont blessés; ces paroles, lorsqu’elles ne sont pas données à Dieu, nous habitent toujours, elles font partie de notre vie, de notre chair.

Voilà ce que Dieu m’apprenait : il m’apprenait qu’à l’intérieur de moi il y avait des mouvements qui me blessaient; ces mouvements se réveillaient lorsqu’un autre mouvement entrait en moi.

Alors, tranquillement, Jésus m’apprenait à me donner à lui, il disait : «Donne-toi, donne-moi tout ce qui n’est pas à toi, cela m’appartient.»

Dans un premier temps, je lui donnais tout; à chaque fois que Jésus me disait «Donne-toi», je lui disais : "Oui, je me donne à toi."

Où ça devait me conduire, je ne le savais pas; tout ce que je savais, c’est qu’il voulait que je lui donne mes oui, alors je lui donnais mes oui.

C’était des enseignements d’amour qu’il me donnait, c’était pour m’amener là où je devais être pour pouvoir comprendre ses enseignements.

Dernièrement, il nous a parlé, dans une rencontre, des sentiments qui s’étaient logés à l’intérieur de nous depuis très longtemps.

Il a dit dans cette rencontre que lorsque nous acceptons un sentiment qui vient d’une autre personne et que nous le laissons entrer en nous, il y a comme un réveil sur d’autres sentiments qui sont déjà en nous.

Lorsque quelqu’un arrive à côté de nous puis il nous démontre son impatience avec des paroles, ça nous blesse à l’intérieur de nous; c’est parce que nous avons accepté ses paroles, nous avons accepté que cela nous pénètre; alors lorsque ça entre en nous, on se trouve comme dans une autodéfense : on ne veut pas que ce sentiment entre en nous et au même moment on se défend (contre) ce qui vient d’entrer en nous (par nous), alors il y a un combat à l’intérieur de nous;

selon la situation, il y a plusieurs émotions à l’intérieur de nous, il y en a une qu’on va ressentir, mais on ne sait pas laquelle;

alors cela veut dire que le mal qui est en nous, lui, va faire sortir un sentiment (caché), et il va nous le faire (sentir) à l’intérieur de nous, et si nous ne savons pas dire non (à cela), d’autres blessures vont naître à nouveau en nous.

Il faut se rappeler d’Adam et d’Ève, cela vient de très loin.

Adam et Ève, lorsqu’ils ont désobéi à Dieu, ont été dans un mouvement contraire à l’amour; ils se sont aperçus qu’ils avaient offensé Dieu, alors cela s’est réfugié à l’intérieur d’eux pour se protéger (de la souffrance); ils savaient qu’ils avaient désobéi à Dieu, alors ils ne voulaient pas rencontrer le visage de Dieu : ce sentiment, c’est la culpabilité; ils se sentaient coupables devant ce qu’ils avaient fait parce qu’ils aimaient Dieu; lorsque Dieu leur a parlé, Adam et Ève  ont vu à quel point ils avaient offensé Dieu, ils ont pleuré longtemps sur leur péché.

Lorsque Caïn a commis le péché contre son prochain, il a été contre Dieu et contre son prochain; Caïn, lui, a refusé de se reconnaître coupable devant Dieu; lorsque Dieu a dit : «Où est Abel?» lui, il a dit : "Je ne suis pas le gardien de mon frère"; il démontrait par là qu’il ne voulait pas reconnaître son péché : il enfuyait à l’intérieur de lui ce mal.

Il savait qu’il avait fait mal, mais il ne voulait pas y penser, alors le mal s’est logé à l’intérieur de lui; à cause de ce péché qu’il a caché à Dieu, d’autres péchés sont venus : le mal avait fait naître en lui la colère.

En lui d’autres malheurs sont arrivés : les enfants qui sont venus au monde après lui ont porté ce mal en eux parce que Caïn le portait à l’intérieur de lui; ce qui sortait de lui était son état intérieur, alors les enfants qui sont venus de Caïn ont vu le visage de Caïn, ont vu les sentiments de Caïn, ont vu les gestes de Caïn, (pour) eux aussi cela a eu un impact dans leur vie : alors les enfants sont devenus de plus en plus coléreux, haineux, égoïstes, menteurs.

De génération en génération, le mal prenait de plus en plus de place à l’intérieur des enfants; lorsque la terre est devenue un état de péché, Dieu a regardé l’homme et Dieu a regretté d’avoir créé l’homme : Dieu a vu Noé et Dieu a reconnu sa bonté.

Dieu fit pleuvoir sur la terre et la terre s’est gonflée pour faire engloutir le péché : Noé et sa famille ont été sauvés parce que Dieu le voulait, mais ils portaient toujours la volonté humaine en eux.

À cause d’Adam et Ève, eux vivaient avec le mal en eux, alors (leurs descendants) sont devenus orgueilleux de ce qu’ils étaient : l’orgueil avait fait périr les enfants.

Parce que s'ils (Adam et Ève) avaient écouté Dieu, s’ils n’avaient pas écouté le Tentateur, tous les enfants seraient demeurés dans la Divine Volonté, mais les enfants de Dieu avaient désobéi; à cause de l’orgueil (qui était en les descendants des enfants de Noé et) comme ils étaient une seule famille, ils se sont pris pour des dieux, alors Dieu a voulu séparer cette intelligence (en multipliant les langues) afin qu’ils ne puissent regarder que Dieu; mais le mal prenait de la place encore dans les hommes, et le mal détruisait le bien en eux.

Tous ces sentiments, nous les portons encore en nous, ils sont en nous.

Chacun de nous portons en notre chair tous les péchés qui ont été commis.

Nous, nous sommes venus au monde parce que Dieu nous a choisis; nous avons été tous dans le sein de notre mère de la terre.

Tous les enfants de la terre ont connu l’amour parce que l’Amour les a portés en lui et lorsqu’ils étaient dans le sein de leur maman, tous les enfants du monde étaient des êtres d’amour, (et) lorsque nous sommes sortis du sein de notre mère, nous étions amour, mais plus on avançait, plus l’amour s’oubliait.

Parce que nous cherchions l’amour, parce que nos yeux cherchaient l’amour, on ne le trouvait plus; tout ce qu’on voyait, c’était les yeux de notre maman, les gestes de notre maman, qui était aussi blessée par le péché qu’elle portait en elle; lorsqu’on regardait notre papa, c’était la même chose : on cherchait l’amour, le vrai amour, celui qu’on venait de quitter, mais ce qu’on trouvait, c’était des yeux blessés, des gestes blessés.

Dans un premier temps, nous, les enfants tout petits, on donnait de l’amour à nos parents et c’était gratuit de notre part, et eux aimaient nous regarder; leur intérieur était dans la joie de voir ce petit bébé dans leur bras : ils étaient portés à tout lui donner;

avec le temps, le tout petit enfant, lui, avait ses besoins et il demandait nourriture, attention, amour de ses parents, mais ce qu’il recevait n’était pas ce qu’il attendait; alors, ce qu’il recevait de ses parents commençait à pénétrer en lui : il ressentait leur impatience, il ressentait leur fatigue, et cela entrait dans l’enfant;

alors, son petit cœur se laissait nourrir de sentiments qui n’étaient pas toujours amour : son intérieur se nourrissait de gestes qui n’étaient pas ceux de Dieu.

La volonté humaine nourrissait le petit bébé et lui se laissait nourrir parce qu’il était aussi dans la volonté humaine : il n’a pas su se défendre contre des sentiments qui venaient d’entrer en lui et il a grandi ainsi.

À chaque jour, il voyait une maman fatiguée, un papa fatigué, impatient, coléreux; à chaque jour, il apprenait quelque chose et il le laissait entrer en lui; ce que ses parents avaient laissé entrer en eux, il le laissait aussi entrer en lui; alors il a grandi ce petit enfant, il est devenu adulte, et il n’a jamais su pourquoi il était sensible devant ceux qui lui faisaient du mal; comme il avait grandi, il ne voulait plus que les sentiments (des autres) le blessent autant, alors il élevait la voix ou il devenait indépendant : il développait des autodéfenses.

Alors, c’est chacun de nous cela : nous avons développé un système d’autodéfense

contre notre prochain.

Voilà pourquoi nous avons de la difficulté à accepter ce qui vient des autres : parce qu’en nous, il y a trop de blessures!

Dieu dit : «Mes enfants, si vous voyiez tout ce que le mal a fait de vous, vous ne pourriez demeurer sans pleurer sur vous-mêmes.»

Tranquillement, Jésus m’apprenait tout cela; je regardais mon mari et j’apprenais maintenant à le regarder différemment.

À chaque fois, il me disait : «Donne, donne-toi, donne-moi»; je le faisais, sans hésitation je le faisais; en peu de temps, j’étais rendue une épouse plus docile : j’apprenais à me taire et j’apprenais aussi à faire taire les sentiments qui étaient en moi et qui voulaient se révéler.

Comment cela se faisait? C’est que je donnais tout à Jésus.

Aussitôt qu’il y avait quelque chose qui voulait se réveiller en moi et qui aurait pu faire du tort à mon mari, je lui donnais cela tout de suite.

Dans un premier temps, mon mari regardait cela puis il ne réagissait pas, il était le même; plus les semaines avançaient et plus il y avait des conversations qui étaient moins douloureuses; alors lui, il s’en ressentait parce que j’étais plus en paix en moi et ça se faisait sentir dans la maison.

J’avais le sourire plus facile, mes paroles étaient beaucoup plus douces lorsque je lui parlais; il n’y avait pas d’impatience, il n’y avait pas de blessure dans mes mots : sans que je m’en rende compte, mes mots étaient comme libérés de moi-même.

Dieu dit : «Lorsque des paroles sortent de vous-mêmes et qu’elles sont comme libérés de toutes souffrances, l’autre les reçoit aussi, il laisse pénétrer ces paroles en lui»; alors, ces paroles devenaient comme guérissantes pour lui parce que ces paroles n’étaient plus les miennes, ces paroles étaient les paroles de Jésus.

Lorsque Jésus me disait «Donne-moi tout», alors je lui donnais les mots que je voulais prononcer : ça devenait ses propres mots à lui.

Ces paroles n’étaient pas des paroles qui venaient de ma volonté humaine, mais de la Divine Volonté; alors il les recevait et Jésus guérissait les blessures qu’il avait en lui : lui aussi changeait, lui aussi ses paroles changeaient.

Dans les dernières semaines, mon mari et moi, nous avons eu des paroles d’amour,

 nous avons échangé des paroles d’amour.

Dans toute notre relation de mari et femme, on n’a jamais eu de paroles aussi amour que celles que nous avons échangées : notre amour était devenu un amour simple, un amour pur, parce que c’était Dieu qui faisait tout pour nous.

Moi, je savais que Jésus me parlait à l’intérieur de moi; je répétais tout ce qu’il voulait que je dise : Jésus était tellement présent dans notre vie.

Je ne cherchais pas à changer mon mari comme je l’avais toujours fait, je cherchais à être moi-même et surtout à l’accepter tel comme il était : je découvrais mon mari; moi qui disais avant : "Je te connais", c’était faux; là, je découvrais vraiment mon mari.

Parce qu’à cause de ma volonté humaine, les sentiments en moi m’avaient empêchée d’être moi-même; comme j’avais laissé pénétrer en moi les sentiments qui n’étaient pas de moi-même, j’étais habitée de sentiments des autres; comment est-ce que je pouvais aimer mon mari avec des sentiments qui n’étaient pas à moi?

Mais ces sentiments avaient quand même réveillé en moi des sentiments qui y étaient depuis ma naissance; mon mari aussi avait des sentiments depuis sa naissance : ce sont ces sentiments qu’il laissait sortir de lui et que moi, sans m’en rendre compte, je les laissais pénétrer en moi; alors, moi aussi je faisais la même chose, je sortais mes sentiments blessés à l’extérieur de moi, et lui les laissait pénétrer en lui : c’était ses sentiments contre mes sentiments.

Vous pouvez vous imaginer, lorsqu’on a grandi on a eu des amis à l’école, on a eu des professeurs, on a eu des employeurs, on a eu des personnes avec qui on travaillait, alors eux aussi ont eu des sentiments, eux aussi ont laissé sortir leurs sentiments et on les a laissé pénétrer en nous : j’ai laissé sortir des sentiments qu’eux avaient acceptés ainsi que mon mari, car c’était la même chose pour lui; alors, quand on arrivait à la maison, c’était une bataille afin d’être soi-même.

On n’était pas soi-même : on voulait s’aimer, on voulait se donner l’un et l’autre,

 mais comment le faire avec tout ce qui ne nous appartenait pas?

Nous avons regardé la télévision, nous avons lu les journaux, nous avons lu des romans : tout ça aussi (faisait naître) des émotions qui (un jour) sortiraient de nous-mêmes; et (quand) elles se réveillaient, on les sortait pour les donner à notre époux ou notre épouse : on a vécu avec notre époux ou notre épouse avec une foule de sentiments qui ne nous appartenaient pas, alors on était toujours des étrangers.

L’être d’amour que nous étions, où était-il? On le cherchait.

Je voulais la paix, je voulais qu’on me respecte, je voulais être libre; je voulais que l’autre soit aimable, je voulais que l’autre soit galant, mais comme moi je ne l’étais pas en moi, je ne le trouvais pas en moi, j’allais chez mon mari, puis je voulais trouver ce qui me manquait; mon mari aussi cherchait la même chose, alors lui, il voulait trouver cela à l’intérieur de moi : je voulais trouver en lui ce que moi je ne trouvais pas en moi et lui voulait trouver en moi ce qu’il ne trouvait pas en lui.

C’est ce que nous faisons.

Nous vivons avec un être cher, nous voulons être aimé et l’aimer, mais on n’a pas l’amour en nous alors on ne peut pas donner de l’amour et on ne peut pas en recevoir parce que lui-même est vide.

Avant, les couples se tournaient vers Dieu, ils priaient Dieu pour demander de l’aide, mais aujourd’hui on ne crie pas vers Dieu, on ne prie pas Dieu pour demander de l’aide.

Mais avant, lorsque les personnes criaient vers Dieu pour avoir de l’aide : de quelle aide qu’ils voulaient? Ils ne le savaient pas, tout ce qu’il demandait à Dieu, c’est que le couple s’endure, et ils priaient pour que l’autre devienne meilleur, ils priaient pour que l’autre devienne plus patient, ils priaient pour que l’autre soit plus respectueux; alors Dieu donnait des grâces, il donnait des grâces pour l’autre, mais à l’intérieur des couples le vide demeurait, le mal ne se réparait pas.

Aujourd’hui, on ne prie plus, on ne crie plus vers Dieu, voilà pourquoi il y a tant de séparations.

Si ce que nous voulons, on ne le trouve pas avec notre mari ou notre épouse, alors on va vers un autre pour le trouver; mais c’est faux, on ne peut pas trouver (en l’autre) ce qu’on n'a pas trouvé en soi.

Dieu parle à l’intérieur de moi, ses mots sortent sans que je les connaisse à l’avance, Dieu dit : «À moi de vous montrer ce qu’il y a à l’intérieur de vous, à moi de vous faire comprendre pourquoi vos blessures ne peuvent vous rendre libres.»

Dieu veut nous faire comprendre que nos blessures lui appartiennent,

il veut qu’on lui donne nos blessures.

Il dit : «Je t’ai montré qui j’étais, je t’ai montré ma Volonté, je t’ai montré à mourir en moi en renonçant à ta volonté humaine; tranquillement, je t’ai fait avancer; tranquillement, je t’ai ouvert les yeux : tu as ouvert les yeux à ton intérieur et je t’ai fermé les yeux à l’extérieur. Je t’ai démontré que ta volonté humaine ne t’a pas rendue heureux/heureuse, alors je t’ai montré aussi que le bonheur c’était moi, la Divine Volonté.»

La Volonté de Dieu, c’est la Volonté de l’Amour, c’est la Divine Volonté;

Divin est Dieu, Dieu est divin; Dieu est tout, Dieu est puissant : Dieu est notre tout;

Volonté, c’est Dieu; la Volonté de Dieu, c’est l’amour : l’amour est un tout en son Tout.

Décrire l’amour, c’est décrire Dieu : on ne peut pas décrire l’Amour; qui peut décrire l’Amour, qui peut décrire qui est Dieu? Personne.

Il faut se laisser fondre en Dieu, il faut donner notre oui à Dieu afin que nous puissions devenir amour.

Lorsqu’on découvre l’amour, c’est parce qu’on a découvert que Dieu est là, alors Dieu a pris notre être et l’a mis en lui : là nous devenons amour et là nous commençons à découvrir Dieu.

Alors, Dieu dit : «Oh! mes enfants d’amour, laissez-moi vous plonger en vous, je suis le Mouvement de l’amour; je suis comme la brise sur votre joue, vous ne pouvez contenir la brise : la brise vient et elle part, vous ne savez pas d’où elle est venue ni où elle va.

Sur votre joue s‘est déposé un mouvement, un mouvement que vous ne pouvez pas retenir; ce mouvement que vous avez ressenti, c’est la douceur, c’est la fraîcheur; vous n’avez jamais ressenti ce mouvement, vous ne pouvez plus l’oublier parce que ce que vous avez ressenti, c’est tout nouveau.

Ce mouvement s’est fait ressentir dans tout votre être, il a fait réveiller en vous quelque chose de tellement doux!

Toutes vos pensées ont été vers ce mouvement, votre cœur a battu à l’unisson avec ce mouvement et tout ce que vous pouviez être a été dans ce mouvement, alors la brise a pénétré en vous, elle a pénétré votre corps et tout mouvement s’est laissé envelopper par ce mouvement.

Comment comprendre ce mouvement? Comment réaliser ce bonheur, comment pénétrer dans ce mouvement d’amour? Tout votre être s’est tendu pour connaître ce mouvement de Dieu.

Dieu est venu à vous, Dieu a montré qu’il était présent et il s’est fait présent : Dieu est amoureux de vous.

L’amour de Dieu ne peut se contenir, l’amour de Dieu prend qui vous êtes et l’enveloppe de son amour et vous, vous ne pouvez faire aucun mouvement, mais vous pouvez apprécier ce mouvement.

Vous ne pouvez pas vous séparer de ce mouvement, car ce mouvement c’est votre vie; ce mouvement s’est installé en vous; ce mouvement ne peut plus être retiré de vous, c’est le souffle de Dieu, c’est le souffle de l’amour.

Dieu veut vous faire comprendre qu’en vous est la présence de Dieu.

Personne ne peut faire mouvoir ce mouvement que Dieu lui-même; où que vous alliez, le mouvement est là; quoi que vous fassiez, ce mouvement est toujours là.

Dieu a mis en vous sa Présence afin de vous faire comprendre que votre vie est à lui.

Enfants d’amour, je suis la Divine Volonté; enfants d’amour, laissez-vous prendre par mon mouvement d’amour, il est éternel.

La brise, mes enfants, ne peut être retenue par vous; la brise, mes enfants, est un mouvement qui se fait sentir en vous; la brise, mes enfants, c’est présent : l’Amour est ainsi : l’Amour est présent, l’Amour vous enveloppe, l’Amour contient tout.

Vous ne pouvez contrôler la Brise, vous ne pouvez habiter la Brise que si la Brise, mes enfants, se laisse prendre par vous.

Lorsque vous acceptez la Divine Volonté, vous acceptez que la Brise soit tout pour vous, alors la Divine Volonté veut tout faire pour vous : elle veut réparer tout ce qui a été contre l’amour.

Lorsque vous me donnez un sentiment en vous qui a été contre vous, l’amour de Dieu l’enveloppe, l’amour de Dieu répare en vous ce qui a été endommagé parce que l’amour de Dieu est tout-puissant, c’est un mouvement sans fin; vous ne pouvez réparer ce qui a été contre vous, mais la Divine Volonté, elle, elle le peut, voilà pourquoi je vous demande de tout me donner.

La Divine Volonté est l’Intelligence, elle va vous faire savoir ce qui n’est pas amour en vous.

Je vais vous faire ressentir en vous les mouvements (qui sont) contre vous et lorsque vous les ressentirez, la Divine Volonté, par votre oui, va prendre ce qui n’est pas pour vous : la Divine Volonté est la puissance.

Le mal qui voudra se réveiller en vous, par votre oui, la Divine Volonté va faire taire le mal : la Divine Volonté est plus puissante que le mal.

Le mal, mes enfants, n’est pas pour vous, il est entré en vous par le non à Dieu, à la Divine Volonté.

Ces mots, mes enfants, sont en vous; je suis Celui qui est et je suis Celui qui sera, alors croyez et vous verrez : votre vie sera transformée.

C’est à chacun de vous qu’appartient votre oui, c'est à chacun de vous de choisir : tout ce que vous êtes, tout ce que vous avez été et tout ce que vous serez, sera dans mon mouvement d’amour.

À chacun de vous de croire, mes enfants, à chacun de vous d’accepter, à chacun de vous de vous abandonner.»

La puissance de Dieu nous habite, la puissance de Dieu veut faire de nous des êtres nouveaux.

Le Seigneur dit : «Maintenant, mes enfants, prenez un repos.»

 

Marie : Mes enfants d’amour, je suis la Mère de la Divine Volonté; en moi j’ai porté l’Amour, en moi j’ai porté le Fils de la Divine Volonté.

Le Fils de Dieu est Celui qui est le Tout en le Tout, le Fils est pour le Père ce que le Père est pour le Fils; la Volonté de Dieu le Père est pour le Fils la Volonté en tout, il n’y a rien de plus grand que la Volonté de Dieu le Père et le Fils fait la Volonté de son Père : à vous, mes enfants, de vous donner, à vous de n’écouter que la Volonté de Dieu le Père.

Lorsque vous venez à la communion, mes enfants, vous venez vous donner à la Divine Volonté : la Divine Volonté vous regarde, elle vous attire à elle.

Lorsque vous vous approchez, un mouvement d’amour se fait en vous : tout votre être se prépare à recevoir la Divine Volonté; parce qu’en vous vit la Divine Volonté, la Divine Volonté vous prépare à recevoir la Divine Volonté.

Il n’y a rien qui vient de vous-mêmes, mes enfants, vous êtes trop petits pour faire ce mouvement : tout de vous se laisse prendre par l’Amour lui-même, car c’est l’Amour qui va se donner à vous.

Lorsque j'ai reçu en mon sein la Divine Volonté, tout mon être se laissait prendre par la Divine Volonté.

Lorsque je vins en ce monde, je suis venue par la Divine Volonté; mon Être était pur, en moi tout était dans le mouvement de la Divine Volonté; rien d’impur n’était en moi; il fallait que la Mère de Dieu soit pure pour recevoir la Divine Volonté : voilà pourquoi, mes enfants, lorsque vous recevez la Divine Volonté, tout votre être doit être pur, tout comme moi, vous devez être purs.

Mes enfants d’amour, laissez-vous prendre par la Divine Volonté, laissez-vous envelopper par la Divine Volonté; un mouvement se prépare pour vous, un mouvement voulu par la Divine Volonté : la Divine Volonté veut vous préparer à voir la Divine Volonté en vous, mes enfants.

La Mère de Dieu vous prépare pour que vous soyez tout petits en vous, humbles et obéissants, mes enfants.

À tous ceux qui seront obéissants, grande sera leur joie.

Accompagnés des grâces de la Mère de la Divine Volonté, vous serez prêts, mes enfants, à recevoir l’Amour en vous.

L’amour, mes enfants, c’est vous; vous êtes des êtres d’amour, c’est vous-mêmes qui allez entrer en vous.

Tout se fera par le mouvement de la Divine Volonté, il n’y aura rien qui viendra de vous.

Je vous aime, mes enfants, c’est pour cette raison que la Mère de Dieu vous parle en ce moment; c’est la Divine Volonté qui a choisi pour vous ce mouvement d’amour, qui est d’entendre ma parole (qui est) en vous; ces paroles, elles sont entendues par son instrument d’amour.

Comprenez bien que lorsque viendra le mouvement, vous ne pourrez plus être à l’extérieur de vous : voilà pourquoi la Divine Volonté est venue elle-même vous préparer afin que vous soyez dans votre intérieur.

Mes enfants, beaucoup d’enfants sur la terre, en ce moment, se laissent prendre par le mouvement de la Divine Volonté afin d’être prêts pour ce qui vient.

À chaque jour, mes enfants, votre intérieur reçoit des grâces par la puissance de la Divine Volonté.

Des enfants dans le monde entier prient pour vous, des enfants dans le monde entier se laissent envelopper de la Divine Volonté.

Avant vous d’autres enfants ont prié, avant vous d’autres enfants ont été obéissants à Dieu : vous êtes les choisis de Dieu, vous êtes les enfants qui allez devenir les enfants de la Divine Volonté.

Beaucoup d’entre vous ont déjà entendu parler de la Divine Volonté, mais peu, mes enfants, peuvent comprendre ce qui se passe à l’intérieur d’eux.

Ce sont vos oui qui font de vous des enfants abandonnés dans le mouvement de la Divine Volonté, ce n’est pas vous, mes enfants, qui pouvez faire cela; ce qui se prépare est trop grand pour vous, il n’y a que Dieu qui peut vous amener là où vous, vous devez être.

Avant ma venue sur la terre, tout a été préparé pour moi : la Mère de Dieu recevait des mouvements de la Divine Volonté afin d’être digne d’être la Mère de la Divine Volonté.

Chacun de vous est déjà dans un mouvement de la Divine Volonté pour que vous soyez prêts pour ce qui vient.

Telle, moi, la Mère de Dieu le Fils, j’ai été prête, tels vous allez être prêts.

La Divine Volonté est venue habiter mon intérieur, et vous, mes enfants, qui êtes habités par la Divine Volonté, vous vivrez en vous.

Les grâces vous sont accordées, c’est une préparation à ce qui vient : à chaque jour, moi, la Mère, je déverse en vous des grâces d’humilité, d’obéissance envers mon Fils.

Mes enfants, les enfants humbles seront beaucoup plus prêts à recevoir les grâces nécessaires afin d’être prêts pour la purification.

Mes grâces vous amènent à reconnaître votre petitesse : elles vous aident à obéir à tout ce que Dieu attend de vous : vous apprenez tranquillement à tout remettre entre les mains de Dieu.

Petits enfants d’amour, laissez-vous envelopper par le pouvoir de Dieu.

Ces temps sont très importants, ces temps vous préparent avec amour à voir l’Amour lui-même; Dieu le Père lui-même envoie sa Fille bien-aimée auprès de vous afin de vous préparer à être de bons petits enfants.

Vous êtes mes enfants, mon Cœur est grand ouvert pour vous afin que vous puissiez comprendre qu’autour de vous il y a des anges.

Mes enfants, le danger est grand, on veut empêcher la Divine Volonté de vous préparer pour ce qui vient.

Satan, mes enfants, ne veut pas (que vous soyez prêts), il met des obstacles partout autour des enfants de lumière afin qu’ils puissent être dans la désobéissance.

Soyez prudents, mes enfants, demandez-moi des grâces d’humilité; il faut être très petit pour voir les ruses de Satan.

Ceux qui ne veulent pas demander des grâces d’humilité se laissent prendre par l’orgueil.

L’orgueil, mes enfants, c’est un péché contre l’amour, il porte les enfants de Dieu à juger, il porte les enfants de Dieu à se défendre contre le prochain : se défendre, mes enfants, c'est prendre le dessus sur votre prochain, vous devez tout donner à mon Fils.

Mes enfants, il y a tellement de messages qui se propagent partout : il faut être petit pour reconnaître ceux qui viennent du Ciel.

Mon Fils est l’Amour, il ne veut pas vous faire peur; mon Fils veut vous amener, par les grâces du Ciel, à votre purification.

Mes enfants, ne perdez pas la paix; soyez humbles et vigilants ainsi vous garderez votre paix; si vous perdez la paix, mes enfants, vous allez vous faire du tort et vous allez faire du tort à votre prochain : il faut penser à qui vous êtes en vous, il faut penser à ce que Dieu attend de vous.

Mes petits enfants, voici venir pour vous des jours difficiles qui seront autour de vous bientôt.

Seuls les enfants humbles, obéissants à mon Fils, passeront ces jours sans difficulté; autour de vous, il y aura des contradictions face à ce que vous, vous tenez.

L’amour de Dieu, l’amour du prochain, l’amour infini de tout ce qui a été annoncé par mon Fils, doit être pour vous votre vie.

Il est très important que vous puissiez apprendre les commandements de Dieu, il est très important que vous puissiez lire votre Évangile.

L’Évangile est la parole de mon Fils, il vous a été donné afin de vous guider dans votre vie; ne cherchez pas la vérité dans la nouveauté : soyez fidèles à tout ce qui a déjà été écrit, mes enfants.

Mon Fils est l’Être d’amour, il vous a guidés; il a toujours été présent dans votre vie, faites tout pour être fidèle à lui.

Ne cherchez pas la vérité dans l’esprit de ce monde; ce monde s’est laissé prendre par l’orgueil.

Aujourd’hui, on ne veut plus obéir à mon Pape Jean-Paul II, on ridiculise ses propos.

Mes enfants, gravez dans votre cœur les paroles de mon Fils : soyez fidèles à tout ce que Jean-Paul II vous a demandé.

Depuis des années, mes enfants, depuis la venue de mon Fils, tous (les) papes ont été fidèles à la parole de mon Fils : chacun d’eux a voulu faire la Volonté de Dieu le Père en tout.

Tous ceux qui ont été fidèles à l’Évangile de mon Fils ont été fidèles à la Volonté de Dieu le Père; voilà, mes enfants, ce que vous devez retenir : l’obéissance envers la vérité.

Mon Fils est la vérité, il vous a apporté tout ce qui vous était nécessaire afin d’atteindre la vie éternelle; tous ceux qui veulent vivre pour la vie éternelle doivent donner leur oui à la Divine Volonté qui est mon Fils.

Mes enfants, la Mère de Dieu vous bénit; faites votre signe de la croix en signe d’amour devant la Trinité.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque la Mère de Dieu se manifeste à l’intérieur de chacun de nous, tout notre être peut ressentir sa présence maternelle; elle est celle qui va nous amener à l’intérieur de nous avec amour : lorsque nous verrons Jésus glorifié à l’intérieur de nous, nous verrons la Mère de Dieu.

Chacun de nous, nous avons été choisis pour vivre des moments d’amour entre nous.

Depuis plus de deux ans que je me présente partout maintenant; plus de 120 rencontres, comme celle-ci, ont été faites dans la Divine Volonté.

Dieu permettait que j’entende tout ce que Dieu disait à l’intérieur de chacun de vous lors des rencontres, et par la puissance du Saint-Esprit, je pouvais entendre en moi les paroles que vous-mêmes portiez en vous.

C’est le Saint-Esprit qui a ce pouvoir de nous réunir tous ensemble et de me faire entendre la voix.

Lorsque j’ai répété les mots qui étaient en moi tantôt, j’entendais la voix de Marie à l’intérieur de moi, c’est comme si tout mon être était la voix de Marie.

La douceur de Marie, c’est comme un mouvement qui nous attendrit, c’est comme si elle nous donnait la main et qu’elle nous amenait elle-même dans le Cœur de Jésus.

Nous, les enfants d’un monde sans amour, nous qui avons vécu avec notre volonté humaine en faisant ce qui nous plaisait, Dieu nous met lui-même en présence de la Mère de Dieu, en présence de leur Volonté.

Nous ne méritons pas plus que les autres de vivre ce moment, c’est parce que nous sommes dans le temps où nous devons vivre ce mouvement.

C’est par le Fils que nous avons ces mérites, et comme le Fils nous a mérité cela, nous devons en être dignes en faisant tout ce que Dieu demande et en reconnaissant aussi que nous sommes les choisis.

Nous devons vivre au présent ce qui est, nous ne devons pas chercher à comprendre ce qui va venir, mais nous préparer pour ce qui va venir.

Si on regarde le monde entier, on trouve que nous sommes très peu à entendre ces paroles, mais lorsque nous nous arrêtons et que nous pensons que nous vivons en la Divine Volonté, là ça devient différent parce qu’en ce moment on se laisse préparer pour la Grande Purification, mais en ce moment même aussi, ceux qui sont en nous se laissent préparer pour la Grande Purification.

Voyez-vous, plus on entend parler de ce qui va venir et plus tout notre être se prépare à cela.

Et maintenant nous sommes prêts à accepter ce qui vient parce qu’il y a quelque temps, et ça ne fait pas si longtemps que ça, (lorsque) quelqu’un nous parlait de cela, on disait que cela était impossible; on cherchait d’autres messages qui auraient dit la même chose pour nous prouver que ce qu’on vivait, cela avait du sens; lorsqu’on regardait un message, on essayait surtout d’aller voir la fin pour essayer de trouver quelque chose qui était vrai, qui nous ferait vivre une sensation très forte; oui, vouloir découvrir ce qui vient, c’est ce que nous cherchions; maintenant c’est différent, maintenant lorsqu’on lit les messages, on essaye surtout de comprendre ce que le message veut pour nous.

C’est parce qu’on a changé, la Divine Volonté a transformé l’être intérieur que nous étions; alors d’autres aussi se laissent transformer et ceux qui sont loin de nous reçoivent la même chose que nous.

Comprenons ce que Dieu est en train de nous expliquer : nous, nous lisons les messages, nous essayons de faire ce que le message dit; notre volonté humaine, elle, elle prend ce que la Divine Volonté veut nous apprendre pour le faire entrer à l’intérieur de nous, et de l’intérieur de nous il se passe des mouvements qui nous changent, (et) de l’extérieur nous en prenons conscience, et de l’intérieur tout se fait; mais, pour les autres, ceux qui ne lisent pas les messages, eux ne prennent pas conscience de ce qui se passe à l’extérieur, mais la Divine Volonté, elle travaille de l’intérieur : voilà pourquoi, sans qu’ils le sachent, la Divine Volonté est en train de les transformer comme elle est en train de nous transformer.

Lorsqu’il y aura le mouvement que Dieu nous a annoncé, lorsqu’ils verront tout comme nous la Croix dans le ciel, en eux il y aura le mouvement qui ressurgira à l’intérieur pour sortir à l’extérieur, alors ils réaliseront ce que Dieu a fait pour eux.

Nous, nous verrons la Croix parce que nous réalisons à l’extérieur ce que la Divine Volonté est en train de nous transformer : cela sera déjà acquis pour nous; lorsqu’ils verront tout cela à l’extérieur d’eux, une grande joie sera pour eux : ils croiront; ils croiront qu’il s’est passé quelque chose à l’intérieur d’eux; voilà pourquoi Dieu dit : «Beaucoup seront guéris.»

Dieu prépare ce mouvement avec simplicité sans compliquer les choses.

C’est de l’intérieur que Dieu nous transforme, ce n‘est pas de l’extérieur; de l’extérieur, nous sommes en ce moment les mêmes qu’il y a trois ans, qu’il y a cinq ans; c'est l’intérieur de nous qui fait que nous ne sommes plus les mêmes; mais ça va être la même chose pour eux : l’intérieur d’eux va sortir et là ils vont s’apercevoir qu’il y a quelque chose qui est changé; ce qui était impossible pour eux va devenir possible et nous qui vivons dans l’espérance, nous qui verrons cela, nous aussi nous allons avoir un mouvement en nous : en ce moment nous voulons croire, en ce moment nous vivons dans l’espérance que cela va se faire, alors lorsque nous verrons la Croix, tout sera accompli pour nous.

C’est ce que nous allons vivre, mais avant il y a beaucoup d’enseignements qui ont été donnés et il y en aura d’autres qui vont venir parce que Dieu est en train de nous dévoiler notre intérieur, et Dieu veut que le mal à l’intérieur de nous perde son emprise sur nous.

Plus le mal a comme été inconnu de nous et plus il pouvait être maître de notre vie.

Il a pris une place importante dans notre intérieur, il nous a fait sentir longtemps que nous n’étions pas maîtres de nous-mêmes, et nous avons cru le mal en nous; nous avons été souvent en train de nous dire que nous ne pouvions pas changer parce que nous étions faits comme ça : c’est le mal en nous qui essayait de nous convaincre que nous étions faits de cette façon.

Alors Dieu est en train de nous démontrer que cela est faux, et plus nous écoutons Dieu et plus c’est nous-mêmes, par nos oui, qui donnons la place à Jésus pour que Jésus déloge le mal.

Jésus a toujours respecté qui nous sommes et il va continuer jusqu’à la fin à respecter qui nous sommes; ça va être à nous de lui donner notre oui à Jésus; Jésus ne nous dira pas : «Dis oui» et il ne dira pas non plus : «Dis non au mal», c’est nous qui devrons le faire; mais il va nous le demander, il va nous demander notre oui : «Donne-moi ton oui», c’est avec amour qu’il va le faire.

Il va nous donner des grâces pour que nous puissions le lui donner librement parce qu’il sait qu’il va nous demander notre oui, alors il nous nourrit de ses grâces pour qu’on puisse le faire ce oui.

Un seul enfant qui dit oui dans la Divine Volonté, eh bien, c’est tous les enfants qui disent oui dans la Divine Volonté.

Le premier oui qui s’est dit dans la Divine Volonté s’est déposé en tous les enfants du monde entier.

Depuis le premier enfant qui est venu au monde jusqu’au dernier qui sera créé, le oui s’est déposé; alors, ce oui qui s’est déposé en chacun de nous a amené des grâces afin que nous puissions, nous, nous laisser nourrir de ses grâces; alors lorsque Jésus nous demande un oui, le oui sort.

Lorsqu’un enfant dit oui dans la Divine Volonté en un enfant qui a dit oui dans la Divine Volonté, il y a de la multiplication.

C’est comme s’il y avait un atome qui frappe un autre atome, qui frappe un autre atome, qui frappe un autre atome et que chaque atome frappe tous ces atomes, là il y a une explosion, mais d’amour; c’est en nous ça : voyez-vous, les oui vont réparer.

Dieu se sert des enfants de la Divine Volonté pour nourrir les enfants, ainsi nous allons nous entraider.

Jésus dit : «L’amour sera l’arme contre tout ce qui a été contre mon Père»; la Divine Volonté met en nous son arme d’amour.

Nous avons tant reçu de Dieu le Père!

Nous avons eu en nous ce souffle d’amour; à cause de la volonté humaine, nous avons détruit, tout le temps en nous, l’amour qui naissait par tout ce qui était le mal.

Depuis Adam et Ève, le mal est venu en nous et tous ceux qui ont fait le mal ont donné à notre être des mouvements contre l’Amour.

Jésus va transformer tout ce qui a été contre nous pour que tout ne soit qu’amour; Jésus va faire des mouvements en nous, et c’est lui qui va le faire, ce n’est pas nous; ça va être les mouvements de la Divine Volonté et non pas des mouvements de la volonté humaine : voilà pourquoi il va se servir des enfants de la Divine Volonté.

Un petit nombre suffit pour sauver un grand nombre.

C’est ce que Jésus est en train de faire avec chacun de nous; plus nous allons garder notre paix et plus le mouvement se fera, plus nous allons nous garder humbles, obéissants, et plus Dieu prendra toute la place.

Si nous demandons à Maman Marie des grâces d’humilité, nous allons demeurer petits; les orgueilleux ne veulent pas quitter leur volonté humaine, voilà pourquoi nous devons nous garder toujours humbles; Satan va tout faire pour nourrir en nous l’orgueil parce que nous portons l’orgueil en nous.

Nous portons tous les péchés du monde parce qu’à l’intérieur de nous vit Jésus, à l’intérieur de Jésus vivent tous les enfants du monde et nous sommes aussi avec tous les enfants du monde, voilà pourquoi il faut être prudents, nous devons toujours nous tenir petits et humbles.

Il ne faut pas oublier qu’il n’y a rien qui vient de nous-mêmes, tout se fait par la Divine Volonté et non pas par la volonté humaine; il est bon de savoir que nous ne faisons rien, alors nous ne nous attribuons rien de ce qui se passe (en nous) avec ce que nous sommes, nous gardons notre place.

Plus il va y avoir des enfants d’amour qui se laissent transformer par la Divine Volonté et plus nous avançons.

Il faut toujours se réjouir de savoir qu’un enfant est plus grand que nous, parce que s’il est plus grand que nous, plus avancé dans la Divine Volonté alors, lui, il nous en donne beaucoup : voilà la Divine Volonté.

Voilà ce que Dieu veut nous faire comprendre : la Divine Volonté, c’est l’amour de Dieu, la Divine Volonté, c’est l’amour du prochain, parce que la Divine Volonté, c’est donner, alors ceux qui vivent dans la Divine Volonté, ce sont ceux qui se donnent sans cesse : alors nous on avance.

C’est comme une grande vague.

Mais il faut être prudent parce que l’orgueil est toujours présent avec nous et ça va toujours nous attaquer, et cela jusqu’au moment où le dernier va dire oui à la Divine Volonté; parce que jusqu’à la fin, Dieu va nous laisser libres de dire oui ou de dire non, alors c’est à nous d’être dans ce oui sans jamais perdre de vue que Maman nous avertit du danger qu’il y a autour de nous.

Parce que si nous, nous oublions, Satan lui, n’oublie pas; il a tout fait Satan pour que nous ne croyions pas qu’il existe afin d’avoir un pouvoir sur nous; maintenant que nous savons ce qu’il veut faire de nous, il n’aura pas peur maintenant de se manifester.

Il va se manifester avec beaucoup de ruses, il va se servir de toutes les personnes autour de nous, de tous les moyens qu’il y a autour de nous pour faire développer en nous l’orgueil.

Il ne faut surtout pas perdre de vue qu’il est un ange, un ange déchu avec une intelligence au-dessus de tout ce que nous pouvons penser : ça il ne faut pas l’oublier.

Comme nous, nous avons tendance à oublier, alors il faut prendre la main de Maman Marie, avec l’autre main, le chapelet.

Il faut prier et Maman Marie nous a tellement dit : «Allez à la confesse, allez à la messe, portez des sacramentaux, portez le scapulaire, cela vous tient humbles.»

Mais elle nous demande une chose encore, c’est de garder notre langue; on s’est souvent servi de notre langue pour parler et les paroles étaient souvent inutiles.

Nous parlons pour meubler le silence et, quelquefois, c’est contre nous, et Dieu dit : «La plupart du temps, c’est contre nous.»

Il dit : «Mes enfants, n’est-il pas préférable de vous concentrer sur vous-mêmes au lieu de vous concentrer sur votre prochain? Vos conversations, mes enfants, sont surtout des conversations pour démontrer aux autres que vous êtes intelligents. Mes enfants, à vous qui êtes ici, je vous dis : "Ces paroles sont des paroles d’amour, ces paroles sont pour vous des lumières, car lorsque vous vous savez trop intelligents alors que Dieu vous demande d’être humbles, vous êtes plus portés à vous mettre en garde contre vous-mêmes, et des personnes qui surveillent leurs paroles sont des personnes averties.

C’est à tous les jours que je vous écoute, mes enfants, et c’est à tous les jours que je vous donne des grâces de lumière afin que vous puissiez me donner vos paroles : donnez-moi qui vous êtes et je prendrai soin de vous.»

Le Seigneur vient de me dire : «Maintenant, c’est suffisant.»

 

Questions et réponses:  

 

Q : Qui va voir la croix?

 

R : La Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il a été annoncé qu’un signe se laisserait voir et ce signe attirerait les enfants de Dieu : tous les enfants verront ce signe.

 

Q : Dans vos écrits, vous avez parlé comment les images de la télévision entrent en nous et tu as parlé comment les paroles des autres entrent en nous. Aurais-tu des commentaires sur certains livres comme Harry Potter ou encore les téléromans à la télévision?

 

R : Jésus : À chaque fois qu’un enfant ouvre son intérieur pour laisser entrer en lui une image, une parole, cela pénètre en sa chair.

Combien d’enfants ont regardé la télévision, combien d’enfants ont écouté la radio, combien d’enfants ont lu des livres qui n’étaient pas bons pour eux? Tout ce qui faisait développer en eux la haine, la jalousie, l’hypocrisie, la colère, tout ce qui faisait développer en eux le plaisir, l’inconnu, a nourri l’intérieur.

Lorsque tu parles d’Harry Potter, tu parles, mon fils, d’un être imaginaire : Harry Potter n’existe pas, mais ce qui existe autour de cela, c’est le mal.

Satan s’est servi d’un enfant de Dieu pour alimenter les enfants de Dieu de paroles trompeuses, des paroles qui laissent entrer en eux le mal inconnu qui n’est autre que Satan.

Satan ne peut pas lui-même pénétrer l’intérieur, mais il peut susciter le mal afin qu’il puisse gruger l’intérieur des enfants de Dieu.

L’esprit du mal peut pénétrer, mon fils, et combien d’enfants se laissent prendre et combien de parents se sont laissé prendre? De génération en génération, Satan a suscité le mal afin de pouvoir contrôler les enfants; aujourd’hui, dans le monde entier, on ne croit plus en Dieu, mais on croit à ces sortilèges : on croit à ces sortilèges comme étant quelque chose d’imaginaire, alors que cela est vrai.

Satan est le maître des sortilèges : la sorcellerie est dans la vie de mes enfants.

Les enfants sont malades, les enfants sont aux prises avec des cauchemars, les enfants sont aux prises avec des manies si monstrueuses pour eux qu’ils se laissent prisonniers du mal et les parents sont aux prises avec ces sortilèges, ils croient que cela n’est qu’imaginaire, même ils encouragent leurs enfants à vivre dans un monde  de monstres : on donne comme cadeaux aux enfants des monstres, on donne comme cadeaux aux enfants l’image de Satan.

Pourquoi les parents ne voient-ils pas cela? N’est-ce pas parce qu’ils sont ensorcelés? Mes enfants, ils ne veulent pas voir, ils ne veulent pas entendre, c’est parce qu’ils sont enveloppés du mouvement du mal et cela s’est fait à leur insu.

Vous, les enfants de la Lumière, par votre oui, vous les enfants de la Divine Volonté par votre don d’amour, donnez-les-moi et donnez-moi tout ce mal, je vais me servir de vous, mes enfants, pour délivrer ces petits enfants et ces parents.

Ayez la foi en la Divine Volonté et prononcez votre oui et donnez-moi tout, ne suis-je pas Dieu?

 

Q : La même chose pour l’halloween, mon petit a peur d’aller à la toilette tout seul.

 

R : Jésus : L’amour, ma fille, l’amour guérit tout.

 

Q : Pour nous qui sommes ici et qui entendons parler de l’amour de Dieu, de la Divine Volonté, comment donner notre oui, est-ce que les personnes qui ne sont pas ici pourront néanmoins faire l’expérience de la Divine Volonté?

 

R : Jésus : La Divine Volonté est venue à vous, vous ne connaissiez pas la Divine Volonté; un jour, votre cœur a répondu à l’appel de Dieu et la Divine Volonté s’est fait connaître à vous; un jour, tous les enfants devront connaître la Divine Volonté : Dieu va faire en sorte de provoquer des événements pour qu’ils puissent avoir ce besoin en eux de connaître l’Amour.

La Divine Volonté est l’Amour, j’attire à moi ces enfants tout comme je vous ai attirés.

Je connais le temps, je connais leur intérieur : chacun va venir; je vais me servir de vous, mes enfants, pour leur parler de la Divine Volonté.

N’est-ce pas ce qu’elle fait? Cet instrument a été préparée par la Divine Volonté tout comme je vous prépare pour la Divine Volonté afin que vous soyez, vous aussi, instruments d’amour.

Vous êtes à l’école de l’Amour; bientôt, vous serez pour moi des instruments qui enseigneront l’abandon en  la Divine Volonté, et la Divine Volonté fera tout pour les transformer en enfants de la Divine Volonté.

Dieu connaît tous ses enfants, Dieu sait le moment : pas un seul qui porte un oui ne sera pas devant la vérité, la lumière, la connaissance.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci à Dieu pour ces moments que nous venons de vivre, merci à Marie d’être ici avec nous, merci pour toutes les grâces que nous avons reçues; ce soir, beaucoup de grâces sont données, à chaque mot que nous entendons, Dieu guérit.

Il faut réaliser que tout ce que nous venons d’entendre ne vient pas de la volonté humaine, je ne connaissais aucun mot qui devait être dit parce Dieu le veut ainsi; tout est venu de nous parce que c’est en nous que nous avions ces paroles pour nous guérir.

Parce que Dieu nous les a fait entendre à l’extérieur de nous, nous les avons acceptées; parce que nous les avons acceptées, notre chair a connu des grâces ce soir : les grâces ont guéri et des grâces vont encore guérir.

Lorsque nous laissons ces paroles-là en nous, notre âme, elle, en profite, mais parce que nous les avons entendues à l’extérieur, c’est votre chair qui en a profité aussi : voilà pourquoi Jésus dit dans les rencontres : «Mes enfants, demandez.»

Lorsque Jésus parle, nous pouvons, au moment où il y a un court instant de silence, dire : "Jésus, je prends tout, je prends tout, donne-moi toutes les grâces."

Une personne qui assistait, elle a entendu le mot estomac et elle avait mal à l’estomac, alors elle lui a donné son estomac et la douleur est partie, alors il faut le faire.

Ces rencontres, Jésus dit sont ‘guérissantes’; il dit partout où il y a des rencontres, il y a des guérisons qui se font.

Un jour, une personne a demandé des prières pour quelqu’un qui avait une douleur à l’œil; plus tard, elle a remercié Dieu parce que la personne avait été guérie.

Ce qui est le plus important, c’est la guérison de notre âme; après, la guérison de nos pensées, de notre cœur et (la guérison) physique.

Dieu le Père, lui, sait (ce qui est bon pour nous), il va nous en donner des guérisons : il faut y croire et il faut lui en demander.

Voilà, merci; merci, Seigneur.