Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Slough, Angleterre,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-02-20 – Partie 2       

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque nous laissons notre cœur ouvert, nous devenons des enfants entre les mains du Père. Il n’y a pas un seul mot qui n’est pas venu de Dieu. La Parole est vivante, la Parole est guérissante. Mon Père, lorsque vous lisez l’Évangile et que les enfants sont attentifs, il y a des guérisons n’est-ce pas, mon Père? Oui, il y a des guérisons.

Dieu ne parle jamais sans accorder sa Vie. Lorsque Dieu nous accorde sa Vie par la Parole, tout notre être devient en contact avec sa Volonté. Alors, lorsque nous, nous nous donnons comme des tout petits enfants, Dieu connaît notre besoin, on n’a même pas besoin de parler; avant même que nous ayons le besoin de dire : "Père, guéris-moi, j’ai peur", "Père, mon enfant se drogue", "Père, j’ai besoin de ta force parce que je vis le cancer", croyez-vous que cela vient de nous? C’est l’enfant qui se présente au Père, parce que le Père a voulu son enfant. C’est ainsi la Parole. L’Évangile, c’est le Fils qui est venu à nous pour nous faire entendre la Volonté de son Père.

Il est si important d’aller à la messe, entendre les paroles vivantes par le prêtre comme un enfant, car dans ces instants nous guérissons. C’est ce qui nous aide dans notre vie. Si nous pouvions prendre conscience de cela, on pourrait vivre plus intensément notre guérison. Combien de fois nous avons entendu le prêtre qui parlait et c’était chaud à l’intérieur de nous, c’était de la guérison. On sortait dehors, oups, c’était fini, on avait oublié que Dieu le Père maintient toujours sa présence en nous par le Fils. Il arrivait une tentation et là on se plaignait. Le petit enfant qui avait été à la messe, tout attentif devant les paroles que le prêtre disait, était devenu un adulte; il avait oublié sa place entre les mains du Père. Aujourd’hui, on s’étonne d’avoir des maladies.

Jésus l’a dit dans l’Évangile : «Venez à moi, vous n’aurez plus faim, vos larmes sécheront, vous vivrez en êtres d’amour, en frère et sœur.» Est-ce que Jésus serait un menteur? Jésus, il a dit : «Je suis la Vie, la Vérité. Venez à moi, je suis le Chemin qui vous conduit à mon Père». Ça, nous devons le vivre. Nous recevons tout ce qui est nécessaire pour ne plus être malade, mais nous n’avons jamais su vraiment comment apprécier toutes ces grâces. Il faut vraiment retourner dans notre intérieur et découvrir le petit bébé qui est entre les mains du Père. Le Père nous nourrit au biberon. Nous devons être entre les mains du Père comme ce petit enfant qui veut se laisser nourrir. Il faut lui faire confiance.

Il y aura beaucoup de guérisons comme tantôt il y a eu des guérisons; des mouvements malades ont repris; notre chair va le ressentir. Plus nous allons entrer dans la purification de la chair et plus nous vivrons les grâces de l’Eucharistie. Nous vivrons les grâces du Baptême, nous vivrons les grâces de la Confirmation, nous vivrons les grâces de la Confession, de l’Eucharistie, de la Communion. Nous vivrons les grâces du sacrement du Mariage, de l’Ordre, de l’Extrême-Onction.

Nous ne pouvons pas nous séparer de nos frères et de nos sœurs qui sont en nous. Qu’un seul reçoive ces grâces, nous les recevons continuellement. Alors, nous sommes dans le mouvement de notre guérison, de notre libération. Maintenant, nous en prendrons conscience. Plus la chair va se laisser purifier et plus nous saurons que Dieu est avec nous et que nous sommes avec lui. Ça, c’est très important que nous puissions prendre conscience que nous sommes avec lui.

Alors, nous allons poursuivre quelques minutes, parce qu’il y a en qui veulent partir, de questions et de réponses, mais pas de questions personnelles. Il faut que les questions que vous posiez soient des questions pour tout le monde. Déménager aujourd’hui, demain ma job, est-ce que je vais trouver une blonde? Ça, c’est avec Dieu. Posons des questions pour l’Église.

Alors, qui va répondre, je ne le sais pas, mais nous recevrons une réponse. Est-ce qu’il y en a qui veulent commencer?

 

Q. Quand on prend une décision, comment sait-on si c’est la Volonté de Dieu qu’on prend?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chaque enfant qui pense est un enfant qui est dans le mouvement du Christ. Chaque enfant qui veut être dans le mouvement du Christ doit savoir que tout ce qu’il veut, c’est faire plaisir à Dieu, et pour faire plaisir à Dieu, il faut que cela soit de l’amour. Si la décision est amour pour la personne, elle doit l’être avant tout pour Dieu; ainsi, Dieu nourrit sa décision pour que la décision serve à tous les enfants de Dieu.

Lorsqu’un père prend une décision, c’est pour la plus grande gloire de Dieu dans sa famille, ainsi cette décision ne nuira pas aux enfants de Dieu. Comment reconnaître cela en notre cœur? C’est lorsqu’il y a de la paix, lorsqu’il y a de la joie à partager cette décision, lorsque l’amour remplit la maison : cela vient de Dieu. Dieu développe la joie, la paix et l’amour. Si cela est humain, cela ne se développera pas, cela amènera des contrariétés et cela apportera aussi de la souffrance. Il faut toujours avoir confiance en Dieu dans toute décision; ainsi, personne ne sera déçu lorsque la décision se fera découvrir comme étant trop personnelle.

Lorsque le Pape prend une décision, il sait que cela doit être pour Dieu, pour l’Église, les membres, afin que chaque membre aille au Royaume du Ciel. Il a cette charge sur ses épaules : emmener les enfants de Dieu à Dieu le Père, par le Fils, enveloppés du Saint-Esprit. Le père dans sa famille doit en faire de même, ainsi il peut faire ce qu’il a à faire sans avoir peur. Lorsque cela vient de l’épouse, l’épouse doit prendre en considération l’opinion de l’époux, car elle est la tendresse du Père pour l’époux. L’époux donne la force de Dieu le Père, car l’époux reçoit de Dieu le Père la force nécessaire pour que la famille soit protégée.

L’homme porte la vie, il met en le sein de la femme la vie. Lorsque la femme a accepté la vie avec amour, la création de Dieu est dans son mouvement d’amour, et Dieu ne cesse de donner, de donner, de donner.

Une décision doit être aussi importante, car Dieu lorsqu’il reçoit de l’enfant la décision, Dieu en fait sa propre décision et Dieu nourrit sans cesse, sans cesse et sans cesse.

 

Jésus : Enfants de ma Volonté, soyez devant votre Père comme le Père veut que vous soyez : des enfants ne voulant que servir Dieu. Qui est comme Dieu? Dieu. Alors, soyez au service de Dieu. Amen.

 

Q.  Vous avez parlé comment nous devons nous aimer, aimer Dieu. Souvent, nous sommes en conflit avec nous-mêmes : vous avez votre propre volonté et vous avez une tentation, et vous voulez faire la Volonté de Dieu. Il y a donc un tiraillement continuel. Comment pouvons-nous arriver à nous aimer et vaincre ce conflit?  

 

R. Jésus : Un jour, un tout petit enfant vint au monde, il faisait la joie de ses parents. Lorsqu’il grandit, il voulait tellement faire la joie de ses parents qu’il voulut marcher, qu’il voulut apprendre à marcher par lui-même. Mais la première fois qu’il marcha, il tomba, et il regarda les yeux de papa et de maman. Maman et papa devinrent tout sérieux et le tout petit enfant enregistra en lui cela : "Je n’ai pas été à la hauteur, voilà que papa et maman ne sont pas contents". Mais lorsqu’il regarda encore, il vit leur sourire revenir, alors il fit un effort, il se remit debout en oubliant sa petite douleur. Lorsqu’il voulut manger, il trouvait cela si compliqué! Parce qu’il voyait maman et papa qui étaient toujours là à vouloir l’aider, mais lui voulait tant apprendre par lui-même. Comme il n’était pas capable, il accepta l’aide. Alors, il mit cela en lui, cette petite déception.

Avec les années, il y avait tant et tant en sa chair de la souffrance, car il était devenu un adolescent. Ainsi, il apprenait à vivre sa vie avec sa souffrance. Il voulait aimer, mais il trouvait cela difficile, car il se mettait toujours en question : "Est-ce qu’on m’aime assez?" Il ne s’apercevait pas que c’est lui qui posait toujours cette même question. Une fois adulte, il se regarda dans le miroir et il détourna son regard. Alors, il a appris à se maquiller et à se coiffer pour oublier. Son regard était toujours projeté sur les autres qui étaient eux-mêmes maquillés et coiffés comme ils avaient appris.

Enfants de ma Volonté, vous êtes tous des tout petits enfants qui avez été blessés en votre chair, parce que vous avez regardé l’amour et vous ne l’avez pas trouvé. Votre chair a caché sa souffrance. À moi de vous faire découvrir le petit trésor que vous êtes, à moi de vous démontrer que je vous aime, ainsi vous apprendrez, vous apprendrez à découvrir l’être d’amour qui est vous-même.

Je vais vous apprendre à ne plus exiger de vous-même, je vais vous apprendre à ne plus exiger de votre prochain. Quand on se sait aimés de Dieu comme on est, on apprend à aimer et à donner à Dieu la souffrance, et Dieu prend la souffrance et il donne de l’amour, car il guérit les mouvements malades. À moi de vous montrer, à moi de vous prendre sous mon mouvement de purification.

Je suis le Purificateur, j’ai accompli la Volonté de mon Père. Vous êtes trop petits encore, mes enfants, pour comprendre ce grand mouvement d’amour : la purification en votre âme, en votre chair. Vous êtes les enfants de la Lumière et vous êtes à l’image de la Lumière. Je suis la Lumière du monde, je parle en votre cœur et vous entendez à l’extérieur par la puissance du Saint-Esprit.

Je vous ai nourris de ma Chair, je vous ai nourris de mon Sang afin que vous ne soyez pas vous-mêmes, mais moi en ce moment par ma Puissance. Lorsque mon Sang se répand en vous, mes enfants, je vous enveloppe. Lorsque ma Chair est en vous, mes enfants, c’est ma Chair qui prend votre chair et vous entendez la Volonté de mon Père, car vous apprenez à vivre en le Christ. Vous mourez en moi, vous êtes le Christ, parce que c’est mon Père qui le veut : vous en moi, moi en vous. Moi, je vous emmène à mon Père par la puissance du Saint-Esprit.

Comment pouvez-vous comprendre cela, mes enfants? C’est en vous abandonnant, en vivant dans l’éternité ce mouvement d’amour. Je veux vous faire comprendre, enfants d’amour, que je vous ai pris et que j’ai accompli les Écritures. Votre cœur bat dans mon Cœur. Votre cœur c’est la chair, mes enfants. Vous ne pouvez par vous-mêmes être chairs, vous l’êtes par moi. C’est moi qui suis la Chair Parfaite, Immaculée. Vous, vous êtes de moi et c’est par moi que vous entendez tout cela. Que l’Esprit de Dieu vous fasse comprendre que ce que vous vivez est de la Volonté de l’Amour. Je vous amène à vivre ce que vous avez à vivre par la puissance de mon Père : être en présence même de la Lumière, la Lumière de Dieu. Vous avez à vous donner pour vivre ce qui vient.

Enfants d’amour, soyez amour en mon amour. Je vais vous apprendre à vous aimer sans condition. À chaque jour, donnez-moi votre volonté humaine et laissez-moi agir. Je vais faire tomber des murs qui ont été montés par votre volonté humaine, vous empêchant de vivre en moi. Je vais vous montrer que moi j’ai vécu votre vie, que vous n’êtes pas sortis de moi, bien que vous ne viviez pas comme mon Père le veut. Je suis Celui qui Est. À moi d’accomplir la Volonté de mon Père et vous, vous ne pouvez pas. Je viens purifier votre chair.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous allons nous arrêter ici. Nous avons reçu beaucoup. Vous n’avez pas besoin de retenir, laissez le Saint-Esprit faire ce qu’il a à faire. C’est comme un bon sermon, on se souvient au moment où on en a besoin. Amen.