Rencontre d'amour avec l'agir de Dieu à Salem, New Hampshire,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2006-06-11

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, le Seigneur dit : «Je veux que tu te présentes.»

Je m’appelle Francine Bériault, elle s’appelle Nicole Sicotte.

Maintenant, Jésus dit : «Laisse-moi leur parler.»

Quand je ferme mes yeux, je suis avec Jésus.

 

Jésus : Enfants d’amour, la Volonté de mon Père est d’accueillir les êtres que vous êtes, en vous; chacun de vous (vous) êtes habité de moi; lorsque vous acceptez de vous laisser prendre par le mouvement de Dieu, vous acceptez les grâces.

Enfants d’amour, acceptez-vous de votre Dieu : acceptez-vous d’être avec moi, avec tous vos frères et vos sœurs du monde entier?

Je viens parler en vos cœurs comme je viens parler en le cœur même de l’Église; je suis l’Église, vous êtes l’Église; tout en moi est lumière, à moi de vous montrer ce que vous, vous ne pouvez voir, à moi de vous amener là où vous, vous n’êtes pas capables d’aller.

Vous aurez beau, mes enfants, chercher à pénétrer votre vie sans les grâces de Dieu, vous ne pouvez pas, il n’y a que moi qui puisse vous amener là où vous devez être par amour pour mon Père; votre vie est de Dieu, elle est en vous par la Volonté de mon Père, car tout vient de lui; vous venez de lui, mes enfants.

Moi, son Fils bien-aimé, j’ai pris tout de vous pour vous faire entendre ces paroles d’amour : rien ne m’est impossible; si, aujourd’hui, je viens parler en vos cœurs, (c’est) parce que ce temps est voulu de mon Père; ce temps est important pour vous, ce temps est rempli de lumière; je viens éclairer vos vies, mes enfants.

Vous êtes à moi comme moi je me suis donné à vous; il y a un moment dans votre vie qui (est) pour vous un mouvement éternel : (celui) de venir à moi.

Venez à moi, là est la Vie; venez à moi, là est l’endroit où vous devez apprendre à vivre.

Je vous demande de quitter ce monde, je vous demande de vivre en mon monde d’amour; lorsque vous regardez ce monde à l’extérieur, mes enfants, vous regardez un monde construit de ses propres moyens; ce monde d’aujourd’hui, mes enfants, s’est construit parce qu’il a voulu se créer un monde.

Mon Père vous a donné un monde d’amour, mon Père vous a créés pour un monde d’amour, et le Fils vous a été donné pour que vous puissiez vivre dans ce monde d’amour; sans moi vous ne pouvez connaître ce monde.

Aujourd’hui, ce monde, mes enfants, ne (veut) plus de Dieu, ne (veut) plus de Jésus; ce monde connaît qu’il y a eu Jésus, mais ce monde ne veut plus entendre parler de Jésus; vous, mes enfants, qui voulez entendre parler votre Jésus d’amour, vous qui acceptez d’être entre mes mains des instruments d’amour, je vous utilise puisque vous êtes membres en mon Église.

Chacun de vous, (vous) avez été appelé par la Mère de Jésus et chacun de vous, (vous) êtes en présence même de la Vie, de votre oui à Jésus; je vais prendre ce que vous êtes afin d’instruire mes enfants.

Chacun de vous, (vous) portez des souffrances, chacun de vous, (vous) avez vécu dans votre volonté humaine et vivez dans votre volonté humaine.

Je prépare ce monde à quitter la volonté humaine pour entrer dans la Volonté de mon Père; entrer dans la Volonté de mon Père, c’est découvrir l’Amour inconditionnel.

La Volonté de mon Père est de vous rendre heureux sur la terre comme au Ciel; tant que vous ne ferez pas la Volonté de mon Père, tant que vous n’abandonnerez pas votre volonté humaine pour mourir en moi, le Christ, vous ne pourrez vivre sur la terre heureux.

Tout ce que vous avez connu, mes enfants, n’a pas apporté le bonheur en ce monde; si vous connaissez un bonheur, cela ne dure qu’un instant, car ce bonheur n’est dirigé que vers vous-mêmes et comme vous n’êtes pas dans une chair d’amour, cela ne demeure pas; je veux purifier votre chair, je veux éradiquer tout ce qui vous a fait souffrir, je veux enlever le mal de vous, en votre chair.

Votre âme, mes amours, a été purifiée par les sacrements, mais combien de fois vous avez retourné vers le péché! C’est parce que votre chair connaît la conséquence du péché, votre chair se souvient de la souffrance due au péché et en subit les conséquences; c’est ce que je veux arracher de vous : la conséquence du péché qui a fait de vous des êtres faibles devant le péché.

Pourquoi, mes enfants, ce monde, qui est devant le mal, fait-il le mal, alors qu’il sait que cela ne lui apportera pas le bonheur? C’est parce qu’il veut arrêter de souffrir; alors, comme il souffre, il veut se donner une consolation, et comme cette consolation est venue à lui par ses mauvais choix, il augmente sa douleur, et lorsqu’il augmente sa douleur, il augmente la douleur de tous ses frères et ses sœurs du monde entier.

Vous n’êtes qu’une famille : vous êtes la famille de Dieu; qu’un seul fasse souffrir son intérieur, tous les autres s’en ressentent; je viens apporter à ce monde le remède à sa souffrance, voilà pourquoi je veux vous utiliser, mes enfants, comme j’utilise certains enfants.

Un mouvement de libération est commencé : je parle dans les cœurs, je réunis les cœurs, afin que les cœurs ne fassent qu’un seul cœur; je viens démontrer aux corps blessés qu’ils sont à Dieu et non aux êtres humains.

Vous aurez beau faire ce que vous voulez de votre corps, il n’en reste pas moins que ce corps, c’est Dieu qui l’a choisi; il l’a choisi pour votre âme; votre chair, mes enfants, appartient à Dieu, elle est là devant vous pour votre âme.

Je veux vous apprendre à accueillir ces paroles comme étant un remède pour votre chair; ces paroles vont guérir des blessures que vous, vous vous êtes faites.

Un jour, mes enfants, un tout petit enfant est parti à la recherche de ce qui pourrait lui enlever la souffrance; il était là sur la route à flâner, il avait la tête penchée et il regardait par terre.

Il avançait en traînant les pieds; il ne savait pas par où commencer, il ne savait pas où aller, tout était un vide devant lui; alors, il a avancé et il a avancé; soudain, il s’arrê(ta) parce qu’il y avait devant lui une roche; elle était très grosse cette roche, alors il contourna cette roche et il continua.

Il s’arrêta parce qu’il y avait devant lui de l’eau; il regardait à gauche, il regardait à droite, et il cherchait le moyen de traverser cette eau; il vit un billot de bois, il le prit et il le laissa tomber de l’autre côté de cette eau; alors il en fit un pont, il le traversa; et il continua, il avança et avança; soudain, il s’arrêta, car il vit qu’il y avait du feu : “Qu’est-ce que je vais faire devant ce feu,” se dit-il? Alors, il leva les yeux vers le ciel et il ne vit aucun nuage; il regarda à ses pieds et il s’aperçut qu’il y avait du sable; de ses mains il prit le sable et il lança sur le feu le sable; au bout d’un certain temps, le sable couvrit le feu.

Il traversa de l’autre côté afin de continuer sa route; il avança et il avança; soudain, il s’est aperçu que ses souliers étaient bien usés; il enleva ses souliers et il continua sa route; il avança et avança, ses pieds lui faisaient tellement mal; il regrettait bien d’avoir jeté ses souliers, car il s’est dit : “Il y avait peut-être de l’usure, mais ils auraient pu me servir encore”; alors, il avança et il avança.

Il n’avait toujours rien trouvé, il était si fatigué, il avait les épaules tout(es) courbées; il avait faim, il avait soif; plus il avançait et plus il sentait cette souffrance en tout son être, il se coucha par terre, il se dit : “A quoi sert de continuer? Je n’en peux plus, j’ai cherché quelque chose qui enlèverait ma souffrance et tout ce que j’ai réussi à faire, c’est d’augmenter ma souffrance”; alors, il se replia sur lui-même comme lorsqu’on est un tout petit bébé dans le ventre de la maman : il resta ainsi.

Alors, il ne voulut plus penser, il ne voulut plus agir, il voulait disparaître; et soudain, il entendit une voix et cette voix lui dit : «Je suis là, j’ai vu tout ce que tu as fait dans ta vie, j’ai entendu tes paroles, j’ai pris soin de toi afin que tu puisses arriver là où tu es aujourd’hui; tu as voulu vivre ta vie, tu as voulu avancer comme bon te semble, ne sachant pas que moi je prenais soin de toi, que je te prenais tel que tu étais.

Regarde aujourd’hui, je suis en toi et je te montre que je suis là, que je suis la Vie; tu n’es pas mort, tu es souffrant, ta chair est meurtrie à cause de tout ce que tu as accepté dans ta vie, à cause de tout ce que tu as entendu, vu et fait, tout cela (a) fait un être souffrant dans ta vie; j’ai nourri ton être par mes grâces.

Combien de tes amis ont été à la messe alors que toi tu ne venais pas? Et je leur ai donné des grâces et je t’en donnais parce que, eux, me le demandaient; je mettais tellement d’amour en eux pour toi.

Lorsqu’ils allaient vers les sacrements, ils recevaient de la nourriture d’amour et j’étais là en eux en pensant (à) toi; lorsque je les nourrissais, je te nourrissais; même si tu ne venais pas vers les sacrements, j’étais là dans ta vie, je prenais soin de toi, parce que je connaissais le moment où toi tu t’arrêterais.

Je veux t’apprendre à découvrir l’enfant que tu es : tu es vrai, tu es un être d’amour, mais ta souffrance, ta souffrance est devenue si importante dans ta vie; toutes tes pensées, tout ce que tu fais, tout ce que tu entends te portent à aller vers tes souffrances.

Regarde lorsque tu as rencontré le caillou, tu n’as pas su passer par-dessus, tu as trouvé qu’il était si gros que tu l’as contourné, alors que ce caillou, c’était de la peine en toi; tu avais de la peine parce que tu voulais être aimé et tu recherchais quelqu’un qui te consolerait; tu n’as pas appris à me donner ta peine; je t’aurais donné des grâces, j’aurais pris en moi ton joug, je t’aurais donné ma Vie.

Et lorsque tu t’es arrêté devant cette eau, souviens-toi que tu étais là à regarder de gauche à droite pour traverser, et tu as vu un billot; ne sais-tu pas que c’est moi qui l’ai mis là afin que tu puisses continuer? Je te montrais qu’il fallait que tu avances, mais tu ne t’es pas aperçu que j’étais là; tu as traversé sans un regard vers moi, car tu pensais trop à tes souffrances, tu ne pensais pas à moi qui m’étais laissé crucifier sur le bois : j’avais tout pris en moi pour toi.

Pas un seul instant, tu t’es arrêté pour me dire : “Oh ! Dieu d’amour, tu as pris mes souffrances, je te les donne, tu m’as sauvé de la mort éternelle, je t’aime pour ce geste d’amour”; mais tu as continué ton chemin parce que malgré que tu ne me disais pas ça, je t’aimais et je prenais soin de toi.

Lorsque tu t’es arrêté devant ce feu, tu as jeté un regard vers le ciel, tu cherchais des nuages alors que moi je voulais te montrer que mon regard était sur toi; si tu (avais) arrêté et prié ton Dieu d’amour, ce feu t’aurait apparu comme étant la lumière, la lumière de Dieu, celle qui montre que tu es enfant de Dieu; je t’aurais laissé nourrir de ma Vie.

Ma Vie est lumière, ma Vie est purifiante, elle enlève tout ce qui te fait souffrir : elle te console; tout ce que tu as pensé, c’est d’éteindre ce feu; tu t’es penché et tu as essayé d’éteindre cette flamme, tu l’as étouffée et tu es passé dessus sans regard vers moi, moi qui me donne à toi sur tous les autels du monde; je te donne mon Corps, je te donne mon Sang afin que tu sois vie, afin que tu sois lumière pour tes frères et tes sœurs du monde, mais tu étais si fatigué à cause de ta souffrance que tu as voulu laisser derrière toi ta vie.

Tu as enlevé tes souliers parce qu’ils étaient usés; c’est ce que tu es en toi : tu es si usé à cause de tes souffrances; toutes tes pensées, tout ce que tu as accepté d’entendre, tout ce que tu as fait dans ta vie, tout ce que tu as ressenti a usé ta vie; aujourd’hui, tu es incapable de bouger, tu es comme paralysé, tu voudrais qu’on enlève de toi cette souffrance, tu ne veux plus regarder ce monde, car tout ce qu’il peut t’apporter c’est la souffrance et tu en as assez.

Moi, aujourd’hui, je te parle par amour, je te dis que tout ce qui t’a fait souffrir, c’est moi qui vais te l’enlever : je vais enlever de toi toutes pensées impures; lorsque je parle de pensées impures, je te parle de tout ce qui a causé des souffrances en toi par le péché, et ces péchés que tu te souviens, je les veux, je les veux parce que cela ne t’appartient pas.

Ne sais-tu pas que c’est contre toi lorsque tu penses en mal de toi-même? Ne sais-tu pas que les péchés sont contre toi lorsque tu dis du mal de ton prochain, même en pensée? Et je connais tes pensées qui sont contre moi lorsque tu m’accuses que je suis là à ne rien faire devant la souffrance de ce monde.

Je suis Dieu, je suis le Créateur, je suis le Tout-Puissant, je suis l’Éternel, je ne suis que bonté, que douceur.

Le péché a fait de toi un être qui pense contre l’Amour; tout ce que tu as entendu est ainsi, tout ce que tu as fait est ainsi, je connais tout cela; ta chair, ta chair je la veux toute pure comme ton âme.

Ton âme reçoit tant de grâces par les sacrements; lorsque tu pries, lorsque tu consens, ton âme reçoit, mais quand as-tu vraiment prié, quand as-tu vraiment désiré que ton Dieu vienne dans ta vie? Aujourd’hui, tu t’es arrêté et là tu as entendu parce que d’autres écoutent ma voix, d’autres s’arrêtent pour prier, d’autres pensent à toi; alors, pense à toi, pense que Dieu t’aime, apprends à t’aimer, apprends à t’accepter comme étant enfant de Dieu avec tes souffrances.

Lorsque tu apprends à t’accepter avec tes souffrances, cela t’apparaît comme étant voulu de Dieu afin que tu puisses les lui donner; tu apprends à ne plus avoir peur de la souffrance, tu apprends à donner à Dieu ta souffrance parce qu’il y a de la confiance qui se réveille, tu apprends que Dieu connaît ta vie mieux que tu ne la connais.

Tu vois, Dieu t’aime et tes parents t’aiment, puisque je me suis servi de tes parents pour te donner la vie; j’ai déposé en eux la grâce de s’unir pour que tu sois là : je n’ai pas fait d’erreur.

Tout est mouvement d’amour en Dieu; ne crois pas qu’un seul enfant vient en ce monde sans que Dieu ne le veuille, car Dieu connaît la souffrance de la chair; Dieu sait combien d’enfants font ce mouvement d’amour, ils ne reconnaissent pas le mouvement de Dieu.

La chair est trop souffrante aujourd’hui pour comprendre que Dieu a choisi ses élus pour vivre dans un monde d’amour, pour vivre dans un monde où la souffrance ne sera plus.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu nous apporte de l’espérance dans notre vie; il veut nous amener à la vie éternelle dans une chair immortelle, il veut nous faire connaître des mouvements que nous, nous ne pensions pas qu’ils existaient.

Ce temps a été choisi depuis tout temps; Dieu savait que nous étions pour vivre ce mouvement d’amour et Dieu connaissait tous ceux qui étaient pour vivre ce mouvement d’amour.

Dieu nous appelle à croire en sa Parole, Dieu nous appelle à vivre en êtres parfaits d’amour en l’Église; nous sommes l’Église, nous sommes vivants en le Corps de Jésus; Jésus est vivant, Jésus est l’Éternel et nous serons en Jésus vivant dans une chair vivante.

Lorsque Dieu le Père, lorsque le Créateur a créé, il a créé avec une chair parfaite; si, aujourd’hui, notre chair est imparfaite, c’est la conséquence du péché; si le péché est venu dans notre vie, cela est venu à cause de la volonté humaine, non à cause de la Volonté de Dieu.

Dieu veut nous amener à découvrir combien il est amoureux de sa création; si, aujourd’hui, nous entendons ces paroles, c’est parce que c’est Dieu lui-même qui a choisi chacun d’entre nous dans ce mouvement éternel.

Nous vivons dans l’éternité et ce mouvement est dans l’éternité, nous n’avons pas, nous, à choisir ce temps, cela appartient au Créateur; c’est lui le Créateur, c’est lui le Mouvement de la vie éternelle, c’est lui qui a créé des êtres d’amour afin que nous puissions être éternellement mouvement dans son mouvement, c’est lui qui a créé tout être d’amour, car nous sommes mouvement d’amour, et comme tout mouvement appartient à Dieu, nous sommes en ce mouvement d’amour.

Jésus est le Verbe, il accomplit la Volonté de son Père et la Volonté de son Père est de nous rendre à l’image de l’Amour, du mouvement d’amour.

Nous avons tous été créés par Dieu, nous sommes mouvements, mais nos mouvements sont imparfaits; à Dieu de rendre parfait ce que nous avons accepté d’être : mouvements imparfaits.

Nous appartenons au Corps de Jésus, nous sommes vivants dans le Corps de Jésus, alors nous sommes mouvement puisque nous vivons.

Jésus va redonner aux mouvements imparfaits sa perfection.

Maintenant, il dit : «Vous avez besoin d’un repos.»