Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sauvebonne, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

2009-03-18 – Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous allons faire, nous allons commencer tout de suite questions et réponses. Après, tout de suite, il y aura une bénédiction sur le front. Est-ce qu’il y en a qui veulent commencer tout de suite à poser une question s.v.p.? Oui?

 

Q. Je m’appelle Paule et je voudrais.... (inaudible).

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À ce que moi je transmets, ou en général? Avec tous les mystiques? Ça rapport à toutes les révélations qui se font partout dans le monde?

 

Q. Éventuellement, dans le monde, effectivement, ce mouvement va-t'on dire, ces révélations, et par rapport à vous aussi, donc c’est une double question.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, regardez ce que vous êtes : qu’est-ce que vous ressentez? Comment vivez-vous cela dans l’Église? Nous recevons ce que nous donnons. Si nous faisons confiance en l’Église absolue, si nous nous donnons, nous prions, l’Église verra, verra que cela porte des fruits.

L’Église est prudente. L’Église se doit d'être prudente, elle regarde les fruits. Si l’Église voit qu’il y a du désordre, si l’Église voit qu’il y a beaucoup de contradictions dans l’Évangile face à ce qu’ils entendent, l’Église prendra position, car c’est son devoir. Elle a devoir de nous protéger. Que ce soit moi, ou un autre ou un autre, l’Église doit regarder si cela n’est pas contre l’Église, si cela est en rapport avec l’Évangile. L’Église regarde et elle s’accomplit lorsqu’elle est dans sa paix, dans sa joie et dans son amour. Lorsqu’une Église est dans la peur, alors prions. Lorsque l’Église ne veut pas s’impliquer, eh bien, prions.

En ceci, je ne peux pas répondre pour les autres mystiques, parce que lorsque j’ai débuté, je ne savais même pas ce que c’était qu’une mystique. Alors, les livres, toutes ces choses-là, ce n’est pas quelque chose que je connaissais. Et d’ailleurs, le Seigneur m’avait préparée à l’avance, parce qu’avant même que j’entende, ça faisait probablement, pratiquement deux ans que je n’écoutais plus la télévision, pas la radio; je faisais mon petit train train, c’est tout. Et là, le goût de prier beaucoup, de prier beaucoup a augmenté en moi dans ces temps. Alors je priais et je priais.

À un moment donné, eh bien, là, vient la voix à l’intérieur de moi. J’en ai parlé tout de suite, bien, tout de suite, je ne savais pas à qui vraiment en parler parce que je ne fréquentais pas les groupes de prières, mais lorsqu’on va à la messe à tous les jours, là il y a eu des personnes qui m’ont comme approchée pour un groupe de prières. Et eux m’ont dit : "Il faut que t’ailles voir un père spirituel".  "C’est quoi ça, un père spirituel? Qu’est-ce qu’on va dire à un père spirituel? Moi, je suis habituée d’aller à la confesse. Faut-il que je dise seulement mes péchés?" Je ne le savais pas. Alors, à un moment donné, il y a eu des prêtres et j’ai été, puis je leur ai dit comme ça : "J’ai des odeurs de roses, je vois des choses que je n’arrive à m’expliquer". Et j’avais des attaques, à l’extérieur, du démon, alors tout ça faisait qu'ils disaient : "Ça vous prend un père spirituel" – "Mais oui, mais...".  Ils disaient : "Il faut que vous en trouviez un". Ils ne s’offraient pas,

jusqu’au moment où j’ai été vers Clément Provencher, un prêtre des Saints Apôtres. Alors là, il m’a dit : "Je pourrais être votre père spirituel", mais il a dit : "Si dans votre cœur vous sentez que cela ce n’est pas ce que vous attendez, eh bien, il faut écouter votre intérieur". Déjà, tout le temps il s’occupait de mon intérieur, déjà là, dès le début. Alors, il a été avec moi; il est encore avec moi, ce qui m’a amenée aussi à apporter ces livres à mon évêque. Mon évêque était au courant de ce que je faisais, alors il a dit : "Je vais prier pour ça".

Pendant trois ans il regardait les fruits : trois ans. Entretemps, l’année passée, j’ai été bénie par Monseigneur Ouellet, le Cardinal Ouellet, le primat de l’Église du Canada, et après, en 2008, décembre, Dieu lui-même a dit : «Je veux que tu ailles revoir ton évêque». Et, en ce moment, mon évêque est en train de lire ces treize petits cahiers, mais je sais qu'il ne peut pas faire ça, écoutez, ils sont évêques, là, ils sont bien occupés; alors il est aidé, il est aidé: son vicaire Monseigneur Martin, il se trouve à avoir Monseigneur Dicaire, il se trouve à avoir d’autres personnes qui vont tourner autour de ça.

Il a dit : "Pour ces cahiers, il a dit : nous n’avons rien à redire, tout est conforme à l’Église". Mais il n’a pas dit : "Faites cela, vous êtes une mystique, c’est beau". L’Église ne peut pas faire ça, on serait beaucoup trop orgueilleux. Dieu sait qui il choisit. Ils nous maintiennent dans l’humilité, parce que mon évêque a dit : "Faut faire attention que cela ne soit pas une secte. C’est très important." Et il a dit : "Vous n’êtes pas plus importante que les autres", et il a dit : "Tout doit être autour de l’Évangile". Eh bien, c’est bien ce que nous devons être. Tout doit tourner autour de la Parole. Il y a eu une Parole et c’est Jésus, il me l’a redit. Alors, il m’a dit : "Si des évêques veulent, si vous n’avez pas une interdiction par l’évêque, vous pouvez aller". Il n’a pas dit d’aller voir les évêques, il a dit : "S’il n’y a pas d’interdictions, allez".

Alors, juste avant de m’en venir au Canada, pardon, en France, excusez-moi," j’ai dit : "Jésus, comme j’aimerais ça avoir une bénédiction d'un Monseigneur"....Alors là, en temps normal, je vais chez les Frères de l’Institution Chrétienne le matin et cette journée-là j’ai dit : "Tiens, je vais aller à onze heures à la paroisse de la Nativité, ma paroisse, mais qui est aussi les Frères des Écoles Chrétiennes, ma paroisse. Alors là, j’ai été et lorsque je suis entrée, je vois : ah! j’ai dit : "Je me rappelle, oh, c’est Monseigneur Martin, Monseigneur Martin, le bras droit de mon évêque". À la fin, j’ai été le voir et il m’a reconnue et je l’ai reconnu et je lui ai dit que je partais pour un mois : l’Angleterre, l'Irlande et la France. Il a dit : "Je vais en informer Monseigneur Jacques Berthelet".  Alors là, je lui ai demandé : "Pouvez-vous me bénir?" Et j’ai reçu une bénédiction. Cette bénédiction bénissait ce que je devais dire.

Voyez-vous, le Ciel est là! L’Église aussi est là, elle écoute, puisque Monseigneur Martin est venu. Alors, nous devons vivre ainsi, nous devons faire confiance en l’Église, mais nous devons prier, prier, parce que l’Église est souffrante, et vous le savez très bien que l’Église est souffrante, mais nous avons ce que nous méritons. Lorsque les prêtres souffrent, mais c’est peut-être parce que nous, nous ne prions pas assez. Alors, entrons dans le Cœur de Marie et prions pour nos prêtres, prions pour les futurs prêtres, tous les consacrés et l’Église, chacun de nous. Amen.

 

Q. Je m’appelle Gisèle. Je voulais vous poser une question par rapport à ce qui va se passer, ce que vous annoncez, bien dans nos cœurs, et par rapport à Jésus. Et la question, c’est que depuis quelques années il y a énormément d’enfants, de jeunes adultes qui décèdent par maladie et ou par accident. Est-ce que ces enfants ont une mission ou une mission qui va venir ou va revenir, je ne sais pas, je me pose cette question, voilà?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Un enfant qui quitte la terre passe par son jugement. S’il va au purgatoire, il doit se laisser purifier et s’il va directement au Ciel, c’est la Volonté de Dieu qu’il vienne nous aider. Et Jésus dit : «Mes enfants, le Ciel est en vous. Là où je suis il y a l’Église militante, qui est nous, purifiante : les âmes du purgatoire, et triomphante : les âmes dans le Royaume de Dieu. Alors, ayons confiance qu’ils sont avec nous. Si certains reçoivent des messages du Ciel, c’est la Volonté de Dieu. Alors, vivons notre Évangile tout le temps.

Alors, nous allons prendre une toute petite minute pour demander à chacun d’entre nous : lorsque nous sommes venus en ce monde, nous sommes venus pour Dieu le Père et non pas pour notre volonté humaine. Combien d’entre nous ne voulons pas quitter notre volonté humaine? Nous nous attachons à cette terre, si bien que nous jugeons Dieu.  Pourquoi tu laisses partir un de mes enfants, il est malade, il meurt? Pourquoi mon mari est parti?"  Nous accusons Dieu, alors que nous sommes faits pour aller vers Dieu. Tout cela, c’est à cause de la volonté humaine qui écoute le mal.

Souvenez-vous que lorsque Moïse est allé délivrer le peuple de Dieu, il l’a arraché du Pharaon, et qui a fait que le Pharaon ne voulait pas laisser partir le peuple? Sa volonté humaine qui écoutait le mal. Eh bien, nous, nous sommes aux prises avec la volonté humaine. Dieu démontra à son peuple qu’un jour il serait totalement libéré et délivré de la volonté humaine. Il fallait qu’il y ait un commencement. Lorsque l’agneau a été pris par le peuple hébreu et les agneaux, et avec le sang ils ont marqué le tour de leurs portes, bien cela signifiait : «Laissez-moi marquer votre chair, afin que votre chair reconnaisse qu’elle appartient à Dieu et non pas à votre volonté humaine». Dans l’Apocalypse il est écrit : «Vous recevrez une marque sur le front.» Jésus est le seul qui nous a sortis de la volonté humaine. C’est Adam qui nous a fait entrer dans la volonté humaine et Jésus nous en fait sortir par la Croix.

Alors, si chacun veut recevoir une marque sur le front faite par les prêtres, par Jésus, qu’il avance et vous recevrez cette bénédiction et non pas une onction.