Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sainte-Cécile-de-Milton (Québec)

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-12-04 - Soir

 

Jésus : Enfants d’amour, la voix est pour vous : je suis Celui qui est, je suis Celui qui sera.

En chacun de vous, Dieu parle; en chacun de vous, Dieu met des grâces afin que vous puissiez vous abandonner : vous abandonner en ma Volonté; ma Volonté est celle de mon Père : tout doit s’accomplir.

Chacun de vous a été choisi pour que vous puissiez vous donner; pour vous donner, il faut que vous appreniez à vous abandonner, à renoncer à ce que vous avez été, car je vous veux pour moi, abandonnés totalement entre mes mains.

Il n’y a que le Fils qui va vous montrer comment avancer, comment vous laisser découvrir pour goûter à ma Voix; par vous-mêmes, vous ne pouvez rien, car vous n’êtes rien; par mon amour, je vous fais découvrir que vous êtes un tout : un tout dans le tout de Dieu.

Il faut que vous appreniez, en premier, que vous n’êtes rien : vous ne pouvez pas, par vous-mêmes, découvrir votre intérieur; vous ne pouvez pas, par vous-mêmes, découvrir l’amour de Dieu qui vous habite; vous ne pouvez pas aimer votre prochain avec mon amour sans moi : tout est de moi, tout part de moi et tout doit être pour mon Père.

Pour aller à mon Père, il faut que vous appreniez à renoncer à votre vie.

Votre vie, qui a été entre vos mains, a été une vie de souffrances, une vie de jugements, de découragements, de peurs, de manques de confiance, d’hypocrisie, de sournoiseries; mes enfants, cela vous a portés à découvrir la rancœur, la haine, l’indifférence.

Dieu veut vous apprendre que votre vie vous a été donnée pour que vous soyez heureux dans le Royaume de mon Père; entre vos mains, votre vie ne peut aller vers mon Père, il faut que vous la laissiez à moi, Jésus.

Ces mots vous apprennent, mes enfants, à reconnaître que vous seuls vous pouvez me donner votre vie : votre oui, et moi, je vais la prendre et je vais faire tout pour vous; vous, vous n’avez rien à faire, seulement qu’à vous abandonner.

Comment pouvez-vous vous aimer alors que vous ne vous connaissez pas? Comment pouvez-vous découvrir votre prochain alors que vous n’avez même pas appris à découvrir votre vraie place en moi, le Fils? Ne regardez pas ce que vous êtes devenus, mais apprenez à regarder ce que Dieu veut pour vous : l’abandon.

Il est difficile pour vous de renoncer, et pourtant, mes enfants, c’est ce que je veux de vous : je veux que vous renonciez à tout ce qu’il y a autour de vous, je veux que vous renonciez à tout ce que vous avez appris, je veux que vous deveniez des petits enfants entre mes mains, c’est seulement de cette façon que vous allez découvrir que vous êtes à moi et que mon Père m’a tout donné pour vous.

À moi seul de vous rendre heureux dans cette vie, à moi seul de vous faire découvrir l’amour.

À chaque fois que vous apprenez à vous abandonner : vous avancez à petits pas; à chaque fois que vous réalisez que vous avez pris votre vie entre les mains (et que) vous venez de découvrir votre propre volonté : vous devenez un être qui apprend à s’abandonner.

Lorsque vous apprenez que vous avez repris votre vie entre vos mains, c’est que vous venez de réaliser que vous avez fait quelque chose et que vous ne le vouliez pas, ainsi vous vous reprenez et vous me laissez tout entre les mains.

Il ne faut pas, mes enfants, mettre de la difficulté dans votre abandon, laissez cela à Dieu : quand vous voyez que vous avez repris ce que vous m’aviez laissé, demeurez calmes et redonnez-vous à moi; si vous vous inquiétez, mes enfants, en vous il y a des grâces que vous mettez vous-mêmes en arrêt, c’est vous qui interrompez mes grâces d’amour, de paix, pour vous.

Laissez-moi votre vie, ne la compliquez pas; à moi de faire de vous des êtres d’abandon, à moi de vous faire avancer dans votre purification, ce n’est pas à vous; parce qu’à cause de votre volonté humaine, vous êtes aux prises avec ce que vous avez appris depuis si longtemps : à gérer votre vie, à penser à ce qui est bon pour vous et ce qui est mauvais pour vous, avec votre volonté.

Laissez à Dieu déposer en vous des grâces de lumière, c’est moi qui vais vous montrer; alors vous verrez votre vie avec ma miséricorde, avec mon amour, pas avec ce que vous êtes; vous avez de la difficulté à vous pardonner, vous vous jugez indignes de mon choix.

Ce n’est pas à vous de regarder ce que vous êtes devenus, car si vous vous regardez ainsi, vous allez vous décourager et vous allez garder en vous des pensées qui ont été contre vous, des mouvements qui ont été contre vous, des émotions qui ont été contre vous.

Laissez-moi tout, c’est moi qui vais faire de vous des êtres d’amour, avec mes grâces; vous n’avez pas ce pouvoir : (celui) de vous accorder des grâces.

Mon Père m’a tout donné, et c’est moi qui vais vous donner des grâces

afin que vous puissiez vous regarder, afin que vous puissiez découvrir l’être que vous êtes.

Mes enfants, sans mes grâces, vous n’auriez pu vous regarder avec ce que vous avez fait, vous auriez fui, car le mal en vous vous aurait fait tellement souffrir, la douleur aurait enrayé tout (le bien) de votre être.

Enfants d’amour, ce sont mes grâces qui vous aident à vous regarder tels que vous êtes, ce sont mes grâces qui vous font avancer dans votre purification : rien ne vient de vous.

Réjouissez-vous de savoir que Jésus vous aime, mon amour est infini; vous ne pouvez pas comprendre un tel amour, pas avec ce que vous êtes.

Lorsque viendra le moment choisi de mon Père, je vous envelopperai de mon amour et vous saurez comment je vous aime.

C’est avec cet amour que vous allez vivre votre joie, c’est avec cet amour que vous allez participer à ma Gloire, c’est avec cet amour que vous serez dans votre gloire.

L’amour infini de Dieu est au-dessus de tout ce que vous pouvez penser; alors soyez abandon, avancez sans vouloir comprendre, accueillez tout avec abandon, Dieu vous regarde et Dieu vous aime : vous ne pouvez pas vous aimer comme moi je vous aime.

Alors, enfants d’amour, puisque vous êtes impuissants devant votre purification, accordez-vous de l’amour en prononçant votre oui à tout ce que je vais vous faire découvrir, en disant simplement : "Oui, Seigneur".

C’est ce que je vous demande, mes enfants; vous êtes tellement dans vos questionnements que parfois vous ne voyez pas la grâce, vous ne goûtez pas à l’abandon.

L’enfant qui s’abandonne découvre la Présence, il se sait aimé de Dieu; il n’a pas à tourner son regard de gauche à droite, il sait que Dieu est là pour lui, et l’enfant apprend à aimer simplement : il a confiance en Dieu; ayez confiance en moi; ayez confiance que vous vivez votre purification; ayez confiance que Dieu va vous faire découvrir tout ce que vous avez en vous et qui ne vous appartient pas; ayez confiance que Dieu va vous faire découvrir chaque action que vous avez faite et qui a nui à votre âme, qui a nui à votre prochain.

Laissez cela à Dieu, j’ai, moi, connu toutes vos actions

 avant même que vous, vous veniez en ce monde.

Voilà pourquoi je vous dis, mes enfants : «Toi qui vis en ce monde, donne-toi à moi, aie confiance en ma miséricorde, accorde-toi le don de l’amour en disant : "Oui me voici".

Sois tout abandonné à ton Seigneur, je suis le Maître de ta vie, je suis Celui qui a le pouvoir sur la mort et sur la vie.

J’ai respecté, depuis que tu es venu en ce monde, qui tu étais; j’ai déversé en toi tant de grâces afin que tu puisses te voir.

Chaque jour, je savais les moments où tu étais pour accepter mes grâces, et je connaissais les moments où tu refuserais mes grâces et, malgré tes refus, j’ai toujours continué à te nourrir de ma Vie, j’ai toujours été là dans les moments où tu tournais ton regard vers le monde, où tu te consolais avec des biens matériels, où tu apprenais à te donner à ton prochain alors que lui ne voulait rien savoir de moi, j’ai écouté tes paroles qui jugeaient ton Jésus d’amour, qui ne comprenaient pas ma Passion, et moi, je continuais à t’aimer : mon amour était si grand pour toi qu’il va te falloir l’éternité pour le comprendre.

Tu es à moi parce que mon Père t’a donné à moi, et tu es si précieux à mes yeux.

Réalises-tu que je suis Dieu et que toi tu es un enfant de la terre? Réalises-tu combien je tiens à toi, combien mon amour est infini pour toi?

Mon regard a été sur toi et point de jugement n’est sorti de moi; mon amour t’a suivi toute ta vie, et point de sentiment de reproche n’est venu en moi lorsque tu ne me montrais pas de l’amour; je t’ai consolé parce que tout de moi se tendait vers toi, (et) te savoir plongé dans mon amour me donnait une telle joie.

Quand comprendras-tu tout cela? Moi, je te dis : "Le jour où tu seras purifié, tu comprendras"; tu comprendras combien je t’aime, combien j’ai tenu à toi : j’attends ce moment.

Et toi qui as si hâte de me voir, comprends-tu maintenant, combien moi, j’ai hâte que tu me voies? Je m’abandonne entre les mains de mon Père : abandonne-toi entre mes mains.

Il est important ce moment parce que tu entends la voix de l’Amour qui te parle en toi, tu entends combien ton Dieu est présent en toi et que toi, tu es présent avec lui tel que tu es; Dieu te parle d’amour parce que tu as besoin d’amour.

Parce que ce temps est un temps de Purification et, sans l’amour, tu ne peux savourer ta purification : je veux que tu la vives avec mon amour en sachant que je t’aime; chaque instant de ta purification, je veux que tu voies cela avec mon amour.

Ne te prive pas de mes grâces d’amour, car cela t’accompagnera tout au long de ton cheminement, et lorsque tu verras ta purification, lorsque tu verras ce que tu as accepté de moi, tu seras dans l’allégresse, car pas un instant tu n’auras refusé mes grâces, mes grâces d’amour.

Laisse-moi te conter une histoire : "Un jour, un enfant partit au loin; il apporta avec lui une valise et, dans sa valise, il y mit tout ce qu’il y avait de plus important dans sa vie : il y avait un cœur, il y avait une rose et il y avait une perle.

À chaque jour, il avançait; il voyait autour de lui des gens qui vivaient leur vie et lui, il partageait leur vie; et le soir lorsqu’il était seul, il ouvrait sa valise, il regardait ce cœur, il prenait ce cœur, il le serrait très fort sur son cœur, il disait : "Tout pour toi";

il déposait son cœur doucement et là, il prenait entre ses mains la rose, il la portait tout près de son visage pour en savourer l’odeur, et tout son cœur se mettait à chantonner, à louanger, à donner et, après un certain temps, il redéposait la rose;

il prenait sa perle dans ses mains très fort, il la serrait très fort et il se disait : "Tout cela, c’est pour Dieu", alors il déposait sa perle; alors la nuit venait, et il se reposait.

Ainsi, chaque jour, il faisait les mêmes gestes : à chaque jour, il avançait; il voyait ces gens qui travaillaient et lui aussi se mettait à travailler comme eux, mais il n’oubliait pas d’ouvrir sa valise : il n’oubliait pas son cœur, il n’oubliait pas sa rose, il n’oubliait pas la perle, car cela était devenu important dans sa vie.

Et il continua, et il continua jusqu’au jour où il devint malade; alors il ouvrit péniblement sa valise et il prit son cœur et il le porta sur son cœur très fort : "Je te donne tout, je sais que tu es là", il redéposa son cœur; il prit sa rose et la porta à ses lèvres pour lui donner un baiser, il dit : "Je sais que tu es là, que tu me donnes des forces et que tu me protèges", il redéposa la rose; il prit la perle entre ses mains, il la regarda, et il dit : "Tout pour Dieu", il redéposa la perle et ferma la valise.

Les mois ont passé, les années ont passé et sa santé a décliné et, un jour, très faiblement, il ouvrit pour une dernière fois sa valise : il prit le cœur et le déposa très fort sur son cœur, et le cœur disparut; il prit la rose et il la déposa sur son cœur, et la rose disparut : une odeur se fit sentir autour de lui, mais il n’a pas pu prendre la perle, car il était déjà parti.

Toute sa vie avait été pour Dieu : il avait donné sa vie au Cœur de Jésus, il avait donné sa vie (entre les mains) de la Mère de Dieu, et tout ce qu’il était, était cette perle pour Dieu, car ce qu’il voulait offrir à Dieu, c’était l’être qu’il était, un être qui n’avait de la valeur que pour Dieu, seulement que pour Dieu.

Car tous les gens qu’il avait rencontrés dans sa vie, toutes les actions qu’il avait posées, toutes les paroles qu’il avait dites, n’avaient de la valeur que pour Dieu, car il avait aimé son prochain à travers Dieu.

Alors Dieu récompensa cet être d’amour : "Chacun de nous avons un cœur, c’est le Cœur de Jésus, il bat en nous; chacun de nous avons la rose comme témoin de la présence de Marie; chacun de nous sommes une perle entre les mains de Dieu", c’est ce qu’il avait écrit dans son testament".

Et toi qui entends cela, est-ce que tu as fait de même? Donne-moi ta vie.

Sache que je suis tout pour toi, que je peux tout pour toi; sache que ma Mère a toujours été là pour toi, qu’elle t’a toujours protégé, et que ta vie n’a de la valeur que pour Dieu : donne-toi et abandonne-toi.

À l’instant même où tu entends cela, toute ta vie prend de la valeur inestimable aux yeux de Dieu et à tes yeux : Dieu a connu ta vie et tu sais que tu vaux toutes les perles du monde puisque j’ai donné ma Vie pour toi.

Maintenant, il faut que tu l’apprennes, il faut que tu saches que chaque pensée que tu as eue dans ta vie est à moi, chaque action que tu as posée est à moi, chaque sentiment qui est en toi est à moi, alors donne-moi tout.

Abandonne tout entre mes mains puisque j’ai été là, moi, puisque je suis le Cœur de l’Église, puisque ma Mère est la Mère du Cœur de l’Église, alors donne-toi sans compter, offre tout à ton Dieu d’amour : c’est ce que je voulais que tu saches ce soir, tout particulièrement pour toi.

Combien de grâces je déversais en toi pour ceux que tu aimes; j’ai donné tant aux enfants de ce monde, et je veux encore donner, donner et donner.»

Enfants d’amour, je vous ai donné ma Mère, je vous ai donné l’Amour, je vous donne ma tendre grand-maman, elle est avec vous et en votre présence : soyez dignes d’écouter ma grand-mère Anne.

 

Grand-maman sainte Anne : Mes petits-enfants, chacun de vous devez bien vous conduire, chacun de vous devez apprendre que vous êtes à l’école de mon Petit-Fils, mon Dieu adorable.

À chacun de vous de vous conduire en êtres respectueux envers votre prochain, vous êtes tous choisis pour ce temps.

Je suis celle qui a tout donné à Dieu pour m’accomplir dans ce que je devais accomplir; chaque femme qui vit sur la terre et qui prend époux veut mettre au monde des enfants : telle était ma mission.

Dieu a choisi le temps que je devais enfanter Marie, ma fille; chaque jour (d’attente), j’abandonnais tout à Dieu; chaque jour, je louais Dieu pour ce qu’il m’accordait, l’abandon : enfants d’amour, pas une parole de moi n’était un reproche.

J’ai reçu des grâces afin d’être digne d’être la mère de Marie, j’ai porté en mon sein la Mère de Dieu; il fallait que je sois digne de sa présence; et vous, enfants, qui portez mon Petit-Fils, vous recevez des grâces afin que vous puissiez vous conduire en êtres respectueux.

Moi, votre grand-maman Anne, je demande à chacun de vous de vous aimer; je demande, mes petits-enfants, de ne point regarder votre prochain : la conduite de vos frères et de vos sœurs ne doit pas mettre en vous des paroles de jugements, de reproches, de désappointements.

La peur, mes enfants, ne vous aidera pas à passer votre purification.

À force de vous tenir, mes enfants, dans l’inquiétude, vous perdez des grâces; il est essentiel de retrouver votre paix, lorsque vous voyez que vous l’avez perdue, en demandant à Marie, ma fille, en demandant à Jésus, votre Dieu, mon Dieu, des grâces de paix : soyez assurés que vous serez exaucés.

Tous les saints ne cessent d’intercéder auprès de la Trinité pour vous : ce temps est un temps choisi; alors soyez-en dignes, faites tout pour l’amour de Dieu.

Ne jetez plus votre regard vers ce monde, ce monde n’a pu vous rendre heureux; tournez votre regard vers votre intérieur.

Vous avez reçu des enseignements et ces enseignements sont importants pour votre purification.

Beaucoup de messages vous ont été donnés par le Ciel, alors, petits-enfants, soyez à l’écoute du Ciel en demeurant petits devant toute cette grandeur.

Vivez votre quotidien en faisant ce que mon Petit-Fils vous demande : vivez les enseignements; lisez-les, chaque phrase vous apporte des grâces, chaque phrase, petits-enfants, vous montre votre intérieur : c’est votre vie qui est écrite, c’est votre vie et celles de vos frères et de vos sœurs, à l’intérieur de vous, qui sont devant vous.

Abandonnez entre les mains de Jésus, mon Petit-Fils, tout ce qui vous a fait souffrir; abandonnez-lui aussi ceux avec qui vous vivez; n’oubliez pas ceux que vous ne connaissez pas, eux aussi souffrent tout comme vous, tout comme vos enfants, tout comme vos amis : soyez des êtres d’abandon.

Lorsque vous lisez, mes enfants, il y a des lumières, et ces lumières vous montrent votre intérieur; alors vivez dans votre intérieur, donnez tout, ne retenez rien en vous, devenez des êtres d’abandon.

Votre mission est de faire de bonnes actions, est d’apprendre à tout donner, afin que votre purification soit pour vous, afin que vous puissiez aider les autres à obtenir des grâces pour leur propre purification : tout vous sera demandé.

Lorsque vous vivrez votre purification, il y aura des mouvements qui vous seront connus; ces mouvements viendront par la puissance du Saint-Esprit devant vous; alors, mes petits-enfants, sachez y faire bon ménage; oui, il faut que tout soit à l’ordre à l’intérieur de vous pour la Grande Purification.

Alors, c’est à chaque jour que cela doit se faire; si vous avez des petites inquiétudes, si vous avez des grandes inquiétudes, petits-enfants, vous avez reçu des enseignements, alors relisez, vivez-les : cela démontre que vous avez encore à apprendre beaucoup; votre mémoire, mes enfants, est précaire, alors faites-vous plaisir, et allez relire; c’est moi, votre grand-maman, qui vous le demande, il faut que vous faisiez vos devoirs d’enfants d’amour.

Faites attention de ne rien négliger; prier avant de commencer à lire; n’est-ce pas ce que mon Petit-Fils vous a recommandé? Alors, faites-le, ainsi vous recevrez des grâces.

Mes petits-enfants, la prière!

Ma fille Marie vous demande de prier, de dire le chapelet, le rosaire, alors faites-le avec ce que vous êtes; si vous êtes occupés, si vos journées sont trop lourdes à cause de vos heures de travail, alors demandez à votre ange gardien de dire votre chapelet et lorsque vous vous retrouverez dans le repos, vous pourrez dire quelques dizaines.

Faites des sacrifices.

Petits-enfants, savez-vous que je suis en vous? Et je sais combien vous êtes portés à aller vers la télévision.

Beaucoup de sacrifices vous sont demandés, et celui-là en fait partie; alors demandez des grâces, ainsi vous retrouverez votre paix.

Lorsque vous vous privez de quelque chose, il faut que vous le fassiez dans l’amour, dans la paix : voilà pourquoi il faut demander des grâces.

Faire un sacrifice et garder en vous un sentiment d’incertitude ou de souffrance au-delà de l’amour, cela n’est pas grâce pour ceux que vous portez en vous, alors demandez à ma fille Marie, elle va vous aider et priez-moi, moi aussi, je vais vous accorder des grâces; priez aussi le bon saint Joseph, il vous aidera.

Soyez des êtres simples, tout ce que vous avez reçu vous aide, alors servez-vous-en.

La grand-maman de Dieu veut que vous soyez bons envers votre prochain.

Si vous, vous comprenez l’importance de votre purification alors que vos enfants ont de la difficulté à prier, à assister à la messe, n’allez pas les bombarder avec vos connaissances; il a fallu que vous aussi vous commenciez en bas de l’échelle, eux n’ont pas encore appris qu’il y avait une échelle à monter, alors soyez patients : abandonnez tout cela entre les mains de mon Petit-Fils, Jésus d’amour.

Soyez vous-mêmes abandon; l’abandon est très important pour vous et pour ceux que vous portez en vous.

Des temps arrivent, mes enfants, où il y aura beaucoup de souffrances à cause du signe de la Bête.

Ne frissonnez pas lorsque vous entendez ces mots; vous recevez tant de grâces, gardez votre paix et que cela ne vous trouble pas.

La Mère de Dieu est avec vous, elle vous guide en ces temps de ténèbres : soyez attentifs à ses avertissements; donnez-vous de l’amour en allant vers les sacrements, laissez entre les mains de Dieu ce qui est à Dieu, ne vous inquiétez pas, mais soyez prêts; ainsi vous pourrez aider ceux qui n’ont pas demandé des grâces.

Tout cela vous est connu parce que vous êtes choisis pour aider, non pour les préparer; ce n’est pas à vous, mais à Jésus, mon doux Dieu d’amour, c’est lui qui va les préparer à la Purification, pas vous.

J’ai attendu, moi, la venue de ma fille, Marie, des années, des années!

Oh! petits-enfants, vous qui attendez que vos enfants reviennent à Dieu, sachez que Dieu, lui, n’a pas oublié; il connaît vos enfants mieux que vous; soyez dans la confiance en Dieu, abandonnez-vous comme votre grand-maman s’est abandonnée et votre récompense sera grande.

Regardez les événements avec ce que vous êtes en vous : des êtres abandonnés entre les mains de Dieu, vivez tout cela au présent; chaque jour, vous obtenez des grâces et ces grâces vous aident pour vivre ce qui vient, et lorsque vous acceptez ces grâces dans la paix, ceux que vous portez en vous et que vous aimez tant reçoivent des grâces afin qu’ils puissent vivre ces événements sans découragement : tout a été préparé pour vous.

Ne jetez pas votre regard sur votre prochain qui s’inquiète car, mes petits-enfants, vous risquez vous aussi de tomber dans l’inquiétude : donnez tout, offrez tout, et vous réaliserez que vous gardez la paix.

Il est important ce que vous entendez.

N’allez pas au devant des messages si vous n’avez pas compris les premiers, car cela prouve que vous avez manqué de grâces pour comprendre.

Comment allez-vous vivre ceux qui viendront? Il faut que vous puissiez vivre avec les grâces de Dieu ce qui vient; voilà pourquoi, je vous parle, mes petits-enfants.

Faites tout ce que mon Petit-Fils vous demande; soyez assurés de mon soutien; priez, priez et priez, mes enfants, ainsi vous pourrez vous garder éveillés; lorsque le moment sera venu, vous serez prêts : tout doit s’accomplir, telle est la Volonté de Dieu.

À chacun de vous de vous donner, à chacun de vous de prononcer votre oui, un oui vrai, petit mais vrai.

La grandeur de votre oui est connue par Jésus, non par vous; voilà ce que vous deviez entendre.

La grand-maman de Jésus, votre grand-maman, vous aime; je vous dis : "Mes enfants, petits, petits, votre grand-maman vous aime". Au revoir, mes enfants.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu tout-puissant nous fait connaître notre intérieur, Dieu tout-puissant nous montre à quel point nous sommes aimés.

Nous sommes tous réunis et nous avons tous entendu; nous devons nous conduire comme des enfants, en remerciant le Ciel.

Nous recevons beaucoup depuis plusieurs années, mais nous, qu’est-ce que nous donnons à Jésus? Qu’est-ce que nous donnons au Saint-Esprit? Qu’est-ce que nous donnons à Dieu le Père?

Souvent nous écoutons ces enseignements, ces paroles qui viennent directement de notre intérieur, parce que Jésus nous habite et que le Ciel est en nous : là où est Jésus, là est le Ciel, mais combien nous sommes vides : vides de remerciements.

Alors Dieu (Jésus) dit : «Mes enfants, donnez-moi vos remerciements, je vais les prendre et les présenter à mon Père.

Réunissez-vous et faites dire une messe d’action de grâce, cela est très précieux.»

Une messe d’action de grâce pour chacun d’entre nous et pour ceux que nous portons en nous; lorsque nous donnons, nous recevons.

Alors, Jésus m’a dit : «Comme il est grand l’enfant qui fait dire une messe pour remercier mon Père!»

Et là, j’ai réalisé que Jésus disait ça pour me faire comprendre que nous ne le faisons pas; moi, du moins, je ne le fais pas : nous devons le faire.

Nous faisons dire des messes pour nos défunts, pour obtenir des grâces, mais des messes de remerciements à Dieu, il faut le faire, pas seulement qu’une fois à l’Action de grâce, mais remercier Dieu pour tout ce qu’il est en train de nous faire vivre.

Ça va faire quatre ans que Jésus m’enseigne, moi et vous, car il ne faut pas oublier que je ne pouvais pas faire cela sans que vous, vous soyez là.

Quatre ans bientôt que Jésus parle constamment; ce qu’il a dit m’a fait découvrir son amour et vous autres aussi; je n’aurais jamais pu penser un seul instant que Jésus pouvait nous aimer et se servir de chacun de nous pour qu’on puisse l’entendre; c’est lui-même qui dépose ces mots en chacun de nous pour que nous puissions participer ensemble à cet amour; alors c’est ensemble que nous devons aussi rendre grâce à Dieu : voilà pourquoi, la messe, c’est important pour nous, c’est ensemble que nous pouvons participer à cela.

Alors Dieu nous le demande; il ne nous oblige pas à le faire parce qu’il est plein de délicatesse, mais lorsque nous entendons Jésus dire combien il aime son Père et combien c’est important de le remercier par une messe d’action de grâce, nous ne pouvons pas fermer nos yeux, boucher nos oreilles et dire : "Qu’il le fait pour nous afin que nous puissions encore et encore et encore recevoir".

Dieu le Père ne cesse de nous combler de son amour : il veut nous donner;

il connaît nos souffrances, il connaît à quel point nous avons besoin de grâces.

Dans nos familles, nous connaissons beaucoup de maladies; chacun de nous, nous connaissons quelqu’un qui souffre.

Aujourd’hui, il n’est pas rare d’entendre une jeune femme de 30, 40 ans vient de mourir du cancer : c’est chez nous que ça se passe; nos propres petits-enfants viennent au monde et, bien souvent, ils sont obligés de se faire opérer à cœur ouvert dès la naissance.

Nous prenons conscience que nous ne cessons pas de demander et nous prenons aussi connaissance que malgré toutes ces souffrances on a des forces; nous ne sommes pas dépressifs; nous apprenons à garder notre paix, à avoir confiance en Dieu, et plus nous avançons dans notre purification et plus nous avons confiance en Dieu; et pourtant nos yeux se sont ouverts, nos oreilles ont entendu les plaintes de nos frères et de nos sœurs; nous voyons la guerre; nous voyons des gens mourir, parce qu’il y a des typhons, des cyclones, et nous gardons notre paix parce que nous avons confiance en Dieu.

Il y a plusieurs années, lorsqu’on entendait des messages qui disaient : "Il y aura des guerres, beaucoup de tremblements de terre", oui, on disait : "Il faut que cela arrive parce que Jésus va venir plus vite"; aujourd’hui, nous ne disons pas ces paroles, car nous avons appris à les donner; nous avons appris à leur donner de l’amour dans l’abandon, et ils reçoivent, et nous savons qu’ils reçoivent parce que Jésus nous l’a dit, et nous croyons en Jésus : Jésus se manifeste à nous.

Il faut regarder tout ce qu’il y a autour de nous : nous voyons beaucoup de signes du Ciel et ce sont des signes d’amour; Marie pleure des larmes d’huile, pleure des larmes de sang; Marie nous envoie des odeurs de roses; elle se montre à certaines personnes; le Fils de Dieu se manifeste à plusieurs d’entre nous : alors, nous ne pouvons pas nier que le Ciel est avec nous.

Lorsque le Ciel nous dit que beaucoup de grâces nous sont accordées, nous savons que cela aussi c’est pour ceux qui souffrent, qui connaissent la guerre.

Oui, ils souffrent; oui, ils pleurent; oui, ils crient; combien d’entre eux sans nos prières seraient dans le désespoir total? Combien d’entre eux ne pourraient plus vivre après avoir perdu un enfant, une mère, un frère? Le déchirement est grand, mais nous savons que Jésus est là, que la Mère de Dieu est là.

Aujourd’hui, au Québec, on apprend à sourire maintenant, à moins pleurer.

Il y a beaucoup de pleurs encore, mais on voit chez les enfants de la Lumière des sourires; nous apprenons à avoir confiance en Dieu et à savoir que Jésus est là; nous apprenons à délaisser tranquillement ce matériel et à découvrir l’amour, l’entraide, le soutien.

D’autres pays connaissent la guerre, d’autres pays connaissent la famine, mais eux sourient depuis longtemps; ils ont toujours eu confiance en Dieu : ceux qui sont dans une très grande pauvreté peuvent regarder ceux avec qui ils vivent avec amour; maintenant, nous apprenons à regarder nos frères et nos sœurs avec amour : ce que nous avions perdu, maintenant, nous sommes en train de le retrouver.

Eux qui ont eu confiance en Jésus, eux qui savaient que Jésus étaient là, nous ont aidés; malgré tout ce qu’ils enduraient, ils aimaient Dieu, ils avaient confiance en Dieu; eh bien, ils nous ont gagné des grâces : nous, les gens d’un pays riche, nous avons été soutenus par eux.

Maintenant, les fruits de leurs prières sortent : c’est nous, c’est nous qui apprenons que Dieu est puissant, que Dieu est présent, et que Dieu va sauver le monde.

Nous devons vivre ce temps au présent, nous devons accepter tout ce qui vient, au présent; ne pas se préoccuper de demain, mais laisser demain entre les mains de Dieu.

Ce qui ne nous est pas connu ne nous appartient pas, cela appartient à Dieu; alors nous n’avons pas à jeter notre regard ailleurs qu’à l’intérieur de nous, et l’intérieur de nous, c’est le présent : c’est ce que nous devons vivre.

Ce qui sera réservé à nos enfants pour demain et après-demain appartient à Dieu, pas à nous; ce que nous allons vivre appartient à Dieu et pas à nous; il est beaucoup plus sage de garder le silence devant nos enfants qui souffrent que de dire des paroles que nous, nous ne pouvons pas contrôler; on entend des enseignements, mais lorsque nous sortons d’ici et que nous voulons rapporter ces paroles, nous en bégayons : alors, nous ne sommes pas prêts, mieux vaut garder le silence et les donner.

L’abandon : si vous saviez la puissance de l’abandon, on commence à l’apprendre.

S’abandonner entre les mains de Dieu, c’est abandonner nos enfants entre les mains de Dieu, là ils reçoivent des grâces; nous, nous ne pouvons pas donner à nos enfants ce que Dieu peut leur donner.

Nous avons la tête dure, nous commençons à peine à comprendre, pas loin de quatre ans et, il y en a ici, c’est plus que ça je pense; il y en a qui ont connu des messages depuis plusieurs, plusieurs, plusieurs années.

L’abandon, c’est une source d’amour.

Dieu le Fils a laissé couler sa Vie entre les mains du Père, c’est l’abandon; Dieu le Père a laissé couler ses grâces en nous, c’est l’abandon; Dieu le Père n’a pas forcé aucun de nous à accepter ses grâces, Dieu le Fils ne nous a pas forcés à accepter son don de Vie à son Père, il a abandonné ça entre nos mains : il a fallu que nous on prononce un oui.

Il nous a tout donné Jésus, même sa Vie, même son don de Vie; il attendait que nous, nous acceptions, et aussitôt que Jésus a vu un oui, un oui qui était en nous et que nous acceptions de donner, là coulaient ses grâces.

Dieu est l’abandon, Marie est l’abandon, Grand-maman est l’abandon, nous devons être aussi dans l’abandon.

Grand-maman sainte Anne a reçu le fruit de son abandon : la sainte Vierge Marie.

Marie a laissé entre les mains de Dieu sa vie et la vie de chacun de nous parce qu’elle priait pour que le Messie vienne; elle a tout abandonné cela entre les mains de Dieu et, parce qu’elle était tellement abandon, c’est elle qui a été choisie pour porter le Messie : tel est le fruit de son abandon.

Jésus s’est abandonné entre les mains du Père; il a obtenu, de son Père, nos vies; chacun d’entre nous sommes en Jésus : voilà le fruit de l’abandon.

Alors nous, abandonnons-lui notre vie, abandonnons-lui la vie de tous nos frères et de nos sœurs, le fruit que nous aurons, nous l’accepterons, mais soyons sûrs qu’il va être beaucoup mieux que celui que nous, nous pensons dans notre tête.

Parce que si, grand-maman sainte Anne, elle a eu la Sainte Vierge Marie, la Mère de Dieu, si Marie, elle a eu le Messie, combien nous, nous allons recevoir!

Oh! pas au-dessus de la Sainte Vierge, ni au-dessus de Grand-maman, mais ce qui nous sera donné, c’est notre vie, notre vie immortelle : une vie sans souffrance, sans pleur, sans maladie, et nous verrons avec nos yeux et entendrons avec nos oreilles les cris de joie de nos propres enfants : cela sera une récompense pour nous.

Chacun de nous devons vivre cet abandon, nos enfants devront vivre cet abandon.

Nous ne pouvons pas les forcer, c’est ce que nous essayons de faire; nous avons de la difficulté, nous, à nous abandonner alors que nous voulons qu’eux s’abandonnent; alors apprenons à devenir un être abandonné entre les mains de Dieu pour que nous puissions être un exemple.

Souvenons-nous que Jésus a dit que nos enfants vont nous regarder, cela sera pour eux des paroles.

Alors, c’est ce que nous apprenons tranquillement : à être totalement abandonnés entre les mains de Dieu; abandonnons-nous totalement : pensées qui sont en nous, sentiments qui sont en nous, souffrances qui sont en nous, et ces souffrances sont nombreuses.

Tout ce que nous sommes à l’intérieur, il faut l’abandonner totalement et ce qu’il y a de plus difficile aussi, abandonner les souffrances de nos enfants, abandonner aussi notre mari qui est très malade, notre épouse qui est très malade; nous devons tout abandonner en Jésus, nous devons faire confiance en Dieu le Père pour tout, et si ce que nous allons voir et entendre ne sont pas des mouvements de guérison pour nous, cela le sera pour eux, à l’intérieur d’eux.

Dieu le Père va sauver l’âme, et s’il a besoin de souffrances physiques de la personne qu’on aime pour sauver son âme, nous devons abandonner cela entre les mains de Dieu; ce n’est pas à nous de connaître le résultat de l’abandon, mais nous devons tout faire : notre purification va jusqu’à cela.

Si chacun de nous vivons notre purification sur la terre et que cela ne nous conduit pas à la Nouvelle Terre sur la terre, eh bien, ça nous conduira au Royaume de Dieu le Père, avec ce que nous aurons accompli en Jésus, parce que notre purification n’est pas de notre ressort, mais du ressort de Jésus; c’est notre oui qui nous appartient, c’est notre abandon; nous devons tout accepter, absolument tout; ça va jusque-là.

Si nous devons entrer dans la Terre Nouvelle, nous y entrerons purifiés en notre chair; mais si demain je suis frappée par une auto et que ma vie terrestre s’arrête là, eh bien, je l’aurai fait dans l’abandon et j’aurai la récompense de l’abandon : comme Grand-maman sainte Anne et comme Marie, j’aurai le fruit de cet abandon.

Tout appartient à Dieu, tout est à Dieu.

Nous ne devons pas contrôler ce qui s’en vient, nous ne devons pas contrôler notre purification non plus.

Si nous voulons que notre purification soit, eh bien, c’est totale qu’il faut qu’elle soit, parce que cela aussi fait partie de notre purification : ne pas savoir si nous allons vivre dans la Terre Promise, ça en fait partie.

Dieu dit qu’il vient bientôt en nous, alors croyons-le; nous ne savons pas le moment, ça peut être dans un jour, un mois, un an, deux ans, cinq ans; ça prendra le temps que Dieu le Père le voudra, mais nous savons que c’est pour bientôt; ça c’est de l’abandon : ne pas calculer le temps, mais l’accepter, le vivre comme si c’était demain et ne pas douter.

Parce que lorsqu’on doute que Jésus nous dit quelque chose, mais qu’à l’intérieur de nous on commence à en discuter, ça nous enlève des grâces et ça enlève des grâces à ceux que nous portons en nous : c’est nos enfants en premier, notre mari, notre épouse.

Alors ne doutons pas de ce que nous sommes en train de vivre, Dieu nous veut totalement abandonnés entre ses mains; il ne veut pas seulement une partie, il ne veut pas que nous soyons dans le contrôle de ce qui va arriver, c’est tout en Jésus, absolument tout, comme lui s’est donné à Dieu le Père.

Il a déversé tout son Sang pour nous, alors nous devons, nous, tout donner à Jésus, jusqu’à la dernière de nos souffrances; cela comporte la plus petite de nos pensées, la plus petite de nos actions qui sont en nous et que nous devons tout laisser.

Alors, Dieu dit : « Mes enfants d’amour, vous avez reçu beaucoup, recevez beaucoup par mes prêtres.»