Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Shawinigan, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

 2004-09-02 P.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus veut parler à chacun de nous en nos cœurs; nos cœurs lui appartiennent; ils ne nous appartiennent pas ces cœurs, ils nous ont été donnés par le Créateur; nous devons ouvrir ce qui lui appartient : notre cœur.

Il est à lui, donnons-lui la première place; ce que nous devons faire d’ailleurs, quotidiennement, depuis notre venue sur la terre.

À l’intérieur de moi, il y a une voix : cette voix, c’est celle de Dieu;

à l’intérieur de vous, il y a une voix : c’est celle de Dieu.

Le Saint-Esprit couvre chacun de nous afin que nous puissions entendre ce qu’il a à nous dire : certains entendent d’une façon différente d’un autre.

Moi, depuis ma naissance, j’entendais Dieu selon ce qu’il me faisait voir : par une personne, par un livre qui se retrouvait entre mes mains, par des professeurs autour de moi qui me rappelaient son amour, par mes parents, par mes sœurs et mes frères à la maison, nous étions treize à la maison;

chaque instant de ma vie, Dieu me parlait; je n'en ai pas pris conscience, mais je savais qu’il était là parce que j’aimais Jésus.

Chacun de nous sommes ainsi, nous apprenons à aimer Jésus, mais nous n’avons pas appris que Jésus nous parle, nous n’avons pas appris à regarder et à entendre.

Pourquoi? Parce que nos regards se sont tournés vers ce monde, c’est ce monde que nous voyons, que nous entendons, avant Dieu;

mais Dieu est patient, Dieu n’est qu’amour, il nous rappelle sa Présence constamment.

Les premiers prophètes, et cela date de l’Ancien Testament, nous ont parlé.

Je dis "nous" parce que nous sommes tous unis les uns les autres en l’Église.

L’Église, c’est Jésus, et Jésus a porté tous les enfants du monde, du premier jusqu’au dernier qui sera créé; ils sont en Jésus : alors, nous étions en Jésus.

Les prophètes ont parlé de la Parole de Dieu, de la Présence de Dieu le Père.

(À travers eux), il leur a dit comment se conduire, mais à cause de la volonté humaine, les hommes n’ont pas compris, ils ont fait des erreurs;

ils ont continué à faire des erreurs, et encore, et encore; et c’est pour ça qu’il y a toujours eu des prophètes.

Aujourd’hui, on les appelle les messagers; mais il n’en reste pas moins que nous sommes des prophètes.

Nous répétons ce que Dieu veut que chacun de nous entende; même les prophètes doivent entendre la même chose que vous autres.

Nous devons accepter de voir et entendre la Parole de Dieu qui nous est dévoilée par la puissance du Saint-Esprit.

Si j’entends la voix de Jésus en moi, si j’entends d’autres voix, c’est parce que c’est la puissance du Saint-Esprit qui agit.

Le Saint-Esprit agit, il est de tout temps.

Il n’y a que Dieu le Père qui décide, il est la Volonté : le Fils est le Verbe, il obéit au Père.

Voici des temps d’amour pour nous, des temps où nous entendons directement à l’intérieur de nous la Parole : la Parole de Jésus,

comme les apôtres l’ont entendue, mais eux ont vu : ils étaient en présence de Jésus.

Mais Jésus est monté vers Dieu le Père, il a dit : «Je vous enverrai mon Paraclet, et je serai avec vous à tous les jours»;

mais, c’est ce qu’il fait, Jésus est avec nous à tous les jours;

à chaque instant il ne nous quitte pas, et le Saint-Esprit nous fait sentir sa Présence.

Lorsque nous allons communier, nous recevons Jésus, nous recevons son Corps, nous recevons son Sang,

et pour ceux qui s’abandonnent, qui ont une soif d’amour, pour ceux qui se tiennent humbles, petits, pour ceux qui ne demandent rien pour eux-mêmes mais que pour les autres : Dieu se révèle; Dieu se révèle différemment que lorsqu’ils étaient tout petits.

Oui, lorsqu’on apprend à se déplacer, lorsqu’on apprend à dire constamment "oui, Jésus", lorsqu'on a la possibilité de parler : eh bien, Jésus se sert de nous.

Il se sert des personnes comme moi, il se sert des personnes comme Vassula, comme Debora, comme Delmis, comme Carmen, plusieurs autres que vous connaissez et, beaucoup d'entre vous, vous connaissez des personnes de d’autres pays : parlent au nom de Jésus, parlent au nom de l’Église.

Lorsque l’on parle au nom de Jésus : on parle au nom de l’Église,

on parle au nom de tous nos frères et sœurs du monde entier.

Qu’ils soient de toute race, de toute religion, qu’ils soient athées, les prophètes parlent en leurs noms;

parce que ce qu’ils ont à dire ne vient que de Dieu et pas d’eux-mêmes.

Nous, nous sommes comme chacun de vous : on est des humains; nous n’avons rien à dire d’intéressant à des humains

parce qu’on n'est pas intéressant, c’est Dieu : c'est Dieu qui porte la grâce.

Les Paroles de Dieu nous sont données pour nous guérir.

Il n’y a que la grâce qui guérit; alors ce sont ses mots qu’on veut entendre : ceux qui apportent la paix, les mots qui donnent de la joie, les mots qui nous réconfortent,

en ce temps où nous voyons nos enfants qui n’ont pas la foi, en ce temps où nous voyons des guerres, en ce temps où nous voyons la température qui fait des morts, en ce temps où le cœur de l’homme n’est que pierre : il ne pense pas au prochain, il ne pense même pas à lui-même : il est manipulé par Satan.

La grâce est pour chacun de nous.

La grâce est une nourriture spirituelle : c’est le pain quotidien.

Dieu le Père n’est qu’amour, il nous nourrit quotidiennement de ses grâces.

Depuis notre naissance, Dieu le Père nous nourrit.

Depuis notre naissance, Dieu le Père nous donne tout ce qui nous est nécessaire

afin qu’on puisse s’aimer et aimer notre prochain,

afin qu’on puisse être protégés contre le mal : le mal en nous et contre le Maître du mal : Satan.

Nous avons reçu de Dieu le Père des grâces et nous en recevrons encore et encore, tant que nous ne serons pas tous purs comme lui le veut.

Et après, est-ce que nous allons encore recevoir des grâces? Oui, parce que nous allons vivre en le Christ continuellement :

         nous allons nous nourrir de la joie;

         nous allons nous nourrir de la grâce de la pureté : nous allons être immortels.

Le bonheur est pour chacun de nous.

La vie éternelle ne peut nous être donnée que si nous sommes purs, alors nous allons vivre dans la pureté éternellement.

Les joies seront si abondantes que nous ne pouvons pas nous l’imaginer.

Dieu nous fait entendre ces mots afin que nous puissions comprendre qu’il vient nous parler de l’amour.

Dieu m’a choisie pour parler de l’amour : du oui à l’Amour, le oui à Jésus, le oui au Père.

Voilà ce qu’il veut que je sois : un rien entre ses mains.

Il veut lui-même parler de l’amour parce que c’est lui l’Amour : il est Auteur, il est Amour.

Dieu veut que je ferme les yeux et lorsque je ferme les yeux, il prend toute la place parce que c’est lui qui veut vous parler, directement, à l’intérieur de vous afin d’accomplir la Volonté de son Père.

 

Jésus : Je suis la Puissance; la Puissance est à l’intérieur de vous.

Enfants d’amour, vous êtes en moi, en l’Église; vous faites partie de mon Église.

Je viens apporter à chacun de vous des grâces nécessaires à l’accomplissement de l’œuvre de mon Père qui est de rassembler tous les enfants du monde afin de former une seule et même Église : une Église remplie d’amour.

En ce moment même, mes enfants, d’autres enfants sur la terre entrent en eux afin d’accomplir la Volonté de mon Père, afin de faire vivre l’Église.

Lorsqu’une messe, mes enfants, est dite, lorsqu’une messe est célébrée par un prêtre : il y a des grâces qui se donnent pour tous les enfants du monde entier.

Je suis la Parole et la Parole veut vous instruire : la Parole est Dieu.

Il n’y pas d’enfants sur la terre qui peut vous donner ce que Dieu veut vous donner.

Ouvrez bien votre intérieur à l’appel de votre Dieu afin d’accueillir ce qu’il veut vous donner.

Ouvrez bien votre intérieur afin de venir puiser en vous les grâces nécessaires pour vous et pour ceux que vous aimez.

Ouvrez bien votre intérieur car moi, le Fils de Dieu, je veux vous donner des grâces nourrissantes pour vous et pour les enfants que vous portez.

Chaque enfant est membre de mon Église :

         lorsque je parle à un seul d’entre vous, je parle à tous mes enfants;

         lorsque vous vous donnez, vous vous donnez pour les autres aussi.

Dieu est la Puissance, je ne puis limiter mes grâces à vous seuls : mes grâces sont pour tous les enfants.

Je suis le Dieu de l’amour : lorsque j’ai nourri les enfants sur la montagne, alors qu’il n’y avait que cinq pains et deux poissons,

j’ai multiplié en abondance cette nourriture afin que chacun reçoive;

c’est ce que je fais à l’intérieur de vous : je vous nourris de mes grâces afin de combler l’Église entière.

Voici que je vous annonce des jours de paix : de paix en vous, mes enfants.

À l’intérieur de mon Église, je déverse des grâces de paix; à l’intérieur de vous, il y a l’amour.

Je veux que vous en preniez conscience afin que vous puissiez vivre avec ce monde extérieur qui connaît des souffrances, des peurs, qui renie Dieu.

Celui qui renie son Dieu se renie lui-même :

il ne se reconnaît pas comme étant enfant de Dieu.

il ne se reconnaît pas comme étant vivant,

car j’ai dit : «Celui qui meurt en moi a la vie éternelle» : ce monde ne se reconnaît pas vivant, il meurt à chaque instant.

Il ne se rend pas digne de mon Église; il se tient à l’extérieur afin de ne pas connaître la vérité. 

Enfants d’amour, la vérité est en vous.

Seul l’Esprit de Dieu peut vous faire voir la vérité.

Seul l’Esprit de Dieu peut vous faire entendre la vérité.

Mon Père vous a donné ses commandements : ses commandements sont amour.

Ils sont pour vous afin que vous puissiez vous conduire comme étant de bons enfants avec vos frères et vos sœurs pour la plus grande gloire de Dieu.

Les commandements de Dieu sont des bienfaits pour votre âme, pour votre corps, pour votre esprit, pour votre cœur.

Un cœur doit apprendre à se pencher sur son prochain.

Combien d’enfants en ce monde ne se penchent pas sur la douleur du prochain?

Ils ne pensent qu’à eux-mêmes, ils ne pensent qu’à assouvir leur pouvoir sur les autres, ils ne pensent qu’à se défendre contre ceux qui leur veulent du mal, alors qu’ils devraient les aimer, alors qu’ils devraient les donner à Dieu afin de les protéger contre eux-mêmes.

Combien d’entre vous, mes enfants, connaissez le premier commandement : «Tu aimeras ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de tout ton cœur»?

«Tu aimeras ton prochain comme toi-même», ce commandement est de Dieu : celui qui y fait suite est pour votre prochain et pour vous-mêmes.

Enfants d’amour, écoutez la voix de votre intérieur qui crie vers Dieu : il crie ce besoin d’aimer.

Mais, à cause de votre manque extérieur, vous avez de la difficulté à comprendre ce premier commandement.

Oui, enfants d’amour, moi, je vous dis que vous avez besoin de vous abandonner encore et encore parce que vous jugez;

vous regardez autour de vous ce qui ne va pas, et lorsque vous trouvez une faille, vous en parlez comme ces personnes qui écrivent dans les journaux : du potin.

Mes enfants, ne savez-vous pas que Dieu vous demande de vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimé?

Celui qui fait du potin contre un seul de mes enfants le fait contre Dieu.

Que cet enfant soit sur le mauvais chemin, c’est à Dieu de le ramener sur le bon chemin.

Mais si vous continuez à ouvrir votre bouche pour le dénigrer, oh! pas lui, mais ce qu’il fait : vous ne l’aiderez pas.

Je ne vous dis pas d’approuver ce qu’il fait, je vous dis de me le donner, de prier pour lui, de l’offrir à l’offertoire durant la messe et d’offrir vos souffrances pour lui.

Je vous ai dit, mes enfants : «Aimez vos ennemis. Faites du bien à ceux qui vous persécutent.»

Voilà ce que je vous ai enseigné, et voilà ce que je vous demande.

Venez à moi vous qui pleurez et je vous consolerai.

Venez à moi vous qui avez faim de justice, je vous donnerai une nourriture d’amour.

Venez à moi vous qui êtes persécutés, je vous ferai découvrir l’abandon en Dieu qui n’est qu’amour, et la paix viendra.

Heureux ceux qui se donneront pour leur prochain, je les récompenserai en leur faisant découvrir leur place parmi les enfants de Dieu.

Heureux ceux qui se donnent sans compter les heures, ils découvriront que leurs jours ne seront que des jours remplis d’amour pour Dieu, et ils seront heureux pour l’éternité dans le Royaume de mon Père.

Enfants d’amour, ces paroles vous rappellent mes enseignements : ces paroles sont pour vous.

Soyez amour pour vos frères et vos sœurs, donnez-vous, ainsi mon Église sera plus forte.

Regardez mon Église : elle se meurt parce que les enfants de ce monde s’oublient devant Dieu, s’oublient devant leur prochain :

                                  ils ne pensent qu’à eux-mêmes.

Regardez les guerres : les guerres n’apportent que souffrances, qu’injustice, que domination, que famines, que désastres écologiques :

           les guerres sont contre vous.

Priez, donnez-vous, offrez et demeurez en paix : ayez confiance en Dieu.

Si vous regardez la télévision qui vous montre la violence, qui vous montre des gens morts sous la violence, vous allez perdre votre paix

parce que vous n’aurez pas appris à donner, à offrir, à regarder cela avec les yeux de Dieu, et vous n’aiderez pas votre prochain,

car les grâces ne passeront pas pour aller à eux : cela, mes enfants, je vous le rappelle.

Aimez-vous les uns les autres afin que Dieu puisse vous accorder des grâces pour ceux qui ne prient pas;

aimez-vous les uns les autres afin que Dieu puisse soutenir ceux qui ont faim : la prière est une nourriture, lorsque vous priez, vous donnez à manger;

aimez-vous les uns les autres afin que je puisse les protéger contre Satan : celui qui demande des grâces d’obéissance à Dieu se rend fort au moment où Satan veut le tenter, alors soyez forts pour vos frères et vos sœurs, et demandez des grâces.

Mes enfants, je suis l’Amour et je viens vous enseigner comment combattre le mal.

Ce n’est pas avec les armes des hommes que vous aurez la paix, c’est avec l’amour, l’amour de Dieu.

Lorsque vous acceptez de vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés, vous acceptez de faire la paix, la paix avec votre prochain.

Elle est en vous cette paix, et elle sera contagieuse : demandez, mes amours, ne cessez pas d’avoir confiance.

Je réunis des enfants autour de la Parole afin qu’ils puissent entendre l’Amour;

je parle en les cœurs pour vous, pour vous enseigner ce que j’ai déjà enseigné, cela n’est pas nouveau :

mes prêtres crient de venir les écouter à la messe, mais peu les écoutent;

mes prêtres crient d’être obéissants aux commandements de Dieu, mais ils sont obligés de le dire tout bas en eux parce que les enfants ne veulent pas les écouter;

mes prêtres crient qu’il faut suivre l’Évangile, mais mes prêtres gardent le silence parfois parce que les enfants veulent faire à leur tête : "C’est trop ennuyant suivre les enseignements de Jésus, c’est renoncer aux biens matériels, c’est partager, c’est aimer son prochain : les pauvres!"

mes prêtres crient : "Écoutez, Dieu vous demande de vivre humblement", mais ils sont obligés d’en parler avec un tout petit groupe parce que ceux qui viennent à l’Église ne veulent pas se donner à leur prochain comme Dieu le demande : ils veulent le faire à leur façon à eux, non à la façon de Dieu :

mes prêtres souffrent, et l’Église souffre.

Lorsque mes prêtres souffrent, c’est l’Église qui souffre, car il n’y a point de grâces pour les enfants qui ne demandent rien, qui n’écoutent pas, qui sont pris par leur "moi".

Enfants d’amour, vous voulez être heureux, mais vous voulez faire à votre tête : heureux ceux qui s’abandonneront en Dieu, ils connaîtront le bonheur, à l’instant.

Enfants d’amour, l’Amour est pour vous, l’Amour vous fait découvrir votre intérieur.

Il n’y a que l’amour en vous qui vous fera avancer dans ces temps de ténèbres :

ce ne sont pas vos critiques; ce ne sont pas vos peurs; ce n’est pas dire qu’une telle chose n’est pas vraie, qu’un autre est contre telle ou telle chose;

ce ne sont pas vos réflexions : c’est l’amour.

Vos réflexions ne feront naître qu’en vous la peur; vos réflexions ne feront naître qu’en vous le jugement; vos réflexions ne feront naître qu’en vous la douleur, et lorsqu’on est dans la douleur, on ne voit pas ce qui se passe autour : vous ne pouvez voir mon agir.

Mes enfants, est-ce que j’aurais changé parce que vous êtes en l’an 2004? Est-ce que le Fils de Dieu aurait perdu ses pouvoirs? Non, mes enfants.

J’ai reçu de mon Père toutes ses complaisances et je veux vous donner ce qu’il m’a donné.

Je vous nourris de mon Corps et de mon Sang : lorsque vous venez me prendre à la communion, c’est moi qui vous prends et je vous fais entrer en moi afin de vous donner ce que mon Père m’a donné.

Je veux vous nourrir de mes grâces de paix et de joie, je veux vous guérir, je veux que vos blessures, mes enfants, soient enveloppées du pouvoir de Dieu afin que vous n’ayez plus  mal.

Lorsque vos blessures vont commencer à se guérir, ne savez-vous pas que votre corps va commencer lui-même à en ressentir les effets?

Je ne viens pas parmi vous en Être qui va accomplir des miracles.

Savez-vous que vous êtes des sensationnalistes? Vous ne cherchez que la sensation.

Vous voulez voir avec vos yeux des miracles afin de croire, vous voulez voir la puissance de Dieu, mais savez-vous que si je faisais des miracles, cela ne changerait pas votre comportement, car vous prendriez comme acquis ce que Dieu vous fait voir.

Regardez votre vie : votre vie est une suite de bienfaits de Dieu :

À chaque jour, mes enfants, vous recevez des grâces d’amour afin de bien vous comporter, afin que vous puissiez faire de bonnes actions pour présenter

cela à mon Père, et vous ne voyez rien.

À chaque jour, je vous fais entendre des joies : lorsque vous entendez des paroles d’amour de votre prochain,

cela est joie pour vous, mais vous n’entendez rien.

Vous ne voyez rien, vous êtes incrédules; vous ne voyez pas que Dieu agit dans votre vie.

Vous avancez parmi un monde égoïste, mais comment se fait-il que vous êtes encore capables de partager? Si peu soit-il, vous le faites!

Comment se fait-il que vous êtes capables encore de vivre avec quelqu’un? Si peu soit-il, vous le faites!

C’est par mes grâces, c’est par mes grâces d’amour; cela, c'est pour vous des bienfaits, et vous ne voyez rien, vous n’entendez rien.

Si vous êtes capables de vous pencher sur un enfant qui est malade, si vous êtes capables de vous pencher sur des êtres qui perdent la vie dans un accident, n’est-ce pas parce que je vous nourris de mes grâces d’amour?

Vous ne voyez pas, vous n’entendez pas.

Lorsque vous assistez à la messe, que vous voyez devant vos yeux le plus grand des miracles : celui de l’Eucharistie, vous n’êtes même pas capables de réaliser que, devant vous, le Père consent à ce que le pain et le vin se changent en mon Corps et en mon Sang pour vous nourrir.

Mes enfants, je veux vous dire que malgré votre aveuglement, malgré votre surdité, je vais continuer à me donner, à me donner et à me donner,

jusqu’au moment où tout explosera en vous, jusqu’au moment où vous serez si amour que lorsque vous serez près de quelqu’un qui n’est pas amour,

cela sortira de vous, et il le ressentira.

Voici ce que je veux faire de vous : des enfants de la Divine Volonté, des enfants d’amour prêts à se donner en Jésus pour la plus grande gloire de mon Père.

Je vous aime, mes amours.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est en joie, Dieu nous fait comprendre que tous, nous ne sommes qu’à lui.

Rendons à Dieu ce qui est à Dieu, en louant Dieu avec un chant d’amour.

Merci.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons reçu des grâces d’amour.

Chacun de nous sommes des privilégiés, mais nous devons demeurer comme Dieu veut qu’on soit : des enfants humbles de la puissance qui est en nous.

Dieu veut nous voir ainsi parce qu’il veut prendre toute la place, parce que si on se prendrait pour quelqu’un d’important qui sait se servir par lui-même de la puissance de Dieu, Dieu nous laisserait faire, et il se retirerait, et nous, on se prendrait pour des petits dieux : on deviendrait orgueilleux du pouvoir que Dieu a mis en nous.

Dieu a mis en nous sa puissance.

Combien d’entre nous connaissons des personnes qui ont un charisme, un don de guérison?

Combien d’entre nous connaissons des personnes qui ont le don des langues?

Combien d’entre nous connaissons des personnes qui ont le don de la prophétie?

combien d’entre nous connaissons des personnes qui n’ont pas le don de l’amour?

Si nous avons, à l’intérieur de nous, tous les charismes que nous avons voulu avoir et qu'il nous manque l’amour : nous n’avons rien;

cela ne sert à rien parce que nous devenons propriétaires de ce que Dieu nous a donné, et Dieu demeure dans le silence de notre intérieur.

Il ne nous enlève pas ce qu'il nous a donné, ce qui est donné est donné pour l’éternité,

mais Dieu ne peut pas nourrir des enfants de ses grâces si ceux-ci se prennent plus grands que le Maître.

Dieu est venu sur la terre pour servir. Dieu est venu sur la terre pour nous montrer comment servir.

Le Fils de Dieu a porté la Croix, a porté tous nos péchés; Dieu le Fils a souffert, il s’est laissé insulter, il s’est laissé crucifier pour nous apprendre à aimer : ce geste, c’est un geste d’amour.

Lorsque nous regardons tout cela à travers les yeux de Jésus, nous voyons l’amour, nous ne voyons pas une souffrance, nous voyons l’amour d’un Dieu qui se donne constamment dans la souffrance pour ceux qu’il aime.

Cela est différent quand on voit ça comme ça.

Lorsqu’on reçoit des dons du Saint-Esprit, nous devons être serviteurs de ses dons parce que ces dons n’appartiennent pas à nous, ils appartiennent à Dieu, et Dieu en est le seul Maître.

Nous devons être instruments, mais instruments d’amour, l’instrument ne doit pas être plus grand que le maître!

Combien d’entre nous avons reçu des dons?

Le don de faire la cuisine, et nous prenons cela comme acquis; nous ne remercions même pas Dieu du don qu’il nous a donné, nous pensons que cela vient de nous.

C’est la même chose pour l’homme qui a une facilité énorme de conduire les autos; il se rend maître de ce qu’il a appris au point de dénigrer la femme qui conduit, mais Dieu nous fait comprendre qu’il n’est rien, et ni la femme.

Ce don est donné à chacun de nous afin qu’on puisse être reconnaissants.

Dieu nous donne à chaque instant des grâces afin qu’on puisse se servir des dons de Dieu.

Les dons nous sont donnés pour les autres, pas pour nous-mêmes.

Nous devons donner sans cesse, mais en Jésus, pour Jésus, avec Jésus, afin de redonner à Dieu le Père ce qu'il nous a donné : l'amour.

Combien d’entre nous, les mères, avons soigné nos enfants? Même sans aspirine, même sans pénicilline : nous avons soigné.

Comment on a pu faire ça, si ce n'était pas un don du Saint-Esprit?

L’homme a reçu un don de l’oubli de soi-même afin de protéger sa famille, il avait reçu le don du discernement.

Comment pouvait-il savoir qu’il fallait que ses enfants soient protégés lors d’une tempête? Il les faisait tous rentrer à la maison afin de les protéger : comment a-t-il pu savoir ça si ce n'est qu'il avait un don du Saint-Esprit?

Comment pouvait-il savoir qu’il fallait qu’il donne de l’aide à son épouse qui venait d’accoucher, si ce n’était pas qu’il avait reçu le don du discernement?

C’était un don d’amour, la mère avait reçu un don d’amour.

Et, aujourd’hui, on se vante qu’on a reçu le don du discernement, et on s’en sert pour dire : «Une telle est fausse et un tel est faux»,

Et combien d'entre nous disons qu’il ne faut pas faire un tel ou tel geste parce que cela est contre Dieu, alors qu’on ne connaît même pas nos commandements, on ne connaît même pas les enseignements de Jésus; ce qu’on dit, c’est souvent selon nos propres connaissances, et, bien souvent, cela induit notre prochain en erreur!

Mais Dieu nous a donné un don, un don d’amour : c’est celui d’aimer, d’aimer nos frères et nos sœurs jusqu’à mourir pour eux, c’est de ne pas les juger, mais de donner à Dieu ce qui est à Dieu :

on doit se laisser envelopper de la puissance de Dieu, et cette grande puissance de Dieu, c’est l’amour.

N’est-il pas le premier commandement de Dieu? Il n’y en a pas de plus grand,

parce qu’à chaque commandement : le deuxième, le troisième, le quatrième jusqu’au dixième, ce n’est que de l’amour : le premier enveloppe tous les autres.

Alors, le premier don : c’est l’amour, il enveloppe tous les autres.

Si nous n’avons pas ce don de l’amour, nous, même si on fait tout pour plaire à Dieu,

il va nous manquer ce qui plaît à Dieu : l’amour.

C’est ce que Dieu veut nous faire entendre : ces rencontres, ce sont des rencontres d’amour : amour pour l’Église.

Oui, Jésus lui-même nous parle, il parle en nos cœurs, en l’Église : nous sommes membres entiers de l’Église de Jésus.

Ces rencontres, nous devons les écouter avec le cœur; si nous écoutons avec notre tête, il y aura des discernements qui vont se faire, et ces discernements ne seront pas enveloppés de l’amour de Dieu.

C’est l’abandon qu'il nous demande.

Lorsque nous recevons des enseignements venant du Ciel, Dieu nous remplit de sa Présence.

Nous ne pouvons pas écouter ces enseignements sans que l’Esprit Saint nous enveloppe, afin que nous puissions comprendre que le Fils de Dieu est le Verbe, et qu’il agit.

Le Fils de Dieu fait la Volonté du Père, et le Père nous rassemble en son Fils, afin que nous puissions ne faire qu’un : un seul cœur.

C’est ce qu’il nous demande dans ces temps d’amour, c’est ce qu’il nous fait comprendre dans ces temps de ténèbres.

Il veut, à l’intérieur de nous, que nous vivions avec ses grâces et il veut, qu’à l’extérieur de nous, nous voyions ce que ce monde a consenti à faire.

Cela ne peut se faire voir et entendre que si nous sommes protégés avec ses grâces d’amour parce que nous allons regarder ce monde avec l’amour;

nous ne chercherons plus à juger ce monde, mais à prier pour eux, à se donner pour eux, parce que Jésus est mort sur la Croix pour ce monde : pour nous.

Nous ne devons pas regarder ce qui se passe autour de nous avec ce que nous sommes dans notre volonté humaine parce que nous allons vivre dans la peur, nous ne verrons pas le bout du tunnel.

Nous avons soif de bonheur, nous voulons vivre d’espérance.

Quelle est l’espérance, sinon d’atteindre le bonheur?

Lorsqu’on lit des messages venant des prophètes de ce temps, nous devons les lire avec l’amour de Dieu;

nous devons nous abandonner en Dieu afin qu’on puisse recueillir les grâces qui sont avec ces messages.

Si ces messages sont de Dieu, nous avancerons, mais si nous regardons ces messages avec notre volonté humaine, nous allons être déçus.

L’intelligence de Dieu n’est pas notre intelligence :

         Dieu nous fait voir ce que nous pouvons voir;

         Dieu nous fait entendre ce que nous pouvons entendre,

         mais nous, à cause de notre volonté humaine, nous dépassons nos limites;

         nous aimons dépasser nos limites;

         cela, c’est à cause de nos blessures que nous avons en nous :

         nous sommes tannés d’attendre, alors nous cherchons à forcer le temps.

Alors, quand on lit les messages qui nous disent : «Préparez-vous, il y aura un temps de famine. Préparez-vous, faites vos réserves.»

"Oui, Seigneur, nous allons faire nos réserves quand tu nous le diras : tu nous prépares."

Ces messages sont des messages d’amour remplis d’espérance.

Dieu va mettre en nous le moment où nous devrons nous préparer à l’instant même :

 "Parce que tu es Dieu de la présence, tu ne nous diras pas de nous préparer alors que nous attendons depuis 20 ans. C’est que, Dieu, nous n'avons pas compris ce que tu voulais nous faire comprendre. Nous avons analysé tes messages avec notre volonté humaine, et aujourd’hui, on est découragé lorsque nous entendons quelqu’un dire : "Ah! le Seigneur nous dit de nous préparer parce qu’il va y avoir violence. Il nous dit de nous préparer parce qu’on va avoir la puce. Il nous dit de nous préparer parce qu’il faut remplir notre garde-manger car, bientôt, demain, on pense qu’on n'aura plus rien à manger." Bien, tout ça, c’est notre volonté humaine!"

Nous analysons les messages.

Lorsque Jésus dit : «C’est imminent.» Oui, il dit la vérité : «C’est imminent. Préparez-vous. Je vous envoie des messagers afin que vous soyez prêts.»

Noé a pris 100 ans pour préparer son arche, il ne l’a pas fait en une journée, mais il l’a fait.

À chaque jour, il faisait l’œuvre de Dieu, à chaque jour, il se préparait : Dieu veut préparer notre intérieur.

Préparons notre intérieur; après, n'ayons pas peur parce que lorsque notre intérieur sera prêt, nous allons entendre le moment où il dira : «Va. Remplis ton garde-manger» : "Oui, Seigneur."

Parce qu’on va être en paix, nous n’aurons plus peur, nous allons faire ça avec les grâces de Dieu;

nous allons aider notre prochain sans lui faire peur, avec les grâces de Dieu.

L’Église est prudente, l’Église attend elle aussi.

Croyez-vous que l’Église ne sait pas lire?

Croyez-vous que l’Église ne sait pas voir?

L’Église voit les signes, l’Église entend les messages, alors l’Église se tient prête; l’Église regarde les fruits : elle sait se tourner vers Dieu.

Si parfois on voit des prêtres qui ne croient pas aux messagers, allez leur demander s'ils croient en l’Évangile, ils diront : "Oui"; alors, ils sont dans la vérité parce qu’ils croient que Jésus vient.

Mais l’Église, elle attend : elle attend que cela se fasse au moment où Dieu le Père le veut.

Elle nous donne un exemple de foi.

Mais nous, nous voyons ça comme un exemple de lâcheté : "Ils ont baissé les bras. Ils ne croient plus. Ils ont perdu la foi."

À force d’avoir des idées comme ça, eh bien, les prêtres sont laissés tout seuls dans leur presbytère, et ils ont été obligés de les quitter parce qu'ils souffrent : c’est grand tout ça, c’est froid, c’est de l’écho!

Qui d’entre nous aimerait vivre dans une grande maison où ils se retrouvent la plupart du temps seuls, ou se retrouver dans une paroisse ou plusieurs paroisses dont plusieurs parlent contre eux parce qu’ils ne sont pas du même avis qu'eux?

Ils en ont le droit; tout comme nous, on en a le droit; nous devons nous tenir les uns les autres en étant amour, en aimant nos prêtres tels qu’ils sont :

s’ils ne sont pas des personnes qui sont portées à être à l’affût des messages, nous devons les accepter tels qu’ils sont.

Nous devons les aimer comme Dieu les aime, mais prions, prions pour qu’ils soient tout amour pour eux-mêmes parce que les prêtres souffrent.

Dieu nous fait comprendre quelque chose d’important.

Il nous rappelle cet enseignement : «Heureux ceux qui seront persécutés, ils verront le Fils de Dieu.»

Alors, si vous vous sentez persécutés, demeurez amour, ne jugez pas, parce que lorsque vous jugez le prêtre qui vous persécute : vous perdez la grâce que Dieu veut donner : l’abandon.

Comme Dieu s’est donné sur la Croix, il veut qu’on porte la croix : cette croix, c’est la Croix de l’Amour non compris.

Nous devons aimer nos prêtres parce que si nous disons un seul mot contre un prêtre, c’est contre le Christ-Prêtre que nous parlons,

et cela nous sera montré au moment où nous serons devant le Christ-Prêtre.

Le prêtre qui n’aura pas été à la hauteur d’être le représentant du Fils de Dieu sur la terre aura lui-même à se juger,

mais si on est amour, on va prier pour lui afin qu’il ait les grâces de moins se juger sévèrement, parce qu’il va se juger sévèrement!

Parce que celui qui a reçu beaucoup, on demandera beaucoup, et il se demandera beaucoup.

Dieu nous apprend à nous aimer : nous.

Lorsqu’on apprend à s’aimer, on ne veut pas se faire souffrir parce qu’on va avoir à se présenter devant Dieu, devant Celui qu’on a fait de la peine.

Voyez-vous, Jésus ne cesse de parler, c’est encore et encore qu’il va parler.

Même si, nous, on est rendu en l’an 2004, on n'est pas encore à la hauteur de ce que Jésus veut qu’on soit :

il nous a donné des enseignements d’amour et ces enseignements d’amour, nous devons en faire une vie : notre vie;

mais nous, nous ne pouvons en faire notre vie si Jésus ne le fait pas pour nous parce que c’est lui la Vie.

Il nous dit : «Viens mourir en moi afin que je puisse vivre ta vie» : donnons tout à Jésus amour et soyons ce que Dieu veut que nous soyons.

"Oui, Seigneur Jésus." Il vient de dire : «Ma fille, ils ont sûrement besoin d’un arrêt, alors tais-toi.»

Merci, Seigneur.